| | | thea ;; ❝ cause i remember every sunset, i remember every word you said, we were never gonna say goodbye. ❞ |  |
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Invité Invité
 | | Sujet: thea ;; ❝ cause i remember every sunset, i remember every word you said, we were never gonna say goodbye. ❞ Sam 25 Aoû - 10:57 | |
|   ❝ Tell me what you know about dreams. ❞ thea i. mika gray-scott & r. jillian-birkin wayne ;; eight o' clock in the morning, to hard to give, to hard to live, i can't stop dreaming. do you know what i'm in ? you make up your angry eyes, you stay hidden but i see you smile, i wanna stay inside your arms, i want to feel fine. twenty minutes and i'm ready, it's not raining today, i'm late and i must hurry welcome to my way. i don't wanna wet us i'm sorry, it's not raining today. the light i can see. time is running out, ghost keeping me alive, i get what it means, you have to survive ;; skip the use • ghost.
En y pensant, c'est vrai que Jilian n'était pas depuis très longtemps à Berkeley, en Californie ou encore dans son nouvel appartement. Deux mois aujourd'hui, deux mois qu'elle tentait désespérément de récupérer Hunter, sans grand succès. Des coups de fils, des messages, elle essayait par tous les moyens que tout redevienne comme avant entre eux mais pour être honnête, plus les jours passaient et plus elle pardait espoir. Hunter se montrait tellement réticent à cette réconciliation. Il la fuyait comme si elle était porteuse d'une maladie incurable ou comme si elle allait le faire souffrir à nouveau s'il le lui reparlait. Elle était à court d'idées et le pire dans toute cette histoire, c'est qu'elle n'avait personne à qui en parler. Pour le jeune Flanders, Jillian avait quitté sa ville dans laquelle la demoiselle se sentait si bien, Manhattan. Elle avait tout plaqué pour lui, ses amies, sa famille ainsi que ses habitudes. Sa meilleure amie, elle, était restée à New-York et avait du mal à digérer son départ précipité. Tout comme mon avare de mère. Tous les jours, elle tentait en vain de contacter sa fille, pour la faire revenir et la faire regretter d'être venue ici. Même si entre Hunter et elle, rien ne s'arrangerait, elle était tout de même heureuse ici, en Californie finalement. Son nouvel appartement luxueux dans le centre lui plaisait, la ville lui plaisait et certaines personnes dont elle avait fait la connaissance la poussait à rester dans son nouveau chez elle. Pourquoi partirait-ellei après tout ? Jillian ne supportait plus sa mère et ce n'était pas faute de lui avoir dit. À chacun de ses appels, la jeune étudiante tentait de couper court à la conversation pour ne pas avoir à lui parler plus longtemps mais cette mégère semblait vouloir la faire souffrir, lui rappelant qu'Hunter ne la pardonnerait jamais. Comme si elle n'en avait déjà pas assez fait comme ça, il fallait qu'elle en rajoute une couche.
« J'espère que tu te plais bien dans ton nouvel appartement. » C'était la mère de Jillian qui appelait pour la première fois depuis que celle ci était arrivée à Berkeley. Sa voix était emplie d'ironie, ce qui l'obligea à soupirer, lassée de ce petit jeu. « Je ne sais pas pourquoi tu me dis ça mais oui, loin de toi, je me porte bien mieux. » Que voulait-elle à part la rabaisser plus bas que terre ? Comment osait-elle lui faire ça, à elle, sa propre fille qui l'avait aimé durant des années, qui avait été loyale envers elle ? Elle n'avait aucune reconnaissance, et c'est d'ailleurs pour cette raison que Jillian fût forcée de déménager. Il était hors de question qu'elle supporte cette femme responsable de son mal être une seconde de plus. « Hum, c'est ça, tu regretteras d'avoir été rejoindre ton abruti de petit copain. » Bien sûr, elle voulait parler d'Hunter. Elle ne cessait de l'appeler comme ça alors que dans l'histoire, il n'avait rien fait pour être traité de la sorte. « Jamais je ne reviendrai à Manhattan, c'est fini, tu n'es plus rien pour moi et pour information, Hunter est bien moi abruti que toi. » Souvent, les conversations se terminaient ainsi entre sa mère et elle mais quelques jours après, elle recommençait, à croire qu'elle n'avait rien d'autre à faire que détruire sa fille, même à des milliers de kilomètres.
Ce qu'il fallait maintenant à Jillian, c'était changer d'air. Son appartement, Hunter encré dans son esprit, c'était impératif de sortir, plutôt que de brouiller du noir toute la journée. C'était le week-end, l'étudiante n'avait pas cours et généralement, elle préférait rester dans son appartement, lire, étudier, peindre, dessiner. Mais aujourd'hui, l'envie d'aller à la plage lui traversa l'esprit et tout de suite, elle pensa à Thea pour l'y accompagner. Elle aimait bien cette fille depuis son arrivée à Berkeley et comme de fait exprès, elle connaissait Hunter et savait beaucoup de choses sur lui. Et pour elle, ce n'était pas qu'une simple connaissance. Non, c'était une des ses amies proches alors si jamais Jillian voudrait savoir quelque chose, sur ce qu'il avait fait pendant tout ce temps, ou encore avec quelles filles étaient-ils sortit, elle n'aurait qu'à appeler la blondinette et cette dernière pourrait répondre à toutes ses questions. Bien sûr, outre ceci, Jillian l'appréciait pour son caractère, pour sa gentillesse, elle ne parlait pas à Thea que par intérêt, loin d'elle cette idée. Ce n'était pas du tout le genre de Jillian à parler aux gens par pur intérêt, non elle n'était pas ce genre de fille, même si pour Hunter, elle aurait était prête à tout pour connaître ce qu'il pensait vraiment d'elle et surtout pour savoir ce qu'il comptait faire maintenant qu'il l'avait revu et qu'ils s'étaient expliqués de cette fameuse chose qu'ils les avaient séparés. Bref, encore une fois, Jillian se torturait l'esprit, elle pensait une fois de plus à lui, au mal qu'elle avait pu lui faire alors qu'elle devrait être en train de se préparer pour la plage. Avant toute chose, Jillian envoya un message à Thea pour la prévenir, c'est sûr que si elle ne le faisait pas, elle ne risquait pas beaucoup de l'y retrouver. « Thea, rejoins-moi à l'entrée de la plage, j'ai à te parler. » Message envoyé, Jillian prit un sac et y mit l'essentiel de ce que l'on pouvait avoir besoin à la plage ; une serviette, une crème solaire - venant de Manhattan, la jeune femme n'avait pas l'habitude de s'exposer à autant de soleil, ses lunettes, son porte-feuille et quelques cochonneries à grignoter. Enfin, elle pu partir de chez elle après quelques minutes de préparation pour enfin se glisser dans un taxi en direction de la plage. |
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| | Sujet: Re: thea ;; ❝ cause i remember every sunset, i remember every word you said, we were never gonna say goodbye. ❞ Jeu 30 Aoû - 7:19 | |
| ❝ You can talk to me without shame ❞
  we're undeniable r. jillian-birkin wayne & thea i. mika gray-scott .♥. « i know a place where the grass is really greener warm, wet and wild there must be somethin' in the water sippin' gin and juice layin' underneath the palm trees (undone) the boys break their necks try'na creep a little sneak peek (at us) you could travel the world but nothing comes close to the golden coast once you party with us you'll be falling in love oooooh oh oooooh california girls we're unforgettable daisy dukes bikinis on top sun-kissed skin so hot we'll melt your popsicle oooooh oh oooooh california girls we're undeniable fine, fresh, fierce we got it on lock westcoast represent now put your hands up oooooh oh oooooh » ▬ katy perry ;; california gurl. |
San Francisco, 2012, Plages de Sunset District. Thea & Jillian Le temps était splendide. La vue de chez elle magnifique, et sa peau beaucoup trop pâle par rapport à d'habitude. Thea avait une vue magnifique sur la ville qui était en contrebas du haut de son balcon. En deux ans passés ici, elle n'avait jamais pris le temps de se poser réellement chez elle pour admirer la vue qu'elle avait. Depuis son arrivée à San Francisco, toute son énergie avait été mise en oeuvre pour échapper à son passé qui refaisait surface, jour après jour. Elle n'avait plus eu le temps de voir ce qui l'entourait et l'environnement dans lequel elle habitait. Elle s'était fait des amis, des personnes qui comptait pour elle, mais personne n'arrivait à remplir ce vide qui l'habitait depuis son départ de New-York. Seul Esmeralda savait pour son passé tumultueux et remplis d'histoire qui la hantait continuellement. Angel lui faisait du chantage depuis peu et cela l'inquiétait. Elle avait peur à présent de sortir et de le croiser. Elle n'était plus en sécurité où qu'elle aille. Ce n'était pas qu'elle ne comprenait pas pourquoi, mais elle se demandait plutôt ce qui lui était passé par la tête pour le dénoncer à la veille de son départ pour la France. « Mais qu'est-ce qui m'a prise ? » Elle pouvait en pleurer tellement c'était si peu digne d'elle et son calme légendaire en toute situation. L'euphorie du moment l'avait prise à la sortie de l'appartement familiale ce jour-là. Elle s'en souvenait et regrettait. Pas le regret d'une chose que l'on ne devait pas faire et que l'on a fait, plutôt celle que l'on a fait mais sans en mesurer les conséquences pour nous. Le regret égoïste. Comme elle avait été aussi égoïste de quitter Edward dans son lit trois ans auparavant. Elle n'avait pas voulu lui laisser une chance de lui dire ce qu'il ressentait, et à présent qu'ils se croisaient pratiquement tous les jours à l'université, elle se disait chaque jour qu'elle n'était qu'une grosse idiote de ne pas lui avoir laissé sa chance.
Elle ruminait ses pensées depuis quelques minutes quand elle reçut un message de Jillian. « Thea, rejoins-moi à l'entrée de la plage, j'ai à te parler. » Ah Jillian ! Thea se retrouvait un peu en elle. La brune Epsilon avait elle aussi quelqu'un qui avait laissé un vide en elle, qui l'avait brisé à un niveau que l'on ne peut pas réparer. Thea avait quitter Edward, Jillian, c'était Hunter qui l'avait quitter. Leur histoire était compliquée, remplie de complots en tous genres. Thea était amie avec Hunter depuis leur rencontre à Berkeley, et elle savait certaines choses sur lui. Pourtant, elle aidait Jillian a récupérer Hunter. Elle savait que la belle était sincère dans ce qu'elle ressentait pour son ami. Elle l'aidait. Elle était gentille, et souriante. Le genre de fille dont Thea avait besoin pour se remettre le moral d'aplomb. Alors quand Jill lui avait demandé de la rejoindre, elle n'avait pas hésité une seconde et avait balancé, maillot, crème solaire et serviette de plage dans son sac pour la rejoindre à la plage. La jeune blonde était vêtue d'une jupe légère et d'un top marcel tombant sur une épaule. En marchant vers le garage de l'immeuble, elle se rappela qu'elle avait une fiche sur un économiste célèbre à rédiger pour le lendemain. Elle hésita quelque peu sur le seuil de sa porte, posant le pour et le contre. La raison et le coeur. Pour finalement pousser sa porte et se diriger vers sa petite merveille de voiture. Elle n'avait pas hésité longtemps car elle ne pouvait pas rester une minute de plus dans l'atmosphère confiné de son appartement. Ce n'était plus possible.
La plage était vierge de monde. C'était comme ci la population de San Francisco avait décrété que la plage ne serait qu'aux deux jeunes filles qui se faisait face à présent. Thea lui fit un petit signe et s'avança vers elle. Un vent frais et léger les enveloppait. Porteur de bonnes choses, il inspirait et apportait des relents marins avec lui. C'était agréable et vivifiant. « Ma petite Jillian avait besoin de parler, je suis là ! » Thea la prit dans ses bras. Quiconque la connaissait savait qu'elle n'était pas de ce genre là. Pourtant, avec Jill, elle était plus spontanée et ouverte. Elle ne savait pas pourquoi, mais c'était comme cela. Il fallait dire que leurs histoires d'amours foireuse les rapprochaient quelque peu. Elles se voyaient l'une dans l'autre. « Je parie que tu t'es encore brouiller avec ta mère. Je me trompe. » Ah les parents ! Parfois, certaines personnes ne peuvent s'en passer avant de les fourrer dans une maison de retraite. Thea n'avait pas ce problème là vu qu'elle avait coupé tous les ponts avec ses paternels depuis son installation à San Francisco. Ils ne lui manquaient pas. Bien au contraire. Même quand elle vivait sous leur toit à New-York, c'était à peine si elle les voyait. Sa mère courrait les salons de beauté et les tables de chirurgies, tandis que son père était toujours avec une minette ayant la moitié de son âge. Cela agaçait profondément la blonde, car elle cherchait constamment à leur faire plaisir. Tout ce qu'elle recueillais était un mépris sans nom. La seule chose à laquelle elle leur était reconnaissant, était qu'elle était riche dès la naissance. De ce fait, elle n'avait jamais manqué de rien et c'était déjà ça. « Je suppose que tu te poses encore des questions sur Hunter ! Non ? » C'était leur truc à elle de commencer par ce sujet. Cela déviait ensuite, mais la base était celle ci.❝ Nothing can compare our friendship ! ❞
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| | Sujet: Re: thea ;; ❝ cause i remember every sunset, i remember every word you said, we were never gonna say goodbye. ❞ Lun 1 Oct - 23:23 | |
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| | Sujet: Re: thea ;; ❝ cause i remember every sunset, i remember every word you said, we were never gonna say goodbye. ❞ | |
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| | | | | | thea ;; ❝ cause i remember every sunset, i remember every word you said, we were never gonna say goodbye. ❞ | |
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