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feels so good being bad . JAYMES

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MessageSujet: feels so good being bad . JAYMES feels so good being bad . JAYMES EmptySam 25 Aoû - 16:36

Je n’avais jamais réfléchis à la manière dont je m’y prendrais si Perdita venait à m’échapper, si je la sentais distante, si je la sentais plus du tout amoureuse. En fait, je n’osais pas y penser. Ce serait ma mort, je n’aurais plus qu’à prendre un revolver et me tirer une balle dans la tempe. Je ne voulais pas vivre et la voir batifoler avec un autre, l’embrasser langoureusement. Pour moi, elle était entièrement mienne. Jaloux le Isaac ? J’avoue c’est l’un de mes plus grands défauts et ceux qui s’approchent trop prêt de ma chère et tendre en prennent pour leur grade. M’enfin, pour le moment je n’ai pas trop à me plaindre même si ces derniers temps, les escapades nocturnes de mon italienne préférée me font de plus en plus peur. Elle qui était il y a encore quelques mois posée, réfléchie, mature, se retrouve toutes les nuits dans les bars et boîtes de nuit de San Francisco. Et croyez moi que pour un couple qui fait partie de la haute société, ce n’est jamais bon signe. J’essayais tant bien que mal de la résonner mais je savais qu’elle était grande et qu’elle savait ce qu’elle faisait. Alors je n’intervenais pas. Parfois je l’accompagnais en soirée, parfois je restais chez moi, dans mon lit, seul. Dur. Mais ne vous y méprenez pas, notre couple ne bat absolument pas de l’aile. C’est juste une passade un peu plus délicate. J’espère simplement que cette passade ne va pas s’éterniser même si le changement de confrérie de Perdita me laisse penser le contraire. Oméga. Les Omégas quoi ! Elle aurait pas pu choisir une autre confrérie ? Elle aurait pas pu me rejoindre chez les Epsilons par exemple ? Ou bien rester chez les Iotas ? Non, madame a choisi les Omégas. La pire confrérie de toute l’université limite. Mais encore une fois j’avais confiance en elle. Les Omégas allaient être beaucoup plus contrôlés dorénavant, merci Frederickson, et je doutais du fait qu’ils reprennent leurs activités d’avant leur dissolution. Et puis pourquoi je me fais du souci ? Perdita n’est pas du genre à se bourrer la gueule comme une ivrogne, elle n’est pas du genre à se droguer. Elle veut juste faire la fête comme elle l’a fait durant tout l’été. Et puis je suis sûr que maintenant que les cours reprennent, elle va se contrôler. Portable qui vibre. Je l’attrape, c’est elle. « Tu diras à Macauley d’arrêter d’essayer de me mettre dans son lit. » Macauley ? Vraiment ? J’eus envie de balancer mon téléphone contre un mur de la pièce dans laquelle je me trouvais. Mais non, je ne le fis pas, Jaymes aurait été bien trop content que je casse mon téléphone par sa faute. Je repris mon calme et réfléchit. Le gars le plus immonde de cette université sait pertinemment que je suis avec Perdita. Il sait également que je tiens à elle. Il sait également que je le déteste. Et lui, tranquille, il la drague. Rien de moins clair : il veut la guerre le connard, et puisqu’il la cherche, il va l’avoir croyez moi. Rencontrer un Isaac en colère n’est jamais bien bon. Je pris mon téléphone et appelait le numéro qui était indiqué sur internet comme correspondant à son domicile. Je voulais juste voir si il était là, je ne voulais pas lui parler, juste entendre le son de sa voix pour savoir si je pouvais lui rendre une petite visite. On décrocha à l’autre bout du fil, une voix féminine, alors je lui répondis. « Je cherche Jaymes, il est chez lui ? » Réponse négative. « Il est en stage au bureau du gouverneur, je peux transmettre un message ? » Je raccrochais. Alors ce petit veinard avait eu le droit à un petit stage chez le gouverneur. Quelque chose me disait qu’il n’allait pas y rester bien longtemps. Sans aucune hésitation je pris mes clés de voiture et filait en direction du centre de San Francisco, lieu où je pourrais trouver les locaux du gouverneur lorsqu’il se trouvait à San Francisco. On ne touche pas à ma Perdita, on ne touche pas à ma Perdita. Je m’énervais moi-même sur le volant de ma voiture, je le tapais, comme si il s’agissait de Jaymes. Ne t’inquiètes pas mon canard, dans quelques minutes c’est toi que je vais frapper. J’appuyais sur le champignon. Je roulais toujours un peu plus vite jusqu’à ce que je trouve un emplacement non loin des locaux du gouverneur. Je manquai de détruire le bouton de l’ascenseur qui menait à l’étage où se trouvait Jaymes. Oui, aujourd’hui j’allais tout détruire. Les portes s’ouvrirent et je m’adressais à la secrétaire qui m’indiqua le bureau de mon meilleur ami, Macauley-Brown. Je le vis, assis, comme un débile. Il me répugnait au plus profond de mon existence. « Tu as été pistonné ou comment ça se passe ? Pas que je doute de tes compétences mais ... si en fait, je doute. Comment un idiot de ta trempe peut se trouver au même endroit que le gouverneur du deuxième plus puissant état des Etats-Unis ? » Je commençais doucement. Je n’avais absolument pas envie de lui faire peur au petit. Je voulais y aller en douceur avant de lui asséner le coup fatal en ruinant totalement sa carrière. Qu’est-ce que je ne ferais pas pour la carrière de Jaymes ? Une chaise se trouvait en face du bureau de l’Epsilon, comme si elle m’attendait. Elle semblait me supplier de m’assoir, la chaise voulait de l’action je vous le dit. Ne pouvant résister, je m’assis. Je ne savais pas du tout sur quoi il travaillait alors, voulant m’informer, je lui pris des mains les papiers qu’il possédait. Faisant mine de les étudier, je lui pris un stylo pour barrer une ou deux choses qui me semblaient incorrectes. Oui, j’aimais ça lui rendre service. Je suis quelqu’un de généreux envers mes grands amis, ça se voit non ? En tous les cas, lui il voulait m’assassiner. « Oh, fait pas cette tête, je viens d’apprendre que tu veux te taper Perdita alors j’ai bien le droit de venir te rendre la vie impossible, non ? Ca me semble équitable à moi en tout cas. » Mon pauvre Jaymes, on t’a jamais appris qu’on ne doit pas contrarier Isaac Harros ? Je me plaisais dans le rôle de celui qui venait défendre son couple, ça m’amusait presque, surtout lorsqu’il s’agissait de l’abruti que j’avais en face de moi en fait. Cela faisait une occasion de nous voir, vous comprenez ? Cela faisait tellement longtemps que j’avais envie de lui rendre une petite visite, il me manquait tant. Euh, je divague là. M’enfin toujours est-il qu’aujourd’hui était le grand jour. J’allais pouvoir enfouir Jaymes si bas sous terre, qu’il n’allait jamais pouvoir se relever. Et puis ça lui passera l’idée de s’approcher une nouvelle fois de Perdita.
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MessageSujet: Re: feels so good being bad . JAYMES feels so good being bad . JAYMES EmptyDim 21 Oct - 22:18

corbeille
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