Rare sont les balades - Belles sont les rencontres

Samedi matin un soudaine envie de faire du sport, chose rare bien sur Bradley n’est pas le genre de mec qui ne fait jamais de sport, il en fait plus que la moyenne, vous croyez quoi? Qu’il a ce corps sans rien faire? Bien sur il a comme on appel en sport des prédispositions, il arrive facilement à prendre du muscle, mais c’est au prix d’un gros travail. Une heure de musculation tout les deux jours, mais jamais au grand jamais il ne va courir, il ne supporte pas courir sans but!
Je me rappel d’une personne qui aime dire « Il ne faut jamais dire jamais », une phrase qui ne veut rien dire mais qui prend tout son sens ce matin. Car oui 8 heures pétante, alors que la soirée de la veille a été longue le sommeil manque mais bon que voulez vous.

Une douche, je sais c’est vraiment louche, combien de personnes se douchent avant d’aller courrir? Pas beaucoup non? Alors connaissez vous des gens qui se parfument et passent 15 minutes à se coiffer avant d’aller courrir? Non et bien maintenant vous en connaissez un, le beau Bradley part du principe qu’il peut croiser la femme de sa vie à n’importe quel moment et quel endroit. Si vous lui faite une réflexion sur sa tenue pour aller tenue c’est-à-dire bien coiffer, bien parfumer, un haut class et un jogging brillant. Il vous répondra « Imaginez que je croise la femme de ma vie, celle qui portera mes enfants, habillé comme un clochard, elle passera à coté de moi et ne me verra même pas ».
Sur la réflexion il n’a pas totalement tord, c’est pour ça que jamais au grand jamais (je sais il ne faut jamais dire jamais) vous ne le verrez sortir de chez lui sans être bien habillé et bien coiffé, sauf quand il est malade ou que quelque chose ne va pas, car dans ses cas là il ne fait pas du tout attention à lui, c’est à ça qu’on voit si Bradley va bien.
Bradley c’est le genre de mec que vous croisez toujours le sourire aux lèvres, jamais vous n’arriverez à lui faire quitter se sourire quand il se prend la tête avec quelqu’un il garde se sourire ça permet de faire monter en tension son « adversaire » du jour. Puis ça part en sucette et ils se battent. Tout aussi souriant qu’est le beau Bradley il aime se battre, un truc très masculin, prouver qu’on est le plus viril des deux c’est quelque chose de tellement puéril mais que voulez vous. Autre particularité du jeune homme, il est très vulgaire, toujours un putain ou un fait chier dans ses phrases, c’est comme de la ponctuation. Il ne faut pas donner le vrai sens des mots qu’il dit, pour lui un con, ce n’est pas une insulte…

Enfin il est maintenant 9 heures, et il n’est toujours pas partit courir. Tellement l’habitude de courir qu’il ne sait même pas ou aller. Puis il se rappel des gars qu’il croise parfois quand il rentre de boite, ils sont entrain de courir dans le parc de l’université, un vaste parc à l’abris des regards, on ne croise personne.
Oui voilà un endroit tranquille ou Bradley pourra mourir, oui c’est une expression mais on n’est pas forcement loin de la vérité, le beau jeune homme cours tellement souvent qu’à la moindre foulée il est à deux doigt de craché ses poumons. Il ralentit donc l’allure et dit à ceux qui veulent bien l’entendre qu’il est en phase de récupération.

Direction le parc, un petit bonjour à ceux qui sont debout, il se fait bien sur chambrer. « Brad tu vas ou là? Courir? Non t’as trouvé une petite joggeuses tu veux la draguer? ». Oui car Bradley c’est un caméléon de la drague, il croise une belle joggeuse et bien vous le voyez le lendemain entrain de courir. Une belle vendeuse de fringue, et bien chaque jour il viendra acheter une nouvel veste ou autre.
Oui il vit pour les femmes, sans les femmes que ferrait il? Et bien un suicide sûrement, car bien qu’il tolère totalement les homosexuels, la preuve il en a beaucoup dans ses amis. Il ne pourrait se passer de la douceur d’une femme, le froid de ses mains. Oui elles ont toujours les mains froides c’est spécial non?

Repassons donc au sport. Après des discussion Bradley s’en va donc a une faible allure vers le parc, il commence croisant beaucoup de mecs, il y a très peu de nanas, pour ne pas dire aucunes. Le soleil frappe un peu mais avec le déodorant mit et le parfums l’odeur que laisse le beau blond est parfaite. Il se fait même chambré par un joggeur.
Bien sur Bradley n’écoutant que sa fougue s’arrête net et commence à le chauffer.


Vient mec, on va régler ça, on va voir qui c’est la fiote

Oui traiter Bradley de fiote c’est quelque chose de risqué. Seul problème le joggeur lui continue sa course. La peur? Non sûrement le fait qu’il ne veuille pas s’arrêter durant son entraînement.

Après 5 minutes, oui le temps pour qu’il retombe et que la pression soit à nouveau à un niveau normal et il se prépare à repartir quand …

Étrangement, Izzidoràh adore particulièrement les samedis. Sans doute parce que c'est un jour de weekend, et pour elle, weekend était synonyme d'amusement. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait en ce jour, profiter un maximum, et laisser tout le tralala de ses cours qu'elle avait la semaine. Le soleil montrait peu à peu le bout de son nez en cette matinée, alors que son horloge accrochée à son mur en face affichait huit heure trente-trois exactement. En effet, il est bien tôt pour se réveiller un samedi. Mais cela était explicable: Izzie avait très mal dormit de la nuit, réveillée sans cesse par des maux de ventre. Elle avait alors décidé de se réveillé officiellement à cette heure-là afin de cesser ces réveils répétitifs. Ca ne servait plus à rien qu'elle se rendorme, si c'était pour se réveiller à peine trente minutes après. Pourtant, la fatigue se faisait ressentir. La preuve en était, que ses yeux pouvaient à peine s'ouvrir.

Elle prit pourtant son courage à demain. La solution pour remédié à ce manque de fatigue était, autre que de se rendormir, prendre une bonne douche et un bon médicament pour combattre ces douleurs atroces qui lui tapotaient dans le ventre depuis le début de la nuit ! Elle se leva alors de son lit -mais petit par petit, ne brusquons pas les choses. Se mettant en position assise, les cheveux qui pouvait être comparé à un champ de bataille, elle se leva sur ses deux jambes plus paresseuse que jamais. Engloutie par la fatigue, et la nuit fort mouvementée -comme si il y avait eu une fête de son ventre, la belle blonde poussa sur ses deux pieds afin de parvenir à sa cousine et y prendre un médicament qui la soulagerait. L'engloutissant accompagné d'un verre d'eau, elle s'avança d'une marche lente vers sa penderie et en sortit un jeans ainsi qu'un pull. Certes, le soleil était bien présent en cette journée, mais rappelons-nous qu'on est actuellement en pleine automne, sur le point de faire un grand pas vers l'hiver.

Le médoc faisant peu à peu effet sur son mal être, Izzidoràh décida d'achever les choses en prenant la direction de la salle de bain, afin d'y prendre, non une douche, mais bien un bain. Peut-être que cela la détendra d'avantage ? Et puis comme on dit, une douche ou un bain a toujours le pouvoir de nous réveiller subitement. Se débarrassant de ce qui lui sert de pyjama, elle entra dans son bain bien chaud qu'elle avait fait couler juste avant. Elle y resta d'ailleurs pendant une bonne demi heure. Si cela ne tenait qu'à elle, elle serait resté dans son bain, mais il ne valait mieux pas, ou elle était encore partie pour une bonne heure -tout au moins. Elle s'apprêta au plus vite par la suite, se brossa vite fait les cheveux, qu'elle attacha aussi vite en une queue de cheval. Elle prit tout de même la peine de mettre sa pointe de maquillage habituelle de manière à ce qu'elle ai meilleure mine de celle qu'elle avait il y a une heure, au moment de se réveiller. D'ailleurs, comme l'anecdote le disait, le bain avait en effet eu un impact sur sa fatigue. Cela pouvait se voir: ses yeux était beaucoup plus ouverts qu'ils ne l'étaient avant. On pouvait y voir la couleur bleue.

La belle blonde était fin prête. Fin prête, oui, mais fin prête de quoi ? Elle ne savait même pas ce qu'elle allait faire maintenant. Elle voulait tout faire, sauf rester chez elle enfermée à rien faire, alors qu'il faisait tout de même beau dehors pour un automne. C'est en se prenant une pomme -qui lui servira de petit-déjeuner- que notre demoiselle se creusa la tête pour savoir ce qu'elle allait faire. Regardant par sa fenêtre, elle eut une idée d'occupation: pourquoi pas aller se faire une balade au parc ? Les maux de ventres qu'elle avaient semblaient peu à peu disparaitre. Cela faisait déjà un bon moment qu'elle ne s'y était plus rendu. Elle n'hésita pas une seconde de plus, qu'elle prit son sac à main, et sortit aussi vite de chez elle, prenant la peine de bien fermer la porte à clé. Elle décida de s'y rendre à pied. Ce n'était pas bien loin de chez elle, et elle aimait plutôt bien marcher.

Il ne lui fallut d'ailleurs qu'une bonne vingtaine de minutes pour arrivé à l'endroit voulu. Il y avait déjà pas mal de monde réveillé dans la ville malgré l'heure. Il n'était tout de même encore que neuf heures trente. Pénétrant dans le parc naturel, Izzidoràh prit une direction, sans vraiment savoir où elle allait. Elle allait de toute manière bien aboutir à quelque part. Tous ces chemins mènent tous bien à un endroit, non ? Recevant un message, elle prit son portable en main et regarda le message de l'une de ses amies qu'elle venait de recevoir. Elle lui envoya alors à son tour une réponse. Tellement préoccupée par ce qu'elle était entrain de taper, elle percuta quelqu'un sans le vouloir. Elle leva alors aussi vite la tête, et s'excusa sans perdre une seconde -d'où sa bonne éducation. « Oh je suis vraiment désolée. Je ne regardais pas où je mettais les pieds. Vous n'avez rien j'espère ?! » Se sentant embarrassée, elle n'avait même pas eu le temps de pouvoir démasqué la personne qu'elle venait de bousculer, alors qu'elle faisait tranquillement son jogging. C'est après quelques secondes de réflexions qu'elle dévisagea le jeune homme qu'elle venait de bousculer d'une manière assez violente. « Bradley ! C'est toi. Je n'avais même pas fait attention... Encore désolée ! » Elle lui sourit alors bêtement.

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Les samedis matins, pour Bradley ce n’est pas le début de l’amusement non car il s’amuse tous les jours, durant toutes les semaines de tous les mois de l’année. Oui Bradley un vrai enfant ne se souciant que très peu de son avenir. Encore un gosse de riche j’entends à gauche, papa maman vont tout lui payer j’entends à droite et bien non messieurs dames, Bradley n’est pas le fils de riche que vous pouvez croiser à Berkeley, ce n’est pas non plus l’intellectuel comme il y en a souvent assis dans les escaliers entrain de bosser. Non Bradley était issu d’une famille avec des moyens normaux mais pas assez pour lui payer l’accès à Berkeley, donc l’entrée était ou surtout aurait dû passer par ses notes. Quand on le connait on comprend que ce n’est pas le cas, un élève moyen, à la limité du médiocre se tien en face de vous.
Voilà donc le portrait de Bradley un jeune homme simplement beau et physiquement aidée, car pour le reste personne ne lui a donné ce qu’il a. Son entrée à Berkeley ? Le fait que la classe de sexologie ouvre et qu’elle recrute un peu n’importe qui pour remplir les bancs, le fait que la sexologie n’intéresse pas grand monde car pas de débouché professionnel. Surtout le fait que Bradley et sa grande bouche puisse faire du rentre dedans au doyen pour qu’il lui laisse une place.
Donc voilà vous en savez plus sur lui, alors que fait il de ses semaines si il ne bosse pas ? Et bien du sport pour entretenir son corps, oui son objet de travail je dirais même. Bradley peut se permettre de claquer beaucoup de tune, de vivre la grande vie, il est mannequin pour lingerie, ayant commencé tout en bas de l’échelle il devient petit à petit une égérie de mode, cantonné à la lingerie je vous l’accord mais ça lui suffit, pas de défilé, simplement des photos et souvent avec des canons, des filles bien foutues qui lui font ensuite tournée la tête.

Comme quoi dans la vie on s’en sort toujours quand on est beau, nous ne sommes vraiment pas tous égaux devant la nature, ceux qui sont beaux arrivent à tout. Un entretien d’embauche à niveau identique, à lettre de motivation identique, on prend quoi un thon ou un canon (oui je suis cru), j’attends votre réponse, vous n’hésitez même pas et moi non plus. Pourtant c’est un méchant délit de faciès, quelque chose qui est puni par la loi. Rien que le fait que la loi le prévoit montre bien que Dieu ne nous a pas fait identique.
Oui je me perds et alors ? Tout ça pour dire qu’être beau c’est facile, il suffit de prendre soin de soi, de faire du sport même si l’on aime pas (car ne le cachons pas, Bradley n’aime courir que dans un seul cas, quand c’est après les filles).

En parlant de belle fille en ce moment deux femmes viennent hanter les pensées et les rêves du beau blond. La première chose normal, c’est Alice, la belle Alice son amour de vacance qui se transforme en future femme. Oui une demande folle de mariage, suivit d’une réponse positive tout aussi folle donne un mariage prévu dans quelque mois. Pour vous dire la belle porte une alliance, mais tellement surprise par la nouvelle, Bradley n’en a pas encore. Il attend de voir avec sa belle pour aller la chercher, déjà commander bien sur, il suffit juste de la mettre à la taille du doigt à Bradley. Doit étrangement fin pour son gabarit.
La seconde fille, chose un peu moins normal c’est la belle Izzidoràh, une fille qu’il a rencontré à la bibliothèque et qui est en gros la fille parfaite à ses yeux. Enfin parfaite physiquement, il ne la connait pas du tout, mais physiquement elle hante ses pensées. Choses franchement étrange tant il tien à sa tendre, surtout une semaine après l’avoir demandé en mariage. Mais quand quelqu’un vous obsède vous n’y pouvez rien c’est comme ça, je dirais même c’est la vie…

Bradley était donc entrain de pester contre la personne qui lui avait fait de crasse, il rentrait de très mauvais poil chez lui, quand il se fit percuter par quelqu’un d’autre. C’était donc son jour, vous savez le jour ou tout ce qui vous arrive est mauvais, ou il ne vous arrive rien de bien. Enfin il se prépara à gueuler quand il entendit la voix, une voix d’une jeune femme qu’il connaissait à peine et qui pourtant raisonna dans tout son corps. Cette jeune femme c’était Izzidoràh. Il fit un sourire niais à la jeune femme et lui répondit avec une douceur qui ne lui correspondait pas du tout.


Ce n’est pas grave ! Tu n’as rien j’espère

Lui dit il en lui prenant légèrement le coude, comme quand une personne est sonnée et qu’elle ne tien pas très bien debout.

Izzidoràh est une fille assez en caractère. Ce que je veux vous faire comprendre par là, c'est qu'elle peut tout aussi passer ses journées dans un bar, autour d'un verre, et pourquoi pas accompagné d'un bel homme séducteur, que de se promener paisiblement dans le parc du coin. Cela se différenciait en fonction de son humeur du moment. Elle a toujours tout aimé dans la vie, surtout découvrir de nouvelles choses. Ce n'est pas le genre de personne a toujours faire la même chose de ses journées. Loin de là, elle aime bien diversifié ses activités, apprendre, renouvelée, découvrir. On pourrait dans ce cas là la qualifiée comme étant une aventurière -je ne parle pas d'indiana jones dans sa jungle évidemment. Et en cette belle journée automnale ensoleillée, elle avait décidé de prendre l'option de l'aventurière: elle venait de se préparer de manière à pouvoir se balader dans le parc du coin. Vu l'heure, le parc sera surement bondé de personnes ayant le courage de faire le jogging matinal, pendant que la plus part des habitants continuent à dormir bien au chaud dans leurs couettes.

Motivée comme elle pouvait l'être -ce qui n'était pourtant pas le cas il y a à peine une heure, notre blondinette s'était directement dirigée de son domicile au parc à pied. Cela ne lui faisait qu'une petite vingtaine de minutes de plus de marche, ce qui ne lui ferait pas de mal. A vingt-deux ans, on a encore les os solides, et capables de faire une quantité assez importante de km, sans venir à s'en plaindre. Le soleil était au rendez-vous, ce qui ne faisait qu'embellir d'avantage son petit trajet à faire pour arriver au parc publique de san francisco. Vu l'heure, elle s'attendait à voir plus de joggeurs que de personnes venant de le même but qu'elle. La plus part de la population est surement encore entrain de tranquillement dormis au chaud sous leurs couettes, dans leur lit bien douillet, à rêver de tout et de rien.

A peine Izzidoràh venait de franchir le portail de l'entrée du parc, qu'il ne lui a suffit que deux petites minutes pour aussi vite devenir maladroite. Une déconcentration, le regard distrait, et hop, elle fonce dans une personne qui semblait tranquillement faire son jogging matinal. Étrangement, cette personne n'avait sortit aucunes insultes injurieuses de sa bouche. Ce qui est assez étonnant. Elle se serait attendu à des insultes répétitives, et pourtant, rien de tout ça se produit. Aussi, la blondinette n'avait pas perdu une seconde de plus suite à l'incident pour s'excuser et pour éviter le pire. Elle démasqua alors la victime qu'elle venait de percuter d'une façon assez violente, et reconnu aussi vite que c'était Bradley. « Ce n’est pas grave ! Tu n’as rien j’espère. » Si elle avait quelque chose ? Rien, mise à part qu'elle se sentait assez bête, et embarrassée de sa maladresse, qui n'hésitait pas à sortir par moment. Parfois, elle ferait même mieux de rester là où elle est, à l'abri des catastrophes. « Non, je vais bien, merci. » Elle lui souriait toujours bêtement, avec une petite pointe de mal à l'aise. Déjà qu'elle le connaissait à peine, voilà qu'elle allait surement déjà faire mauvaise impression, de la petite blonde bête comme ses pieds. « Tu fais souvent du jogging ici ? » Izzidoràh venait de dériver sur un autre sujet de conversation, de quoi détendre un peu l'atmosphère.

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Bradley n’était pas aussi éclectique que la jeune femme, oui lui se cantonnait toujours aux même choses, du sport parce qu’il aime ça et que ça entretien le corps, un corps qui est son fond de commerce pour deux choses, se corps lui permet de draguer les magnifiques jeunes femmes comme celles qui se trouve actuellement en face de lui et qui lui fait dérapé, sentir des sueurs froides et retomber en arrière quand il était timide, quand il avait du mal avec les jeunes femmes, la deuxième facette du sport celle qui lui permet d’entretenir son corps pour son travail, un boulot de mannequin qu’il adore. Attention il aime ça pas parce qu’on reconnait son physique, que les gens apprécie son corps, non simplement parce que c’est un travail qui lui rapporte de l’argent sans trop d’effort, le boulot idéal pour un fainéant dans le genre du blond.
Que fait il à part du sport, oui le beau mec ne fait pas que ça je vous rassure, ancien IOTA certes mais nouveau DELTA et comme tout les DELTA il aime faire la fête, la fête chose qu’il fait souvent, seul ou avec des amis, mais une chose est sur il ne revient jamais bredouille, oui Bradley à un carnet de fille avec qui il a couché long comme le bras. Ce n’est pas qu’il ne veut pas se poser avec une, c’est simplement qu’il n’a pas encore trouvée celle qui fait battre son cœur, oui le beau jeune homme est assez fleur bleu de ce coté là, il pense qu’il existe pour chacun la chaussure que l’on met à son pied, il croit au coup de foudre et toutes ses conneries.
Du temps avec ses amis ? Bien sur comme tous les jeunes et comme tout le monde en général il aime passer du temps avec des gens, Bradley aime être accompagné il ne supporte pas être seul, pourquoi ? Je ne serais y répondre malheureusement, il est simplement comme ça voulant être entouré, si après les gens parlent sur son dos il s’en fou comme il aime le dire son cul les contemple.

En ce jour la maladresse de la jeune femme plaisait énormément à Bradley, oui grâce à ça il venait de rentrer dans la jeune femme, certains avec l’esprit tordu diraient qu’il est rentré dans la jeune femme d’une façon dont il n’est pas fan, il aurait préféré une autre, et bien vous vous trompez. Bien sur le corps de la jeune femme lui plait beaucoup, mais le premier jour ou il l’a vu il a buguait dessus comme si elle était la bonne. Lui qui dit toujours ne n’ai pas de type de fille avait même avoué, les filles qu’il aime sont des filles comme elles. Sportive ou avec l’allure sportive, blonde avec des cheveux longs, enfin je vais pas vous décrire la jeune femme qui se trouve devant !
Lui aussi souriait bêtement à la jeune femme, elle l’ensorcelait involontairement avec ses yeux bleus, oui elle avait un regard d’ange. Lui à qui on disait souvent qu’il avait un aspect angélique, qu’on lui donnait le bon Dieu sans confession, et bien elle c’était vraiment le cas, elle avait l’air d’incarner la pureté même !


Moi et le jogging on va dire qu’on n’est pas les plus grands amis du monde, mais comme je savais que tu allais courir et bien j’en ai fait de même.

Dit il en souriant, il enchaina donc.


Je cours deux fois par semaine, enfin j’essaie et toi ?


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Izzidoràh adorait Los-Angeles. Elle ne regrettait en aucun cas d'avoir déposer ses valises sur ce si beau territoire américain. Elle n'avait pas encore eu la chance de pouvoir tout visiter. En fait, elle n'aura jamais le temps. Cet endroit est tellement rempli de lieux les plus mystérieux les un que les autres, qu'il fallait surement bien plus qu'une vie pour avoir tout vu, sans vous mentir. C'est un peu comme aller à Walt Disney pendant une journée. Ce n'est jamais assez suffisant pour pouvoir essayer toutes les attractions. Et pourtant, même si pleins d'autres endroits s'offraient à la blondinette, la jeune femme avait eu envie d'aller dans central park. Elle None se lassait donc jamais de cet endroit où la nature occupe tout le territoire. Elle aimait la nature, elle y prêtait beaucoup d'importance. Vous allez peut-être trouver ça bête d'un côté, mais elle est bien la dernière des personnes à jeter un papier par terre. Elle trouve ça d’ailleurs alertant les gens qui ne prennent pas la peine de mettre leur papier dans la poubelle qui se trouve à deux mètres d'elle. Enfin bref, je m'éloigne du sujet. Donc, elle venait souvent ici, pour se balader, pour prendre du bon temps, pour se changer les idées, pour se dégourdir les jambes. L'air de rien, ce parc nous proposait pleins de raisons pour y venir. Et en cette journée ensoleillée, la raison qui l'avait pousser à venir ici, était de se balader tout simplement.

Elle savait qu'en venant ici à une heure pareille, elle rencontrerait beaucoup de joggeurs. Il n'y a que ça en cette partie de la journée, mais ça ne lui posait pas de problème. Puis même, le parc est public. Ca lui arrivait à elle aussi de courir pour se dépenser un maximum. Et pour tout avouer, elle aimait bien. Après, il est clair qu'elle le sentait au niveau de ses mollets et ses cuisses. Mais ne dit-on pas que c'est un signe qu'on a bien travailler ses muscles ? Puis ill faut s'en douter que quand on vient ici, on risque souvent de tomber sur quelqu'un que l'on connait ou sur une nouvelle rencontre. C'est un lieu très sociale, tellement qu'il y a des personnes qui y passent une partie de leur temps libre. En saison chaude, les gens se retrouvent généralement pour prendre leur pic-nic et profiter du bon temps, assis dans l'herbe.

A peine venait-elle de prendre le marche de sa petite balade, que centrée sur le message qu'elle venait de recevoir, badaboum: elle percuta un pauvre joggeur sans défense. Tout de suite, Izzidoràh s'était excuser. Chance pour elle -façon de parler- elle venait de percuter une connaissance. Du coup, elle se sentait moins embarrassée, vu qu'elle le connaissait. Après des petites excuses et une assurance que tous les deux vont bien, de quoi changer la conversation. « Moi et le jogging on va dire qu’on n’est pas les plus grands amis du monde, mais comme je savais que tu allais courir et bien j’en ai fait de même. » Le jeune homme devait surement se tromper, la blondinette n'était pas venue ici dans le but de courir mais bien de se dégourdir les jambes. Et le luit fit alors remarquer gentiment. « Oh non, ce n'est pas ce que tu crois, je ne suis pas ici pour courir, je viens juste me balader. » Elle lui avait demander s'il venait souvent jogger ici. Comment savait-elle qu'il joggait ? Il suffisait juste de regarder sa tenue pour le deviner. Elle n'est pas si blonde que ça savez-vous! « Je cours deux fois par semaine, enfin j’essaie et toi ? » C'était bien deux fois par semaine. Elle, elle n'aurait pas le courage de le faire deux fois par semaine. Déjà une fois c'était épuisant, alors deux, il ne faut pas se demander quel sera son état. « Oh moi, je cours quand l'envie me prend! » Dit-elle en rigolant.

désolée du retard, mais j'ai eu beaucoup d'imprévus ces derniers jours, plus les examens

Rare sont les balades - Belles sont les rencontres

L’Amérique un si beau pays ou Bradley était né, donc oui maintenant il était surement bien moins émerveillé que la jeune blonde, normal quand c’est chez vous on prête de suite moins attention aux belles choses, des choses que l’on a mit dans notre mémoire mais qui nous manquerons tant quand on ne vivra plus là. Bradley lui avait un rêve, celui d’aller en Australie, là ou été née sa mère, jamais elle n’y était retourné depuis qu’elle était marié avec un enfant, il voulait donc l’emmener elle, son père qui n’y avait jamais mit les pieds et bien sur lui qui voulait voir les kangourous et tout ce qui allait avec. Pour ça il fallait donc travailler plus, Bradley avait déjà bien plus d’argent que ses parents en très peu de temps, mais normal il avait un boulot facile (enfin pas si facile que ça, mais il n’avait rien à faire pour gagner de l’argent), il était mannequin pour l’lingerie, en gros dans son travail on lui demandait d’être beau et de se taire. Etre beau il y arrivait facilement, se taire c’était bien sur autre chose, il n’y arrivait jamais, toujours ouvrant sa bouche, donnant toujours son avis sur telle ou telle pose, sur tel ou tel décors, mais c’est ce que les photographes aimaient chez lui.
Aucunes expériences dans la mode, il n’avait jamais défilé et ne voulait jamais défiler il voulait simplement être pris en photos, trop peur de tomber et surtout trop de choses à faire dans un défiler. Il fallait penser à lever la tête, ne pas tomber du podium et tout ça.

La jeune femme aborde son coté verte, le fait qu’elle fasse attention à la nature et tout ça et bien malheureusement ce n’est pas le cas de Bradley et loin de là. Comme un parfait Américain il ne pense qu’à lui, il ne fait rien en fonction des autres, un coté très narcissique c’est vrai mais il y avait tellement de gens ici qui l’étaient. Lui ne l’étaient que par rapport à son apparence toujours entrain de se regarder le nombril, toujours à se recoiffer, mais la planète y faisait il attention ? Pas spécialement, même pas du tout, bien sur il n’en était pas à jeter des papiers n’ importe où. Mais c’est vrai que si il avait un papier dans la main et qu’il était en voiture il n’hésitait pas à le jeter par la fenêtre, quand il était stationné tout ça sous le bas de caisse, tant que personne ne le voit il s’en fou, encore une fois pas vu pas pris, mais je vous avoue une chose sir la belle Izzidoràh lui dit qu’il ne faut rien jeter avec un grand sourire il arrêtera tout de suite, le pouvoir des femmes c’est quand même étonnant non ?
En voyant Izzi, bien sur qu’il pensait qu’elle était la pour courir, mais en se penchant plus sur la tenue ce n’était pas franchement le cas, elle était en vêtement de ville, on ne cours pas habillé comme ça. Il fut donc assez surpris quand elle lui annonça qu’elle était la pour se balader, les balades choses que les gens ici ne faisaient que très rarement pour ne pas dire jamais, l’Américain est pressé de nature.


Balader, un mot très peu courant ici, mais c’est vrai prendre le temps pour flâner je devrais le faire un peu plus souvent.

Pensait il ce qu’il disait ou c’était pour faire la conversation ? Et bien ça personne ne le sera, impossible de lire dans la tête du beau blond, il n’a aucune logique, puis quand il s’agit de fille on ne sait jamais ce qu’il pense.


Et l’envie te prend souvent ?

Une pause s’installa et il enchaina


Parce que moi l’envie elle me prend franchement jamais, je dois donc me forcer pour aller courir.

Et vu le métier qu’il a, l’importance qu’il porte à son corps il fallait qu’il fasse du sport, il ne se permettrait surement pas de prendre un gramme.