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 |  Sujet: Re: EBONY&ZAYN - Le premier jour du reste de ta vie Dim 27 Nov - 21:21 | |
| Okay je perd mes moyens, je pars facilement au quart de tour mais je n'avais aucune envie de te faire mal physiquement, ça c'est pas moi, et d'ailleurs ça me fait peur de voir que j'arrive pas à contrôler totalement mes gestes lorsqu'on me touche. C'est juste pitoyable quoi. J'en avais connu beaucoup des hommes comme Zayn. Des personnes qui n'arrivaient à contrôler leur colère, qui ne pouvait apprivoiser ces sentiments de rage qui courraient au creux de leurs veines. J'en connaissais mais n'en avais pourtant jamais côtoyés. Parce qu'en les côtoyant, même en se croyant la personne la plus forte du monde, on avait l'impression en même temps que les blessures qu'ils pouvaient affliger qu'on s'ouvrait. Qu'on se dispersait et qu'on laissait courir le long des marques les souvenirs de ce qui nous faisait mal et qu'on cherchait tant à cacher. C'est le genre de personnes que j'évitais car malgré qu'il pensait ça pitoyable et j'aurais pu en dire la même chose, je devais dire que cela me faisait assez peur de me dire que la violence pouvait réveiller en moi pas une souffrance des maux mais une souffrance bien plus profonde. A force d'avoir mal on en venait à sentir ce qui était bien au-delà de ça. A ressentir et se rappeler des souvenirs qui nous heurtaient beaucoup plus pour éviter de souffrir. Et là, on réveillait ce qui n'avait pas à être réveillé. C'était pourquoi la violence, je ne la côtoyais pas. Je n'imaginais même pas une personne s'emporter sur moi. Je contrôlais tout, je faisais tout et le reste suivait. Pas le contraire. Car alors si cela aurait été le contraire, alors j'aurais été emporté. J'aurais dérivé et je me serais perdue. Là, je n'aurais jamais pensé découvrir Zayn comme ça. Il m'effrayait mais m'attirais en même temps. Il semblait être tout ce que je fuyais mais sans savoir réellement pourquoi, ce côté qui me faisait si peur me plaisais pourtant. On était souvent attiré par le danger, c'est bien connu. J'avais toujours eu ce goût pour l'ivresse et l'excitation qui venait titiller tous vos membres pour vous jetez au creux des actions. Et bien Zayn me faisait penser à ça. Un tremplin d'émotions et d’excitation qui pouvait alors retourner ma vie pour un ou deux soirs. Mais pour cela, il fallait traverser certaines phases qui ne me plaisaient pas et qui me faisais mal. Mais j'étais comme ça. Étrange, à la recherche de sensations. S'il fallait souffrir pour ça, je le faisais. Un sado ? Enlevez le fouet je suis sûre qu'on pourrait le traduire comme ça !
Si elles avaient été des laiderons oui. Après tout faut toujours que je sois ta favorite, j'ai pas envie d'être mise à l'écart ! Je t'ai je te garde hein !
Je lui fis un clin d'oeil avec un sourire. Je n'avais pas relevé sa première remarque car je savais qu'en parler devait être dur pour lui et je n'avais aucune envie de retracer son intimité qui se voyait être déplaisante pour lui. Je ne voulais pas m’immiscer aussi loin dans ses pensées et pour cela j'écoutais et respectais sans rien dire. Cela me faisait bizarre. Jamais je n'avais écouter auparavant. Peut-être que Berkeley me faisait plus grandir que je ne l'aurais cru. J'eus un sourire lorsqu'il me répondit ensuite. Au que non et je commençais de plus en plus à le remarquer. J'avais l'impression qu'il était tout à la fois mon opposé et la personne qui me ressemblait peut-être le plus chez les gammas mais je n'aurais su discerner dans quel sens. J'avais peur de me rapprocher des gens c'était bien vrai. Quand le jeu n'était plus un jeu cela en devenait dans ce cas flou et je ne savais où poser les pieds. Pour seule et unique réponse, je déposa un regard malicieux sur lui et plein d'intérrogations. Je ne savais poser les pieds avec lui. Lorsqu'il m'invita à sortir, je fus surprise mais n'en montra rien; Je reprenais conscience qu'à la base, j'étais censée m'amuser avec lui. Maintenant, il me proposait de sortir. Pourquoi pas ... Mais cela était étrange. A quoi jouait-il ? Je n'en avais aucune idée et me méfiais. Néanmoins, je ne fuyais jamais et le regarda droit dans les yeux :
Du moment que tu ne portes pas un de ces vieux tee-shirts troués, je veux bien t'accompagner oui.
Je lui fis un sourire. Un nouveau jeu commençait j'avais l'impression mais maintenant qui jouait avec qui ? TOPIC TERMINE |
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| | Sujet: Re: EBONY&ZAYN - Le premier jour du reste de ta vie Lun 28 Nov - 20:49 | |
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