the great escape
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❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV

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❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV Empty
MessageSujet: ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV EmptyVen 27 Jan - 18:49

❝ L'amitié d'un grand homme est un bienfait des dieux. ❞
Les jours passaient, ils filaient un par un et j'avais comme l'impression d'être enfermé dans une bulle. Je n'arrivais plus à réfléchir, mon esprit était ailleurs. La raison était plutôt simple. Bientôt quatre jours que je n'avais plus de nouvelle, à croire que tout ça amusé ma cadette. Sarah, une jolie petite brune d'un an seulement de moins que moi avait pris la peine de me prévenir que notre mère, atteinte d'un cancer du sein depuis un an et demi, avait été admise d'urgence. Jusque là tout vas, sauf qu'après ça, plus rien. Je guettais avec impatience le moment où elle allait se daigner à me tenir au courent de tout ce bordel. Je gardais bon espoir, comme toujours. Ma mère était une femme forte et endurante, je l'avais vu surmonter mille et une épreuve sans montrer le moindre signe de faiblesse. J’espérais alors qu'elle affronterait cette épreuve comme les autres et que bientôt, nous pourrions rire de cette histoire. Elle avait élevé ses deux enfants seule pendant que mon père s'investissait corps et âme dans son emploi, politicien. Quelques semaines seulement après l'annonce de la maladie de sa femme, il gagnait les élections sénatoriales qui faisaient de lui le nouveau sénateur de la Californie. Ce salaud n'a même pas hésité avant d'accepter et de fêter son nouveau poste avec son équipe, laissant une nouvelle fois sa famille seule. Ma mère faisait comme si c'était normal, comme si la maladie et l'absence de son époux était des choses banales qu'elle devait gérée seule, mais je savais bien qu'au fond d'elle elle souffrait. Je voulais repartir pour New York, prendre des nouvelles de ma mère et m'installer définitivement à New York pour veiller sur elle. Il ne me fallait qu'un billet d'avion et j'arrivais dans la soirée. Seulement je savais que si je partais, je devais dire adieu à Berkeley ainsi qu'à mes amis. Je restais assis sur le bord de mon lit, serrant mon téléphone dans mes mains, attendant l'appel que j'attendais tant. Au moins mille messages, deux cents appels émis et une cinquante de messages sur le répondeur de ma tendre petite soeur et toujours rien. Ce que je vous dis est à peine exagéré, je vous assure. « Sarah, c'est encore Nick. Je veux que tu m'appelles, j'ai besoin de savoir ce qui se passe. Rappelle moi bordel. » Achevez moi, j'en avais vraiment marre. Si le doux visage de Sarah était à cet instant, en face de moi, je me ferais un plaisir de lui crever les deux yeux et de lui faire bouffer par la suite. Des cernes s'étaient logées en dessous de mes yeux noisettes, la fatigue s'accumulait depuis trois nuits et je ne sais pas vraiment comment je tenais encore le coups. Et voilà que j'entendais déjà les commères de Berkeley essayant de trouver la raison de cette soudaine fatigue et de ces cernes qui se logeait sous mes yeux. Supposition numéro un, je m'occupais seul d'une fillette de quatre ans qui avait du mal à faire ses nuits. Impossible, les enfants sont ma plus grande hantise. Supposition suivante, je faisais des folies avec mon corps avec des demoiselles chaque soir - ce qui est également faux, tous les soirs, il ne faut pas exagérer tout de même. Et enfin dernière supposition, je serais tomber littéralement amoureux. Laissez-moi rire, l'amour n'est qu'un ramassis de connerie auquel seul les enfants ont le droit de croire sans que je me foute de leurs gueules ouvertement. Sérieusement. L'amour c'est niais, ça dégouline de surnoms débiles et lorsque tu te dis en couple, tu dois également dire adieu à ta liberté. Conseil d'ami, mieux vaut rester seul et se faire plaisir avec une charmante demoiselle que tu ne reverras sûrement jamais. Le téléphone retentissait, enfin. Je me jetais dessus tel un lion affamé qui se jetais sur sa proie. L'indicateur d'appel affichait Sarah. Sans attendre, je prenais l'appel, aucun risque que je le rate celui-là. « Je vais te tuer Sarah, je rigole pas. Comment va maman ? » Elle répondit, j'étais soulagé. Elle allait bien finalement et le soulagement se lisait sur mon visage. « Et t'aurais pas pu appeler plus tôt ? Bref, bonne journée à toi aussi. Embrasse là pour moi. » J'avais raccroché et comme pour relâcher la pression accumulée depuis des jours, je m'étais laissé tomber sur le lit. Je respirais enfin de nouveau. Je fermais les yeux, un sourire aux coins des lèvres. Je divaguais, pensant à mille et une chose à la fois. Repos de courte durée malheureusement, le téléphone reprit du service. Jader Da Pitruzella venait de m'envoyer un sms. Jader ou l'homme de ma vie. Je vois d'ici vos mines horrifiées, mais pas de panique, avec Jader c'est une bromance. Rapide explication pour les plus bêtes d'entre vous, brother + romance = bromance. Trois ans déjà qu'on se connaisst, trois ans que les autres supportent -difficilement parfois- l'infâme awesome duo. Oh oui, trois belles années. Avec Jader, pas de faux semblant. J'ai quelque chose à lui dire, je lui dis et inversement. C'est sûrement ce qui nous rend encore plus complice. Les autres tremblent face à notre grandeur, l'awesome duo vaincra. J'ouvrais le message envoyait par mon meilleur ami sans attendre et rien qu'aux premiers mots, je décrochais un large sourire. « Devine c'est qui ? C'est le plus beaaaaau - t'inquiètes t'arrives en seconde position c'est pas si mal. Va prendre une douche, fais toi beau et j'arrive. Ce soir on fait la fiesta. » FIESTA BABY ! Ce soir, on baise pour se détendre. Pas ensemble évidemment mais avec une fille et séparément. Une soirée entre pote à boire et à draguer c'est exactement ce qu'il me fallait. Je marchais en direction de la salle de bain, pieds nus frottants contre le sol froid. J'avais besoin d'une bonne douche, une douche bien chaude qui pourrait peut-être me réveiller plus que je ne l'étais maintenant. L'eau ruisselait le long de mon corps telle l'eau qui coulait le long des rochers dans un ruisseau. Une serviette enroulée autour de la taille, je faisais le chemin inverse d'il y a une vingtaine de minute. Jean, t-shirt levi's et basket signé nike. Ce soir on se la jouait cool. Pas de prise de tête, tout ce que je voulais c'était passé une bonne soirée en compagnie de Jader et coucher avec une parfaite inconnue jusqu'aux aurores. Belle soirée en perspective donc.

J'étais en avance, déjà garé sur le parking de la boite de nuit. Je restais bien au chaud dans ma voiture, observant du coin de l'oeil la longue file d'attente devant l'entrée du club. Fort heureusement, je connaissais l'agent de sécurité. Jader et moi allions donc pouvoir parvenir à entrer assez rapidement, sans avoir à faire la queue comme tous ces crétins impatients d'aller danser. J'attendais toujours quand j'apercevais la voiture de Jader entrée dans le parking. Je saisissais alors entre mes doigts mon iphone, posé sur le siège conducteur, avant de sortir de mon véhicule. Véhicule que je chérissais comme si c'était mon enfant. Quiconque s'approchait de trop prêt de sa carrosserie teinté de noir et je gueulais comme un fou. Un coup de clé dans la serrure et mon bébé -ironique mesdemoiselles- était à présent en sécurité. J’avançais en direction de Jader, positionné près de sa voiture, garé à une dizaine de place plus loin que la mienne. « Tu sais que si j'étais une fille, je pourrais pas me retenir de te sauter dessus ? » Plaisanterie, plaisanterie. Le voir me faisait vraiment plaisir et je savais d'avance que ce soir, on n'allait pas s'ennuyer. LET'S GO TO THE PARTY !

400 messages pour le plus beau des duos de Berkeley bave Et aussi pour Sandra parce que nos MPs ils déchirent sa mémère. hanwi :plop:
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❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV Empty
MessageSujet: Re: ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV EmptyMer 22 Fév - 20:45


۰ boys, just wanna have fun - best friendship ever ۰
nick reynolds featuring jader da pitruzzela


S’amuser. Un mot qui m’est totalement inconnu ces derniers temps. Logique, paraît-il. Les examens de fin d’années approchaient, bien qu’ils ne fussent pas aussi importants que ceux de la première année de médecine, c’étaient tous de mêmes des examens. Et généralement qui dit examens, dit révisions. Malheureusement. C’est alors ainsi que je me retrouvai cloitrer dans ma chambre h24 ces derniers temps, au point de ne plus voir la lumière du jour, de couper les ponts avec la vie extérieure. Ces derniers temps, seuls mes livres et mes cours me tenaient compagnie ainsi que les quelques pauvres meubles qui composaient ma chambre. Oh tiens, parlons-en de ma chambre ! Ma chère et tendre chambre, l’unique pièce dont j’avais la chance d’y passer toute la journée durant. J’y passais tellement de temps que je pouvais citer un par un, dans l’ordre les motifs de la tapisserie qui plombait mon mur, ainsi que leurs couleurs, des couleurs fort déprimant en y pensant. Je songeais, de temps en temps quand je levais le nez de mes prises de notes, à changer le papier peint quand le temps me le permettra. J’ignorais qui avait eu la brillante idée de tapisser ce mur, mais cet abruti devait être littéralement ivre de mort quand il a choisi cette mocheté, en espérant que ce ne soit pas Perdita. J’avais emménagé dans cet appartement quelques temps après elle, après nos retrouvailles, ou plutôt devrais-je nos trouvailles (j’ignorai auparavant la quelconque existante d’une autre famille Da Pitruzzela que la mienne), j’avais trouvé la chambre comme telle et j’avais d’autres préoccupations plus importantes que le changement de décor des pièces. Etre étudiant en médecine n’était pas une partie de plaisir, bien au contraire. En ce moment même, j’en étais la preuve vivante. Enfin, plutôt mort-vivante. La fatigue accumulée ces derniers jours commençait petit à petit à se faire ressentir ; je devais ressembler à un zombie dorénavant.« Toc toc toc, devine qui sait ? » Une voix retentit sans que je m’y attende, c’est donc avec un petit saut de surprise que je recevais mon invité. Un agréable invité. Quittant douloureusement des yeux mes feuilles de cours, je dirigeais mon regard vers la brune qui venait de rentrer subitement dans ma chambre. Le regard et sourire espiègles, elle s’assit tranquillement sur mon lit et m’observa, inquiète. « Tu travailles trop Jader, tu devrais sortir un petit peu. » me lança-t-elle, sans doute après avoir remarqué les cernes sous mes yeux. Je lui adressai un bref sourire en coin, avant de me lever et me diriger vers le meuble en acajou qui me servait accessoirement et provisoirement de table de nuit, sur lequel se trouvait un téléphone portable abandonné depuis des jours. « Tu aurais pu prévenir de ta visite, non que je ne les apprécie pas, mais … » Tout en lui parlant, je parcourus mes messages non-lus, sans y prêter une attention particulière. Une vingtaines de messages à lire et à répondre, non merci. C’était juste histoire de voir qui s’intéressait réellement à mon existence. C’était sans surprise que le prénom de Vraona s’affichait tout en long et en large sur l’écran, me montrant la multitude de sms dont elle était l’émetteur. J’eus une pointe de culpabilité à la pensée de ma petite amie, ne lui ayant pas donné de nouvelles non plus depuis quelques jours. Elle devait s’inquiéter ou s’imaginer les pires folies. Bah, je la rassurerai quand le temps le voudra. En attendant, je survolai rapidement ses messages de plus en plus affolés. « Moi aussi, je suis contente de te voir Jader. Et j’ai prévenu, Don Juan, apprends à lire plus attentivement. Tu me connais, je ne m’invite pas chez les gens comme ça. » Dernier message reçu, à 18h52, de Summer. Effectivement. Je la vis du coin de l’œil triomphante. « Mon portable a été quelque peu hors-service, désolé. » Les excuses, les excuses, je ne savais faire que ça avec elle ; elle était bien une des seules privilégiées à mériter mes excuses. Et puis accompagné d’une moue sincèrement désolé, je savais qu’elle ne pouvait pas m’en vouloir, bien qu’elle n’ait rien à m’en vouloir, pour l’instant. Avec mon sourire charmeur timide, j’étais d’avance pardonné. « Tu sais bien que je peux pas t’en vouloir … » Bingo ! Je connaissais par cœur ma petite Summer, rares sont les fois où je me trompais à son sujet, voire inexistantes. Deux amis âme-sœurs, deux amis d’enfance, deux personnes totalement différentes pourtant que tout réunit. Je lui adressai un mince sourire et continuai la découverte de mes messages non-lus. Au fur et à mesure, les noms défilèrent et ainsi que les messages, mais pas le prénom et le message que je souhaitais pour me remonter le moral. A ma grande surprise et déception, le nom de mon meilleur ami n’apparut pas. « Qu’est-ce que le futur docteur compte faire aujourd’hui ? Parce qu’il est hors de question qu’il continue à mettre le nez dans ses bouquins horribles de médecine, je le préviens tout de suite ! » S’amuser, oui, était un mot prohibé de mon vocabulaire ces derniers temps. Mais allez savoir pourquoi, aujourd’hui, j’avais décidé de rectifier le tir. Le doigt resté en suspens sur l’écran de mon portable affichant le nom de celui auquel je m’apprêtais à envoyer un message, je fis un sourire malicieux à Summer, qui me rendit un regard intrigué. Je lui déposai un rapide baiser sur le front et l’emmena en dehors de ma chambre en direction de la salle de bain, avec moi.

M’en veux pas Summer, je t’en supplie, j’ai juste besoin de passer une soirée entre mecs. J’avais envoyé, avec délicatesse, Summer dans les bras de ma cousine, Perdita, et comme je m’y attendais, ces deux-là oublièrent mon existence cinq minutes à peine après. C’était beau de voir qu’elles s’entendaient. Enfin bref. Je profitais de ce moment d’inattention de l’une et de l’autre pour me faufiler hors de mon appartement, prendre la voiture de ma cousine et m’en aller au Lexington Club. Comme si c’était la première fois que je prenais la route, je tenais mal en mains le volant et contrôlait mal la voiture. J’ai même faillis provoquer quelques accidents sur la route ; je m’excusais, honteux de ne plus savoir conduire. Mais le fait de ne pas avoir pris le volant pendant des semaines, voire des mois, m’excusait aussi. Enfin, j’arrivais vivant au club, à ma plus grande surprise, et me gara tout devant. La voiture de mon meilleur ami ne tarda pas à venir, et il se gara à tout juste dix mètres. J’attendis, appuyé contre la porte du véhicule et Nick vint vers moi. Bordel, à sa vue, je me suis enfin rendu compte à quel point il m’avait manqué ! Nos sorties m’avaient manqué, et nos vieilles confidences également. Nick et moi, c’était un peu une histoire d’amour fraternel, une histoire d’amour qui datait de trois ans maintenant et qui n’était pas prête de se terminer. Nick, c’était un peu le gars avec qui j’ai été le plus fidèle dans ma misérable vie, un des seul en qui j’ai le plus confiance ; c’était connu sur le campus, Nick ne va pas sans Jader, et Jader ne va pas sans Nick. Deux iotas plus que jamais soudés, et plus que jamais amis. « Tu sais que si j'étais une fille, je pourrais pas me retenir de te sauter dessus ? » Ses vieilles plaisanteries à deux balles m’avaient aussi manqué. Que ferais-je sans lui, sérieusement ? Bon, la même chose mais sans lui, mais enfin voilà quoi. Je recevais sa blague avec un rire fatigué, puis rétorqua de ma voix tout en même temps faiblard et excitée : « Qui le pourrait ? Tellement irrésistible l’italien ! » Puis, je le pris par les épaules et nous embarquions ensemble dans la boîte de nuit. En tant qu’habitués, nous rentrions très facilement et saluions même le vigile. VIP Nick et Jader, poussez-vous très chers, ça va envoyer du lourd ce soir ! Le son était à son apogée quand nous avions fait notre entrée et je me dirigeais directement au coin qui nous était destiné : un coin VIP. Quand on était fils d’une héritière anglaise célèbre, l’argent ce n’était pas ce qui manquait et mieux, toutes les choses VIP vous étaient directement adressées. Je m’installai dans mon coin habituel et un serveur prit notre commande. Comme d’habitude, je ne me privais pas de ma dose de Get 27, ma boisson favorite pour les soirées. De coin l’œil, je percevais Nick excité comme une puce. « T’as vu toutes ces nanas qui n’attendent que toi, mon amour ? » C’était un jeu de nous appeler par des surnoms affectifs de ce genre, que personne ne se méprend, ce n’était qu’un jeu. Puis discrètement, je visais deux jeunes filles brunes, discutant paisiblement au bar. Je les avais déjà remarquées, à peine avait-on franchi l’entrée de la discothèque. Mais malheureusement, je ne pouvais pas, ou plus. « Vas-y, un plan à trois t’attend mon pote ! » Je plaisantai, bien entendu, ce con n'avait pas intérêt à me lâcher. Ou quand même, pour un plan à trois ... Enfin, dans tous les cas, inutile d’expliquer le pourquoi du comment je ne venais pas l'accompagner pour aborder ces jeunes demoiselles, il le savait, tout le monde le savait. Mais ce n’était pas le fait d’être en couple qui allait m’empêcher de m’éclater ce soir, oh que non ! Party Rock is in the house tonight !
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MessageSujet: Re: ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV EmptyJeu 23 Fév - 21:32

❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV Great-not-awkward-at-all
❝ L'amitié d'un grand homme est un bienfait des dieux. ❞
J'avais stressé comme un malade, comme à mon habitude, pour finalement trois fois rien. Avec la maladie de ma mère, c'était plus que compliqué de ne pas s'inquiéter dès que je ne recevais pas mes nouvelles quotidiennes. Atteinte d'un cancer du sein depuis quelques mois déjà, la maladie avait rapidement pris le dessus sur elle-même, et aujourd'hui j'avais encore du mal à la reconnaitre. Physiquement, la chimiothérapie l'avait rendu maigre, elle qui ne supportait plus ses rondeurs là voilà servie, et en plus de cela, elle portait une perruque pour cacher son crâne chauve. Ses cheveux étaient tombé par poigné quelques jours après le commecement du traitement, on savait que ça arriverait un jour où l'autre, mais personne ne croyait que ça arriverait si vite. Le pire restait sa peau blanche, elle avait perdu son si joli teint qui en rendait certaines vertes de jalousie. Elle avait beau me dire que tout irait bien, que bientôt elle serait de nouveau sur pied, je savais que tout ça n'était qu'une illusion. Je ne cessais de penser au pire des cas, la mort. Les médecins nous avaient prévenu, moi et ma famille. Ses chances de survie était plus que faible, ils doutaient sincèrement qu'un jour elle puisse guérir de cette foutue maladie. Et pourtant la vie est faite ainsi, nous nous devons de continuer notre chemin, même si nous savons que les êtres que nous chérissons le plus au monde ne seront peut-être plus là demain. Quant à moi, j'étais tout bonnement terrifié à l'idée de perdre ma génitrice. Il m'arrivait d'avoir des moments de faiblesses qui pourtant se devaient de rester rares et secrets. La plupart du temps, je cherchais à trouver une occupation, de façon à me faire oublier tout ça. Avec tout ça, j'avais l'impression de ne pas avoir donné assez de nouvelles aux gens qui comptaient le plus pour moi. En fait ces derniers temps, j'étais soit accaparé par mes problèmes familiaux ou alors c'était ma femme qui me jouait de vilains tours. Leïla Carpentier-Greenden, la bêta à l'état pur. Belle, arrogante et manipulatrice. Le rêve pour un homme comme moi, si seulement elle n'était pas devenue mon épouse lors d'une folle nuit à Las Vegas l'été dernier. A mon réveil, la belle était allongée nue dans le lit de ma chambre d'hôtel, une bague en plastique autour de mon doigt. Je voulais divorcer le plus rapidement possible, elle non. Leïla trouvait même ça assez marrant de nous savoir lié par un des sosies d'Elvis. Je n'avais aucun autre projet de mariage en vue, bien au contraire, mais je ne voulais pas laisser cette affaire trainer non plus. Plus tôt je me savais civilement célibataire, mieux je me sentirai. J'avais besoin de distraction, grandement besoin même. Heureusement pour moi, j'avais Jader. Lui c'était un mec en or, le meilleur de tous. Il savait trouver les mots pour me faire rire, les mots pour me remettre à ma place quand il le fallait et il savait même quand il devait me remonter les bretelles. D'ailleurs je ne sais toujours pas comment il fait pour me supporter depuis trois ans. Je suis chiant, je l'avoue. Il m'avait envoyé un sms plus tôt dans la soirée, il nous avait prévu une petite soirée tranquille au Lexington Club où nous nous rendons assez régulièrement. Rien que de le voir, j'avais envie de lui sauter dessus. Presque une semaine que je ne l'avais pas vu, une semaine qui m'avait semblé une éternité quand j'y repense. « Qui le pourrait ? Tellement irrésistible l'italien ! » Rêve pas trop mon pote, c'est moi le plus beau de nous deux. Les Italiens ont peut-être la cote auprès des nanas, mais même si Nick Reynolds n'est pas italien, il reste le tombeur numéro un de cette soirée. « N'en rajoute pas trop non plus, je ne voudrais pas devenir jaloux. » Argumentais-je, un sourire malicieux collé aux lèvres. Blagues sur blagues, nous pouvions continuer ainsi toute la soirée. Trêve de plaisanterie, c'était le moment ou jamais d'entrer dans la boite de nuit. Jader m'attrapait par l'épaule et nous nous dirigions vers l'entrée, passant devant une queue d'une cinquantaine de personnes. Connaitre du monde à San Francisco c'était toujours bon. De plus, nous venions tous les deux de deux grandes familles. Jader était fils d'une célèbre héritière anglaise et moi, j'étais le fils du brillant sénateur de Floride. La classe à l'état pur j'ai envie de dire. Je commandais mon verre après Jader, une pinia colada saveur noix de coco. Un délice, surtout durant des soirées aussi prometteuses que celle-ci. « T'as vu toutes ces nanas qui n'attendent que toi, mon amour ? » Béh ouais, Jader c'était mon amour et moi, j'étais le sien. On aimait se donner des surnoms débiles, parfois même frisants le ridicule. Qui aime bien châtie bien à ce qu'on dit. « Trop aimable, mais je suis sûr que quelques-unes sont ici pour toi aussi mon ange. » Décidément j'étais d'humeur taquin ce soir. Je lui prouvais à mon tour que je pouvais utiliser de vieux surnoms bien niais et dégoulinant d'amour, à son plus grand désespoir. La niaiserie, rien de tel pour nous rendre malade. « Vas-y, un plan à trois t'attend mon pote ! » Sourire au coin des lèvres, je fixais Jader. On ne pourrait donc jamais le changer celui-là, toujours entrain de déconner. Le serveur revenait, avec sur son plateau deux verres, qu'il déposa sans en faire tomber une goutte sur la table avant de repartir, sûrement pour servir les autres clients. « Tu sais bien que tu es le seule avec qui je fais des folies avec mon corps. » Dis-je en plaisantant tout en apportant le cocktail à mes lèvres. Délicieux, je n'en attendais pas moins. Je regardais les demoiselles auxquelles Jader venait de faire allusion et j'en concluais qu'elles étaient plutôt mignonne. Seulement mignonne, elles ressemblaient plus à des collégiennes maquillées pour faire croire que ce sont des femmes. Les gamines, c'était pas mon genre. Bref, pas à mon gout. Je scrutais la pièce, cherchant une fille à aborder. Cette soirée ne s'annonçait pas riche en jolies demoiselles, mais plutôt en thons et en baleines. Finalement, je repérais de mon œil de lynx une charmante demoiselle, assise près du bar sirotant un cocktail rosé. Ce qu'il fallait retenir c'était qu'elle était seule, du moins pour le moment. Si elle avait un copain, il fallait agir rapidement. Je devais saisir l'occasion, vu le beau monde qui se trouvait dans la pièce on n'allait peut-être pas avoir deux fois la même chance. Je me retournais vers Jader, autant excité qu'un gamin qui ouvrait son cadeau de Noël. Il me connaissait si bien que rien qu'en me regardant, il savait d'avance à quoi je pensais. « Regardes là-bas, la belle brune qui boit un verre en tortillant sa mèche de cheveux comme une hélice d'hélicoptère. » Je la montrais du regard, de façon à ce que Jader visualise la personne dont je lui parlais en ce moment. « Le premier qui arrive à l'embrasser gagne dix dollars. » Jader était en couple, certes. Mais moi je m'en foutais plus que tout, la seule chose qui m'importait était de m'amuser avec mon meilleur ami ce soir. Par ailleurs, Jader détestait ne pas relever un défi, surtout venant de moi. Alors Da Pitruzzela, tu cèdes à la tentation où tu abandonnes tout de suite ?
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MessageSujet: Re: ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV ❝ you with me so it's alright, we gonna stay up the whole night. ❞ • PV EmptyMer 29 Fév - 16:47


۰ boys, just wanna have fun - best friendship ever ۰
nick reynolds featuring jader da pitruzzela


Les fêtes, les soirées entre mecs ; il n'y avait rien de mieux pour remonter le moral de quelconque homme tombé à plat ces derniers jours. Je ne faisais que naviguer entre repas et cours depuis quelques temps, les examens approchant à grands pas. Je n'avais plus de vie sociale, plus aucune trace de vie sociale. Plus déserte que le Sahara, elle avait décampé à l'instant même où j'avais décidé de plonger mon nez dans les bouquins. De quoi plomber totalement le moral. D'autant plus qu'en surplus de mes examens qui me surchargeaient de boulot, de mauvaises nouvelles étaient arrivés un par un ces derniers temps. Et même, mauvaise nouvelle était un euphémisme. Comment surnommeriez-vous la venue, ou plutôt, le retour d'une ex que vous avez lâchement abandonné, en prétextant un amour non réciproque, qui (re)débarque dans votre vie le jour de la fête des amoureux ? Certes, elle n'avait pas eu la grande occasion de me voir, tandis que moi si, donc ces retrouvailles n'étaient valables que dans un sens. Mais il n'empêche qu'elle était revenue, elle était là, dans le même université, dans ces mêmes-lieux. C'était dans ces moments-là identiques à ceux-ci que votre morale avait raison de ne plus vouloir être. Dans ces moments-là que vous vous rendez compte que l'amitié est la chose essentielle dans votre existence, la plus essentielle. L'amour ne servait à rien, mis à part vous réduire, l'amitié servait à vous relever en cas de chute. Tout être normalement constitué devait compter parmi ses connaissances des amis, de vrais amis sur lesquels il est sûr de pouvoir compter, dans les bons comme dans les mauvais temps, dans les bons coups ou les coups durs. Quoi que vous adveniez, quoi qu'il vous arrive, un réel ami se doit être présent n'importe quand, n'importe où, n'importe comment. Enfin, surtout n'importe quand. Chaque vie se compose d'un ou d'une meilleur(e) ami(e), oui. Personnellement, celui qui avait la chance ou la malchance d'occuper ce poste depuis bientôt trois ans à l'emploi du temps bien chargé, était Nick Reynolds. Le mec insupportable et à limite de l'arrogance par excellence, mais je n'avais pas à me plaindre, sur ce point, nous étions faits l'un pour l'autre. L'amitié résidait dans le pouvoir de trouver son égo jumeau par pur hasard également, toute la magique de l'amitié tenait dans la rencontre. Pour la notre, les circonstances exactes du comment on était tombé l'un sur l'autre m'échappaient totalement. Les années passaient, ma mémoire faisait petit à petit défaut, à l'instar des personnes âgées, les souvenirs s'envolaient petit à petit, à mon plus grand damne. J'aurais bien aimé me souvenir comment nous nous étions rencontrés. Peut-être lui, savait. Il faudrait que je songe à lui demander un jour. Ou qu'importe ! Qu'importe la manière de notre rencontre, l'important était qu'on se connaissait aujourd'hui. Aujourd'hui même où tous deux avions besoin l'un de l'autre, où tous deux avions besoin de nous amuser, nous lâcher, oublier les tracas de la vie quotidienne durant quelques heures seulement et profiter de la vie comme il se doit. Ce soir, nous n'étions personne d'autre que Jader et Nick, deux jeunes gens croquant la vie à pleines dents. Adieu Jader Da Pitruzzela, l'étudiant en médecine stressé par ses examens, dont le passé resurgissait malgré lui et petit ami officiel de la populaire Vraona, adieu. S'amuser était d'ordre en cette soirée qui s'annonçait bien, et rien ne pouvait nous empêcher de profiter. Rien. « N'en rajoute pas trop non plus, je ne voudrais pas devenir jaloux. » L'humour était de mise, il plaisantait, comme à son habitude. Et comme à mon habitude, je répondais à ses piques humoristiques par un visage sérieux qui devait sans doute le faire hésiter. Mais au fil du temps, il devait me connaître, connaître toutes mes manies et autres. La plaisanterie était notre dada quotidien, nul besoin de me justifier alors quant à ma réplique muette. Alors nous rions et entrons dans la boîte de nuit, soudés comme jamais. Ce fut avec aucun soucis que nous passâmes le contrôle des vigiles et doublions la queue interminable, l'avantage d'être, entre guillemets, connus, ou du moins réputés. Le duo Da Pitruzzela et Reynolds, l'italien et l'américain n'était pas inconnu aux yeux de tous ; deux dragueurs fêtard invétérés, ne changeant pas leurs vieilles habitudes. Ou du moins, presque. La preuve était là, cette situation avec le barman où chacun commandait sa boisson favorite, nos bonnes vieilles habitudes revenaient, après être parties une semaine entière où elles avaient été remplacées par d'autres usages. En tout cas, pour ce qui me concernait. Mes cours étaient devenus le rituel quotidien cette semaine, non mon Get 27. Quant à Nick, il faudrait également que je songe à le questionner sur les changements accourus ces derniers temps dans sa vie. Une semaine n'était sans doute rien comparé à l'échelle de l'espace temps en sa globalité, mais à l'échelle de notre amitié, une semaine paraissait une décennie, un siècle, une éternité. C'est dingue comme l'amitié devenait essentielle à une vie, comme si on ne pouvait plus vivre sans, ne serait-ce qu'une simple et petite semaine. « Tu sais que ton humour de merde m'a manqué ! » lui lançai-je tout en commençait à boire une gorgée d'alcool. Tout en savourant à nouveau le goût qui parcourait ma bouche, je fis un bref tour de la salle du coin de l’œil, essayant d'être le plus discret possible. Bien que quelques changements avaient été faites dans ma vie, dont le fait que j'étais dorénavant en couple, j'avais des vieux réflexes qui restaient toujours ancrés en moi, dont celui-ci : trouver à tout prix une quelconque belle jeune fille à conquérir. Mais évidemment, comme je possédais une copine extrêmement jalouse, c'est avec une fausse joie que je trouvais une fille à la hauteur de mes espérances et la laissait à mon ami, toujours célibataire, bien que marié. L'histoire était compliquée, mais il était plus engagé que moi et pouvait plus se permettre de profiter que moi, quelle injustice n'est-ce pas ? « Trop aimable, mais je suis sûr que quelques-unes sont ici pour toi aussi mon ange. » Il n'ignorait pas mon statut de couple, mais le connaissant, préférait passer outre pour ne pas se laisser abattre par cela. Il savait sans doute que cela m'empêcherait de totalement profiter de cette soirée, mais passer outre cela également, voulant à tout prix s'amuser avec son meilleur ami, en l'occurrence, moi. Personnellement, je n'étais pas contre dépenser au maximum mon énergie ce soir, mais je connaissais les représailles, je connaissais Vraona, et sa jalousie maladive. « Une m'est déjà destiné, merci bien quand même. » lui souris-je tout en levant mon verre pour boire à notre santé. Ma condition me désespérait autant que lui, plus que jamais, je constatai aujourd'hui les inconvénients d'être en couple, les quelques plaisirs célibataires qu'on devait se priver pour le bien du couple. Grr, de temps en temps, j'aurais aimé revenir en arrière, et rester libre. Mais dès que je passais du temps avec elle, j'oubliais vite ces mauvais moments. Mais là, étant donné qu'elle n'était pas là, personne ne pouvait me consoler de ma triste condition de mec en couple, en boîte, qui ne peut pas profiter à fond. « Tu sais bien que tu es le seule avec qui je fais des folies avec mon corps. » Je haussai les sourcils, tout en continuant de siroter petit à petit mon verre. Deux jumelles sexy l'attendaient et monsieur préférait passer ? Kézako ? D'autant plus que du coin de l’œil, j'observai ces demoiselles le fixer comme un guépard guetterait sa proie avant de le manger tout cru. Bien, là n'était qu'une image, bien évidemment. J'imaginais mal ces deux jeunes filles manger Nick. Ou quoi que ... « Tu préfères passer un plan à trois ? Seriously ? Sainte Marie-Thérèse, sort de ce corps ! » chantonnai-je à tue-tête avec les gestes de chanteur d'opéra qui se mariaient avec mon intonation. Je lui lançai ensuite un oreiller en pleine figure, lui faisant comprendre mon désaccord. « Imbécile. »


« Regardes là-bas, la belle brune qui boit un verre en tortillant sa mèche de cheveux comme une hélice d'hélicoptère. [...] Le premier qui arrive à l'embrasser gagne dix dollars. » Avant qu'il n'ait parlé, en voyant son excitation, j'avais d'ores et déjà deviné ses intentions. C'est sans surprise alors que je vis son regard se diriger vers une jeune brune seule au bar. Je suivais son regard, et constatai avec plaisir que Nick n'avait pas perdu son bon goût pour les jeunes femmes attirantes. D'une chevelure rayonnante brune à première vue, et pourvue d'un corps svelte et sans une pointe de graisse, cette demoiselle était parfaite. D'autant plus que la solitude paraissait être son seul compagnon ce soir. Ou le barman semblait vouloir absolument lui tenir compagnie, mais vu la laideur de ce dernier, elle me donnait l'impression qu'elle était plus exaspérée que flattée par les avances du barman. J'eus un sourire en coin, c'était exactement le genre de cible parfaite que je visais lors des soirées de ce genre. Nick devait sans doute remarquer mon état d'excitation, et parut plus enchanté qu'auparavant. Mais, soudain, quand la fille se retourna vers nous, comme si on l'avait hélait, le visage de Vraona s'imposa à moi malgré moi. Bien entendu, elle n'était pas Vraona, la probabilité qu'elle soit Vraona était impossible. Totalement impossible, mais la ressemblance était si frappante qu'elle me troubla légèrement. Je pensais de suite à elle, et me sentit légèrement coupable. Du coin de l’œil, je jaugeai l'excitation de Nick et puis ma culpabilité disparut. J'étais censé oublier tous mes tracas quotidiens ce soir, non ? Et puis, je ne pouvais pas ignorer l'esprit compétiteur qui résidait en moi. Non. J'allais gagner son pari, et nous en parlions plus. Qui était le meilleur ? Da Pitruzzela, bien entendu ! « Pari tenu. » Un sourire en coin, et bim, je posai mon verre sur la table et sans plus attendre, me dirigeai vers le bar. Nick me suivit de peu. Le spectacle pouvait enfin commencer. J'appelai le barman et lui prit de donner un verre de ma part à la jeune brune d'à côté. Il reçu ma commande d'un mauvaise œil, et m'aboya presque dessus. Sérieusement, pensait-il avoir une chance avec cette beauté ? Hé oh mec, nous vivons dans le 21e siècle, les gros lards de ton genre était banni des plans dragues de ce genre. Triste vie, n'est-ce pas ? Mais soyons réalistes deux secondes. N'appréciant donc pas son ton mal employé à mon égard, je m'énervai légèrement et le remis à sa place. « Hé mec, si tu te la fermais un peu et que tu fasses un peu ton boulot ? Après tout, tu es payé pour ça non, pas pour ouvrir ta grande gueule. Je pourrais te faire renvoyer, tu t'en rends compte ? Maintenant, va donner ce verre à la belle jeune fille que tu n'auras que dans tes rêves les plus fous et fous-moi la paix, tu veux ! » Les menaces, il n'y avait que ça de vrai dans ce siècle. Il bougonna, pour ne pas être vulgaire, m'envoya un regard des plus noirs et se soumit enfin. Good boy, tu obéis si bien. Je le vis parler à la jeune fille, puis me montrer du doigts. Je lui rendis son merveilleux sourire et adressai un regard de vainqueur à Nick. Alors, prêt à perdre mon chou ?
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