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flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé.

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MessageSujet: flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. EmptyMar 15 Mai - 14:58


T’es vraiment con quand tu t’y mets.

La règle du jeu était de ne rien changer, et ce que l’on pouvait appeler taquinerie lorsqu’on était gamin devait à présent s’appeler perversion. cameron & manon



2017 ;; six mars. La veille. « Cameron, il faut que tu prennes le premier avion pour New-York, une styliste a besoin de toi demain matin à la première heure. Je m’occupe de réserver ton vol et une chambre d’hôtel ». Willow, ma pseudo secrétaire raccrocha à peine eu-je le temps de confirmer ses dires. Et c’était reparti pour un voyage de quelques jours. Résidant actuellement avec Indianna, ma petite amie, je reposai mon cellulaire sur le bar américain ornant dans notre cuisine, avant de me diriger vers notre chambre. Il était clair que la jeune femme n’allait pas être des plus ravies que je me fasse la malle une nouvelle fois, mais boulot oblige, aucun autre choix que celui d’accepter l’offre qui m’était offerte. C’était ça être traducteur, des voyages à travers le monde pour assister à toute sorte de réunion et être un remake de bras droit. Sans moi, beaucoup de réunions ne se feraient pas. Je maitrisais les langues comme peu y parvenaient. Je pouvais me vanter d’être des plus polyvalent, maitrisant l’anglais, le français, l’espagnol, l’italien parfaitement. Je possédais aussi de bonnes bases de chinois. Une ou deux formations de quelques mois en Chine allaient être programmées, pour me parfaire davantage dans l’apprentissage de cette langue, non des plus simplistes à apprendre. Je saisissai ma valise trônant au pied de mon dressing que j’ouvrai en grand. Mes premiers vêtements furent enfournés lorsque j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Indianna rentrait de sa journée de travail. Indianna qui n’allait pas être contente que je parte d’ici une heure à peine. Je soupirai d’avance aux remontrances de ma petite amie, continuant de préparer ce qi allait me servir d’affaires une fois sur place. Il ne fallu pas longtemps pour que ma jolie blonde vienne me rejoindre. « Cameron ? Qu’est-ce que tu fais ? » me questionna-t-elle, s’arrêtant à mes côtés. Je me retournai vers elle et vit l’incompréhension passer dans son regard. Avec une petite pointe de déception. Et oui ma belle, c’est ça être adulte, avoir un job, se plier à ses exigences et contraintes, sans se plaindre. « Je fais ma valise, ça se voit non ». Bouh Cameron n’aime pas les questions stupides, alors Cameron devient froid et hautain. Cameron n’est pas gentil, mais en même temps, il n’a jamais clamé qu’il l’était. Je restai concentré sur l’élaboration de mon bagage, pour être certain de ne rien omettre. « T’es pas obligé de me parle comme ça tu sais ». Je ne répondis rien à la remarque d’Indianna, feignant l’indifférence. Je connaissais ces supplications par cœur. Je n’étais jamais présent, toujours en voyage d’affaire à l’autre bout du monde, ce n’était pas une vie de couple ça et blablabla. Effectivement, ce train de vie ne se mariait pas avec ce qu’on appelait vie de couple, famille et j’en passais et des meilleurs. Mais c’était ma vie, ma came, ma passion. Non, je ne deviendrais pas un gentil mari, travaillant dans l’entreprise du beau-père avec deux enfants et un chien. Ma vie, je l’aimais comme cela, et je n’en changerai pour rien au monde. « T’avais promis d’être là ce week end Cam. On devait partir tous les deux quelques jours, tu te rappelles ». Evidemment que je m’en rappelais, c’était moi qui m’était occupé de toutes les réservations. Well, une réservation, ça s’annulait, don’t worry. « Ecoute, j’ai pas le choix d’accord. Je ne peux pas me permettre de refuser les contrats qu’on m’offre. Ils m’attendent demain matin à la première heure, so, j’y serais. Et pour notre week end, je vais l’annuler, on partira le week d’après ». Je vis la déception s’inscrire sur le visage de ma petite amie. Bon, moi non plus ça ne m’amusait pas de la planter comme ça toute seule chez nous alors que j’étais rentré seulement quelques jours plus tôt. Mais business is business. Je relâchai la chemise que je tenais entre mes paumes, dans ma valise, avant de m’approcher d’Indianna. Je la pris par la taille, cherchant son regard qui visiblement cherchait à me fuir. « Je suis désolé chérie, je t’assure que si je pouvais faire autrement, je resterai avec toi » tentai-je de la rassurer. Oui bon, je n’avais pas été des plus sympas avec elle, autant m’excuser avant que je ne parte. Je lui déposai un baiser sur les lèvres, avant de lui sourire. Si son sourire s’étirait à son tour, c’est que j’avais gagné. Mais au lieu de ça, Indianna m’embrassa à nouveau avant de passer sa main sur ma joue. Puis je la vis s’éloigner, sans un mot. Bon, moi, j’avais une valise à bouler et un avion à prendre. Direction New-York pour de nouvelles aventures. Oh Cameron, tu n’en as pas idées. « Adri, demain soir je passe chez toi, histoire qu’on se fasse une bouffe pendant que je suis de passage à New-York ». Mots enregistrés sur le répondeur de mon frère, mes pas se pressèrent, foulant d’une démarche assurée le sol de l’aéroport. Bagages enregistrés, fouille au corps passée, je pouvais dès à présent, prendre place à bord de l’avion qui allait m’amener à mon lieu de rendez-vous. J’allais pouvoir bénéficier des meilleurs soins en première classe et me laisser choir des heures durant. NY, I’m coming.

Le lendemain. Sept heures. La sonnerie stridente de mon cellulaire me tira de mes rêveries, dans lequel mon sommeil trouvait son répit. Mais ledit répit s’avérait à présent ébranlé et complètement décimé. L’heure était à la préparation pour ce rendez-vous professionnel, dont je n’avais pratiquement aucunes informations au demeurant. Personne ne m’avait mentionné le nom de cette fameuse styliste pour laquelle je me devais de revêtir mon meilleur accent chinois. L’angoisse, quelques heures avant enfoui et oubliée dans un coin de mon cerveau, ressurgissait doucement. Certes je maitrisais le chinois, mais il me restait quelques lacunes à combler, dont j’espérais qu’elles ne se verraient pas aujourd’hui. M’étirant une dernière fois, dans l’espoir de dégourdir complètement mes membres encore quelques peu ensuqués de sommeil, je me levai ensuite d’un bond, repoussant au loin mes couvertures. Assis au bord de mon lit, je me frottai les paupières et le visage, d’un geste vif, achevant mon réveil. Puis ce fut direction la douche. Savonné, rincé, une serviette m’encerclait la taille, tandis que je jettai un œil à mon reflet dans le miroir ornant la salle de bain. Je passai négligemment une main dans mes cheveux ébouriffés, marque de fabrique de Cameron Nathen Jonas Adams-Eynsford. J’en profitai pour me raser, historie d’être un minimum présentable avant d’aller enfiler ma chemise et mon costume, tenue corrige exigée pour mon travail. De plus les chinois avaient pour réputation d’être très pointilleux sur l’apparence, il me fallait d’être tirés à quatre épingles pour faire bonne impression. Ma dernière mission fut de tenter de coiffer ce qui me servait de tignasse. Et ça, ce n’était pas de la tarte. Je fis de mon mieux. Une fois habillé, coiffé, parfumé, chaussé, j’avalai en deux temps, trois mouvements un café avant de filer. Deuxième chose que détestaient les chinois, le retard. Huit heures moins dix, je débarquai dans les locaux de mon rendez-vous, lieu que m’avais indiqué Willow, qui s’occupait de gérer mes rendez-vous et mes clients. « Bonjour, Je suis monsieur Eynsford, je suis le traducteur pour le rendez-vous de huit heures » m’annonçai-je poliment à la secrétaire présente sur ces lieux, des plus mignonnes qui plus est. « Mademoiselle Petrov-Versier vous attend au première étage, dernière porte à droite ». Petrov-Versier ? Plait-il ? Je restai quelques secondes estomaqués, avant de sourire à la jeune femme et de m’éloigner vers l’ascenseur. Petrov-Versier, dites-moi que c’est un cauchemar et que je ne vais pas devoir travailler pour cette peste de Manon Petrov-Versier, accessoirement petite amie de mon cher frère. J’allais le découvrir très vite, arrivant devant la salle qui allait surement servir de lieu de réunion. Je toquai poliment avant d’ouvrir la porte et d’entrer dans la salle, pour tomber sur.. Manon, qui relevait les yeux vers moi, apparemment aussi surprise que moi. Great. « Manon ? C’est une blague ? Non parce que si Adriel se croit drôle, mon frère a définitivement un humour de merde » pestai-je, tandis que nous n’étions que tous les deux dans la pièce. « En même temps, New-York, jeune styliste, j’aurai du faire le lien ». Je me maudissai. Comment n’avais-je pas pu m’apercevoir de la supercherie. D’ordinaire, Willow m’indiquai toujours le nom de mes clients, et cette fois-ci elle avait omis de le faire. Volontairement ou non, je n’en avais pas encore la certitude. Mais ce n’était que partie remise. « La prochaine fois je me renseignerai plus sur la personne qui me demande, avant d’accepter sans réfléchir. Seigneur, qu’ai-je fais pour mériter ça ». Limite, j’avais envie de me barrer en courant. Mais professionnalisme oblige, je me devais de faire bonne figure. « Alors comment vas-tu chère belle-sœur ? ». J’appuyai bien sur le belle-sœur, sarcastique. Dieu qu’on allait s’amuser.
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MessageSujet: Re: flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. EmptyDim 27 Mai - 22:09


❝ Ladies do not start fights but they can finish them ❞

Levée aux aurores, j’avais préférée quitter l’immense appartement que je partageais désormais avec mon Adriel, le laissant paisiblement dormir dans les bras de Morphée tandis que je gesticulai dans tous les sens telle une hystérique. Pour cause, cette journée s’annonçait être un nouveau tremplin, une nouvelle opportunité pour ma petite personne : la marque Petrov-Versier prenait place à travers le monde et je touchais du bout de mon doigts fin la Chine. L’Empire chinois se déplaçait afin de concrétiser un accord entre nos deux mondes. Comme la légende le disait si bien, le monde de la mode avait le don de réunir les gens par leur passion commune. Manon Petrov-Versier se retrouverait entourée de yeux bridés d’ici quelques heures qui l’aurait cru ? Préparée comme jamais, j’avais pris soin de regarder Mulan des dizaines de fois, obligeant mon Eynsford-Baxter à en faire de même. Attaquons l’exercice pour défaire les Huns, m’ont-il donné leur fils, je n’en vois pas un. Merci pour les références. Parée à toutes les éventualités, une liste contentant les choses à ne pas faire se dressa dans ma tête : ne pas rire de l’accent des chinois, ni de leurs yeux bridés et encore moins de leurs expressions ying yang. Seigneur, cette journée s’annonçait longue et pesante pour l’emmerdeuse professionnelle que j’étais. Sois gentille, l’avenir de tes créations repose entièrement sur tes épaules Manon. Uniquement sur mes épaules puisque ma très chère assistante Gisèle s’octroya le luxe de me laisser un mot à l’encre rose ( une de mes exigences parmi tant d’autres ) concernant sa nouvelle trouvaille : le nouveau dieu de la traduction, qu’elle l’avait même surnommé. Fort bien, j’espère que ta trouvaille sera la bonne, autant pour moi que pour ta future carrière. Quoi qu’avec un prénom comme le sien, son futur semblait déjà tout tracé. Ricanant telle une diablesse, comblée par sa remarque, je tapotai sur mon iphone 4S dont la face arrière contenait des centaines de cristaux roses Swarovski, un numéro que je connaissais sur le bout des doigts depuis plusieurs années maintenant. C’est cela, mets-moi donc en attente Pelizza Da Volpedo, tu me le payeras. Emboitant le pas, je décidai de me rendre dans l’immense salle où se tiendrait LA réunion de ma vie , désirant briefer moi-même le traducteur afin que les choses soient claires et faites à ma façon. A la façon Petrov-Versier. Aucune réponse de la part de mon italien préféré, je décidai de lui laisser un message, quitte à patienter autant honorer sa messagerie vocale de la plus belle des voix. « Gusgus, j’ai une soudaine envie de pâtes carbonnara. Rendez-vous à treize heure dans mon restaurant italien préféré. Non tu ne peux pas décliner l’invitation à moins que tu ne décides de cuisiner toi-même pour ta Petrov-Versier. Non, c’est bien ce qu’il me semblait. See you. »
See you, t’as pas le choix, fin de la conversation. Satisfaite de ma petite personne ainsi que de mon futur repas, je quittai des yeux la baie vitrée jurant avoir entendu des pas s’avançant vers moi. Oh tiens le chouchou de Gisèle, il était temps. Tout sourire, je m’apprêtai à accueillir l’homme de la situation comme il se doit après tout, je n’avais pas eu à apprendre le chinois en une nuit grâce à lui. Prête à le remercier, mon sourire s’estompa à la vue de …. Cameron Adams-Eynsford. Seigneur que le monde me tombe sur la tête, là maintenant de suite. Tout sauf lui. Je le fixai intensément le temps de quelques secondes, temps de réflexion dirons-nous, voulant être certaine sur l’identité de l’individu se tenant droit devant moi. Aucun doute là-dessus, mon avenir reposait sur les épaules de l’ancien roi des gamma. Inspire, expire, tu taperas ton scandale plus tard Petrov-Versier. Aussi surpris l’un que l’autre, monsieur ouvrit les hostilités, comme un air de déjà vu, un retour soudain dans le passé aucunement prémédité. « Est-ce que j’ai l’air de rire Cameron ? » ripostai-je, blasée comme jamais. Mes prunelles rencontrèrent le ciel tandis que mon sourire s’effaça à la seconde où ce formidable et aimable jeune homme ouvrit la bouche. Une blague, si seulement. « J’en conviens, moi qui le trouvais plutôt marrant ces derniers temps. » ô mon Adriel prêt à regarder le disney mulan en ma compagnie, prêt à manger chinois – presque- tous les jours, la cuisine n’étant pas un de mes forts. Le Eynsford-Baxter à sa Petrov-Versier mais aussi à son Cameron. Comme si le fait d’être relié par une personne ne suffisait pas, nous allions devoir collaborer ensemble. J’aurais du faire le lien qu’il dit, il est un peu trop tard pour ça. Merci, toujours fidèle à toi-même sombre idiot. « Oui, tu aurais du ! » pestais-je d’un coup l’interrompant même dans sa réplique. A en croire les événements, je commençais doucement et sérieusement à douter de ton intelligence, un QI supérieur à la moyenne, vraiment ? Et le voilà, confirmant mes hypothèse, le Cameron il ne sait pas réfléchir. « Sans réfléchir, ben voyons pourquoi cela ne m’étonne même pas de toi ?!» constatai-je, agacée par ses réflexions aucunement réfléchies et dont je me passerai bien. Tu te tais, tu fais ton boulot et tu le fais bien sinon c’est la fin de ta vie. Point à la ligne, inutile de déblatérer davantage. « C’est bon t’as fini de geindre ? Tu veux peut-être un mouchoir en tissus ? » lançai-je d’un air hautain et agacée à la fois, j’avais la nette impression de me retrouver face à un gamin de dix ans et je détestais ça. Je détestais me dire que ce Cameron détenait la clé de ma réussite, je détestais tout simplement devoir compter sur lui. Soupirant bruyamment, je l’écoutai une énième fois répliquer une de ces phrases futiles et sans aucun intérêt. C’est cela, prends tes grands airs avec moi et tu finiras par passer au dessus de la fenêtre, la tête la première. Néanmoins, en Petrov-Versier qui se respecte je ne pouvais rester là debout l’entendre pester à mon égard. Toujours avoir le dernier mot, toujours. « Je vais bien et toi mon cher beau-frère préféré ? » Mon regard croisant et soutenant le sien, j’avais fait exprès de reprendre la même phrase ainsi que la même intonation que notre Cameron nationale. Soupirant une nouvelle fois, je constatai que mon comportement semblait aussi puéril que le sien à mon grand désespoir. J’avais grandi depuis notre dernière rencontre, mon monde ne tournait plus autour de notre guerre lancée il y a de cela quelques années maintenant. Le temps m’était désormais compté et les gamineries n’entraient pas dans mon emploi du temps de ministre. Mais puisque le destin t’a gentiment envoyé à moi, autant continuer sur notre lancée mon magnifique beau frère .« Maintenant on fait quoi ? On se prend les mains et on fait une petite ronde en attendant que les invités daignent prendre place ? » Autrement dit : LOL. T’es bien marrant Cameron mais tu repasseras. Le scrutant de bas en haut, prête à émettre une critique sur tout ce qui pouvait se rapprocher de près ou de loin à son existence, je constatai que monsieur ne semblait guère être vêtu comme un malpropre. Tiens, du changement vestimentaire chez le Adams-Eynsford, que dieu bénisse les chinois. « Pas mal. » murmurai-je, le complimentant sur sa tenue. Premier compliment de la part de la Petrov-Versier, garde le bien au chaud car ce genre de chose ne se produit que très rarement. Me rapprochant davantage, intriguée par sa chemise dont je remontai le col, plus classe et plus sexy comme ça le Cameron sans évidemment lui demander son autorisation, quelque chose me chiffonna. Pas contente la Manon, pas contente. « Par contre, tu apprendras que lorsque l’on travaille pour une styliste de renom, on s’habille avec les vêtements qu’elle crée. Question de principe. » Je haussai les épaules, dépitée par son erreur monumentale, constatant qu’il n’avait pas pioché chez la meilleure des créatrices. Quand bien même son ignorance concernant ma présence demeurait une excuse, le fait d’être un Eynsford et ne pas se vêtir en Petrov-Versier était impardonnable. Au bûcher le Cameron, au bûcher comme les sorcières de Salem. « Excusez-moi de vous déranger, ils arrivent d’ici quelques minutes. » ô Gisèle telle une princesse sur son cheval blanc arriva au bon moment avant que l’apocalypse ne s’abatte sur la tête de son crapaud dont elle était prête à tout afin de préserver sa vie. End of the story. Respirant un grand coup, je décidai de remettre les pendules à l’heure, à l’instant où ces personnes passeraient le seuil de la porte nous n’étions plus les Manon et Cameron anciens étudiants de Berkeley se détestant mais bel et bien deux professionnelles du travail prêts à tout pour réussir dans leur domaine.« Rassure-moi tu ne comptes pas crier yatta dès leur arrivée hein? » regard inquisiteur au possible, je connaissais fort bien le spécimen même si j’avais passé la plupart de mon temps à l’éviter. Tiens toi bien, rentre ton ventre, ne crie pas yatta et maman sera contente. « Ready, Hiro Nakamura ? » Mission du jour : sauve la collection Petrov-Versier, sauve le monde Cameron.
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MessageSujet: Re: flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. EmptyMar 12 Juin - 22:02

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MessageSujet: Re: flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. flashforward ;; qui qui concasse de la coco ? je suis sous le choc, moi qui pensais que tu consommais que du thé. Empty

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