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Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN |

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MessageSujet: Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | EmptyJeu 4 Aoû - 4:12


JAGGER & JORDAN
You wanna play it soft. We'll play it soft. You wanna play it hard. Let's play it hard.

Numb by Linkin Park
you ask me if I have a God complex. let me tell you something: I am God.
MALICE. Ce garçon carbure d’enfer, alors à vos strings ignifugés les filles, le gonez est un véritable volcan, il est hot, hot, hot ! Belle taille, belle carrure, bring down. Il a tous les atouts ! Et en plus, il a des trucs à dire aux quelques 50 milliards de paires d’oreilles qui nous écoutent ! Balance tout mec !

La célébrité n'était pas quelque chose que j'avais acquis grâce à mon père, car bien que j'avais vu le jour dans une famille où nous avions la musique dans le sang, ma place je me la suis fait moi-même et si'l y avait bien une chose dont je pouvais être fier c'était ceci. Né dans la richesse je n'ai jamais prétendu pouvoir accéder au mode de vie que je vivais à présent grâce à cela, bien au contraire, je faisais en sorte d'éviter un maximum de dire mon nom pour n'avoir aucun traitement de faveur. Du talent j'en avais à revendre, énormément, il n'était pas prétentieux que de l'admettre, bien au contraire c'était faire preuve de réalisme et il n'y avait aucun mal à être sûr de soi, d'avoir confiance en ses capacités, c'est ce qui différencie un winner d'un loser, étant donné ma réussite il était inutile de préciser à quelle catégorie de personne j'appartenais. Comme pour n'importe quel groupe les débuts furent très dur, éprouvant, la célébrité ne nous tomba pas du ciel, cette fortune nous avions dû la mériter, prouver que nous en étions dignes, que notre musique était à la hauteur des attentes du reste du monde et c'était exactement ce que nous avions fait durant une année entière. Ce que je faisais sur scène, devant la foule était ce qui comptait le plus, mes actions en coulisse ne regardaient que moi et si c'était à refaire je referais les choses exactement de la même manière, avancer sans jamais sans retourner, ne rien regretter que l'on soit dans l'erreur ou non peu importe, ce qui compte est de profiter de la vie, de notre jeunesse et de toutes les possibilités que cela nous offre. Cependant, bien avant tout ça, j'avais une vie, chose que j'avais tendance à volontairement oublier, mettre de côté, et aujourd'hui je m'apprêtais à renouer le contact une personne de ce passé, l'une des seuls avec qui j'avais gardé contact, une qui m'avait connu avant que le succès ne me gagne et ne me monte à la tête. Monter à la tête était un bien grand mot, j'avais toujours été comme ça, la célébrité n'avait fait qu'accentuer certains de mes traits de caractère, au final je n'avais pas changé, j'étais simplement devenu la personne que j'étais destiné à devenir et fuck off les jaloux qui oseraient dire le contraire. La rock 'n' roll attitude je l'avais, jusqu'aux bouts des ongles, et avant de retourner San Francisco il y avait une personne que je devais retourner, enfin façon de parler, quoique...
C'était les vacances, une chance pour moi, cela me laissait suffisamment de temps pour clarifier certaines choses, tout mettre à plat pour être finalement prêt à faire un carnage le jour de la rentrée, si certaines personnes avaient oublié jagger bowee-stockwell elles allaient vite retrouver la mémoire et cette personne à qui j'allais justement rendre visite ne faisait très certainement pas partie de ce genre de personne. Avec la relation que nous entretenions il était impossible qu'elle puisse m'oublier, et quant à moi je n'allais pas jusqu'à dire qu'elle m'avait marqué, disons simplement qu'elle m'intriguait, de la curiosité ni plus ni moins. Tout comme moi elle savait très bien où nous allions et quelle avenir elle et moi nous pouvions imaginer, aucun. C'était simple, il n'y avait aucun avenir à imaginer, rien de sérieux et rien qui puisse réellement durer sur le long terme, fataliste comme je l'étais, il n'y avait aucune relation qui était destinée à briller de par sa réussite. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle il n'y avait jamais de « nous » avec personne, dans ce monde une seule personne passait avant tout le monde, moi-même, i'm more important than anything. Tout se résumait à cela, moi et personne d'autre, cela pouvait paraître égoïste, à vrai dire ça l'était, mais si tout le monde pensait de la même manière le monde serait alors beaucoup plus logique et très vite il deviendrait pour les gens comme moi qui fuient l'ennui comme la peste. Est-ce que la jeune à qui j'allais rendre visite me connaissait-elle réellement, en partie, elle avait connaissance des parties les plus charmantes de ma personnalité, les autres étaient à oublier pour se concentrer sur le plus important.

Les rues de San Francisco étaient sans cesse noir de monde, surtout en plein journée lorsque c'était l'été, l'animation était donc au rendez-vous et à chaque fois il y avait de l'action. Aujourd'hui, celui qui fournissait l'attraction de la journée était un jeune homme qui courrait à contre sens, dans la direction opposée de tous les autres passants, ce jeune homme ben c'était moi. Pas étonnant me direz vous, à chaque fois qu'il y avait du grabuge vous pouviez sûr et certains que jagger étaitêtre impliqué, pour mon plus grand bonheur. Parler de soit à la troisième personne c'est cool un certain moment, mais à force ça devient lourd. « reviens ici la superstar !! » vieil homme, la quarantaine, cheveux blanc comme neige, légèrement tassé à cause du poids des années qui pesaient sur ses épaules, il criait aussi fort qu'il le pouvait après moi alors que je courrai le plus vite possible, esquivant du mieux que je pouvais les passants, en direction opposée de la provenance des cris, à vrai dire plus j'étais loin et mieux c'était. Wait a minute... Je n'étais pas à proprement parlé un voleur, après tout je n'avais rien pris, que ça soit volontairement ou non, d'ailleurs quel aurait été l'intérêt de le faire, ma famille n'était pas riche certes, mais ça ne m'empêchait pas d'avoir tout ce que je désirais, un beau sourire et le tour était joué. Je ne faisais pas partie de ces jeunes qui volaient uniquement pour les sensations fortes que cette action pouvait engendrer, il y avait bien d'autres moyens de se procurer de l'adrénaline, donc pourquoi courir ? Simple réflexe, les vieilles habitudes ont la vie dure, on criait au voleur contre moi, je fuyais normal me direz vous, après tout, qui ne le ferait pas. C'était bien plus amusant de courir que plutôt de rester sur place et assumer, ok réaction pas très réfléchit je vous l'accorde, mais c'était plus amusant de vivre l'instant présent et de le savourer pleinement, profiter de chaque sensation que vos actes entraînent. Bien que j'avais dit que jamais je ne volerais pour une petite dose d'adrénaline, il était indéniable qu'elle était présente, un court instant certes, car oui se faire poursuivre par un petit vieux criard n'était pas la chose la plus palpitante que j'avais vécu dans ma vie, mais j'avais pleinement savouré les quelques secondes d'adrénaline que ce vieux monsieur m'avait offert et pour cela je l'en remerciais. Si je devais être shooté à quelque chose cela aurait été l'adrénaline, à défaut d'autre chose, remarquez l'ironie de la situation. Néanmoins, je n'avais aucun intérêt à trainer dans les parages, ce vieux bouc avait eu la bonne idée de crier superstar ce qui avait le don d'attirer les regards ainsi que d'intriguer, rien de bon pour moi, une mauvaise pub et j'allais perdre bien plus qu'un peu d'argent. Qui plus est, j'étais attendu quelque part, enfin pas vraiment étant donné que la jeune femme n'avait aucune idée qu'une vieille connaissance allait lui rendre visite, mais bon c'était tout comme.
Devant sa porte j'hésitais à cogner ou bien à rentrer à l'improviste, si tentait que la porte soit ouverte, une chose qui ne me surprendrait pas. Bien évidemment la solution la plus rationnelle aurait été de toquer à la porte, la plus simple également, mais je n'étais pas vraiment connu pour être l'homme le plus rationnel et logique de la terre, c'est pourquoi je tournais la poignée tout en espérant que la porte soit ouverte. Grâce à mon incroyable chance qui ne me quittait jamais, sauf dans les moments où j'en avais le plus besoin, j'entrais le plus discrètement possible dans l'appartement de la jeune femme qui avait bel et bien laissé sa porte d'ouverte. D'un pas lent et sûr sans la moindre de crainte de voir la sigma débouler de nulle part une poële à la main prête à m'assommer tout en criant au voleur je progressais dans son petit nid douillet que constituait son appartement. A entendre l'eau couler elle semblait être sous la douche, devais-je la rejoindre ? Ce serait mentir que de dire que l'idée ne m'avait pas traversé l'esprit, mais finalement je me résignais à concrétiser cette pensée qui pour le moment resterait simplement du domaine du fantasme. Peut être était elle en bonne compagnie, m'aurait-elle remplacée, légèrement vexant comme idée quoique des plus intéressantes et comiques si elle s'avérait être vraie. Préférant laisser le suspens me tuer je prenais mes aises sur son canapé tout en imaginant les surprises qui pourraient bien m'attendre à son retour. Allongeant mes jambes sur la table qui se trouvait devant moi je m'emparais de la télécommande tout en commençant à zapper sans réellement faire attention à ce qui défilait devant mes yeux. C'était zapper histoire de passer le temps et de jouer avec la zappette aussi. Jordan avait intérêt à très vite revenir, car l'ennui commençait déjà à me gagner et lorsque je m'ennuyais nous savons tous que la plupart du temps je commettais l'irréparable et très souvent ça se terminait plus que très mal. L'idée de la rejoindre sous la douche n'avait peut-être été une si mauvaise idée, quitte à faire une partie à trois, j'étais quelqu'un d'ouvert d'esprit, enfin j'avais tout de même mes propres limites, difficile à croire n'est-ce pas. Des limites avec Jordan je ne m'en fixais pas...
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MessageSujet: Re: Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | EmptyJeu 4 Aoû - 14:25

Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | Tumblr_lpccnvgBTV1qzukhh

Trois années. Trois longues années que je vivais à présent dans la ville de San Francisco. Ma vie avait bien changé depuis mon arrivée ici. On me demandait souvent si je ne regrettais pas d’être partie de Milan, ma ville natale, si l’Italie ne me manquait pas, si ma mère ne me manquait pas. Bien sûr que ma mère me manquait et bien sûr que j’aimerais retourner en Italie. Mais je ne regretterais jamais une seule seconde d’être venue ici à San Francisco et encore moins d’être entrée dans l’université de Berkeley. Beaucoup de gens ont de la peine à quitter leur petit foyer, leur ville natale. Je peux le comprendre, après tout j’ai toujours pensé que Milan était une ville magnifique, une ville de rêve même et je suis plutôt fière de mes origines italiennes. Seulement il y a des événements dans ma vie qui ont encouragé mon départ. Je ne serais jamais partie autrement, j’avais tout ce que je voulais à Milan, j’avais des tonnes d’amis et surtout ma meilleure amie Sabrina. Je n’avais donc pas spécialement de raison de partir si mon père n’avait pas décidé de me frapper ainsi que mon ex petit ami. Non je serais encore à Milan si tout s’était passé différemment, mais ce n’était pas le cas. Rester à Milan m’était donc devenu impossible à l’instant où je m’étais fait frappée pour la deuxième fois. De toute évidence je n’étais pas faite pour rester là-bas, quelque chose voulait me chasser de cette ville et faisait donc un sorte de faire de ma vie un cauchemar. Je ne voulais pas chercher à me battre pour rester dans cette ville. Il était évident pour moi que j’avais besoin de changer de vie, de partir loin d’ici et de tout recommencer à zéro. Je n’avais pas mis longtemps à me décider vu que le soir où je me suis fait frappée par Roman j’ai annoncé à ma mère mon départ et le lendemain j’étais déjà dans l’avion direction San Francisco. Au départ j’étais perdue, totalement perdue. En même temps j’arrivais dans un autre continent, un autre pays, une autre langue. Heureusement pour moi j’ai toujours beaucoup aimé l’anglais, je chantais d’ailleurs énormément de chanson en anglais lorsque j’étais encore à Milan, il ne m’a donc pas fallu longtemps pour m’adapter à la langue. Tous les gens que je rencontrais trouvaient toujours amusant d’entendre mon accent car forcément au départ mon accent italien était encore bien présent. Beaucoup de mes nouveaux amis me demandaient quelques phrases en Italien pour voir ce que ça donnait et j’en suis même venue à apprendre quelques mots à une amie pour rigoler. J’avais peur en arrivant dans cette grande ville, peur de ne pas y trouver ma place, mais je fus immédiatement très bien accueillie et je me fis plus rapidement que je ne l’avais espéré des amis. Des amis que j’ai encore aujourd’hui, mais aujourd’hui tout est bien différent. Après trois ans je peux dire que je suis devenue la parfaite habitante de San Francisco, personne ne pourrait se douter que je ne vis ici que depuis trois ans tellement je me suis bien intégrée à la ville. Mon passé je le laisse derrière moi. Les gens ici ne le connaissent pas pour la plupart de toute façon, ça ne sert à rien d’en parler, c’est mon passé et je souhaite qu’il reste où il est à Milan. Malheureusement on dit toujours que le passé fini par nous rattraper et il m’est arrivé à plusieurs reprises de me sentir comme obligée d’en parler. J’en avais donc fait part à quelques personnes, ceux qui sont au courant c’est en général parce que je n’en pouvais plus de garder ça au fond de moi et que j’avais donc dû en parler. Mais pour une seule personne dans cette ville c’était différent. Cette personne s’appelle Maël Lefevre avec lequel j’entretiens une relation plutôt étrange et difficile à cerner. Au départ je le considérais comme mon pire ennemi pour des raisons totalement absurdes. Quand on a vécu un passé comme le mien il n’est pas difficile de devenir parano et allez savoir pourquoi lorsque je voyais Maël j’avais l’impression de voir mon ex petit copain et j’étais soudainement persuadée que ce mec pourrait me faire revivre mes anciens cauchemars. Quand je vous dis que je suis devenue parano ce n’est pas pour rien. Il y a quelques temps j’avais fini par lui avouer les raisons de ma haine envers lui parce qu’il avait osé me traiter de filles pourries gâtées qui a toujours eu tout ce qu’elle voulait en demandant simplement à son père. J’avais horreur qu’on me prenne pour quelqu’un comme ça, ce n’était pas du tout mon genre et tout était sorti sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit. Depuis tout était bizarre entre nous il en savait beaucoup sur moi et moi aussi et ça nous dérangeait tous les deux. On ne pensait pas que ça allait se passer comme ça, ni l’un ni l’autre, mais maintenant c’était trop tard et le comble fut lorsque je me suis rendue à Cancun et que je me suis retrouvée dans la même chambre d’hôtel que lui. Bref, ma vie à San Francisco est plus que merveilleuse à mon avis et je me sentais totalement épanouie. J’éprouvais de moins en moins le besoin de retourner en Italie. J’avais ma petite chambre dans la résidence Milky Way, je continuais mes petites études de musique. Bref une certaine routine s’était installée dans ma vie et ça me plaisait. Je me demandais parfois comment les gens de Milan réagiraient s’ils me voyaient tel que je suis aujourd’hui. Il faut dire que j’ai bien changé depuis le temps, l’ancienne Jordan est restée à Milan et à l’époque j’étais loin d’être la femme fatale que je suis aujourd’hui. Ce n’était pas mon genre de coucher avec tout ce qui bouge, si je peux me permettre de m’exprimer ainsi, ce n’étais pas mon genre de porter des habits aussi sexy et un peu provocateurs parfois, ce n’était pas mon genre d’afficher une telle confiance en moi. Non à l’époque j’étais la fille sympathique, amusante, prête à aider tout le monde, le cœur sur la main, très sociable et en même temps parfois un peu trop gentille. Il m’arrivait de me faire marcher sur les pieds et je n’avais pas vraiment confiance en moi. Mais tout ça avait bien changé, même si cette Jordan existe toujours, elle reste simplement bien cachée parce que pour moi c’est plus facile de vivre comme ça, parce que pour moi c’est important de montrer que je n’ai pas froid aux yeux. C’est comme si cette image me permettait d’éloigner les personnes qui voudraient me faire du mal et surtout je m’empêchais de tomber amoureuse. Prendre le risque de retomber sur un homme tel que Roman ne m’intéressait pas du tout, prendre le risque de me faire briser le cœur comme ça une deuxième fois non merci. J’avais donc banni les mots amour et sentiment de mon vocabulaire. Ce qui m’intéressait c’était les histoires d’un soir un point c’est tout. Je n’avais pas besoin de plus pour me sentir comblée. D’ailleurs en parlant d’être comblée j’en avais fait des rencontres ici franchement intéressantes. Notamment celle d’un certain Jagger, encore peu connu à l’époque où je l’ai rencontré mais qui est aujourd’hui une vraie Rock Star. Ma relation avec lui est sans doute une des meilleures que j’ai connue dans cette ville. Mais rassurez-vous ce n’était pas le seul, mais disons que la nôtre était un peu plus particulière.

Mais enfin ce n’était pas la question aujourd’hui. Pour le moment l’important pour moi s’était d’aller prendre une douche. J’étais rentrée de Cancun il y a deux jours, j’avais pas mal de chose à faire à San Francisco, j’y retournerais certainement pour la fin des vacances. Pendant les vacances je m’étais cependant peut-être un peu trop laissée allée et depuis deux jours j’avais repris intensément mon jogging matinal afin de garder ma silhouette de rêve. Il est évident que si je veux continuer à avoir pleins de jeunes hommes dans mon lit et pour ça il ne faut pas que je me relâche. En deux jours j’avais déjà réussi à perdre pas mal, mais bon de toute façon ce n’était pas comme si j’avais repris dix kilos, la différence ne se voyait en fait quasiment pas, mais enfin c’est dans ma tête ma fois. Ce matin je m’étais un peu levée trop tard cependant et j’avais fait mon jogging plus tard que prévu et sous ce soleil autant vous dire que j’avais transpiré et qu’une douche s’imposait. En rentrant j’avais commencé par boire un grand verre d’eau fraiche. Ensuite direction la salle de bain pour aller enfin me rafraîchir. Je fourrais dans mon bac à linge sale les habits que je portais durant mon jogging. Je sautais ensuite sous la douche où je restais beaucoup plus longtemps que d’habitude. Je me sentais comme revivre et je n’avais plus envie de sortir de sous cette douche presque froide et qui me faisait donc un bien fou. Je finis quand même à me décider à mettre le pied dehors de la douche. Je mettais ma serviette blanche autour de ma taille et essorais un peu mes cheveux dans ma douche pour ensuite les laisser tomber sur mes épaules. Lorsque j’ouvris la porte de la salle de bain j’entendis alors le son de la télévision. Je fronçais les sourcils pourtant j’étais persuadée que je n’avais pas allumé la télévision en arrivant. Peut-être que je me trompais et que je l’avais fait par pur réflexe. Je me dirigeais donc vers mon petit salon et je poussais un petit cri en voyant Jagger posé sur mon canapé en train de zapper. Il m’avait fait peur surtout que je ne m’attendais certainement pas à le voir lui, ça faisait un petit moment qu’on ne s’était pas recroisé tous les deux, avec ses tournées il était toujours très occupé. Mon dieu Jagger, tu m’as fait peur ! Qu’est-ce que tu fais ici ? Et on t’as pas appris à frapper quand tu vas chez les gens ? Je connaissais bien Jagger pour savoir qu’il ne se gênait pas vraiment quand il venait me voir, mais enfin je le taquinais un peu j’avais bien le droit. Je m’approchais de lui pour m’installer juste à côté de lui et je déposais un simple bisou sur sa joue. Comment tu vas ?
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MessageSujet: Re: Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | EmptyJeu 18 Aoû - 3:43


JAGGER & JORDAN
Procrastination running circles in my head while you sit there contemplating

When I'm Gone by Simple Plan
je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence.
WHEN I'M GONE. I look around me, but all I seem to see it's people going nowhere expecting sympathy. It’s like we’re going through the emotions of the scripted destiny. Tell me where’s our inspiration. If life won’t wait I guess it’s up to me. No we’re not gonna waste another moment in this town, we won't come back, the world is coming out. Leave the past in the past gonna find the future and misery loves company. Well so long. You’ll miss me when I’m gone

A priori une partie à trois n'était pas à l'ordre du jour, avec un certain soulagement je posais mon regard sur la jeune femme qui enroulée dans sa serviette blanche à moitié mouillé me fixait d'un air surpris et déconcerté. « j'crois que mon père a dû zapper cette partie de mon éducation. » répondais-je d'un air taquin à la question de la jeune femme qui se voulait purement rhétorique et qui pourtant en sortant de sa bouche semblait réclamer une réponse de ma part, chose que j'avais fait sans me faire prier, je ne ratais jamais une occasion de faire le malin, surtout en présence d'une belle femme. Associer le mot éducation à celui de mon père était une chose bien maladroite de ma part, la seule chose qui nous liait était notre nom de famille ainsi que notre passion pour la musique, rien de plus, dire qu'il était à l'origine de l'homme que j'étais aujourd'hui était vrai, mais pas de la manière dont on le pensait. Mon éducation je me l'étais fait moi-même, donc non personne ne m'avait jamais appris à frapper avant d'entrer. A l'aide de ma folie contagieuse je faisais en sorte de prendre possession de n'importe quelle pièce dans laquelle j'entrais et l'appartement de la jeune sigma n'allait pas faire exception, ce n'était qu'une question de temps avant que ce beau salon bien rangé ne devienne un véritable champ de bataille. A son entrée un enivrant parfum envahissait la pièce entière, chatouillant mes narines je me mettais alors à éternuer laissant ainsi glisser de mes mains la télécommande, la laissant à terre, après tout elle ne pourrait pas tomber plus bas que terre, je retirais mes pieds de la table avant de regarder la jeune femme d'un air ironique. Moi lui faire peur ? C'était bien là la dernière chose que je voulais faire, bien au contraire je comptais prendre du bon temps, m'amuser, loin de tout le stress qu'apporte une tournée, chose dont je faisais habituellement abstraction, et des foules en délire, je retournais à une vie soit disant « normale », après tout qui étais-je pour dire ce qui était normal et ce qui ne l'était pas, tout était une question de point de vue et dans mon monde la normalité atteint des sommets quelques peu extrêmes. Cependant, avec Jordan la notion de normalité prenait une tout autre dimension, transportait dans un autre univers où seul le plaisir et l'amusement d'autrui compte, le plus souvent nous nous laissions aller à nos envies, pulsions, et c'était là toute la beauté de notre relation, si ce que l'on avait pouvait se définir comme étant une relation. Le temps où nous devions nous encombrer de quelconques sentiments était révolue, profiter de sa jeunesse ainsi que des joies qu'elle nous offrait était tellement plus simple et agréable. De nos jours la plupart des jeunes de notre âge souhaitaient grandir un peu trop vite à mon goût, s'engager dans des relations sérieuses, prévoir des projets pour le futur, une maison avec un petit portail blanc, deux enfants, une boite aux lettres fait en bois ainsi qu'un chien pour monter la garde, mon dieu si c'était à cela que mon avenir devait ressembler s'il vous plait, tuez moi maintenant. I'm just gonna kill myself. Tel un drogué je revenais constamment vers la jeune femme pour réclamer ma dose, le fait est qu'en sa présence toutes ces perspectives d'avenir me semblaient loin, très loin, tellement qu'elles ressemblaient plus à un mauvais rêve qu'autre chose et c'était ce qui faisait que contrairement aux autres je gardais la jeune femme à mes côtés, sans pour autant être trop proche. Ma vie était déjà à elle toute seule un drame, inutile de m'encombrer de tous ces projets qui ne feraient que m'enterrer davantage et m'empêcher de progresser et d'atteindre mon véritable potentiel, cette célébrité n'était qu'une étape de ma vie et ne représentait rien comparé à ce dont j'étais réellement capable. Je commençais à peine à m'épanouir que je me retrouvais de nouveau enchaîner à cette cage que représentait San Francisco et qui m'avait retenu captif durant de nombreuses années, beaucoup trop à mon goût. A présent je n'étais plus qu'un lion en cage avec les crocs limés et incapable de mordre, heureusement pour moi j'avais de nouveaux jouets pour me tenir occupé. Jordan était sans conteste l'un de mes jouets favoris et certainement un de ceux avec lequel je prenais le plus de plaisir à jouer.
Lorsque la jeune femme prenais place sur le canapé à mes côtés j'accueillais avec grand un plaisir et un petit sourire aux lèvres son baisé qu'elle venait déposer sur ma joue. J'aurais espéré mieux comme amuse gueule, mais pour le moment je me contenterais du peu que je pouvais obtenir. Notre dernière rencontre datait quelque peu et peut être avait-elle besoin d'un peu de temps pour se remettre dans le bain, contrairement à elle je n'avais pas perdu la main et à peine de retour dans la ville qui avait bercée mon enfance j'étais déjà prêt à profiter de ces dernières semaines de vacances, l'heure de la reprise des cours approchait petit à petit et c'était avec méfiance que je l'appréhendais, bien décidé à fuir cette rentrée du mieux que je pouvais je comptais m'échapper de cette réalité qui me compressait de plus en plus me rappelant pourquoi je détestais autant cette ville et pourquoi je la fuyais tant. Habituellement, pour répondre à mes attentes je me contentais de simplement m'en allumer un petit et planer ainsi vers de nouveaux horizons, là où le mot impossible n'existait pas et mes seules limites étaient celle que mon imagination m'imposait, autant dire pas beaucoup. Alors est-ce que j'allais bien ? C'était une bonne question à laquelle je n'étais pas sûr de pouvoir répondre correctement, bien évidemment, revenir dans cette ville était pour moi plus une punition qu'autre chose, une punition pour mon comportement tout au long de la tournée, mais peu importe ça n'allait pas être un vieux totalement dépassé par son temps qui allait me dire comment je devais mener ma vie. Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme. Après une petite réflexion c'était sur un ton sûr et toujours aussi provocateur le tout englobé par un léger sourire aguicheur que je lui répondais « comme un oiseau en cage. » une phrase qui au final résumait bien ma pensée. San Francisco n'était rien d'autre pour moi qu'un poids qui ne faisait que m'entraîner vers le fond, mais il y a une chose dont vous pouvez être sûr, j'entraînerais le plus personnes avec moi dans ma chute. Une réponse qui pour moi était clair comme de l'eau de roche, mais qui pour elle pouvait être vu comme une énigme à laquelle elle ne trouverait certainement pas de réponse, réponse que je ne voulais pas qu'elle trouve, après tout si je voulais partager mes états d'âmes je n'avais qu'à prendre rendez-vous avec un de ces charlatans qui se faisait appeler psychologue, s'asseoir sur un fauteuil et écouter quelque un raconter ses soucis, la plus grande arnaque de notre époque. Passant mon bras derrière la jeune femme je m'approchais de cette dernière tout en me mordant la lèvre inférieure avant de finalement me mettre au-dessus de la sigma à califourchon en prenant soin de ne pas lui écraser les jambes. Implantant mon regard dans le sien je passais un de mes bras derrière sa nuque tandis que l'autre venait se poser sur l'accoudoir juste à côté, tout en rapprochant mon visage petit à petit du sien je prenais de nouveau la parole tout en soufflant légèrement « sans toi mes après concerts étaient plutôt ennuyants. » après tout je ne mentais qu'à moitié, certes son absence ne m'avait pas mit dans un état de dépression totale et je ne mettais généralement pas très longtemps à lui retrouver une remplaçante pour la soirée, mais aucune d'elles n'équivalaient, la beauté, le charme, la sensualité et l'expérience de la jeune femme qui se trouvait juste en face de moi. Qui plus est, c'était une « amie », si je pouvais l'appeler comme ça, de longue date, en tout cas elle faisait partie des rares personnes qui pouvaient se vanter d'être dans ma vie depuis déjà plusieurs années, ce qui en soit était un exploit. Le visage à quelques centimètres du sien j'arborais un grand sourire provocateur et expirais légèrement avant de reprendre de nouveau la parole « je suis sûr que toi aussi tu t'es ennuyé sans moi. » moi arrogant ? Légèrement. Je ne m'en cachais pas, la jeune femme savait comme j'étais, comme je fonctionnais et je n'étais pas du genre à faire dans la demi mesure ou bien à tourner autour du pot durant une heure, direct je posais les bases dès le début et avec moi la sigma savait très bien où elle allait et jusqu'où je pouvais l'emmener. Le tout ne tenait plus qu'à elle, désirait elle rester là où elle était et rester dans sa zone de confiance ou bien préférait-elle quitter sa routine l'espace d'une journée pour un embarquer dans un voyage qu'elle n'était pas prête d'oublier.


Citation :
désolé pour le retard
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MessageSujet: Re: Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | EmptyJeu 18 Aoû - 16:13

Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | Tumblr_lq3o2c7Wlh1qzylxmo1_500

S’il y a bien une rencontre que je ne regrette pas ici à Berkeley c’est bien celle de Jagger. J’ai bien compris quand je l’ai rencontré que tous les deux nous étions sur la même longueur d’onde et que nous recherchions la même chose : des relations d’un soir sans sentiments et s’écarter le plus possible de ces relation sérieuses qui apportent plus de problèmes qu’autre chose. Une chance de l’avoir rencontré effectivement, juste avant qu’il ne devienne célèbre qui plus est, je dois dire d’ailleurs que si je ne l’avais pas rencontré avant je ne l’aurais peut-être jamais connu et il est évident que pour moi j’aurais passé à côté de quelque chose d’incroyable. J’ai aussi compris que Jagger n’était pas comme les autres et j’ai réussi à voir en lui pas seulement un jouet, mais aussi un potentiel ami. Bien évidemment je suis loin de me confier à lui sur mon passé et sur mes moindres secrets, autant dire qu’il ne sait finalement que très peu de chose sur moi. Il connaît certainement pas cœur la Jordan de San Francisco, mais jamais il n’a eu l’occasion de découvrir la Jordan de Milan et je ne souhaite certainement pas qu’il la découvre un jour alors qu’il pense que je suis une femme forte qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Non s’il venait à découvrir à quel point je peux être vulnérable je ne sais pas comment il réagirait, peut-être même qu’il en viendrait à essayer de me détruire. Je ne pourrais imaginer pire. Si je voyais en lui un ami c’est parce que je sais que je peux compter sur lui, si un jour je venais à me retrouver dans une embrouille ou je ne sais quoi j’étais persuadée que Jagger serait là pour m’aider et pour me sortir de mes problèmes. Il y a énormément de choses que j’apprécie ensuite chez lui, pourtant je suis loin d’être tombée amoureuse de lui. Il y a de l’attirance entre nous, c’est évident sinon ça ferait bien longtemps que nous ne coucherions plus ensemble. Il y a une certaine alchimie, un petit truc en plus, mais il ne faut pas être un génie pour comprendre que cette petite différence vient simplement du fait que nous sommes totalement compatible sexuellement. Et oui mine de rien ça change pas mal de choses dans n’importe quel genre de relation. Cette petite alchimie vient donc certainement de là et de ces petites taquineries qu’on aime se faire l’un et l’autre. Vous imaginez donc bien que j’ai été plus que contente en découvrant qu’il se trouvait là dans mon salon assis sur mon canapé à regarder la télévision. Je ne l’avais pas entendu entrer, il n’avait pas frappé, mais ça ne m’étonnait pas plus que ça, depuis le temps je connais Jagger et ces « bonnes » manières. Je ne pus donc m’empêcher de lui faire un petit commentaire et je rigolais en entendant sa réponse. Il a plutôt zapper toute ton éducation ! J’étais loin de me douter que je m’étais le doigt sur quelque chose de totalement vrai, je ne cherchais qu’à l’embêter sur ses manières et je ne cherchais pas à lui envoyer quelque chose de méchant bien évidemment. Je venais m’asseoir à côté de lui sur le canapé, vêtue simplement de ma serviette entourée autour de mon corps totalement nu. Je venais déposer un simple bisou sur sa joue ça faisait si longtemps que je ne l’avais pas revu. Il faut dire qu’avec ses tournées il n’avait plus vraiment le temps de venir faire un tour à San Francisco pour me dire bonjour. En plus je pensais bien que s’il revenait ici il avait certainement bien d’autres personnes à aller voir avant moi. J’aurais pu directement l’embrasser sur ses lèvres et même aller un peu plus loin, mais je me disais que depuis le temps je pouvais bien prendre de ses nouvelles avant de passer aux choses sérieuses et en plus je ne savais pas si Jagger était d’humeur à faire ça. Bon c’est vrai que c’était plutôt idiot de se demander ça étant donné qu’il est toujours partant pour une petite gâterie, mais enfin on ne sait jamais. Je lui demandais donc simplement comment il allait et il me répondit par une sorte d’énigme. J’en déduisais qu’il n’était pas très bien ici vu la réponse il se sentait tout simplement enfermé et certainement pas libre. Pourquoi ? Je n’en avais pas la moindre idée vu que je ne connais pas spécialement les secrets de Jagger, mais je ne comptais pas lui poser plus de questions à ce sujet, je n’étais pas là pour lui faire un interrogatoire sur sa vie privée après tout et s’il souhaitait m’en parler il ne serait pas aller par quatre chemins il m’aurait immédiatement dit ce qu’il n’appréciait pas ici à San Francisco. Et bah on va faire un sorte que tu te sentes un peu moins enfermé au moins pour quelques heures. J’affichais un petit sourire coquin comme je sais si bien le faire et je plongeais mon regard dans le sien. Je voulais évidemment dire par là que je comptais bien lui faire oublier ses soucis pour un petit moment pour qu’il ne pense simplement qu’au plaisir que je peux lui procurer. Je continuais de le regarder et celui-ci s’approcha de moi, passant d’abord un bras derrière moi il s’approchait tout en se mordant la lèvre inférieure ce qui me fit sourire. Il se retrouva ensuite à califourchon au-dessus de moi et je continuais de le regarder. Beaucoup de filles auraient pu se sentir très mal à l’aise mais ce n’était pas mon cas. Bien au contraire, je me sentais totalement à ma place. Il m’arrivait parfois d’aller voir un de ses concerts lorsque ce n’était pas trop loin de chez moi, j’ai toujours apprécié la musique de son groupe et en plus j’avais le droit à des petits extras une fois que je me retrouvais dans la loge de Jagger, c’est pourquoi je ne pus m’empêcher de sourire en l’entendant dire que ses après concerts étaient ennuyants sans moi. Je savais bien que je n’étais certainement pas la seule qui avait fini dans le lit du beau Jagger, je pense même que son lit a été plus visité que n’importe quel musée de cette ville. Ca ne me dérangeait pas le moins du monde, de toute façon il est loin d’être mon petit copain et ce n’est pas comme si je m’interdisais d’aller voir ailleurs, loin de là même. Ah oui vraiment ? Tu n’as pas trouvé des fans hystériques prête à tout pour coucher avec toi ? La salle de concert devait être remplie de ce genre de filles c’était évident. J’avais déjà pu remarquer à ses concerts comme à n’importe quel concert d’ailleurs à quel point les filles peuvent devenir totalement folle face à un chanteur qui chante des « je t’aime » et je ne sais quoi d’autres. Je n’étais pas de ce genre-là –heureusement- mais je m’amusais toujours à regarder par contre ses filles durant le concert qui tombent presque dans les pommes quand le chanteur leur effleure la main. Jagger ajouta ensuite qu’il était persuadé que je m’étais aussi ennuyée sans lui et je ne pouvais nier que je n’avais pas trouvé de partenaire aussi parfait que lui dans le domaine du sexe. Mais enfin j’avais tout de même trouvé de quoi m’amuser un peu. Je le regardais droit dans les yeux quelques secondes avec un petit sourire en coin. Tu n’imagines pas à quel point ! Son visage était à quelques centimètres du mien et j’approchais un peu mes lèvres des siennes les effleurant et je descendais ensuite mon visage pour l’embrasser dans son cou à plusieurs reprises. Je glissais doucement mes mains dans son dos, sous son T-shirt caressant son torse, remontant son T-shirt je finis par le retirer pour laisser apparaître son magnifique torse bien musclé qui m’avait franchement manqué je devais bien l’avouer. Je préférais déjà commencer à le déshabiller car honnêtement il n’avait juste à défaire le haut de ma serviette qui la tenait fermée et en moins d’une seconde je me retrouverais nue. Je lançais un petit regard coquin à Jagger, de toute évidence j’avais envie de lui, là maintenant ! Mais il ne fallait pas faire les choses trop vite, coucher avec lui n’est pas quelque chose à prendre à la légère, c’est un certain plaisir dont j’aime profiter de chaque seconde et que j’adore faire durer. C’est tout un art de savoir profiter des bonnes choses et à force de côtoyer Jagger j’avais appris à profiter des moments avec lui à deux cents pourcent. En plus de ça je ne pouvais m’empêcher de penser que nous étions en train de nous retrouver après un long moment d’absence et que nous devions donc tous les deux être franchement impatients et excités de pouvoir goûter à nouveau au plaisir de coucher ensemble, le tout risquait d’être donc d’autant plus intense et sauvage que les fois précédentes je ne pouvais donc qu’être impatiente.
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | Every step that I take is another mistake to you | PV JORDAN | EmptyJeu 24 Nov - 14:29

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