the great escape
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Le merveilleux est dans l'instant.

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Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
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MessageSujet: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyDim 22 Aoû - 0:16


      Le merveilleux est dans l'instant. 995594EW1 Le merveilleux est dans l'instant. 321168HP1
      « Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé
      d'espérer .. » | 2oh58 - Nos chemins se croisent

    La journée fut longue et la jeune femme est contente de voir le soleil se couché. Seulement, elle se rend compte que sa mal chance n'est pas finie. Ce matin, en se levant, elle croyait que sa journée serait parfaite. Soleil, chaleur et en compagnie de ses iotas, elle pensait que tout serait parfait. Ce matin, elle avait prévu un entrainement pour ses chéries. C'est pas donné à tout le monde d'entrainer les cherleaders de Berkeley. Vétue de son ensemble super sexy, elle claqua la porte derrière elle. Aislynn n'était pas le genre de fille patiente et fausse. Quand elle a quelque chose à vous dire, elle ne prendra pas quatre chemins pour vous remettre en place. Après tout, elle vous dira que ça ne sert à rien de se voiler la face. Autant y aller de plein front, si ça fait mal, ça le fera qu'une seule fois. L'entrainement semblait avoir commencé à merveille, alors que le soleil se levait tranquillement dans le ciel. Quand ils décident de faire un porter et que l'une des pom pom girls s'écrase contre le sol. La galère ! Courant vers la demoiselle, Aislynn joue son rôle de capitaine mais aussi de présidente des iotas. Ces rôles ne sont pas donné à tout le monde et elle ferait n'importe quoi pour les garder. Ces titres sont des fiertés pour elle et des buts qu'elle s'était fixé autrefois. Combien de fois, elle avait imaginé détrôner sa rivale Caroll. Persévérante et passionnée, elle fait tout ce qu'elle peut pour arriver à réaliser ses buts. C'est peut être cru de dire les choses comme cela mais à quoi bon se voiler la face.. En route dans l'ambulance avec la demoiselle, Ais prévient les autres qu'ils peuvent rentrer ou aller en cours. Elle leur donnera toutes les nouvelles, dès qu'elle saura. Inquiète, elle espère que tout ira bien.

    Après une heure passée dans la salle d'entente, elle rentre à Berkeley. Retrouve les siens et les réconforte comme elle peut. La journée doit continué. Leur ami se portera à merveille. Elle a juste besoin de sommeil. Direction les heures de cours interminables. Aujourd'hui, était la plus grosse journée de miss Woobleforth et ses cours se terminaient à dix sept heure. Cours de langues, de droit civil et finis avec le droit pénal, la jeune femme avait de quoi compléter sa journée. Sauf que la jeune femme n'avait pas le coeur à être attentive. Depuis que le choix qu'elle avait décidé avec Joshua, Aislynn se remettait souvent en question. Elle, qui tenait tellement à lui, se voit dans le besoin de le laisser respirer, de réfléchir à tout cela. Elle le comprend et ressent le besoin de se poser les bonnes questions et après trouver les bonnes réponses ce qui est pas donné à tout le monde. Les histoires d'amour sont compliquées, sinon elles ne seraient pas autant recherchées. Qui n'a jamais couru après cet étrange sentiment ? Aislynn a fréquenté des hommes dans le passé et certains ont fait naitre des sensations nouvelles en elle. Mais Joshua doit être l'unique à avoir su la déconcentrer, la troubler et l'éloigner de ses habitudes. Aislynn n'est pas le genre de fille qui se dit appartenir à un seul homme. Cependant à ses côtés, elle a souvent pensé être la seule et unique qui lui fallait et inversement. Sauf que toutes les histoires ne finissent pas par " ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. " Et blabla bla, sérieusement on est trop grand pour croire en ces légendes. Dernière heure de cours et Aislynn dessine dans le fond de la classe. A l'abri des regards du prof, elle met l'un de ses écouteurs dans l'oreille et appuie sur play. La belle blonde faisait le vide et n'était pas intéressée par le cours. Certes c'est loin d'être l'exemple à montrer mais ça arrive parfois, de dérouter, de s'éloigner de ce chemin qu'on ne pensait jamais emprunté. Plus rien n'étonne la jeune femme, après avoir côtoyé un temps soit peu l'amour, elle laisse tomber. Peut être que ce n'est pas pour elle.. Elle est peut être destinée à demeurer seule et seulement seule.

    Les heures étaient passées et la jeune femme venait de rentrer dans sa confrérie et plus précisément dans sa chambre. Laissant tomber son sac contre le sol, elle se dirige vers son lit et fouille dans sa poche afin de prendre son ipod, quelle ne trouve pas d'ailleurs.. Inquiète, elle fouille dans ses poches puis son sac mais ne trouve toujours rien. Aislynn ne peut pas le croire. Toutes ses chansons sont pour les iotas et leurs futurs concours. Incroyable journée ! La demoiselle ne peut pas le croire. La nuit arrivait et elle devait se rendre à l'université. Ne prenant même pas sa veste, elle retourne dans l'amphithéâtre silencieux et sombre. Cherchant à son siège, son bien quand elle entend des bruits derrière elle..

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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyDim 22 Aoû - 17:03

    Toute bonnes choses à une fin ; chez moi il y en avait eu plusieurs. Pas obligatoirement bonne pour moi mais les choses étaient tels que j’avais fait ainsi. Tout d’abord les vacances. Elles étaient terminés ; malheureusement. La rentrée était donc là est avec elle avait apporté un vent de changement comparé aux vacances. Tout d’abord j’avais rompu avec Aurlanne par pure fierté, ne supportant pas d’aimer une autre personne que moi-même ; bien sûr je ne lui avais pas dis ça comme ça, j’aurais paru vraiment mais vraiment mégalomane ! Je lui avais juste dit que j’avais peur de souffrir et que je m’étais déjà trop ouvert, que les sentiments que j’avais pour elle me faisait peur et que je voulais tout arrêter. La peur ; j’étais terrorisé par les sentiments amoureux, je ne l’étais jamais tombé et Aurlanne était ma première, peut-être la dernière. Sûrement pas ; malgré que j’avais rompu elle me manquait, parce que je l’aimais. Mais j’avais établi un plan qui marcherait peut-être pour l’oublier ; faire ce que je savais faire le mieux : charmer des filles et coucher avec elle ; certes je rendais jaloux Aurlanne mais sa liberté qu’elle avait retrouvé en rompant avec elle me rendait tout aussi vulnérable ; je ne voulais tout simplement pas. J’avais deux parties en moi semble t-il et j’avais brisé moi-même une partie que je trouvais bien trop faible pour me ressembler. Je m’étais brisé le cœur et il semblait que j’avais mis les morceaux qu’il restait à la poubelle pour que je ne regrette rien ; mais je l’aimais toujours c’était indéniable et c’était encore trop tôt pour que je puisse l’oublier ; mais je le faisais bien transparaître et j’espérais jouer sur mon côté connard pour qu’Aurlanne m’oublie ; même si j’avais été franc sur les raisons de notre séparation qui n’était que purement égoïste. Mais je ne devais plus y penser en cette nouvelle journée de cours qui avait commencé, le changement était dur et rude ; je reprenais les bonnes habitudes sans qu’elle ne le soit. Je n’habitais plus chez les Hildebrand et donc je devais avoir l’indépendance que j’avais toujours eu ; sans la bonne. J’avais Kirsten à la place ; ma colocataire avec qui j’avais réussi a parlé des premiers sentiments amoureux que j’avais eu avec Aurlanne. J’avais bien vu qu’elle avait été jalouse mais elle n’en fit pas plus et m’écoutait ; Jhiannifer aussi, ma confidente avait su m’écouter. Mais je ne me plaignais pas trop, je n’étais pas du genre à rester en place et lorsque j’avais quelque chose en moi qui me gênait comme ces sentiments que je voulais absolument faire fuir ; je n’avais qu’une mission en tête : l’oublier. Et les filles que je croisais étaient sensiblement mes proies ; je les draguais et me faisais des plaisirs avec jusqu’à ne plus penser qu’a mon plaisir et non à elle. Même si ça lui faisait mal en attendant la réputation que je me faisais je ne voulais pas mais il le fallait, j’en avais décidé de tel. J’étais peut-être méchant voir machiste mais j’en avais besoin ; j’étais ainsi et je ne changerais surement pas. C’était donc une journée de cours que je reprenais enfin mais doucement ; j’avais finalement acheté une voiture cher et qui faisait tourner les têtes une Audi R8. Oui, comme Militine, une fille dont j’avais fait la connaissance les premiers jours de la rentrée. J’avais acheté la même voiture dont j’avais adoré conduire. De coloris gris clair métallique. J’arrivais devant Berkeley de nuit, oui, la journée avait était rude mais la soirée commençait ici pour moi, oui, j’avais un devoir à rattraper semblait-il. Oui ; une fille qui faisait les mêmes cours que moi m’avait dit que nous devions aller faire un devoir à rattraper ; déjà les cours me soulait. Les devoirs arrivaient et ainsi que les mensonges, ces jeunes filles qui se croyaient plus malignes que moi en prétextant un devoir alors qu’il n’y avait sans doute rien ; on m’avait fait le coup au moins 5 fois l’an passé. Mais bien entendu les vacances avaient rayés ces petits détails de ma tête et je me retrouvais devant une porte d’entrée de cours fermait et au détour d’un couloir la jeune femme qui m’avait prévenu, s’approchant vers moi ; habillée le plus court possible. Son haut ne détenait pas de soutien-gorge mais elle pointait ouvertement alors que sa jupe était fendue, qu’avais-je fait pour qu’elle s’ouvre ainsi à moi et d’une telle façon ? Elle se positionnait devant moi pendant que je la désirais ; je fis demi-tour, énervé et alla où je pourrais ne pas l’a voir ; elle me suivait. Et voilà qu’en venant j’étais dans l’optique de faire un devoir avec sérieux ; finalement j’avais de quoi passer ma nuit à l’université à jouer à cache-cache avec une nymphomane ; de la chance je ne pensais pas, je n’aimais pas les gens trop collants. Je ne lui avais donné aucune explication et lorsque j’avais vu le poteau rose je n’avais pas cherché plus ; je ne voulais pas coucher avec elle. Elle en serait trop contente. J’accélérais donc le pas pour ne pas qu’elle arrive à me suive ; en talons comme elle était elle n’y arriverait sans doute pas. Tournant à gauche, puis à droite. Elle était encore là, mais plus si près de moi ; je devais me prendre cette occasion pour échapper à son regard et tout simplement disparaître. Je prenais un autre couloir et finit par trouver une porte a double battent ; j’y rentrais et atterrit dans l’amphithéâtre. La fille n’était pas là et je pris le temps de voir qui se promenait ici ; personne. Mais je vis une paire de fesse levé. Je fus surpris de voir ça. Je regardais mieux et vit que c’était une fille qui s’était penché cherchant quelque chose sous les sièges. C’était ma chance et je devais la saisir ; vu que j’étais accroupi près de la porte, je me levais et alla vers la demoiselle qui de dos je ne la reconnus pas, j’avais juste vu qu’elle avait un jolie fessier et des jolies cheveux blonds, je montais rapidement les marches. Tapotant sur son épaule lorsqu’elle s’était doucement redressée ; ne pas baisser les yeux sur son postérieur non mais ! La reconnaître me surpris ; c’était Ainslynn ; une amie de Constance ou Manon, je ne me rappelais plus ! Bref’ ; je jetais un regard vers la porte puis de nouveau sur elle, un sourire sur les lèvres !

    « Salut Ainslynn ! Tu te rappelles de moi ? – Je laissais un léger blanc pour qu’elle réfléchisse, mais le temps me manquait ! – Dis j’ai un tout petit problème .. j’ai .. – Et la miss qui me voulait se mit à la porte, je la voyais. – Une fille qui me court après elle veut coucher avec moi je crois et voilà .. je n’arrives pas à m’en débarrasser. »
    Étonnant, je me refusais une fille. C’était quand je voulais au fond et pas quand elle voulait. Je ne demandais rien de bien méchant et rien de bien bon, juste qu’elle fasse croire qu’elle était avec moi ou que j’étais à elle. Je sais que je pouvais avoir des idées saugrenues mais pour une fois je ne désirais même pas à profiter même si elle était belle, je devais tranquillement laisser perdre mon regard dans le sien, tandis que la fille entrait dans la salle et se dirigeais lentement vers nous, comme dans un thriller allait-elle me tuer ou me violer sur place ?
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Jake Fitzgerald
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyDim 22 Aoû - 20:09

    Ce matin, Aislynn aurait pensé que sa journée serait une parmi tant d'autre. Sauf que l'absence de son petit ami, de Joshua, parce que leur couple vit ses moments durs et qu'ils ont pris le choix de respirer chacun de leur côté. La jeune femme doit se faire à l'idée que les choses ne sont pas toujours ce que l'on avait imaginé. Joie ou tristesse, la demoiselle faisait tout pour cacher ses émotions et son état actuel. Elle n'est pas le genre de personne qui pleure sur son destin. Mais plutôt le genre de personne qui se redresse et se promet d'aller toujours plus loin. La vie ne tient qu'à un fil et sur ses derniers jours ou dernières heures, elle ne veut pas penser à sa vie comme à un ensemble de regrets. Alors, même si elle a mal et qu'elle se pose une tonne de question. Aislynn garde tout cela au fond d'elle, parce qu'il n'y a aucune raison valable de pleurer sur son sort même si à l'intérieur d'elle - même, elle souffre. La jeune femme n'a jamais eu une image parfaite de la vie de couple. En regardant ceux qui sont censés nous montrer l'exemple, son père n'a pas toujours été fidèle à sa mère. Préférant se taper ses secrétaires, les unes après les autres. Il croyait quoi ? Éviter la lecture de leur curriculum vitae en leur proposant une partie de jambe en l'air. Depuis, la demoiselle ne parle plus à son géniteur et même si son sang coule dans ses veines. Elle n'oubliera jamais cette nuit là, où elle a trouver sa mère en larmes dans le salon, un boite de cachet vide et une bouteille de vin également vide. La peur avait envahit son esprit. Elle qui n'avait jamais été proche de sa mère, le devient très vite après cette longue période de soucis. Son père était parti avec l'une de ses aventures. Laissant les deux femmes à leur propre sort, sympa pour un père de famille. Les semaines passèrent et les deux femmes voyaient le jour comme beau. Après des difficultés, des erreurs et quelques problèmes, elles avaient réussi à tout remettre dans l'ordre. Livrée à elle - même, miss Woobleforth a grandi de cette douleur, cette trahison venant de celui qu'elle prenait comme modèle. Le père de famille est descendu très vite de son podium et a perdu sa première place. Les mois passèrent jusqu'à ce jour, où il toqua à la porte. Aislynn espérait de tout coeur que sa mère lui ferait payer ce qu'elle avait enduré. Au lieu de ça, elle le reprit sans rien dire, sans cris, ni reproche. La jeune femme a beaucoup de mal à accepter cette situation de faire comme si de rien n'était, comme si elle n'avait rien vécu. Comme s'il était parti en voyage et qu'il rentrait. Aujourd'hui, la jeune femme a gardé cette mauvaise image de l'amour. En rencontrant Joshua, elle espérait voir une nouvelle facette de cette sensation et croyait même qu'il ferait la différence. Mais apparemment les choses ne devaient pas tourner comme ça. Le destin lui avait peut être tracé un autre chemin. Alors depuis quelques jours, elle marchait sur un chemin qui n'avait plus été le sien depuis quelques mois.

    En direction de l'amphithéâtre, la jeune femme ne pensait à rien. Elle préférait faire le vide et tout ira bien. Marchant de plus en plus vite, Aislynn commençait à avoir froid. L'été n'était pas fort présent et la jeune femme avait beaucoup de mal à l'accepter. Elle qui se voyait se promener dans ses tenues légères. Heureusement, elle avait pris l'avion pour Rome. Cependant, c'était pour de mauvaises raisons, la jeune femme avait perdu son grand père et se devait d'aller l'enterrer avec ses proches. L'été ne fut pas ce qu'elle avait imaginé. Elle espérait seulement que la rentrée et l'année qui s'annonçait serait meilleure. Pénétrant dans la grande salle de cours, la belle blonde s'abaissa et cherchait son ipod. Croisant les doigts pour que personne ne lui ai piqué. On ne sait pas qui a eu cours après eu. Coup de chance, il était là. Elle se tend pour l'attraper quand elle sent quelqu'un lui taper sur l'épaule. « Tu m'as fait peur. » La demoiselle avait reconnu ce beau brun. Puis qui ne le connaissait pas ?! Charles avait du succès dans l'université et la plus part des élèves étaient au courant de ses nombreuses aventures. Elle ne le connaissait pas plus que ça mais elle ne pouvait pas nier le charme fou qu'il dégageait.

    « Salut Aislynn ! Tu te rappelles de moi ? Une fille qui me court après elle veut coucher avec moi je crois et voilà .. je n’arrives pas à m’en débarrasser. » Le visage du jeune homme ne mentait, on y voyait une certaine inquiétude. Quelle drole de situation pour la jeune femme. Voir un coureur de jupons paniqué devant l'une de ses fans. Aislynn comprit qu'il disait vrai qu'elle aperçue le visage de la demoiselle en question, derrière la fenêtre qui était au centre de la porte. Au fond d'elle, Aislynn souriait parce que ce n'est pas tous les jours qu'on voit un tomber stressé devant une femme en chaleur. A croire que quelque chose changeait cette fois ci. Le ipod dans les mains, elle remarqua que la fan de Charles entrait dans la pièce, histoire de l'aider. Elle lui fit signe d'avancer et à l'aide de l'une de ses mains, fit avancer le visage du beau brun plus près du sien. En même pas trois secondes, la jolie blonde avait accroché ses lèvres à celles du jeune homme. Gardant un oeil sur la jeune femme qui ne les quittait pas des yeux. Prolongeant le baiser, jouant de leurs langues, elle fit durer le moment pour qu'il soit plus crédible. Quand la personne laissa claquer la porte derrière elle, Aislynn se détacha des lèvres du beau brun. Repris son souffle et ajouta : « J'espère que je t'ai aidé comme il le fallait. Elle vient de partir de la salle. » Aislynn sourit de plus belle. Elle n'en revenait pas d'avoir agis d'une telle façon. Sur le moment même, elle ne savait pas quoi alors elle avait écouté son instinct. Puis elle ne le regrettait pas, ça avait été excitant et agréable.
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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyLun 23 Aoû - 5:16

    Les choses que j’imaginais au fond de moi ; l’envie qui m’avait sauté à la gorge dès que je l’avais vu de dos revenait aux grands galops, je l’avais vu sursauter lorsqu’elle avait senti ma main sur son épaule. Je m’en voulais mais le sourire qu’elle avait sur le visage réussi à ne pas m’avoir de remords et je l’en félicitais. Je lui racontais le problème que j’avais et étonnamment elle me crut. Bien sûr lorsque la jeune nymphomane qui m’avait piégée entra dans la salle et que je croisai le regard de Aislynn se posait sur celle-ci j’étais au fond sûr de moi ; sûr qu’elle me croyait. Par contre je ne m’étais pas attendu à une suite de scénario comme celle-ci, je pensais qu’elle aurait fait ça avec plus de classe ; même si ça l’étais mais aussi plus de patience. A priori non et lorsque je vis le signe qu’elle me faisait ; celui de me rapprocher d’elle et je le fis instinctivement, ne pensais pas réellement qu’elle ferait quelque chose d’irréfléchi et non voulue sans doute. Mais lorsque je sentis sa main sur mon torse, montant vers mon cou et me rapprochait avec une légère brusquerie contre elle ; de sorte que mes lèvres rentrèrent en contact avec les siennes et qu’elle entame un baiser passionné et fougueux auquel je répondais avec un plaisir qui lui-même était partagé entre sensation de bien-être et surprise. Mon regard dans le sien ; nos langues se caressait avec fougue et ardeur, j’avais subitement chaud et c’était agréable comme décontenançant ; j’étais surpris et lorsque nous entendions tous deux le claquage de la porte d’entrée ou de sortie ; elle rompit le baiser. Je l’écoutais ; elle me disait que cette nymphomane qui voulait mon corps venait de sortir de la salle, moi ? Je ne bougeais pas de la place ou elle m’avait laissé ; comme surpris. D’habitude jamais on ne me faisait ça du moins dans de tels circonstances ; et ça me surprenait car j’avais adoré, justement. La faiblesse de mon esprit de mon cœur me faisait encore défaut et je m’en voulais déjà d’agir ainsi. J’étais comme pétrifié sur place ; elle était toujours en face de moi et je ne quittais pas son regard malgré le fait que j’étais déjà loin dans mes pensées. Ce baiser avait réveillé en moi une chose que je n’avais jamais pu ressentir jusqu’à là. Du moins c’était pour moi une surprise. Mais comme j’avais dis je me haïssais de nouveau ; j’étais un mec facile ou quoi ? Non, j’étais sans doute un aimant à fille ? Sûrement et peut-être fallait-il que je change d’image ? D’une image dont j’avais besoin pour oublier les ressentis de mon cœur ; mais semblait-il que ça marche de suite ? Peut-être, je ne pensais pas à Aurlanne du moins j’y pensais de moins en moins. La vie était belle et malgré le fait qu’elle m’avait apporté quelque chose de fort comme la première histoire amoureux de ma vie ainsi que les premiers sentiments amoureux que j’ai eu pour une fille elle restera dans mon cœur, ma tête & mon corps. Corps qui depuis que je l’avais laissé était devenu propriété de qui le voulait tant qu’elle y était intéressée et surtout tant que je le voulais aussi. Je n’étais pas un jouet ; juste le jouet de mon propre plaisir. Je divaguais souvent trop mais mes pensées n’était rivés que sur Elle ; Aislynn. Je n’y avais jamais eu droit à cette scène moi qui pensais que ceux qui l’attirait était des hommes déjà pris ou encore Joshua que je savais aux dernières nouvelles mais a priori je n’avais pas entendu les dernières rumeurs. Il fallait que je me renseigne ou qu’elle m’en parle. Mon regard changeait doucement laissant transparaître la surprise que ce baiser avait laissé ainsi qu’une certaine incompréhension du fait qu’elle m’avait embrassé alors que moi je l’a pensais toujours prise. Mais je me trompais sans doute à croire. Je ne bougeais pas de ma place mais je fis enfin un mouvement, me déstatufiant ; ce que je pouvais avoir l’air ridicule, je ne savais même pas combien de temps j’étais resté ainsi ; immobile dans mes pensées, peut-être trop longtemps et je devais me rattraper sur cette erreur que j’avais faîtes. Mon corps bougeait pour moi et la première chose qu’il fit s’est reculer d’un pas, la tentation était bien trop grande et il fallait que je prenne mes précautions, mon regard la dévisageait avec une tendresse inhabituelle, j’essayais de comprendre pourquoi je me sentais ainsi, si tenté de l’avoir. Encore une autre sur mon tableau de chasse ? C’était si simple ; mais non. Je me devais de changer et de faire preuve de maturité, je devais d’abord avoir des informations sur elle, je ne voulais plus coucher avec n’importe qui ; car je le savais si je me laissais allé je coucherais avec elle. Si j’en apprenais plus sur les filles avant que je ne couche avec je pouvais y découvrir des personnes formidables, je changeais doucement à mon goût, Aurlanne avait laissé sa trace en moi bien plus que je ne pouvais le penser. J’affrontais son regard après ce pas qui aurait pu paraître comme de la peur ou encore d’une chose que je n’aurais pas voulu. Je ne comprenais pas ; mais en tout cas elle avait réussi : j’étais libre de tout danger .. vraiment ?

    « Hum.. merci à toi. – Mon regard était sérieux, ardent – Je suis désolé pour t’avoir fait peur .. . – Plus si désolé que ça ; je rougirais presque mais j’étais juste surpris et décontenancé. – Je pense que je suis redevable Aislynn ; tu peux compter sur moi quand tu en as besoin ! – Tout en douceur, pour une fois ce n’était pas une proposition même si mon corps venait d’éveiller le désir en moi – Tu.. tu cherchais quelque chose ? On aurait dit ? Et sinon tu vas bien ? La reprise n’est pas trop.. dur ? »

    J’avais envie de poser des questions sur son couple mais je n’osais pas, je ne la connaissais pas et là, la seule envie que j’avais était tout simplement : de la connaître. Car indéniablement elle m’avait plu, ce baiser m’avait plu et tel un poison avait engourdi tout mon corps & mon esprit sous son charme diabolique. Je posais mes fesses sur la table juste derrière moi, étant de quelques centimètres en-dessous d'elle niveau taille, je la regardais simplement ; intrigué.
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyLun 30 Aoû - 21:48

    C'était une grande première pour Aislynn. Embrasser un gars qu'elle connait depuis trente seconde et encore, elle ne l'avait jamais fait. Allez savoir ce qui l'avait poussé à faire une telle chose ? Est ce que sa précédente pause avec son Joshua, l'avait chamboulée.. ? Il y a beaucoup de chance pour que ça joue un peu dans ce sens là. La jeune femme était une charmeuse et on peut dire qu'elle a eu les plus beaux garçons de l'école à ses côtés. Entre Joshua et sa horde de filles en chaleur. Il y avait aussi cette histoire avec le bel Edward, vous voyez celui qui a même un jumeau. Sans oublier, l'incroyable histoire avec Thomas. Celui avec qui, elle avait juste partagé une nuit et qui avait réussi à lui mettre un bébé dans le ventre. Bien des histoires qui ont été connues dans les couloirs de Berkeley. Puis comment dire avec modestie, la jeune femme est loin d'être une mouchetée. Elle n'est peut être pas au goût de tous le monde mais elle sait jouer de ses atouts quand elle le désire. Cependant, tout le monde croyait que son histoire avec le beau Delta l'avait calmée. Sauf que toutes les histoires ne tournent pas merveilleusement bien. Aislynn a difficile à accorder sa confiance et avec toutes ces histoires qui tourne autour du jeune homme. Elle préfère réfléchir et respire pour savoir où elle en est. Cela va faire quelques semaines qu'elle joue le jeu. Dans l'amphithéâtre, elle venait chercher se fichu ipod sur lequel se cachait les futurs chansons du concours des cherleaders. Aucune envie qu'une mauvaise personne tombe sur ça et la fasse chanter ou pire révèle les musiques avant la compétition. Mais ce soir, elle croisa le chemin d'une autre personne. Un bien connu de l'université aussi, et cela est dû aux nombreuses filles qu'il a mis dans son lit. La demoiselle se demande bien s'il existe sur cette terre des hommes qui pensent avec autre chose que ce qui se trouve dans leur pantalon. Mais bon, on ne va pas trop leur en demander, sinon ils vont pas arrêter de se plaindre. Néanmoins, elle avait aidé Charles, ce soir. Le jeune homme était poursuivis par une grosse nymphomane. Elle aurait pu lui dire qu'il récoltait ce qu'il semait. Sauf qu'Aislynn ne voulait pas avoir ce genre de conversation à ce moment là. Sans hésiter, elle s'était portée volontaire au jeu. S'avançant vers lui, elle s'accrocha à ses lèvres. Provoquant en elle, un sentiment étrange. Des lèvres qu'elle ne connaissait pas et une douceur qu'elle n'imaginait pas. Elle sentait son souffle venir se heurter en elle. Les mouvements de sa langue contre la sienne, lui faisait connaitre pas mal de frisson. Un premier baiser, sans raison et pourtant remplit de sensation. Aislynn s'en éloigna dès qu'elle entendit la porte de claquer. Cette folle en furie avait quitté les lieux et elle ne voulait pas se faire passer pour ce qu'elle n'était pas. La belle blonde lui avait rendu service et n'avait rien à perdre. Juste à profiter d'un baiser, parce que miss Woobleforth a besoin de se sentir câlinée et appréciée. Elle ne regrettait pas.

    Un instant plus tard, elle observa le beau brun qui semblait chamboulé. Elle le fit retomber sur terre, en affirmant que sa fan était partie et qu'elle espérait l'avoir aidé, parce que faire ça pour rien, ça n'aurait pas été la même chose. Aislynn se sentait fière en même temps. Demandez pas pourquoi, ce soir, elle s'était sentie utile. Puis, il ouvrit la bouche et la demoiselle fut soulagée, il n'était pas mort. « Hum.. merci à toi. Je suis désolé pour t’avoir fait peur .. . Je pense que je suis redevable Aislynn ; tu peux compter sur moi quand tu en as besoin ! Tu.. tu cherchais quelque chose ? On aurait dit ? Et sinon tu vas bien ? La reprise n’est pas trop.. dur ? » La jeune femme sourit et replongea sa main dans sa poche, histoire de bien réaliser qu'elle avait retrouvé son bien. Une certaine rougeur apparaissait sur les joues de Charles et cela fit sourire la jeune femme. Elle était loin à s'attendre à une telle chose de sa part. « Ah je n'oublierai pas. Si un jour, j'ai besoin de toi pour faire fuir un gars trop collant ou pour ranger ma chambre. » Elle sourit et prend place sur le banc juste derrière elle. Elle espérait qu'il comprendrait son humeur, même si c'était loin d'être du grand art. Mais bon, s'il se sent redevable, autant le noter. C'est pas tous les jours qu'un mec vient prendre nos poussières dans notre chambre. « Je venais chercher mon ipod. Sinon je vais bien, merci. Et toi ? Tu as toujours des filles qui te suivent pour de déchirer tes vêtements ? » Elle laissa échapper un léger rire et passa l'une de ses mains dans sa mèche de cheveux. Qui l'aurait cru ? Ce soir, elle était venue se perdre dans l'université et elle tomba sur un jeune homme en plein soucis. Il y a d'autre qui rêverait surement d'être à sa place. Peut être que tous les garçons n'ont pas des fans comme Charles. Ce beau brun doit vraiment être spéciale pour faire autant d'effet aux demoiselles. Aux premiers regards, il semble ressembler à Joshua ou avoir plus ou moins la même personnalité. Ils aiment tous les deux les femmes, au point de ne pas se ranger côté coeur..
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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyMer 8 Sep - 10:41

Pourquoi je me retrouvais si loin d’elle alors que tout mon corps voulait à présent être contre elle ? La tenir dans mes bras et plongeait mon regard dans le sien et s’embrassait innocemment sans se soucier du reste. J’avais aimé ce baiser ; peut-être trop. C’était la première fois que l’on me rendait service en m’embrassant sans que ce ne soit sexuelle ou en rapport avec une partie de jambe en l’air. Ce n’était qu’innocemment qu’elle m’avait un donné qui avait peut-être tout changé en moi. Le regard que j’avais sur elle était timide car il renfermait la crainte que j’avais d’elle oui, j’avais peur. Cette sensation que je ressentais et que je ne pouvais comprendre m’inquiétait plus qu’autre chose même si je paraissais quelque peu réservé contrairement à d’habitude. Je semblais timide et quiconque me connaissait ou connaissait ma réputation pouvait dire que ce n’était pas moi que ce n’était pas quelque chose d’habituel et que quelque chose se tramait derrière cela, mais quoi ? Moi-même je ne pouvais comprendre le comportement que j’avais actuellement avec elle ; Aislynn me faisait de l’effet c’était indéniable mais un effet que je ne pouvais comprendre. Les femmes sont un vrai mystère et l’homme n’est pas la bonne personne pour le déchiffrer, merde alors. Peut-être étais-ce le fait que l’on m’avait embrassé sans qu’il y a quelque chose derrière ; certes le baiser avait réveillé quelques envies en moi mais elle c’était comme si elle le faisait souvent ? Ou pas ?! Je ne la connaissais pas grandement et c’était peut-être ça qui me faisait défaut ; le manque d’informations. Tout paraissait illogique. Moi Charles-Édouard Castello était intimidée par une jolie blonde qui promettait de m’en faire voir de toutes les couleurs en parlant du service que je devais lui rendre au cas où dit-on. L’interrogation qu’elle me posait par la suite me laissait perplexe ; oui & non était une réponse qui devait convenir mais elle me verrait comme un gros pervers et tout ce qui s’ensuit. N’étais-ce pas ce que j’étais ? Si si. Mais pourquoi avais-je honte de cela avec elle ? Aucune idée.. mais je voulais lui plaire. Tout est difficile dans ma tête, pourquoi m’avait-elle embrassé ? Je ne comprenais pas et c’était sans doute pour m’aider à ne plus avoir de groupies mais j’en étais tout désarçonné et je n’étais pas habitué à un tel changement sur moi-même après un baiser d’une femme dont je n’avais même pas demandé à avoir et qui au fond même si je me plaignais m’avait grandement plu. Je ne me comprenais pas ; après Aurlanne ça passait à quelqu’un d’autre ? L’attachement était une maladie ? Le bouclier que je mettais en place pour me prémunir de ce genre d’émotions, de sentiments. Je me sentais mal à l’aise et la seule explication que je voyais était Aislynn ; elle me mettait dans tout mes états sans que je ne puisse comprendre quelque chose ; quel faiblesse de ma part. Ma fierté s’éveillait enfin lorsque j’eu enfin compris que j’étais faible encore et toujours face aux femmes et cette fierté que j’avais abaissé une seule fois devant une femme pour l’emmener au bal et faire mes excuses. Depuis ce jour là étais-ce devenu une habitude ? A part m’enfiler des femmes chaque nuit et même en journée j’avais oublié complètement le côté sentiments qu’elle pouvait avoir et je m’en étais fiché jusqu'à Aurlanne. J’avais tenté un renouveau avec elle pour oublier mon paternel du moins le mal que j’avais sur les mains même si au fond ça n’en était pas vraiment un. A présent je subissais au jour le jour. Mon regard dans le sien je devais apporter une réponse aux interrogations qu’elle me posait. Je ne savais toujours pas comment réagir et cette situation me gênait et m’énervait de plus en plus et tout ça parce qu’elle semblait trop me plaire. Il fallait que je fasse attention avec elle mais comment résister à la tentation alors que j’y fonçais toujours ? Ce baiser était le début de quelque chose ou bien je me faisais encore des films sur une romance qui ne me conviendrait jamais. Mais pourquoi je n’en étais pas sûr ? Raaah .. autant retenter alors ? Quel était-ce cette folie qui me venait à l’esprit ? Mais je ne pouvais rien contrôler ; alors qu’elle attendait ma réponse mon corps fit bon ce qui lui plaisait. Je me retrouvais donc à être devant elle alors qu’elle semblait plus ou moins surprise à cette nouvelle proximité ; ma main vint se poser sur sa taille alors que mon regard se faisait doux, indomptable et ardent. Un regard qui ne voulait pas lâcher la passion qui battait en moi car j’avais peur de ce qu’elle pouvait représenter. J’étais déjà excité par ce que je faisais il ne fallait pas rajouter le côté passionnée que je pouvais avoir. Mon autre main se posa sur sa joue remontant son visage vers le mien et la levant quelque peu vu sa petite taille alors que je me baissais un peu et posa enfin mes lèvres de nouveau sur les siennes. Ma langue vint de nouveau retrouver la sienne dans ce baiser tellement tendre que je ne me savais pas si doux ; mais la passion qui habitait en moi ne pouvait rester de marbre et je donnais à ce baiser plus de passion qu’il n’aurait du y en avoir. Je rompis brusquement le baiser dès que mes désirs grandissaient et je la regardais et elle avait l’air aussi surprise que je le fusse alors que j’avais été l’investigateur de cette folie.

« Hum.. désolé.. je voulais.. je voulais juste vérifier une chose. – Puis je reculais de nouveau l’air pensif mais avec un sourire sur les lèvres – Je vais parfaitement bien .. aussi. Et non du moins je ne me rappelles pas avoir eu des filles qui venaient me déchirer mes vêtements .. juste qui venait. – Des détails que je n’aurais sans doute pas du dire. – Encore désolé – Précisais-je ; même si j’avais le sourire et qu’au fond j’en étais content peut-être pensait-elle que j’avais juste eu l’envie de l’embrasser à mon tour ou un truc du genre. – »

Mon regard dans le sien je ne pouvais réprimer l’excitation de mon regard envers elle ; j’avais eu la réponse que je voulais à présent. Maintenant je devais laisser faire ce qui devait se faire même si j’en avais la trouille – au fond.
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyDim 12 Sep - 16:03

    Le merveilleux est dans l'instant. Une phrase qu'aimait dire la demoiselle. Elle aimait le sens de ces mots et de ce qu'ils voulaient dire. Ce soir, elle venait simplement rechercher ce qui lui appartenait. Mais il semblerait que le destin en avait décidé autrement. Comme s'il voulait chambouler les plans de la demoiselle. Il lui fallut qu'on lui mette un jeune homme sur son chemin. Néanmoins, ça allait un faire mois qu'elle avait décidé avec Joshua de faire cette pause. Il lui manquait et elle ne pouvait pas le nier. Elle l'avait dans la peau et leur histoire ne datait pas d'hier. Seulement les choses en avaient décidé autrement. Aislynn commençait une autre page et devait s'avouer que c'était loin d'être facile. Dans un sourire, un regard, les deux jeunes gens se rapprochèrent. Il se passa quelque chose entre eux. Je ne sais pas vraiment vous dire quoi. Mais il eut une sensation en elle quand elle s'avança de lui pour lui donner un baiser. Elle l'avait fait avec toute la volonté du monde et ne regrettait pas. Certes, elle savait qu'elle n'était pas la première à l'embrasser vu la réputation qu'il tenait derrière lui. Un homme a femme, le français au 785 conquêtes, peut être. De cette manière, la belle demoiselle savait aussi qu'elle ne serait certainement pas la dernière. Puis elle se poserait certainement beaucoup de questions. Est ce qu'elle embrassait si mal qu'il avait décidé de ne plus s'approcher d'une femme. Se serait loin de ce qu'elle imagine quand même. Puis après toutes ces années de bisous, la jeune femme n'a jamais eu aucun reproche sur sa façon de donner un baiser. Encore heureux, sinon elle n'aurait pas fait ce qu'elle venait de faire à Charles Edouard. Certains pourraient le trouver chanceux et d'autres diront que la demoiselle n'est pas vite gênée. Cependant, Aislynn s'en foutait pas mal de ce que pensait les gens. Sans même qu'elle pousse réagir, elle remarqua le rapprochement du beau brun. Il s'était une nouvelle fois avancé d'elle. Elle avait senti son souffle venir se coller contre sa peau. Une douceur et une saveur à en perdre la tête. Elle comprenait dès à présent pourquoi le jeune homme brisait des coeurs. Dans un instant si doux et passionné qu'il lui donna. Elle se laissa prendre au jeu, à ce second baiser. Plein de frissons et de sensations, elle intensifia le partage. Laissant allé sa langue contre celle de Charles, d'une manière si sensuelle qu'il pouvait en perdre la raison. Aislynn n'allait pas vous dire qu'elle ne le faisait pas exprès. Elle sait comment réagissent la plus part des hommes et ce qu'ils apprécient dans un baiser, un échange si précieux entre deux personnes. Ses lèvres accrochée à celle du jeune homme. Aislynn passa l'une de ses mains dans ses cheveux, le rapprochant encore plus d'elle. Jusqu'à ce qu'il s'en éloigne une deuxième fois, tracassé et étonné. Il avait l'air autre part. La jeune femme espérait qu'elle n'avait pas fait quelque chose de mal. Imaginez, elle l'aide et ensuite, il va s'empresser de raconter au monde entier que la présidente des iotas embrasse comme une débutante. « Hum.. désolé.. je voulais.. je voulais juste vérifier une chose. Je vais parfaitement bien .. aussi. Et non du moins je ne me rappelles pas avoir eu des filles qui venaient me déchirer mes vêtements .. juste qui venait. Encore désolé. » Souriante et étonnée, elle prit place sur un des bancs face au beau brun.

    Aislynn ne connaissait rien de lui et après cet instant, il avait réussi à éveiller sa curiosité. Il l'avait embrassé une seconde fois pour on ne sait quelle raison. Ce qui semblait mettre des points d'interrogations chez la blondinette. Elle ne put se retenir de dire : « Ah oui, vérifier quoi donc ? » Elle l'attira pas sa ceinture qu'il portait. L'amenant jusqu'à ses côtés et l'invita à venir prendre place près d'elle, la jeune femme ne voulait pas le voir partir après ça. Après cet échange et son parfum si enivrant. Elle remettrait à plus tard ce qu'elle avait prévu ce soir. Aislynn voulait rester ici et avec lui. Discuter de tout et de rien, juste parce qu'elle se sent bien à ce moment précis. Dans le regard de Charles, elle y voit quelque chose de particulier. Elle décide donc de mettre de côté ses ragots qui lui court sur le dos. Préférant faire sa propre analyse, elle aimerait en apprendre plus sur lui. « Ne sois pas désolé, on a tous notre jardin secret. Pour cette raison, je n'ai pas besoin de savoir pourquoi tu aimes collectionner les femmes. On a tous notre façon d'agir et elle découle des cicatrices que l'on a sur le coeur. » Etonnant, miss Woobleforth qui parlait comme si elle le connaissait depuis toujours. Elle avait décidé de ne pas lui coller l'image de mec sans sentiments. Il pouvait en être un mais la demoiselle savait qu'il y avait une raison à ce genre de comportement. A une époque, elle aussi collectionnait les relations et surtout celle qui durait qu'une seule et unique nuit. Se levant même au petites heures pour filer et ne laissant qu'un simple mot sur l'oreiller : Merci. Le temps avait changé quelque peu le comportement de la belle iota. Elle réfléchissait plus qu'avant et surtout aux conséquence que l'une de ses histoires pouvaient apporter. La belle blonde appréciait les hommes mais elle s'était limitée. Surtout depuis l'année passée quand elle avait découvert sa grossesse et qu'elle avait également perdu le bébé. Porté un enfant ce n'est pas chose facile. Mais le perdre alors qu'on commence à s'y habituer. Le pouvoir de donner la vie nous est retiré et on retombe plus que terre. Cette période avait été dure mais surtout il y a encore quelques mois quand toute l'université l'avait appris. Cela avait fait pas mal de pagaille, Joshua avait même douté sur sa fidélité. Heureusement il avait compris que cette histoire était vieille et que la jeune femme avait du y faire face, ne voulant pas prévenir le présumé père. Accordant une nouvelle fois, son attention sur le beau brun, elle ajouta : « Tu avais quoi de prévu ce soir ? »
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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyDim 12 Sep - 20:37

    L’amour avait été une chose que je m’étais il y encore peu ; longtemps refusé. A présent j’avais changé et je ne le comprenais pas encore. Je ne l’avais pas vu que j’avais changé mentalement et que ma personnalité aussi instable soit-elle avait tout aussi changé. Comme toujours je n’arrivais pas à mettre quelque chose de défini sur ce que je ressentais actuellement et je ne voulais pas m’en préoccuper pour l’instant. Le baiser était merveilleux mais je ne lui dirais pas ; elle n’avait pas a douté d’elle car il n’y avait vraiment pas de quoi. Ma réputation me précédait et je pensais que peut-être elle voulait se payer du bon temps en ma compagnie comme toute celle que j’embrassais et qui finirait par faire l’amour avec moi. Mais qui sait peut-être que ça ne se passerait pas comme ça, je n’ai jamais supposé qu’elle était comme les autres mais je n’ai jamais supposé qu’elle ne l’était pas. Mon regard se perdait dans le sien et même si nous étions encore debout je n’en avais même pas conscience jusqu'à que je me serve de mon corps pour aller contre le sien et lui donnait un baiser auquel elle répondrait bien plus passionnément que je ne l’aurais fait. Fa n’était plus un baiser que je lui donnais mais ça devenait notre baiser ; un baiser qui était venu juste par l’envie mais dont l’envie avait allumé le désir qui avait embrasé la passion. Je lui avais donné un second baiser qui avait apporté autant de réponses qu’ils avaient soulevés de nouvelles questions mais tout était ainsi dans la vie à chaque fois que l’on avait une réponse d’autres questions s’éveillaient dans un cercle infini d’interrogations. Mon regard se posait de nouveau sur le sien alors que je sentais ces mains glisser de mon torse à ma nuque et mes cheveux et je ressentis un léger frissonnement de ma part à ce nouveau contact mais je savais que j’étais un gourmand et pour une fois je laissais la raison prendre place en moi et je reculais doucement pour quitter ces lèvres ; savourant avec plaisir la réaction sur son visage. Elle semblait presque déçue et cela avait le don de conforter mon égo. Je ne voulais pas dire grand-chose mais je le dis quand même alors qu’elle allait me répondre je pouvais lire les changements qui se faisaient en moi pour une fois. La cadence de mon cœur qui avait augmenté à son contact, mes pensées qui avaient voulu jouer de la raison alors que je n’avais qu’une envie de faire plus qu’un simple baiser mais je ne voulais pas semble t-il l’ajouter à mon palmarès du moins pour l’instant. Elle me plaisait c’était sûr mais peut-être qu’elle était différente des autres. Je voyais dans son regard la joie de vivre qui manquait à ma vie ; elle ne semblait pas se prendre la tête avec des milliers de choses et je l’enviais pour cela. Ce n’était pas de l’admiration ; ni du désir mais je voulais juste voir si elle valait la peine que je m’y intéresse vraiment. Sa première interrogation m’arrachait de mes pensées et de l’analyse que je me faisais de moi-même suite à ce baiser que j’avais testé. J’avais voulu vérifier une chose et cette chose avait été vérifiée. Elle embrassée bien. C’était un fait indéniable. Mais ce n’était pas vraiment la réponse qu’elle apprécierait et je ne voulais pas garder le suspens longtemps ; pour une fois j’allais être directe et je ne cacherais rien de mes envies et de mes doutes envers elle. Je ne la connaissais presque pas et elle avait réussi à mettre en moi des sentiments de renouveau que je n’avais connu que pendant l’été et avec une seule personne. Je ne savais pas si j’avais réellement envie de retenter le coup ou pas mais je verrais par la suite ce que je devrais faire ou pas et quelle décision prendre. « Je voulais vérifier si a travers un baiser que je recevais ou que je te donnais je pourrais réellement envisager quelque chose avec toi. J’ai envie tout simplement de te connaître Aislynn. » Voilà qui était direct ; et la réaction que m’offrait son visage juste après cela me décocha un sourire tendre et rieur sans pour autant être moqueur. Je soutenais son regard en cillant peu ; son regard était beau et je l’aimais déjà beaucoup. Je ne comprenais pas comment un simple regard pouvait être aussi attachant surtout en l’alliant avec la beauté qu’elle avait. Elle était de petite taille et c’était ce qui faisait son charme, je ne pouvais y résister et elle m’attirait encore plus comme telle. Après la réponse que je lui avais offerte je me sentis tirer par la ceinture ; le désir et l’excitation qu’elle me donnait à cet instant pouvait éveiller mon envie sexuel mais je serais raisonnable et je ne changerais pas d’avis sur ce point là. Mon regard brillait par le peu de désir qu’elle avait réveillé en moi et qui sommeillait encore et toujours sous la raison que j’exerçais sur eux pour garder mon calme. Elle m’assit près d’elle et je ne bougeais pas ; bloquant encore et toujours mon regard dans le sien alors qu’elle me disait de belles choses ; elle semblait m’avoir percé à jour. Mais je n’étais pas Joshua et je voyais pleinement le tableau, elle pensa peut-être que j’étais comme lui mais non. Peut-être à moitié en faite. Je ne savais pas quoi répondre mais je ne voulais peut-être pas trop en dire sur moi. Mais j’avais si bien commencé par être direct que ce serait dommage si je commençais à avoir peur de quelques déclarations. Pour la première fois je ne cacherais rien à une fille ; pourquoi Elle ? Pourquoi pas ? Voilà la question qu’il fallait se poser et y répondre en testant ce que l’on hésitait à faire ! Peut-être que je commençais à vivre réellement ; peut-être. « Je t’avoue que je n’ai qu’une cicatrice sur mon cœur et je pense que je me la suis causé moi-même. Peut-être que je couche à droites et à gauches pour l’oublier ou bien parce que je ne peux pas me décrocher de ce style de vie ; je ne sais pas vraiment quoi penser de moi. Donc je ne change pas mes habitudes et j’attends une chose que n’attends pas. » Serait-elle cette chose ? Celle qui semblait comme les autres mais qui pouvait être complètement différente ? Elle n’était pas inconnue à Berkeley et donc je pouvais savoir ce que les ragots disaient sur elle ; mais comme toujours je ne me fiais jamais à ces ragots. Je laissais toujours ce regard se faire ; cette atmosphère qui peu à peu s’enlisait entre nous. Je ne voulais pas me hâter dans ce que je pensais mais pour une fois que j’avais tenté quelque chose de nouveau je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin et si ma franchise posait des problèmes je saurais comment réagir la prochaine fois. J’étais peut-être timide par moment et j’étais au fond très sensible lorsqu’il s’agissait de m’ouvrir véritablement aux autres. J’avais ouvert mon cœur a Aislynn et j’espérais qu’elle serait assez compréhensible pour ne pas faire de bêtises avec et me comprendre comme j’espérais la comprendre. Elle me posait une nouvelle interrogation alors que j’allais entreprendre un nouveau voyage vers mes pensées qu’elle avait su couper avec précision et je rattachais mon attention sur sa petite personne qui me rendait si excité et si vivant ! Je me sentais si vivant encore mieux que si j’avais fait l’amour avec une fille. Cette drogue ne me suffisait plus ; étais-ce pour cela que je couchais à droite & à gauche ? Pour me sentir vivant ? Une découverte de plus sur moi-même. Rester avec elle toute la nuit ici ne me dérangeait pas ; peut-être que j’avais quelque chose à faire ou pas : je ne m’en souvenais plus et je m’en souviendrais plus tard. Elle était la principale actrice de mon attention et je ne voulais rien faire d’autre à part rester ici, dans cet amphithéâtre, avec elle. Je répondis donc « Ce soir .. je ne sais pas vraiment mais si je ne m’en rappelles pas c’est que ce n’était pas important. Tu peux considérer que je suis libre.. et toi je supposes que tu l’es aussi ou bien je me trompes et je devrais rentrer tout penaud chez moi ? » Un sourire destiné à la faire craquer se dessina sur mon visage alors que mes yeux montraient que je m’amusais à être triste ; vivant ! Qui l’aurait cru.
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MessageSujet: Re: Le merveilleux est dans l'instant. Le merveilleux est dans l'instant. EmptyMar 14 Sep - 12:05

    Il était étrange et mystérieux à la fois. Charles était loin de ce qu'elle avait imaginé avec toutes ces histoires. Le destin les avait réuni pour une raison qui leur était inconnue. Qu'importe ce qui les avait mené jusqu'ici, maintenant, était à eux de voir et d'apprécier ce qui pouvait se passer. Un baiser, un touché, si apprécié. Aislynn n'y était pas allé par quatre chemins quand il s'agissait de faire fuir une fan du beau brun. Depuis qu'elle était comme seule au monde, sans Joshua, ce delta avec qui elle a partagé tant de choses. La jeune femme se tracassait peu de ce qu'elle faisait et s'en foutait largement de ce que les gens pouvaient penser. Certains auraient été contents d'apprendre que le couple avait décidé de mettre une pause entre eux, dans leur coeur et leur quotidien. D'autres seraient plus tracassé pour le moral et la reprise de la vie, seul de leur proche. La belle blonde avait cessé de se poser toutes ces questions qui l'avaient si torturé pendant de longue et infinie nuit. Dans un silence, elle avait appris à prendre les devants. Ainsi, elle continuait à vivre mais gardait secrètement et précieusement une place dans son coeur, sa tête pour cette histoire qu'elle trouvait inachevée.

    Sauf que ce soir, elle n'y pensait plus. Il faut se l'avouer, Aislynn était charmée par le jeune français. Il avait tout pour plaire et tout le monde pourrait le dire. Il est loin d'être un vilain garçon. Cependant, elle ne montrait rien et décida de ne pas être fonceuse au point de le complimenter directement. Ce genre de comportement appartenait à l'ancienne miss Woobleforth. Une nouvelle facette de la cherleaders s'était installée en elle et c'était pas plus mal comme ça. Elle avait quand même pas réfléchi à deux fois quand il lui avait demandé de l'aider. Néanmoins cela semblait lui avoir plu, vu la suite des évènements. En pleine discussion, il s'était rapproché de la jeune femme. Il avait supprimé l'espace qui les séparait. S'avançant d'elle d'une façon bien déterminée, il l'avait embrassé. Aislynn ne l'avait pas repoussé, bien au contraire, elle avait prolongé ce baiser à sa façon. Elle avait senti une certaine alchimie dans leurs touchés, leur façon de s'embrasser. Coupant court à leur instant, ils reprirent leurs esprits. Même si selon elle, Charles avait l'air un peu déboussolé. Elle l'attira vers ce banc d'une façon particulière qui pouvait faire croire plusieurs choses. Comme si un jeu de séduction s'était installé tout naturellement. Aislynn comptait pourquoi pas passer la soirée, ici à discuter. Elle voulait elle - même percer le mystérieux Charles - Édouard. C'était une bonne chose si elle y passait la nuit, parce qu'il se pourrait que les choses ne soient pas si faciles. Pour cette raison, elle avait engagé une conversation plutôt directe et franche. Mais elle doit avoué que le jeune homme l'avait surpris en répondant si sincèrement. « Je voulais vérifier si a travers un baiser que je recevais ou que je te donnais je pourrais réellement envisager quelque chose avec toi. J’ai envie tout simplement de te connaître Aislynn. » Alors là, elle avait un peu du mal à capter ou peut être que c'était dit si facilement qu'elle avait le sentiment bizarre que ces paroles étaient vraies. La jeune femme avait seulement un léger doute, peut être qu'elle ne pensait pas comme lui. Seulement, selon elle, c'était une sorte d'avance et de compliment. Cela faisait quelques minutes qu'ils étaient ensemble et il envisageait quelque chose. La demoiselle en fit de même et ne pouvait pas rester muette ou encore ignorer cette phrase. « Je t'ai fait si bonne impression que tu penses déjà à tout cela.. ? » ajoutant à cette réponse, un sourire assez malicieux et charmeur. La conversation continuait de plus belle et la belle blonde s'engageait sérieusement à savoir ce qui l'amenait à courir après toutes ces femmes, à ne pas se satisfaire d'une seule. Peut être était - il trop gourmand.. Ou alors, il était le genre de gars qui se lasse facilement d'une demoiselle. Compliqué la gente masculine, je ne vous le fait pas dire ! Étonnamment, le beau brun se laissa confié un petit peu et d'une façon si naturelle. « Je t’avoue que je n’ai qu’une cicatrice sur mon cœur et je pense que je me la suis causé moi-même. Peut-être que je couche à droites et à gauches pour l’oublier ou bien parce que je ne peux pas me décrocher de ce style de vie ; je ne sais pas vraiment quoi penser de moi. Donc je ne change pas mes habitudes et j’attends une chose que n’attends pas. » Il s'était donc habitué à ce style de vie. Au point d'avoir peur de changer quoi que se soit parce qu'on ne sait jamais de quoi sera fait demain.. Mais pour Aislynn ce n'était pas une solution. La vie ne se résume pas qu'à cela. Il faut savoir prendre les rênes et avancer même si c'est vers l'inconnu et que ça nous terrifie. La vie est trop courte pour se laisser vivre par peur de ne pas être assez fort pour changer de chemin. Elle ne pouvait pas rester silencieuse face à cela. La jeune femme aussi, à une époque, c'était abonnée aux histoires sans sentiments et parfois sans lendemain. Elle ne voulait pas s'attacher à une seule personne et voir tout ce qu'elle avait misé sur lui, perdu. Comme une partie de poker, l'amour pouvait être vrai mais l'autre pourrait également choisir l'option bluff. Une crainte, une peur qui nous nourrit jour après jour sans même qu'on soit assez fort pour se défendre à main nue. « Tu te l'es causé ? et tu regrettes ? Il ne faut pas rester là, spectateur de ta vie. Ce n'est pas la meilleure chose à faire pour en profiter pleinement. Mais je ne comprends pas, tu attends donc quelque chose pour changer tout ça.. » Questionneuse, la belle blonde essayait donc de comprendre.

    Un regard échangé et la jeune femme était captivée par le ténébreux. Il devait en avoir brisé des coeurs, pensa - t - elle pendant un moment d'égarement. « Ce soir .. je ne sais pas vraiment mais si je ne m’en rappelles pas c’est que ce n’était pas important. Tu peux considérer que je suis libre.. et toi je supposes que tu l’es aussi ou bien je me trompes et je devrais rentrer tout penaud chez moi ? » Leur conversation avançait et les deux jeunes gens semblaient capturé pour l'instant. Un moment simple et apaisant qui change des dernières soirées de la capitaine des iotas. Ce soir, elle ne savait plus si elle avait quelque chose de prévu mais décida de libéré sa soirée pour continuer ici, dans amphithéâtre. « On peut rester ici, le temps qu'il faudra. J'ai toute la nuit. » Un regard, un sourire, elle tourna son visage vers le sien et déposa un court instant sa main sur celle de Charles, histoire de le captiver, qu'il la regarde. Les regards s'échangèrent et les propos aussi, la nuit promettait d'être longue et passionnante.
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