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on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi!

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MessageSujet: on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! EmptyJeu 14 Juin - 19:42

Début de soirée, Nuit de folie


Et tu chantes danses jusqu'au bout de la nuit
Tes flashs en musique funky
Y'a la basse qui frappe et la guitare qui choque
Et y'a le batteur qui s'éclate et toi qui tient le choc

Et tu chantes chantes chantes ce refrain qui te plaît
Et tu tapes tapes tapes c'est ta façon d'aimer
Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie.


Il ne comprendrait jamais ce que tout le monde trouvait à ce genre de soirée. Certes, il avait prévu de se rendre au bal de fin d’année. Certes, il allait se mettre sur son trente et un. Et certes, il y avait invité une jolie fille. Cependant, toute cette effervescence compte à cette soirée le rendait malade, il trouvait cela légèrement surfait, si ce n’est plus. Mais comment pouvait-il leur en vouloir ? Ils n’avaient jamais eu l’occasion de connaitre ce genre de soirée à part lors des bals organisés par l’université. Pauvre d’eux. Ils ne savaient pas à côté de quoi ils passaient. Il comprenait ce qu’ils pouvaient ressentir en se rendant à ce genre de soirée, habillé de smoking et de robe que jamais ils ne pourraient se payer même en travaillant toute leur vie. A dire vrai, il ne comprenait pas. Il ne connaissait pas ce genre de sentiments et il s’en portait bien d’ailleurs. Sortant de la cabine de douche, il se dirigea vers sa chambre, une serviette autour de la taille et le torse ruisselant. Un smoking l’attendait, accroché dans la penderie. Oswald vivait dans un appartement assez grand pour y abriter une famille toute entière, luxueux et moderne. Il était riche et ne s’en cachait pas. D’ailleurs, il ne comprenait pas qu’on puisse avoir de l’argent et ne pas s’en servir. Faire croire ne pas aimer la richesse. Foutaises. Une fois prêt, il avait pris sa voiture avant de se rendre chez sa cavalière. Indianna Rosalyn Ross-Burgess. Avaient-ils prévu d’y aller ensemble dès le départ ? Pas le moins du monde. La vérité était qu’ils n’avaient pu se résoudre à voir l’autre au bras d’une autre personne, la jalousie prenant le dessus sur les bonnes résolutions qu’ils avaient pris au départ. Leur relation avait commençait par une amitié sincère avant qu’un brin d’ambiguïté vienne s’installer entre eux. Le bel Anglais devait bien avouer que sa cavalière ne le laissait pas indifférent, elle était belle et attirante mais, il se garderait bien de le lui dire. « Bonsoir Beauté ! » Lâcha-t-il tandis que la porte s’ouvrait sur une jolie créature. « Attends au moins la fin de la soirée avant de m’achever… » Un sourire malicieux apparut sur ses lèvres tandis qu’il la dévorait du regard. Indianna était une jeune femme tout à fait charmante et même si à aucun moment depuis leur amitié, il ne l’avait regardé autrement que comme une amie, cela avait changé. La côtoyer tous les jours, discuter et rire avec elle les avaient rapprochés tandis qu’un autre sentiment s’installait petit à petit. Son regard parcouru cet endroit où vivait la jeune femme tandis que cette dernière finissait de se préparer. La soirée s’annonçait plus qu’exquise, pensa-t-il tandis qu’il conduisait sa cavalière hors de cet appartement. Prenant la voiture du jeune homme, le chemin jusqu’au bal se fit dans la bonne humeur. Après tout, s’y rendre ensemble n’était pas une si mauvaise idée. Cela était au contraire une bien meilleure idée que d’y inviter une autre personne, la soirée se serait très vite retournée en véritable carnage. Ils le savaient tous deux. Depuis quelques temps, les deux étudiants ne supportaient pas qu’une personne du sexe opposé s’approche de trop près de l’autre. Etait-ce de la jalousie ? Sans aucun doute. Seulement, ils n’étaient pas près de le reconnaitre, ni l’un, ni l’autre. « J’espère que tu es en forme Beauté parce que je ne compte pas te laisser dormir…On va devoir montrer l’exemple, j’ai comme le sentiment qu’ils ne savent pas comment s’amuser par ici… » Un sourire charmant sur les lèvres, il lui offrit son bras avant de se diriger vers la bibliothèque qui avait été aménagé pour le bal sous le thème des Disneys.
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MessageSujet: Re: on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! EmptyJeu 14 Juin - 21:59

❝Avant c'était la belle et le clochard.
Maintenant c'est la pute et le batard. ❞

Ô nuit belle nuit, sous un ciel d'Italie, on t'appelle bella note. Et sous les cieux, des étoiles pleins les yeux, on t'appelle bella note. Deux par deux, comme des amoureux, vivez l'enchantement. Si c'est l'amour qui vous appelle de tout coeur, répondez-lui.. Ô nuit belle nuit, dans les cieux c'est écrit qu'elle est belle bella note. Nuit belle nuit sous un ciel d'Italie, on t'appelle belle bella note. Nuit sous les cieux, des étoiles pleins les yeux. « Love is unexpected, faithful, magical, true, forever. Fall in love for the first time. » Oswald&Indianna ; oswalianna ; Prom Bal's King&Queen


C’est avec grand plaisir que j’allais au bal. J’ai toujours adoré ce genre de soirée et je fus vraiment emballé quand j’ai appris que cela tournait autour du thème Disney. Cela faisait un peu enfantin, mais après tout, j’adorais ça, j’adorais les Walt Disney et ça me faisait déjà rêver. J’imaginais la bibliothèque refaite à la Belle et la bête quand Belle se trouve dans le château et qu’elle découvre tous les livres qu’il lui offrait. Oswald allait être ma bête et je serai sa belle, il sera mon clochard et moi sa belle bien qu’il n’ait rien d’un SDF, bien au contraire. Je dois dire que j’avais beaucoup de chance d‘y aller avec lui. C’est vrai qu’il avait énormément d’agent mais il était aussi très beau et intelligent et ce n’était pas négligeable. Je savais que je faisais un tas de jalouse en y allant avec lui et ça ne pouvait me faire que d’avantage plaisir. Il faut dire aussi que je n’avais pas vraiment le choix. Depuis quelques temps, entre moi et Oswald c’était devenu tendu. C’était pourtant cool au début. Nous étions de très bons amis, on s’adorait et ça nous suffisait, pourtant depuis quelque temps, et je n’en connais pas la cause, de l’ambigüité c’était installé. Il faut dire qu’il est difficile de résister aux charmes du jeune homme mais tout de même. Je ne cache pas le faite que j’avais peur que cela nuise à notre amitié. La preuve, on a été contraint d’y aller ensemble. Interdiction d’inviter quelqu’un d’autre de peur que cela provoque une énorme dispute. Je n’ai jamais été quelqu’un de très jaloux mais pourtant, quand on touche à ce qui est à moi, je deviens une toute autre personne et ça, Oswald le savait mais il était hors de question pour moi de lui avouer, ça ne le rendrait que plus heureux et je n’étais pas prête de lui faire un tel plaisir. Robe bustière noir avec des paillettes bleues marines me faisant briller de mille feux, j’avais opté pour les traditions. A défaut de ne pas avoir été à mon bal de fin d’année qui marquait le début de l’université, ma mère m’avait donné sa robe qu’elle avait portée pour que je la mette ce soir-là. « Tu es magnifiques. » « Ô maman, ça fait vraiment cliché comme phrase là.. » « Oh si je ne peux même plus dire à ma fille que je la trouve belle hein.. » Je l’ai regardé avec un sourire aux lèvres et je lui ai embrassé la joue. « Merci maman. » Je n’ai jamais été très proche de ma mère. J’étai très proche de mon frère mais jamais de ma mère mais depuis le départ de celui-ci, nous nous sommes beaucoup rapproché et je dois dire que je suis vraiment contente d’entretenir une relation aussi belle avec ma mère. Cela faisait un bien fou. « Bon, il arrive quand ton cavalier, je veux vous prendre en photo. » « T’es sérieuse là ? On a plus 5 ans hein. » Elle m’a regardé avec des petits yeux et je lui ai bien fait comprendre qu’elle ne devait même pas y songer. Il ne fallait pas aller trop loin non plus et puis j’aurai l’air de quoi devant Oswald ? D’ailleurs en parlant du loup j’entendis sonner et je ne perdis pas de temps pour aller ouvrir, je sentais que si ma mère y allait la première, j’y passais. J’ai pris le temps de prendre mon sac et un gilet et j’ai ouvert la porte. « Bonsoir Beauté ! » « Bonsoir. » « Attends au moins la fin de la soirée avant de m’achever… » Je me suis mise à rire. Mon dieu, non mais quel loveur celui-là, toujours dans l’excès. « T’es pas mal non plus je dois dire. Tu es presque à ma hauteur. » Bien sûr je plaisantais. Il était vraiment beau ce soir comme habituellement d’ailleurs. S’il y a bien une chose qui est agréable chez Oswald c’est qu’il prend toujours soin de lui. Cheveux, vêtements, tout était calculé et on se sent toujours fier de marcher à côté de lui. Je l’ai toujours pensé et moi qui le trouvais attirant, tout était intensifié ce soir. C’est pourtant étrange comme sentiment. Il est indéniable que j’aime Timéo, bien que mes sentiments ne soient pas réciproque, pourtant, il y avait quelque chose chez Oswald quelque chose qui me faisait craquer. Quand je suis à côté de lui, je perds tous mes moyens et je suis comme une enfant et pourtant, nos caractères m’obligent à agir de manière différente. On se lance ses piques, on flirt, on se complimente, tout un tas d’émotions qui sont difficiles à gérer. C’était confus dans ma tête mais il était clair que je n’allais pas en parler avec lui. A quoi bon de toute manière, nous étions amis et rien d’autre. Nous avons discuté pendant le trajet et je lui ai raconté ce que ma mère voulait faire, l’histoire de ma robe, je lui ai aussi parlé du faite qu’on allait surement choquer, le beau et riche Macauley-Brown qui collectionne les filles avec la petite Ross-Burgess obsédé par le cheerleading. C’est vrai qu’on formait un duo étonnant et même moi je ne nous imaginais pas ensemble. On ne faisait pas partit du même monde, c’était clair et net et pourtant je m’entendais parfois mieux avec lui qu’avec certains Iotas. Une fois arrivée, je suis sortie de la voiture et c’est avec beaucoup de classe qu’il vint me proposer son bras, bras que j’ai immédiatement enlacé. « J’espère que tu es en forme Beauté parce que je ne compte pas te laisser dormir…On va devoir montrer l’exemple, j’ai comme le sentiment qu’ils ne savent pas comment s’amuser par ici… » « T’es sérieux avec ton discours ? On se croirait dans un film ! Enfin je compte bien mettre de l’ambiance. Au pire, si ce n’est pas à la hauteur de nos espérances, on s’éclipsera. » Je l’ai regardé avec un sourire malicieux aux lèvres, avançant doucement à ses côtés, regardant les robes des autres filles. Puis j’ai ajouté tout près de son oreille : « Si tu vois ce que je veux dire. »Je lui ai souris à nouveau puis j’ai éclaté de rire. Bien sûr, ce n’était que de la provocation. Je n’étais pas assez folle pour faire ce genre de choses dans des lieux publics. J’étais extravertie, mais les choses un peu folles et osées, ce n’était vraiment pas dans mon tempérament.
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MessageSujet: Re: on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! EmptyVen 15 Juin - 2:54

Début de soirée, Nuit de folie


Et tu chantes danses jusqu'au bout de la nuit
Tes flashs en musique funky
Y'a la basse qui frappe et la guitare qui choque
Et y'a le batteur qui s'éclate et toi qui tient le choc

Et tu chantes chantes chantes ce refrain qui te plaît
Et tu tapes tapes tapes c'est ta façon d'aimer
Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie.


Oswald était un habitué des soirées en tout genre. Etant le fils d’un premier ministre anglais, il y avait certaines choses qui devenaient comme une habitude, comme l’air qu’on respirait. Etre à la hauteur des espérances et faire la fierté de ses parents en se comportant tel un gentleman tout du long était important. Il fallait préserver les apparences et chez les Macauley-Brown c’était plutôt un devoir, une obligation. Pas de place au doute. Et étant l’aîné de cette famille, le bel Anglais se devait de montrer le bon exemple et il le faisait avec grand plaisir. Il savait comment faire pour joindre l’utile à l’agréable. C’était donc sur son trente et un qu’il s’était rendu au domicile de la belle Iota. En y repensant bien, son dernier bal remontait à la Saint Valentin, le soir où tout avait basculé à Berkeley mais, également dans la vie de certaines personnes. Bien que sachant éperdument que sa présence à l’université californienne n’avait pas passée inaperçue, voir une personne de ses propres yeux restaient bien différents que les dires d’autrui. Il se souvenait encore du regard urgent qu’avait lancé Cadence à sa complice d’antan lorsque ses yeux avaient croisé ceux d’Oswald. Un fantôme parmi les vivants. Voilà ce qu’il était. Un simple fantôme revenu pour hanter deux jolies créatures. Malheureusement pour lui, la soirée ne s’était pas terminée comme il l’avait souhaité. Ce n’était que partie remise. Mais, aujourd’hui…Aujourd’hui, la donne était différente. Il se rendait à ce bal avec une jolie fille, il avait dans l’idée de profiter de sa soirée et en bonne compagnie. Il ignorait encore comment se terminerait celle-ci mais, il avait bien l’intention d’en profiter. Habitué à se balader avec les plus belles filles à son bras, ce soir là ne faisait pas exception et en prime, il pouvait se vanter d’être accompagné d’une jeune femme drôle et intelligente. Diable qu’il lui était difficile de se retenir de ne pas la charmer. Ils étaient amis avant tout et un quelconque faux pas pouvait nuire à cette amitié et il n’y tenait pas vraiment. Ses amis se faisaient rares et même si cela ne le dérangeait guère, il préférait garder ceux qu’il avait encore. Arrivé chez elle, il avait salué la mère de la jeune femme avant de se retourner vers sa cavalière, un sourire ravageur sur les lèvres. Des soirées comme celle-ci, il en voulait tous les jours. « Si tu le dis ! » Répondit-il tout en laissant échapper un rire léger. Il appréciait énormément la jolie blonde et son répondant ne faisait que lui plaire d’avantage. ‘Calme-toi mon vieux, la soirée ne fait que commencer !’. Ils avaient ensuite pris la voiture du jeune homme pour se rendre au bal où une nuit pleine de surprises les attendait. « Bien sûr que je le suis… Regarde-nous, on va en faire des jaloux… » Lui lançant un regard malicieux, il attendit qu’elle prenne le bras qu’il lui tendait avant de se rendre à la bibliothèque. « Ne me tente pas Beauté, je risquerais de ne pas me retenir. » Murmura-t-il en retour. La salle était pleine à craquer et ce n’était que le début de la soirée, tout le monde était son trente et un, un sourire plaqué sur les lèvres. La soirée de rêve pour certains, une occasion de faire la fête pour d’autres et une simple soirée semblables aux précédentes pour bons nombres. Pour Oswald, c’était une belle soirée qui s’annonçait, avec une cavalière des plus charmantes et cela méritait bien tous les efforts du monde. « Tu veux boire quelque chose ? » Offrit-il galamment alors que son regard se posa sur la majestueuse salle qui s’offrait à lui. Quittant sa cavalière quelques minutes, il rejoint l’autre côté de la bibliothèque pour prendre deux verres. Dommage que le champagne ne puisse couler à flot. Cela aurait rendu la soirée parfaite. Revenant auprès de la belle Iota, il lui offrit son verre avant de poser une main protectrice dans son dos. Indianna lui appartenait, du moins pour la soirée et il comptait bien le montrer à tous.
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MessageSujet: Re: on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! EmptySam 16 Juin - 23:19

❝Avant c'était la belle et le clochard.
Maintenant c'est la pute et le batard. ❞

Ô nuit belle nuit, sous un ciel d'Italie, on t'appelle bella note. Et sous les cieux, des étoiles pleins les yeux, on t'appelle bella note. Deux par deux, comme des amoureux, vivez l'enchantement. Si c'est l'amour qui vous appelle de tout coeur, répondez-lui.. Ô nuit belle nuit, dans les cieux c'est écrit qu'elle est belle bella note. Nuit belle nuit sous un ciel d'Italie, on t'appelle belle bella note. Nuit sous les cieux, des étoiles pleins les yeux. « Love is unexpected, faithful, magical, true, forever. Fall in love for the first time. » Oswald&Indianna ; oswalianna ; Prom Bal's King&Queen


Me montrer, prouver aux gens que je suis bel et bien là. C’était mon défi du jour. Je m’affichais au bras d’Oswald, l’un des hommes les plus prisés de l’université et j’étais avec lui, j’étais à son bras et on ressemblait à un prince et une princesse. Que demander de plus sincèrement ? Je n’ai pas l’habitude de me faire remarquer, enfin ce n’est jamais intentionnel en tout cas mais ce soir je voulais vraiment sortir du lot, je voulais qu’on me regarde différemment. Je n’ai jamais été le genre de fille qu’on remarque. Certes je suis jolie, sportive et sans me vanter, je ne suis pas quelqu’un de stupide mais on ne m’a jamais regardé comme quelqu’un d’attirant ou quelqu’un qui voudrait avoir. Pour coucher, passer un bon moment le temps d’une soirée, c’était tout ce dont j’avais le droit. On ne m’accordait aucune considération. J’en ai longtemps souffert. Je voulais plus que ça j’ai toujours voulut plus que ça. Les filles biens, les filles qui sont prudes et sages on les admire, on les respects et on les eut, on les désire car elles sont intouchables, on sait qu’une fois la porte franchit, on tombe immédiatement amoureux d’elles car elles sont parfaites. Et ces garces, celle qu’on méprise mais qui nous attire, elles nous intriguent. On veut connaitre leurs secrets et c’est tellement beau de voir qu’on arrive à pénétrer dans leur jardin secret, on se sent tellement privilégié qu’on tombe automatiquement sous leurs charmes et on finit par les aimer bien plus qu’on ne pouvait l’imaginer. Mais les filles ordinaires comme moi, celle qu’on remarque à peine, on n’en a rien à faire. On fait tout notre possible pour qu’on nous regarde, pour qu’on s’intéresse à nous On devient amies avec les gentilles, avec les méchantes mais au finale, on est les dernières à se retrouver seule. On n’est pas assez géniales, pas assez timide et sage, bien trop banal pour être méchante et intrigante. Alors que nous reste-t-il ? On se contente de regarder des scènes magiques sans pourvoir y assister. On est en dehors de nos vies et on se regarde tout détruire car on ne fait rien ou alors on en fait trop, ça dépend du point de vu. Pourtant, ce soir, je me sentais différente, j’avais l’impression de sortir enfin du lot, d’être quelqu’un d’autre. Oswald me donnait ce sentiment. Lui qui pouvait avoir ce qu’il voulait, était à mon bras et m’avait choisis. On s’était choisis. Je me sentais bien, quelqu’un d’autre et j’adorais ça. J’adorais cette impression d’être au-dessus de tout le monde en étant en sa compagnie. Il me faisait me sentir belle et spéciale. On ne ressent pas ça souvent et je crois que c’est pour ça que je l’apprécie autant. « Bien sûr que je le suis… Regarde-nous, on va en faire des jaloux… » « C’est vrai que j’aurais été jalouse de te voir accompagner quelqu’un d’autre. » Je l’ai regardé un sourire aux lèvres. « Je rigole, ça ne m’aurais rien fais. » il était inutile de précisé que je suis une très mauvaise menteuse car on savait lui comme moi que si nous étions ensemble ce soir c’était dû à la jalousie qui naissait en nous quand nous étions avec quelqu’un d’autre. Mais après tout, qui y a-t-il a entre nous pour qu’on ressent ce genre de sentiments ? Je ne me suis jamais réellement posé la question, mais pourquoi étais-je si jalouse des autres filles, de celles qui s’approche un peu trop près de lui ? Mon dieu, comme je déteste ce sentiment. On se sent alors tellement vulnérable. C’est vrai que c’est horrible de se sentir autant dépendant. Qu’arriverait-il s’il venait à rencontrer quelqu’un d’autre ? Je serais vraiment dans la merde. Amoureuse ? Non, impossible. Je sais que j’aime Timéo et d’ailleurs la situation n’est pas forcément plus simple, mais ça j’en étais persuadée alors qu’est-ce que je ressentais pour Oswald ? Peut-on tomber amoureux de deux personnes en même temps ? En a-t-on assez dans le cœur pour le partager ? J’étais totalement perdue et je ne savais même pas comment agir avec lui alors je me contentais simplement d’être naturelle et de me laisser aller, du moins j’agissais avec lui comme j’ai toujours agis. « Ne me tente pas Beauté, je risquerais de ne pas me retenir. » « On sait toi comme moi que s’il se passait quelque chose entre nous tu ne pourrais plus te passer de moi, sans compter sur la non réciprocité, alors fait bien attention à ce que tu fais chaton. » Je lui ai souris, haussant les sourcils avec un air provocateur sur la visage C’était une réelle mise en garde que je lui faisais, un défis que je lui lançais. « Tu veux boire quelque chose ? » « Oui s’il te plait. » Il me quitta quelques minutes, me laissant le temps d’apprécier la beauté des lieux. J’étais difficilement impressionnable, mais là, ils avaient mis le paquet et j’étais agréablement surprise. Le thème de Disney était parfaitement respecté et tout le monde jouait le jeu. C’était vraiment magique et ça donnait vraiment envie d’y être, d’être une princesse à la recherche de son prince. Personne ne croit à ce genre d’histoire, pourtant, au fond de tout, on espère tous vivre un jour une histoire qui ressemble à toutes celles qu’on a pu regarder quand on était petit. Pour ma part, mon Disney préféré a toujours été Mulan. Je ne sais pas pourquoi, simplement, quand j’étais petite, je le regardais en boucle, je le connaissais par cœur, chaque chanson, chaque réplique et encore aujourd'hui je pourrais les redire pourtant, ce n’est pas la plus belle des histoires de Disney. J’ai doré Pocahontas. L’histoire de ces deux personnes que tout oppose et qui tombe quand même amoureux l’un de l’autre. Après tout, tout finit toujours bien dans les comptes de fées, la princesse trouve son prince, les méchants sont punis, les gentils récompensé sauf qu’en réalité ça ne se passe pas comme ça. Ça serait beaucoup trop simple, vous imaginez bien. Aujourd’hui, on se bat, on lutte pour trouver l’amour et quand on la trouvé on se bat encore, il arrive même parfois qu’on ne le trouve jamais ou qu’on le trouve et qu’on le perde. Dans les deux cas on finit seul. Mais cette soirée était beaucoup trop prometteuse pour penser à ce genre de chose. J’avais envie de m’amuser, de danser, de rire, de profiter tout simplement et je comptais bien le faire comprendre à Oswald et j’espérais qu’il se débride un peu et qu’il se lâche lui aussi. Quand il est revenu, j’ai pris le verre qu’il me tendit. « Merci. On fait un tour histoire de dire bonjour et je vais que tu m’emmènes danser. » Je ne lui laissais pas le choix. J’exigeais J’étais sans pitié avec lui. C’était comme ça entre nous et je ne comptais pas être douce avec lui sous prétexte que c’était une soirée conte de fée. De toute manière je savais qu’au fond de lui il adorait ça. C’est vrai, une fille qui se laisse faire et qui est toute gentille et mignonne, c’est ennuyeux et ça ne donne pas envie. Je n’insinue pas que je veux qu’il ait envie de moi, simplement qu’il ait envie de passer du temps avec moi, je précise. « C’est dommage que l’alcool soit refusé quand même. Enfin je ne comptais pas me saouler mais c’est toujours plaisant une petite coupe de champagne.. » J’ai haussé les sourcils puis j’ai lancé la marche, allant à la rencontre de personne que je pouvais connaitre, histoire de les voir et de les saluer avant de profiter de ma soirée avec Oswald qui s’annonçait génial. Nous avons donc commencé à aller vers toutes sortes de personne, se complimentant. Des personnes avec qui nous étions en cours, des membres de nos confréries respectifs, des amis.. Ça nous a pris pas mal de minutes car on s’arrêtait assez souvent et on parlait longuement, parfois trop même. J’avais l’impression d’être une petite fille qui montre sa jolie robe, son jolie cavalier et qui n’attend qu’une chose qu’on l’emmène danser. Et c’est au bout d’une petite heure qu’on alla danser au milieu de la piste. Puis vint le moment d’un slow. C’est timidement que j’ai enlacé son cou de mes bras, me retrouvant plus proche que jamais de lui, chuchotant à son oreille, lui faisant de même. Pourtant, je ne le sentais pas complètement avec moi, je le sentais même ailleurs et je ne savais pas où ses pensées se trouvaient. J’essayais de capter son attention, mais rien à faire il repartait de plus belle à chaque fois. C’est finalement quand j’ai suivis son regard que j’ai compris que toute son attention se portait sur Constance et je ne sais pas d’autre, une fille à la chevelure blonde dont je n’arrivais pas à voir le visage. Je fus légèrement vexée. Si elles l’attiraient tant, pourquoi ce n’est pas avec elle qu’il est allé au bal, sérieusement. Je l’ai regardé, prenant mes distances, puis je les ai regardées, puis je l’ai regardé. « Tu sais si tu te fais chier avec moi tu le dis hein. Ca m’évitera de perdre mon temps avec toi. » J’ai finis par le lâché et j’étais tellement en colère contre lui que j’ai simplement décidé de partir, de quitter le bal et de m’en aller. Je suis donc sortis de la bibliothèque pour traverser le couloir jusqu’à la sortie.
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MessageSujet: Re: on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! on est Siamois qu'on se le dise! on va vivre ensemble sous le même toit, car ce qui est à toi est aussi à moi! EmptyVen 22 Juin - 1:49

Début de soirée, Nuit de folie


Et tu chantes danses jusqu'au bout de la nuit
Tes flashs en musique funky
Y'a la basse qui frappe et la guitare qui choque
Et y'a le batteur qui s'éclate et toi qui tient le choc

Et tu chantes chantes chantes ce refrain qui te plaît
Et tu tapes tapes tapes c'est ta façon d'aimer
Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie.


Lorsqu’on était comme Oswald, on avait le monde entier à nos pieds, on était les maitres du monde et personne n’osait se mesurer à nous à part ces pauvres fous qui se croyaient assez durs pour le faire mais, qui déchantaient bien rapidement lorsque le moment de vérité arrivait. Il pouvait avoir tout ce qu’il voulait, il avait toujours eu tout de dont il avait envie et ce n’était pas dû à sa richesse ou à sa noblesse, oh que non. Le jeune anglais savait pertinemment ce qu’il attendait de la vie, ce qu’il voulait dans la vie et il œuvrait toujours pour l’obtenir. Les filles, il ne les comptait pas tellement son tableau de chasse était rempli. Cependant, Indianna était différente, sur bien des points, à bien des niveaux. Tout n’avait pas toujours été attirance et ambiguïté, bien au contraire. Ils avaient été amis bien avant que ces changements ne débarquent dans leur vie, la bouleversant au passage. Ce que certains trouvaient commun et ordinaire, lui le trouver hors du commun et spécial. La jolie Iota était spéciale, à sa manière et même si elle ne concevait pas les choses de la même manière que lui, il en restait persuadé. L’une des raisons pour lesquelles il l’avait invité à l’accompagner à ce bal. L’avoir à son bras lorsqu’il franchirait les portes de Berkeley lui était apparu comme une évidence après avoir passé quelques jours à chercher LE cavalier par excellence. Il s’était rendu compte après maintes recherches que personne ne pouvait être plus à même d’accompagner la jeune femme au bal de fin d’année que lui. A eux deux, ils étaient LA perfection dont Berkeley avait besoin. Rien avoir avec ces pauvres couples qui n’ont ni leur classe, ni leur envergure. Ici, le bas semblait avoir oublié ce que le prestige signifiait, le savait-il seulement ? Il en doutait sérieusement. Ce n’était pas si dramatique que ça étant donné sa présence et celle de sa cavalière, ils allaient leur en mettre plein la vue, au moins, ils auront de quoi raconter à leurs enfants dans un futur tout aussi misérable que leur présent. « Tu as la chance d’être au bras du plus bel homme, que voudrais-tu de plus ? » Répondit-il du tac au tac, toujours souriant. La vérité était que ni l’un, ni l’autre ne supportait de voir son cavalier ou sa cavalière au bras d’une autre personne. Phénomène très étrange et inexplicable. Installé en même temps que cette attirance, ce sentiment de jalousie qu’ils ressentaient en voyant l’autre en compagnie du sexe opposé ne semblait plus vouloir les quitter. Comment en étaient-ils arrivés là ? Ils l’ignoraient tous deux. L’avoueraient-ils jamais ? Oh que non et même pas sous la torture. Oswald plus qu’Indi, il avait une réputation à préserver et même s’il appréciait de plus en plus la présence de la demoiselle dans son quotidien, il restait certaines choses qu’il n’était pas encore prêt à dire ou à avouer. Le Macauley-Brown dans toute sa splendeur. Voilà tout. « Ne sois pas si sûre de toi Beauté, tu changerais assez vite d’avis si cela venait à se produire… » Attention, le tombeur de ces dames venait de faire son apparition et il ne s’en cachait pas. Alors que certains le regardait avec respect, suivant le moindre de ces faits et gestes comme s’il était le Messie tombé du ciel, d’autres préféraient encore l’éviter de peur d’avoir à subir son courroux. Respecté par les uns et craint par les autres. Il en avait toujours été ainsi du jeune homme et c’était bien mieux ainsi. Chacun devait connaitre sa place dans ce monde. Il offrit un sourire à sa cavalière avant de s’éclipser pour leur ramener de quoi boire. Légèrement déçu par le genre de consommation qui leur était offerte, il prit deux verres avant de refaire le chemin inverse et retrouver sa cavalière d’un soir. A bien y regarder, la bibliothèque avait été réaménagé pour être à la hauteur du thème. Disney. Oswald avait tout d’abord cru que c’était une blague, cela ne pouvait pas être vrai. Les organisateurs n’allaient pas oser leur faire ça. Supporter cette ambiance gnangnan à souhait sans même avoir une goutte d’alcool pour oublier ce drame. Seigneur ! C’était une véritable torture. D’aussi loin qu’il s’en souvienne, les contes de fées, les belles histoires qui finissaient bien et tout ce qui allait avec n’avait jamais été sa tasse de thé. Ajoutez-y une éducation aussi stricte que la sienne et vous comprendrez son avulsion pour ce genre de décor. Malgré cela, il allait faire un effort pour ne pas gâcher la soirée de la jolie blonde qui l’accompagnait. Elle semblait apprécier le décor et la soirée, pas la peine de tout gâcher. Après tout, il pourra se rattraper tard dans la soirée, dans son appartement, avec une jolie fille qui lui fera oublier, le temps de quelques heures, cette effroyable vue qui s’offrait à lui. Cœur de pierre ? Pour ceux qui le connaissaient, cela sonnait comme un second prénom pour lui. « Les désirs de Madame sont des ordres. » Offrit-il tandis qu’elle passait son bras autour du sien. LE plus beau couple de la soirée pouvait enfin se pavanait parmi la foule. Ils passèrent le début de la soirée à saluer des connaissances, discuter avec des amis, fusiller du regard les pauvres idiots qui osaient regarder d’un peu trop près sa cavalière et à feindre s’intéresser aux conversations d’autrui. Mais, ce supplice parût à des années lumières de lui lorsqu’ils rejoignirent les autres couples sur la piste de danse. « Tu vas voir ce que les vrais danseurs savent faire ! » Murmura-t-il à son oreille tandis qu’ils se mettaient en place pour entamer leur première danse de la soirée. Ils enchainèrent les danses, leurs pas se mariant à la perfection, leurs corps se mouvant au rythme de la musique. Une soirée parfaite, en somme. Et ce n’est qu’au slow qu’il les remarqua. Oswald ignorait depuis quand elles étaient là, surement en même temps qu’eux ou presque. Elles n’étaient pas du genre à débarquer à l’ouverture du bal. Deux princesses comme elles devaient se faire désirer. Son esprit vagabonda vers une autre soirée où il avait croisé le regard clair de Cadence tandis qu’il discutait joyeusement avec sa Blondie comme il se plaisait à l’appeler. Ce regard surpris et remplit de frayeur qui avait croisé le sien ne pouvait que le réjouir. Non seulement, sa vieille amie de longue date ne l’avait pas oubliée mais, elle semblait même mal à l’aise de par sa présence. Parfait. Allaient-ils réitérer l’expérience ce soir aussi, il n’en savait rien mais, si cela venait à se reproduire, il n’en serait que plus heureux. Perdu dans ses pensées, il ne fit même pas attention à la jolie demoiselle qui était dans ses bras et ce n’est que lorsqu’elle se détacha de lui qu’il revint sur terre. Il resta quelques secondes debout au milieu de la piste, son regard suivant la silhouette de la Iota avant que ses pas ne la suivent à leur tour. Le bel Anglais lui attrapa le poignet au moment où elle allait franchir les portes d’entrées. « Attends ! Ce n’est pas ce que tu crois…Pour une fois, je ne regardais pas ces filles pour ce que tu penses, si ça avait été le cas, c’est l’une d’entre elles que j’aurais invité ce soir et non toi… » Il déposa un doigt sous le menton de la jeune femme afin de lui relever le visage et de croiser son regard.
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Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
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