we do not change a duo that works ♫ MARNI-LAY. STEVENSEN & LEO-ALISSON WOOBLEFORTH Voilà plusieurs semaines que je n’avais pas croisé le regard de cette blondasse de Léo. Elle me manquait la petite et il était peut-être tant pour nous de nous revoir. J’avais tellement de chose à lui dire, à lui annoncer. Léo était la fille avec qui je m’entendais le mieux dans BCU, nous étions comme les doigts de la main. J’aimais son cotée déjanté qui me ressemblait beaucoup. J’aimais également ses conseilles qui étaient toujours très utile à entendre. Aujourd’hui, il fallait que je lui parle, que je lui expose ma situation de femme marié. DE FEMME MARIE. Mon dieu, ce statut avait toujours du mal à passer. C’était étrange pour moi et pourtant je ne semblais pas résigner à enlever cette putin de bague. J’étais de passée à fille célibataire et libre comme l’air à marié en moins de 72 heures. C’était une situation dur à gérer et pleine de conséquence. En réalité, j’étais totalement perdu dans mes sentiments. J’étais en colère d’avoir été aussi stupide au point de me marié et pourtant je ressentais une certaine satisfaction et joie d’être marié à ce Rosenbach. Après tout, il était loin d’être moche le mec et puis il avait réussi à me charmer comme aucun autre mec avant cet soirée. - Moi la Marni insensible et garce était tombée raide dingue de ce cher Jorden -. En clair, j’étais complètement perdue, perdue, perdue. Une situation qui m’échappait totalement. J’avais l’habitude d’être maître de mes choix et à cet instant la situation m’échappait totalement. Qui aurait cru qu’un jour ? J’allais passer le pas, aussi rapidement et avec un garçon comme lui. Mon dieu. Mon cerveau a cet instant était en surchauffe. Il fallait que j’en parle, cela faisait déjà 4 jours que je ruminais seul avec ce fardeaux. Je ne pouvais plus le garder pour moi et pourtant faute d’avoir essayer. Léo était donc la personne parfaite à qui j’accordais une certaine confiance et qui connaissait aussi très bien Jorden.

J’étais levée déjà depuis pas mal de temps. Il me semble que mon réveille avait indiquer sept heures du matin. AIL AIL AIL. Ce mariage me rendait complètement folle. J’avais déserté les cours, je ne voulais pas y aller et puis pour tout vous dire. Les cours aujourd’hui m’emmerdait plus qu’autre chose. Une fois prête j’envoyais un sms à ma blondasse préféré.

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« Héééé blondasse, un chocolat chaud au parc ça te dit ? J’ai pas mal de truc à te dire ».

Je savais qu’à cet instant j’allais attirée sa curiosité. J’en étais fière sadique comme je suis. Un message ne tarda pas à arrivée, me répondant positivement. J’affichais un sourire. J’allais enfin pouvoir souffler tranquillement. J’étais soulagée. Je ne mis pas longtemps pour enfiler mes chaussures et prendre une veste pour rejoindre la fameuse cafétéria.« Salut Gerry, deux chocolats chaud s’il te plait ». Je lui fis un clin d’œil et je m’installais sur une table de dehors. L’air était doux c’était plaisant d’être dehors et j’en avais terriblement marre d’être enfermer.

Enfermée chez moi j'essayais de compter les moutons pour prolonger ma grasse matinée qui s'était interrompue bien trop tôt. Non mais c'est pas vrai ! Il y avait un raffut invraisemblable dans les couloirs et je n'avais qu'une envie, me lever et leur dire de la fermer. Mais comme j'avais bien trop de classe pour ça, je décida de me boucler sous ma couette, ma tête blonde enfouie sous l'oreiller en espérant que le sommeil reviendrait à tout prix. C'était ça de faire la fête pour oublier qu'à trop jouer avec le feu on peut se brûler. J'imaginais me rappeler de la leçon à chaque que cela arrivait et pourtant, de manières différentes, je replongeais de nouveau. Je me demandais comment cela se faisait que je n'étais pas encore brûler depuis le temps. On aurait pu m'appeler Jeanne d'arc avec toutes les conneries dans lesquelles j'avais foncé tête première parce que j'étais bien naïve et n'imaginais jamais le pire. Malheureusement. Une princesse comme moi c'est aussi une grande enfant. Aucune maturité, tout dans expressivité ! Heureusement je connaissais bien d'autres têtes blondes comme moi. Juchée sur hauts talons toute la journée, le regard fier, hautain, la tête tourné vers les futurs plein d'ambition et pourtant il en venait qu'on se fourrait tout le temps dans des merdiers impensables. Et on en redemandais ! Oui effectivement, un peu timbrée les demoiselles et justement, au moment où je pensais à la fameuse Marni, mon téléphone vibra finissant de me réveiller pour de bon. J'ouvris un oeil, lus le message qui y était affiché puis le redressa, les cheveux tout ébouriffés. Haaaa. Là, ça s'annonçait prometteur. Un grand sourire aux lèvres, j'allais vers la salle de bain pour me préparer. Je ne pouvais résister à nos journées fille. Marni était l'une des personnes qui comptaient le plus dans l'université et je pouvais bien la compter comme celle avec Harper qui comptait le plus à mes yeux, signe que finalement, se faire des amis étaient très rapides pour une fille comme moi même en débarquant en cours d'année ! Sourire en coin, j'attrapai le dernier sac Chanel, ma veste et sortait alors dans les couloirs. Je voyais déjà les regards en coin qui me reluquait de la tête au pied. Hum .. Essayez d'avoir autant de classe avec seulement un jean et un haut bal mes chéries. Après on en reparlera. A la sortie de l'université, j'héla un taxi ne voulant pas conduire aujourd'hui et ayant bien trop d'argent sur mon compte bancaire pour ne pas en profiter. Il fila vers le centre ville et et m'emmena devant le Starbuck le plus proche. C'était devenu une de nos habitudes et sachant que nous ne nous étions que rarement croisées depuis le voyage au ski je me disais qu'il était grand temps de se retrouver ! On ne dirait pas mais dans une université aussi grande que Berkeley, jongler entre amis, cours, révisions et autres histoires familiales c'est bien compliqué à gérer ! J'ouvris enfin la porte du café et huma l'odeur familière du lieu. Je jeta un coup aux alentours et aperçu la tête blonde que je cherchais sur la terrasse dehors en face du parc de SF. Un sourire, je me dirigea vers elle, ressortit de l'enseigne et me dirigea à la table où elle m'attendait, deux chocolats chauds posés devant elle. Mon dieu on t'as dit que t'avais grossit depuis la dernière fois qu'on s'est vu ? Oui ma manière de lui dire à quel point elle était toujours aussi belle. Sourire aux lèvres je pris mon amie dans mes bras pour immortaliser les retrouvailles puis me retira de ses bras.

we do not change a duo that works ♫ MARNI-LAY. STEVENSEN & LEO-ALISSON WOOBLEFORTH J'étais complètement dans mes pensées, j'en avais un râle bol. Il fallait que je parle que j'exprime mon ressentie des choses que je ne savais pas faire ou du moins plus faire. J'étais tellement habituée à ne pas avoir besoin des gens que ça en était troublant. Néanmoins, Léo était la personne la plus censée que je connaissais. C'était la personnes parfaite pour lui avouer ce que j'avais vécu avec ce cher Rosenbach. Jorden, je ne l'avais d'ailleurs pas vu depuis et bien notre mariage. J'avais disons couper tout les ponts. Je ne voulais pas le voir, pas maintenant. Après ce voyage, je savais que Jorden avait le pouvoir de rentrer dans ma tête et me rendre vulnérable. Je l'appréciais, il n'y avait aucun doute la dessus. Il me plaisait beaucoup et j'avais carrément adoré nos moments de tendresse. Et voilà, j'étais encore en train de penser à lui. Je me secouais la tête histoire d'arrêter de penser à lui. J'étais faible et ça m'énervais.

Léo ne tarda pas à venir, le moment parfait. " Mon dieu on t'as dit que t'avais grossit depuis la dernière fois qu'on s'est vu ? ". Elle avait toujours la petite phrase pour faire rire et ça faisait un bien fou. J'étais heureuse de pouvoir la voir. Nous nous prenions dans les bras, et je lui fis : " Les muffins ne me réussissent pas ma belle " c'est vrai ça depuis mon fameux mariage. Mon appétit semblait s'être développer. Une réaction tout à fait normal chez moi, dès que quelques choses me trottait dans la tête. Je mangeais comme une grosse. Je l'avoue. Cet phrase annonçait déjà la couleur de ma petite surprise. Léo me connaissait par cœur et je savais qu'à cet instant, elle se demandait ce qu'il se passait. Nous nous asseyons et n'étant pas d'humeur à tourner autour du pot, je lui fis tout de même. " Ca fait longtemps (a) ? ça va toi ? " lui dis-je par pur politesse même si j'avais envie de lui crier dans les oreilles. JE SUIS MARIE. Après qu'elle est répondu, je lui fis en baissant le regard chose qui ne me ressemblait absolument pas. " Je suis marié ". dis-je en me mordant la lèvre comme si j'avais fais une gaffe. En réalité, j'appréhendais ce qu'elle allait me dire.

Les muffins ne me réussissent pas ma belle. J'entendis la sirène d'alarme dans ma tête se déclencher brusquement. Je voyais déjà mes neurones en ébullition chercher ce qui pouvait faire que ma Marni se réfugie dans le chocolat pendant que le reste de mon cerveau prenait la fuite par la sortie de secours. Ca sentait la gestion de crise et elle avait bien faire de me faire bouger mes fesses pour la retrouver, elle savait parfaitement que j'étais toujours là pour elle dans ce genre de moment mais avec le drôle de ton qu'elle prenait pour me le dire, je me disais aussi que quelque chose clochait dans cette mauvaise nouvelle. Je la connaissais assez pour savoir que lorsqu'elle était malheureuse, ça se lisais de suite dans ses yeux. Ses joues se rougissaient alors, ses yeux semblaient plus gris qu'à leur habitude et elle ne me regardait souvent pas en face comme si avouer les problèmes qu'elle avait était bien dure pour qu'en plus elle arrive à se concentrer en dévisageant une personne droit dans les yeux. Là étrangement je trouvais qu'elle semblait plus mal à l'aise que triste et j'hésitais à lui demander ce qui n'allait pas. Elle savait que j'allais vite craquer cependant si elle me parlait de la pluie et du beau temps en faisant mine que la vie était parfaite car après tout, je ne pouvais jamais résister à découvrir ses petits secrets et encore plus quand je saisissais parfaitement d'une simple intonation de voix ou d'une simple manière de dire certaines choses, qu'elle avait quelque chose à avouer. Oui ça va très bien ! Je ne pouvais m'empêcher d'avoir une voix suspicieuse de la fille qui sait déjà qu'elle va forcer son amie à lui avouer pourquoi elles se trouvent toutes deux autour d'un café bizarrement juste après qu'elles ne se soient pas vues depuis un certain temps. Il fallait le dire, si j'avais eu du mal à gérer mon temps entre mes histoires de coeur, j'imaginais bien que depuis notre retour au ski, il y avait eu bien des rebondissements dans l'histoire Jorden-Marni qui frôlait la perfection si seulement ces deux impossibles ne se tournaient pas autour sans jamais attraper l'hameçon que chacun se tendait mais à des moments différents. Si j'avais pu jouer à cupidon je les aurais enfermé moi-même dans une pièce où ils n'auraient pas pu en sortir tant qu'ils n'auraient pas conclu ! Mais encore une fois, personne ne me faisait confiance gaffeuse comme j'étais et j'étais bien obligée de concevoir que je devais attendre donc que les choses se fassent elles-même sauf que je ne m'attendais pas du tout à la bombe que venait de lâcher mon ami. Je faillit m'étouffer avec le chocolat chaud que j'étais en train d'avaler et dû mettre un certain temps avant de me remettre de la surprise. Enfin alors que j'aurais voulu sortir une parole, rien ne me vint, je restais figée devant mon amie, la bouche ouverte comme un poisson en espérant sortir quelque chose de correct mais rien ne me venait. Je laissa alors un instant ma classe de côté. Oh bordel de ... Je me leva enfin complètement troublée et en même temps surrexitée par la nouvelle. Stevensen est mariée wouhouuu ! Je me rassis enfin et me stoppa net dans mon hélan. Attends... Dis moi que c'est bien avec Jorden hein ? C'était presque évident m'enfin on ne sait jamais, on regardait tellement de séries où les jeunes se mariaient avec n'importe qui à Vegas que j'espérais qu'elle n'avait pas voulu faire un vilain remake d'une de ces sagas qu'on se mangeait en boucle depuis qu'on s'était trouvée à Berekeley. Mais non. En faîtes, j'avais des milliards de questions et je ne savais par où commencer. C'était troublant. Je m'imaginais alors mariée et à sa place. Gosh comment y croire ? Léo mariée ? Alors Marni mariée ? Je comprenais qu'elle avait ce genre de tête en me l'annonçant, ça choquait ! Il faut que tu me racontes tout j'ai l'impression d'avoir loupé au moins deux saisons de vos aventures à tous les deux !

we do not change a duo that works ♫ MARNI-LAY. STEVENSEN & LEO-ALISSON WOOBLEFORTH J'étais totalement perdu après tout je n'étais pas faite pour être en couple alors vous vous imaginez marié ? j'avais de quoi avoir les chocottes. J'étais totalement déstabilisée et pour une fois j'avais besoin de conseil et d'appuie. Mes parents dans tout ça ? ils m'auraient sans doute punis en apprenant la connerie que j'avais fais et balancer que le mariage n'était pas un engagement à prendre à la légère. Je voyais déjà ma mère me hurler dessus et mon père se prendre la tête entre les mains. Ils étaient tout ce qui avaient de plus saint et bizarrement - ou pas - je ne leur ressemblais pas. Léo se tenait devant moi, elle apaisait mes craintes mais je restais toujours autant mal à laisse. Après tout, elle allait être la vrai personne à savoir ce qu'il m'était arrivée. Personne autour de moi n'était au courant de mon changement de nom. Je n'attendis pas très longtemps avant de lâcher le morceau. D'ailleurs une fois le mot marié balancer, je scrutais sa réaction, son visage histoire d'anticiper sa réaction. Elle ne manqua pas de s'étouffer avec le chocolat chaud que j'avais commander. La réaction que j'attendais en réalité. Elle me dévisagea, me demandant en un regard si j'étais pas en train de me payer sa tête. Sincèrement, je n'étais pas d'humeur joueuse. Noooon, j'étais perdue et en manque. Ouaiiiii, Jorden me manquait après tout j'étais obstinée à vouloir l'éviter afin de réfléchir calmement à notre situation. Alors que mon esprit repartait dans une analyse précise de l’analyse de ce mariage. Léo vint enfin à parler. " Oh bordel de..." elle ne termina pas et se leva immédiatement comme si elle était à un match de foot. WHAT THE FUCK, elle semblait contente et surrexitée. C'était assez marrant à voir et elle me fit sourire comme toujours. " Oh Stevensen est mariée wouhouuuuuuuu ! " et bah bordel, j'étais impressionnée de voir sa bonne humeur face à ce genre d'annonce. Ouiiiiiii après tout j'avais l'air de vivre un cauchemars et elle arrivait à mettre un peu de lumière dans mon problème c'était apaisant. Et j'aimais le faite qu'elle ne me juge pas, c'était du Léo. (a) Son sourire s’effaça en me demandant ensuite : " Attends... dis mopi que c'est bien avec Jorden hein ? " et bah bordel, elle semblait avoir une longueur d'avance sur tout. J'eu un sourire et finis par lui dire : " Ouaiiii, c'est avec Jorden. Marié, léo bordel ça me fait vraiment bizarre et peur ". Ouai, il fallait que je lui dise, j'avais peur. MARNI STEVENSEN AVAIT PEUR, j'avais peur. Mon dieu.

" Il faut que tu me racontes tout j'ai l'impression d'avoir loupé au moins deux saisons de vos aventures à tous les deux ! " En réalité, c'est 72 heures ont été tellement charger j'avais moi même la sensation d'avoir oublier certaine chose. C'était terrifiant mais comme une petite nigotte, j'eu un sourire en repensant de prêt ou de loin à tout les bon moments que j'avais passer avec Jorden. Je finis par lui dire en me rapprochant un peu. " Bordel c'était deux jours superbe. J'ai été à Las Végas. Il tout montrer, un vrai gentleman. Il est adorable et puis mon dieu il est terriblement... sexy " ouaiiiiii les moments dans la baignoire me fit rougir. Une situation assez bizarre puisque je n'étais pas ce genre de fille à rougir et revendiquer les qualités de mes partenaires. Et pourtant avec Jorden c'était totalement différent. " C'est un week-end parfait sans déconner Léo, j'étais dans ma bulle. On a finit par passer la soirée dans une boite de nuit, on a un peu trop bu, on a prit une pilule " ouaiiiiii bon à cet instant, c'était beaucoup moins magique et mes souvenirs étaient que très vague : " Et on s'est marié, je crois même que c'est moi qui lui ai demander de m’épouser. BORDEL MAIS JE SUIS PAS PRÊTE A ETRE LA FEMME DE QUELQU'UN " dis-je affolé et tout en trifouillant un serviette qui était sur la table.

Comment ne pas comprendre ce trop plein d'adrénaline qui mettait montée? Non. Malheureusement, je n'étais pas le genre de personne à poser les problèmes sur la table, à évaluer la personne d'un regard sombre et emprunt de jugement et n'était pas du tout le genre à accueillir les problèmes des gens en étalant de suite après à quel point la personne était dans la merde. Mais après tout, Marni savait qu'elle pouvait se confier à moi sans que je ne dise quoi que ce soit qui puisse la blesser. On se ressemblait tellement que je comprenais parfaitement qu'elle ait pu se marier sur un coup de tête. Pourtant il fallait dire que nous venions toutes deux de familles qui n'aurais pas fait un tiers de ce que nous avions faits depuis que nous étions petites. On fonçait dans des histoires à se damner et sans vraiment penser et imaginer les conséquences de nos actes. C'était ça d'être stupide mais au moins, même si souvent, on se disait que l'on aurait pas dû, on ne regrettait finalement jamais. Et le pire c'est que même en regrettant et en se prenant la tête pendant des jours sur nos erreurs de petites femmes, on en venait de nouveau à courir droit vers les histoires à se retourner le cerveau parce que l'on était comme ça. On avait beau jouer les enfants naïves il fallait s'avérer qu'on était bien plus forte que les autres pouvaient bien l'admettre. Mais j'avouais que là, c'était un évènement qui ne manquait pas d'aplomb et je devais dire que si Marni regrettait ce pas entre elle et Jorden alors effectivement, il y allait avoir des pots cassés. En même temps je me disais qu'un divorce pour l'une de nous deux n'aurait été qu'encore un scandale de plus dans nos vies de blondasses sulfureuses. Bon d'accord il fallait le dire que j'imaginais mal dire à mes parents que j'étais divorcée et comprenait parfaitement que ça puisse être le cas pour la fameuse Marni S... Rosenbach dorénavant. Je l'écouta alors faire son récit pendant que je remettais mes idées en place et qu'elle m'expliquait comment tout c'était déroulé car apparemment, il avait suffit de peu de temps pour qu'il passe de situations ambigües et compliquées à couples et ensuite mariés d'office ! Je me faisais la réflexion que jamais au grand jamais, je n'irais à Vegas ou du moins ne prenait quoi que ce soit là-bas. J'avais une trouille bleue du mariage n'ayant jamais vraiment ressentit quoi que ce soit pour un homme. Du moins jusqu'à aujourd'hui. Je ne releva pas l'idée qu'elle le trouvait formidablement sexy étant donné que Jorden et moi avions eu dans un souvenir très éloigné, une nuit d'égarement mais j'avouais qu'elle n'avait pas été chercher le plus moche, loin de là ! Waah... Je comprends c'est ... Un peu précipité. Je ne voulais pas qu'elle souffre et même si j'avais l'impression de vivre un conte de fée à ses côtés, il fallait que j'essaie de penser comme une adulte à défaut de réfléchir tout le temps comme une enfant pourrie gâtée. Cette enfant voyait une romance depuis pas mal de temps entre Jorden et Marni et les voyait enfin réunit comme un happy end qui avait mis du temps à arriver mais qui faisait chaud au coeur lorsqu'il se clôturait. Mais l'adulte voyait la situation d'une manière bien différente. Écoutes, tu l'aimes non ? Alors ne te poses pas de questions. Ce n'est pas comme si tu pouvais faire demi-tour de toute manière et puis au pire si t'en as marre de lui, tu t'exiles dans un état où le mariage à Vegas n'est pas reconnu si tu le signales pas ! Ou carrément à Paris ! Me voila qui lui donnait des solutions de fuite contre son propre mariage. Youpii c'est vrai que c'était une excellente idée de lui dire tout simplement de ne plus mettre les pieds dans certains états d’Amériques comme une vraie fugitive. Non mauvaise idée. Je ne pus m'empêcher de rigoler à ma connerie et repris sur un ton plus condescendant et sérieux. J'espère vraiment que ça va durer entre vous M., ça faisait bien longtemps que j'attendais un happy end pour vous deux et ... Même si je ne m'attendais pas vraiment à ça et bien si vous êtes heureux c'est le principal. Je comprenais sa frayeur. Je comprenais son regard partagé entre l’excitation du moment, l'amour et le désir et l'effroi de se retrouver femme mariée. Je savais ce qu'elle pouvait ressentir mais après tout peut-être qu'ils leur avaient fallut ça pour se trouver mutuellement. J'accompagnais mes paroles d'un doux sourire qui se voulait rassurant.

we do not change a duo that works ♫ MARNI-LAY. STEVENSEN & LEO-ALISSON WOOBLEFORTH « Waah… je comprends c’est… un peu précipité » un peu précipité ? C’était carrément précipité. J’avais franchis le pas infranchissable et je ne le connaissais qu’à moitié. Mon instant m’ordonnait de fuir immédiatement, tout lâcher et pourtant j’étais encore là. Une partie de moi était honorée et heureuse d’être marié à cet homme. Je savais qu’il possédait beaucoup de qualité qui pourrait me rendre heureuse. Il pourrait être le remède à tout mes problèmes. Ce week-end avait été parfait, magnifique et j’avais certes sensation de le connaitre bien plus que je ne pensais. Je lui fis un mince sourire. Léo semblait ravie et à la foie affoler par cette nouvelle. Elle était toujours aussi folle cette fille, mais j’adorais son cotée déjanter, son cotée enfantin. Elle me ressemblait à vrai dire énormément. Je lui fis une petite grimace ne sachant pas quoi lui dire et elle fit à nouveau : « Ecoutes, tu l’aimes non ? Alors ne te poses pas de question. Ce n’est pas comme si tu pouvais faire demi-tou de toute manière et puis au pire si t’en as marre de lui, tu t’exiles dans un état où le mariage à Vegas n’est pas reconnu si tu le signales pas ! Ou carrément à Paris ! » Je me mise à rire avec elle, elle avait de ses idées parfois même si en soit Paris m’attirait beaucoup. Je ne comptais pas faire de cet ville, une ville d’exile. Néanmoins, je repris mon sérieux. Un mot m’avait troublé dans sa phrase, le mot « Amour ». Si je l’aimais ? C’était bien trop tôt pour le dire et sincèrement, l’amour était quelques choses que je repoussais au plus au point. Une peur, une aversion. C’était horrible et je lui fis : « Je ne l’aime pas Léo, je ne le connais presque pas… certes il me plait mais je suis pas amoureuse. » C’était réelle, l’amour pour Marni ne se créait pas en un week-end. J’étais le genre de fille à prendre mon temps, même si en soit Rosenbach me faisait perdre la tête. Mes sentiments restaient encore lucide enfin presque. « J’espère vraiment que ça va durer entre vous M, ça faisait bien longtemps que j’attendais un Happy end pour vous deux et… Même si je ne m’attendais pas vraiment à ça et bien si vous êtes heureux c’est le principal » raaaaaaaaah qu’elle était effrayante. Genre ça faisait longtemps qu’on se tournait autour ? Il est vrai que Jorden avait été quelqu’un de superbe mais à vrai dire avant Végas, je ne m’étais jamais rendu compte de l’impact qu’il pouvait avoir sur moi. Je lui fis un sourire malgré tout et pris une gorgé de mon chocolat. Et histoire de changer un peu de sujet parce que ce mariage avait le dons de me rendre carrément maboule, je lui fis : « Et toi alors ? Les feux de l’amour ça se passe comment ?  »

Bon oui d'accord, elle semblait totalement effrayé mais bon pour ma part je voyais les choses d'un regard d'enfant. N'étant jamais eu des vues sur un homme assez longtemps pour me rappeler de son prénom, il était vrai que j'avais l'impression de vivre un conte de fée au travers de ma Marni. Après tout, depuis le séjour au ski il fallait le dire qu'ils se tournaient autour et du début de l'année à maintenant j'avais l'impression qu'un siècle s'était écoulé. J'en faisais peut-être trop. Je l'a faisais flipper j'en étais sûre. Comment aborder une nouvelle aussi énorme ? J'avais peur qu'elle soit blesser et encore pire que je ne sache réparer les pôts cassés. Mais c'était comme ça. A la moindre annonce de ce genre, je sautais de joie et minimisait les dégâts de sorte que mon amie en voit encore plus de bons points et puis dès que les choses se corsaient, c'était là que je venais à dire que l'homme était un connard finit. Je n'arrivais pas à imaginer que ces-deux-là pouvaient avoir fait une grosse connerie bien que j'étais persuadée que je n'aurais jamais pu faire ça mais voyant le regard de Marni qui essayait de me persuader que leur relation semblait plus platonique que je ne le pensais, je voyais tout de même ne elle ce piment qui la faisait fondre devant cet homme. Après tout, pour rester lucide et tout de même exitée par un mariage avec un homme, il fallait quand même l'apprécier un minimum et pas aussi peu qu'elle semblait l'estimer dans sa réflexion suite au mot aimer. Sûr qu'il y avait aimer et aimer mais en tout cas elle était bien entre les deux du coup ça en devenait bien sérieux. Plus qu'elle ne se l'avouerait et assez pour qu'ils n'aient pas divorcé de suite après avoir vu l'erreur qu'ils avaient pu commettre et comprendre mais après tout, on s'aveugle souvent à cause des sentiments et de la peur qu'ils engendrent. Je connaissais parfaitement ça et donc je n'avais rien à dire, après tout, je voulais qu'elle soit heureuse en espérant qu'ils aient raison de vouloir vivre une relation déjà basée sur une bague au doigt. Ne joue pas sur les mots, tu vois ce que je veux dire. Pour que ce mec ait réussit à ne pas te faire divorcer juste après que tu t'es découverte la bague au doigt c'est qu'il est bien différent. Tant mieux et ... Tant pis pour moi, j'aurais dû me bouger avant pour l'avoir celui-là ! Mais elle me connaissait parfaitement pour savoir que moi et les sentiments c'était très difficile ! Un sourire aux lèvres pendant que je l'a faisais rire je me disais qu'il n'y avait pas meilleur moment pour lui raconter mes propres histoires malheureusement j'avouais que j'aimais parler de celles des autres mais que énumérer les miennes me montraient vraiment que j'en avais. Je ne voulais pas ouvrir les yeux. Une enfant avec des oeillères car après tout, mes actes avaient des conséquences et pouvaient blésser certaines personnes. C'est pourquoi en parler aujourd'hui représentait beaucoup. Cela me montrait que dans ma petite vie parfaite j'avais encore fauter mais cette fois-ci d'une toute autre manière. J'éprouvais des sentiments. Et pas pour n'importe qui c'était bien là le problème. J'eus un sourire à la remarque de Marni qui semblait bien pertinente dans ce genre de moment. Je ne pus m'empêcher de rougir, eus un sourire gêné et ne pus m'empêcher de me mordiller la lèvre inférieur. Bon quand faut y aller faut y aller. Episode Mavis, depuis nos retrouvailles, j'essaie de le récupérer et de voir s'il y a possibilité de retrouver un "nous" si jamais il y a déjà eu un "nous". Ok,vu mon expression, elle était certaine que ce n'était pas tout car après tout cette partie était charmante et pleine de bonnes attentions finalement ! La chute arrivait, propice à me cacher la tête sous la table. J'ai couché avec Casey. Voila, la bombe était sortie. Il fallait le dire que aussi mon idée de jouer les faux couples devant les photographes pour faire croire à mes parents que je sortais de nouveau avec le beau et jeune Morello avait été une sottise. Cela avait raviver de vieux sentiments qu'on avait enfouit pour devenir les meilleurs amis du monde. A croire qu'ils n'étaient pas si bien enfouies. Et quand je disais coucher, j'avais l'impression que c'était faux. Ça n'avait pas été que du sexe entre nous, il y avait eu plus, bien plus. Je crois que ... Ce n'était pas une connerie comme les autres. Disons que la nuit fut géniale mais j'ai l'impression que je vais perdre les deux et je n'ai aucune envie de perdre Mavis. je le regretterais toujours et je ne veux pas perdre l'amitié de Casey avec ce qui est en train de se passer entre nous. Pourquoi je pensais déjà à perdre Casey ? Mais non, ce n'était qu'une connerie entre ami voyons, tout le monde en faisait, il n'y avait rien de plus, je me faisais des films. Mais c'était rien hein, juste une faiblesse d'une soirée ! Mah oui ma fille x)

we do not change a duo that works ♫ MARNI-LAY. STEVENSEN & LEO-ALISSON WOOBLEFORTH Amoureuse ? C’était un mot qui me faisait bien peur. A vrai dire, je ne comptais pas l’être à nouveau. L’amour n’était pas un sentiment que je portais dans mon cœur. Je m’étais habituée à être seul depuis plusieurs mois, je n’avais pas besoin de cette faiblesse. Et pourtant, j’y étais clairement confrontée. Jorden pouvait être le genre d’homme à me faire tournée la tête. J’étais effrayée, un sentiment qui avait finit par disparaître et qui semblait revenir aujourd’hui. « Ne joue pas sur les mots, tu vois ce que je veux dire. Pour que ce mec ait réussit à ne pas te faire divorcer juste après que tu t’es découverte la bague au doigt c’est qu’il est bien différent. Tant mieux et… tant pis pour moi, j’aurais dû me bouger avant pour l’avoir celui-là ! » j’étais obligée de rire à ce qu’elle venait de me dire. A vrai dire, elle n’avait pas tord après tout j’étais toujours mariée. Toujours rattacher à lui, en quelques part j’espérais quelques choses. Et bizarre, je n’avais nullement envie de le voir avec une autre fille. Naaaaaaah naaaaaaaah. J’eu un sourire et finis par lui dire : « troooooooooop tard blondasse » en rigolant et en la provoquant un peu même si je savais pertinemment qu’elle devait elle aussi avoir son lot de beau gosse. Léo savait choisir les hommes et je ne m’inquiétais absolument pas pour cela. J’étais néanmoins curieuse de savoir ce qu’il avait bien pu se passer dans la vie mouvementé de ma petite Léo. Je l’observais et sans avoir ce qu’elle allait dire, je savais qu’il se passait un truc. Elle rougissait et avait ce sourire gêner que je connaissais bien puisque j’avais le même. « Episode Mavis, depuis nos retrouvailles, j’essaie de le récupérer et de voir s’il y a possibilité de retrouver un « nous » si jamais il y a déjà eu un « nous » ». Je lui fis un petit regard sachant très qu’il y avait quelques choses d’autres derrière tout cela. Je la laissais parler. « J’ai couché avec Casey ». WHAAAAATTT ? J’avais l’impression d’avoir louper pas mal d’épisode moi aussi. Mais bizarrement j’eu un sourire au lèvre. Casey était canon fallait l’avouer et Mavis l’était tout autant. Elle avait pas chaumé la poulette. « il semblerait que tu sois toi aussi dans la merde » aaah vrai dire je ne connaissais pas Casey ni même Mavis. « Je crois que… ce n’était pas une connerie comme les autres. Disons que la nuit fut géniale mais j’ai l’impression que je vais perdre les deux et je n’ai aucune envie de perdre Mavis. Je le regretterais toujours et je ne veux pas perdre l’amitié de Casey avec ce qui est en train de se passer entre nous. » Je fronçais les sourcils, c’était assez étrange. « Ma biche, je crois que tu es éprise de deux mec en même temps » c’était parfaitement faisable et en voyant sa situation elle semblait tenir à ses deux prétendant. « Je vais te poser une question, qui es que tu préfères ? Avec qui tu te sens le mieux ? » Je la regardais avec mon petit regard, vous savez le regard qui dit allllllllllllllez diiiit moi tout. Elle ajouta à nouveau « Mais c’était rien hein, juste une faiblesse d’une soirée » je me mis à sourire d’avantage et lui fit : « ouiiiiiiii et que tu retenterais bien ? Non  »