Un jour je te dirais je t'aime ♦ Natheur

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Imaginez… Imaginez le silence, le silence reposant, le silence qui calme. Un silence où vous n’entendez que les battements du cœur et les respirations régulières. Le silence d’une chambre universitaire, un silence qui vous donne envie de rester au lit et de dormir encore plus longtemps. Et puis…
« Bonjour mes petit San Franciscains, ici Andrew pour vous réveillez chez Francisco Radio en ce samedi. Aujourd’hui, le temps sera plus chaud pour cette saison automnale et nous annonçons déjà des bouchons sur notre pont chéri. Mais ne vous inquiétez pas nous allons vous rendre la vie meilleure avec le son de Pixie Black Eyed Peas : « Don’t Stop The Party »… »
Moi, Fleur Juliett La Tour Dubois poussai un grognement et ramenai la couverture sur moi. Pourquoi le réveil avait-il sonné alors qu’on était un samedi matin, et un lendemain de soirée en plus je faisais que très peut de soirée alors pour une fois. Tout simplement parce que miss gaffe avait, comme d’habitude oublié d’éteindre la fonction sonnerie sur son réveille-matin. Je fus donc éveillée pour rien. Je restai encore un temps dans les draps chaux et doux de mon lit, je ne pouvais pas me rendormir maintenant que j’étais bien réveillée. Je décidai alors de travailler sur mon travaille de littérature qui avait comme sujet le roman étranger. Je devais rédiger un texte sur les différences de culture par rapport au livre lu. C’était une des choses que j’adorais le plus en littérature : analyser. Essayer de savoir comment l’auteur a écrit son roman, sur quoi s’est-il basé,… Les romans étrangers me plaisaient encore plus car j’adorai découvrir de nouveau pays, d’autres cultures. C’est pour cela d’ailleurs, que j’avais pris les langues comme option. Je pris l’ordinateur Apple qui traînait par terre sous mon lit et commençai à taper frénétiquement. Je travaillai encore pendant une grosse demi-heure, en restant dans mon lit, en boxer et caraco. Puis, je décidai qu’il était quand même temps de me préparer.
Je traînai des pieds vers la petite salle de bain où je me débarrassai de mes vêtements de nuits en les laissant tomber sur le sol avant de rentrer dans la cabine de douche. Je pris une douche bien chaude. Depuis, toujours je prenais des bains ou des douches chaudes, très chaude, jusqu’à m’en brûler la peau. J’adorais cette sensation de picotement sur l’épiderme, je ressentais mieux mon corps. Après que la salle de bain soit complètement embuée, je décidai de sortir et me dirigeai vers ma commode où se trouvaient mes sous-vêtements. En cherchant un soutien-gorge adéquat, je découvris la lettre. Un lettre que si j’ouvrai changera ma vie. C’était le courrier que ma mère avait écrite avant de mourir de cette affreuse maladie. Cette derniers me l’avait donné à mes dix-huit –Joyeux anniversaires!- et voila 2 ans qu’elle traînait entre mes petites culottes, je n’avais toujours pas osé l’ouvrir de peur de découvrir ce qu’elle me disait. Je fis tourner l’enveloppe entre mes doigts pour finalement la remettre à sa place.
Je fus saisi par la sonnerie de mon téléphone posé sur la table de chevet, je venais de recevoir un message. Je pris le petit appareil, c’était Nathaniel, mon tout nouveau compagnon que je commençais a aimé de plus en plus, mes sentiments avait mit du temps a venir mais maintenant j’été sur de ce que je ressentais. Nathy – comme je l’appelais depuis son arrivé- était lui aussi à Berkeley ce qui nous avait encore plus rapproché. Nous nous voyions quelque fois pour un peu parler mais de plus en plus jusqu'à ce que voila notre sentiment d’amitié en devienne de l’amour. Et là, c’était, le cas. Il me donnait rendez-vous à 14 heures au café, dans le centre de San Francisco. J’avais encore un peu de temps mais, me connaissant, si je prenais trop de temps, je serais en retard… Et être en retard était pour moi le pire manque de respect donc il était juste hors de question que je le sois. Une petite demi heure après j’arrivais au café, oh il était déjà la, je me sentais gêné face à lui, c’est doucement que je m’approcher de lui par derrière en lui glissant un baiser timide dans le coup.

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FLEUR&&NATHANIEL

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Samedi, le jour le plus merveilleux de la semaine. Premier jour du week-end mais pas le dernier, en général, le samedi était synonyme de gueule de bois du vendredi soir, ou alors synonyme de fêtes pour le soir. Quoi qu'il en soit, pour moi, les fêtes c'étaient déjà rare, mais là c'était pour moi quasiment inexistant depuis que mon ex petite amie et moi avions donnés la vie à un petit être qui était, pour moi, l'une des personnes des plus importantes pour moi : mon fils, Jules. Ce petit garçon était merveilleux, il me ressemblait, c'est normal j'ai envie de dire. Pour être plus sérieux, ce bébé était véritablement un petit ange, grâce à lui, j'étais devenu meilleur, encore plus mature que je l'étais déjà.
Mais aujourd'hui, cette petite canaille qu'était Jules avait décidé de ne pas laisser son papa dormir jusqu'à au moins 9h. D'habitude, c'était à cette heure-là qu'il se réveillait, mais bizarrement aujourd'hui il était très matinal. Et quand je dis très matinal c'était vraiment très matinal ! Il était 6h du matin quand ce petit bout de chou ce mit à pleurer. Il fallait que je remplisse son petit ventre de lait maternelle. Je m'étais donc levé à 6heure du matin, la tête complètement dans le brouillard, les yeux qui avaient bien du mal à s'ouvrir et je préparais le lait pour mon petit garçon à moi. Le prenant dans mes bras, je me posais sur mon lit et lui faisait délicatement entré la mamelle en silicone dans la bouche. Ni une ni deux, le petit Atwoodth se mit à boire son précieux petit déjeuner. Bizarrement, quand je lui donnais à manger, j'avais toujours le sourire aux lèvres. J'étais émerveillé de voir ce petit être qu'était mon fils en train de manger. Même après tout ce temps, j'étais encore sous le charme. Et bientôt je savais que quand il serait grand, je savais que ce serait les jolies demoiselles qui seraient sous le charme quand il mangerait.
Mais ce n'était pas demain la veille qu'il pourrait faire le joli coeur avec ses dames, pour l'instant c'était encore un petit bébé qui faisait fondre son petit papa poule. Après que Jules est fini son biberon, je lui fis faire son rot et je décidais de le remettre dans son lit. Je pensais qu'il se rendormirait, tout comme moi, mais ce ne fut pas le cas. Dix minutes après, il se remit à pleurer. C'est avec un petit grognement que je le prit dans mes bras et le commençais à le balancer tout doucement dans mes bras pour le bercé, histoire qu'il puisse se rendormir. Mais à chaque fois que je le déposais dans son lit, il pleurait. Petit farceur ! Quand je le prenais dans mes bras il s'arrêtait de pleurer. A peine était-il tout petit que ce petit monstre avait déjà compris comment faire pour m'embêter. S'il commençait ainsi dès son plus jeune âge, je n'avais finalement pas hâte de le voir quand il serait adolescent, la période la plus infernale pour des parents.
Il était 9heure et mon réveille se mit à sonner. Il ne servait à rien aujourd'hui puisque j'avais déjà un réveille-matin vivant. Par contre celui-là n'était pas aussi bien réglé que la machine. Quoi qu'il en soit, aujourd'hui je devais malheureusement rendre le petit Jules à sa mère pour qu'elle le garde une semaine. Nous étions arrivés à cet accord sans même passer devant un tribunal. Après tout, il fallait croire que Naomi était un minimum intelligente parce qu'elle savait que si elle demandait la garde intégrale de Jules, elle ne l'aurait jamais eu vu ses antécédents plus que déplaisant. Contrairement à elle, moi j'étais un ange, la justice m'aurait donc confié la garde de mon garçon. Tousles samedis, nous nous passions le bébé pour une semaine et aujourd'hui, je devais le rendre à sa mère. Inutile de dire à quel point je suis stressé durant la semaine que de savoir mon fils entre les mains de Naomi. C'était plus fort que moi, elle avait perdu ma confiance et à tout jamais donc...
Stressé la semaine ou pas, je devais quand même donner cet enfant à sa mère. C'est pour cela que dès que Jules se calma, je le fis coucher dans son lit. Après cela, j'allais dans ma salle de bain et enleva le caleçon que je portais pour dormir pour prendre une bonne douche et pour me préparer. A 12h, je donnais à manger une nouvelle fois à Jules et à 13h j'amenais mon petit garçon à sa mère. Les au revoirs furent difficile pour moi, je n'aimais vraiment pas laissé mon enfant, il me manquait trop à chaque fois que je ne l'avais pas avec moi. J'étais fou de lui que voulez-vous.

Nathaniel a écrit:: 14h au café qui se trouve au centre de San Fransisco ? <3

J'envoyais ce message à Fleur, juste après avoir quitté mon fils. Maintenant que j'avais la semaine pour moi, je pouvais encore plus consacrer mon temps à Fleur ma petite amie. Entre elle et moi tout commencés pour le mieux. Enfin, il faut dire que le commencement de notre histoire d'amour n'avait pas été très banal. On c'était marié à Las Vegas totalement sous l'emprise de l'alcool. On avait annulé le mariage, mais cette histoire m'avait poussé à être plus courageux et a avoué mes sentiments pour elle. Elle avait bien pris l'idée et nous avions commencés à sortir ensemble. Aujourd'hui encore je suis très heureux d'être avec elle, mes sentiments sont de plus en plus fort de jour en jour et j'espère que c'est le cas pour elle aussi.
Il était 14heure et je sentis un baiser sur mon cou. Je fis un petit bon, moi qui était assis dans mes pensées, puis me retourna pour voir ma douche Fleur. D'un bond je me levais pour me mettre à sa hauteur bien que je sois plus grand qu'elle et avec un mouvement de timidité, colla mes lèvres aux siennes pour un baiser.
« Salut » lui dis-je avec le sourire après que nos lèvres se soient séparés.

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Nathaniel & Fleur

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Généralement le samedi était synonyme de soirée de débauche et tout ce qui s’en suis, pour moi, rien de tous ca je passais encore mes journée a pouponner mais en tout cas pas ce weekend, ce weekend était le weekend avec son père, son abrutit de père même dirais-je Drew, oh mon dieu cet homme la, je ne pouvais juste plus le voir en peinture enfaite, il m’avait détruit, et avait surtout voulu détruire mon sang ma chère ma petite sœur Constance Sarah La Tour Dubois. Elle que j’aimais tellement, il avait osait essayer de me la prendre a tous jamais, non mais sérieux qu’est-ce qui tourne pas rond chez lui ? Être aussi perturbé psychologiquement parlant était grave, très grave même, elle aurait très bien pu porter plainte contre lui, et je ne lui en aurais pas voulu, mais je pense qu’elle ne voulait pas perdre de temps et malgré je pense aussi qu’elle devait penser a moi en le faisant pas. Et même si je n’aimais pas Drew, du moins plus, j’aurais eu du mal a accepté qu’il aille en prison ce qui m’aurait obligé a dire a son fils la vérité puisqu’il été pour moi hors de question de lui mentir. Il est clair que Drew n’a pas assumé ses actes sinon il aurait été se rendre de lui-même, mais bon on connait bien Drew, de la lâcheté dans toutes sa splendeur que demande le peuple faut surtout pas trop lui en demandé a lui. Et pour couronner le tout, au lieu de s’occuper de son fils monsieur s’était re découvert sa passion pour la musique. En ce moment je l’avais mauvaise, même très mauvaise, pour rien de spécial en particulier, juste que ma vie... M’ennuyer totalement, d’accord j’avais un petit ami en or bon nous en étions qu’au début de notre relation mais je dois bien avouer que pour le moment tous ce passer pour le mieux. J’avais un fils merveilleux ainsi qu’une sœur que j’aime plus que tout, à coté de sa ouai j’ai aussi mon demi frère mais depuis quelque temps et depuis indénombrable embrouille, on ne peut juste plus se voir en peinture, merveilleux. Comment est-ce qu’en un an et demi ma vie avait pu être un désastre total, j’aimerai bien le savoir depuis un an et demi, tous ce que j’avais entrepris avait juste était un échec total. Oui on va commencer par mon mariage, mon première mariage, la cerise sur le gâteau, pendant ce jour qui devait être le plus beau jour de ma vie, celui que j’aimais m’avait avoué qu’il avait tenté d’assassiné ma sœur, non mais on va où la sérieux ? On se serait cru dans une série américaine style one tree hill ou bien encore newport beach, seulement non la ce n’était pas une série télé mais bel et bien la réalité, triste réalité sale réalité qui me retombe dessus jour après jours. Et voila à quoi se résume ma petite vie d’étudiante, digne d’une série télé américaine, « The Flowers life » no way, voila qui était juste impossible, comment est-ce que je peux être aussi idiote, aimer un delta, non mais à quoi bon, les deltas sont tous des cons, la preuve, quoi que maintenant il était sigma mais ca ne voulait pas dire qu’il en été pour le moins, moins con loin de la. En tout cas j’avais utilisé la même technique que ma petite sœur, je m’étais entiché d’un Alpha, enfin de compte rien n’était calculé, j’étais tombé sous son charme a Vegas, et quel charme du diable qui l’a, beau, intelligent, et par-dessus le marché il était adorable, est-ce que j’aurais enfin décroché le gros lot sans le vouloir ? Maybe, en tout cas sans que je m’en rende compte il m’avait aidé plus que n’importe qui pendant ma période sombre, période sombre qui sois dis en passant n’est pas terminé mais qui s’éclaircissait de jours en jours et tous cela grâce a mon petit alpha mais aussi grâce a mon fils, par ce que je refuse qu’il me voit dans un état pareil. Pour le moment je n’aurais plus cour jusqu'à la rentrer, ce qui me permettra de passer encore plus de temps avec mon fils, mais aussi avec Nathy, mon nathy. Bon sang j’avais tellement de mal a m’y faire, celui qui était un de mes meilleures amis était maintenant devenu mon petit ami, est-ce qu’un jour je serais m’y faire ? Surement pas, mais en tout cas j’en profiterai a fond, je l’aimais vraiment et je ne suis pas prête a ruiner ma deuxième histoire. Enfin la première fois ce n’était pas vraiment ma faute, sauf si on prend en compte le fait qu’il est fait ça puisque j’avais quitté la ville ? Non non et non je me décidais de mettre toute la faute sur Drew, après tous il le méritait bien. J’allais mal toujours, et enfin de compte je savais très bien pourquoi, mais je n’osais pas encore vraiment en parler, j’ai perdu une amie, ma meilleure amie Catahleen, autant dire ma plus grande perte après ma mère, cette fille avec qui j’habitais et avec qui j’étais juste 24/24h nous avez quitté et j’avais encore terriblement de mal a m’en remettre, je ressentais un vite que je ne pouvais expliqué, et bien que j’essaye de surmonter c’est dure, très dur et pourquoi ? tout simplement parce que la nouvelle fille qui me sert de roomate lui ressemble terriblement. Fine, mince et brune, tout comme ma Flatah, quand j’y pense j’ai toujours mon estomac qui se noue et ma gorge qui se sert, qui se sert en me forçant à retenir mes larmes. Je me forçais a ne pas y penser, tout simplement parce que Catahleen refuserai que je me mette mal pour elle, c’était tellement digne de la belle, vouloir le bonheur des autres avant le siens, et sa lui en aurait presque coûté sa vie. Et bien entendu comme un malheur n’arrive jamais seule je devais aussi faire face a la perte de Evan, celle qui était aussi une de mes meilleures amies, oui nous étions 4 filles, 4 meilleures amie, Catahleen K. Hammersmith, Fleur J. La T our Dubois, Evan P. Callaway et Stiyzanna H. Duma, 4 filles inséparables et nous nous retrouvions maintenant cas 2, Stiy et moi, elle allait a présent devenir mon essentiel dans mon cercle amical restreint, non Evan n’était pas morte, mais elle avait quitté Berkeley et même San Francisco sans donner signe de vie a personne. Mais qu’est-ce qui lui avait prit bon sang ? Partir avec son fils au bout du monde sans rien dire a personne, si enfaite nous avions seulement reçu un petit sms nous disant qu’elle partait en europe se ressourcer pour une durée qui était indéterminé, autant dire qu’on ne la reverrait pas avant un sacrée bout de temps. Bon je lui en voulais oui terriblement surtout dans la mauvaise passe que nous traversions Stiy et moi, mais d’un coté je ne lui en voulais pas non plus, non seulement parce qu’elle traverse aussi cette mauvaise passe, mais elle avait eu tellement de malheur dans sa vie que de partir un peu ne lui ferais pas de mal, mais bon au lieu de traverser cette dur épreuve a 3 nous la traversions maintenant cas 2. Bref l’heure passe et je sors enfin de mes songes, je me préparai donc en vitesse et rejoignis Nathaniel au café où il devrait déjà m’attendre sagement. Une fois entré oui sans grand étonnement je le vis de dos je m’abaissai donc pour lui faire un baiser dans le cou, et il se leva aussitôt pour m’embrasser plus en douceur sur mes lèvres, ses lèvres qu’elle était douce et lisse, sans parler de son parfum qui me fit tourner la tête, il me correspondait tellement. A ses coté je sentais mon cœur faire de sacré bon dans ma poitrine, et mes mains s’humidifier, pourquoi donc ? Oui le stress des débuts, nos début a oui le fait que nous nous étions marié a Las Vegas ne comptait pas pour moi notre relation débutait vraiment le jour ou sobre que nous étions nous avions décidé de tenter l’aventure a deux. Parfois je nous imaginais quelques années plus tard, tout les deux marier et cette fois çi bel et bien dans les règles a nos deux enfants qui s’entendais a merveille, mon dieu que parfois je pouvais vivre dans mon compte de fée, ces choses la n’arrive jamais en vrai, une personne ne pouvait pas être aussi heureuse c’est juste impossible. Il me glissa un petit salut discret et je m’installai en face de lui, il avait prit le soin de me commander mon latte préférée, il me connaissait déjà bien voila un avantage d’avoir était ami avant d’être petit ami. Après quelques seconde je me décidais a prendre la paroles. « Alors tu va être libre pour une semaine, moi aussi, j’ai pensé qu’on pourrait peut-être passer la semaine ensemble ? » par semaine ensemble bien sur je ne pensais pas qu’au journée, je parlais aussi de la nuit, oui il faut le savoir lui et moi n’avions encore jamais eu de moment intime … Bien que je ne soit pas une fille spécialement porté sur la chose, je m’y intéressais tout de même, j’aimai Nathaniel et quand un couple s’aime se sont des choses qui arrive naturellement. « Enfin tu vois ce que je veux dire, on pourrais peut-être partir une semaine ensemble je ne sais où, ou bien juste rester ensemble qu’un petit peu enfin je sais pas à toi de voir » Bravo Fleur voila que tu ne sais même plus ce que tu dis, oui j’étais stressé et en moment de stress je bégaye merveilleux.

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FLEUR&&NATHANIEL

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Avant d'avoir Jules, j'avais toujours pensé que ceux qui avaient des enfants très jeunes n'étaient autre que des irresponsable. Jamais, ô grand jamais je n'aurai pensé, ni même je n'aurai eu l'idée que j'aurai eu à mon tour, un enfant aussi jeune. Le destin voulait-il se venger de ma façon de penser trop conformiste ? Peut-être que oui après tout. A vrai dire, personne n'aurait pu imaginer que moi, le grand Nathaniel, le sérieux Nathaniel, l'alpha par excellence aurait pu faire un enfant à la fac avec une petite trainé en plus de ça. Mais maintenant que j'avais mon petit fiston à moi, ma façon de penser avait totalement changé, je ne trouvais plus ça tellement irresponsable. Ce que je trouvais irresponsable en revanche c'était bel et bien le fait de faire un enfant, et de l'abandonneraussi. Soit avec l'autre parent, soit dans un orphelinat. Quand la mère de Jules, Naomi m'avait annoncé que nous allions avoir un enfant, mon monde c'était écroulé. Mon équilibre avait été rompu. Jamais, pas une seule fois j'avais pensé que je pourrais abandonner cet enfant que j'avais fait, cet enfant qui était dans le ventre de sa mère, cet enfant qui était finalement issue de ma semence et non celle de Bradley T. Cooper. J'avoue que j'avais vraiment eu peur, j'avais eu peur de l'annoncer à mes parents, mais j'avais surtout peur d'être père. Il fallait se rendre à l'évidence, j'étais encore trop jeune, NOUS étions encore trop jeunes pour avoir un enfant, d'autant plus que je n'étais plus avec Naomi à cause de son adultère. Cette période de ma vie avait été la plus désastreuse de ma vie, on pouvait vraiment voir que je n'étais plus moi-même, je ne me reconnaissais même plus ! Mais bon, le temps était passé et je commençais à me retrouver. Quoi qu'il en soit, dès la première fois où j'ai tenu mon fils dans mes bras, il avait réussi à me changer. Grâce à lui j'étais encore plus mature, j'étais un vrai père, je sentais que j'étais prêt à assumer cette erreur, mon erreur, la plus belle erreur que j'avais jamais faite dans ma vie. J'étais fou de mon petit garçon, je ne me voyais plus ma vie sans lui, je me demandais même comment j'étais arrivé à survivre sans sa petite présence. Mais pas seulement, je me demandais comment j'étais aussi arriver à vivre sans la présence de Fleur. Ma Fleur... D'ailleurs en parlant d'elle, j'allais bientôt la voir, elle avait accepté mon invitation, j'en était très heureux. Mais il fallait avouer que j'étais terriblement nerveux. Pourquoi ? Aller savoir pourquoi, parce que c'était nos début, le début de NATHEUR. Son ex petit copain était un beau mec bourré de frics, super amical et autre, alors que moi, je n'étais pas aussi riche, je ne pourrais jamais me permettre de lui payait une chambre d'hôtel dans un luxurieux palace, de même que je n'étais pas aussi beau et que je n'avais pas autant de classe que son ex petit ami. J'avoue être pas mal complexé par ça, je ne cesse de me dire qu'elle serait mieux avec Drew, qu'elle aurait sans doute un merveilleux avenir dans le strass et les paillettes de la richesse, mais à chaque fois, une voix me réconforter, en me disant qu'elle n'était pas tellement intéressée par l'argent, que certes Drew en avait, mais il n'avait pas réussi une chose : à rendre réellement heureuse Fleur. Certes elle avait eu de bons moments avec lui, mais il lui avait brisé le coeur et ça moi je ne pourrais jamais lui faire ça. Je ne pouvais peut-être pas tellement l'admettre, mais j'étais peut-être plus amoureux de Fleur que je ne le pensais ou que je ne me le laissais croire. Mais bon, je refusais encore d'être éperdument amoureux d'elle. Tout simplement parce que c'était trop tôt. C'est bien mon genre ça, tombé vite fait amoureux d'une fille, de ma meilleure amie en plus de ça ! J'en été tout simplement fou, mais à chaque fois je faisais taire cette voix qui me le criait dans ma tête. Bon ok j'étais peut-être amoureux d'elle, très amoureux d'elle et alors ? Ce n'était surement pas son cas ! Elle devait peut-être avoir des sentiments pour moi, rien de plus pour le moment. Enfin, je ne savais même pas si elle en avait réellement. Mais je connaissais ma petite Fleur, en tant que meilleur ami, je savais que si elle n'avait pas eu de sentiments jusqu'à aujourd'hui, elle me l'aurait dit, et nous serions restés de nouveaux des meilleurs amis. Enfin, meilleurs amis je ne sais pas vraiment en fait, c'est sûr que de sortir avec son ou sa meilleure amie était quelque chose de très risqué mais bon, avec Fleur, ça valait vraiment le coup. Notre mariage... Je m'en souviens assez, même sous l'effet de l'alcool j'arrive encore à me souvenir de quelques petits passages bien distinct. Quand je lui avais demandé de m'épouser par exemple. Une belle erreur, mais bon, grâce à ça, ça m'avait poussé à véritablement déclarer ma flamme à la belle française. Et par surprise elle avait été d'accord pour tenter quelque chose elle et moi C'était totalement extraordinaire. Je me demandais des fois comment cela se faisait-il qu'elle était avec moi. Bon ok, je ne suis pas non plus hideux comme mec, non au contraire j'étais plutôt agréable à regarder apparemment. Mais elle, elle était totalement parfaite, à tel point qu'actuellement j'étais nerveux. J'avais hâte de la voir aussi, mais mon coeur ne cessait de battre. Alors que je rentrais dans le café, je demandais à un serveur de me servir deux lattés, un pour Fleur et un pour moi. Je savais qu'elle allait bientôt arriver, j'anticipai. Je savais que ça la ravirait de voir que dès que la princesse arrivait, son latte aussi serait directement là. Alors que je me posais tranquillement, je tapotais mes doigts sur la table. J'étais vraiment très nerveux, je ne l'avais jamais été comme ça ! Même pour mes débuts avec Naomi je n'étais pas aussi stressé. Mais bon, c'était tout simplement parce que Fleur n'était vraiment pas comme Naomi, elle était très loin de lui ressemblait. Quoi qu'il en soit, alors que j'étais en train de tapoter sur mon téléphone, je sentis un doux parfum qui vint me caressait les narines. Un parfum que je reconnaitrais parmi tant d'autres. Même pas eus-je le temps de me retourner que je sentais un doux baiser dans mon cou, ce qui me fit sourire. Elle était là, enfin ! J'étais tellement impatient... Je me levais alors et l'embrassait tendrement, comme un couple normal. Notre baiser ne dura que quelques instants, mais pour moi, il durait une éternité, j'en profitais à chaque fois, du doux contact de ses lèvres avec les miennes. Mon coeur battait à la chamade, je ne pouvais m'empêcher de sourire tout en regardant Fleur. MA Fleur, ma petite amie, la mienne et rien que la mienne. Elle était à moi et j'étais à elle rien de plus, rien de moins. Alors qu'elle s'asseyait en face de moi, je me rassis à ma place. Nous étions silencieux quand soudain la douce voix de Fleur se fit entendre dans mes oreilles. Elle me demandait si on pouvait passer la semaine ensemble, rien que tout les deux. J'en étais plus que ravis qu'elle me demande ça, à vrai dire, elle m'avait même devancé puisque j'allais lui proposé la même chose, je voulais l'avoir près de moi, depuis que nous étions ensemble, nous avions passé que très peu de temps en compagnie de l'un et de l'autre, sans nos deux petits garçons respectifs. Le sourire aux lèvres, lui prenant l'une de ses mains dans les deux miennes je répondis alors sur un ton tout à fait calme : « Tu m'as devancé à vrai dire. Oui je serais vraiment très content de passer toute ma semaine avec toi et rien qu'avec toi, seul... ». Oui c'était sincère, je voulais vraiment passé un maximum de temps avec elle et faire des choses de couples, s'embrassait, se tenir la main et faire l'amour. Oui, cela n'était pas tellement pervers, enfin, elle et moi ne l'avions jamais fait ensemble encore. Et pour tout dire, je n'avais jamais eu envie de la brusquer. Ok, je suis un mec, j'ai des besoins à assouvir, mais j'étais très respectueux envers les choix de Fleur. Une fois, nous avions faillit le faire, mais malheureusement, si mon petit garçon ne c'était pas mis à brailler eh bien nous aurions pu terminé. Mais non malheureusement. Mais cela n'était pas tellement grave, maintenant qu'elle et moi étions libre cette semaine et que justement on allait passer du temps ensemble, nous allions surement le faire qui sait ? En tout cas, j'en serai ravis. Je voulais vraiment montrer à Fleur toute l'affection que je lui portais. Quoi de mieux que de lui montrer physiquement ? « Oui tu as raison, on pourrait se faire quelques choses de plutôt sympa, mais j'avoue ne pas trop savoir quoi. Tu as une idée ? » répliquais-je. Je ne savais pas trop quoi faire. Je voulais faire quelque chose qui lui plaise pour être certain que nous pouvons passé une bonne semaine ensemble. D'autant plus que je partirais bientôt pour Cancun et qu'elle non apparemment... J'avoue que j'ai encore du mal à me décider de si je dois y aller ou de si je devais rester avec elle. Elle allait me manquer c'était certain, mais en même temps, je n'avais jamais visiter le Mexique, et j'avoue que ça me plairait bien quelques vacances là-bas. Je savais aussi que Naomi ne viendrait pas, elle garderait donc notre Jules, je ce qui voulait dire que je pouvais un peu plus m'éclater, mais pas trop...

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Nathaniel & Fleur

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En ce moment ma vie étais un peu plus compliqué, enfin plus que d’habitude, je me souvenais que ma grossesse avait été un problème majeur dans ma vie au départ, mais maintenant ce problème paraissait tellement plus faible en conséquence comparé a ce qui lui arriver en ce moment même. Mon ex mari était un tueur, que demander de pire franchement ? Il avait tenté de tuer ma sœur, oui ma propre sœur, à qui je tenais comme a la prunelle de mes yeux, à cause de lui j’avais non seulement perdu mon mari, mais j’avais en plus perdu ma sœur qui ne me pardonnerai jamais. Je m’efforcerai d’aller la voir pour m’excuser auprès d’elle, bien que je ne suis pas en tord, je n’étais en aucun cas au courant des plans de Drew. Le monde entier m’avait pourtant prévenu que Drew n’étais pas celui qu’il me fallait, et pourtant je suis une forte tête j’avais décidé de l’épouser parce que je l’aimais, je l’aimais tellement, j’étais prête a tous pour lui, et je m’étais pris une bonne baffe dans la tronche quand j’ai appris ce qu’il avait fait , je me sentais d’ailleurs en partie responsable, il avait commit cette acte suite a mon départ soudain, départ pour prendre du recul, du recul il aurait du en prendre également au lieu de vouloir tuer ma sœur. En tout cas maintenant j’avais bien compris qu’il n’était pas un homme bon et je ne voulais plus jamais mais plus jamais entendre parler de lui, bien qu’au fond j’éprouverai toujours ces sentiments qui ne partirons donc jamais. Et dire que j’étais amis avec tellement de personne en commun, a Drew, je pensais aussi a Matthew, je comprends mieux maintenant pourquoi le jeune homme m’évitais sans vraiment que j’en connaisse la raison, et cela m’embêtai beaucoup, voila ma pensé du moment, il fallait absolument que je règle les problèmes entre ma sœur et moi, mais aussi avec le iota. M'enfin on verra ça pour plus tard. Depuis que je suis petite, j’avais toujours voulu être une maman, oui j’avais des tonnes et des tonnes de poupées me faisant passer pour leurs mères. Quel bonne mère je faisais, me disais mon père, oui j’avais l’instinct maternel et je m’en suis rendu compte également a la mort de ma mère, puisque j’avais pratiquement élevé ma sœur, non mais j’avais beaucoup beaucoup était sur son dos, je la protégeais du mieux que je pouvais. En tout cas oui j’avais l’esprit maternel et oui j’avais toujours rêvé de devenir maman vite, vite, mais je ne pensais pas que ça m’arriverai aussi vite que ça en fin de compte, trop vite ? Vu la situation je ne dirais pas que oui, et je ne dirais pas non, oui mon fils était ce que j’avais de plus précieux, mais en faite j’en arrivé presque a regretter la manière dont les choses était maintenant. Le père tueur, super on ne peux pas rêver mieux pour son fils. Je ne regrettais pas mon fils mais j’en arrivais a regretter le père il avait voulu tuer ma deuxième merveille, ma petite sœur, la chair de ma chair, de mon sang. Tous cela, je ne lui pardonnerai jamais ça c’est certain. Mon petit ami, mon dieu que ça fait bizarre de l’appeler comme ça, était à peu prés dans la même situation que moi, il avait lui aussi un enfant, jeune très jeune, il l’avait eu avec une pimbèche, que dis-je une salope même. Cette fille la avait couché avec la moitié des hommes de Berkeley, la moitié même plus, mais encore des choses qui ne me regarde pas. En tout cas j’étais tellement mal de savoir que mon copain soit sortie avec cette chose la mais bon, je n’avais pas le choix et surtout je ne voulais pas lui en parler, il devait déjà lui aussi s’énerver pour ça, avec tous ce qu’elle lui avait fait subir. Enfin l’heure était maintenant à la retrouvaille de mon petit Nathy, il était d’accord avec moi et je pue m’empêcher de décrocher un sourire naïf qui montrer à quel point j’étais contente. « J’imagine bien que se sera la meilleure semaine de ta vie, je le sais bien. » Moi et mon égo surdimensionné OSO

il aimait tellement ça. En tout cas, j’imaginais déjà ce qu’on allait pouvoir faire, enfin de compte j’en avais aucune idée, avec la rentrée qui approche je ne me pouvais pas me permettre d’aller trop loin trop longtemps. « Je ne sais pas vraiment, en faite si, on pourrait partir 4ou 5 jours sur en Sicile loin, de tout et surtout de tout le monde, qu’est-ce que t’en pense ? » Moi qui ne voulais pas partir très loin c’était loupé. « Juste un oui et je réserve les billets d’avion se soir. » Je le regardais persuadé qu’il me dirait oui.

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FLEUR&&NATHANIEL

♦♥♦

Ma vie avait été belle, de ma naissance jusqu'à un certain moment, je pouvais vraiment dire que j'avais fait un sans faute dans mon chemin vers la mort. Dès les débuts j'avais été un garçon très intelligent, en sauf d'une seule chose : de connaissance. Je suis l'Atwoodth le plus calme et le plus sérieux, je l'ai toujours été. C'était moi le rabat-joie de service et pour tout dire : j'aimais ça. J'aimais être se fameux type trop sérieux. Même durant mon adolescence, j'étais un type trop calme, de temps en temps je me permettais des écarts, mais c'était rare, très rare. Tout d'abord parce que je n'avais pas eu une liste d'amis sur facebook conséquente à celle d'un bêta ou d'un omega (d'ailleurs en y repensant, ce réseau social n'existait pas encore, mais passons). Il est vrai que j'avais tendance à préférer les bouquins que mes copains. Beaucoup ne s'étaient pas adaptés à cette situation, beaucoup avaient mal pris le fait que je préfère être dans une bibliothèque qu'à la plage avec eux, ou à d'autres endroits. Durant toute cette période de ma vie j'avais été, comme dit plus haut, un mec totalement droit. Jusqu'au jour où j'ai croisé SON regard, jusqu'au jour, où j'avais joué de mes charmes pour la séduire. Jusqu'au jour où elle m'avait donné son coeur. Je parle bien entendu de la rencontre avec Naomi June Venn. Durant toute ma vie j'avais été heureux et on peut dire que depuis qu'elle et moi avions été ensemble, rien n'était plus pareil. Je me lâchais plus, je faisais des efforts pour éviter d'être trop ennuyeux aux yeux de la fille dont j'étais réellement amoureux, de même qu'elle faisait des efforts pour être un peu plus sérieuse dans sa vie. Bon ok, je ne nie en aucun cas que nous avions passés de désagréable moments ensemble parce que si je disais ça, je ne serais qu'un pauvre menteur qui aurait eu honte de sa relation passée. Non je n'avais pas eu honte de cette relation en elle-même, j'avais honte de la rupture entre elle et moi, c'est tout. Elle avait couché avec un autre, elle avait osé exposer son domaine privé qui était le miens à ce moment-là à un autre mec, un ancien DELTA du nom et de la confrérie. Cette espèce d'enflure c'était bien amusé avec ma copine. Moi ? Je m'étais sentit mal, j'avais eu mal comme jamais. A un point où j'aurais surement voulu mettre les voiles loin, très loin d'ici. Mais je ne l'avais pas fait, j'étais resté à mon poste. Pourquoi ? Me diriez-vous. Tout simplement parce que dans le ventre de cette pauvre trainée qui était Naomi, sommeillé un deuxième Nathaniel, une partie de moi, le fruit de mes entrailles. Bref, j'allais devenir père. Je n'avais vraiment pas su comment réagir sur le moment. Je crois que j'avais eu peur, je ne me souviens plus vraiment, j'étais sous le choc. Je crois que le titre de « papa » était assez bizarre pour moi, mais bizarrement j'allais parfaitement assumer ce que j'avais fait. Je ne m'étais pas protégé, et voilà que Noami était tombée enceinte. Entre elle et moi il n'y avait plus rien, c'était certain. Le seul lien qui nous unissait et qui nous unie encore n'est autre que ma vie : Jules Atwoodth. Je n'arrivais pas encore à croire que, bientôt, j'allais l'avoir pour moi tout seul et définitivement. J'avais du mal à croire que Jules allait être à moi et rien qu'à moi. Noami partait de cette ville, de ce pays, rien ne pouvait me faire le plus plaisir. Elle m'avait laissé notre fils parce qu'elle avait compris qu'elle n'aurait aucune chance d'avoir sa garde seule au tribunal vu ses antécédents. Et que même si cela avait été le cas, JAMAIS ô grand jamais je n'aurai pu permettre à cette irresponsable de me prendre MON bébé. Oui, j'en voulais toujours à Naomi de ce qu'il s'est passé, de m'avoir fait perdre confiance en l'amour et en la femme. Enfin ça, c'était le cas jusqu'à ce que mon coeur tombe sur... LA PERLE RARE. Fleur, la deuxième présidente de la confrérie des Alpha à cette époque. J'étais son meilleur ami depuis pas mal de temps, mais moi j'avais rêvé de bien plus. Maintenant, je l'ai, elle est à moi et rien qu'à moi. Je lui devais beaucoup : grâce à elle j'étais énormément heureux, j'étais sur un petit nuage. Je sais qu'il ne faut pas que je tire de conclusion trop hâtivement puisque cela fait quelques temps que nous sommes ensemble et que nous avons passés peu de temps ensemble, en couple et seul (puisque nous n'avions encore rien fait au niveau sexuel) mais cette semaine où j'avais laissé mon fils à mon ex, je pouvais pleinement profiter de ma... oh oui j'aime dire ça : petite amie. Elle me proposait donc de partir en voyage, une chose qui me ferait énormément plaisir oui. « Je ne peux que t'approuvais. Mais cette semaine sera notre semaine de rêve. » répliquais-je avec le sourire. J'avais très envie d'être avec elle durant cette semaine qui s'annoncer prometteuse, j'avais envie de profiter de Fleur en tant que ma petite amie et non plus en tant que ma meilleure amie. « J'en pense que c'est une excellente idée. Rien de tel pour une première semaine en véritable couple. ». J'étais enthousiaste même si je ne le montrais pas. Je m'efforçais de rester stoïque bien que cela fut assez difficile, mais j'y été quand même parvenu. Je pris sa main dans la mienne et la regardant dans les yeux je répliquais : « oui j'accepte, réserve-nous donc les billets. Mais évite de nous prendre de la première classe hein ». Il ne fallait pas oublier un détail : c'était que ma famille n'était pas une grande famille riche comme celle de Fleur, bien que, la mienne avait de bons revenus, ce n'était pas pour tous les mois ce genre de folie... Je pris sa main et la porta sur mes lèvres qui n'avaient qu'une envie : sentir sa douce peau. Elle était si belle, si parfaite, que je me demandais pourquoi une fille comme elle sortait avec un type comme moi...

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» ♦♦♦ Even Death Won't Wash My Pains Away♦♦♦ Dominic & Kyarah
» Las Vegas paradise • NATHEUR
» Un jour tu me pardonneras, le jour où tu rencontrera la femme parfaite . K & C
» "Un jour on s'est aimé et ce jour c'est demain." - Las Vegas, Baby
» Personne ne sait ce que l’avenir lui réserve alors, nous vivons au jour le jour dans l’espoir que demain sera meilleur qu’aujourd’hui. ♔ MATTHIAS&TESSA

Un jour je te dirais je t'aime ♦ Natheur

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