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L'heure est aux explications...

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MessageSujet: L''heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyDim 17 Mai - 21:25

    Quelle journée horripilante. Le levé avait été dur et tardif, les cours lents et agaçants, sans oublier le petit tour à la bibliothèque qui s'était avéré très « passionnant ». Pourtant le pire n'avaient pas été ces petites choses qui avaient rendus ce jour ensoleillé totalement nuageux, mais bel bien la partie de cache cache que William s'évertuait à faire avec Lubbily. Plusieurs semaines étaient passées depuis que le jeune pianiste avait refusé le baiser de la belle et qu'il avait fui comme un stupide lâche. Il se rendait compte aujourd'hui à quel point son comportement avait été digne d'un gamin de deux ans, et encore... Ce qui était des plus navrants c'est que William se rendait parfaitement compte que ce qu'il faisait était bête, pourtant il continuait, quelque chose le bloquait, quelque chose qui le prenait à la gorge, qui lui nouait son ventre à chaque fois qu'il repensait à cette nuit magique. Il ne voulait pas s'avouer à lui même qu'il avait aimé le moment ou ses lèvres avaient touchés celle de la jeune femme qui avait réussi l'exploit d'atteindre son cœur et son âme. Un cœur qui était depuis très, trop longtemps fermé au monde extérieur. William n'était peut être pas prêt à aimer véritablement quelqu'un,ou peut être qu'il ne voulait tout simplement pas. Jusque là, il avait vécu et pensé que pour lui seul sans jamais se soucier de l'opinion des autres. A présent que quelqu'un ressentait des sentiments forts pour lui, il devait se soucier d'elle, de ses opinions, de ces ressentiments, bref de ce qu'elle était.

    Ce matin-là, après que les premiers cours soient finis, William avait fait le point dans son esprit. Cette soirée le hantait depuis bien trop longtemps, il était temps pour lui de tourner la page, que celle-ci lui apporte quelque chose de positif ou non, il devait passer à autre chose. Après moultes discussions avec lui même, il en était arrivé à la décision de ne plus fuir, si son regard croisait à nouveau ceux de Lubbily, alors il affronterait la jeune femme, son jugement. Il serait sûrement gifler, mais cela ne serait pas grave car le pianiste avait décidé d'aller de l'avant. Dès que la sonnerie annonça la fin des cours, William s'engouffra dans la foule pour se diriger car la cafétéria, toujours rongé par cette nuit où il s'était comporté comme le dernier des abrutis. Comme tous ses étudiants qui défilaient, il attendait quelque chose de la vie. On s'obstinait à vouloir avoir quelque chose d'elle, mais est ce que ce n'est pas nous qui lui devons quelque chose en réalité? Traversant plusieurs couloirs et en évitant des personnes qu'il n'avait jamais vu auparavant, William arriva enfin dans l'imposant lieu ou se réunissait la majorité des étudiants pour manger tout en s''échangeant les derniers ragots de la journée.

    En arrivant dans le vaste réfectoire, William eut une hausse de courage pour regarder autour de lui s''il ne voyait pas la jeune femme qu'il avait planté au milieu d'une danse sans la rappeler, mais il ne vit personne et décida qu'il valait mieux pour lui de se trouver un coin tranquille ou personne ne viendrait le déranger et ou il pourrait manger sans être observé, ce qui allait être dur, ou pire...impossible! Il prit rapidement le premier menu qu'il vit, c'est à dire du poisson avec des pommes de terre...passionnant n'est ce pas ? De quoi ravir gossip girl derrière son écran. Bref, son repas entre les mains, le jeune homme prit la direction de la table la plus déserte qu'il voyait, dans on jargon cela voulait dire pas complètement pleine. Les gens qui y étaient assis ne semblaient totalement enthousiaste à l'idée de voir débarquer un inconnu à leur table, mais William ne les regarda même pas, il était trop concentré sur son poisson et ses pommes de terre hein ? Il était tellement impatient de goûter à son met qu'il fit tournoyer sa fourchette autour de la assiette plus d'une demi heure . Son ventre réclamait à manger mais son esprit, lui voulait Lubbily. Il n'entama même pas son assiette, préférant rester dans sa solitude la plus totale. Les gens qui se trouvaient à ses côtés devaient le prendre vraiment comme un type bizarre, si bien sûr ils se préoccupaient un temps soit peu de l'imbécile qui était assis juste à leurs côtés.

    La table se vidait peu à peu, ainsi que le réfectoire et William demeurait assis là, dans cette immense pièce bientôt vide. Il rigolait de lui tant il se trouvait pitoyable et pathétique, il ne regrettait même plus ce qui était arrivé, juste de ne pas être parti d'une autre manière, moins stupide, moins idiote. Lorsqu'il décida de se lever pour retourner dans le cours de sa vie totalement banal il aperçu un visage qui lui était familié, à tel point qu'il essayait de le fuit depuis plusieurs semaines, mais comme il se l'était juré, il fit face, la tête haute. Et même si son estomac criait famine, son cœur lui imposait au jeune pianiste de rester où il était, à attendre le jugement de celle qui pour la première fois avait fait battre cet organe vital d'une autre façon que celle pour vivre.
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MessageSujet: Re: L'heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyLun 18 Mai - 17:47

L'heure est aux explications... Ip8l7sxe0v L'heure est aux explications... 036b798cd

L&W
9h00 du matin. Lubbi arrivant à l'université en courant, en retard comme l'a plus part de son temps, mais vu que c'est une bonne éléve, les professeurs l'a laisse tranquille quand celle ci arrive un peu en retard à cause de son reveil assez tragique. Chaque matin c'est le meme parcours, elle met son reveil vers les 8h, et comme chaque matin, quand celui-ci commence à faire son bordel, Lubbi se jete dessus en le lancant quelque part dans sa chambre universitaire.Mais heureusement il est assez solide, du moindre assez pour pouvoir suporter le choc de chaque matin se retrouver face à face avec le sol dur et froid. C'etait la pauvre vie du reveil de Lubbi. Malgrés ce doux reveil, car de plus apres elle n'arrive pas à se rendormir, car le bordel commence dans les couloirs pres de sa chambre, tout le monde se met à courrir dans tout les sens, et c'est le moment pour Lubbi de se reveiller et de se lever. Une fois les deux jambes tenant debout, elle va vite, du moindre façon de parler, vers la douche. Elle prit une douche assez vite et elle se lava les cheveux, histoire de prendre encore plus son temps. Elle s'habilla comme elle le fait toujours en fourant sa tete dehors pour voir le temps qui fait et malheureusement ce matin, il faisait assez froid, mais sa aller surement se rechauffer vers le debut de l'apres midi. Une fois que celle-ci rentra sa tete de la fenetre, elle se dirigea doucement vers l'armoire se placant juste derriere elle. Elle prit un legging noir, se qu'elle faisait rarement, et elle prit un pull plus grand que pour elle, style L alors qu'elle fait du S à peine, historie de faire le style. Elle se secha les cheveux vite fait, ce qui veut dire que c'est cheveux sont en bataille et surtout à moitié mouillé encore. Elle a un nouveau sac, un sac qui se porte comme un sac à main, brun clair, Lubbi avait fait un peu de shopping avant de revenir dans ses bouquins. Elle fourra ses cahiers dans son sac, et elle commenca à courrir le long du chemin vers la salle de biologie. Elle eut cour comme tout les matins, avec les memes professeurs, et ses memes habitudes.


12h30 fin des cours du matins. Lubbi detestant aller au restaurant universitaire, ce qu'on appelle vulgairement une cantine, en etait malheureusement un peu obliger, car ayant son ventre qui criait famine et son degout de la cantine, elle devait quand meme satisfaire son ventre. De plus, elle y va toujours un peu vers la fin de l'heure de cantine, pour pouvoir y manger seule, du moindre presque seule, car oui il n'y a pas que elle qui attend la fin de l'heure pour y aller manger. Elle passa donc à ses casiers, avec ses cheveux secs à present mais toujours un peu en bataille, ce qui lui donnait un air quand meme craquant. Elle se dirigea vers le restaurant, et y entra, en ayant presque envie de ne plus respirer, car à peine entrer, elle sentit deja une odeur repugnante de poisson, et elle leva les yeux au ciel. Elle eut meme envie de vomir mais elle n'allait quand meme pas le faire en pleins milieu de cantine. Elle etait donc à mis parcours, tout le monde avait poser son regard sur elle, comme pratiquement tous les jours, c'etait devenue banale à ses yeux. Elle decida de se diriger vers les distributeurs, et de prendre une barre de chocolat, vu que le menu ne lui plaisait vraiment pas. Une fois sa barre de cereales au chocolat en main, elle se retourna et le choc apparut. Elle venait de voir l'homme qui lui faisait chavirer son coeur, celui qui avait refuser son baiser, celui qui se trouver pres d'elle. Elle cligna des yeux et baissa les yeux, elle marcha doucement en ne faisant pas attention où elle allait vraiment vu que ses yeux etaient un peu dans les vapes, et elle fonça donc dans un gars Iota qui avait donc un peu plus de muscles que la pauvre Lubbi, et qui l'a bouscula et celle-ci tomba à terre. Elle se releva doucement alors qu'elle entendait deja les rires des autres filles se moquant d'elle, elle baissa les yeux de peur de voir ce qui l'avait deçu.
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MessageSujet: Re: L'heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyLun 8 Juin - 14:35

    William était toujours pensif, il se demandait ce qu'il pourrait dire à la jeune fille qu'il avait très certainement blessé profondément. Le fait ne pas savoir ce qu'elle ressentait vraiment perturbait le pianiste, il s'en voulait de ne pas avoir été jusqu'au bout, mais il s'en voulait encore plus de ne pas savoir ce que pensait Lubbily de tout cela. Ces idées ne l'avaient que trop perturbées, à tel point qu'il était resté tout le long du déjeuner à fixer son plateau dans le vide, William ne s'était même pas rendu compte qu'il ne restait plus que très peu de personnes dans l'imposante salle, ses voisins de table avaient du penser qu'il était fou, et dans le fond, ils n'étaient peut être pas si loin de la réalité, réalité à laquelle il ne croyait point, ou à laquelle il ne voulait pas croire. Il se demandait chaque jour comment il avait fait pour changer si radicalement, la personne solitaire et sans amis qu'il était à son entrée à Berkeley lui semblait à des années lumières de ce qu'il était aujourd'hui, un gars que les gens appréciaient et qui devenaient de plus en plus sociables. C e changement l'effrayait, et pourtant il voyait en lui une évolution qui lui plaisait. Même s'il repoussait cette idée, il était aujourd'hui convaincu d'avoir fait le bon choix en quittant Londres. Et en y réfléchissant bien, Lubbily y était certainement pour quelque chose, elle lui avait fait connaître de nouvelles sensations. Mais la plus importante de toute était sans aucun doute... l'amour.

    Après s'être enfin décidé à partir pour rejoindre le campus universitaire, William entendit un fracas contre le sol, un bruit sourd qui ressemblait pleinement à la chute de quelqu'un. Le jeune pianiste tourna instinctivement la tête et vit sur le sol une jeune femme qu'il reconnaîtrait parmi n'importe quelle foule, celle qu'il aimait. Cette dernière gardait les yeux baissés, se trouvait honteuse d'avoir chuté au milieu d'inconnus. La réaction de William fut immédiate, toutes les idées qui l'emprisonnaient quotidiennement furent balayées par la volonté du jeune homme d'aller secourir sa belle. Il s'empara de sa main pour la relever et lui fit un de ses souris charmeurs comme à son habitude. Pendant un instant, il oublia tout ce qui s'était passé lors du bal de la St Valentin.


    Est ce que ça va ? Pas trop mal ?

    Lorsque le jeune garçon entendit un rire moqueur provenir de derrière lui, il se retourna immédiatement et lança un regard noir à la personne qui se pouffait de rire devant le malheur d'autrui. Le regard remplie de colère du défenseur de la jeune femme fit immédiatement stopper les jacassements de l'individu, qui préféra se retirer avant de subir plus que des regards. Tenant bien fermement Lubbily par la main, William se fraya un creux au milieu du petit cercle d'inconnus qui s'était créé autour d'eux, puis quitta la salle, tenant toujours fermement la jeune fille. Une fois loin du bruit et des rires, William la lâcha enfin et lui demanda de s'assoir dans le fauteuil qui se trouvait dans un des nombreux couloirs de l'université. Sans s'en rendre compte, le pianiste lui reposa la même question.

    Pas trop de casse ?

    Puis les doutes submergèrent à nouveau le jeune homme, à tel point qu'il se posa contra le mur, juste à côté de celle pour qui il éprouvait des sentiments, et décida de prononcer les trois mots les plus banals au monde, avec l'espoir que la simplicité de ceux-ci aient un impact positif sur la relation des deux étudiants. William, tournant la tête vers la jeune femme, tenta de la regarder dans les yeux pour lui dire tout simplement et sincèrement...

    Je suis désolé...

    Il était facile de noter dans sa voix de la sincérité. Cette situation l'avait blessé autant qu'elle, il avait du porter le poids de son refus pendant toute la durée de leur partie de cache cache. Le hasard avait fait les choses dune étrange manière, car la situation dans laquelle ils se trouvaient étaient des plus bizarres. Après tout, William avait pensé s'expliquer dans un cadre moins mauvais pour la jeune femme. Il aurait pu ne rien dire, mais cela serait apparu comme déplacé vu la situation. De plus, le sigma lui devait au moins cela, c'était la moindre des choses après l'avoir laissé en plan, à une soirée plus que magnifique.

    Puis, j'en ai vraiment marre de devoir me cacher pour t'éviter.

    Plus que de la sincérité, le jeune homme devait se montrer franc envers la belle. Il était inutile de faire semblait ou l'hypocrite, il éprouvait des sentiments pour elle, mais il était sûrement trop borné pour les lui avouer.
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MessageSujet: Re: L'heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyLun 8 Juin - 17:48

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La souffrance, une des pires sensations que l’être humain peut ressentir, souffrir de tristesse, souffrir de honte, on peut souffrir de tout et n’importe quoi, surtout de l’amour. L’amour est comme une rose, quand on l’a voit, elle est belle, tout est parfait, mais quand on y touche, on se blesse, et c’est surement ce moment qui est le pire. Lubbilly elle, ressentait exactement sa depuis le dernier bal à Berkeley, elle regrette même d’y être allé, à quoi bon y aller si l’homme que tu aimes te repousse ? C’est surement ce qui l’a le plus blesser, sentir ses lèvres contre celle de William, et celui-ci se détacher d’elle, si violement et si vite, et partir, comme un voleur. Surtout que depuis, au campus, il se cache, pour l’éviter, alors que ceci de changera rien à leur relation bien au contraire, elle-même ne sait pas ce qu’il ressent pour elle, pour elle se n’est plus qu’un lâche à ses yeux. Après sa merveilleuse cascade au milieu de la cantine, étant assise sur le sol froid et dur de la cantine à essayer de ne pas tourner la tête pour y voir toute les petites betas entrain de rire, se foutant bien de Lubbilly. Elle sentit alors quelqu’un lui prendre la main, elle eut envie de reprendre sa main et de se lever elle-même, mais n’ayant même pas encore vu qui c’était qui l’avait aider, elle resta main dans la main avec son sois cher sauveur. Elle se releva avec l’aide de l’inconnu, et une fois les pieds de nouveau sur Terre, elle leva la tête, et là elle eut envie de retomber ou de partir en courant, son problème était maintenant en face d’elle, avec ce jolie sourire charmeur, ce sourire qui avait pourtant faire croire à Lubbilly qu’elle avait des chances avec William. Il lui demanda si elle allait bien, elle se contenta juste de hocher la tête. Elle se retourna sur le coté pour y voir toute les filles entrain de se moquer d’elle, elle retourna sa tête vers William, et baissa ses yeux comme à son habitude, ne sachant pas quoi ajouter. Il avait encore sa main froide et douce dans celle de Lubbilly et il commença à marcher vite, vers les couloirs en prenant Lubbilly par la main. Même elle, ne voulut pas résister, sa faisait si longtemps qu’elle n’avait pas vu William, en face d’elle, avec ce doux sourire, et ce doux parfum qui lui avait tant manqué. Il alla vers les canapés des couloirs, elle ne laissa aucune émotion sortir sur son visage de porcelaine, se contentant de suivre William en le tenant toujours par la main. Ils arrivèrent aux canapés et elle le regarda avant d’aller s’assoiere, car elle avait mal chuté, et sa hanche lui faisait un peu mal, quoi de mieux que s’assoiere. Elle fit face au problème et leva la tête, regardant William avec tristesse, amour et haine à la fois, ceci rendait son regard tendre, froid, et triste en même temps, il lui demanda encore si elle allait bien, elle allait lui répondre ou cas où il n’avait pas vu son hochement de tête.

- Oui, je vais bien ne t’en fais pas.

Elle mit ses mains froides sur ses jambes qui étaient délicatement croiser et elle le regarda avec un regard un peu perdu, ne savant pas quoi dire ni quoi faire, si elle avait bien sur envie de lui sauter dessus, de l’embrasser tendrement, et de pleurer, mais ceci n’arrive que dans les films. Il lui dit alors qu’il était désolé, Lubbilly sentit son cœur se mettre à battre plus fort, comme quand ils étaient ensemble au bal, et elle essaya de ne pas montrer son émotion envers lui. Elle reprit son souffle, compta dans sa tête et décida de parler de sa petite voix d’ange.

- Désolé de quoi Wil ? De ne pas m’aimer ? Sa ne se choisit pas, la preuve... Si tu penses que sa me fait plaisir quand je te vois à l’autre bout du couloir, et d’un coup tu pars sans même me regarder, tu m’as fait mal Wil, si tu savais à quel point ...

Elle voulut rajouter, à quel point je t'aime, mais ceci etait trop directe, trop dure pour elle.
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MessageSujet: Re: L'heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyMer 10 Juin - 19:11

    On ne pouvait pas dire que la situation penchait vers William, au contraire, dans cette histoire il était le méchant et il détestait avoir ce rôle, pire, cela l'insupportait. Comment expliquer à la jeune femme qu'il éprouvait des sentiments puissants envers elle mais qu'il sentait en lui un blocage, celui de faire confiance aux autres. Même si depuis quelques temps les choses changeaient, qu'il s'ouvrait enfin aux autres, l'amour était toujours pour lui quelque chose d'inconnu et il fallait le reconnaître, un sentiment dont il avait peur. Voir la jeune femme, le regard emplit de tristesse le gênait énormément, il ne savait pas quoi dire et encore moins que faire pour qu'elle se sente mieux, plus à l'aise au moins. Cette gêne ne fit que s'accentuer lorsque Lubbilly répondit à la question du pianiste d'un ton mélancolique qui ne plaisait pas à William car il savait que cette tristesse était due à son geste. Néanmoins, ce dernier joua le jeu tout comme la jeune femme le faisait et d'un ton neutre qui ne laissait entrevoir aucun sentiment lui répondit.

    Parfait alors!

    Froid dîtes vous ? Oui, c'était le cas de le dire, mais cette froideur définissait assez bien l'étudiant, il savait se montrer injuste, et même parfois cruel. Il l'avait été à ce bal de la St Valentin mais sans réellement le vouloir. Cette réponse par contre, avait été préfabriquée de toute pièce, si la jeune femme ne voulait pas l'inquiéter, alors il ne s'inquiéterait pas de son état. Inutile de se montrer lourd en plus de décevant, une de ces deux définitions lui suffisait déjà. Faisant fit des gens qui les entourait, le pianiste resta posé contre le mur, ne voulait sûrement pas trop s'approcher de Lubbilly, histoire de ne pas envenimer la conversation qui semblait déjà bien tendue. William savait parfaitement que beaucoup les observait, et cela l'énervait profondément. Pourtant, il savait également que s'il avait assisté à la chute de quelqu'un et qu'il avait vu une personne l'aider, il les aurait sûrement observé en les revoyant dans les couloirs, qui en passant était plutôt désert vu l'heure. Quasiment tous les étudiants étaient en cours mis à pars eux, ce couple entre parenthèse qui ne savait absolument pas où se situer ni que faire de leur relation prématurée et même pas débutée. William aussi aurait du depuis longtemps rejoindre sa classe, mais il avait décidé de sécher, il le devait bien à Lubbilly, depuis le temps qu'elle attendait des explications.

    La conversation semblait stable, ou du moins le silence qui régnait entre les deux était devenue encore plus lourd. Inutile de préciser que lorsque celui-ci se lève, telle la tempête qui frappe, il fait mal, et ce ce qui se produit. William qui croyait avoir évité le pire pour un moment fut prit de haut quand la jeune femme lui fit part non seulement de ses sentiments mais également d'un rejet qu'elle ressentait en son égard. Le sigma comprit alors qu'en plus d'avoir été déçue elle s'était faîte de fausses idées, préfabriquées, comme la réponse d'avant de William. Jamais, il n'avait voulu insinuer par ses gestes ou par ses paroles qu'il ne l'aimait pas, et si Lubbilly avait cru cela, alors le pianiste avait eut tout faux dès le départ. La question n'était pas d'aimer, mais d'apprendre à aimer. William essayait en vain de trouver un support sur lequel s'accrocher contre le mur, mais c'est sous un coups de poing léger contre ce dernier que le sigma décida de répondre. Cette fois-ci, son ton n'était ni neutre, ni calme, il était perdu.


    Comment est-ce que tu peux dire que je ne t'aime pas ? Par un baiser raté ? Je sais que j'ai été stupide de t'avoir fait croire qu'il pourrait se passer quelque chose entre nous, et encore plus de t'avoir fuit jour après jour, mais il faut que tu comprennes que je ne suis pas habitué à ce genre de choses. Jusqu'à maintenant, je ne vivais que pour moi, et d'un seul coup tu es arrivé et tout dans ma vie a été chamboulé.


    William décida de quitter son mur pour s'assoir à côté de la jeune femme, il osa même lui prendre la main et dirigé son regard vers le sien. Il ne savait pas si celui-ci aurait un impact sur elle mais il le désirait sincèrement. Étrangement, il n'avait jamais été aussi sûr de lui qu'à cet instant précis. Peut être était-ce le stress qu'il éprouvait, ou les nerfs qui lui faisaient passer un sale quart d'heure à son estomac, mais en tout cas, il bouillonnait et si la jeune femme voulait des explications, elle allait avoir toutes celle qu'elle voulait .
    Le regard bleu vert de William était toujours dans celui de la jeune femme, il ne la quittait plus des yeux, il n'en avait pas envie.
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MessageSujet: Re: L'heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyMer 10 Juin - 19:42

L'heure est aux explications... Twi05 L'heure est aux explications... Twi17n

Lubbi resta muette devant William, qui lui aussi ne dit plus rien. Jusqu'à ce qu’il lâcha un petit ‘ Parfait alors ‘ sur un ton sombre et dure en même temps, même si pour lui ce ne l’était pas, quand il le dit, elle resta figer, comme si chaque fois que celui-ci parler, elle recevait un coup de poing dans le ventre qui la paralyser et elle ne pouvait plus rien dire. Elle sait bien que William n’est pas vraiment un garçon qui fait attention à ses actes, à ce qu’il dit, mais pourtant rien que dans son regard, Lubbi pouvait y voir ce que peut d’autre gens peuvent y voir, de l’amour, de la tendresse, et de la peur aussi. La peur d’aimer, surement que pour lui sa parait grand, et bizarre l’amour, mais pourtant ce n’est qu’une chose inoffensive et belle, enfin sa dépend bien sur. Elle-même, avait ressentie cela il y a peu, tout commença surtout lors du bal, ou même un peu avant, quand William lui avait demander d’y aller avec lui, c’est à ce moment même qu’elle avait eu un déclic, comme si son cœur avait fait que un bond vers William, mais il faut l’avouer, celui-ci l’avait bien déçu en agissant comme cela au bal, en refusant un baiser que Lubbi désirait temps, elle l’avait temps attendue ce moment, ce doux moment sous un chapiteau avec pleins de lumière, et tout cela avec un homme spécial, un homme gentil, doux, et vraiment adorable, mais pour une fois, sa n’avait pas terminer comme dans les films. Elle regarda William, avec le silence qui peser entre eux, lui contre le mûr réfléchissant surement à quoi dire, et elle assise dans le canapé entrain de le regarder avec désir et peur en même temps. Elle resta muette pendant tout ce temps jusqu’au moment où William tapa son poing contre le mûr et alla s’assoiere à coté de Lubbi. Cette scène était suivit par des gens, des jeunes filles ou jeunes hommes curieux qui était cacher un peu dans les couloirs à les observer en parlant, Lubbi eut envie de crier d’aller voir ailleurs, mais elle n’eut pas le courage ni même l’envie. Sans même dire un mot, elle vit William lui prendre la main, c’était comme si son cœur se remettait à battre à nouveau, comme pour la première fois … Elle le regarda et se laissa plonger dans ses doux yeux bleu vert, et l’écouta. Une fois qu’il avait fini, elle eut les larmes aux yeux, mais reussisa à retenir de pleurer comme une enfant, sentant sa main devenir chaude par la chaleur de celle de William, et sentant son cœur se resserrer, et surtout sentant les larmes qui commencer à déborder de ses yeux bleu qui rester eux aussi muet. Elle laissa couler deux trois larmes et répondit alors avec une voix douce, calme et en même temps perdu.

- Je sais William, je sais … Mais comprend moi, un jour tu me demandes d’aller au bal avec toi, moi une pauvre petite alpha avec mes bouquins à la main, et au bal tu refuses un baiser, et depuis tu m’évites et tu pars dés que je vais vers toi … Je je... Je ne sais plus quoi penser Wil … Son coeur eut envie de crier je t'aime, mais aucun son ne sorti de sa bouche.
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MessageSujet: Re: L'heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyDim 14 Juin - 15:42

    La situation qui avait jusqu'à présent été tendue et avait mis mal à l'aise les deux concernés devenaient petit à petit des plus sincères. On aurait dit que les deux jeunes s'ouvraient l'un à l'autre, sans craindre de s'effrayer, sans craindre d'être « trop » sincère justement. Pourtant, la peur de faire de la peine à l'autre était toujours là, on pouvait le lire dans les yeux de chacun. D'un côté, il y avait Lubbilly, voulant savoir pourquoi William l'évitait, et de l'autre ce dernier, qui ne savait pas comment expliquer à celle pour qui il avait des sentiments qu'en réalité il avait peur de les lui révéler par peur d'en souffrir. Oui, un jeune homme qui n'avait jamais réellement partagé des sentiments amoureux avec une autre personne qu'avec soit même. Pour la première fois quelqu'un faisait vraiment de l'effet au jeune pianiste . En la regardant dans les yeux, William sentait un nœud se nouer dans son estomac. De peur ? Il ne le savait pas, mais en tout cas, jamais il n'avait ressentit cela. Écouter la jeune femme lui dire qu'elle était perdue lui faisait ressentir la même douleur que l'on sent quand on nous poignarde, mais dans ce cas là, sans traitrise. William était le seul maître de ce désordre, de cette incompréhension. Lui qui croyait qu'en fuyant il arrangerait les choses, qu'il les ferait comprendre à Lubbilly, il ne les avait en réalité que rendue plus compliquées, au point qu'aujourd'hui les deux étudiants naviguaient dans un flou total. Le sigma ne put s'empêcher d'agripper doucement le visage de la jeune femme pour qu'elle le regarde dans les yeux, de sort que son discours sonne plus vrai et que cette fois-ci elle le comprenne vraiment.

    Je comprends ta confusion, je me déçois moi même d'avoir agis de la sorte, mais sache qu'il faut me laisser le temps. Je n'aurais jamais du accepter ce baiser, c'était une erreur qui n'a fait que te décevoir d'avantages.

    Si les paroles pouvaient être manipulées pour donner ou faire croire des sentiments opposés, les yeux eux reflétaient l'âme de la personne, et ceux de William montraient bien à quel point ce baiser n'aurait jamais du être. Qui plus est, au fil de la conversation, le jeune homme se rendait compte que cette discussion ne pouvait plus durer encore longtemps. Les deux avaient voulu jouer franc jeu, à tel point qu'ils n'avaient plus rien à se dire tant la gêne prenait le pas sur la peur de se faire du mal. Le musicien aurait voulu mettre un peu d'ambiance pour changer les pensées qui circulaient dans leur esprit. Il aurait pu sortie une bêtise comme il avait l'habitude de faire, mais changea vite d'idée, ne trouvant pas cette attitude correcte vis à vis de la situation. William ne voulait pas passer pour un abruti en plus d'un fuyard, une seule définition lui suffisait largement....


    Viens au bal de fin d'année avec moi...

    Cette phrase pouvait passer comme un ordre, mais elle était sortie des lèvres de William si spontanément, que même lui avait du mal à croire qu'il l'avait prononcée, et avec un ton si calme et sûre qu'il était impossible de noter en elle une obligation quelconque ou même de l'agacement. Pourquoi l'avait-il choisi parmi tant d'autres répliques ? Et bien car il voulait recommencer du début, sans feindre, ni partir en courant. Pour certaines cela aurait semblé impossible, mais pas pour William, preuve que dans le fond il était un garçon tenace et déterminé à ne pas laisser une mauvaise image de lui, mais surtout à ce que la jeune femme soit rassurée sur les sentiments de celui qui lui avait sans doute gâché son bal de la St Valentin. William reprit la parole pour argument sur son geste, car il savait parfaitement que Lubbilly risquait d'être encore plus perdue avec tous ces pas en avants et en arrière.

    Tu n'es pas forcée d'accepter, mais j'aimerai vraiment que tu sois ma cavalière. Je n'ai pas envie que tu te souviennes de moi comme un pauvre type qui laisse une fille géniale sans un mot. J'aimerai au moins te laisser un bon souvenir d'un bal, au moins une fois durant ton parcours universitaire... dit le président des Sigmas tout en lui faisant son sourire que beaucoup trouvaient ravageur.

    Comme quoi, il était possible de placer une pointe d'humour, dans une conversation plus que sérieuse. William avait réussi cet exploit, sans trop en rajouter, juste suffisamment pour calmer le jeu.
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MessageSujet: Re: L'heure est aux explications... L'heure est aux explications... EmptyDim 14 Juin - 16:13

L'heure est aux explications... Fsigntwilighm094919d


« La deuxieme chance est le reconfort de tout humain. »


La vie est une chose difficile à expliquer, pratiquement impossible même. Un jour on peut l'aimer, l'autre on peut l'a hair, c'est comme si elle jouait avec nous, nous ne sommes que de pauvre jouet de la vie. Et ce jour ci, celui où pourtant là journée de Lubbilly avait bien commencer, pas si bien que cela, mais en tout cas sa allait mieux avant qu'elle ne s'ecrasse en pleins milieu de la cantine, obligeant William à lui venir en aide. Ils etaient assis dans les fauteuils qui etaient juste à la porte de la cantine,et ils se regardaient, leur regards pouvaient dire tant de chose, de l'amour, de la confusion, de la tristesse, et du regret aussi. Elle se sentait mal, comme si son âme etait parti, son corps etait bien là, mais dans sa tête il n'y avait plus rien, que du brouillard. Elle entendait bien ce que William lui disait, tres bien car au moment où il prononca les quelques mots qui venait de dire, demandant à Lubbilly d'aller au bal de fin d'année avec lui, elle reprit alors vie, son souffle se fit reentendre et ses yeux revinrent se poser sur William. Ce fit un peu comme un Flash Back, celui du jour où il lui avait aussi demander d'aller avec lui au bal de la Saint-Valentin, une grosse erreur de la part de Lubbilly d'avoir accepter.

William ayant poser ses douces mains sur le visage de Lubbilly qui elle etait figer comme une statut de pouvant plus rien dire. Ses mains se firent encore plus froide, et surtout elle sentait que ses mains tremblaient, pas de peur, mais d'une sensation encore jamais connut, certainement de l'amour, qui sait. Le moment en plus etait mal choisit, elle avait cour, de biologie et c'etait un cour quand meme important pour elle, et donc en se mordillant la lévre elle commenca à stresser, à propos de tout. Quoi repondre, quoi dire, tout cela passait à une vitesse folle dans sa tête, son coeur s'emballant, et surtout sa tête etait vraiment confuse.

Lubbilly se leva d'un coup sec, et se tenant à peine sur ses deux jambes elle regarda William tout en se penchant vers lui, mettant sa tête pres de la sienne, en face. Elle mis ses mains sur ses genoux et sentant ses mains qui ne tiendrait pas longtemps, elle decida de parler enfin.

- Je viendrai au bal avec toi, mais dis toi qu'il n'y a pas de troisieme chance Wil. Elle lui souria vaguement et prit son sac pourrie sur son epaule et partit vers son cour de biologie en souriant fiere d'elle. Maintenant avait-elle fait le bon choix?

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