Aujourd’hui, ce fut loin d’être une bonne journée. Kaylee a pleurer toute la nuit, j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir, en réalité je n’ai presque pas dormis. Kaylee m’a inquiéter toute la nuit, sa respiration ralentissait de plus en plus. J’ai donc attendu que tout ça se calme et qu’elle s’endorme paisiblement. Chose qui a été très dur à faire, mais que j’ai tout de même réussi. J’ai poser mes mains sur mon visage, il est six heures du matin. Je me sens pas très bien et je m’inquiète énormément de l’état de santé de ma fille de trois ans. Je prends donc ce genre de talkie-walkie pour bébé avec moi et je me rends dans ma cuisine. Je me fais un café histoire de me réveiller, car il faut l’avouer je suis complètement endormie. Au final, je me suis posé devant la télévision et je me suis endormie comme un bébé. Les pleures de Kaylee m’ont réveillé, je me suis levé et je l’ai rejoins. La prenant dans mes bras, elle est bouillante. Je la pose dans son cosy et finit par lui préparer son biberon, un bon cacao. Ensuite je la dépose devant la télé, je saisie le téléphone à dix heures et demi du matin. Je compose le numéro de son médecin général et prit rendez-vous rapidement. Kaylee est ce qu’il y a de plus importants à mes yeux, être loin d’elle ce n’est même plus envisageable. C’est ma petite princesse rien qu’a moi. J’obtiens un rendez-vous pour trois heures et quart. Qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire en attendant ? Heureusement, c’est mon jour de repos aujourd’hui. Il faut que je dormes, alors j’ai décidé de me rendre chez mon père qui vit à quelque mètres de chez moi. En arrivant, il avait bien remarquer que je n’avais pas dormit et que Kaylee est malade. Il l’a prit dans ses bras et ma dit d’aller me reposer dans son lit. Je n’ai pas hésiter une seule seconde, j’ai sauté directement dans son lit. Je me suis endormie une seconde fois et cette fois-ci jusqu’au rendez-vous. Je n’ai pas manger et personnellement je n’avais pas l’appétit.

Trois heures et quart de la journée, je n’avais rien fait et j’étais encore plus fatigué. Je pris Kaylee dans mes bras, lui enfilant son petit blouson et une écharpe, car il ne fait pas trop chaud et je me dirigeais vers ce qu’on appelle un cabinet médical. Je papote quelques secondes avec le médecin, il ausculte ma fille et me dit qu’il faut que je lui fasse passer des radios. Pourquoi faire ? J’apprends qu’elle aurait un souffle au cœur. J’eus rapidement les larmes aux yeux, après tout ce n’est peut-être rien. Je regarde le médecin et je me rend avec lui dans un hôpital. Un souffle au cœur très rare, qui peut être violent à tout moment. Une crise cardiaque et hop, Kaylee pourrait ne plus vivre ! Ce fut un choc d’apprendre ça, j’ai eu du mal à réaliser que je peux la perdre n’importe quand. Je partie aussitôt du médecin, j’ai besoin de prendre un peu l’air. Les larmes aux yeux tout le long du trajet, j’arrive au Starbucks coffee ou je commande un cappuccino et un cacao pour ma princesse. J’étais tétaniser à l’idée de savoir ce qui pourrait arriver. Je me fais beaucoup de soucis. Je m’installe à une table, retirant ensuite le blouson de Kaylee, je la pose sur mes genoux et la serre fort contre moi. Je me mis à pleurer assez discrètement. Je n’ai pas envie que tout le monde vienne me rassurer ou je ne sais trop quoi. Je m’imaginais seule chez moi, sans ma fille. Si je viens à la perdre, je crois que j’aurais vite fait de finir ma vie et de la rejoindre aussitôt.

J’étais mal en point, c’est le cas de le dire. Les larmes envahissait mon visage, ma peau devenait tout mouillé. J’essuyais donc mes larmes d’un revers de ma main, puis je serra très fort ma fille de trois ans dans mes bras. Elle parlait comme une princesse, elle est si belle … Je lui chuchote à l’oreille que je l’aime et c’est dans un élan déterminée qu’elle m’entoura de ses deux petits bras et qu’elle prononça les trois mots fatidiques : Je t’aime maman. Elle n’avait plus l’air fatigué, elle ne pleure plus et ce fut d’une part un très gros soulagement, même si au fond j’avais pris sa fatigue et ses pleures. Je me sentais mal, tous ses gens me regardait, je suis vraiment stupide je devais cesser ses pleures, mais comment faire ? Rien qu’en sachant que ma fille pourrait mourir à cause d’un stupide souffle au cœur sa me rend folle. J’entendais des murmure « pourquoi elle pleure ? » un tas de questions que les gens se posaient. J’eus une envie soudaine de me lever et de les fixer, leur dire leur quatre vérités, mais je suis tellement hors de moi que je n’en fus pas capable. Un jeune homme est venu me rejoindre, je tenais ma fille dans mes bras, je ne sais pas ce qu’il me voulait. J’ai finis par lever la tête lorsqu’il a prononcer un de mes nombreux surnoms. Il me connait ? J’en ai conclus que oui lorsque j’ai aperçu son sublime visage. Je me suis redresser pour le regarder, asseyant ma fille sur la banquette a côté de moi. Je lui posa le biberon entre les mains et ne perdit pas une seconde pour mettre la tétine dans sa bouche. « Stephen .. Je .. » Je me sentais deux fois plus mal, je n’avais pas envie qu’on me vois pleurer et je n’avais surtout pas envie qu’il me voit dans cet état. Lui et moi c’est une grande histoire, au départ amie ensuite « amant » si ont pouvait dire ça comme sa. Je l’ai vite rayer de ma vie lorsque j’ai découvert une de ces nombreuses facettes : la violence. Je ne le croyais pas ainsi, certes c’était pour moi, pour me défendre, mais était-il obliger d’être aussi violent ? Je ne pense pas, à cause de ça, j’ai mis un terme a notre relation amie/sexe autrement dit en anglais sex-friends. Cela ma fait du mal de devoir l’oublier, car il était tout de même important pour moi, mais certainement pas assez. J’ai finis par l’oublier, petit à petit et lui, il a refait sa vie, comme moi j’ai fais la mienne du moins que j’ai essayer. Le revoir me fait du bien, je dois l’avouer, mais je ne peux pas lui pardonner cette erreur. Sommes-nous en bon termes ? Pas du tout. Je posais mes yeux une seconde fois sur lui, essuyant mon visage à l’aide d’un mouchoir que j’ai attraper dans mon sac à main. « Je t’ai dis que je ne voulais plus te voir, plus entendre parler de toi. » Sa faisait un an quasiment qu’on ne s’adressait plus la parole. Il est là par hasard, je le sais bien, mais il aurait pu tout de même éviter de venir me voir surtout quand je suis dans un état déplorable. Je finis par tourner la cuillère dans mon cappuccino et baissa la tête. Mes pleures avaient cesser, je suis un peu plus soulagé même si j’ai toujours une boule au ventre. « Plus rien ne vas ! Dis voir, pourquoi tu es venu me voir ? Tu sais très bien que j'ai horreur qu'on vienne me plaindre. » dis-je un peu étonné de le voir en face de moi. Je fermais les yeux histoire de m’éclipser moralement, je reposais ensuite les yeux sur ma princesse avant de le regarder une dernière fois en croisant les bras, les larmes aux yeux toujours.

Le moment est mal choisi, il n’aurait pas du venir me parler maintenant, pas tout de suite. Ce n’est pas ce que je veux, je ne veux pas des retrouvailles, des excuses, des pardons quand je suis dans cet état là. Certes, il ne va sans doute pas s’excuser, mais j’avais besoin de savoir s’il comptait le faire. Aujourd’hui, qu’en aurait-il à faire de s’excuser ? Après tout, il est devenu quelqu’un d’autres, certainement différent depuis qu’il a une copine. J’étais au courant, comment je ne sais plus. Vous savez il y a certaines personnes qui parlent trop. Bref, peu importe, même s’il a changer j’étais loin d’oublier ce qu’il avait fait l’année dernière, je m’en souviendrais toute ma vie. Les coups qu’il mettait à cet homme m’ont terrifier, cela m’a rappeler les nombreux coups que je subissais de mon mari. Les frissons, la douleur, la peur … je n’étais plus moi-même. Voilà la raison de mon départ de la Florence, j’étais venu ici à l’idée de refaire ma vie correctement sans engagement amoureux. Et puis, j’ai eu Kaylee les choses ont changés même si son père n’ai pas au courant de son existence et que je n’ai toujours pas revu. Il me manque, j’ai vraiment besoin de lui à l’heure actuel. C’était un plan cul, mais pour moi j’avais l’impression que c’était bien plus que ça. A quelque années prés, Stephen aurait pu être le père. Heureusement, il ne l’est pas. Je ne dis pas qu’il mérite pas se bonheur, non, tout le monde le mérite, mais en une soirée il a su me faire du mal comme l’avait si bien fait mon ex-mari dans le passé. Il ne pouvait pas savoir, j’imagine qu’il aurait fait ça d’une autre manière s’il avait été mis au courant. Finalement, c’est peut-être un peu de ma faute, j’aurais pu évité ça. Je le regardais, comme je regardais ma fille, cet-à-dire avec passion. En faite, il a bien fait de venir me voir … j’ai vraiment besoin de parler à quelqu’un. Après tout, pourquoi pas le mettre au courant de mon ancienne vie, même si au jour d’aujourd’hui sa ne le regarde plus vraiment. « Assied-toi. » lui dis-je en lui montrant la chaise à côté de lui. Je finis par prendre ma fille dans mes bras, elle venait de terminer son biberon, malgré qu’elle sait marcher j’adorais la porter. J’ai toujours été trop protectrice avec elle, beaucoup trop en réalité. Là, nous étions dans un Café, il est évident que je n’ai pas envie de lui courir après surtout après cette fâcheuse nouvelle. « Ton humour est loin d’obtenir un trophée. » finis-je par lui avouer. Je lui lâcha un bref sourire qui ne voulait rien dire, mais je savais au fond de moi que ça lui ferait plusieurs. Il cherche à renouer les liens, j’avais bien compris. J’étais dans un mauvais état depuis que je suis sortie du médecin, devais-je le mettre au courant de mes malheurs ? Je ne sais pas si c’est une bonne chose, mais après tout j’ai besoin de parler. « J’étais chez le médecin … » dis-je calmement. Je ne voulais pas continuer, enfaite je n’y arrivais pas. J’avais la forte impression que ma gorge se nouait et qu’elle ne pouvait laisser passer aucune parole. J’eu du mal à enchaîner, finalement je respirais un bon coup et continua mon discours. « Kaylee a un souffle au cœur. Elle peut faire une crise cardiaque n’importe quand, en plus de ça elle est asthmatique. » Bon, c’était pas un asthme très fort, c’est le plus bas qui existait. Elle fait des crises que très rarement voir même jamais en ce moment. Mais malgré ça, elle m’inquiétait. Je ne pouvais pas imaginer une seule seconde ma fille en train de faire une crise cardiaque, j’ai l’impression qu’on me plante un couteau dans le cœur. Je fermais les yeux, avant que mes larmes se mettent à couler. Kaylee jeta un sourire à Stephen, elle l’avait reconnu.

J’avais dans l’intention de passer une agréable journée aujourd’hui, seulement ça avait l’air de faire tout le contraire à l’heure actuel. Je me suis rendu chez le médecin, celui-ci ma annoncer que ma fille a un souffle au cœur qui pourrait très vite devenir une maladie cardiaque pour elle. Etant donné que son souffle est très rapide, il se pourrait que ça finisse par lui faire rompre une nerf cardiaque enfin je ne sais pas trop quoi, avec leur blabla quotidien j’ai rien compris enfin je sais juste que ma fille est en danger et que je dois faire attention à tous ses faits et geste. Je suis paniqué rien qu’à l’idée de m’imaginer en train de la perdre, elle n’a que trois ans c’est pas possible qu’elle vive une chose pareille. Je tiens vraiment à ce qu’elle est une vie merveilleuse comme les princesses des nombreux dessins animés que l’on regarde ensemble, le soir, avant d’aller se coucher. Ma princesse à moi ne sera pas aussi heureuse et chanceuse, en tout cas, il faut que je pense à quelque chose d’autres. Stephen me tient compagnie, je tente de lui sourire calmement, mais rien qu’en le regardant j’ai l’impression de voir un être démoniaque, violent, comme je l’ai vue il y a de ça un an maintenant. Une soirée que je me souviendrais toute ma vie, j’ai eus la forte impression de subir les mêmes sévices que lorsque je fus avec mon mari. Il me frappait … voilà pourquoi j’ai couper tout contact avec Stephen. Je ne peux pas m’imaginer une seconde fois dans les bras d’un garçon qui est violent, impulsif et tout ça quoi. Non, il fallait absolument que je le raye de ma liste d’amis. Chose qui est faite depuis un bon moment maintenant. Je sais qu’il a fait ça pour me protéger de ces hommes qui me regardaient d’une certaines façon, comme s’ils avaient dans l’intention de me violer, peut-être même me frapper. Peut-être que c’est ça mon problème ? Je ressemble de trop à un Punching-ball ou quoi ? J’ai une tête à me faire frapper surement, ça doit être ça. Enfin quoi qu’il en soit, je ne peux pas fréquenter ce genre de personne … même si, je l’avoue, il m’arrive parfois d’être violente et de me battre avec une autre femme, mais c’est différent. Je trouve que la situation n’est pas la même.

Alors que je pleurais un bon coup, il vient me parler dans le but de crever l’abcès de cette soirée, j’imagine et certainement pour me consoler également. Oui, car je sais qu’au fond de lui Stephen à un grand cœur et c’est pour ça que je l’ai beaucoup fréquenter. Je dois avouer que ce n’était pas déplaisant, au contraire. « Non, rien ! » lui dis-je en éclatant en sanglots. Je me met dans de sacrée état tout de même, il faut que je vois le bon côté des choses. Mais non, moi j’ai toujours le sentiment que rien ne peux aller, comme si ma vie est basé que sur du mal. « C’est pas ça le problème Steph’. Il se pourrait que sa maladie s’aggrave si son souffle s’accélère ne serais-ce qu’un fragment de minutes. C‘est plus grave que je ne l‘aurais imaginé. » avouais-je tout en passant mes doigts sous mes yeux afin de retirer les larmes qui coule le long de mes joues. Il prit ma main pour y faire une caresse, enfin pas une caresse amoureuse hein, non non, mais une caresse dans le simple but de me montrer qu’il est là pour moi malgré tout. Touchant. « Tu dois surement te demander pourquoi j’ai tout lâcher après avoir découvert ton second visage, non ? » lui demandais-je tout en le regardant. J’attrape son mouchoir et m’essuya l’eau salé qui restait sur mes joues. Je repose mes yeux sur lui afin de voir ce qu’il a imaginer par rapport à ma réaction assez sauvage, je l’admets.

En réalité, j’aimais beaucoup Stephen. Les moments passés avec lui sont si agréable qu’au jour d’aujourd’hui j’aimerais retrouvé notre histoire d’avant. Mais je crois que ça ne sera pas possible, rien ne serait plus comme avant et puis, il me semble qu’il a un compagne maintenant. Je l’admire cet homme, il est si gentil, adorable, attachant. Je ne sais pas comment j’ai fais pour ne pas craquer auparavant. Et oui, mais c’est certainement à cause de sa deuxième facette, je n’aurais pas pensé qu’il serait le genre de garçon assez violent, même pour protéger une fille. Malheureusement, il ne sait pas pourquoi j’ai réagis de cette manière et je pense qu’il est grand tant de lui en donner la raison. Il y verra un peu plus claire et on y verra plus claire pour notre relation, qui je l’espère sera encore mieux que celle qu’on avait. Je lui souris après avoir sécher mes pleures grâce à son mouchoir qu’il m’a gentiment attribué. Ma fille à coté de moi, comparé à moi celle-ci est plutôt souriante. Il s’excuse, je lui fis un bref sourire simple et sans attache. Je pose ma mains sur la chevelure de ma fille de trois ans, je l’embrasse sur le front avant de reposer mes coudes sur la table et de regarder mon interlocuteur. « Pourquoi tu es si gentil avec moi ? » lui demandais-je tout en le fixant dans les yeux. Pourquoi m’accorde-t-il un peu de temps aujourd’hui ? Pourquoi est-il comme ça avec moi aujourd’hui ? Je pense qu’il en profite un petit peu parce que je ne suis pas tout à fait dans mon état … non, enfaite je ne sais pas. Même quand on sortait ensemble il était comme ça avec moi et c’est ça que j’appréciais chez lui et que j’apprécie toujours je l’avoue. Ensuite, on revient sur le sujet de cette fameuse soirée où il a gentiment essayer de me protéger et qu’ensuite je suis partie sans même lui donner la raison du pourquoi. Il m’avoue qu’il a une petite idée de pourquoi j’ai réagis de cette façon, je fronce un sourcil tout en l’écoutant afin de comprendre. « Je te remercie de m’avoir protégée. » lui dis-je tout en acquiesçant un sourire. Je ne l’avais jamais fais, remercier, pardonner, bref ce genre de truc ce n’est plus trop dans mon vocabulaire, mais je pense que je dois tout de même le fais. Il est vrai que s’il n’avait pas intervenu, s’il n’aurait pas été là je ne sais pas où j’aurais finis. Certainement à l’hôpital après m’être fais violé et tabassé, j’imagine en tout cas. Alors il faut tout de même que je fasse un effort là-dessus même si j’ai horreur de la violence à cause de ce que j’ai vécue. « Je vais t’expliquer. » dis-je tout en baissant les yeux sur ma fille. Je décide pousser la poussette à l’aide de mon pied afin d’endormir la petite. Je relève les yeux passant le mouchoir une nouvelle fois sous mes yeux, malgré que mes pleures ont cessé, je sais que ce sujet me touche particulièrement et à la moindre larme qui pourrait apparaitre dans le blanc de mes yeux c’est foutu et je risque de couler une rivière dans le Starbucks Coffee. Je respire calmement avant de commencer mon histoire. « Je sortais avec Melvin, un homme droit et honnête jusqu’à preuve du contraire. Je n’avais que dix-neuf ans quand je suis sortie avec lui et ça faisait déjà deux ans qu’on étaient ensemble. Et il m‘a demandé en mariage, j‘ai accepter. Pour moi, mon avenir était tracée, je vois ma vie avec lui, des enfants et tout ça. Et puis au fil du temps il a commencer à boire, consommer de la drogue et à me tromper. » avouais-je. Une fois de plus je sentie les larmes monter .. Je me retiens histoire de pouvoir terminer, m’expliquer une bonne fois pour toute. « Un soir … il est rentré complètement saoule et il m’a frapper. Je n’ai jamais rien dit, il n’était pas dans son état et j’ai laisser passer. Et puis, c’est devenue répétitif jusqu’au jour où j’ai finis à l’hôpital ! J’ai trouvé une excuse prétendant que je m’étais battue avec une copine, mais ils ne m’ont pas cru. Je suis partie de l’hôpital et j’ai fais comme si de rien n’étais. Il continuais à me frapper. » dis-je tout en le regardant, j'aperçoit son visage s’éclaircir, là il comprenait un peu mieux pourquoi j’ai fuis ce soir-là. « Un an après, j’ai compris que je ne pouvais pas vivre comme ça et j’ai fuis. Aujourd’hui, je suis là. J‘ai une fille de trois ans, un bon travail et des gens super autour de moi. La violence reste un sujet tabou chez moi. Voilà pourquoi j‘ai fuis … » terminais-je tout en le regardant droit dans les yeux. Ayez, je viens de dévoiler toute ma vie pratiquement à cet homme. Celui qui arrivait à me faire sourire, dans le temps. Je me disais que la vie n’est pas aussi injuste que ça, qu’il y a des êtres encore capable d’aimer une femme et de ne pas la frapper. J’étais heureuse avec Stephen.