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❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june)

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MessageSujet: ❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) ❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) EmptyVen 14 Sep - 22:04

❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) Tumblr_m236afE22f1qcsno6o2_250❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) Tumblr_m236afE22f1qcsno6o1_250
Forget the world, 'cause it's gonna be me and you tonight.
A guy and a girl can be just friends, but at one point or another, they will fall for each other. Maybe temporarily, maybe at the wrong time, maybe too late, or maybe forever. - Jules + June. ♥

1 heure 05 : Vendredi quatorze septembre, Lexington Club. - J'aurai pu me trouver dans mon lit à une heure aussi tardive comme certains étudiants le faisaient actuellement, tentant de reprendre un rythme de vie normal avant le début des cours. Mais j'avais décidé au contraire, de profiter de mon dernier weekend afin de faire des folies avant le début officiel des cours qui se trouvait être la semaine suivante. Ce que ces vacances étaient passées si vite. Il me semblait que c'était juste hier où j'avais fêté mon année validée à la Sorbonne puis mon acceptation à celle de Berkeley. Mais en réalité trois mois s'étaient écoulés entre temps. Entre mes nombreux voyages entrepris en juin et juillet, puis mon installation en août à San Francisco, je n'avais pas vu le temps passé et voilà que désormais l'automne était en phase d'arriver et la rentrée pointait le bout de son nez. Je n'étais pas de ces gosses qui maudissaient la rentrée scolaire, bien que je détestais devoir me lever tôt pour assister au cours, parce que j'étais toujours fervent de nouvelles choses et il se passait toujours des événements lors des différentes années scolaires. Que ce soit de nouvelles rencontres ou simplement des retrouvailles, j'étais certain que cette année ne manquerait pas de rebondissement. Mais bien entendu qui disait 'reprise des cours' voulait également dire 'moins de fêtes' à mon grand damne. Il ne m'en fallait pas plus pour me servir de cette excuse pour m'autoriser un brin d'amusement ce soir. Certains epsilons que j'avais rencontrés durant le mois précédent se rendait au club Lexington ce soir, et ils m'avaient gentiment proposé de les y accompagner. Cela me surprenait la vitesses à laquelle, j'avais été intégré dans ma confrérie. Après tout, les epsilons étaient réputés pour mener la vie dure à ses nouvelles recrues. Il semblait que le fait d'être un Petrov-Versier m'avait épargné le privilège de me faire bizuter. Comme quoi même si Manon ne faisait plus partie de l'université, sa fureur continuait d'effrayer, parce que nul doute que j'aurai été me plaindre à sa personne, si quelconque avait osé m'enquiquiner, et nul doute qu'elle aurait rappliqué sur le champ pour détruire cet enquiquineur. En attendant, j'étais respecté comme un ancien et n'avait donc pas besoin des services de ma diablesse de sœur. Pénétrant dans le club branché de San Francisco, sur les traces de mes deux compatriotes de confrérie, nous nous dirigeâmes directement vers la partie la plus calme du club pour prendre quelques verres, histoire de faire passer cette musique techno un peu mieux, parce qu'elle me tapait pour le moment vraiment sur le système. Un rapide coup d’œil dans la salle m'indiqua que la moitié des personnes présentes ce soir, se trouvaient déjà être bien saouls, l'autre moitié l'était définitivement. Le club avait beau être l'un des plus prestigieux de la ville, je ne doutais pas un seul instant que certaines personnes allaient finir leur soirée dans des positions compromettantes à faire des choses compromettantes dans des lieux compromettants. Et par cela, j'entendais baiser dans les toilettes. Quelques cinq shots plus tard, je riais à la blague que Lewis venait de dire, sans vraiment être sûr de quoi il parlait ou si même c'était vraiment une blague. Je n'avais pas l'alcool mauvais et je pouvais me vanter d'assez bien tenir ce breuvage, contrairement aux nombreuses personnes qui m'entouraient. J'étais simplement bien plus spontané et audacieux qu'au naturel, lorsque mon sang se transformait en alcool. Précisons tout de même que j'étais de toute façon déjà très spontané et audacieux au naturel. « Juuuuuuuuules, choisi une fille ! Tu dois t'en taper une ce soir ! La dernière des vacances ! » Criait dans mes oreilles Preston alors que Lewis venait de disparaître vers la piste de danse en charmante compagnie. Riant même si mon ami n'avait rien dit d'amusant, je haussais les épaules, ne sachant vraiment pas quoi répondre à sa question. Le nombre de filles présents dans le club ce soir était très grand, mais le choix était plutôt mince étant donné que je jouais toujours au difficile. Je n'étais pas un adepte de se taper la première fille sous prétexte d'être en manque ce soir-là. J'avais mes critères, ce qui enlevait les filles trop saoules qui risquaient de me vomir dessus pendant l'acte, celles trop vulgaires, celles pas assez belles et celles trop pressées de dire oui. Parce que si le sexe était une bonne façon pour passer un agréable moment, la 'chasse' était un réel plaisir également. Celles qui se jetaient à mon cou étaient donc exclues d’emblée. « N'fais pas le difficile allez ! Regarde celle là ! Si tu ne tentes rien, c'est moi qui la saute, je te préviens ! » J'ouvrais de grands yeux alors que Preston, lâchait son jargon habituel tout en parlant d'une fille. Ce n'était pas le fait qu'il parle d'une fille de la sorte qui me choquait, parce que après un mois passé en sa compagnie, je commençais sérieusement à être rodé et son langage plus que familier ne me dérangeait plus, non ce qui me dérangeait là tout de suite, c'est que je connaissais la fille qu'il me désignait du bout du doigt. Je la connaissais plutôt bien à vrai dire. Elle se prénommait June et était une amie de longue date de Dylan. Ou tout du moins, elles l'avaient été avant de se brouiller pour une histoire que je n'avais même pas chercher à comprendre. Nous n'étions pas vraiment amis, mais nous étions plus que de simples connaissances. Pour tout vous dire, elle avait été mon fantasme durant plusieurs années. Un petit béguin innocent d'adolescent, et en la revoyant ce soir entrain de danser coller/serrer à un autre homme, je devais bien avouer que ce béguin refaisait soudainement surface. J'étais quelques peu abasourdi par sa soudaine apparition, j'en restais muet quelques secondes, ce que mon pote prit pour un signe comme quoi elle était toute à lui. Il se levait de son tabouret, son sourire fier à la con sorti. Me levant rapidement à mon tour, je lui barrais la route de mon épaule. Si quelqu'un devait être en sa compagnie ce soir, cela devait être moi. « June est à moi, elle ne joue pas dans la même cour que toi. » Surpris, il ne protesta cependant pas et me laissa la rejoindre sans oublier de me donner une tape sur l'épaule pour m'encourager. Il pouvait bien se garder ses encouragements, il s'agissait de June, je n'en avais absolument pas besoin. Plus je me rapprochais d'elle et plus je constatais qu'elle avait l'air d'avoir profité des nombreuses boissons alcoolisées qu'offraient le bar. Elle dansait trop près de cet inconnu à mon goût. Sans prévenir, je bougeais le type d'un coup de coude bien placé et prenait sa place. Posant mes mains sur ses hanches et embrassant sa joue du bout des lèvres, je murmurais bientôt à son oreille. « Arthur est fou de te laisser venir ici toute seule. Ne se rend-t-il pas compte, que tous les yeux sont braqués sur toi ? » Arthur était l'idiot qui lui servait de copain, je n'avais jamais rencontré cet énergumène mais je savais déjà que je ne l'appréciais pas. Moi jaloux ? Si peu. Aux dernières nouvelles, il était son petit-ami et le simple fait de laisser June sortir dans ce club seule, prouvait bien qu'il était un attardé. Combien d'hommes présents ce soir allaient essayer de la mettre dans leur lit ? Heureusement pour lui, désormais j'étais là et j'allais m'assurer que personne ne profite de la situation. Parce qu'il m'était tout simplement interdit de moi-même tenter quelque chose. J'allais simplement m'amuser innocemment avant de la ramener dans son lit. J'étais d'un naturel séducteur et dragueur, et encore plus quand la fille me plaisait vraiment, ce qui était bien entendu le cas de ma jolie copine de la soirée. « J'ai l'impression que quelqu'un a abusé de l'alcool ce soir, je me trompe ? » Lui demandais-je rieur, alors qu'elle m'enlaçait avec fougue. Il est vrai que cela faisait un certain temps que nous ne nous étions pas vus. Je me demandais ce qui avait changé dans sa vie depuis. Attrapant sa main, je la guidais hors de la piste de danse pour pouvoir parler plus tranquillement avec elle. Je remerciais intérieurement Lewis de nous avoir réservé le carré vip 'au cas où ', nous y serions tranquilles. Je la laissais prendre place à mon coté sur l'un des sofas rouges avant que devant nous se trouvait une table basse où une bouteille de champagne et plusieurs coupes y étaient aménagées. « Ça fait du bien de te revoir. Fêtons cela ! » Annonçais-je fébrile, en prenant une coupe et en lui tendant une seconde. J'étais conscient que nous avions déjà assez bus l'un et l'autre, mais puisque le champagne était frais, il méritait d'être bu. Je fis légèrement cogner mon verre contre le sien avant de le boire d'une seule traite. « Au fait, tu es encore plus belle que dans mes souvenirs. » Maintenant que les bulles de champagne se mélangeaient à l'acide de la vodka, la soirée promettait d'être incendiaire.
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Wren Rosenbach
there's no place like berkeley
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MessageSujet: Re: ❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) ❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) EmptyLun 17 Sep - 15:50

PRESENTATION A VENIR

    I’m gonna get wasted!!!! Oh fuck yeah I’m gonna be. J’en étais à déjà une dizaine de verres à mon actif, tous les alcools différents y étant passes. Vodka, Get, Tequila, shooter et non shooter, cocktail ou culs secs, j’avais testé de tout, pour le plus grand plaisir du barman, qui gagnait une quantité folle d’argent. A coup sur, je lui faisais son chiffre d’affaire de la soirée. Evidemment, il savait y faire. Me faire parler, me faire cracher sur Arthur, ou encore sur Jodie, le barman avait tout compris à mon soucis et il semblait avoir trouvé la solution idéale – bien que temporaire – à mon problème, à savoir : me souler. L’alcool parfois, ne me réussissait guère. Preuve, je pouvais me mettre à péter un plomb, à crier comme une folle contre vents et marées, juste pour le plaisir de crier – ô désir suprême - . Mais parfois, je pouvais me retrouver à pleurer toutes les larmes de mon corps, comme si le monde s’était arrêté, ce que l’on appelle communément un bad trip. Et bien entendu, je passais forcément par la catégorie : je fais ma grosse chaudasse de toute façon je ne me souviendrais plus de rien demain. Oui mais non. June, qu’elle se souvienne ou non du lendemain, elle s’en fout, elle adore faire sa chaudasse. Liberté retrouvée, liberté utilisée, étant le nouveau slogan que j’abordais et que je comptais bien honorer. Arthune n’était plus, Arthune n’existait même plus pour Savannah. Ma vie avait clairement pris un tournant auquel je n’aurai certainement pas pensé ces derniers temps. Ma mère était décédée, à la suite de quoi je m’étais mise en couple avec Arthur, ce que j’avais officialisé lors du bal de fin d’année. Choc post-traumatique ? Aucune idée mais ce n’était certainement pas à exclure. J’avais donc pendant tout un été – et dire que l’été est la saison où j’étais capable d’afficher un tableau de chasse record… - mené une vie de monogame, ne me concentrant que sur Savannah et Arthur, pour le plus grand plaisir de ce dernier. Cela faisait près de deux ans et demi que l’ancien epsilon me tanait pour que l’on devienne un couple, un vrai couple, sans conditions, sans papillonnages, sans rien pour nous distraire. J’avais bien entendu mené la barque durant ces deux ans et demi, le laissant à ma merci, choisissant de vivre comme je l’entendais, sans qu’il ne puisse dire quoi que ce soit. J’avais bien entendu été voir à droite à gauche, ce qu’il savait –tout en ne le cautionnant pas – et tout en sachant que lui, bien trop gentil et idiot qu’il était, ne faisait pas, pour un prétendu respect pour moi. Il aurait pourtant pu à de nombreuses reprises profiter des plaisirs charnels d’autres corps, d’autres jeunes femmes, mais non. Il n’aimait qu’une seule femme : moi. Et voilà que monsieur, dès le moment où nous nous sommes mis en couple, avait décidé d’aller faire un tour ailleurs voir comment était les autres pâturages, en la personne de Jodie, MA Jodie. Quel con. Résultat des courses, je l’avais viré de mon appartement, il avait quitté le pays, laissant derrière lui sa fille d’un an et demi. Pour moi c’était clair, il était hors de question qu’il ne revienne un jour reprendre sa fille, famille royale anglaise ou non. Quant à Jodie, ma foi, je devais reconnaître qu’elle avait admirablement bien menée sa barque, et m’avait bien roulée dans la farine. Mais dans ses petits calculs, elle n’avait oublié qu’une chose : qu’une June vexée, trahie et en colère, est une June prête à faire de votre vie un enfer. Go to hell bitch ! En somme, voilà la situation et voilà pourquoi je m’étais retrouvée dans ce bar, en compagnie de Koda – ô surprise – pour seul objectif : me bourrer et profiter de la soirée comme il se devait. Je faisais donc les beaux jours du cher barman, et mon amie Iota se faisait une joie de ce revirement de situation. Elle y voyait en cela, un moyen de récupérer l’ancienne June, la June dragueuse, pétasse et arrogante. Hell yeah, I’m back. Voilà donc pourquoi, une fois mon quinzième verre ingurgité – vraisemblablement un get – j’étais venue sur la piste de danse, suivant un charmant jeune homme, désirant « m’envoyer du rêve » à ce qu’il me disait. Du rêve ou pas, je n’attendais de lui qu’une seule danse où je pourrais me faire plaisir. Un petit coller serrer, le petit déhanché pour lui donner envie, j’étais à peu près sur qu’il pensait que c’était dans la poche. En même temps ? Ca l’était. J’avais bien l’intention de me faire plaisir avec lui, et de profiter des plaisirs de la vie avec une autre personne qu’Arthur. Pourtant, cette danse en sa compagnie fut de courte durée. Mon corps passa entre de nouvelles mains, celle d’un jeune homme dont le visage ne m’était pas inconnu. Qu’importe, sur l’instant il était beau, et c’était bien là tout ce que je lui demandais. Il apposa un baiser sur ma joue, et instinctivement, je me retournais pour lui faire face et surtout pour découvrir avec plus de précisions que le jeune homme n’était autre que Jules Petrov-Versier. Oh My God ! Le petit Petrov Versier à Berkeley et aussi sexy ? J’avais l’impression de dessouler d’un coup tant la nouvelle me surprenait. Le jeune homme avait longtemps représenté pour moi le petit frère tout mignon de Dylan, petit frère que j’adorais emmerder. Maintenant, le petit frère tout mignon était devenu un beau jeune homme magnifique, que j’allais adorer emmerder mais d’une autre manière. Je l’entendis alors me glisser à l’oreille quelques mots sur Arthur et le fait que ce dernier me laissait seule dans une boite où tous les regards étaient braqués sur moi. Ah, la nouvelle n’avait donc pas encore fait le tour de Berkeley ? J’allais donc pouvoir me faire un plaisir de la lui apprendre. « Arthur n’est plus dans le paysage ! Mais que les regards soient braqués sur moi ne font que confirmer que mon célibat est certainement l’une des meilleures choses qui me soient arrivées. » Ses mains posées sur mes hanches, je me fis lentement glisser le long de son corps, tout en sensualité, tout pour lui faire comprendre que je ne jouais pas chez les enfants, mais bien dans la cour des grands, et que s’il désirait jouer, il allait devoir me suivre. Je l’entendis d’ailleurs insinuer que j’avais abusé de l’alcool, à juste titre. J’eus pour réaction de l’enlacer avec un grand sourire, avant de lui souffler à l’oreille « la nouvelle June en avait marre de vivre dans un couvent, alors la nouvelle June est de retour. » Jules étant français comme moi, il devait vraisemblablement remarquer que je me mettais à parler de moi à la troisième personne, tout comme un certain Alain Delon. Sans me dire un mot, je le sentis me prendre la main et me guider vers je ne sais où. De toute manière, dans l’état où j’étais – et même dans n’importe quel état- je l’aurai suivi un peu n’importe où. Mais point de lieu coquin pour nous deux, simplement le carré vip où je m’affalais sur l’un des canapés, avant d’allonger mes douces jambes sur Jules. Ce dernier me tendit un verre de champagne, à laquelle je tchinais dans un grand tintement de verre. « Cheer !! A nos retrouvailles petit Juju ! » Vieux surnom remontant à l’époque du lycée, remis au goût du jour par le trop plein d’alcool. Préférant le boire avec finesse et lenteur, je reposais mon verre sur la table et plongeais mes yeux dans les prunelles de Jules, au moment même où il choisit de me complimenter. « Et que devrais-je dire de toi ? J’ai quitté un petit garçon pour trouver un beau et magnifique jeune homme, qui doit très certainement en faire baver plus d’une ! » Mais raté, c’est moi qui suis à ses côtés, et hors de question de le laisser partir maintenant. Pas d’engagement au programme cette fois, hors de question que je ne m’embarque encore une fois dans quelque chose de ce genre, mais simplement du plaisir, et étrangement, j’étais sur de pouvoir en trouver en sa compagnie. « Et toi, dis moi donc, que fais-tu à Berkeley ? Aux dernières nouvelles, tu faisais les beaux jours de la Sorbonne ! » L’interrogeai-je, curieuse de savoir ce qui l’avait amené en Californie. Mes jambes posés sur les siennes, je finis malgré tout par me rapprocher de lui, pour n’avoir que quelques centimètres d’écart entre son visage et le mien, une proximité que j’appréciais grandement. Sa main posée sur ma cuisse, je sentais que la tension risquait grandement de monter d’un instant à l’autre. Ce soir était définitivement celui où j’enterrerais le souvenir du petit garçon Jules pour en faire naître un nouveau, celui du jeune homme sexy et à croquer.
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MessageSujet: Re: ❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) ❝ i'm gonna make you feel like you're the only girl in the world. (june) EmptyLun 5 Nov - 14:13

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