the great escape
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(adriel&cadence) ⊹ just talked to the evil queen and rumplestiltskin about a quest to find magic

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Adriel Eynsford-Baxter
there's no place like berkeley
Adriel Eynsford-Baxter
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MessageSujet: (adriel&cadence) ⊹ just talked to the evil queen and rumplestiltskin about a quest to find magic (adriel&cadence) ⊹ just talked to the evil queen and rumplestiltskin about a quest to find magic EmptyJeu 5 Juil - 15:42

(adriel&cadence) ⊹ just talked to the evil queen and rumplestiltskin about a quest to find magic 2uy0ugw
❝.What's crazier than seeing and not believing ?.❞
adriel & cadence ⊹ ❝ Oh come now Prince Phillip. Why so melancholy ? A wondrous future lies before you - you, the destined hero of a charming fairy tale come true. Behold - King Stefan's castle. And in yonder topmost tower, dreaming of her true love, the Princess Aurora. Gold of sunshine in her hair, lips that shame the red red rose. In ageless sleep, she finds repose. The years roll by, but a hundred years to a steadfast heart, are but a day. Off he rides, on his noble steed. To wake his love with loves' first kiss and prove that true love conquers all .❞ there is a town in maine, where every story book characters are trapped. ⊹ they don't remember who they are

St. Augustine a dit : «  The world is a book and those who do not travel read only one page. » Voyager, à mes yeux, restait l'activité typique de mes vacances. Depuis mes jeunes années jusqu'à aujourd'hui, j'avais fais de mes vacances un véritable tour du monde et pouvait désormais me vanter d'avoir vu énormément de choses, vécut un tas d'expérience. Néanmoins la plus enrichissante jusqu'à ce jour remontait à bien des années et s'était séparée en plusieurs étés ensoleillés, passé à courir autour d'une maison qui aujourd'hui ne m'inspirait rien de plus que de la nostalgie. Mes songes divaguaient vers mon enfance, interpellant des souvenirs encore frais en mon esprit, comme s'ils dataient de l'été passé alors qu'en vérité, cela faisait des années maintenant que je n'avais plus vécut cette aventure-là. Seulement j'avais promis, depuis le temps. Et je tenais toujours mes promesses, surtout lorsqu'il s'agissait de prêter serment à une personne en particulier. C'est ça, Adriel s'apprête à rendre visite à sa grand mère, habitant une vieille, mais pourtant robuste, bâtisse dans le fin fond du Maine. J'avais promis, après des années à ignorer ses invitations, des années à avoir toujours autre chose à faire de plus important, qu'il était grand temps que je n'accepte une journée en compagnie de ma mère-grand. En tous cas, là était l'histoire officielle que je vendais à tous, histoire que tous le monde ne croient que Prince Adriel est trop bon, trop beau pour être vrai et passe même du temps avec sa mamie, mais surtout pour contenter ma grand-mère qui allait être ravie de me voir arriver en charmante compagnie. Raisons officieuses de mon déplacement, la première, ma mère avait téléphonée à sa propre mère afin de lui annoncer que je venais de me fiancer et qu'il fallait que la vieille dame ne prépare son portefeuille afin de payer les noces. La seconde, ma grand-mère avait téléphone à Cameron pour lui dire que sa chienne allait avoir une portée et qu'elle souhaitait nous en confier un. Ma mission, dire non et la convaincre de balancer ses chiots dans la cours du voisin avant que Cameron n'en voit un, ne serais-ce qu'en photo. Troisième et dernière raison, j'emmenais mon adorable petite amie en vacances, faire du shopping à New York. La distance entre New York étant restreinte, c'était l'occasion où jamais de faire un crochet. Une journée chez ma grand-mère ne tuerait pas la Cadence, j'en étais convaincu. Après tout, ma grand-mère est la personne la plus adorable au monde, j'avais survécut à mes été dans le Maine, avait même apprécié, alors pourquoi pas elle. Poussant un soupir, d'ors et déjà fatigué par des heures et des heures de conduites, j'en venais à me demander pourquoi j'avais accepté de prendre la voiture alors que nous aurions très bien pu nous y rendre en avion. Oui, j'oubliais, ma grand-mère habite dans un trou paumé, pas de piste d' atterrissage. Mère-grand, l'ancien mannequin mondialement connu et reconnu ( inutile à présent de demander de qui Cameron et moi tenions notre beauté céleste ), la femme humble et généreuse qui a décidée de prendre sa retraite, dans un coin calme parmi les champs et les fougères. Silencieux face à mes réflexions, je fus néanmoins extirpée de mes songes lorsque la chanson ennuyeuse à souhait passant à la radio changea en un air plus entrainant. J'en avais presque sursauté, les yeux jusqu'alors fixant la route, j'accordais un semi-regard à Cadence, assise à mes côtés. Le GPS m'indiqua que nous devions sortir de la grande voie, afin d'emprunter la route simple, ordre auquel j'obéis sans protester, abordant un péage bondé. Attendant que cela soit notre tour, arrêté en plein milieu de la fille, je prêtais alors une oreille attentive à la musique. C'est alors que mes lèvres tracèrent un rictus amusé, je connaissais cette chanson par cœur. ( clique ma fille ) Et encore, par cœur, faible mot. Autorisé par la file d'attente à ne plus prêter attention à la route, je me détournais vers ma blonde, mes doigts venant chatouiller ses côtes d'un simple geste taquin, alors que ma bouche mimais un '' ouh baby baby, baby, baby '' enjoué. « .Avoue, tu as envie de danser. » déclarais-je, affublé d'un air amusé, alors que je cessais mes chatouilles afin de me re concentrer sur la file, qui avait déjà bien avancé. Sans même m'en rendre compte, je mimais déjà les paroles, sans même garder quelconque retenue. Sifflotant de prime abord, je me laissais peu à peu absorber par les paroles, mon visage commençant à doucement basculer de droite à gauche alors que j'entamais les paroles en même temps que la choriste. Par cœur je la connais cette chanson, par cœur ! Entrainante comme elle était, elle eut le don de me mettre de bonne humeur en quelques notes, conduisant d'une main, je m'amusais à taquiner Cadence en picotant la peau de son flan gauche du bout des doigts. Déride toi chérie, sois de bonne humeur un peu dans ta vie. Moment de légèreté faisant, j'en venais à carrément chanter, ma voix suave et harmonieuse dissimulée derrière le rap entrainant de Salt'n'pepa. C'mon girls, let's go show the guys that we know how to become number one in a hot party show. Now push it Ma culture musicale en prenait un coup, sévèrement. Et mon côté pragmatique et sérieux, n'en parlons même pas. Toutefois il n'y avait rien à redire quand à la teneur magique de cette air entrainant, cette musique-là avait le don de mettre le plus affable des hommes en un vrai bout en train. Heureusement, je ne tombais pas dans l'extrême, ne bougeait pas dans tous les sens comme un idiot. Le simple fait de réagir à la chanson était en sois un miracle. « .Ne me juge pas, c'est de ta faute si je connais cette horreur par cœur. » déclarais-je d'un ton faussement accusateur. J'avais entendu cette rythmique un milliard de fois et allais probablement l'entendre un autre milliard de fois, grâce à Cadence, réunie avec Constance et leur ivresse commune pour les musiques et danses de bas étages. Il y a des souvenirs, des ritournelles qui ne s'effaceront jamais, celle-ci en faisait partie. M'apprêtant à siffloter de nouveau, je constatais néanmoins que la radio s'imposa un silence brusque, tout comme le gps qui décida de nous livrer à nous même sans préavis. « .Tiens, du coup ça ne fonctionne plus. Thank you Salt'n'pepa !. » annonçais-je d'un ton léger, déjà à la recherche d'une solution. Parce qu'évidemment, je n'étais jamais venu par mes propres moyens chez ma grand-mère, étant trop jeune pour ne serais-ce qu'imaginer conduire. Voilà que je commençais à regretter profondément de ne pas avoir fait le déplacement avec Cameron. Mais loin de pouvoir m'imaginer que la direction nous fausserait compagnie, j'en revenais à penser qu'une fois de plus, le karma ne jouait pas en notre faveur. D'autant que je remarquais que nous nous enfoncions dans un paysage qui ne m'était guère familier, une forêt dense, sans vis-à-vis, sans aucune autre route, celle-ci étant déjà bien déserte. Wonderful. « .On va s'arrêter à la prochaine ville, puis on avisera. Ça te va ? » demandais-je, sans pour autant attendre une réponse, ni-même lui laisser le choix. On avisera, j'appellerais mon frère qui jouera le rôle de la carte et nous serons bon pour repartir vers d'autres aventures. Armé de prudence, je dévisageais le coin avec anxiété. Des arbres à perte de vue, un décor boisé, la civilisation ne faisant apparition qu'au travers du bitume sur lequel nous roulions. Enfin un détail émergea à l'horizon, un carré blanc dans un océan de verdure, je fronçais les sourcils alors que nous nous rapprochions de ce qui sembla être un panneau de bienvenue, pas si accueillant que cela. Une planche de bois peinte d'un blanc décoloré, abimé par le temps, des lettres gravés indiquant en lettre capitale le nom inédit de notre prochaine destination. « .Storybrooke, on aura tout vu. » marmonnais-je avec nonchalance, alliant le geste au ton en levant les épaules. Une ville prénommée Storybrooke. Storybooke. Le livre d'histoire, de contes, en bon français. Je réfléchissais encore en français et l'idée d'avoir une ville nommée Contes villes, ou quelque chose de ce genre-là me fit presque ricaner. A peine le panneau passée, la ville commença à se dessiner au loin, le paysage à changer en un endroit plus civilisé, mais tout de même bien pittoresque. J'avais l'impression de tomber dans un monde nouveau, un lieu à part. La localité était bien loin des endroits auxquels j'étais accoutumés et l'aspect rural de cette ville aux contes me donna une sensation, une impression sur lesquelles je n'arrivais pas à apposer un mot. Arrivé dans ce qui semblait être le centre ville, notre cortège dévisagé par des habitants par moment aussi anxieux que moi, par moment arborant un sourire ravie et impatient, je décidais de me garer en face d'un café / restaurant auquel je n'accorda aucune importante. Détachant ma ceinture, mais restant pourtant dans l'habitacle, je toisais la rue dans un instant de silence. « .Je vais téléphoner à Cameron. Le mieux c'est qu'on reste ici pour la nuit et demain, on repartira. » l'annotais-je sobrement, pointant du doigt le ciel gris pluie commençant à se délayer dans un bleu nocturne. Dormir ici me sembla être l'idée la plus judicieuse, même si pour le coup j'étais peu convaincue de pouvoir passer une nuit tranquille dans les parages. L'endroit semblait accueillant, mais n'aimant pas divaguer dans l'inconnu, surtout lorsque l'inconnu n'est pas quatre étoiles, je restais néanmoins sur mes gardes. Dans tous les cas, que pouvait-il nous arriver durant les prochaines vingt-quatre heures. Rien de grave je l'espérais et comme je n'avais pas l'espoir facile, nous étions sauvé. Décidant de sortir de la voiture afin de me mettre en quête d'information, mais surtout afin de téléphoner, j'en profitais pour aller ouvrir la porte à Cadence, fermer la voiture une fois qu'elle fut sortie et rejoindre le trottoir. Téléphone en main, je m'apprêtais à chercher Cameron Eynsford dans mon répertoire, mais ce fut sans compter sur l'intervention d'une petite voix malicieuse qui vint à notre rencontre. « .Oh vous êtes enfin arrivé ! » entonna d'une voix enjouée un garçon d'une dizaine d'année, portant un sac à dos et un livre dans ses mains. Je n'aime pas les enfants, ne les avait jamais vraiment aimé. Encore plus lorsqu'ils m'abordent d'un air joviale, sourire, me contemplant avec minutie, détaillant mes traits et ceux de ma petite amie avec émerveillement. Interpellé par sa supplique, je fronçais les sourcils, cherchant à interpréter ses mots du mieux que je le pouvais, sans pour autant réussir. Alors comme ça nous étions attendu à Freakland. Le nom de la ville ne m'inspirait pas grande confiance, les parages non plus et ses habitants, même les miniatures, me donnaient envie de courir vers l'infini et au delà. Je contemplais le sacripant avec anxiété, mon regard entamant une danse nonchalante bien que machinale entre Cadence, à qui j'adressais un regard perplexe et le petit garçon, attendant une réponse tandis qu'il serait plus intensément dans ses bras un livre de taille encyclopédique et me détaillait toujours avec gaieté. « .Nous étions attendu pour le thé peut-être ? Le chapelier fou est dans le coin ? cela fait longtemps que je ne l'ai plus vu. » ironisais-je en levant les yeux au ciel, feignant toutefois de rentrer dans le jeu de cette utopique Storybrook. Le nom de la ville finie par m'amuser, réflexion faite. Ainsi avais-je osée la plaisanterie sur l'un des contes les plus connus en ce bas monde. Nous étions à Storybrook, alors un chapelier fou qui sortirait en vacillant d'un salon de thé, pourquoi pas. Laissons nous imagination s'imprégner des lieux et cherchons des contes de fées là où il n'y en a pas. Persuadé qu'il allait prendre peur, ou bien comprendre mon manque d'entrain et s'en aller sans demander son reste, je décidais de me retourner vers Cadence, lui adressant mon attention exclusive. « .Il est chez granny's en fait, mais je ne pense pas qu'il soit d'humeur à prendre le thé aujourd'hui. » m'annota le chérubin. Phrase qui accentua mon côté anxieux et entama mon humour désormais mis à rude épreuve. « .Tu entends ça, Mad Hatter n'est pas d'humeur à prendre le thé, que c'est cocasse. » me moquais-je, sans prendre la peine de me retourner vers l'enfant, adressant un sourire sarcastique à Cadence qui, j'en étais sûre, se moquerait elle aussi allègrement de la pauvre démonstration d'imagination dont nous étions victime. Voilà comment Storybrook nous accueillait, un petit garçon aux cheveux trop bien coiffé pour être un vrai enfant, tenant un livre plus gros sur son buste et ayant une imagination à défier celle des frères Grimm. « .Henry ! Excusez-le, il a une imagination débordante. » héla une grand femme, blonde, venant apposer ses mains sur les épaules du garçon sur qui j'apposais désormais le prénom d'Henry. L'insigne de shérif accrochée à la ceinture de la jeune femme m'indiqua qu'elle faisait partie des forces de l'ordre, néanmoins l'insigne elle même me donna envie de pouffer de rire. Sérieusement, ça existe encore les shérif ? Dans le Texas, je voulais bien et encore. Mais dans le main, vraiment. Fronçant un sourcils, je décidais seulement de lui accorder un pincement de lèvre poli en gage de réponse. « .Mais, ils sont dans mon livre eux aussi, regarde. » grommela-t-il, a moitié absorbé par l'ouverture dudit livre. Je fronçais les sourcils, l'une de mes mains s'apposa machinalement dans la nuque de Cadence, tandis que je regardais la scène d'un air perplexe. « .Prince Charming ? Je pensais que David était Prince Charming. » Oh qu'elle est belle la conversation. J'avais l'impression d'être tombé en plein délire, une espèce de série de seconde zone, au milieu d'une scène improbable. Come on, let's take our swords and fight the bitchy witchy queen. Silencieux face à ce que je qualifiais de '' décadence de l'espèce humaine '', je poussais un vague soupir. Où étions-nous encore tombé. « .En vérité, David c'est Prince James. Comme Sean, c'est Prince Thomas. Lui, il s'appelle Adriel, mais c'est Prince Phillipe. Ils ont tous les trois été surnommés Charming, dans l'autre monde. C'est le concept du prince qui sauve sa princesse. » Et de ces explications nébuleuses, résultèrent un profond agacement, mélangé à une pointe de désarroi. Je poussais cette fois-ci un profond soupir agacé, levant les yeux au ciel. « .Oh regarde, Prince Charming, encore, même dans un coin paumé. » pestais-je, prenant toutefois soins de n'être entendu que par ma promise. Assez du charming ! Assez ! J'en avais ras le bol de ce surnom, ras le bol de cette étiquette. Et le pire restait que je n'en avais pas terminé avec ça, sachant qu'hier soir je me l'étais joué prince charmant en embrassant ma promise au milieu d'une foule médusée, en plein bal. Oh maybe I am charming after all. Néanmoins, un détail attira mon attention et d'un visage agacé, je passais à une expression plus étonnée. « .Comment sais-tu comment je m'appelles ?. » demandais-je brusquement. Je n'avais pas décliné mon identité, ni-même de quoi que ce soit qui pourrait le renseigner sur moi, ou encore sur Cadence. Nous n'avions rien dit, rien fait. Il n'y avait aucun moyen pour lui de savoir comment je m'appelais et pourtant il venait de sortir mon prénom, aussi original soit-il, de but en blanc. Encore si je m'appelais Noa, comme le suggérait mon second prénom, qui était relativement courant de nos jours, il aurait pu deviner au hasard. Mais Adriel, très peu probablement. Lui adressant un regard perplexe, impatient qu'il n'assouvisse ma curiosité on ne peut mieux placée, je décidais de croiser les bras, l'incitant à se presser. « .mon livre. » répondit-il tout simplement, en haussant les épaules. La vérité sort de la bouche des enfants.

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Constance La Tour Dubois
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: (adriel&cadence) ⊹ just talked to the evil queen and rumplestiltskin about a quest to find magic (adriel&cadence) ⊹ just talked to the evil queen and rumplestiltskin about a quest to find magic EmptyJeu 26 Juil - 23:59

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