Géniaux. non, je parlais pas des cocktails que servaient le bar mais bien des sous vêtements d'Acideen.. En la bousculant par mégarde, j'avais pu apprécier les jolis morceaux de tissus qui cachaient les parties intimes de la belle présidente des sampi. De toute façon, quoi qu'il arrive, j'aurais fini par les voir ces jolis sous vêtements. Et je les aurais même enlevé avec les dents. Acideen devait en rêver autant que moi, je la connaissais bien tout de même. Acideen, c'était ma première histoire sans lendemain, juste un coup d'un soir. La suite ne fut pas très marrante pour moi qui n'était pas encore un habitué de cette coutume, car la demoiselle était partie juste après qu'on ait fait l'amour, sans demander son reste. C'était avant qu'elle m'explique comme ces nuits étaient plus faciles. Elle avait raison en fait. Ouais, c'est ça. Bonne. Beaucoup trop osé pour moi ? Mademoiselle Lindgren semble avoir oublié qui je suis. Elle se mit sur la pointe des pieds, pour arriver à ma hauteur et me faire la bise. Pas besoin d'aller chercher, j'avais déja mon coup du soir. Merci le destin, encore une fois tu ne me décois pas l'ami. Tu me cherches Greenlee ? Tout compte fait, tu me connais assez bien, et tu sais quel sera ma réaction ma belle. Moi je n'ai pas besoin de te faire boire pour qu'on aille plus loin ma belle Acideen. Mais si tu souhaites plus d'un verre, ce n'est évidemment pas moi qui t'empêchera de boire. J'accompagnais la belle libertine jusqu'au bar, tout en posant une main sur le bas de son dos, non loin de son joli postérieur. Ca n'avait pas l'air de la déranger, au contraire. Elle commanda la spécialité du bar, je la suivais dans son choix. J'étais plus absorbé par son décolleté que par la boisson à vrai dire, il fallait l'avouer.

Alors, dit moi, qu’Est-ce qui t’es arrivé pour que tu vienne ici ? Je pensais que Oxford te plaisait ? Hum, je sais il y’en avait aucune qui m’arrivais à la cheville et pour cette raisons tu t’es dit que venir aux Etats-Unis pour te payer la meilleure partie de jambe en l’air que tu n’es jamais connus, ça valait la peine de tout quitter ! Je te comprend en faite.
La première chose qui m'ait fait venir, c'est le fait que ma petite soeur vienne ici. Non, je joue pas le rôle du grand frère protecteur... Puis, j'aime beaucoup les states, donc c'étit bien. Puis, Oxford c'est sympa mais c'est pas San Fransisco. C'est bien ici. Y'a de belles filles en plus. Genre, toi par exemple.

La flatterie. Le meilleur ami de l'homme qui a envie de mettre une fille dans son lit. Même si je n'avais pas forcèment besoin de ça pour mettre mademoiselle Lindgren dans le mien. Et mettre une fille dans son lit sans même la courtiser, je trouvais que c'était un peu comme de la triche. Donc soit. Des filles comme Acideen, j'en connaissais très peu. Des filles qui n'hésitent pas, dans un lieu public, à vous faire assidûment du pied et à poser sa main si haut sur votre cuisse. Je connaissais bon nombre de bitchs. Dont certaines carrément hardcores. Mais elles n'arrivaient pour la plupart, pas à la cheville d'Acideen. Elle était provocante mais avec tout de même un certain tact, un certain raffinement. Ne t'inquiètes pas, chaque chose en son temps. Pas mal de gens regardaient ma conquête de ce soir de haut en bas, intrigués peut être par le fait de voir une femme si entreprenante. Un problème dude ? Non ? Ben casse toi. Si je n'étais pas un minimum poli, ce serait ce qui pourrait sortir de ma bouche. Acideen savait comme moi que cette soirée terminerait dans un lit, le sien ou le mien, ou bien ailleurs. Mais elle savait que l'on finirait l'un dans l'autre; sans vouloir être cru... Elle avait envie de me chauffer avant qu'on décide d'aller plus loin. Je passais ma main sur sa jambe, à peu près aussi haut que sa main était sur ma cuisse, tout en approchant mon visage pour l'embrasser dans le cou et lui murmurer à l'oreille. Peut être que l'on pourrait aller boire un verre dans un endroit plus... intime, non ?

Allez ma belle, t'en meurs d'envie.

Mademoiselle Acideen Greenlee Lindgren et la délicatesse dans les propos, cela faisait bien deux. Être fine dans ses sous entendus ? Elle n'en voyait pas l'intérêt. A vrai dire, moi non plus. Quel intérêt à se cacher à coups de métaphores une réalité. Nous allions finir dans le même lit ce soir, inévitablement. Ca ne nous déplaisait pas, au contraire. Acideen avait envie de moi et moi j'avais envie d'elle. On ne le disait pas ainsi, mais les regards échangés et les sous entendus plus que lourds rendaient le sexe entre nous ce soir une évidence. Elle avait l'oeil, c'est assez discrétement que j'avais regardé son décolleté, mais il était vrai que c'était très impoli de ne pas regarder une femme dans les yeux, shame on me. Elle s'était approché de moi pour me le dire à l'oreille, gentille demoiselle qui ne tentait pas de faire un scandale pour me charrier, comme on avait déja pu me faire.
Au pire, j'étais pas facilement gêné donc ca ne me faisait ni chaud ni froid. En l'imitant, approchant ma bouche de son oreille, tout en mordillant légérement le lobe de celle ci.Excuse moi ma belle, je me rappelais juste au bon souvenir de cette partie de ton corps. Mais, te regarder dans les yeux me plait tout autant. Buvant mon verre, toujours vissé sur mon siège, je regardais Acideen. Les jolis yeux de la belle me scrutaient, j'éspèrais qu'elle aimait ce qu'elle voyait au moins. Une chevelure parfaite, une bouche qu'à cet instant, je ne désirais qu'embrasser. Tout cela ajoutés à des courbes parfaites. En clair, Acideen était plus qu'une belle femme; c'était une femme magnifique. Une femme magnifique qui méritait bien de faire un petit tour dans mon lit, évidemment. Evidemment qu'Aurlanne avait besoin de moi. Petit, je m'étais toujours occupé d'elle. Je ne vois pas pourquoi cela changerait. Elle avait beau avoir un peu plus de vingt et un ans maintenant, elle serait toujours ma petite soeur. La femme de ma vie, comme j'aimais à le penser,c 'était elle, évidemment. Tu ne sais pas à quel point. Si, Acideen, je sais à quel point me revoir te fait plaisir. Même si ce qui te fait le plus plaisir, je le sais, c'est que tu sais déja qu'on fera un moins une fois le tour du propriétaire chez toi. Le tour de la propriétaire aussi. Je pense pas qu'une fille comme toi, ca existe vraiment tu sais Acideen. Et je pense que j'ai une certaine petite idée d'à quel point du est contente de me revoir. Mais, j'imagine que tu me montreras plus tard à quel point cela t'enchante. Elle avait dit cette phrase en se mordant la lèvre inférieure, de cette façon hot qu'aimait faire les jolies femmes comme elles, ce geste qui fait une proposition sexuelle sans même avoir besoin de dire un seul mot. Le sexe, il y a pas à dire, Acideen connait toutes les facettes du sexe. Ce qu'il y a avant, pendant et après. Je ne pensais pas évidemment qu'elle était une fille facile, ou une bitch, mais elle savait s'amuser, et le sexe faisait partie de la belle vie qu'elle menait. Et que je menais aussi, bien sur. Et qu'on mènerait ce soir, en duo. Allez Acideen, la main qui se balade sur la cuisse, tu es assez intelligente pour savoir ce que ca veut dire. Ca veut dire, on va chez toi ma belle. Un habitué des one night ? Bingo. Tu m'as percé à jour Acideen. Mais bon, je pense pas que c'est toi que ca va gêner. Par contre, ma belle Acideen, si tu avait oublié mon prénom, il fallait me le dire. Pas que cela me gêne qu'on m'appelle par mon nom de famille mais j'aime autant mon prénom. Keyllan. Ne l'oublie, tu vas le crier plus tard. tout cela dit avec un petit regard pervers, éxagéré au maximum. Elle était maintenant debout, le plus proche possible de moi et avec une main sur mon torse. Il était temps de quitter ce bar ma jolie Acideen. Je prenais sa main et l'emmenais vers la route, où j'appelais un taxi. Je préférais ne pas conduire après avoir bu ces verres, ce serait trop horrible que deux personnes aussi sexys meurent ce soir dans un tragique accident. Mais, en fait Acideen, tu habites où ? dis je en riant.

Evidemment que tu n'as rien oublié ma jolie. Il y a autant de chances que tu oublies notre mémorable partie de jambes en l'air à Oxford que moi. Et je peux te dire que je m'en souviens très bien ma belle. Et tu peux être sur que mon entrejambe s'en souvient parfaitement aussi. Sa main attrapé par la mienne, je l'emmenais vers un taxi pour aller chez elle. J'aimais autant aller chez elle, je pourrais partir quand j'en aurais envie et elle savait que ce n'était pas contre elle. Aller dans la maison de confrèrie, c'était passer devant tous les deltas et j'aimais autant pas. Ils sont bien gentils, mais j'aimais autant qu'ils aient pas à compter mon nombre de conquêtes. Et puis, chez Acideen, on serait à l'abri des regards des étudiants de Berkeley. Aucun ennui d'une autre conquête ne viendrait jusqu'à moi. La combine parfaite. Un taxi s'arrêta rapidement et on y rentra directement. Acideen indiqua au chauffeur la rue où il devait aller, avant de de se reconcentrer sur moi. Blotti contre moi, elle m'embrassait dans le cou. Elle me fit aussi remarquer que le pervers de chauffeur en profitait bien; ce qui me fit rire. J'en avais rien à foutre, sans gêne ok ? Elle se mit à califourchon, continuant toujours à m'embrasser, aux yeux et à la face du monde. En chuchotant, elle me suggéra qu'il fallait bien donner du spectacle à ce pauvre homme, ce qui me fit sourire. J'imagine que c'est notre devoir. Elle attrapa ma tête et m'embrassa fougueusement, aussi fougueusement que dansait ensemble nos lèvres. Elle se décida à défaire les boutons de ma chemise, avant d'embrasser mon torse musclé. Ouais, j'étais fier des abdominaux et des pectoraux qui étaient les miens. Ô superficialité qui m'entraîne dans des songes narcissiques. La magnifique sampi, ne lachant pas mon torse de ses baisers, défit dans le même temps, ma ceinture ainsi que les boutons de mon jean. Elle réattrappa mes lèvres avec les siennes, laissant aussi sa main glisser sur mon torse jusqu'à atteindre mon caleçon; jusqu'à ce que le chauffeur pervers nous arrête. Nous étions arrivés, Bayview District. Basterd, il aurait pu faire un tour pour nous laisser faire une petite affaire vite fait avant le grand bal du sexe chez elle. Je sortais un billet de cinquante dollars pour le chauffeur, avant de sortir du taxi, complétement débraillé, suivant Acideen. L'averse au dessus de San Fransisco nous était passé complétement inapercu tant l'excitation et la tension sexuelle étaient fortes dans le taxi. J'embrassais Acideen tandis qu'elle cherchait ses clés dans son sac. Nous étions trempés jusqu'aux os, mais ce n'est pas ce qui empêchait ma main de se trouver sur le joli postérieur de mademoiselle Lindgren. Elle semblait soucieuse, apparemment, elle trouvait pas ses clés. Elle s'énervait et déballait complétement son sac par terre. Quelques instants plus tard, elle se releva et s'appuya sur la porte. Pas de clés, nous sommes à la porte. Moi la détester parce qu'elle avait perdu ses clés ? Non, ca m'était arrivé tant de fois que je ne les comptais plus. La nuit s'arrêter là ? Franchement, ma jolie, ma magnifique Acideen, tu crois quand même pas à ce que tu viens de dire. Allez, un petit sourire et tu verras que tu pourras pas résister, et qu'on le fera, quel que soit l'endroit. Ouais, mon sourire est à tomber à la renverse, mais la situation est drôle; donc on pouffa de rire en même temps. Elle se décida à m'attraper par le col, m'approchant d'elle pour l'embrasser. Evidemment qu'on allait le faire Acideen, ca me dérange pas la pluie. Et oui, c'est d'autant plus excitant, par contre, on risque de réveiller les voisins. Tant pis. Ses lèvres contre les miennes; je me décidais à la plaquer contre la porte, tandis que sa main se baladait dans mon caleçon, sentant ainsi mon sexe grossir sous ses doigts. J'embrassais la présidente de la confrérie sampi, avant d'attraper la jambe de la belle laissant celle ci toucher ma hanche droite. J'embrassais le cou de la belle, tandis que ma main gauche touchait la poitrine d'Acideen. La belle frissonait tandis que mes lèvres descendirent jusqu'au décolleté de la miss. Allez, il était temps de passer aux choses sérieuses. Je soulevais la robe moulante d'Acideen, et mes mains expertes firent descendre le morceau de tissu séparant encore nos deux corps. Une fois que celui ci se retrouva par terre, c'est mon caleçon que je ne tardais pas à descendre. Après un nouveau langoureux baiser, mon sexe put infiltrer l'intimité d'Acideen, lui faisant lacher un léger soupir de plaisir. Elle me laissait le pouvoir pour le moment, et je ne me fis pas prier. Mes mouvements de va-et-vient étaient simultanés à de légers petits cris de la belle. J'accélérais légérement les mouvements, tandis que ses soupirs s'intensifiaient. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer entre moi et Acideen, et ils allaient durer un long moment. Mes mains sur ses fesses alors que les siennes s'accrochaient à mon cou, les mouvements de va-et-vient se voulaient lents pour faire durer la nuit et le plaisir entre nous.