EBONY&ANDREW .: L'amitié c'est un seul esprit dans deux corps

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Drew n'avait pas de limite et dans certains cas il pouvait vraiment passer pour un enfant, un enfant de 8 ans. Vous savez le genre d'enfant qui vous prend la tête jusqu'à que vous lâchiez l'affaire, le genre de gamin qui quand vous lui dites non, dit oui jusqu'à que vous arrêtiez de dire non. Et bien lui c'est exactement la même chose, puissance mille. Un adulte on attend souvent de lui un minimum de maturité et bien pour Drew elle a dû sonner à la porte et voyant que personne venaient ouvrir elle s'est fait la mâle. Drew pour avoir le dernier mot peut vous marteler la même chose durant des semaines, voir même des mois. Alors pour le moment il n'avait pas encore trouvé de personne assez fou ou assez con pour lui tenir tête sans jamais flancher. Parfois Bony prenait ce rôle, mais cela ne durait jamais très longtemps. Tenace oui, mais dès qu'il y avait un petit peu de difficultés elle se lassait rapidement. La plupart du temps elle lui sauter dessus essayant de lui mettre quelques coups, le griffer voir même le mordre. Une vraie tigresse la petite brune, quand elle ne faisait pas ça elle l'ignorait, chose rare car tout comme Drew Ebony n'a pas sa langue dans sa poche. Mais ce qui vendait le plus de rêve au beau Walton, c'est quand elle lui faisait un bon gros doigt d'honneur de derrière les fagueaux. Allez savoir pourquoi il ne pouvait jamais se retenir de fondre en pleure, de rire bien sûr. La voir elle toute sérieuse, visage fermé levant son doigt assez haut pour qu'il le voit était une image qu'il adorait voir. Ce soir il y avait le droit une nouvelle fois et ne pu encore une fois s'empêcher de rire. Prenant ensuite son doigt pour le lécher et le mettre dans sa bouche, la provocation était la chose préférée de Drew. Tourner en dérision la plupart des choses qu'on lui faisait subir en était une autre et ça rendait fou son entourage.

L'hôpital qui ce fou de la charité, je pense que c'est la drogue qui nous monte au cerveau. Puis quand je te vois je me dis que tu en consommes bien plus que moi, franchement tu pourrais partager quand je te le demande.

Drew était soft, mais restait toujours le même. Elle et lui c'était comme ça, je te taquine, je te lance des pics, mais je t'aime vraiment plus que tout. Elle était sa béquille et en devenant ça première petite amie depuis un bout de temps elle prenait une nouvelle envergure. Au début pas forcement à l'aise, ils commençaient tout deux à être vraiment eux-même. Il n'avait qu'une envie, la prendre dans ses bras pour ensuite lui balancer des conneries à la figure. Tendresse, bisous oui, mais hors de question de tomber dans le banal qui ne leur ressemblait pas. La preuve ils avaient beau être un minimum jaloux, alors qu'à la base ils ne pensaient pas l'être, ils font tout pour le cacher. Plus ou moins bien puisque l'on ressent toute cette jalousie ambiante, le fait de tâter le terrain pour que l'autre lâche les informations sans qu'on ne le lui demande. Quand elle revint une nouvelle fois sur son voyage à New York il fut un peu heureux, premièrement parce qu'elle avait totalement arrêté de parler de son voyage à Monaco. Il n'avait pas fait de conneries, mais avait très certainement dépassés des limites qu'elle aurait pu lui fixer. Un jacuzzi avec Eileen ? Bien sûr, en tout bien tout en honneur. Même si plusieurs fois elle avait essayé de l'embrasser comme ils en avaient l'habitude quand ils se trouvaient ailleurs que la ville ou ils vivaient.

De la simple jalousie, elles ne sont pas snobs, elles sont un peu plus sophistiqué que les nanas de Berkeley ça c'est sur. Après tu as entièrement raison, là-bas les filles c'est le top. Elles n'ont pas besoin que tu leur fasses croire des conneries, elle nous traite comme on les traites des mouchoirs et ça c'est le pied.

Encore une fois, Drew n'avait certainement pas pensé qu'il parlait à sa petite amie, ou peut être qu'il n'y prêtait pas attention. La faire rager c'était aussi un jeu, la rendre jaloux était quelque chose qu'il aimerait. Il avait beau dire ce qu'il voulait, voir une fille jalouse quand il s'agit de lui pouvait lui faire plaisir, grandement plaisir même. Enfin le jeu tourna très rapidement dans l'autre sens, la jeune femme commença a parler de Maël. Enfin allez-vous dire, mais Drew qui au début voulait qu'elle en parle craignait maintenant le pire. Il tentait énormément à elle. Le fait qu'elle puisse lui échapper ou lui faire un coup dans le dos lui faisait donc plus peur qu'il ne l'avait avoué ou qu'il ne se l'était avoué.

Mais tout de suite, jacuzzi ne veut pas dire cochonnerie, t'es un peu limité quand même dans les arguments et dans la façon de voir.

Il marqua une pause et lança comme si de rien n'était.

Maël ?

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EBONY&ANDREW

Bien sûr, je savais parfaitement que mon doigt que je lui tendais pour lui montrer qu'il pouvait toujours courir pour que je continue dans son petit jeu, venait d'échouer dans sa tentative de lui faire comprendre qu'il semblait insignifiant pour moi avec ses paroles. Il ne semblait pas mortifier, il semblait en rire et prenait un malin plaisir à me montrer qu'il se fichait bien de toutes les crasses que je pouvais lui faire. Après tout, il tournait toujours tout en dérision et malheureusement pour moi, son minois charmant m'empêchais de le rejeter vulgairement comme j'aurais pu le faire avec nombre d'autres personnes. Il me faisait craquer le Andrew mais après tout, je l'avais bien cherché aussi, si j'avais voulu m'éloigner de ce que je ressentais pour lui, cela faisait bien longtemps qu'on ne serait plus amis ! Il avait pris alors mon doigts et l'avait mis dans sa bouche. J'aurais bien pu essayer de refuser ce geste mais il me décontenançait toujours avec ce genre d'agissements. Je refoula les idées qui me passaient alors par la tête pendant que son regard montrait bien qu'il était bien plus joueur que moi à certains moments et me rendis ma main après son petit jeu pervers. Je lui aurais bien sauté dessus si seulement je n'avais pas voulu lui prouver que ce genre de choses ne m'affectais en rien et qu'il pouvait bien jouer, il serait alors tout seul. Mouais, à d'autres ... T'es vraiment atteint mon pauvre !Atteint et pourtant ça marchait je n'avais qu'une envie lui enlever ses vêtements. Mais je contins les pulsions qui fourmillaient en moi pour me consacrer sur le reste de ses paroles. Malgré ça, cela me surprit de voir avec quelle manière une attraction envers quelqu'un pouvait être la plus dure des punitions. Je me voyais dévorer du regard ses lèvres qui s'agitait pendant qu'il critiquait ma manière d'être apparemment égoïste pour ce qui était de partager les substances que visiblement je ne lui prêtais pas à certains moments. C'était l'hôpital qui se foutait de la charité là ! Oubliant alors d'un coup les idées plutôt perverses qui m'étaient passées par la tête je haussai des sourcils décontenancés pour répliquer sur des paroles qui se voulaient abjectes. J'espère que tu te fous de moi. Combien de fois tu m'as dis, oui Bonny pas de soucis, je te revaudrais ça, que tu partes avec ce qui me reste à la maison pas de soucis et puis finalement, tu reviens t'as plus rien du tout, je me retrouve sans rien à cause de monsieur et bien sûr, ça ne te viens jamais à l'idée de me dépanner de ton côté ! Ha les joies des drogues, on en connaissait un rayon. Nous on était pas le genre à se dépanner des clopes comme les gens normaux et à se dépanner des paquets de cigarette quand l'autre n'avait plus un rond ! Non non, le couple bien mythique avec la dealeuse et un des plus gros fêtards de l'école. Alors forcément quand c'était ce genre de couple, on pouvait imaginer que les disputes ça n'allait pas vraiment être une question de ménage ou autre. Non bien sûr, ça allait porter sur combien de joints chacun avaient pris à l'autre et si c'était équitable ! Bien sûr ça ne l'était jamais, on savait très bien que j'avais l'une des meilleures cams de l'université, c'était indéniable ! Et puis je sentis de suite les petites tensions revenir pendant que j'essayais de lui clouer le bec sur ma possible manière d'être radine envers lui. Il parlait des nex yorkaises d'une manière dont je ne pouvais être jalouse. Elles n'étaient pas moi. Drew les voyaient comme des filles à foutre dans un lit et avec qui il pouvait s'amuser dès qu'il voulait. Des trous quoi. Il faisait la différence entre elles et moi. C'est pourquoi je n'étais jamais jalouses de la manière dont il pouvait en parler comme il n'était pas censé être jaloux des mecs avec qui je jouais juste pour mon bon plaisir. C'était des objets pour moi, rien de plus. Sauf que là, on parlait de mon voyage alors que je n'avais qu'une envie de savoir qui était cette epsilon pour lui et si les choses s'étaient passées bien différemment de ce que j'espérais imaginer. Mais alors que je lui avais demandé il m'avait refermer la bouche par une simple phrase autoritaire. Merde, pourtant si moi je parlais, lui aussi était obligé ! Oui, mais j'aime la difficulté, si on peut jouer avec elles aussi facilement, je ne vois pas l'intérêt. Lui les mettait dans son lit et moi je m'amusais à leurs dépends; C'était nos spécialités et je devais dire que ça me faisait bien rire. Nous étions deux joueurs à notre manière et cela m'avait fait longtemps rire lorsqu'on se racontait nos soirées. En général, pour lui, les choses finissaient toujours de la même façon. Moi ça dépendait de la manière dont j'avais pu être inspiré. Tu le vois comme tu veux ! Et oui Maël, celui avec qui je t'ai vu plusieurs fois trainer avec ! Tu vas pas me dire que tu le connais pas ! Il avait tendu dès que je prononçais son prénom et peut-être bien qu'il pouvait être jaloux de mon frère mais cela me semblait vraiment bizarre à ce moment-là. Pourtant je sentais que ça n'allait pas vraiment et je commençais à me demander si une seule fois il avait été question que je lui parle du retour familiale comme moïse avec les hébreux. Mais si il n'était pas au courant, tant mieux, on serait égalité niveau jalousie pour le coup ! Mais et toi, tu m'as toujours pas raconté ! a son tour maintenant...

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» Un esprit sain dans un corps sain.
» J'ai deux passions dans la vie : l'art et faire chier mon monde. Et ce qui est cool, c'est que j'ai un don pour les deux !
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» Seul contre deux femmes, c'est déloyale!!!! [Konomi, Ayane]
» davis&lola .Tout seul on va vite, à deux on va loin.

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