the great escape
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Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ...

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MessageSujet: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyVen 2 Mar - 15:58




    Une soirée comme les autres ? Et bien non pas du tout, le genre de soirée que l’on aime mais avant de vous en parler je préfère laisser un peu de suspens. D’habitude quand Andrea sort des cours il traine un peu puis se préparer à aller à la salle de sport. Pas ce soir, non ce soir un numéro inconnu l’appel. Contrairement à d’habitude ou Andrea ne décroche jamais quand on cache son numéro, cette fois si il décroche. Une voix très familière au téléphone. C’était Lina la belle brésilienne qu’il connait depuis un bout de temps. Sait elle qu’elle vient de perdre ses deux cousines dans la fusillade de Berkeley ? Très certainement parce que la voix de la jeune femme n’est pas la même que d’habitude. Beaucoup moins d’assurance dans la voix, une voie tremblante autant dire une Lina qui ne va pas bien. Une Lina qu’il aimerait fort contre lui, une Lina qu’il voudrait consoler.
    Vous ne faites jamais ça avec une amie à vous. Et bien quand vous la connaissait depuis si longtemps, que vous l’appréciez autant que ça, la sentir mal et bien sa vous met mal. Que faire ? Un Andrea pas en panique mais presque, s’asseillant sur son lit il se mit à réfléchir. La jeune femme est de retour en Amérique, de retour à Berkeley et pour le moment se trouve à l’hôtel. Il n’en sait pas plus à part qu’elle aimerait bien qu’il vienne. Bien sur qu’il va venir, hors de question de la laisser seul pour son retour en Amérique.

    Le jeune homme eut une petite idée, il faut changer les idées de la jeune femme. Andrea se met donc en mode beau gosse se soir, il va tout faire pour la faire rire, changer les idées puis aussi pourquoi pas lui proposer de venir vivre chez lui ou à coté. Oui vivre dans un hôtel toute seule ne convient pas au jeune homme. Qu’elle vienne dans l’appartement qu’il possède à San Francisco, elle sera surement plus tranquille et aura de la compagnie au moins le temps qu’elle se remette de tout ça.
    19 heures, on se lave, on s’habille. Simple mais bien, sobre mais classe. Le jeune homme prend ensuite une bouteille de vin qu’il enroule et met dans un papier direction son sac. Maintenant direction le garage et après le choix de la coiffure, le choix des chaussures, des bijoux arrive le choix de la voiture. Il se demande même comment les gens qui n’ont pas d’argent arrivent en retard. Avoir plusieurs voiture prend du temps pour choisir mais quand on en a qu’une on gagne bien 10 minutes. Oui c’est ça dix minutes le temps qu’il choisisse de prendre ça Bugatti Veyron qui soit dit en passant et dans le top dix des voitures les plus chère du monde (un petit cadeau de papa pour ses 21 ans). Direction le Palace Hôtel.

    Dix minutes de routes un peu de monde sur la route, impossible donc de tirer plein potentiel de la voiture et surtout du moteur qu’elle cache. Enfin arrivé devant l’hôtel, il y a tout de même beaucoup de voiture et surtout beaucoup de monde. Quelques questions arrivent dans la tête du beau blond. Questions qui s’envolent toutes quand il arriva devant le voiturier. Des flashes crépité de partout, il sortir son sac à la main. Les paparazzis criaient « Andrea par là », « Andrea par ci ». Quand un se mit à crier « Il a une bague de fiançailles, il a une bague de fiançailles ». Des questions fusèrent donc de tous les sens, le mariage c’est pour quand et tout ça. Andrea cette fois ci n’avait pas totalement le sourire aux lèvres. Pourquoi ? Pour énormément de raison, la première c’est qu’il n’aimait pas du tout les paparazzis, lui avait été élevé dans un monde de riche mais loin des médias et tout ça. Ensuite il savait qu’ils étaient tous la pour Lina son amie, que toute erreur qu’il ferrait serait reproché à la belle. Voilà pourquoi il n’avait pas envoyé une droite, voilà pourquoi il n’était pas déjà dans le tas entrain de distribuer des bons d’achats pour l’hôpital. Puis le dernier et surement le plus important, Andrea avec une bague, serait à la une des journaux. Heureusement des journaux Américains mais voilà si sa mère tombait sur un il serait mort. Si Ais, la fille qu’il essaie de conquérir tombé sur un il serait mort. Non pas qu’elle ne savait pas pour le fait qu’il été marié, mais elle ne sait pas pour le fait qu’il est pour une bonne partie de l’Amérique en couple avec Lina Kaïcey Nickson…
    Enfin arrivé dans l’hôtel le jeune homme retrouva le sourire. Il n’y avait pas de paparazzi et même si tout le monde le regardait il était plutôt à l’aise. Il prit l’ascenseur direction la chambre de Lina, il imaginait déjà la chambre qu’elle avait du prendre. Quelque chose de grand, avec une énorme salle de bain. N’oublions pas qu’en plus d’être une star c’est l’ancienne présidente des Beta, une fille qui surplombe tout le monde !

      Il toqua donc à la porte et se mit à dire.


    Service d’étage ou vous ramène des serviettes !
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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyMar 6 Mar - 21:37


LINA&ANDREA

    J'étais de retour. Encore un retour, et beaucoup aurait pu dire que je devais être habitué maintenant ! Néanmoins ce n'était jamais les mêmes raisons qui me poussait à partit et redevenir et à chaque retour, j'avais l'impression d'avoir évolué encore plus, d'avoir changé, d'avoir appris, d'avoir grandit. Non, je n'étais pas habituée car chaque fois était unique et je devais bien dire que là, dans cette chambre d'hotel, tout me semblait différent cette fois-ci. Depuis mon dernier départ, mon père était décédé, j'avais découvert que la famille Hermès-Cador avait la même mère qui m'avait abandonné petite lorsque l'entreprise de mon père avait coulé. J'avais vécu encore nombre de relations mais c'était peut-être la seule chose qui semblait être resté intact ! Mon surnom s'était même catapultée dans la popularité de Berkeley. La croqueuse d'hommes qu'on m'appelait. J'en rigolais, peut-être que cela donnerait un jour à un scénariste l'envie d'écrire un film de ce genre où je pourrais jouer le premier rôle ! Car oui, depuis mon dernier départ, j'avais accédé à une plus grande célébrité encore. C'était marrant de voir comment le destin pouvait changer pour vous. J'avais débuté pauvre, vraiment très pauvre, je ne pouvais payer mes études et devais m'abaisser à de basses besognes pour obtenir l'argent dont j'avais besoin. Et ensuite, lorsque j'avais pris mon année sabatique pour faire le tour du monde, c'est là que tout avait changé. Découverte pour le mannequinat, j'étais devenue une égérie. En avant la fortune. Mais ce coup du destin, je ne pensais pas qu'il se renouvellerait. Et pourtant, j'étais encore plus fortunée maintenant que tout ce que j'aurais pu imaginer ! Cette fois, pas d'escapade dans les pays qui m'étaient étrangers. Non, tout le contraire, je n'avais pas bourlingué dans les endroits les plus pauvres du monde mais j'avais plutôt touché la richesse d'encore un peu plus près. Actrice, mannequin, tout m'avait réussit. Mais ce n'était pas ce que je voulais faire. C'était juste que je ne savais pas quoi faire de ma vie et que tout ce qui me permettait de me montrer la voie, je prenais. Alors j'acceptais cette célébrité car je ne savais quoi faire d'autre et que tous ces passages dans ma vie m'amènerait irréfutablement vers mon destin. Néanmoins j'avais commencé à prendre des drogues et m'étais découvert un grand talent pour la peinture lorsque les substances faisaient effet. Voyant beaucoup plus que les autres, aimant analyser ceux qui se trouvaient à ma porter d'un simple regard, j'avais l'impression que le monde s'offrait à moi pour que je le pose d'une toute nouvelle manière sur une toile. La mort de mes cousines avait été ce qui m'avait poussé à revenir. La vie était bien trop courte pour que je m'éternise à faire maintes et maintes détours dans ma vie comme je le faisais. Alors j'étais revenue et vivais au palace hotel en attendant de m'acheter la villa de mes rêves, ce genre de maison que je n'aurais jamais imaginé pouvoir acheter. Assise dans cette chambre, j'entendais les bruits des photographes qui se pressaient à l'entrée. N'en avaient-ils pas marre ? J'avouais que moi non. A faute de ne pas vouloir devenir une star pour le reste de ma vie, j'avouais que ce petit monde m'aimait et je l'aimais par la même occasion même si cela ne resterait pas durable. J'eus un sourire lorsque j'entendis toquer à la porte. Mon dieu Andrea et moi allions en faire jazer plus d'un ! Mais je m'étais habituée à faire semblant, à divulguer de fausses rumeurs etc. Promotion mes amis et puis, cela m'amusais bien de savoir ce que les gens écrivaient sur moi ! Je me regarda dans la glace. Merde, tee-shirt vriller, mini short, de la peinture sur la joue, les cheveux à demi-ébouriffés, j'avais bien l'impression que les drogues ne faisaient plus effet et que je constatais que dans ma somnolence, j'avais eu une envie de me jeter sur une toile. Je tourna mon regard vers celle-ci et la même imagine que je peignais depuis la mort des filles apparu. Une arme pointée sur deux silhouette qui s'en allait au loin, au creux de couleurs sombres et sans espoir. Je pris la toile et la jeta dans la poubelle puis alla ouvrir avec un sourire. Hum ... Je ne savais pas que le service d'étage était aussi canon sinon je crois que je me serais installé ici ! Je lui fis mine de rentrer n'étant pas géner le moins du monde par ma tenue afriolante. Que diable, je n'avais pas que ça à penser et puis Andrea avait été le seul à me suivre dans mes aventures. Autant dire qu'il devait en rendre jaloux plus d'un ! Je m'approcha à quelques centimêtres de lui avec un sourire et passa mes bras autour de son cou. Alors mon bel amant, on embrasse pas sa chère et tendre ? J'eus un sourire, j'aimais l'embêter là-dessus mais j'avouais que cela ne m'aurait pas dérangé outre mesure !
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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyJeu 8 Mar - 18:38




    Passer de l’ombre à la lumière, découvrir une nouvelle famille. Perdre des proches, voilà tout ce que la belle Lina avait du endurer. Oui le mot endurer était bel et bien le bon. Ok elle avait réussit, elle était connue, elle passait à la télé. Mais à coté de ça que lui était il arrivé ? Et bien elle avait perdu son père, appris qu’elle avait une autre famille et surtout elle avait perdu ses deux cousines. Voilà surement pourquoi elle était de retour à nouveau dans cette université qu’elle avait déjà fréquenté deux fois auparavant. Autant dire qu’elle et Drea n’aurait jamais du s’entendre. Une vie totalement différente, lui avait toujours eut cet argent après lequel elle courait, lui n’avait jamais voulut être dans la lumière, lui ne voulait pas qu’on le traite différemment des autres, il voulait surtout qu’on le laisse tranquille lui et ses particularité. Hyper actif, surdoué on avait toujours tout fait pour le mettre dans une case, ses parents eux avaient fait l’inverse. Résultat Andrea était un mec discret et extravagant à la fois, un gars calme et fou. Il avait tout en lui et c’était souvent ce qui faisait son charme.
    Dieu avait décidé de lui donner une belle gueule, une gueule d’ange caché derrière cette crinière quasiment blonde et ses yeux clairs. Le sport lui avait permis de se faire un corps de rêve le genre de corps qui fait rever les demoiselles. Il avait tout pour plaire, peut être qu’il lui manquait juste un petit truc. Vous savez le petit plus de confiance en soit qui fait de vous un dragueur hors père. Qui fait de lui celui qui attaque et qui ne se prend jamais de râteau. Non il n’était pas timide, non il n’était pas coincé. Bien au contraire, juste qu’il n’était pas volage contrairement à tous ceux de son âge. Lui préférait les vraies relations, ou plutôt essayer les vraies relations. Tandis que les autres jeunes eux ne cherchaient que des relations d’un soir, des plans cul comme on les appels tous. Aujourd’hui il avait fait son trou, tout le monde le connaissait mais tout le monde ne savait pas tout sur lui, personne ne savait qu’il était hyper actif, qu’il allait bientôt mourir, qu’il était surdoué.

    Oui mais Lina était de retour. Vu le fait qu’ils se connaissent depuis longtemps, qu’il l’accompagne souvent sur les podiums. Aux yeux de la presse il était son petit ami, un statut qui ne l’avait jamais déranger. Elle passait pour une femme calme et posée, lui allait dans beaucoup de soirée faire la fête. Il était aux bras de cette magnifique plante et ils étaient de très bons amis. Oui mais ce qu’il n’avait pas vu venir, c’est qu’il y aurait des articles. Qu’il y aurait des articles sur se nouveau couple. Qui à l’écran passe bien, qui à l’air de ne jamais avoir un seul accro. L’amour fou comme pouvait le titré certains articles. Amour fou qui arriva aux oreilles de la famille bien Italienne d’Andrea. Il fut donc obligé de présenté Lina comme étant son amie, sa petite amie. Sa mère était heureuse, elle l’adorait, elle la prenait même pour sa belle fille idéale. Mentir à sa mère ne lui avait bien sur pas fait plaisir. Mais allez faire comprendre à votre mère que vous faites sa uniquement pour rendre service, elle ne comprendrait pas. La famille mise sur le coté et surtout heureuse de cette idylle ils avaient continué.
    Le retour de la belle brune avait déchainé les médias. Andrea était lui laissé tranquille, jusqu’à que sa maladie soit mise en première page. C’était hier, il était encore très énervé, tout le monde était maintenant au courant. Il ne passerait jamais la 40 aine, un secret pourtant bien gardé qu’un de ses médecins avait du vendre à pris d’or. Ses parents étaient au courant, sa sœur aussi, sa famille en général l’était mais le reste du monde ne le savait pas. Il se doutait bien qu’on lui en causerait certainement deux mots très prochainement mais ça il ne voulait pas y penser. Oui il pensait déjà à la prochaine une, vous savez celle avec lui et une bague de fiançailles. Tout se petit manège dans lequel il c’était embarqué le faisait moyennement rire, surtout que là sa mère crisserait.

      Installé ici ? Plutôt crever, quel hôtel minable il ne fait que 5 étoiles c’est ça ?

    Dit-il avec un faux air embourgeoisé. Elle n’avait pas changé, toujours la même. La même que celle qu’il avait vu le mois dernier lors d’une soirée. Sauf que là elle n’avait pas forcement l’air dans son état. Elle avait peint, elle en avait les marques. Il la connaissait parfaitement, quand elle peint la belle se drogue, puis ensuite c’est la redescente. Il ne comprenait pas pourquoi tout ses excès même si le décès de ses cousines en était très surement l’explication.
    Passant son bras autour de la taille de Lina il lui dit.

      Oula on a passé un stade ma belle, tu es fiancé avec moi.

    Dit-il en levant la main droite. Il ne supportait pas tout ça, mais bon il savait que sa plaisait énormément à Lina. Il ne pouvait pas arrêter de la fréquenter surtout depuis qu’elle avait eut tous ses décès. Il lui fallait donc être là pour elle et bien sur faire semblant pour les médias. Il savait que ça allait loin, si il n’y avait pas eut sa mère, Ais et sa vie en général il s’en moquerait. Parader avec une belle plante fait toujours plaisir, surtout quand cette belle plante en plus d’être magnifique et riche, célèbre et qu’elle est toujours sur la même longueur d’onde que vous…

      Je vais juste me faire assassiner par ma mère, mais les journalistes pense qu’on est fiancé. J’ai été mitraillé de question. Tu sais comme j’aime ça.

    Dit-il avec un faux air, très peu convainquant.
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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyDim 11 Mar - 18:51


LINA&ANDREA

    J'avais mis du temps à comprendre que je ne pouvais rester seule longtemps. La solitude, ça avait quelque chose de bon mais pas tous les jours. Il était vrai que j'avais eu besoin d'être seule plus qu'à n'importe quel autre moment après la mort de mon père et bien que j'étais entouré de beaucoup de photographes, de producteurs, j'avais bel et bien l'impression de voir les hens, les choses tourner autour de moi mais que pourtant, j'étais seule et que je vivais dans ma petite bulle sans que rien ne puisse réellement y pénétrer. Et puis j'avais eu besoin de quelqu'un dans le milieu. J'avais pensé à Andrea et c'était venu de là. Il avait suffit qu'on se revoit pour qu'alors tout le monde nous fasse passer pour un vrai couple alors qu'il n'en était pourtant rien. Bon, il avait pu arriver que nous nous cherchions mais je savais qu'à Berkeley, il avait ses histoires avec certaines filles et je respectais ça bien que je n'aimais pas qu'on me résiste. Après tout, il connaissait parfaitement ma réputation à Berkeley, la croqueuse d'hommes ! J'avais deja fait parlé de moi à maintes reprises alors en plus en devenant une star je n'imaginais pas comme les gens allaient jaser sur moi une fois mon retour prononcée et officielle ! Qu'importe, je commençais à avoir l'habitude. C'est ce que la célébrité faisait endurer et si j'acceptais c'était parce que j'avais l'habitude tout simplement. Après tout, Berkeley était vraiment un bon entrainement. Effectivement, les ragots et potins y allaient bon train au moment où je m'y trouvais encore et il fallait savoir supporter ces dires pour pouvoir vraiment se sentir parfaitement comme chez soit là-bas. Alors des comérages étalés dans les journaux, pourquoi pas, après tout, je m'en fichais bien du moment que ma vie n'était pas révélée en plein jour. Effectivement, c'était peut-être de ça dont j'avais vraiment peur. Que mon passé soit révélé, que tout ce qui était pour moi personnel vienne s'étaler sur les premières pages des magasines comme cela avait pu être nombre de fois le cas pour plusieurs stars que je connaissais maintenant pour avoir partager la vedette dans un film. Voila pourquoi j'évitais que les médias s'intéresse trop près à mon passé. Andrea était arrivé au bon moment et les journalistes ne s'intéressait alors pour l'instant qu'à notre fameuse relation qui n'avait pas lieu. Et même si la plupart des médias étaient sûrement au courant, ils étaient là pour vendre leur paperasse après tout ! Tout ce que le public pouvait croire, ils l'écriraient ! Je connaissais bien assez ce milieu pour dire que souvent, on était très loin de la réalité ! J'eus un sourire en regardant Andrea. Pour l'instant il m'aidait à l'éloigner les ragots qui auraient pu être émis sur mon passé. Je lui en étais reconnaissante mais lui ne savait pas cette raison. Il pensait sûrement que cela me faisait rire, que ce n'était qu'un jeu. Sa l'était mais c'était aussi beaucoup plus que ça ! Un jour il l'apprendrait et serait heureux d'avoir fait semblant pour m'aider. Pour l'instant, je restais dans le vague et jouais le jeu. Enfin, il se moqua de l'hotel dans lequel nous nous trouvions et j'haussa un sourcil. C'est vrai que les chambres de Berkeley sont nettement plus luxueuses hein ! Andrea ne dormait peut-être pas à l'université néanmoins je savais que cela pouvait lui arriver d'y rester pour dormir en compagnie d'amis ou de jolies filles car oui, il fallait le dire, Andrea était un tombeur né. Un tombeur qui aimait chambrer apparemment et manque de veine, j'étais aussi joueuse qui lui là-dessus ! Au même moment où il me montrait une bague à son doigt j'écarquilla de grands yeux surpris et ,tint sa main comme pour essayer de réaliser que mon faux petit ami était promis à une autre. Tu déconnes Andrea ! C'est quoi ça ? Un canular car si c'est ça c'est pas drôle ! Mais voyant sa mine un peu plus sérieuse, je compris qu'il n'y avait pas de quoi rire sur la situation et j'eus un sourire en reculant légèrement. Là t'as touché le fond, me voila en plus une femme mariée ! Tu gères pas, comment je vais pouvoir faire tomber les hommes si ils savent que maintenant je suis totalement prise ? J'eus un sourire et me servit un verre en lui en proposant un... J'aurais bien pris autre chose néanmoins je savais qu'il n'était pas d'accord mais mes nouvelles habitudes. Nous n'en avions encore pas parlé. Les drogues et tout ça n'était pas vraiment une discussion vraiment courantes et je préférais me taire à ce sujet jusqu'à ce qu'un jour, je ne puisse plus...
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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptySam 17 Mar - 13:08




    Une sensation spéciale voir même bizarre a expliqué. Comment se sentir seul alors que l’on est toujours très entouré. Et bien c’est simple, quand vous avez de l’argent, ou quand vous êtes célèbre (si c’est les deux c’est encore mieux). Vous avez une tonne de personne qui tourne autour de vous, ne vous lâchant pas d’une semelle, se faisant passer pour des amis. Mais étrangement votre cœur, votre corps comprend très vite que se ne sont que des parasites, des choses qui sont installé sur vous et qui ne demande qu’une chose, vous voir tomber pour danser sur votre tombe. Violent à dire mais tellement vrai. Andrea avait vécu ça un minimum quand il était enfant, mais en grandissant, en n’ayant pas forcement cette attitude de fils de riche et même de riche tout simplement il avait réussit à attirer vers lui des amis, des vrais. On pouvait les comptes sur les doigts des mains c’est sur, mais qui peu se vanter d’avoir énormément d’amis ? De vrais amis, ceux sur qui vous pouvez compter. Andrea lui en voyait beaucoup et bien sur Lina en faisait partie. Voilà pourquoi quand ils étaient passé pour un couple dans les journaux il n’avait jamais rien dit. Voilà pourquoi il avait même joué le jeu devant sa mère. Sur ce coup là c’est elle qui l’avait aidé, c’était comme ça ils se rendaient de petits services.
    De l’attirance ? Vous dire que du coté d’Andrea il n’y en a jamais eut serrait mentir, c’est un homme, elle est une magnifique femme vous avez donc compris. Mais voilà il avait toujours pris un malin plaisir à lui résister, à ne jamais succomber à la tentation qui tournait autour de l’aura de la jeune femme. Il la savait croqueuse d’homme, elle le pensait croqueur de femme et pourtant elle se trompait pas mal. Andrea jeune homme droit dans ses botes plus fan des couples que des coups d’un soir. Bien sur quand on regarde sa main et la bague qui s’y trouve on se dit qu’un homme marié à 20 ans c’est un homme très sérieux peut être même fou. Mais ce mariage n’est pas totalement un vrai, c’est simplement une petite erreur de parcours de la part du jeune homme. Jeune homme qui bien que pas adepte des coups d’un soir en fait parfois usage. Jeune homme qui tellement sensible à l’alcool fait pas mal de connerie quand il en boit. Se mariage en était un, il y en avait d’autre. Heureusement comme le dit Lina que le fait que les médias s’intéresse ou couple si glamour et si parfait qu’il forme sans jamais s’intéresser au passé. Sinon voilà ils arriveraient à déterrerai toutes les erreurs du jeune homme et là se serait le drame. Kidnapping d’enfant en pensant que c’était une adoption, prison au Mexique mais aussi en Angleterre, mariage à Las Vegas. J’en passe et des meilleurs, on pourrait presque réussir à faire passer Andrea l’ange pour un vrai petit démon.

    N’allez pas croire que le jeune homme qui se présente debout dans la chambre de la jeune femme et un bisounours ou un bénit oui-oui. Bien au contraire il est juste normal. Gentil avec les gens qui le mérite et surement très odieux avec ceux qu’il a dans le nez. Car oui quand tout va bien c’est le paradis, mais si quelque chose se passe mal c’est le début de l’enfer. Pour le moment sa vie était un peu des deux, le paradis avec ce qu’il vivait avec Aislynn, ou plutôt ce qu’il espérait vivre avec elle. L’enfer avec ce qu’il y avait autour (un enfer tout simple), marié avec une femme qu’il ne connait pas tellement mais qui pourrait rendre jalouse Ais. En couple sur les journaux avec une bombe et un petit ami jaloux de s’être fait piquer son amie. Autant dire que la vie d’Andrea est loin d’être plate contrairement à ce que pense sa mère. Oui mentir à maman De Rossi était devenu quelque chose de normal, un moyen de la préserver. Surtout de ne pas la voir débarquer ici en Amérique pour étrangler Andrea, tuer Cassandra et tout ce qui gravite autour.
    Quand la jeune femme parla de la chambre universitaire de Berkeley il se mit à rire. Lui qui avait un loft immense en pleine ville, ce qui lui fit penser à quelque chose.

      Ni voit aucune proposition là dedans. Mais sa fait un bail qu’on ce n’est pas vu, te voir comme ça dans une chambre d’hôtel me fait pas pitié mais presque.

    Dit-il en se moquant d’elle. Il le savait la pitié était bien la chose qu’elle ne voulait pas créer chez les gens. Elle voulait être le centre du monde, mais avec Andrea tout ça ne marchait pas. Il voyait la vraie Lina, cette fille qu’il appréciait. Enfin il pense la connaitre…

      Donc en attendant que tu trouves un appartement digne de toi si tu veux j’ai 8 chambres de libres dans l’appartement, tu pourrais venir. Attention hors de question que tu scouate mon lit, petit vilaine.

    Quand elle vu son bras elle fut surprise. Un peu choqué est ce que c’est pour ce qui allait sortir dans les journaux ou tout simplement d’apprendre son ami marié. Il en savait rien, parce que oui il la voyait tellement fan des journaux, tellement à fond dans la popularité. Qu’il ne savait pas ce qui passait avant, les amis ou les journaux. Bien sur il la mettait dans l’embarras, mais lui c’était mit dans l’embarras à cause d’elle. Il était fiancé aux yeux des médias, donc aux yeux de sa mère aussi…

      Sa me fait autant chié que toi. Surtout que ma mère va lire les journaux et tu la connais, elle va en faire des tonnes.

    Lina connaissait sa mère pour l’avoir rencontré deux ou trois fois.

      Mais t’inquiètes pas les hommes aiment les femmes marié, alors que les femmes arrivent pas à sortir avec un mec qui est soit disant en couple avec une femme qu’elle trouve plus belle qu’elle.

    Quand elle lui tendit le verre il le sentit avant, il y avait de l’alcool dedans il la regarda et lui demanda.

      Tu n’aurais pas quelque chose sans alcool s’il te plait !

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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyMar 20 Mar - 21:09


LINA&ANDREA

    Je n'avais jamais pensé vraiment au mariage. J'avais eu nombre de conquêtes, beaucoup trop même. J'aimais les hommes, j'étais quelqu'un qui aimait le charme, l'attention qu'on me procurait, être entouré par toute cette testostérone que seuls eux pouvaient apporter à une vie. Et pourtant je n'avais jamais pensé à me poser vraiment. Je n'étais pas vraiment tombé beaucoup de fois amoureuse. Une fois à Berkeley, j'avais été proche d'approcher ce sentiment, un certain Havier mais il était partit au moment où je laissais derrière moi Berkeley moi et bien que j'avais eu l'espoir de le retrouver ici, je savais que je ne pourrais jamais le retrouver. Alors encore une fois, je continuais à courir ma vie, à la vivre d'une manière bancale, sans homme à mes côtés plutôt avec des hommes. Le dernier homme dont je m'étais eprise était celui qui m'avait fait croire en mon art. En l'art du dessin et m'avait montré que j'avais beaucoup plus de talent que je le voyais. Il m'avait aussi fait comprendre qu'il n'y avait pas que la drogue qui me donnait envie de peindre. Non, j'avais juste besoin de quelque chose auquel m'accrocher. Et ma drogue pendant un temps était devenu lui-même. Andrea était au courant de l'existence de cet homme puisque cela se passait juste avant que je revienne à Berkeley, mais il n'était au courant du lien profond que nous avions et de tout ce qu'il m'avait apporté. Bien plus encore, il avait été un mentor, une personne plus agé que moi certe mais en qui je me fondais totalement. Pourtant, il avait toujours refusé mes avances. Il avait été le seul homme que je n'avais pu avoir alors que je le désirais plus que tout. Il était un homme marié. J'aurais dû l'accepter mais je ne le fis jamais. Bien sûr, alors que d'habitude, j'aurais tout fait pour contrer sa décision, j'avais tellement de respect pour lui que jamais je ne revins sur ses paroles. Alors je restais des heures avec lui, dans cette atelier de peinture, à explorer mon art sous ses yeux et ses conseils lorsque je voulais échapper au monde de la célébrité. Nombre de souvenirs et pourtant, lui aussi j'avais dû le quitter. J'avais en faîtes quitté beaucoup trop de personnes dans ma vie. A force de péripéties, de fuites en tout genre, j'avais dû quitté au minimum une fois chaque personne que je connaissais. Sa en devenait grave je devais l'avouer mais c'était ainsi. Je préférais foncer comme une flèche vers mon avenir quitte à ce que je laisse des gens en retrait. Mais étant une personne qui aimait aussi les gens qui m'entourais, je devais avouer que souvent, cela me faisait mal au coeur et que j'essayais souvent, pour la plupart, de les rappeler, les retrouver ou leur expliquer tout simplement mes décisions. Voila pourquoi parler de mariage me faisait vraiment bizarre. J'en avais vu beaucoup d'étudiants autour de moi se marier, se promettre l'amour éternel, avoir des enfants, se créer un avenir. D'ailleurs, même pas cousine avait eu la bague passée au doigt. Mais moi bizarrement, bien que j'avais dû avoir un nombre reccord de conquêtes dans ma vie, jamais au grand jamais, je n'avais connu l'amour durable. Peut-être que j'avais dû ressentir plusieurs fois le sentiment mais jamais il n'avait tenu. je n'étais sûrement pas le genre de filles à me poser réellement avec une personne et à en aimer plusieurs. Je pensais pour ma part qu'une fois que je tomberais sur un homme dont je tomberais amoureuse, que ce serait pour toujours. Mais après tout, on pouvait toujours se tromper ! Comme le jeune homme puisqu'en me proposant d'habiter dans sa maison, je sentais alors que madame n'était pas vraiment sa douce et tendre finalement ! Je ne sais pas si ta promise va vraiment accepter que je vienne dormir aussi près de son tendre amour, tu ne crois pas ? Mais en souriant, je sentais bien que sous ce mariage ce cachait une belle histoire croustillante que j'avais hate qu'il me raconte. Enfin si tu insistes, ce serait un plaisir de partager ton humble domaine ! Un nouveau sourire puis il me complimenter sur ma situation et se plaint du fait que sa mère allait être au courant. Mince, je me mordis la lèvre inférieur en pensant qu'effectivement, ce n'était vraiment pas la merde que j'aurais voulu avoir de plus tout comme lui. Sa mère était une personne très charmant et agréable. N'ayant pas sa langue dans sa poche tout comme moi, nous nous étions très vite bien entendues. Néanmoins, notre relation se tenait sur une base fausse et cela me faisait plus mal au coeur qu'autre chose. Tu sais Andrea, je n'aime vraiment pas mentir à ta mère. Tu devrais le savoir depuis le temps, faire semblant c'est sympa devant les magasines mais devant ta mère... Effectivement, je n'aimais mentir mais la situation l'exigeait et pour Andrea, je ne pouvais dire la vérité à sa mère néanmoins cette histoire me génait tout de même. Enfin, il me demanda un verre sans alcool et je leva les yeux au ciel. C'est vrai, sobre et chaste. Mon pauvre, tu vas devenir presque ennuyant si tu continues ! Je lui fis un clin d'oeil. Je savais bien qu'il avait totalement raison, j'aurais dû suivre son exemple ...
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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyLun 2 Avr - 12:29




    L’amour, le mariage tant de mot qu’Andrea il y a de ça quelques mois ne connaissait pas. Il avait toujours eut une vie paisible, bien loin de celle que pouvait avoir Lina, lui n’avait pas d’agitation du à son métier ou quoi. Pour lui tout était si simple, il savait environ quand il allait mourir, il savait qu’il n’avait pas besoin de travailler pour avoir des bonnes notes et un bon job. Il savait aussi qu’il n’avait pas besoin d’un bon job pour gagner de l’argent puisque sa famille était riche comme crésus. Qu’il avait fait fructifier son capital et que tout ce qu’il entreprenait marchait. La magnifique vie du jeune Drea, bien sur une enfance pas si facile que ça. Peu d’enfant peuvent se vanter d’avoir eut une sœur qui voulait le tuer. Et ce ne sont pas de simples mots, sa sœur à plusieurs fois essayé de noyer son frère ou des choses comme ça. Une haine forte qui avait disparut depuis qu’il avait 15 ans.
    C’est donc depuis qu’il a 15 ans qu’il ne lui arrive plus rien de bien grave. Les seuls péripéties de sa vie son du aux femmes et à l’alcool. Il pourrait vivre une vie tranquille, se trouver une femme, arrêter l’alcool et tout irait bien. Mais comment arrêter les femmes quand on aime les femmes ? Tout le monde le sait Andrea n’a pas une énorme confiance en lui, mais son physique fait tout le reste. Il y avait à l’heure actuelle beaucoup trop de femme dans sa vie, c’est ce qui mettait du piment. Bien sur je me répète mais il devait y en avoir 4, Lina cette superbe femme qu’il aime énormément mais comme on aime une amie. Esméralda, sa femme qu’il apprend à connaitre, Cassandra sa sœur avec qui il avait une relation tellement forte qu’elle pouvait en devenir ambigüe et bien sur Ais celle qu’il commençait à convoiter. Celle pour qui il commençait à avoir des sentiments, une chose qu’il n’avait jamais ressentit avant. Ou une seule fois pour une autre femme qui commençait à pointer le bout de son nez à Berkeley.

    Les femmes lui causaient pour le moment aucuns problèmes, mais il ne fallait pas que tout commence à se mélanger sinon un grand boum se ferrait sentir à coup sur. Ce qui agissait sur lui comme une drogue c’était l’alcool. Non il n’en était pas dépendant, il pouvait facilement ne pas boire dans une soirée. La preuve ce soir il avait dit non à Lina, bien sur sans une moquerie de la part de la belle brune, mais si elle ne l’avait pas taquiné il aurait compris que quelque chose ne tournait pas rond. L’alcool avait fait de lui un homme marié, avait fait de lui une personne qui aurait pu devenir père. L’alcool a fait de lui un prisonnier, un voleur de singe, un kidnappeur d’enfant. Un exhibitionniste, un homosexuel, un mec couchant avec un transsexuel. Alors dire qu’il devenait chaste et ennuyeux c’était surement ne rien connaitre de sa vie.
    Une seule goutte d’alcool touchant son palet et il ne pouvait plus stopper la descente, ne vomissant jamais. C’était surement une des grandes particularités du jeune homme, jamais vous ne le verrez rendre ce qu’il boit. Il dit toujours en riant que tout ce qu’il paie il le garde, son coté radin peut être… Par contre l’alcool lui faisait faire n’importe quoi et je pense que le mot est encore trop faible. En plus de faire n’importe quoi il oublie tout.

      Ma promise ? Enfin j’ai surement oublié de t’expliquer pourquoi je me suis marié. Ah oui je sais pourquoi, parce que moi non plus je ne m’en souviens plus. Je me souviens juste avoir commencé la soirée avec des amis à San Francisco, puis m’être réveillé dans le lit avec une femme à Las Vegas. Voyant les bagues qu’on avait au doigts on a appelé partout dans Las Vegas avant d’apprendre qu’on été marié. Donc je pense que sa ne la dérangera pas que tu scouat une chambre de mon appartement.

    Il marqua une pause arquant les sourcils quand elle lui parla d’insister.

      Attend chérie, je ne te force pas à venir dormir à l’appartement. C’est juste un brin de politesse qui sort de mon extrême bonté

    Une chose était sur, il adorait Lina. Une amitié qui de son coté à lui était totalement pure, sans interet ni rien. Mais de son coté à elle il n’en savait rien, il ne doutait pas mais savait qu’on pouvait s’attendre à tout avec cette jeune femme. Bien sur elle lui avait rendu pas mal de service, le genre de service assez lourd que l’on ne rend pas à n’importe qui. Le plus important était surement celui de jouer la comédie devant sa mère. Mentir à sa mère qu’elle idée tout de même, surtout quand cette mère est Italienne. Un jour tout lui retombera sur la tête et sa sera un drame, pour le moment à défaut de nager dans le bonheur il nageait dans le mensonge et s’en sortait pas trop mal.

      Je comprends que tu n’aimes pas ça. Mais moi non plus, mais lui dire que je me faisais passer pour en couple pour de faux dans les journaux elle m’aurait tué. J’ai donc pris l’autre solution, mentir. Le jour ou elle le découvrira elle me tuera. Mais bon j’aurai repoussé l’échéance !

    Il se leva d’un coup sec quand elle le traita d’ennuyant, bougeant les bras comme les Italiens en ont le secret il lança.

      Moi ennuyant ? Bébé tu ne sais même pas à qui tu dis ça.

    Lui dit-il faussement vexé.
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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyJeu 5 Avr - 19:21


LINA&ANDREA

    Je n'arrivais toujours pas à croire qu'Andrea était marié et je regardais d'une lueur consternée ce qui le prouvait. Sa bague reflétait la lumière de la chambre et je devais dire que je restais abasourdis par celle-ci. Me passer la bague au doigt, il faudrait bien que ce soit un dieu qui se distingue bien de tous les autres pour que j'accepte ! J'avais bien trop vu d'hommes, j'en avais bien trop convoité, utilisés, d'épouiller, avais été bien trop de fois supplier de donner une chance à ceux-ci pour arriver à trouver mon prince charmant parmi toute cette agitation. Et pourtant il y en avait eu tellement que je ne pouvais vraiment compter en faîtes ! Je savais jouer de mon physique, je l'avais toujours fait et même lorsque je ne cherchais rien, c'était les autres qui venaient me chercher. Mais j'avais peine à croire qu'un jour je rencontrerais parfaitement celui qui me comblerait. Après tout, je pensais qu'une malédiction devait trôner au-dessus de ma tête. Effectivement, quand j'imaginais que c'était le bon, il se passait toujours quelque chose d'imprévu ou l'homme en question me remplaçait par une autre après avoir joué. Ou c'était le contraire et finalement après être partit pour trouver quelque chose d'autre, je me rendais compte que j'avais sûrement fait une connerie mais bien sûr, impossible de revenir en arrière. Du côté sentimental je n'étais vraiment pas gâté finalement et donc voila pourquoi le mariage je n'imaginais même pas que ce soit possible. Après tout, même mon amour d'université était maintenant avec une autre fille, une gamma de ce que j'avais compris. En même temps, je cherchais souvent à rester seule et pourtant je m'en plaignais. C'était bien moi qui partais, qui fuyais à chaque fois pour vivre quelque chose de nouveau ! Et souvent, je préférais mon indépendance, mon envie de partir à l'aventure plutôt que de rester ancré avec des personnes qui m'appréciaient. Mais j'avais tellement été déçu que je préférais moi-même contrôlé les gens plutôt que finalement, je reste pour une personne et que j'en soit déçue par la suite. Alors ne parlons pas de mariage mais d'amour puisque pour l'instant, je n'étais encore qu'une débutante dans cette course ! Un sourire à Drea pour le rassurer. Le pauvre, ça ne devait visiblement pas être dur tous les jours à l'université et j'avais vraiment envie qu'il me dise le nom de cette jeune femme ! Mais bon, après un an d'absence, je me doutais bien que je n'arriverais peut-être même pas à reformer son visage dans ma tête et puis, il n'avait pas l'air d'avoir vraiment envie de tergiverser sur le nom de cette inconnue et je n'allais sûrement pas le pousser à me le dire. Quoi que très curieuse, j'étais sûre de ne pas tarder à le découvrir, surtout lorsqu'on savait que j'allais bientôt emménager chez lui ! Sa a dû te faire un choc ! Moi je te jure que le jour où je te sors une histoire similaire, il pleuvra des moutons par paquet de dix ! J'eus un sourire. Il savait très bien que moi et les hommes c'était une paire. Il ne pouvait y avoir de Lina sans quelques mâles autour avec qui je m'amusais. Mais pas de sentiments où jamais à double sens. Alors il devait sûrement me comprendre sur mon avis ! Un brin de politesse ? Allez dis simplement que ça te manque de me voir me balader en sous-vêtements pendant que tu te prépare ! Je ris à ma taquinerie. Effectivement, plusieurs fois nous avions dû partager des chambres d'hotel lorsque nous prétendions être un couple devant les photographes. Pendant qu'ils s'imaginaient faire des galipettes, nous faisons plutôt pizzas, bière et films d'horreur. Notre amitié était bien trop forte pour que nous puissions dépasser ça. Un complicité si forte que ça ne me dérangeait pas du tout de montrer mes atouts féminins devant lui. Le taquiner toujours et encore, j'adorais ça et il le savait ! Et ben j'espère que ça s'arrêtera là ! Imagine les journaux font passer la rumeur que je suis enceinte, ce sera finit pour toi ! J'aurais plus qu'à faire semblant pendant 9 mois et ensuite on ira kidnapper un bébé dans un hôpital pour faire semblant ! Je lui fis un clin d'oeil puis bus une gorgée de mon verre pour le reposer ensuite. Oh c'est bon, tu sais très bien que c'est pas vrai, tu es trop parfait voyons ! Je leva les yeux au ciel sous ces éloges que je lui faisais et le regarda en coin. Et si tu allais plutôt me faire visiter ton chez toi ? Fin, si on arrive à passer la muraille de photographes en bas ! Je lui souris, rien que de penser que je pouvais habiter quelque part d'autre que cet hotel triste, cela me donnait envie de m'installer de suite ! A moins que tu ne puisses supporter la vue d'une bombe tous les jours à tes côtés et que tu veuilles repousser le moment fatidique mon cher ! Je repoussa d'un coup de main mes longs cheveux tout en me vantant et ris.
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MessageSujet: Re: Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... Entre nous, l'amitié n'a jamais eut de limite ... EmptyVen 6 Avr - 19:20



    Lui non plus au début n’avait pas réussit à ce dire qu’il était marié puis petit à petit il c’était dit que ce n’était rien. Quand on est marié avec une personne que l’on a choisit cela doit faire bizarre, se dire je suis emprisonné je n’ai plus de choix. Lui ne se disait pas ça, il était marié avec une femme qu’il fréquentait de temps en temps, avec qui il couchait pas mal de fois, c’était de l’amusement. Le fait qu’elle porte son nom, qu’ils portent une bague en commun ? Et bien cela ne lui faisait ni chaud ni froid, avoir une bague à se doigt ne lui changeait rien, qu’elle soit là ou ailleurs c’était la même chose. Sauf que la portait là attirait pas mal les femmes, c’était bizarres comme si les femmes étaient des garces et préféraient les hommes mariés.
    Impossible ? J’en doute fort, il trouvait que depuis le mois de janvier mois durant lequel il a commençait à porter sa bague de mariage (appelons un chat un chat) les femmes venaient plus souvent le voir. A croire que la bague de fiançailles ou celle de mariage fait le même effet qu’un enfant, un aimant à gonzesse. Cela le faisait bien rire, sa sœur beaucoup moins et sa mère si elle apprenait la vérité encore moins. Mais il était loin de ses soucis là, il était tranquillement dans un autre continent que celui de sa famille et ça lui permettait d’avoir une vie, une vie mené à 200 à l’heure, une vie mené dans tous les sens parfois même les mauvais. L’alcool coulant à flot mais étrangement ce n’est pas ça qui met sa vie en danger. Andrea atteint d’une maladie rare qui fait que son cœur bat trop vite, que sa tension et trop haute, qu’il ne ressent pas la fatigue suit depuis tous petit un traitement. Traitement qu’il ne suit plus, il lui est aussi conseillé de ne pas faire de sport ou très peu, chose qu’il n’écoute pas puisqu’il fait beaucoup plus de sport qu’une personne normal. Autant dire que le jeune homme fait n’importe quoi, comme un enfant à qui l’on confie un bolide, une voiture de course. Mais son enfance il ne l’a jamais vécu, il en profite ici, Andrea vingt ans physiquement, cinq ans niveau comportement.
    Bon après il y avait Lina, cette amie qui elle ne serait très certainement jamais marié, ou ne se voyait jamais marié. Elle enchainait les mecs, tous étaient à ses pieds, personne n’arrivait à lui résister ils ne comprenaient vraiment rien aux femmes. Les femmes comme Lina le meilleur moyen qu’elle tombe sous votre charme c’est de leur résister, facile à dire c’est ça ? Bien sur vous dire que Drea y arrive est un mauvais exemple, il l’a voit comme une très bonne amie, seul l’alcool pourrait peut être lui faire faire la connerie de coucher avec elle. Sinon il ne pourrait pas franchir le pas, le fait d’avoir ça dans un coin de sa tête lui permet de la repousser quand elle s’amuser à jouer de ses charmes, bien sur elle ne supporte pas ça.

      Un choc ? Comment dire, ce n’est pas le mot. Au début je me réveil nu dans un lit avec une fille qui l’était tout autant. Rien de bien bizarre c’était le premier de l’an. Sauf que dans la chambre trainait des papiers de mariages et ont avaient tous les deux une bagues. Surpris, paniqué mais pas choqué on n’y croyait pas. Jusqu’au moment ou sa nous a été confirmé et là je ne sais pas pourquoi j’ai explosé de rire. Toute manière pas le choix, j’avais aucuns souvenirs de la soirée ni rien.

    Il marqua une pause et enchaina.

      Moi ce n’est pas des moutons qui sont tombés, c’est plutôt des litres et des litres d’alcool.

    Ecoutant la phrase totalement narcissique de Lina il ne pu s’empêcher de rire, c’était totalement elle. Humour, taquinerie et pourtant il avait l’impression que peu de personne arrivaient à cerner la vraie Lina. Tout le monde la voyait d’une façon qui n’était pas elle. Pimbèche, imbus d’elle-même, bien sur elle l’était un minimum mais ce n’était pas le principal trait de caractère, loin de là.

      J’en dors plus là nuit. Cauchemar ou rêve je n’arrive pas encore à faire la différence. En faite je dors, je te vois arrivé en string dans ma chambre et la je me réveille en hurlant. Alors est ce un « Au secours », ou un « A poil Lina ». Tu me diras après la première nuit !

    Quand elle commença à parler de la presse et du fait qu’il ne fallait surtout pas qu’ils croient qu’elle était enceinte sinon se serait la fin. Ou sinon il faudrait vraiment qu’il la mette enceinte une autre histoire.

      Kidnapper un gamin ? Non merci déjà donné et surtout déjà fait, ça attire pas que des bonnes choses !

    Si jeune et pourtant il avait fait pas mal de conneries, c’était totalement étonnant mais c’était l’alcool qui lui faisait faire tous ça. Il en avait vécu des choses, malheureusement pas le genre de choses que l’on raconte autour d’un feu à ses petites enfant ou ses enfants. Non plutôt le genre de chose qu’on se raconte entre pote et que personne ne vous croit. C’est vrai les histoires que pouvait raconter Andrea pouvaient surprendre, mais il y avait toujours quelqu’un pour témoigner que c’été vrai. Quand il n’y avait personne son corps le faisait, comme le tatouage qu’il avait dans le bas du dos pouvait l’attester.

      Pas de problème, mademoiselle et pressé de scouater mon lit pendant que je dors c’est ça ? Pour la bombe j’ai surtout peur qu’elle explose dans mon appartement…

    Dit-il avec un humour bidon. Se levant il tendit la main et lui dit.

      Bon ben c’est partit nous sommes le futur monsieur et madame De Rossi, oui si on me demande tu prendras mon nom. Pas de superposition bidon des nom ou je sais pas quoi !
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