C’était chaud, son corps contre le sien. Un contact que la blonde ne parvenait pas à rompre. Toute sa raison lui hurlait de reculer mais comment voulez vous y parvenir avec l’esprit enchevêtré dans la drogue ? Les formes se découpaient et dansaient sous son nez. Si bien que la gamma perdit pied humant le parfum de la brune contre elle. Faith dégluti avec peine en sentant cette main contre sa hanche. Le regard perdu chercha à rencontrer celui de son amie mais s’égara contre le tissu mouillé de son soutien gorge. Que faisait elle exactement ? C’était mal !

« Ebony… tu devrais…on devrait sortir de là. »

La vapeur d’eau devait lui monter à la tête. Voilà l’explication que tenta de se donner la jeune femme. Pourtant son bassin contre le sien éveillait une chaleur bien plus forte encore. Figée, elle n’osait plus bouger, incapable de prendre une décision. Lorsque la bouche de sa partenaire grimpa contre sa peau, Faith ferma les yeux pour essayer de reprendre contrôle. C’était si bon… chaud, humide. Que faire ? Elle devait fuir ! Il était formellement interdit de faire ce genre de chose. C’était sale, mal, dangereux et vicieux.

Faith se recula avec peine, espérant fuir Ebony. Néanmoins, la paire de menottes la rappela à l’ordre dans un grincement de dents. Non ! Elle ne pouvait décemment pas rester attachée à Ebony. Elle finirait par perdre pied. Cette fille savait la tenter comme personne d’autre. En réalité, jamais une seule fille n’avait essayé de la séduire. Les hommes avaient toujours reçu la même réponse. Tantôt un non poli ou un désintérêt total, tantôt de la malice et des coups bas comme elle avait le don d’en faire.

« Je suis sûre qu’il y a pleins d’autres trucs cools dans la maison. » Essaya t elle dans l’espoir de changer de sujet d’un air naturel. Les couleurs se métamorphosaient les unes sous les autres et Faith senti son cœur accélérer. Pourquoi le monde changeait il si soudainement ? Pourquoi les choses perdaient de leur cohérence ? La panique la gagnait rapidement. Furieuse, elle poussa Ebony avant de se sentir, elle-même entrainer dans le mouvement.

« EST-CE QUE TU AS FAIS ?! POURQUOI TOUT BOUGE ? POURQUOI TOUT CHANGE ? ON EST OU ? POURQUOI TOUT CHANGE ? »

Ebony voulait d’une Faith défoncée, elle l’était ! Son esprit ne semblait pas apte à assimiler les transformations et sensation que la drogue apportait dans son sillon... Le problème des débutants en matière de drogues dures!

EBONY&FAITH

Je sentais des frissons me parcourir l'échine et maintenant je ne me demandais plus si c'était le vend ou autre chose. Après tout, la petite Faith faisait partie des jouets spéciaux pour lesquels j'avais bien envie de mieux m'investir. C'est pourquoi même avec la tête qui tournait je n'en oubliais pas mes plus vieux principes et puis il fallait le dire que l'alcool faisait encore plus augmenter le désir et les envies étranges des autres. Moi j'avouais que ça ne me changeait pas de d'habitude mais j'imaginais que les gens autour de moi devaient commencer à souvent se poser des questions quand je me mettais à les pousser dans leurs derniers retranchements. Je mettais donc approché de la belle demoiselle que j'avais emmené avec moi pour faire la fête et finalement il fallait le dire que dans la piscine à présent, son regard de petite fille innocente posé sur moi, cela me donnait de belles idées mais qui lui plairaient sûrement moins que moi. Mmm je ne pouvais m'empêcher d'aimer cette envie de piment dans ma vie qui m'obligeait à tout faire sans jamais m'arrêter, douter ou réfléchir au bien ou au mal de la chose. Pour Faith les choses devaient sûrement bien être différentes après tout, elle avait l'air beaucoup plus réservée que moi et surtout, beaucoup plus calme et même si elle semblait assez déchirée, je ne doutais pas du fait que j'y étais pour beaucoup à essayer de la pousser dans ses extrèmes. J'avais donc rapproché mon corps du sien pour presque le coller et après déposé une main sur sa hanche avec un sourire. Sa peau mouillée avec touchée mes lèvres et je mettais reculée pour enfin regarder sa réaction. Je l'a voyais dévorer ma poitrine du regard et dévorer tout ce qui était visible pour elle. J'imaginais ce qu'elle devait ressentir. Moi, rien ne me retenait ou peut-être le fait que Drew n'allait sûrement pas être d'accord. Mais d'un côté je l'imaginais bien vouloir carrément regarder et me reprocher de ne pas l'avoir invité. Mais la jeune femme essaya alors de s'éloigner. Je sentais l'incompréhension dans son regard. Elle en voulait, elle voulait sûrement continuer je sentais le désir que mon corps pouvais lui procurer dans son regard. Et puis il y avait cette autre lueur. Celle qui essayait tant bien que mal de lutter contre les effluves d'alcool qui lui faisaient tourner la tête et qui brouillaient ses idées au point d'en venir à vouloir tester tout ce qui me passait par la tête car moi je ne réfléchissais pas. Réfléchir c'était douter, s'arrêter et renoncer. Je ne renonçais à rien, je faisais sans conscience comme ça pas de regret. Tu devrais te détendre, on a encore des heures autour de nous, me dis pas que t'es pas bien là. Et puis je la sentis ne plus en pouvoir. Elle craquait littéralement. Les drogues, les drogues oh oui c'était sûrement ça. Pourtant elle n'en avait ingéré qu'une de ces fameuses pilules et l'eau aurait dû normalement essayer de lui remettre les idées en palce. Pourtant les choses ne semblaient pas se passer comme ça. Elle ne devait pas avoir l'habitude et je comprenais que l'état dans lequel elle se trouvait pouvait lui faire vraiment peur. Chuut. Calme toi, regarde moi. Tu peux contrôler ça, il faut juste que tu respires et que tu te laisses aller. Me voila qui la ramenait vers moi lui tenant le visage entre mes mains pour lui parler avec une voix plus douce mais aussi qui lui montrait que j'avais le contrôle de la situation et que sur ce coup-là elle devait me faire confiance. J'eus un sourire voyant que sa respiration se calmait. Il était claire qu'il valait sûrement mieux sécher la belle blonde mais je ne pus m'empêcher pour qu'elle craque encore un peu plus d'embrasser ses lèvres de nouveau mais rapidement. Bon, si tu veux sortons, je sens que je ne te met pas à l'aise. Je me demande de quoi ça vient... Gentille Bonny, je lui donnais enfin la possibilité de contrôler sa soirée. En même temps vu l'état dans lequel elle était, un proccès était mal vu pour moi si la petite blonde faisait quoi que ce soit. Après tout, elle était chez les gammas et je me disais toujours qu'elle cachait bien son jeu.

La panique s’envolait rapidement, laissant place à la voix de son amie. Si étrange situation, si curieuse réaction. Un instant décontenancée, elle ne su comment réagir. Elle resta, là, bêtement, à fixer Ebony et plus particulièrement ses lèvres pulpeuses… Vertes ? Oui vertes et alors ?

Ce qu’elle était bien entre ses mains. En parfaites copies, celles de Faith se relevèrent sur son amie pour lui enserrer les épaules. Le besoin de la sentir demeurait si violent que Faith ne pu résister. Cette voix lui chatouillait sa peau de soie et le souffle d’Ebony caressait ses lèvres d’une volupté violine. Leurs corps se frôlaient. Faith pouvait le sentir contre sa peau comme une musique. Etrange sensation que de mélanger les sens entre eux. Les champignons provoquaient des effets que la blonde apprenait à apprécier grâce à son acolyte. Le regard ne quittait plus celui de la plus âgé, comme pour s’assurer que le monde demeurait bien là, qu’elle en avait toujours le contrôle. Si Ebony jouait la musique, impossible d’avoir peur non ?
Aux lèvres contre les siennes, Faith ferma instantanément les yeux dans un soupir de bien être. Malgré elle, ses lèvres répondirent au contact en laissant un gémissement d’envie mourir au creux de sa gorge. Bien sûr qu’elle désirait la gamma et qu’Ebony, grâce à ses attentions, était parvenu à taire les résistances de la blonde. Jamais personne ne s’était montré si attentionné envers elle. Un peu de gentillesse d’offert de la plus jeune tombait dans le panneau. C’était si rare !

Faith perdit pieds en entendant le désir de la brune pour sortir de la piscine. Quelle étrange idée ? Avait elle pensé ainsi à un instant ? Elle avait oublié ! Sans réagir outre mesure, Faith sourit bêtement en levant la main en l’air pour entrainer la gamma à faire la même chose. Dans un rire, la blonde agita ses doigts dans les airs.

« On est siamoise de la police ! N'empêche, ils avaient l'air bête! J'espère que c'était pas contagieux! » Ria Faith « Et ca fait bling bling et ca brille… »

Super, avec une telle réaction, Ebony ne risquait pas d’aller bien loin. Il semblerait que Faith replonge lentement mais surement dans le monde de l’enfance. Et voilà, Faith baissait le bras, entrainant Ebony avec elle puis releva le bras, puis le rabaissa, puis le redressa...

EBONY&FAITH

J'essayais toujours de la dévergonder comme si j'avais quelque chose à prouver, que je devais lui montrer qu'entre nous deux malgré tout ce que je ne savais d'elle, c'était moi qui contrôlait sa vie étudiante car en étant présidente on avait droit sur tout. Un sourire en coin des lèvres lorsque je l'a voyais s'extasier sur mon corps, sur mes lèvres et lorsque je la voyais toucher mon corps avec tellement d'envie que je me demandais si elle n'était pas comme moi tout conte fait. Elle ne disait rien, semblait bien trop fragile pour penser faire certaines choses comme je pouvais l'orchestrer et pourtant, elle avait envie de moi tout comme j'avais envie de profiter de son corps tant qu'elle était encore sous pilule. Après tout, lorsqu'elle se réveillerait, j'imaginais déjà l'horreur se peindre sur son visage d'avoir fait autant de choses plus qu'inconvenant. Peut-être qu'elle n'était pas du tout le genre que j'imaginais mais comment le savoir lorsqu'elle faisait partie des gammas ? J'avais besoin de fouiller son passé, d'en savoir plus sur elle mais à défaut de savoir ce genre de choses sur elle, je me contentais de la taquiner avec mes faits et gestes. Et puis alors qu'elle m'enserrait de ses bras j'avais vraiment l'impression à présent d'être cruelle. Oh oui, pauvre petite chose avec laquelle je pouvais aisémment jouer et avec laquelle j'avais tant de facilité à contrôler, rabaisser si je le voulais et manipuler à ma guise pour qu'elle m'offre ses lèvres et son corps malgré que son cerveau lui dictait de fuir. Un sourire sur les lèvres qui s'effaça très vite lorsqu'elle se mit à s'amuser avec les menottes que nous avions au poignet et qui nous ralliait malgré moi. Je craquais littéralement, mon poignet commençait à me faire mal et pour combler le tout, la jeunette commençait à me faire peur avec ses remarques et sa manière d'être. J'aurais pu suivre ses délires malheureusement pour moi, les drogues redescendaient et lorsqu'on était pas du tout dans le même trip, il était bien difficile de suivre celui d'une personne qui était déjà dans un tout autre monde. Gosh qu'avais-je fait, j'avais l'impression que chez elle, les choses ne semblaient pas s'arranger et pire encore elles s'accentuaient. Merde, j'aurais peut-être dû lire les effets secondaires de mes fameuses petites pilules avant de lui en fournir mais je n'avais jamais pensé que ces fameux effets pourraient avoir lieu en ma présence. Après tout, la plupart du temps je droguais et laissais tomber une fois que je mettais amuser avec ces fameuses personnes. Non, je n'avais pas pour habitude de me retrouver attacher à mes victimes. Voila pourquoi je me posais des questions sur l'état mentale de la jeune femme. Ma petite Faith, je crois qu'il est tant pour toi de redescendre. Je pris enfin le contrôle des choses bien qu'il était vrai que depuis que nous étions dans la piscine c'est ce qu'il s'était passé. Je la poussa et l'aida à sortir de la piscine pendant que je me hissais de la même manière ce qui était légèrement compliqué lorsque nous étions attachées par les poignets. Viens faut qu'on nous enlève ces trucs là, je ne vais sûrement pas restée comme ça toute la nuit ! Et me voila qui l'entraînait de nouveau dans la maison. J'attrapai une serviette que je découvrais dans une des pièces pour venir la mettre sur les épaules de la demoiselle avec un sourire et commença à frictionner son corps en me mordillant la lèvre inférieur. J'avais réellement envie de jouer avec elle. Mais pour l'heure, il fallait me débarasser de ces menottes c'est pourquoi j'attéris dans le garage et forcément, une belle boîte à outil était installé sur une table. Je pris donc la scie à métaux et posa nos poignet sur un socle en bois. Non mais si on me voyait, les gens rigoleraient bien. Effectivement, les travaux manuels n'étaient pas mon fort mais alors que je redoublais d'efforts, le fer se cassa alors nous libérant toutes les deux de l'emprise que nous avions sur chacune. Et que la lumière soit ...Un sourire victorieux aux lèvres, j'attrapai la jeune femme par la main et la fis monter enfin les escaliers de la maison. MAintenant libre nous pouvions aisément visiter la demeure c'est pourquoi je me retrouva - oh surprise - dans la chambre principal sûrement celle des propriétaires et j'eus un sourire envers Faith. J'ai l'impression que tu devrais te reposer ma chère Faith...

Faith ne subissait en rien les effets de la drogue qu’Ebony lui avait donnée puisqu’elle ne l’avait pas prise. En revanche, elle était sous l’emprise des champignons présents dans la boisson qu’elle et Ebony avaient bue avant d’entrer dans la piscine.

Docile, la blonde quitta la piscine en observant les courbes dansantes de sa partenaire de soirée. Les couleurs chatoyantes, le monde chaleureux et les formes mouvantes ne l’inquiétaient plus. Ebony avait promis que tout irait bien et Faith avait envie d’y croire. Se laissant frictionner, Faith se sentait trop émerveillé par le monde autour d’elle pour réaliser quoique se soit. Dans un parfait mimétisme, elle attrapa une autre serviette pour essayer de couvrir Ebony. Essayer oui… Car le monde bougeait tellement devant elle que Faith se reprit une dizaine de fois avant de trouver les épaules et non le ventre, le vide ou la poitrine. Mais la suite fut encore plus amusante. Pouffant de rire en voyant la brune manier l’outil, Faith ne cessa de vouloir l’embêter en remuant le bras pour faire sortir de l’alignement de l’outil la chainette en métal. A chaque raté, Faith riait de plus belle. Quand Ebony eut terminée, Faith ria de plus belle en lui montant la pince à métaux.

« Ca aurait été plus facile quand même. »

Mais pas le temps de tergiverser. La plus âgée ouvrit le bal d’un nouveau jeu. L’exploration de la maison ! Un jeu que Faith connaissait plutôt bien pour avoir souvent commit des effractions. Elle remarqua d’ailleurs à peine rentré dans la chambre que le tableau sur la droite devait camoufler un coffre. Un classique. Le mur était beaucoup trop épais à comparer de celui du couloir.

« Me reposer ? Dans la pièce du coffre ? » S’exclama Faith en riant. « Toi tu crois que le magot est sous le lit ! »

Mais Faith avança dans la pièce en serrant la serviette contre elle pour lutter contre le froid. Remontant l’ensemble sur ses cheveux, elle en séchant les bouts humides en frottant. Le coffre lui importait peu à présent. Les draps avaient bien plus d’intérêt.

« C’est de la soie ! » S’écria Faith en caressant le dessus de lit.

Les propriétaires devaient être drôlement riches pour dormir dans des draps pareils ! Les doigts coururent sur la soie si douce, si délicate. Parfaite ! Même la serviette en coton de luxe forçait au respect.

Malheureusement, un bruit éveilla l'oreille de Faith! Merde! Une voiture dans l'allée! Aussitôt, Faith attrapa Ebony pour l'entrainer en bas, attraper les affaires et dévaler à tout va dans l'arrière. Dans un rire, elle sauta par dessus la petite barrière blanche. Ebony avait l'air ailleurs tandis que Faith redescendait. Elle en profita donc pour coucher Ebony malgré tout et partir rejoindre sa chambre. Elle la détestait... si si!

EBONY&FAITH

Les choses allaient en s'accélérant et en vue de l'heure je me disais que le soleil n'allait pas tarder à se lever. La jeune femme me suivit et je ne pus m'empêcher de regarder ses courbes avec un oeil coquin. Oui, j'avais beau me dire que j'étais en couple, je ne pouvais aussi m'empêcher de me dire qu'elle était vraiment attirante. Ce qui était bien différent avec elle s'était ses petits airs de fille innocente et fragile. Et elle l'était. Sur certains points. Sur d'autres elle semblait bien plus effarouchée et je me demandais comme elle allait réagir le lendemain de cette fameuse nuit qui avait promis du début à la fin. Il fallait voir où en était à présent. C'était le genre de soirée que j'appréciais particulièrement et je me disais que finalement j'aurais pu en repasser de telles encore et encore la preuve que la jeune femme m'avait marqué. Elle me suivit donc et n'eus de cesse de me faire rater mon plan de nous détacher. Elle m'insuportait et me faisais rire en même temps. Drôle de phénomène et j'étais sûre que même sans les drogues la chose aurait été la même. Sourire en coin je nous détacha enfin. Je ne pus m'empêcher néanmoins de grimacer lorsque je vis la pince qu'elle me tendais. Ok ça aurait pu être mieux. Levant les yeux au ciel, je ne pus m'empêcher de prendre la pince et de la balancer. Je me fichais bien que les propriétaires découvrent que la maison avait pu être occupée pendant leur absence, la chose me semblait même plutôt amusante à vrai dire. C'est pourquoi je laissa l'outil retomber bruillament sur le sol puis entraîna à ma suite la jeune Faith pour explorer la maison et me retrouver dans la chambre. Un rire à sa remarque. Oh oui nous aurions pu dévalisées la maison mais après tout où en était l'intérêt finalement ? Je m'en fichais bien et n'avais pas envie d'argent ou autre. En faîtes lorsque j'avais besoin de fric, je vendais sois de la drogue ou arrondissait mes fins de mois en volant le compte en banque de pauvres débiles riches qui avaient cru capable de m'avoir dans leur lit sans en payer le prix. J'aurais pu passé pour une pute et alors ? Je me fichais bien de ce que je pouvais penser de moi du moment qu'ensuite je m'en sortais sans soucis en ayant encore blessé quelqu'un sur mon passage ! Bon bien sûr, dorénavant je ne pouvait rien faire dans ce sens-là alors je pratiquais d'autres méthodes. Pas de sexe malheureusement mais assez de charmes et d'usage pour pouvoir avoir ce que je voulais au final. C'est pourquoi l'argent caché dans la baraque ne m'intéressais guère. Elle toucha les draps en soie et je ne pus m'empêcher de la regarder avec envie. L'allonger là, embrasser son corps encore trempé. Je ne pus m'empêcher de me mordre la lèvre inférieur mais malheureusement, au moment où je m'approchais d'elle, on attendit une voiture se garer devant la villa. Merde, ils arrivaient vraiment au mauvais moment ces abrutis ! Faith me prit par la main et je ne réagis pas. J'aimais le risque et j'étais sûre que j'aurais pu rester encore assez de temps jusqu'à ce qu'ils me surprennent mais je décida qu'il était mieux que je déguerpisse avec mon amie c'est pourquoi je la suivis, sauta par la fenêtre pour me retrouver en bas dans la rue. Courant à s'en crever les poumons je ne pus m'empêcher de rire puis elle se dirigea vers la résidence et je la suivis. C'est là que nous nous séparâmes mais tout en la regradant s'éloigner, je me disais que ce ne serait pas la dernière fois que nos chemins se croiseraient car elle m'avait bien surpris ce soir là...