And all I want is the taste that your lips allow

Me coucher le vendredi soir en pensant que je la verrais dès le lendemain matin, ça avait de quoi me faire foutrement plaisir. Tant d’ailleurs, que je m’étais couché avec le sourire. Sourire qui n’avait pas échappé à Stacy, qui s’était imaginé qu’il lui était destiné. En réalisant ce fait, je lui avais tourné le dos pour m’éloigner le plus possible d’elle, dans le lit. Ses paroles s’étaient noyées dans le flot de mes pensées, qui s’étaient toutes tournées vers Lhoà et elle seule. Notre journée à venir, promettait d’être parfaite. Elle ne pouvait que l’être d’ailleurs, tant que nous étions ensemble. J’ignorais si elle avait prévu quoi que ce soit pour ces longues heures à venir. Moi-même je n’avais rien prévu. Mais je ne doutais pas que nous trouverions forcément de quoi nous occuper. Quitte à ce que nous passions notre journée devant la télévision, dans les bras l’un de l’autre. Je n’oubliais pas non plus son frère et sa sœur qui seraient là et qui étaient, eux aussi, loin d’être un problème pour moi. Je ne les avais pas encore rencontré, préférant privilégier les quelques petites minutes que j’avais pu gratter sur mon emploi du temps, à les passer avec Lhoà plutôt qu’autre chose. Mais je ne doutais pas que ce jour là, samedi, en considérant le fait que je serais là toute la journée, j’allais forcément les rencontrer tous les deux. Et bien que je sois légèrement inquiet à l’idée qu’ils ne m’aiment pas, je ne pouvais pas m’empêcher de m’en réjouir. De ce que m’avait dit Mily, ils n’avaient rien contre le fait que leur sœur ait un petit ami. Pas même contre le fait que cedit petit ami, était largement plus âgé qu’elle. Chose qui, pourtant, pourrait en faire frémir plus d’un. Mais dans notre cas, ça n’avait aucunement été un souci dans le fond, en dehors du fait que j’étais malheureusement marié. Ceci était la seule chose pour laquelle nous ne pouvions vivre notre relation au grand jour et ce qui représentant le seul frein à notre relation. Pourtant, je voulais croire que notre amour pouvait et pourrait résister à ça. Restait à voir si je me faisais de parfaites illusions, ou non. Mais je voulais rester optimiste, pour une fois dans ma vie.

Lorsque j’ouvris les yeux après une nuit tout à fait calme, ce fut pour constater que le soleil n’était même pas encore levé. Et un simple regard pour le radio réveil posé sur ma table de nuit, m’apprit qu’il était à peine cinq heures. Autant dire vraiment très tôt. Trop, pour que je ne débarque chez Lhoà maintenant. Et ce, même alors qu’elle m’avait donné un double des clés de chez elle. Je tentai alors de me rendormir mais du bien vite me résoudre à me lever. La respiration trop lourde de Stacy dans mon dos, avaient tendance à m’agacer. Très certainement parce que c’était sa respiration à elle, bien entendu. Finalement, je me levai donc et quittai le lit, pour filer dans une salle de bains autre que celle qui était attenante à notre chambre. Je ne voulais pas prendre le risque de la réveiller avant mon départ. Autant l’éviter le plus possible ! Ainsi, ce fut dans une salle de bains de l’étage, que je pris ma douche. Lorsque j’en ressortis, vêtu d’un jean simple, d’un tee shirt blanc et d’une chemise à carreaux rouge et bleu, j’aperçu un filet de lumière sous la porte de la chambre de Sarah. Je doutais qu’elle se soit réveillée si tôt. Conclusion, elle ne s’était pas couchée. Pinçant les lèvres, je préférai l’ignorer comme à ma bonne habitude et descendre dans la cuisine. Là, je pris un petit déjeuner digne de ce nom et regardais l’heure tourner, bien trop lentement à mon goût. A six heures quinze, je n’y tins plus. Je rangeai mon petit déjeuner et filai dans l’entrée, pour enfiler une paire de chaussures. Portable dans une poche et mes clés dans l’autre, je n’oubliai pas de prendre celles de chez Lhoà. Une minute plus tard à peine, je montai à bord de ma voiture et filai à vive allure, en direction de chez elle. Fort heureusement pour moi, nous n’habitions vraiment pas loin de l’autre. Ainsi, il ne me fallut guère de temps pour arriver chez elle, en considérait le fait qu’un tel jour et à une telle heure, il n’y avait encore personne dehors.

J’entrai avec lenteur dans la propriété et tentai de faire le moins de bruit possible, pour ne réveiller personne. Après quoi, je filai en direction de la villa que j’ouvris avec lenteur. Là, malgré l’obscurité, je parvins à retrouver mon chemin sans trop de mal et à filer dans sa chambre que j’ouvris, toujours avec autant de lenteur. Je m’arrêtai un moment sur le pas de la porte, l’observant dans son sommeil, alors que quelques raies de lumière de l’extérieur, filtraient à travers les stores. Je souris de façon amoureuse et attendri et entrai, avant de refermer la porte derrière moi. Doucement, je m’approchai de son lit pour la contempler un long moment, avant de me déshabiller. Puisque je n’avais pas pu terminer une nuit convenable dans mon propre lit, autant la terminer ici, dans son lit et contre elle. Rapidement, je me retrouvais en boxer et la rejoignis avec lenteur dans le lit. Je me collai à son dos et passai un bras autour de sa taille, pour l’attirer faiblement contre moi, posant ma tête sur les oreillers en souriant franchement, sans pouvoir m’en empêcher. Mon visage enfouit dans ses cheveux éparpillés devant moi, je finis par sombrer rapidement dans le sommeil.

And all I want is the taste that your lips allow

Pour la première fois de ma vie, j’avais enfin la sensation d’être vraiment heureux. D’avoir trouvé une raison de vivre et d’avancer. Et elle portait un nom. Très joli d’ailleurs. Lhoà. Ou encore Mily. Cette jeune et jolie jeune femme blonde, de laquelle j’étais tombé éperdument amoureux, dès le premier regard. C’était complètement fou et totalement incontrôlable, bien entendu. Raison pour laquelle d’ailleurs, je prenais autant de risques à présent. Venir la voir toute une journée, en plein week-end. J’avais parfaitement conscience du fait que c’était vraiment très dangereux et que c’était prendre un grand risque. Et pourtant, je ne pouvais pas faire autrement. Tout simplement parce que je l’aimais plus que de raison et que j’avais le véritable besoin, d’être là, avec elle. Ni plus ni moins. Quitte à ce que nous nous ennuyions tout au long de la journée. Je ne doutais d’ailleurs pas que je ne pourrais pas m’ennuyer, tant que je serais avec elle. C’était tout bonnement impossible, aucun doute à ce sujet ! Ainsi, je ne me posais même pas de question, lorsque je décidai de la rejoindre très tôt, chez elle. Quitte à la regarder dormir, si c’était ce qu’il fallait. Mais lorsque je fus dans sa chambre et que je la vis dormir, je craquai. Me déshabillant jusqu’à ne garder que mon boxer, je la rejoignis dans le lit, pour me blottir tout contre elle, dans son dos. J’enroulai un bras autour de sa taille, pour l’avoir tout contre moi, en souriant presque malgré moi, tant je me sentais vraiment bien, là, tout contre elle. Je m’endormis d’ailleurs très rapidement, réalisant qu’il n’y avait qu’avec elle, tout contre elle, que je pouvais dormir aussi bien, aussi rapidement et aussi profondément. C’était pour le moins logique, en même temps. Je réagis à peine lorsqu’elle se réveilla plus ou moins, pour se tourner vers moi. Je bronchai vraiment à peine, lorsqu’elle enfouit son visage dans mon cou, pour me suçoter la peau avec insistance. Un lent sourire étira alors mes lèvres, sous ce geste tendre et doux à souhait. Je soupirai faiblement de bien être, en la sentant tirer la couette, pour nous recouvrir entièrement, tous les deux. Je la laissai ensuite me pousser, pour m’allonger sur le dos et me grimper à demi dessus, sans cesser de suçoter ma peau. J’entrouvris les lèvres lorsque les siennes s’y logèrent et je bougeai à peine la bouche à son lent baiser, me contentant d’en profiter paresseusement. « Mon amour, tu viens de rendre mon réveil, le meilleur de toute ma vie… » A ces mots, un lent sourire étira mes lèvres, sans pour autant que je ne prenne la peine d’ouvrir les yeux.

Je souris un peu plus franchement à son lent coup de langue sur le bout de mon nez, avant qu’elle ne s’approche de mon oreille, pour la mordiller lentement. Sa tête se logea bientôt sur mon épaule, tandis qu’elle posait sa main sur mon torse. Je soupirai de bien être en la sentant faire, souriant en coin. « Je t’aime… » Je laissai échapper un faible gémissement de bien être et logeai mes mains dans son dos, pour la serrer doucement contre moi, sans avoir le courage de la serrer plus franchement. « T’aime aussi … » Marmonnais-je d’une voix totalement endormi, la sentant alors redevenir totalement immobile sur moi. Je souris faiblement en coin et soupirai d’aise, ne tardant pas à la rejoindre dans le sommeil, une nouvelle fois. Mais cette fois ci, je ne dormis pas aussi profondément ni aussi longtemps. Lorsque je me réveillai, je demeurai totalement immobile et silencieux un long moment, cherchant à bien me réveiller, sans réveiller Lhoà. Finalement, après un moment de la sorte, je la fis lentement basculer sur le lit, sans la réveiller. A la faible lueur du jour, mon regard fut attiré par son tableau, au dessus du lit. Je levai la tête vers le dessin et le détaillai du regard, en riant à peine, avant de reporter mon attention sur elle, la détaillant du regard sans me lasser. « Le meilleur réveille de ta vie hm ? » Murmurais-je d’une voix caressante, avant d’enfouir mon visage dans son cou, pour y déposer de tendres baisers. Je glissai en même temps, l’une de mes mains, sous son haut, pour la loger sur l’un de ses seins, avec douceur. Je soupirai doucement d’envie et sans attendre, remontai son haut au dessus de ses seins et me plaçai au dessus d’elle, pour descendre le long de son corps. J’entrepris de caresser ses seins de ma langue, en relevant le regard vers elle, pour guetter son réveil, en souriant en coin. Si elle avait été nue, aucun doute que mon visage serait déjà bien plus bas sur son corps. Mais ce n’était pas le cas et je me contentais donc de sa poitrine, dans l’immédiat. Ce qui n’était pas plus mal. J’aimais terriblement ses seins, tout comme le reste de son corps d’ailleurs.

And all I want is the taste that your lips allow

Dormir avec celle dont j’étais tombé amoureux. Je ne pouvais vraiment pas rêver mieux. Non, là, c’était vraiment l’apothéose, le summum du summum et je n’en demandais pas plus que cela. J’aurais même tout donné, pour pouvoir rester dans ses bras, éternellement. Mais tout ça était impossible. Plus encore, en raison du fait que j’étais marié. Certes, vraiment pas amoureux de mon épouse. Mais bel et bien marié avec une femme que je n’aimais foutrement pas et de laquelle j’aimerais vraiment me débarrasser. Il était sans doute cruel, dans le fond, de penser de la sorte. Mais je ne pouvais rien contrôler. Lorsque je pensais à elle, j’en arrivais à avoir des envies de meurtre. Pouvait-on me le reprocher au vu de la femme qu’elle était et au vu des raisons qui avaient faits que l’on s’était marié ? A mes yeux, j’étais parfaitement en droit de lui en vouloir et de la haïr. C’était d’autant plus dur, que maintenant j’avais trouvé celle que j’aimais. Certes, elle était vraiment très jeune et était à mille lieux d’être une jeune femme qui était en âge de se marier et de faire sa vie avec un homme. Mais ça n’empêchait pas que je l’aimais de façon démesurée et que si je le pouvais, je l’aurais déjà embarqué pour que nous puissions nous aimer de façon totalement officielle. Malheureusement, ce n’était pas du tout possible et nous devions donc faire avec. Supporter le fait que nous ne pouvions pas nous voir autant que nous le désirions, était le plus difficile dans tout ça. Et pourtant, nous faisions avec, parce que nous n’avions d’autre choix que celui d’accepter ça. Ou du moins, de faire avec. Car c’était plutôt ça que nous faisions. Faire avec … Et fort heureusement pour nous, je parvenais encore à trouver le temps et le moyen, de venir la voir de temps à autre. Pas autant que nous le souhaitions en effet. Mais c’était toujours ça. Ce n’était qu’une question de temps, avant que nous ne soyons vraiment habituer à cette vie. Double vie, pour ma part. Même s’il était d’une évidence imparable, que je préférais la seconde à la première. Mais je faisais avec, parce que je n’avais d’autre choix. Et je comptais bien profiter de chaque minute que j’allais passer et que je passais déjà, avec elle, pour l’aimer comme il se devait et tout ce qui s’ensuivait. Nous ne devions laisser s’écouler aucune minute, qui puisse être ennuyeuse ou non remplie. J’étais à peu près certain, qu’elle pensait la même chose que moi et était prête à tout cela. Aussi difficile qu’allait être notre relation cachée aux yeux de tous. Ainsi, lorsqu’elle me souffla que je lui offrais le meilleur réveil de sa vie, je ne pu m’empêcher de vouloir découvrir son corps. Plus encore que la fois précédente, où nous nous étions donné du plaisir l’un et l’autre.

Ainsi, je glissai une main sous son haut, pour caresser l’un de ses seins et soupirai d’aise en constatant que son corps réagissait au quart de tour. Ce qui me plaisait vraiment. Je finis par me placer sur elle et déposer de lents baisers dans son cou, y donnant parfois de faibles coups de langue. Je remontai ensuite son haut au dessus de sa poitrine, pour y déposer mes lèvres, un franc soupir d’envie, s’échappant de ma bouche. Je glissai mes mains lorsqu’elle cambra le dos, pour la serrer plus encore contre moi et déposer de longs et lents baisers sur sa peau avant de frissonner franchement, en réponse à son gémissement de plaisir. Je relevai le regard vers elle pour croiser le sien et souris en coin en sentant ses mains dans mes cheveux, pour m’inciter à continuer cette caresse que je prenais plaisir à lui faire. Je me redressai faiblement le temps qu’elle retire son débardeur, puis revins aussitôt sur sa poitrine, que j’entrepris de mordiller avec lenteur et douceur. « Mon dieu, j’ai cru à un rêve… Heureusement que je me suis réveillée mon amour… » Je ris doucement en lui lançant un regard coquin et me redressai le temps de lui voler plusieurs forts baisers. « C’était trop beau pour être vrai c’est ça ? » Lui demandais-je d’une voix totalement taquine et coquine. Je déposai un dernier tendre baiser sur ses lèvres puis entrepris de glisser à nouveau dans son cou. J’y passai la pointe de ma langue avec lenteur et délicatesse, avant de la mordiller doucement. Je descendis ensuite à nouveau à sa poitrine que je mordis à pleine bouche, sans pouvoir m’en empêcher, la laissant tirer la couverture par-dessus nous, pour nous couvrir entièrement. Je soupirai d’aise en la sentant écarter les jambes et les serrer bien autour de ma taille, puis m’y glissai pour être totalement collé à elle. « J’espère que tu comptes pas sortir de mon lit avant une bonne heure… » Je ris faiblement avant de presser bien mon bassin contre le sien, l’air de rien, pour lui faire sentir mon propre désir et l’exciter plus que de raison. « Oh non t’inquiète pas … je compte bien m’amuser un peu avec toi avant … » Soufflais-je d’une voix caressante à souhait, avant de refermer mes lèvres sur l’un de ses tétons durcit, pour le suçoter avec lenteur. Je redressai faiblement la tête pour empoigner fermement ses seins de mes mains, les malaxant avec franchise, sans pouvoir m’en empêcher. Je les tâtai, massai, malaxai, puis les fis remonter franchement de mes mains, pour venir les mordre puis y donner de lents coups de langue. Je fis ensuite glisser mes mains sur son short et entrepris de le lui retirer avec lenteur, tandis que mes lèvres descendaient le long de son corps.

₪ GIVE ME LOVE

Nolan & Lhoà

Vivre seule, ça avait ces avantages, comme ces inconvénients. On pouvait bien le vivre, comme mal le vivre, tout dépendait de la journée, du moment, de ce qu’il se passait dans notre vie. Jusqu’à présent, je devais le reconnaitre ça m’ennuyait. Pourquoi ? Parce que je n’étais qu’une adolescente de dix-sept ans, qui était obligé de trimer pour s’occuper de son frère et de sa sœur, de bosser en plus d’aller au lycée, pour pouvoir vivre, tout cela, parce que mes parents avaient décidé qu’il fallait que j’apprenne que la vie était dure. En attendant, moi j’étais vivante, et Monika, six pieds sous terre. Ils auraient dû se bouger bien plus tôt à mon gout, c’était toujours facile d’agir une fois les choses faite et s’en prendre à ceux qui n’y étaient pour rien. Car avouons-le, je n’avais pas mis de la drogue sous le nez de ma sœur. Au contraire c’était elle qui m’avait initié à la drogue, et fort heureusement pour moi, j’avais su ne pas m’en rendre accro. Même si je buvais des bières comme on boit de l’eau. Malheureusement ça je n’y avais pas échappé. Mais aujourd’hui, j’étais terriblement contente de vivre seule. Pourquoi ? Tout simplement parce que j’avais trouvé l’amour de ma vie, le vrai, et qu’il était bien plus âgé que moi. Trente et un ans, je doutais que mes parents l’auraient laissé venir à la maison… alors autant dire que de vivre seule et avec simplement mon frère et ma sœur ça m’arrangeait. Ils s’en foutaient… D’où le fait qu’aujourd’hui, je me réveillais dans les bras de Nolan, même si cela, n’avait pas été prévu. Un réveil terriblement coquin d’ailleurs. La preuve il était en train de caresser longuement ma poitrine et j’en profitais donc pour enlever mon débardeur, le laissant alors mordiller mes seins. Heureusement que je m’étais réveillée… « C’était trop beau pour être vrai c’est ça ? » soupirant lentement en lui lançant un regard clairement amoureux et coquin, je le laissais déposer quelques baisers sur mes lèvres tandis, que mes mains se glissaient sur ses joues comme pour le retenir contre moi. « C’est surtout que je ne pensais pas cela possible mon amour… » soufflai-je d’une voix endormie sans le quitter du regard. Dormir avec Nolan, je m’étais enlevé cela de la tête, et pourtant c’était bien ce que nous venions de faire, même s’il m’avait rejointe tôt ce matin surement… Je n’avais pas vu l’heure à laquelle il était arrivé malheureusement.

M’embrassant doucement, je soupirais lentement avant de le sentir glisser à nouveau sur mon buste pour mordre franchement mes seins. Me faisant gémir de plaisir, je me bouchais la bouche, je ne voulais pas que mon frère ou ma sœur accoure en pensant que j’ai quelque chose d’horrible. Non, j’étais surement en train de mourir sous un afflux intense de plaisir à cause de Nolan. Nous couvrant de la couverture au cas où pour ne pas qu’ils nous voient dans le pire des cas, j’enroulais bien vite, mes jambes à sa taille les serrant fortement, comme pour lui faire comprendre que j’étais en train de mourir. Sans perdre de temps, je lui fis remarquer qu’il avait intérêt à rester au lit avec moi pendant une bonne heure, interdiction de quitter ce foutu lit… « Oh non t’inquiète pas … je compte bien m’amuser un peu avec toi avant … » Passant lentement ma langue sur mes lèvres, je lui lançais un regard totalement envoutant avant de gémir longuement. Il comptait donc s’amuser avec moi pendant un moment ? Oh je ne disais pas non, loin de là même. J’étais même pour. Je voulais qu’il me fasse découvrir tout ce qui était possible sexuellement parlant, surtout pour les préliminaires, puisque je n’étais pas réellement prête à faire l’amour. J’avais encore cette peur, cette appréhension, c’était surement normale, encore plus lorsque l’on est vierge. Sentant ses lèvres se refermer sur mes seins, je soupirais longuement sentant mon dos s’arquer sous l’afflux de plaisir. Mes seins durcissant bien sous le contact de ses mains de ses lèvres et de sa langue, je lâchais de tout petit cris de plaisir en fourrageant bien ses cheveux, les lui tirant de temps à autres. Soufflant longuement, mon cœur s’emballant avec force sous ses caresses, je le laissais me toucher, me caresser, me faire découvrir les joies des préliminaires. Sentant ses mains descendre le long de mon corps, j’eu un raté en le sentant alors me défaire le short mon corps se figeant sur le coup. Attrapant les draps, je les tirais longuement en le laissant bien glisser sur mon corps, baissant le regard pour le voir faire. « Oh… Bon dieu. Tu tiens ta promesse ? Tu… tu… » Soufflai-je doucement en fermant les yeux avant de le laisser m’enlever totalement le short. Une fois fais, j’écartais plus franchement mes cuisses en le laissant faire souriant en coin. J’aimais déjà l’avancement que prenais nos moments intimes, alors que ce n’était que la seconde fois qu’il venait chez moi. Léchant mes lèvres je pris lentement mon coussin pour bien le caler sous ma tête et m’installer un peu mieux, relevant mon dos pour le voir à mon aise. Caressant lentement son visage je soupirais de plaisir.

And all I want is the taste that your lips allow

Rejoindre Lhoà chez elle, dans son lit, alors qu’elle dormait toujours, était l’idée du siècle, à n’en pas douter. La regarder dormir, pour mieux la rejoindre ensuite, était une chose tout bonnement, fabuleuse. Quant à dormir tout contre elle en la serrant bien tout contre moi, était un bonheur sans nom et je ne voulais plus ressortir de son lit ou alors, à la condition d’être certain de pouvoir refaire cela un jour. Or, je n’étais pas totalement sûr de ça. Ou du moins, ça n’arriverait pas de sitôt. Quand bien même c’était une chose que je souhaitais ardemment. Malheureusement, l’on ne pouvait pas faire ce que bon nous semblait, en sachant que j’étais marié et prisonnier de ce mariage. Pour autant, je comptais bien profiter de chaque instant que je passais avec Lhoà. Raison pour laquelle, je la réveillai avec douceur et tendresse et ris faiblement lorsqu’elle m’annonça avoir cru qu’il s’agissait là d’un rêve. Trop beau pour être vrai … « C’est surtout que je ne pensais pas cela possible mon amour… » Je soupirai d’aise et déposai de tendres baisers sur ses lèvres, sans la quitter du regard. Je tentai encore et toujours, de me rassasier d’elle, de sa beauté, de sa perfection et de tout ce qui faisait qu’elle était elle, tout simplement. Pour en revenir à l’instant présent, j’étais affreusement ravi et en même temps, amusé, de constater qu’elle était si surprise et heureuse du réveil que je venais de lui offrir. Je n’avais pu résister bien longtemps, à l’envie de découvrir son corps, un peu plus que la première fois encore. Cette idée m’avait traversé l’esprit, dès lors que j’avais pris le temps de l’observer dans son sommeil. Un véritable petit ange pour être honnête. Un ange d’une beauté à en couper le souffle et que j’avais envie d’embrasser, caresser et protéger dans un même temps. Et je ne tenais vraiment pas à lutter contre ces envies totalement incontrôlables et trop fortes pour ça. A quoi bon lutter en même temps ? Ce serait bien idiot selon moi. Raison pour laquelle j’étais tout contre elle, à caresser sa poitrine, sans me priver un seul petit instant. Et la regarder se réveiller de la sorte, faisait vraiment un bien fou et me donnait franchement l’envie, de continuer ainsi et de recommencer encore et encore par la suite. « J’ai fais en sorte que ça devienne possible, tout simplement. »

Lui soufflais-je d’une voix douce, en déposant un lent baiser sur ses lèvres, sans la quitter du regard et continuant de caresser l’un de ses seins, du plat de ma main. Je déposai de faibles baisers sur ses lèvres, avant de glisser à nouveau, le long de son corps. Je parcourus ses seins de ma langue et de mes dents, les lui mordillant avec douceur et les suçotant parfois avec insistance, pour y faire de faibles suçons, marquant ainsi mon territoire, sans la moindre gêne. Sans prévenir, je mordis l’un de ses seins à pleine bouche et souris en coin en l’entendant gémir franchement, avant qu’elle ne nous recouvre entièrement, des couvertures. Je continuai de parcourir ses seins de mes dents et de ma langue, avec insistance, alors qu’elle fourrageait mes cheveux en réponse au plaisir que je lui procurais. Sans cesser ma caresse, je glissai alors mes mains le long de son corps, pour les poser sur son short, que j’entrepris d’ouvrir avec lenteur. Une fois son short ouvert, je glissai le long de son corps avec lenteur, en déposant de tendres baisers sur sa peau et parfois donnant de brefs coups de langue. « Oh… Bon dieu. Tu tiens ta promesse ? Tu… tu… » Je souris en coin et levai un regard totalement coquin vers elle, sans répondre tout de suite. Je descendis un peu plus encore et m’arrêtai juste au dessus de son short, que je lui retirai avec lenteur. Je me redressai pour le faire et le balançai au long, avant de parcourir son corps à présent totalement nu, du regard. « Je tiens toujours mes promesses … » Soufflais-je d’une voix douce, avant de me pencher pour déposer de faibles baisers, sur le haut de son intimité. Je levai le regard vers elle alors qu’elle s’installait un peu mieux pour me regarder faire. Souriant en coin de façon totalement coquine, je parcourus le dessus de son intimité, de la pointe de ma langue, un long moment, alors qu’elle caressait mon visage de ses mains. Soupirant d’aise, je glissai enfin sur son intimité, que je caressai faiblement, de la pointe de ma langue, sans la quitter un seul instant du regard. J’y déposai de longs et tendres baisers, avant d’y donner un franc coup de langue, entreprenant ensuite de la caresser avec plus d’insistance, en laissant échapper un bref soupir d’aise, mon regard toujours plongé dans le sien, la regardant de façon taquine.

₪ GIVE ME LOVE

Nolan & Lhoà

Se réveiller aux côtés de l’homme que l’on aime, autant dire que c’était le paradis assuré. Encore plus lorsqu’il s’agit d’une foutu surprise. Une surprise à laquelle on n’aurait jamais pensé. Le fait que Nolan soit marié avec cette femme, cette femme qu’il n’aimait pas, un mariage forcé, ne me gênait pas. Du moins pour le moment. Je n’étais pas d’une jalousie maladive, de ce que j’en ressentais, même si elle avait le droit de dormir avec lui tous les soirs, de le voir toutes la journée, elle n’avait pas ce que moi j’avais. Son cœur et son corps. J’avais tout de lui, tout ce qu’elle n’avait jamais eu, même si… Même s’il lui avait déjà fait l’amour plus par besoin que par envie. J’aurais surement préféré qu’il aille voir ailleurs depuis longtemps, mais dans un sens ça prouvait là, sa fidélité, et je savais, je pense, qu’il n’avait pas non plus des dizaines et des dizaines de maitresses. J’étais la seule. Car oui, c’était bien ce que j’étais, une maitresse. Notre relation était tellement fraiche, que je ne saurais dire si cela me dérangeait tant que cela. Pour le moment la réponse était non, alors profitons simplement des moments à venir et de ce qui se présentaient. Soit, notre réveil très câlin, et son corps découvrant lentement le mien. Un réveil coquin ? ça m’en avait tout l’air en tout cas. C’est pourquoi, j’en vins à lui dire, totalement envouté de par ses caresses, que je n’aurais jamais cru cela possible, lui et moi dormir ensemble, même si ce n’était que pour quelques heures… C’était déjà cela ! « J’ai fait en sorte que ça devienne possible, tout simplement. » gémissant en fermant lentement les yeux, profitant de ses baisers je tendis lentement les lèvres comme pour l’inciter à continuer. J’aimais ses lèvres, j’aimais ses baisers, je voulais tout simplement qu’il continue. Et je ne me gênais pas non plus pour le forcer. Alors que sa main tâtait franchement l’un de mes seins, moi je m’agrippais à ses joues, le forçant alors à m’embrasser plus en profondeur. Glissant ma langue dans sa bouche, je la pressais lentement contre la sienne en grognant fortement, comme pour témoigner du fait que si ça ne tenait qu’à moi, je lui dévorerais la bouche, tout simplement. Mais un peu de retenu ne fait pas de mal non plus. Mordillant ses lèvres avec insistance et envie, je les lui tirais sans le quitter du regard un seul instant, incapable de détourner le regard.

« J’ai l’homme le plus parfait, le plus merveilleux, le plus tout dans mon lit… Toi… mais toi… » Lâchai-je en lui lançant un regard clairement sauvage avant de mordre à nouveau ses lèvres tout en les tirant les relâchant, autant ses lèvres que ses joues, posant ma tête sur le coussin. Le laissant glisser le long de mon corps, je me figeais en le sentant lécher et mordre mes seins à peine bouche. Gémissant fortement mais pas trop, histoire de ne pas alerter mon frère et ma sœur je me retins tant bien que mal. Contenant le plaisir que j’avais envie de crier. Le laissant me caresser, alors que ses mains se glissaient vers mon short pour me le défaire, je me figeais encore plus en comprenant parfaitement ce qu’il allait me faire. Il allait tenir sa promesse. Me figeant encore plus je lui en fis la remarque, alors qu’il se baissait le long de mon corps pour m’enlever totalement le short. « Je tiens toujours mes promesses … » Déglutissant longuement, je tremblais en le regardant faire. Oui il tenait toujours ses promesses, j’en avais bel et bien la preuve là… Totalement sonné par le désir qui montait en moi, et le plaisir qu’il était en train de faire naitre, je soupirais longuement, tentant d’évacuer un tant soit peu tout ce plaisir en moi. Sa langue sur mon intimité, ses lèvres, j’étais littéralement en train de mourir à petit feu. Non pas que ça me dérange, au contraire, mais cette nouveauté me prenait en plein cœur. Découvrant mon intimité de sa langue, de sa bouche, j’arquais lentement le dos, comme pour témoigner du plaisir que j’en ressentais. Fabuleux, fantastique, irréel, j’étais en train de mourir à petit feu. Plus sa langue me caressait et plus je soupirais, je tremblais, j’haletais, j’avais vraiment l’impression d’être transportée dans un autre monde. Le simple pouvoir d’une petite langue sur mon intimité. Serrant mes jambes autour de sa tête, je me mis lentement à bouger de façon circulaire, laissant mon plaisir parler, comme si je n’étais plus dépendante de mon corps. Serrant un peu plus mes cuisses autour de sa tête, je vins fourrager ses cheveux en grognant longuement. « Bon Dieu ! Nolan… Tu m’avais caché que tu étais parfait pour ce genre de chose… » soufflai-je doucement avant d’écarter à nouveau les cuisses tout en lui lançant un regard clairement amoureux. Je ne savais pas si ça faisait le même effet avec tous, mais ce qu’il était en train de me faire, me tuait lentement.

And all I want is the taste that your lips allow

S’il y avait bien une nouvelle chose de laquelle j’étais certain, en plus du fait que j’aimais Lhoà, c’était le fait que j’aimais dormir tout contre son corps et j’aimais la réveiller comme j’étais en train de le faire. Découvrir son corps encore chaud en raison de son sommeil, était une chose terriblement plaisante, je ne pouvais le nier. Son corps aux courbes divines et à la peau terriblement douce. La dévorer, purement et simplement, était une chose tout bonnement parfaite. Il était impossible de ne pas aimer à vrai dire. Je ne pouvais pas cacher que j’étais franchement ravi et plus qu’heureux, de le découvrir enfin de mes mains et de ma bouche. Je m’en donnais d’ailleurs sacrément à cœur joie. J’étais en train de l’embrasser avec de plus en plus d’insistance une fois qu’elle fut réveillée et ris doucement en réalisant qu’elle avait pensé être en train de rêver. Je le prenais bien dans le fond. Elle avait pensait que tout ça était un rêve tant c’était trop beau pour être vrai. Je ris doucement lorsqu’elle m’apprit qu’elle avait pensé tout ça impossible. Je lui fis donc remarquer que je faisais en sorte de rendre ça possible, justement. Pour elle et pour moi. Pour notre amour tout simplement. Je gémis en sentant sa langue se faire plus pressante encore, contre la mienne, avant qu’elle ne s’amuse à mordiller et tirer ma lèvre avec insistance. Le souffle totalement coupé, je la regardais de façon amoureuse sans me lasser. « J’ai l’homme le plus parfait, le plus merveilleux, le plus tout dans mon lit… Toi… mais toi… » Je gémis faiblement en la laissant mordre avec plus d’insistance encore, ma lèvre. Je soupirai d’aise et déposai de forts baisers sur ses lèvres avant de les lui mordre à mon tour. « Et toi … Toi … » Soufflais-je d’une voix coquine tout contre ses lèvres. Je la laissai me relâcher doucement et entrepris donc de glisser le long de son corps, avec lenteur. Je m’arrêtai à hauteur de ses seins, que je mordis alors à pleine bouche, sans pour autant y aller avec force. J’entrepris de les lui mordiller, lécher, suçoter et mordre avec insistance et ardeur, les découvrant avec un grand plaisir. Je m’attardais parfois sur ses tétons que je suçotais avec lenteur en relevant le regard vers elle pour la regarder prendre un plaisir certain. Sans la quitter du regard, je posai mes mains sur son short, pour le lui ouvrir avec lenteur. Je ris doucement lorsqu’elle mentionna le fait que j’allais tenir ma promesse. Je lui fis donc part du fait que je tenais toujours mes promesses, lui retirant son short pour de bon, dans un même temps.

Une fois qu’elle fut totalement nue, je pris le temps de la contempler avec une envie que je ne pouvais et ne voulais pas lui cacher. Je soupirai doucement de désir et fini par me glisser entre ses cuisses faiblement écartées, pour passer ma langue sur son intimité qui m’était totalement offerte. Enfin, plus en partie que totalement, pour le moment. Je parcourus entièrement son intimité de la pointe de ma langue, sans la quitter du regard, ravi de la voir réagir favorablement, à toutes ces caresses que je prenais le temps de lui prodiguer, avec un grand plaisir. Caresse que je fis de plus en plus insistante, au fil de ses soupirs et gémissements de plaisir, encouragé par les réactions de son corps. Je la laissais serrer faiblement ses cuisses autour de ma tête, apparemment sonnée et transportée par le plaisir que je lui procurais. Je posai mes mains sur ses cuisses, pour les remonter sur ses hanches avec lenteur, puis son ventre et finis par les loger sur l’arrondi parfait de ses seins. Je les lui caressai doucement en continuant la franche et insistante caresse de ma langue, alors qu’elle bougeait le bassin de façon circulaire, pour me témoigner son plaisir et m’inciter à continuer ainsi. « Bon Dieu ! Nolan… Tu m’avais caché que tu étais parfait pour ce genre de chose… » Je ris doucement alors qu’elle écartait à nouveau les cuisses. Sans parler dans l’immédiat, j’abandonnai ses seins, pour les faire glisser le long de son corps avec lenteur. Je finis par les loger entre ses cuisses à hauteur de ses genoux. Une fois là, je les fis glisser le long de ses cuisses, à l’intérieur de celles-ci, avec lenteur. Je gémis doucement sous la douceur plus que parfaite de sa peau et m’arrêtai une fois arrivé en haut de ses cuisses, que j’entrepris d’écarter un peu plus, pour donner un franc coup de langue sur son intimité. « C’est toi qui m’inspire mon amour. » Lui fis-je remarquer d’une voix douce, en reprenant ma caresse avec toujours plus d’insistance. Je posai une main sur le haut de son intimité, pour venir titiller son point sensible de mon pouce, avec douceur et insistance.