Toi ici à cette heure? [pv Emy]

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Que de changement dans la vie de Stephen depuis plus d’un an désormais, sa carrière naissante de peintre, sa vie avec Emy, cette future paternité en perspective… Et bien que le couple se montrait de manière générale, soudé dans l’effort, il y avait tout de même eut quelques points de désaccord, en réalité, il y avait toujours eut des points de désaccord sur le sujet « grossesse » en grande partie dûe aux peurs de l’un et de l’autre… Steph ne voulait pas garder cet enfant au départ, non pas parce qu’il n’en voulait pas, mais parce qu’il avait trop peur pour la santé d’Emy, voyant qu’elle ne céderait pas, il s’était résigné et puis dans le fond, il devait bien qu’il espérait en réalité voir grandir ce petit être. Puis il y avait eut ce voyage en Italie, une pure folie selon le peintre, le médecin avait été claire, Emy ne devait pas forcer, et aller se rendre de l’autre coté de l’Atlantique n’était pas le meilleure moyen de se ménager, mais une fois de plus, la brunette n’en avait fait qu’à sa tête, le peintre, plutôt que de tomber dans la crise de colère, avait cette fois ci tout bonnement décider de bouder jusqu’au départ de la belle afin de montrer son désaccord, puis lorsqu’elle rentra, le bonheur de la retrouver avait tout de même pris le dessus sur le reste, et elle semblait en bonne santé et c’était bien là l’essentiel…
Le brun ténébreux avait été heureux de retrouver sa belle… pendant au moins quatre jours… Quelques mois plus tôt, le peintre avait eut un aperçu des conséquence d’une grossesse sur le comportement d’une femme en cotoyant Sydney, mais cette fois, il vivait le phénomène au quotidien, ou presque avec Emy, car ils ne dormaient pas tous les soirs ensemble, comme la plupart des étudiants, ils étaient retourné vivre au campus par solidarité et ce n’était peut être pas plus mal finalement, du moins, c’était ce que pensait égoïstement le peintre en ce moment, il aimait Emy, il l’aimait éperduement, mais entre ses envies en tout genre et parfois déraisonnable et à n’importe quel moment, ses changements d’humeurs incompréhensible, les passages du rire aux larmes et inversement en l’espace de quelques secondes, la cadence commençait à devenir un peu trop infernale au gout de notre peintre, ainsi, il appréciait par moment de dormir seul dans un lit… bien que dans ce dortoir, il y avait toujours du monde non loin de lui, et ça aussi c’était un problème lorsque comme Stephen, on aimait la solitude…
Ce soir, il avait tout prévue, la corbeille à fruit d’Emy était pleine, il y avait également un petit stock de fraise, naturelle… et tagada, et il lui avait fait le plein de sucrerie, si avec cela, elle ne tenait pas la nuit… Bien que tout cela ne comblait peut être pas toutes les envies… bref, lui s’était organiser une petite soirée peinture comme il les aimait, une toile, du silence… que c’était bon… il ne s’était pas réfugié à la galerie cette fois mais tout simplement dans une salle de dessin du campus dont il avait les clés. Le visage d’un étudiant lambda était en train de prendre forme alors qu’un étau était en train de lui serrer le crâne pendant qu’il lisait, comme souvent c’était sombre, un peu gore même, mais très symbolique de ce que peut être la vie étudiante parfois…
Alors qu’il posa un instant son pinceau, il prit sa bouteille de bière qui était posé non loin de lui, de l’alcool dans l’université ? Ben quoi… personne ne viendrait l’importuner ici ce soir non ? D’ailleurs, ce n’était pas la seule infraction qu’il avait commit ce soir…

-on est pas bien là ??? Entre homme !!!

Lança t’il regardant cyclope, son chat qu’il avait amener ici, il avait de plus en plus de mal à peindre sans ce vieux chat à ses cotés, le bruit de ses petits ronflements sonnait comme une petite berceuse qui avait le dont d’apaiser le peintre, mais alors qu’il posait sa bière, il entendit tout à coup quelqu’un s’éclaircir la gorge, et en connaisseur, il remarqua tout de suite que cet éclaircissement de gorge était d’origine féminine…

Invité

Et bien me revoilà de retour d’Italie, ou tout s’était passé à merveille, surtout pour les yeux, un pays magnifique ou je n’avais jamais mis les pieds étant proche de ma terre natale qui plus est. Un pays rempli de richesse tant dans leur Art que dans les mets culinaires ! Un régal en tout point mais j’étais toutefois ravie de rentrer à San Francisco. Cela faisait maintenant quelques jours et j’en avais profité pour rejoindre Stephen à son Dortoir amis il ne semblait pas y être présent d’après l’un de ses colocataires qui m’indiqua même où il pouvait se trouvait ce soir. Sans oublier qu’avant mon départ Stephen avait préféré bouder dans son coin pour me montrer son désaccord suite à mon voyage mais rien n’y avait fait j’avais pris l’avion avec mes compères.

Marchant donc jusqu’au lieu indiqué, une salle dont il avait toujours eu les clefs, j’eus un léger sourire aux lèvres avant d’enclencher pour me retrouver dans cette pièce où il se trouvait effectivement devant une toile comme à son habitude, seul en compagnie de Cyclope. Etonnant je ne savais pas qu’il avait emmené son animal borgne avec lui, surtout ici ?! Ne m’ayant pas vu ni entendu sur l’instant je l’entendis parler à son compagnon de ce soir. Me raclant quelques peu la gorge pour signaler ma présence, une fois sa bière déposée non loin de lui, il tourna enfin la tête en ma direction.

« J’espère ne pas déranger ? »

Puis refermant la porte derrière moi je m’avançais doucement vers mon bel et tendre, lui déposant un baiser sur le front avant de poser les yeux sur cette fameuse toile, toujours aussi tordue, pensais-je mais n’était-ce pas ce qui avait fait la différence parmi d’autres peintres du moment. Il était toujours aussi séduisant derrière le chevalet à peindre, sérieux et si mystérieux que cela éveilla en moi un curieux sentiment, une envie plus soutenue cette fois, j’avais envie qu’il lâche ses pinceaux pour se préoccuper de moi, surtout après tout ce temps séparé, ne vivant plus sous le même toit excepté les weekends et encore pour le peu de temps qu’on se voyait, allant à la galerie même les dimanches matin, que l’on ne faisait que se croiser.
Un bras sur ses épaules, je tentais de comprendre le sens de son futur tableau. Un jeune homme, avec cet étau lui serrant le crane, que parfois je me demandais ou Stephen allait chercher tout cela. Puis le regardant, je fis une petite moue.

« Tu viens ici pour peindre ou pour t’enfiler de la bière ? »Dis-je en souriant doucement avant de faire quelques pas dans la salle jetant un œil à d’autres dessins, peintures entreposées ici et là au mur ou encore sur des chevalets faites par d’autres élèves. « Certains ont l’air doué mais d’autres sont plutôt …évasifs… mais dis-moi… »Dis-je tout en faisant le tour de la pièce jusqu’à revenir à la porte ou je fis un tour de clé, avant de m’avancer à pas de velours vers mon fiancé.

« Tu pourrais peut-être faire une pause…et puis comme ça j’aurais l’impression que tu as cessé de faire la tête depuis mon départ…une réconciliation ajoutée à cela une touche d’interdit… »

Je savais qu’il n’était pas contre ce genre de chose, prendre du bon temps et puis nous étions seuls, sans compter le chat, un détail …à cette heure les élèves étaient tous ailleurs que dans les salles de cours, dormant pour certains, trainant les bars pour d’autres…Qu’arrivant à hauteur de mon ténébreux peindre, me mettant face à lui, son visage en main je déposais mes lèvres sur les siennes pour un baiser des plus sensuels et aimant… tout en me rapprochant contre lui, et puis quoi de plus normal, nous étions fiancés, j’étais enceinte de l’homme que j’aimais, même s’il n’avait pas partagé ma décision de départ de tenter cette grossesse, et puis cette distance passée n’avait fait que grandir mon désir de le sentir encore plus proche corporellement, nos nuits me manquaient, son odeur, son goût, nos câlins, nos moments à deux tout simplement….Je devenais quelques peu plus oppressante…et sentais mon cœur battre la chamade…J’étais amoureuse plus que jamais…même si j’espérais que plus rien ne viendrais contrefaire nos premiers jours de retrouvailles….

Invité

Stephen ne s’attendait absolument pas à trouver sa jolie brune ici à cette heure, pensant qu’elle serait déjà couché à se reposer ou à manger des tas de cochonnerie qu’elle aimait avoir habituellement près de son lit, un petit pêché mignon de la brunette. Mais celle qui venait de s’éclaircir la gorge derrière lui alors qu’il ne l’avait absolument pas vu arriver était belle et bien celle qui portait en elle, l’embryon de sa future progéniture. Il avait été rétiscent en départ, par crainte, mais il avait désormais, plus que jamais envie de le voir naitre !
Le peintre, en ce moment, comme souvent d’ailleurs, avait besoin de calme de tranquillité, mais il n’allait pas soupirer en voyant sa belle Emy dans ses lieux, il venait de se retourner et lui adressa un chaleureux sourire, du genre qu’il n’adressait qu’à elle. Son ventre s’était bien arrondi et désormais, il ne devait plus lui être possible de cacher sa grossesse, elle n’en était pas moins belle pour autant, le peintre la trouvait même rayonnante, et il y avait aussi un coté étrange à la voir ainsi, disons que cela changeait de l’image de la future femme d’affaire dynamique qu’elle avait toujours renvoyé jusqu’alors, cette allure de femme enceinte, lui donnait même un coté apaisant qui n’avait rien de désagréable, le peintre la regarda quelque peu amoureusement, bien que la surprise devait aussi se lire sur son visage, un peu comme s’il avait été prit la main dans le sac

-Emy… Qu’est ce que tu fais ici tu n’est pas couchée ?

Et oui, toujours cette bienveillance du peintre vis-à-vis d’elle, car bien qu’il avait parfois besoin d’air, il ne cessait jamais de veiller plus ou moins discrètement sur elle, s’assurant qu’elle ne se fatigue pas trop, qu’elle ne se mette pas en danger, cette même bienveillance qu’Emy avait fini par trouver pesante après son autogrèfe…
Il se tourna ensuite à nouveau vers son tableau, voulant s’assurer qu’il avait terminer de peindre ce petit détail en cour, il n’aimait pas se stopper en cour de route sans avoir achever au moins une partie de ce qu’il peignait, puis il sentit les mains d’Emy sur ses épaules, regardant cette toile, non loin d’être achevée d’ailleurs, il se tourna vers elle, lui caressant le ventre avec tendresse avant de déposer à son tour un baiser sur ses lèvres…

-les deux mon capitaine

Répondit il, à savoir s’il était là pour peindre ou pour s’enfiler des bières… Voyant que quelque chose ne lui convenait pas dans ce qu’il venait de peindre, il reprit alors son pinceau afin de rectifier un peu la chose, alors que du coin de l’œil, il remarqua Emy qui marchait dans la pièce, observant d’autres peintures

-oui certains se débrouillent bien, mais beaucoup se bornent un peu trop à suivre certains codes si biens qu’ils en oublient d’être inspirés…

Commenta t’il, en peinture, comme pour le reste, Stephen était plutôt adepte de ce qui sortait des sentiers battus…
Il se remit alors à peindre, voulant que ce qu’il avait commencé soit un minimum abouti avant d’éventuellement poser les pinceaux, mais au bout de quelques petites minutes, il fronça les sourcils en entendant ce petit déclic, celle de cette porte qui se ferme à clé, il se tourna alors vers Emy, lui lançant un regard interrogative, visiblement, aller se reposer ne faisait pas partie des plans de la belle, du moins, pas à court terme. Il la regarda alors s’approcher de lui, à pas de velours, parvenant à être des plus sensuelle malgré sa grossesse, il connaissait ce regard, ce regard voulant dire « j’ai envie de toi et maintenant », bien sur, il n’était pas insensible à son charme, notamment avec cette robe ample qui n’avait rien d’une robe de soirée, mais qu’elle portait à merveille, d’un petit sourire, il la laissa se coller à lui et l’embrasser, amoureusement, sensuellement, baiser auquel il répondit, comment y résister…
Stephen appréciait grandement ce baiser, la belle lui faisant toujours autant d’effet, mais il se sentait fatigué et peu motivé pour aller plus loin que ce délicieux baisé, bien que cette chose qu’il avait légèrement en dessous de la ceinture et que les femmes n’avaient pas, ne semblait pas réfractaire à ce que la brunette semblait suggérer comme manière de passer cette soirée, il se sentait déjà réagir, oui, elle lui faisait bel et bien de l’effet et de plus, cette situation au gout d’interdit était tout à fait le genre de chose qui pouvait l’exciter, mais autre chose bloquait le peintre, ce qu’elle portait dans son ventre… Ce n’était pas l’aspect, il la trouvait particulièrement séduisante, mais disons qu’il avait l’habitude, d’être tendre, mais aussi, généralement… plus virulent durant l’acte… Bref, il avait peur de mal faire, de faire quelque chose de mauvais pour le bébé, il savait qu’être enceinte n’empêchait pas de faire l’amour, mais tout de même, il avait des crainte, comme une peur de faire de la « casse », c’était sans doute idiot, mais il ne s’était jamais retrouvé dans cette situation. Malgré tout, il répondit favorablement à cette idée de « pause »

-maintenant que tu es là, tu as raison autant que je m’occupe de toi !

Il lui adressa un petit sourire joueur, lui mordillant légèrement la lèvre, puis il senti soudainement un petit frisson, une légère brise d’air effleurant l’un de ses bras nus, portant un t-shirt noir sans manche, ses deux bras étaient dénudés, quelques minutes plus tôt, il avait entre ouvert la fenêtre ayant la flemme de descendre pour aller fumer, mais en cette période, l’air était plutôt frai, il sauta alors sur l’occasion, il lui frotta les bras avant de demander

-tu n’as pas froid ? Attend…

Il se décolla alors d’elle, puis il alla fermer la fenêtre et il se tourna à nouveau vers elle, avec une légère nervosité, essayant de gagner encore un peu de temps…

-tu es radieuse en tout cas

[i]Lui dit il en lui souriant, compliment sincère, plus que sincère même, mais il resta à sa place pour le moment…[ /i]

Invité

Surpris et prit la main dans le sac gentiment d’ailleurs, qu’il me posa une question contrariante ! Je n’étais ni handicapée, ni importante, alors pourquoi devrais-je aller me coucher à l’heure des poules ?
« Non comme tu peux le voir j’avais envie de circuler un peu dans les couloirs du campus. Et puis on ne voit plus beaucoup ces temps derniers, tu me manquais c’est tout. » Je fis donc le tour de la pièce pour regarder ces jeunes talents en Art, il y avait pour certains des évidences positives ou négatives mais on se fiait généralement au coup de pinceau. Certains n’avaient pas encore trouvé leur « style » mais cela viendrait avec le temps étant les œuvres de première année. Quelle était lointaine mon entrée ici, regardez-moi donc, dernière année, déjà un pied dans le monde des affaires, pratiquant le théâtre bien que moins désormais, allant probablement encore me faire taper sur les doigts par Sir Logan, le Grand ! et le mannequinat enfin toutes ses passions que je devais mettre de côté d’ici peu…Garder le lit, très peu pour moi, ne rien faire encore moins, mais ce soir je voulais une fois de plus faire à ma guise et rendre une petite visite surprise à mon cher et ténébreux peintre tatoué ! Toujours aussi sexy et avec mes envies surtout sexuelles avouons-le, j’avais ce besoin de le retrouver pour me sentir en harmonie avec lui. La tentative fonctionnait plutôt bien non ?
« L’inspiration c’est un terme assez large de surcroit, chacun peut se sentir en chair de telle ou telle chose ce qui les motive au final »Allez comprendre mes paroles à double-sens, car moi aussi j’étais drôlement inspirée par Stephen. Cet air dur et appliqué sur son visage, et le gout de son baiser précédemment échangé…J’étais en réel manque de le sentir à mes côtés, de respirer son odeur, de ne plus partager son lit, mais lui ne semblait pas plus perturbé que cela d’ailleurs...Nos relation intimes étaient moins fréquentes, voir quasi inexistante mais ces petits mots eurent le don de me faire sourire, s’occuper de moi…avec de petits gestes envieux…mais là il se leva pour refermer la fenêtre laissée entrouverte, me demandant si je n’avais pas trop froid ???Bien sûr que non, j’étais en ébullition intérieure totale ! Me fuyait-il ? Avait-il peur de ce que j’étais devenue ? Ayant lu des rubriques sur le sujet afin de bien m’informer tant sur le rôle de la future mère et du futur père que sur leur émotions. Mais étonnamment je ne le sentais pas si réceptif que d’habitude. Etait-il toujours en colère ? On il m’en a rien semblé…Mais je ne comptai pas restée ainsi à ne rien faire ? Il ne s’attendait peut-être pas à ce que je sois aussi directe avec lui ? Que je l’ai surpris de la sorte si tardivement ? Mais le voyant non loin de la fenêtre et moi près du chevalet que son compliment me fit presque rire, non pas de ces mots prononcés mais de la façon dont il était tell un petit garçon apeuré…
« Merci…mais j’ai toujours un peu froid cela dit… »Alors que je m’approchais de lui à pas de velours une seconde fois…le regard persan, telle une lionne prête à bondir
« Tu pourrais me réchauffer, tu sais quelle frileuse je suis et puis tu as toujours chaud toi !» Tandis que je me collais de nouveau à lui, l’obligeant à se coller contre la dite fenêtre fermée dorénavant, un sourire en coin, alors que mes mains se posèrent sur ses flancs, remontant doucement jusqu’à son torse me faisant oppressante, sans le lâcher du regard, alors que mes mains redescendirent pour déboucler sa ceinture…alors que mes lèvres rejoignirent les siennes, doucement, plus sauvagement parfois que je n’avais pas tardé à lui ouvrir ce haut de pantalon bien trop gênant pour ma part…avant de passer chacune de mes mans sous son tee-shirt à manches courtes et puis personne ne pouvaient pénétrer dans les lieux alors pourquoi ne pas en profiter ?!
Entré deux baisers chastes je lui fis part de mes envies avec un naturel déconcertant telle une demande…
« Tu m’as tellement manqué…j’ai envie toi, là maintenant…mon petit Démon »Démon était un nom significatif lors de nos ébats, c’était comment dire ? Que je le désirais sans aucune retenue et être enceinte ne craignait rien de ce côté-là ayant même demandé à mon gynécologue, car nous aussi femmes enceintes avions des interrogations sur notre corps et tout ce qui s’y approchaient de père ou de loin ! Que c’était grandiose de pouvoir enfin être dans les bras de son homme surtout en pareilles circonstances…non ?

Invité

Stephen se sentait comme… prit au piège après qu’Emy avait fermé cette porte pour fondre sur lui comme une mente religieuse sur sa proie. Etre la proie de cette sublime brune n’était pas quelque chose que le peintre détestait, bien au contraire, il avait même souvent été très demandeur, mais aujourd’hui, il se sentait à la fois fatigué et perturbé par un certain nombre de chose, il ressentait le besoin de souffler, de se retrouver un peu, en s’isolant pour peintre par exemple, mais pour ce soir, cela semblait compromis, il fallait avouer qu’Emy avait des arguments, de très bons arguments même…
Puis après un langoureux baisé échangé, langoureux et chargé de sentiments, le peintre avait trouvé un petit échappatoire, en allant fermer cette fenêtre, mais cela était sans compter sur la volonter de la belle qui s’approchait à nouveau de lui, le brun tatoué se retrouva alors coincé entre la fenêtre et sa belle, subissant ses assaults, cédant à son baisé tout en l’enlaçant, il l’aimait, plus que quiconque, mais quelque chose le gênait…
Il senti se pentalon se dessérer peu à peu, il était totalement déboutonné, et il était désormais près à tomber alors que les mains de la belle se balladaient désormais sous son t-shirt, Stephen posait lui aussi ses mains sur elle, sur son dos notemment, mais restant peu entreprenant pour le moment.
Il entendit alors ces mots, assez cash finalement, elle avait envie de lui et pas seulement de tendresse, lorsqu’elle l’appelait démon, il savait parfaitement ce qu’elle attendait de lui, qu’il laisse sortir l’un de ses démons, le bon, celui qui pouvait être source de plaisir, aussi bien pour elle que pour lui. Entres ces baisés échangés, Stephen lâcha alors

-Emy… je suis un peu fatigué…

Mais un autre baisé reprit, puis le peintre se laissa quelque peu aller à une certaine fougue à son tour, le démon commençait à ressortir ? Sans dourte, d’ailleurs, il n’en resta pas là, il se décolla maintenant de cette fenêtre, puis, se prenant au jeu, pris dans son élan, il retourna la situation, prêt à plaquer Emy contre le mur, mais au dernier moment, il bloqua son geste, afin de ne pas la percuter contre ce mur, comme pour éviter le choc, il ne parvenait tout simplement pas à oublier ce qu’elle avait dans son ventre. Il marqua alors une petite pause en la regardant, puis il l’embrassa à nouveau avec envie, une envie qu’elle savait susciter chez lui, mieux que personne, mais… ce soir, il y avait bel et bien un « mais », il se décolla alors doucement de la jolie brune tout en la regardant un peu gêné

-Emy… attend… je…

Il marqua un instant de silence, la regardant dans les yeux, puis il regarda son ventre… et à nouveau ses yeux

-je…

Puis un nouveau blanc avant de finalement désigner son ventre

-je ne sais pas quoi faire avec ça !!! Et si je te plaque contre ce mur pour te faire l’amour sauvagement et que… j’appuis dessus !!! dans ces situations, j’y vais à l’instinct, je ne contrôle pas !!! Je… ne veus rien abîmer…

Dit il peut être un peu maladroitement, mais cela le perturbait réellement, le corps d’Emy changeait et cela le travaillait, non pas qu’il la trouvait moins désirante, ce n’était pas du tout le cas, elle lui plaisait toujours autant, mais pour une fois, il ne savait pas vraiment comment gérer la chose… Il lança alors à Emy un regard quelque peu perdu, clairement, il ne savait pas quoi faire…

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Une séparation des plus longues pour moi, ce voyage en Italie auquel Stephen ‘n’avait pas donné son accord, mais m’y laissant tout de même y aller, sachant à quel point je pouvais être têtue ! A mon retour je ne souhaitais qu’une chose, être avec lui et se retrouver en espérant que sa mauvaise humeur se soit envolée. Certes il n’était plus fâché, la preuve en était qu’il se laissait faire sous son envie désireuse de le sentir plus proche de moi encore, je le lui avais dit à haute voix, j’’avis envie de lui ! Des baisers échangés et des caresses, un pantalon perdant sa ceinture et des mains baladeuses qu’il se stoppa après une l’Egée étreinte à mon encontre. Mais je le réclamais, mon corps le réclamais ! Qu’y pouvais-je ? Savoir que l’on veut quelque chose, que c’est à sa portée et qu’on nous le refuse…et bien c’est frustrant ! Croyez-moi ! Il évoqua le fait d’être fatigué, certes, mais tout de même on venait à peine de se retrouver et puis nous étions seuls, d’habitude il ne reculait jamais devant ce genre d’initiative ! Le regardant quelques peu surprise sans toutefois lâcher le morceau, oui, oui, j’étais très coriace quand je le souhaitais, que les baisers reprirent encore plus intensément. Je le sentais venir peu à peu à moi, c’était si bon, si excitant et intense qu’au moment de son élan à ma plaquer contre le mur il se fit plus doux, me regardant et m’embrassant de nouveau. M’accrochant à son cou et relevant peu à peu son tee-shirt, mon souffle se laissant aller à s’entre couper, que de nouveau il se stoppa, me fixait gêné, un air que je lui connaissais que peu avant de me demander d’attendre ! Mais attendre quoi ?! Puis je suivis des yeux son regard, qui se porta sur mon ventre arrondi. Le regardant d’un air tendre et un sourire en coin, je le laissais s’exprimer…
« Tu ne vas rien abimer du tout et puis on fera attention, c’est pas une maladie ni un obstacle tu sais… »Dis-je sur un ton se voulant des plus rassurants.
« On ira doucement, sinon je peux toujours mener la danse ? Et toi tu n’auras qu’à savourer, qu’en dis-tu ? « Sur ce je le poussais en arrière afin qu’il trouve place sur son siège, étant face à lui, lui ôtant son tee-shirt, laissant apparaitre ses nombreux tatouages, ha il avait toujours cet effet sur moi, c’était si bon de le retrouver, surtout en ces circonstances, ou je n’avais envie que d’une seule chose, prendre un pied d’enfer, que me penchant document je fis glisser sa ceinture de son pantalon ouvert, avant de venir m’asseoir sur lui à califourchon, et ôtant ma longue robe étant en sous-vêtement à dentelles noir et violet, enceinte ne signifiait pas se laisser aller à porter de la lingerie moins sexy au contraire, on avait plus de formes autant les mettre ne valeur !
Puis approchant mes lèvres des siennes, sentant son envie sous la mienne, je m’oppressais tout contre lui, respirant son odeur, passant ma langue sur ses lèvres. Envieuse ah oui je l’étais ! Mon corps frissonnait à tel point que ma peau se hérissait, que des papillons vinrent me chatouiller le bas ventre et que mon envie se faisait de plus en plus grandissante !
« Stephen… »Murmurais-je à son oreille sans évoqué le terme "démon" afin de ne pas le faire se sentir oppressé mais voulant qu’il me fasse l’amour tout de même !

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Non ce n’était pas une maladie, mais quelque chose de terriblement nouveau et d’un peu perturbant pour le peintre, à bien des niveaux, il y avait cette grossesse à gérer, puis l’après auquel il pensait de plus en plus, avec hâte et inquiétude à la fois, bien sur, il avait lu des choses sur le sujet, sur internet notamment, il avait bien lu que les relations intimes étaient possible, mais le soucis avec le net, c’était que les avis et les théoris étaient nombreuses, comment savoir ce qui était les bonne exactement…
Il s’était alors reculé en laissant échapper ce qui le « bloquait », cet état de grossesse, lui-même, le fait de faire quelque chose de dangereux, bref, cela l’inhibait et prenait pour le moment le pas sur son envie, il avait alors ce regard inquiet qu’il ne prenait que rarement, la regardant dans les yeux, il écoutait alors religieusement ce que lui répondait, Emy, elle avait ce ton et ce calme qui ma fois contribuait à le rassurer quelque peu, y aller plus doucement ? Certes, la laisser mener la danse ?... Cela pouvait être tentant, il se laissa alors reculer jusqu’à ce siège, relativement confortable d’ailleurs, c’était tout bonnement celui réserver au professeur donnant des cours de dessin ici, tout en la regardant d’un léger sourire en coin, l’idée de passer du bon temps faisant néanmoins son chemin dans sa tête.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il se retrouva torse nu et sa ceinture abandonna son pantalon désormais totalement desserré, puis il observa ce délicieux spectacle de voir sa belle brune ôter sa robe alors qu’elle s’installait à califourchon sur lui, dans cette lingerie plutôt alléchante, il la regarda furtivement dans les yeux, mais une autre partie de son anatomie attirait son attention, cela il l’avait lu également, et il avait le plaisir de le constater de ses propres yeux et bientôt avec ses mains, sa poitrine avait bel et bien pris du volume !
Puis ils échangèrent un autre baisé, très passionné, le peintre caressait alors le dos de sa belle tout en fermant les yeux, savourant ce délicieux échangent, sentant son cœur battre, les sentiments rendant ce genre de moment bien plus fort, voilà une chose qu’il avait apprit avec elle, il s’enivrait de son parfum de la douceur de sa peau. Puis il frissonna en l’entendant lui murmurer son prénom à l’oreille, ce à quoi il répondit en chuchotant à la sienne

-tu m’as manqué

Passant sa main dans ses cheveux, il l’embrassa à nouveau toujours avec plus de passion alors que son autre main, glissait sur son dos jusqu’à dégrafer son soutien gorge d’un doigté habile, décollant ses lèvres des siennes, la regardant désormais avec beaucoup d’envie, sans oublier ces sentiments que l’on pouvait lire dans son regard, il baissait alors les bretelles de son soutien gorge jusqu’à pouvoir libérer cette partie de son anatomie qui attirait désormais son attention, cette partie qui avait changée et qu’il ressentait le besoin de redécouvrir ce qu’il fit d’abord de ses mains, les caressant en douceur tout en l’embrassant dans le cou, avant de venir y joindre sa bouche, sa langue… les savourant, comme les découvrant pour la première fois, puis il revint l’embrasser, avec plus de fougue, y mêlant sa langue, le genre de fougue qui annonçait que ce « démon » n’était pas si loin, il la caressait de toute part alors qu’elle était quasi nue, redécouvrant son corps avec délectation, un corps qui lui faisait plus d’effet que n’importe quel autre, enceinte ou pas. Décollant ses lèvres de quelques millimètre de celle de la jolie brune, il murmura alors d’une voie légèrement essouflée

-j’ai envie de toi…

Presqu’à la hâte, il baissa alors son pantalon et son boxer, puis il écarta quelque peu le tissu du dernier vêtement que portait Emy puis il entra, reprenant possession du corps de sa belle, la regardant droit dans les yeux, un regard plus intense que jamais alors qu’il bougeait en elle, d’abord en douceur, n’ayant de toute façon, dans cette position, pas la possibilité de faire de mouvements trop ample…

Invité

Je tentais de le rassurer et puis je pouvais comprendre que n’étant pas son corps mais bien le mien, quoi que différent désormais cela pouvait le rebuter par peur…Peur de ne pas savoir comment agir, non pas pour l’acte même, ne soyons pas bête à ce point, mais plutôt de ce que cela pourrait faire à ce bébé que je portais maintenant depuis cinq mois ! J’avais pris du poids, des formes et cela plaisait plutôt à mon cher et tendre tatoué qui se laisserait vite convaincre par mes arguments de choc !
Le poussant à s’installer confortablement il se laissa donc aller à ses envies, mon corps à demi nu le motivant fortement et j’en fus ravie d’ailleurs ! Ma poitrine abondante qu’il caressa de ses mains, un baiser échangé, tout en libérant mon buste, après avoir murmuré l’un et l’autre à l’oreille de sa moitié. Je pouvais lire en lui, son regard en disant long, qu’il savourait désormais ses deux collines qui se dressaient sous son touché, caresses de par ses mains, de ses lèvres, jusqu’à jouer du bout de sa langue ! Une excitation parfaite que j’allais obtenir ce que je désirais c’est-à-dire, lui, tout entier !
Le sentir se faire envahir de tant d’émotions et d’excitation surtout après ses mots qu’il venait de prononcer, que cela me fit frissonner jusqu’à ce que je le sente en moi, allant doucement et de façon intense tout comme son regard était porteur de tant d’attention et débordant d’amour, bougeant en moi, je l’aidais dans ses gestes, ou j’étais en bien meilleure posture que lui pour agir avant de retrouver le gout de ses lèvres en profitant pour le sentir en moi plus profondément, sachant qu’il ne prendrait pas le risque de faire l’amour avec plus de désinvolture. Me laissant aller à mes envies et sachant qu’il n’y avait aucun risque, je pris un rythme plus soutenu en bien de manières, l’embrassant plus fougueusement le voulant encore et encore plus fort que je ne voulais pas que cela aille trop vite non plus. Me levant et changeant de position, je me mis dos à lui, en m’installant de nouveau sur son objet du désir avant de prendre ses mains, afin qu’il les poses sur moi, sur ma poitrine, les malaxant reprenant presqu’aussitôt un rythme de long va et vient espérant ainsi qu’il laisserait une partie de son être prendre le dessus sans se soucier de ma grossesse, et au pire des cas, je saurais le lui dire si quelque chose n’allait pas, non ? Je l’incitais à continuer car à quoi bon prendre son pied si c’était pour son seul plaisir mais el connaissant fortement bien je ne pus me contenir de jouer gentiment avec lui, avec son corps que je savais comment le faire venir jusqu’au bout ce que je fis d’ailleurs, ne le lâchant, toujours ses mains sur ma poitrine et le souffle saccadé qu’au bout d’un moment t ce fut l’explosion totale ! Un pur délice, une envie assouvie, certes cela n’avait pas duré longtemps mais ce fut jouissif malgré tout ! Reprenant nos souffles et un sourire aux lèvres satisfaite de l’avoir au bout de l’extase de façon un peu sauvage ne lui laissant pas le choix devant se laisser aller à ses pulsions d’homme, je me levais et prit mes vêtements , me rhabillais à mon rythme avant d’aller me cherche un grand verre d’eau dans l’arrière salle de peinture en profitant pur me rafraichie par la même occasion. Revenant dans la sale après un moment, je lui lançais un sourire.
« Tu vois tu n’étais pas si fatigué que cela… »Je le taquinais puis me tournant vers lui une main posée sur mon ventre arrondi, je repris« Et bébé ce porte comme un charme ! Fais pas cette tête ! »Je l’avais piégé bel et bien comment un homme pouvait il se contenir avec une amante aussi persuasive ? Il m’avait qu’une solution s’abandonner corps et âme voilà tout et j’en étais très satisfaite ! Levant le verre à mes lèvres je fus partie dans une réflexion toute autre alors que Stephen emprunta le même chemin que moi sans cette arrière salle. Le prénom du bébé ? Les couleurs de la chambre, chose auxquelles je ne voulais pas encore penser mais pourtant il le faudrait non ? Et puis l’annonce à nos parents.
« Ton père es au courant pour nous, enfin j’veux dire pour mon état, d’avoir revêtu le costume de la grosse baleine Mobidick ? »Allez un peu d’humour histoire d’alléger l’un des sujets sensibles qu’était la famille….Et puis les fêtes approchaient …

Invité

Stephen n’avait finalement pas été si dur à convaincre, certes, il était un peu fatigué, il avait parfois besoin de sa tranquillité et de plus, il avait fait ce petit blocage par rapport à l’état d’Emy, mais il faut rappeler qu’ils n’avaient rien fait de puis pas mal de temps désormais et si l’on ajoutait à cela le coté parfois persuasif d’Emy, le peintre n’avait pu faire autrement que de s’incliner alors qu’il sentait déjà son plaisir grimper en flèche en sentant la jolie brune bouger sur lui tout e l’embrassant. Sans vouloir jouer les vantard, le peintre pouvait être… disons performant, mais là, cette excitation étant montée d’un coup, il avait le sentiment qu’il ne tiendrait pas des heures si cela continuait ainsi, surtout que la belle changea de position pour s’asseoir dos à lui, plus excitant, plus de sensation, le blocage s’était littéralement envolé et rapidement, il n’eut plus besoin qu’Emy le guide pour malaxer à sa guise ces délicieux mont de chair qui avait accélérer son désir quelques minutes plus tôt, alors en quelques mouvements de hanche bien senti, le peintre ne tarda pas à craquer, tentant tout de même de retarder l’échéance le plus possible afin de ne pas être le seul à vivre l’extase, c’était court, mais intense et si bon, alors que sa jolie brune se levait, Stephen resta un instant confortablement adosser au fauteuil, s’adonnant à son rituel d’après l’amour… fumer ? Non ! vous n’y êtes pas du tout, mais tout simplement se rincer l’œil en regardant sa dulcinée se lever nue ou presque, étant à son cinquième moi de grossesse, son corps changeait, mais elle n’en demeurait pas moins belle aux yeux du peintre. Puis alors qu’elle se servait un verre d’eau, il se leva à son tour et il releva son boxer et son jean qui gisait à ses pieds, pour les remettre, restant torse nu pour le moment alors qu’Emy revenant un verre d’eau à la main le taquinant un peu

-si je l’étais, crois moi, si je ne l’était pas, tu serais déjà allongé sur ce bureau pour le second round

Répondit le peintre d’un petit sourire en coin tout en rebouclant sa ceinture, écoutant la suite, il regarda alors le ventre de sa chère et tendre, puis il s’approcha d’elle, venant le caresser, puis il déposa un baisé au coin de ses lèvres

-mes peurs idiotes, mais il ne faut pas m’en vouloir, c’est un peu une première pour moi…

Concéda t’il avant de la suivre vers l’arrière salle de cette sale de cour, le prénom, il n’arrivait pas à avoir d’idée précise, la couleur de la chambre, pour ça il avait quelques idées, en même temps, en temps que peintre… Mais Emy lança un autre sujet, un peu du même ordre, mais plus sensible encore, la famille. Les relations père-fils chez les Winston-Carter avaient un peu évolué mais cela était encore balbutiant, il n’en était pas encore à aller voir des match de foot ensemble ou ce genre de chose… Il se mit à sourire lorsqu’Emy évoqua le costume de Moby-Dick

-pas encore, mais… on doit s’appeler demain, je pense qu’il faudrait mieux que je lui dise pour ne pas le laisser sur le fait accompli…

Dit il bien qu’il appréhendait ce moment, qu’en penserait il, le pensait il capable d’être père… Le peintre se perdit alors un peu dans ses pensées, il fallait dire qu’il n’avait pas le profil du père idéal et pourtant, il comptait bien faire de son mieux et déjouer tous les pronostiques. Puis sortant de ses pensées, il retourna la question

-et à ton père ? les fêtes arrivent et il le verra désormais…

Dit il rejetant un coup d’œil sur le ventre de la jeune femme, on ne pouvait plus louper qu’elle était enceinte désormais, il avait parlé comme si elle n’en avait pas parlé à son père, ce qu’il était d’ailleurs près à parier, la communication sur les sujets sensibles n’étant visiblement pas toujours le fort des Conway, il avait pu le constater, il connaissait bien cela, ce n’était pas mieux de son coté…

» (got a secret, can you keep it) + wralliopée
» Qu'est-ce-que tu peux bien faire ici à cette heure ? J&A
» A cette heure là ? Sur le toit ? Il nous étonnera toujours celui là [Tom]
» Une heure, deux heure, trois heure, vive la colle!![pv. Katie G. ]
» L'heure est aux explications...

Toi ici à cette heure? [pv Emy]

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