Cassie était en route pour l’université depuis déjà 1h elle était prise dans le trafic. Sa journée avait été assez courte, elle s’était d’abord lever a midi, puis elle avait cherché Katie Gurember pour se battre chose qui avait eu lieu, après que leur ancien professeu-re d’anglais les est séparer, Cassie était partit au bureau de poste et maintenant elle en revenait. Il était presque 5h et elle n’était pas encore arrivée sur le site de l’école. Cas-sie avait choisit une poste à l’ opposé de l’université pour des raisons très simple, mais parfois cela lui posait des problèmes. Elle n’avait même pas lue la lettre de sa mère encore. En sortant elle l’avait ouvert, mais l’avait resserré aussitôt elle avait trop peur de se qu’elle pouvait contenir, cela aurait put être de la dynamite que Cassie aurait été moins stressé. Elle n’aimait guerre pensé à sa famille, elle préférait donc se concentrer sur la route puis ensuite sur sa retenue que lui avait value le fait de se battre. Cassie arriva donc à 5 h précise devant le vieux bâtiment. Cassie voulait passé déposé sa lettre chez elle avant, mais elle décida de ne pas le faire pour ne pas avoir plus de problèmes qu’elle en a déjà.

Cassie se dirigea donc vers le local qu’elle connaissait si bien celui de colle. Elle arriva donc avec quelque minute de retard, mais le surveillant, le même professeur qu’y les avaient séparé plus tôt, la laissa entrer.
Vous êtes en retard madame Amandola.

Je sais. Dit-elle d’un ton sec avant de prendre place dans un coin de la classe. Il y avait 2 bureaux plus loin, celle qui lui avait value tout ça. Dans le fond s’était plus Cassie qui avait cherché des poux à l’autre, mais bon. Cassie prit son sac et fouilla dedans pour y trouver son portable. Elle continua ainsi, pendant presque 1 minute, puisqu’elle ne le trouvait pas elle décida de vidé le contenu de celui-ci sur le pupitre. Cassie prit cepen-dant la peine d’enlever la lettre de sa sacoche pour ne pas la perdre à son tour, elle l’enferma entre ses cuisses et cacha le destinateur, puis elle rependît le contenue de son sac sur le bureau. On put apercevoir, du gloss, de l’ombre a paupière, son porte feuille, des papiers, un jouait kinder surprisse, mais aucun cellulaire en vue.

F*ck où es-tu. Elle se parlait à son téléphone, mais c’est Katie qui lui répondit, elle s’était rapprocher et lui donnait son téléphone.

Tu me l’as volé!!! Cassie était en colère, comme cette s*lope l’avait t’elle eux. Elle l’ouvrit pour voir s’il marchait ou si a première vue il y avait quelque chose de différents dedans. Cassie ne vit rien, mais elle était exaspéré qu’elle ait put lui prendre comme ça au moins il fonctionnait encore…

Calme toi, franchement, tu n'a pas honte de me parler comme sa, surtout à la fille qui te la remit. J'aurais pu le laisser là et que quelqu'un d'autre le vol. Katie disait ca avec un petit sourire à la lèvre, car elle savait ce qu'elle avait fait dans son cellulaire. Par la suite, la jeune brune, désespérée par sa retenue, disa à l'autre brune stupide:
Tu as l'aire bien bouleversé, serais-ce parce que tu n'a pas encore lit la lettre de ta mère? Katie savait qu'en disant ca, celle-ci se mettrait en colère.

Cassie lui répondit: comment sais-tu à propos de ca!

Je n'ai pu m'empêcher de lire tes messages et tes notes, c'était vraiment trop tentant. Même si je me doutais que la vie d'une gamme ne serait que du sexe et de la boisson! Au moment où la jeune fille allait lui sauter dessus, le surveillant dit:
Je vais me chercher du café, en voulez-vous mes jeunes demoiselles?

Bien sûr, répondit Katie, tout comme Cassie. De toute façon, ce que les deux filles voulaient, c'était de se ramasser seules pour finir ce qu'elles avaient commencées. Un coup que le prof partit, Cassie se leva et dit qu'elle devait profiter de cette occasion pour aller voir quelqu'un. Cette jeune chipie se leva et d'un seul coup, ramassa tout ses choses. Quand elle se tourna, elle ne remarqua pas qu'elle fit tomber la lettre de sa mère de sa sacoche et partit. Bien attendue, Katie la prit et, curieuse comme elle est, elle l'ouvrit. Ce message démontrait plusieurs problèmes de Cassie et des choses assez secrètes. Cependant, Katie n'avait surtout pas envie de lui donner, pour se faire insultée de voleuse pas la suite. Alors, elle la mit dans sa poche et fit comme si de rien était.

Par la suite, le prof revint avec ces trois cafés du HARD ROCK COFFEE et les donna à Katie. Quand il vu l'absence de Cassie, il devint tellement rouge que sa cravate paraissait invisible. Il dit:
Comment a-t-elle osée, s'en aller quand je lui achète du café! Cette s*lope je vais l'étriper.
Quand ces mots sortit de la bouche du prof, Katie devint si mal à l'aise qu'elle rougit à son tour. À ce moment là, Cassie revint de son voyage et vue le prof mécontent. Elle en devina la raison mais au moment où elle allait s'expliquer, le prof la gifla. Ah!!! Elle dit!......

Cassie était énervé se n’était vraiment pas le temps de lui
chercher des poux, Elle n’allait pas laisser cetteBêta la faire ch*er. Cassie la
regardait avec un regard cruel. Elle était de très mauvaise humeur, mais cela n’était
à comment elle se sentait maintenant que la jeune femme avait abordé le sujet de sa mère, comme avait elle
ossé lire ses notes. Cassie avait écrit
dans son telléphon ¨ lettre de maman ¨, elle n’aurait jamais du
écrire cela, sauf qu’elle avait beasoin de le sortir et si elle ne pouvait que
le faire a son téléphone soit, elle se confirait à lui, elle avait penser qu’au
moins lui ne la trahirait jamais et bien elle s’était visiblement tromper.


Comment à tu osée!
Cassie voulait lui sauté dessus, elle voulait la tuer en se
moment, n’y plus n’y moins. Cassie fut
retenue par la voie du monsieur Harper, leur ancien prof d’Anglais que n’y une
n’y l’autre se souvenait avoir eu. Il leur proposait un café, Cassie voulait un
peu de tranquillité, car sinon elle connaîtrais un meurtre, chose qu’au fond elle
ne désirait pas vraiment…





Moi j’en veux bien un, un café à la vanille svp.

Quand le professeur sortit enfin de la classe Cassie ramassa C'est chose à la hâte et se dirigea vers la sorti.

Je dois y allez, je reviens tentôt!

Cassie se dirigea vers la sale de musculation, arrivé sur place, elle prit les gang de boxe et frappa sur le sac. La salle était vide, elle pouvait donc se défoulée, pendant un moment sans avoir de conte a rendre à personne, Cassie frappa sur le gros sac noir pendant près de 10 minutes, elle savait combien de temps cela prenait d'aller chercher du café, surtout quand général à cette heure là presque tous les élèves sont à la cafétéria. Après tous c'est coup elle alla se changé, bien qu'elle savait pertinemment que le professeur reviendrait pendant qu'elle serait partie. Malgré tout, elle ne voulait pas resté habillé ainsi alors qu'elle venait de faire du sport.

Cassie enfila une camisole et un jeans à la va vite puis retourna vers la salle de colle si bien connue. au fond elle ne savait pas pourquoi elle revenait dans cette sale de classe miteuse, qui n'avait pas été rénové depuis au moins 10 ans, mais elle y retourna tout de même.

De l'autre côté de la porte, elle pouvait entendre la voix du prof, il avait l'aire en colère, Cassie qui était beaucoup plus calme maintenant rentra dans la pièce.

L'homme avait la chemise ouvert et criait, quand il vit Cassie, il se mit à lui crier après.

À c'est pas la fin du monde, vous êtes bien parti vous aussi.
C'est alors qu'il la frappa. Cassie fut surprisse s'était la première fois qu'un professeur lui faisait ça.

Vous allez le regrettez,je vous le dis, tu ais témoins. L'homme en question prit de court quitta la pièce laissant les deux filles seules. La jeune témoins donna un petit papier mouchoir pour la lèvre de Cassie qui était ouvert. Elle était vraiment du pour avoir des marques aujourd'hui !!

Vraiment bizzard, c'est vraiment louche répéta Katie. Comment un prof ausa t-il frapper une étudiante. Même si Katie savait a quel point Cassie pouvait être fatiguante, il n'a pas le droit de la frapper. De plus, c'était à Katie de lui régler son cas à cette chipie, même si l'envie diminuais de jours en jours.

Que penses-tu faire, disa Katie à Cassie?

L'autre jeune brunette réponda qu'elle ne savait pas mais que sa se finirait pas là. L'autre jeune fille lui répondit.
Bien sûr, Katie n'avait aucun envie de l'aider après tout ce qui c'était passe entre les deux filles. C'est alors que Katie, sans s'en rendre compte, car elle ne voulait pas le dire, disa:

Tu devrais plutôt penser à régler ton cas avec ta mère!
L'autre jeune fille lui réponda méchamment.
Et bien, tu avais échappée ta lettre en partant et je n'ai pu m'empêcher de la lire, désolé.

Même si Katie détestait atrocement Cassie, elle se sentit, à ce moment, un peu méchante. Elle savait que ces affaires ne la regardait pas mais, elle esseya de se sauver la peau en l'aidant.

J'avoue que j'ai été un peu trop curieuse, mais j'ai vue dans ton cellulaire ( régler le cas de maman ) et je n'ai pu m'empêcher de vouloir lire la lettre pour savoir votre situation. Tu devrais réellement t'occuper de ta mère. Tu sais, je n'ai jamais vue ma vraie mère, car je suis une fille adoptive d'une petite famille riche. Cependant, je n'ai jamais été heureuse, car je voulait savoir la vraie raison pour laquelle ma mère m'a mise en adoption. Même si mes parents mon dit que c'était pour des raisons de pauvreté, j'aimerais vraiment le savoir de ma propre mère biologique. Donc, tu devrais vraiment, et pas jalousie, régler ton problème.

L'autre jeune brunette, répondit....

Cassie était en rogne, elle voulait vraiment se venger de cette affreux prof, elle n’allait pourtant pas allez voir le directeur pour ça, mademoiselle Amandola avait toujours préférer régler ses choses seule et à sa façon pas toujours la meilleurs, mais toujours la sienne. Cassie n’avait pas encore d’idée, par contre elle finirait bien par trouver tôt ou tard. Elle voulait le faire chier, mais de quelle façon, elle ne le savait pas du tout.

J’en sais rien, mais je te jure qu’il va payer se s*lopart! Cela n’était pas du tout le temps d’énerver Cassie, elle qui venait de réussir à se calmer, ce calme-là n’était resté que peu de temps. Elle chercha un moyen de se calmer, elle tentait de penser à un moment heureux de sa vie. À quoi pouvait-elle penser? Elle s’imageait sur le bord de la mer en Italie, seul calme, son lieu de prédilection quand elle était là-bas, mais comme toutes les fois qu’elle pensait à ce lieu, elle pensait aussi à la fois que son père avait tout gâché, en venant lui parlé. Cela avait le seul lieu ou elle avait réussi à trouver le calme après l’ouragan qu’avait été la mort de son meilleur ami. « Tu devrais plutôt penser à régler ton cas avec ta mère! » Voilà, ce qui la fit sortir de ses pensées magiques. Comment savait’ elle, Cassie n’avait rien écrit a se sujet dans son téléphone, elle ne parlait jamais de sa mère à personne puisque celle-ci était morte selon ce qu’elle avait dit.

Quoi comment sait-tu pour ma mère? Cassie lui avait parlé méchamment, puis elle se rappe-la de se qu’elle avait raconté a tous le monde, sa mère est morte, mais comme ces petites fouineuses avaient lu la lettre, elle aurait du mal à justifier se fait. Elle ne voyait pas ce qu’elle pouvait dire pour qu’elle croie. Cassie n’aimait pas mentir à cause de son père, lui qui avait bâti sa vie sur le mensonge, mais elle devait le faire si elle voulait que personne ne sache pour elle, mais surtout si elle désirait que ses parents ne la retrouvent jamais. Elle réalisa qu’elle mentait comme son père, qu’elle mentait à tous ceux qu’elle connait que personne, sauf Dav’, ne sait comment elle s’appelle réellement, elle n’avait jamais compris pourquoi il avait fait ça, mais aujourd’hui elle commençait à mieux comprendre, il l’avait fait pour se protéger, lui, s’était quelque chose de tellement égoïste de mentir comme ça à sa famille. Elle se promit de ne jamais avoir de famille ou de personne proche, comme cela elle n’aurait pas à leur mentir, puisqu’il n’existerait pas et ils ne pourraient pas souffrir par sa faute. Ce fut une promesse qu’elle se fit en cet instant et elle allait la tenir. Avant toute chose elle devait inventer quelque chose pour la petite curieuse qui se trouvait devant elle.

Ouais, je devrais régler le cas de ma mère. Mais je crois que cela irait peut-être mieux si elle n’était pas morte. Chaque semaine depuis 2 mois je reçois cette lettre qui me rappelle que j’ai quitté ma mère, en chicane. J’avais cru qu’ils nous restaient plus de temps, mais non il a fallu qu’elle se fasse tuer, alors qu’il lui restait un mois à vivre. Je m’étais juré d’allez la voir avant qu’elle meure, mais je n’ais pas pu et aujourd’hui je n’ais plus rien, juste ces lettres qui me rappelle que ma mère me détestait. Qu’elle n’avait jamais voulu de moi, tu veux savoir quelque chose, j’aurais préféré être adoptée moi. Si tu peux avoir des parents qui t’aime et qui t’ont voulu, pourquoi chialer. Ils s’occupent de toi volontairement, ils ne te feront jamais de mal puisqu’ils t’ont choisi. Tu ne penses pas que tu préférais voir tes concepteurs, car ils ne sont rien d’autre, comme tu les imagines que comme ils sont réellement. Quand tu verras ta mère et qu’elle te regardera la poudre pleine le nez tu vas te dire, au je l’aime ma maman a moi. Tu crois réellement que cela réglera les choses, moi j’ai cherché mon père et voilà ce que cela a donné. Je suis encore plus seule qu’avant.

Au fond Cassie avait un peu dit la vérité, il était vrai qu’elle avait cherché son père, mais d’une autre façon, elle avait voulu savoir ce qu’il lui cachait et cela avait tout envenimé leur relation.