NATHANIEL & FLEUR « Nous avions besoin d'oubli, tous les deux, de gite d'étape, avant d'aller porter plus loin nos bagages de néant. [...] Deux êtres en déroute qui s'épaulent de leur solitude ✿ Natheur forever. »
Samedi matin 8h. Je venais de me réveiller et j’étais déjà visiblement très en retard. Dans une heure trente notre avion décollait et je n’étais pas prêt, pas habillé, pas douché et je ne savais même pas si Fleur était debout. Car oui, je partais avec Fleur, à Las Vegas, le temps d’un week end. Nous avions décidé de fêter notre élection de président de confrérie comme il se devait, tous les deux. Je jouais un jeu très dangereux, j’en étais tout à fait conscient. Partir deux jours à Las Vegas, en tête à tête avec Fleur, alors que je commençais à éprouver des sentiments n’était peut-être pas la meilleure solution que j’avais eu ces derniers temps. Mais en même temps je n’avais pu refuser. C’était comme secouer un paquet de bonbones devant un enfant en lui affirmant qu’il pouvait en manger tant qu’il le pouvait, même si fondamentalement, c’était mal parce qu’il pouvait être malade. J’étais le gamin, Fleur mon paquet de bonbons. Pour moi, il m’était impossible de refuser un tel week end. Passer en tête à tête des moments avec la femme qui commençait doucement à refaire battre mon cœur, quoi de mieux. Et si ce week end nous permettait de nous rapprocher, bien évidemment que je ne disais pas non. Je sautais donc de mon caleçon, la tête dans le coltar, en boxer je me rendais directement à la salle de bain, l’ouvrant à la volée. Je tombais nez à nez avec Fleur justement, comme par hasard, qui sortait elle de la douche, une serviette autour de la taille. « Oui je sais je suis en retard, je me dépêche ». Après l’avoir laissé sortir, je refermai la porte et allai directement sous la douche. En dix minutes, l’affaire était pliée, j’enroulai une serviette autour de ma taille, me rasai, me parfumai et je ressortais pour m’habiller. Un jean, un tee-shirt auquel j’ajoutai un gilet que je ne fermai pas, mes converses et j’étais prêt. Mon sac de voyage était lui aussi prêt depuis hier soir, restai plus qu’à aller voir si Fleur avait fini elle aussi de se préparer. Bon dieu rien qu’à la perspective d’être avec elle, rien qu’avec elle deux jours de suite me, remplissait de joie et me donnait envie de sauter partout. Cata m’avait prévenu, de ne pas trop en faire, Fleur sortait d’un mariage difficile et ce n’était pas forcément le bon moment pour elle de retomber dans une histoire. Je le savais et je n’allais rien faire qui allait la mettre mal à l’aise ou qui allait jeter un froid entre nous. Seulement je ne pouvais m’empêcher d’être excité à l’idée de se voyage. J’allais toquer à la porte de chambre de Fleur qui m’ouvrit. « Prête pour de nouvelles aventures ? ». Après un sourire et une affirmation de sa part, nous laissions un mot à nos autres colocataires qui dormaient encore et partions sur la pointe des pieds, direction l’aéroport. 9h30. L’avion venait de décoller. Fleur et moi avions pris place dans la première classe, Fleur contre le hublot, moi à côté d’elle. Ce n’était que rire et amusement qui se succédaient depuis que nous avions quitter l’appartement. Visiblement elle semblait aussi enjouée que moi à l’idée de se voyage. Las Vegas quand même, LA ville de la débauche. Nous, Fleur et moi, présidents de confrérie et surtout alphas dans l’âme, nous partions pour la ville de la fête, de l’alcool, du sexe et des mariages express. Si Plastic, l’oméga que je fréquentais quelque fois, avait été mis au courant, il devait bien rire à l’heure actuelle. A vrai dire, l’idée d’aller à Las Vegas nous était venue comme ça, sur un coup de tête. Nous voulions fêter dignement notre victoire et Las Vegas avait décidé dite comme ça et décidé comme ça aussi. Rien n’avait été prémédité dans cette escapade. Nous n’avions rien de prévu, si ce n’est nous amuser. Ce n’était pas vraiment notre genre de ne pas prévoir les choses, surtout connaissant Fleur mais une fois dans notre vie, nous allions vraiment être deux jeunes gens qui profitaient de la vie et non pas deux alpha qui n’avaient ne tête que leurs études. Nous savions aussi nous amuser et nous allions leur prouver à tous ces cons qui affirmaient qu’un alpha ne savait que bosser et rien d’autres. « T’as laissé Jason à ses grands-parents ? ». Je venais de tourner la tête vers Fleur. Je n’avais pas osé demander si elle l’avait laissé à Drew alors je détournais la question à ma façon. En fait, je ne m’en préoccupais pas plus que ça, c’était juste pour faire la conversation. La jeune femme semblait perdue dans ses pensées depuis quelques minutes et j’avais tenu à lui rappeler que j’étais là et que nous allions passer un week end de folie tous les deux. « Mesdames et messieurs, veuillez attacher vos ceintures, notre avion va bientôt atterrir. Nous espérons que vous ayez passé un agréable voyage et vous souhaitons une bonne journée ». Le voyage avait défilé à une vitesse folle et j’avais de plus en plus de mal à contenir mon excitation d’être enfin à Las Vegas. Avec Fleur, nous nous regardâmes en souriant, visiblement très heureux tous les deux. Je comptais bien faire oublier tous ses problèmes à la jeune femme l’espace de deux jours. Nous ne serions que tous les deux, dans notre bulle et cela allait être le paradis. Notre paradis. Ca y est, nous étions sorti de l’avion et avions récupérer nos bagages. Il ne nous restait plus qu’à trouver l’hôtel où nous allions être logés pendant ces deux jours et à nous la conquête de Las Vegas ! Nous arrivions vingt minutes plus tard à l’hôtel cinq étoiles. L’endroit est somptueux, féérique, magique et tel un gamin devant une vitrine de jouet, mes yeux se baladaient de partout, un grand sourire aux lèvres. « Wow ». Je ne savais pas quoi dire d’autres. Bien que n’étant pas pauvre, je n’avais jamais vraiment été habitué à aller dans de tels endroits. Toute cette dorure, ce luxe me scotchait. Les clés de nos chambres en mains nous attentions sagement que l’ascenseur monte les étages. Nous avions pris deux chambres côte à côte et je devais bien avouer que ce n’était pas pour me déplaire. Nous nous accordions quelques minutes pour mettre en place nos affaires avant d’aller en ville pour déjeuner ensuite. Vingt minutes plus tard, je frappais plus rentrais dans sa chambre et venait sauter sur mon lit m’affalant de tout mon long alors qu’elle rangeait encore ses affaires. « Bon princesse, c’est pas qu’il est déjà 12h passés et que j’ai la dalle mais presque ». Je lui tirais la langue en lui envoyant un coussin dans le visage en rigolant. Le week end promettait d’être parfait !
I just have to say it once, you just need to hear it.... I love you Elena. And that's because I love you that... I can't be selfish with you. That's why you can't know this. I don't deserve you. But my brother does. God I wish you hadn't to forget this... But you do...
Qu’il faisait beau aujourd’hui se dit Fleur en ouvrant la fênetre de sa chambre, le soleil ce qu’elle aimait ca, et elle n’allait pas se le cacher a elle-même, en ce moment elle était tellement d’un moral sombre et désastreux que ca lui faisait beaucoup de bien, mais pourquoi donc était-elle si mal ? tout simplement parce que le mariage du moin le mariage qu’elle aurait du vivre avec … elle ne préféra même pas le nommer était un vrai désastre, il avait tenter de blesser sa sœur par balle, mais qu’elle personne saine d’esprit essayerai de faire ca franchement ? En tout cas, elle l’avait planté sans vraiment vouloir des explications, le fait était la, elle ne voulait plus jamais le revoir, elle avait passer prés de deux semaine enfermé dans sa chambre avec pour seule occupation - révisé – voila ce qu’elle avait fait, et oui elle sortait aussi de temps en temps pour grignoter un ou deux truc, mais sa lui avait littéralement couper appétit, d’ailleurs ca lui permettrai de faire un petit régime un mal pour un bien. En tout cas, elle essayait tant bien que mal de se changer les idées, et une chose lui avait totalement fais plaisir, le faite d’avoir était élu PDC auprés de ses petits camarades Alpha, ca lui faisait réellement plaisir, et c’est avec Nathaniel son ami qu’elle allait prendre charge la confrérie, ils avaient décidé d’ailleurs de fêter leurs victoire ensemble pour une séjour à vegas, vous me direz pourquoi Vegas ce n’est pas du tout le genre de Fleur, mais justement elle avait besoin de changement et Vegas était une ville de débauche ou personne n’était jugé, elle voulait savoir ce que cela faisait d’être dans une ville comme celle la. Le moment était arrivé, il était huit heure du matin et l’avions décollé a neuf trente, elle sortait à peine de la douche, d’ailleurs en sortant elle croisa Nathy pas preparé du tout, elle fit une tête desperé et elle lui sourit en repartant aussitôt dans sa chambre. Elle s’habilla rapidement et simplement jean petite ballerine et un top pour argumenter le temps, elle avait laissé ces cheveux ondulé et pris juste le soin de lisser sa frange qu’elle plaça sur une coté de son front. Il était temps de partir maintenant putain, elle sortie de sa chambre en priant pour que celui qui lui servait d’ami serait prêt, magnifique il était prêt et elle sentait son parfum a un kilomètre une chance qu’il sentait merveilleusement bon en tout cas, elle appella son chauffeur et il prit le temps de mettre ces valises et celle de nathy dans la limousine, pour partir ensuite, Fleur ne faisait pas souvent appele a son chauffeur, mais aujourd’hui elle n’avait pas vraiment envie d’attendre un taxi. « Toujours, en tout cas, j’éspere pour toi que tu ne m’agacera pas ou je te laisse dans la soute de l’avion honey » L’attente a l’aéroport était longue, mais avec Nathy sa passait tout seule, ils enchainent les crises de rire, c’est dingue ces deux la s’était tout de suite apprécié quand Fleur était arrivé chez les Alpha, mais maintenant qu’ils sont présidents tout les deux, elle sentait bien qu’il allait se rapprocher. Une fois dans l’avion et que celui çi decolla, Fleur ferma les yeux, elle n’était pas vraiment fan de tous ce qui est décollage et attérissage, tel une gamine elle s’enfonça dans son siège et ferma les yeux, elle pu sentir ensuite la main de nathy prendre la sienne, il était vraiment génial, un ami comme elle n’en n’avait jamais eu au masculin. « Oui il est chez ces grand – parent avec Drew bien sur » Elle leva les yeux au ciel mais elle se promit de ne plus penser a lui pour éviter les crises de nerf, après tout elle ne l’empechera pas non plus de voir leurs fils, il était son père et avait le droit de le voir tant qu’il ne lui ferait pas de mal a lui aussi. Une fois l’atterrissage passé aussi, ils sortirent de l’avion direction leurs merveilleuse suite, putain qu’il faisait beau et chaud, Fleur sortie ces lunettes de soleil et Nathy en fit autant, en tout cas en arrivant devant le palace, elle ne pu s’empecher d’admirer, elle était habitué au luxe, mais celui de Vegas était tout autre chose, une fois dans leurs suite, Nathy s’exprima sur la chambre Fleur ne pu que l’approuvé « Ce que c’est classe, dommage que tu nuisse au décors heuresement que je suis la pour rattraper le truc tu vois » bien sur qu’elle le taquinait, et elle lui balanca a son tour un coussin hors de prix surement. Après qu’ils se soient laisser un peu de temps pour ranger quelqus affaire, enfin pour Fleur il s’agissait d’une valise complète pour seulement 3 jours quoi le Nathy arriva dans sa chambre, il avait faim pourquoi cela n’était pas la belle alpha ? Déjà dans leurs appart’ elle le voyait sans arrêt se goinfrer, tel un ours qui n’a pas manger depuis des mois. « Oh ca va on y va m’apelle pas princesse pour m’amadouer je connais ton petit jeu Atwootdh :D , c’’est pas possible jamais tu t’arrête de bouffer un peu, en plus tu grossi pas d’un milligramme, je suis jalouse, et une femme jalouse ce n’est pas bon mon petit Nathaniel. En tout cas je vais manger que si tu me paye un bon restaurant italien, j’ai une envie de pâte a la carbonara tu comprend, je pense que ma grossesse ma laisser des séquelle » Fleur lui tapa sur l’épaule et sortie vite de la chambre, pour sortir, qu’elle se sentait bien en sa compagnie, elle ne pouvait pas vraiment l’expliqué, elle se sentait naturelle, sans avoir besoin de faire attention a quoi que se soit, chez les alphas ils formaient vraiment une sacré bande, Catah la meilleure amie de Fleur, avec Plum, Nath, et Aymeric, une sacré petite bande qu’elle n’échangerai pour rien au monde. Dire que Nathaniel était partie chez les omega a une époque, heureusement que Fleur n’était pas encore a Berkeley pour avoir vu ça, sinon elle aurait pu le tuer de ces propres main, bon ok peut-etre pas, a l’idée de prononcer le mot, « tué » elle repensa illico a Drew, merde décidément quand-est-ce qu’elle allait enfin pensé a autre chose, surtout qu’elle ne pense pas a lui dans le sens, qu’il lui manque, elle pensait surtout a lui tirant sur sa petite sœur, qu’elle n’avait cessée d’aimer, pourtant elle l’avait prévenu, si ce n’est pas un comble ca, la petite sœur qui met en garde la grande, comme quoi aussi déchanté qu’elle était, elle avait eu raison. Et pour cela, elle se promit de se rapprocher de sa petite sœur, le delta avait reussi a faire en sorte de les faire détester. En tout cas pour le moment elle était en très bonne compagnie, une fois dans le restaurant chic bien sur elle aperçu au font malgrés tous une chapelle ainsi que des machines, a sous, son regard resta plongé dans la chapelle elle n’arrivait pas a regarder ailleurs, a ce moment la tout le flashback de son mariage raté lui revient en tête et Nathaniel la prit par derrière pour lui faire retourné la tête. « Je suis désolé, c’est tellement loin, mais récent en même temps. Est-ce que tu crois que je vais pouvoir m’en remettre ? »
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Sujet: Re: Las Vegas paradise • NATHEUR Mar 12 Avr - 23:11
NATHANIEL & FLEUR « Nous avions besoin d'oubli, tous les deux, de gite d'étape, avant d'aller porter plus loin nos bagages de néant. [...] Deux êtres en déroute qui s'épaulent de leur solitude ✿ Natheur forever. »
Las Vegas. Je n’aurais jamais cru venir dans un tel endroit ces temps-ci, à quelques semaines des examens. Je n’avais encore moins imaginé y mettre les pieds avec Fleur, en tête à tête. Cette ville avait toujours été pour moi la ville de la débauche et je ne voyais donc pas l’intérêt de m’y rendre. Je n’avais jamais été très fêtard, préférant et privilégiant mes études à la fête. C’était d’ailleurs en parti pour cela que je n’étais pas très proche de mon frère Edward. Il avait toujours critiqué les alphas et maintenant, c’était vraiment l’hôpital qui se foutait de la charité parce qu’il faisait lui aussi parti des alphas. Mais à priori moi aussi je commençais à changer puisque je venais ici, pour fêter mon poste de président de confrérie. J’aurais, enfin nous aurions pu le fêter à Berkeley, avec nos amis mais non, nous avions décidé de faire ça, ici, à Las Vegas. Et je devais bien avouer que j’étais très heureux d’être ici avec ma Fleur. Jusqu’à il y a quelques semaines, je l’avais toujours considéré comme un amie, une très bonne amie même, bien que j’ai toujours eu une certaine attirance pour elle. Mais de là à ressentir des sentiments pour elle, non jamais, jusqu’à aujourd’hui. Et je n’avais pas choisi le meilleur des moments pour tomber amoureux d’elle. Entre elle et son mariage raté, ill fallait bien le dire, avec Drew et moi et Naomi que j’avais revu hier et qui m’avait présenté, Jules, mon fils. Oui mon fils, ça me faisait encore bizarre de me dire que j’étais père. J’avais un petit bébé. Moi, Nathaniel, j’avais un enfant. Mon frère Maxwell, n’était plus le seul à être père. Zadig, mon neveu avait maintenant un cousin et mes parents étaient grand-parents pour la deuxième fois. Wow, qu’est-ce que ça faisait bizarre. Avec Naomi nous avions convenu que je garde Jules avec moi une semaine sur deux, elle voulait me le laisser hier mais j’avais du refusé, bien que je mourrais d’envie d’avoir pour la première fois mon fils avec moi. Mais ce voyage à Las Vegas était déjà programmé depuis quelques semaines maintenant et il m’était impensable de le reporter. Je prendrais Jules avec moi quand je rentrerais. Pour l’instant j’étais dans cet hôtel somptueux avec Fleur et plus rien n’avait d’importance. Quand Naomi m’avait trompé, je m’étais senti trahi pour le restant de mes jours. J’avais cru ne jamais pouvoir retomber amoureux. Je l’avais tellement aimé, j’avais tellement cru en notre couple et je n’avais tellement pas vu venir la trahison que j’avais cru ne jamais m’en remettre. Je m’étais d’ailleurs promis de ne jamais ressentir à nouveau quelque chose de si fort pour une fois. Et pendant des mois, le manque de Naomi s’était fait de moins en moins présent et un matin je m’étais réveillé et le poids de notre rupture avait disparu. Ce matin-là, je compris que j’avais tourné la page, enfin et que rien ne me ferait revenir en arrière. Je m’étais senti libéré d’un poids, le cœur plus léger, l’esprit plus enjoué. J’avais bien failli retenter une histoire avec une de mes ex petite amie Emma, mais après n’avoir rien ressenti de plus après un baiser échangé, je lui avais avoué ne pas être prêt à me relancer dans une relation. Et après des mois de célibat, je retombais enfin amoureux, doucement, d’une femme qui n’éprouvait rien de plus pour moi qu’une sincère amitié. Bien joué Nathaniel, décidément, tu les accumules. Je savais très bien que ce n’était pas le moment pour Fleur. Elle ne devait pas avoir totalement oublié Drew et leur mariage, chose que je comprenais parfaitement après avoir mis des mois à oublier Naomi. Mais je ne pouvais m’empêcher de ressentir ce sentiment de jalousie envers Drew quand Fleur partait dans ses pensées. Je n’étais pas idiot et je me doutais bien qu’elle pensait à lui. Alors dans ces moments-là j’essayais de la faire revenir sur terre, avec moi, en lui sortant mes blagues pourries ou tout simplement en la prenant dans mes bras ou en lui prenant la main. Et là elle se réveillait, m’offrant un petit sourire que je caractérisais d’hypocrite et de faux car elle le faisait pour me faire plaisir et non pas parce qu’elle avait envie de sourire. Mais je ne lui en voulais pas, une rupture n’était jamais chose aisée, surtout quand un enfant et un mariage était en jeu. « Oh ca va on y va m’appelle pas princesse pour m’amadouer je connais ton petit jeu Atwootdh, c’est pas possible jamais tu t’arrête de bouffer un peu, en plus tu grossi pas d’un milligramme, je suis jalouse, et une femme jalouse ce n’est pas bon mon petit Nathaniel. En tout cas je vais manger que si tu me paye un bon restaurant italien, j’ai une envie de pâte a la carbonara tu comprend, je pense que ma grossesse ma laisser des séquelles ». Je la regardais en souriant et je me mis alors à penser à Naomi quand Fleur évoqua sa grossesse. J’avais toujours pensé que j’aurais un enfant avec ma femme et que nous suivrions sa grossesse ensemble, pas à pas mais au lieu de ça, j’avais un enfant avec mon ex petite amie et je venais de voir mon fils pour la première fois hier alors qu’il était déjà âgé de deux semaines passés. « Moi je bouffe tout le temps ? Geeeenre et j’essaye pas de t’amadouer j’ai vraiment la dalle ! Et t’sais qu’au pire je me barre sans toi hein ». Je lui tirais la langue avant qu’elle ne prenne déjà la porte et que je la suive. Je refermai la porte de sa chambre derrière et nous partions en direction du centre ville à la recherche d’un petit restaurant. « Bon choisis le restaurant, moi je paye ». Oui, j’avais des bonnes manières et oui j’étais galant. Bien entendu que j’allais lui payer le restaurant, je n’étais pas la dernière des baltringues non plus. Fleur avait enfin choisi un restaurant et je la laissais entrer la première, rangeant mes lunettes de soleil. En relevant la tête, j’allais avancer quand je vis que Fleur s’était immobilisé. En regardant droit devant moi aussi, je compris immédiatement ce qu’elle regardait. Au fond du restaurant il y avait une terrasse et cette terrasse était face à une chapelle. Evidemment qu’elle pensait à Drew et à son mariage, évidemment. Et je devais bien l’avouer, cela me faisait assez chier. Drew me faisait chier, je voulais, j’espérais secrètement qu’elle le zappe assez vite et qu’elle se rende compte qu’elle avait beaucoup mieux à côté d’elle, quelqu’un qui ne la ferait pas souffrir, comme moi. De plus, cela ne m’enchantait pas vraiment qu’elle commence à penser à Drew alors que nous venions d’arriver à Las Vegas. Ce n’était pas le but de notre escapade. Notre week end ensemble devait s’avérer festif et sans ex mari ni petit ami au tableau. Ce week end, c’était nous et rien que nous. « Je suis désolé, c’est tellement loin, mais récent en même temps. Est-ce que tu crois que je vais pouvoir m’en remettre ? ». Je venais d’encercler sa taille de mes bras pour la tirer de ses pensées. Elle sentait extrèmement bon et encore une fois son parfum m’envoutait. Je regardais avec elle la chapelle. « Bien sur que tu vas t’en remettre, ça va surement te prendre du temps mais tu vas t’en remettre. Tu es forte Fleur Juliet La Tour Dubois. Et puis maintenant tu as un petit garnement à qui te raccrocher, moi quand Naomi m’a quitté, Jules n’était pas encore né. Je m’en suis remis de ma trahison, tu vas t’en remettre toi aussi. Et puis tu sais que tu peux compter sur moi, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit ». Je l’embrassais doucement sur la joue avant de la lâcher. Le serveur vint alors à notre rencontre pour nous indiquer une table où nous asseoir. Bien entendu, avec le beau temps qu’il faisait, nous nous étions mis en terrasse, mais je m’étais assis en face de la chapelle de façon à ce que Fleur l’ait dans son dos. La commande passée, je souriais à Fleur. « J’ai vu Jules pour la première fois hier. Tu ne peux pas savoir comme il est beau. T’imagines, plus tard nos gosses seront les meilleurs potes si ca se trouve ». Je me mettais à rire, imaginant Jason et Jules faire les quatre cent coups et nous rendre absolument chèvre. Peut-être que d’ici là serions nous ensemble Fleur et moi et que garçons seraient alors une sorte de demi-frère. Bref je déraillais là. C’était presque impossible que Fleur et moi terminions un jour ensemble, jamais elle ne s’intéresserait à un type comme moi. Jamais. « Je suis heureux d’être là avec toi Fleur ». Je lui adressais un sourire sincère alors que les serveurs nous apportait nos plats, un plat de carbonara pour Fleur et un plat de penne au saumon pour moi.
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Sujet: Re: Las Vegas paradise • NATHEUR Mer 27 Avr - 12:03
I just have to say it once, you just need to hear it.... I love you Elena. And that's because I love you that... I can't be selfish with you. That's why you can't know this. I don't deserve you. But my brother does. God I wish you hadn't to forget this... But you do...
LAS VEGAS PARADISE. Ouai go to the hell ouai, Las Vegas est le pire endroit pour la débauche, pour Fleur sa signifié l’enfer, elle qui était si sage et si douce, l’agitation de Las Vegas aurait très bien pu lui faire peur mais enfaite pas du tout et pour cause, elle sentait même qu’elle allait très bien s’amuser parmi toutes cette foule de gens qui ne chercher qu’une chose « S’amuser » s’amuser comme jamais Fleur ne s’était amusé. En tout cas jusqu’à maintenant, mais ce weekend allait être le weekend de la débauche, le weekend sans limite, Fleur voulait oublier les sales coups qui lui était arrivé depuis ces derniers mois. Ah oui des coups dur elle en avait eu un paquet, entre son ex qui avait pratiquement voulu tuer sa sœur, mais qui enfin de compte avait tiré sur Matthew, et ce même ex qui voulait avoir la garde de son bébé, magnifique tous lui souriait ces derniers temps. Ce weekend allait vraiment lui permettre de bien déconnecter de ce qu’elle était en train de vivre en ce moment même en Californie, et elle avait décidé de faire tous ça avec son ami Nathy, ce qu’elle l’aimait ce petit gars. Ce qu’elle ne savait pas c’est que lui l’aimait aussi beaucoup, encore plus qu’elle ne le pensait, elle en avait vraiment pas idée, et c’était enfaite mieux pour elle que pour le moment elle n’en sache rien. En tout cas pour le moment ils étaient prêt à partir enfin manger, elle aussi était en manque de nourriture, elle n’avait qu’une envie de manger, pâte, pizza, frite tout aller y passer. « Moi je bouffe tout le temps ? Geeeenre et je n’essaye pas de t’amadouer j’ai vraiment la dalle ! Et t’sais qu’au pire je me barre sans toi hein » Quel gentillesse, elle avait oublié à quel point parfois il pouvait être tendre et romantique. « Bien sur tu t’empiffre a longueur de journée, je me demande bien ou tu cale tous ca dans ton petit corps avec tes pattes de mouche. » Oui il était bien maigre, mais musclé jusque comme il le faut, juste comme elle aimait enfaite. « Au pire tu te perdrai aussi sans moi non ? Rappel toi une chose mon petit le cerveau de l’équipe ici c’est moi. Cimer ton sens de l’orientation. » Bon sang, elle avait beau ne plus avoir de petit être dans son ventre elle ne cessait de manger, et bien sur manger des cochonneries sinon se serait tellement moins marrant, une chance qu’elle ne grossissait pas réellement, mais elle avait bien prit deux ou trois kilos depuis qu’elle avait retrouvé son poids d’origine, et elle se promit que dés qu’elle rentrerait de ce weekend de débauche elle les perdrait aussi vite qu’ils sont apparu. Elle avait une sacré par d’obus tiens, super, elle commençait a se sentir serré dans ces sous vêtement et c’a n’annoncé rien de bon, la dernière fois qu’elle avait ressentit ca elle avait appris qu’elle était à 5 semaines de grossesse, heureusement cette fois elle était sur et certaine qu’il ne s’agissait pas de sa mais uniquement du faite qu’elle bouffait comme une vache, tous cela causé par le stress bien sur. « Bon choisis le restaurant, moi je paye ». Bon sang ce qu’il était romantique, oui oui il avait une façon d’annoncer ça, tel un proxénète payant sa pute, elle n’allait pas rien dire, il l’a connaissait bien dés qu’elle avait quelques chose a dire, elle le disait sans regretter quoi que se soit, après tous la franchise est ce qu’il y a de mieux pour tout le monde, le seule problème été que mademoiselle La Tour Dubois était doté d’une diplomatie de tout épreuve, elle n’était pas diplomate pour un sous. Génial voila comment elle arrivait parfois à blesser certaine personne sans le vouloir. « Merde ce que tu peux être trop romantique parfois, je sais bien qu’on n’est pas en couple, mais quand même tu pourrais me dire ça dans une phrase plus harmonieuse, du genre, bon aller fait toi plaisir aujourd’hui je ravie de t’inviter. Non non toi c’est à base de Bon ok pote choisi ton fast food je régale ! » Fleur souria en lui tapant sur l’épaule tels un de ces potes, bien sur ils étaient plus que de simple potes, ils étaient amis. En tout cas c’est tout naturellement que Fleur se dirigea vers un petit Italien, elle avait vu leurs plats en vitrine et ca lui avait totalement mis l’eau à la bouche, quoi de mieux que je manger des bonnes pâtes à la carbonara. Ils s’avancèrent et le charmant jeune homme qui servait de serveur et accessoirement de barman, les dirigea vers une table prés d’une baie vitré qui leurs laisser donc une vue magnifique sur tout les casinos du coin, bon sang une vue comme ça, on en voyait pas tous les jours, c’était même plutôt rare et d’être la avec Nathaniel lui faisait beaucoup de bien, d’ailleurs quand il l’avait prise dans ces bras quelques minutes auparavant elle s’était senti tellement bien qu’elle y serait rester encore longtemps il lui avait d’ailleurs émit ces doux mots a son oreille « Bien sur que tu vas t’en remettre, ça va surement te prendre du temps mais tu vas t’en remettre. Tu es forte Fleur Juliet La Tour Dubois. Et puis maintenant tu as un petit garnement à qui te raccrocher, moi quand Naomi m’a quitté, Jules n’était pas encore né. Je m’en suis remis de ma trahison, tu vas t’en remettre toi aussi. Et puis tu sais que tu peux compter sur moi, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit » auquel elle répondit « Tu sais que tu peux compter sur moi de la même façon. » Elle l’aimait tellement mais bon les choses pourrait déraper si jamais ca devait trop intense ou bien encore trop ambigüe, bien sur que Nathaniel lui plaisait physiquement c’était obligatoire, elle aimait aussi beaucoup, mais elle ne prit jamais le risque de dire quoi que se soit de peur de casser cette chose si spécial qu’il y avait entre eux. Après s’être enfin installé, le serveur leurs demanda s’ils désiraient boire quelques chose, habituellement Fleur aurait répondu un simple non, mais pour une fois en regardant Nathaniel elle décida de commander du champagne, après tout c’est lui qui régale « On à quelques chose a fêter alors pour une fois on va se faire plaisir, t’es d’accord avec moi j’espère ? » Il avait plutôt intérêt a être d’accord, on ne contrarie jamais une femme comme Fleur sinon il en risquait de sa vie. Mais une chance, il avait tout simplement acquiescé. Le champagne arriva et après quelques minutes ils finirent ensemble enfin leurs premier verre, oui pour le premier il avait décidé de le boire cul sec, Fleur eu d’ailleurs un peu de mal, pour quelqu’un qui ne boit que rarement, boire rien qu’un verre et en plus cul sec, allait être très difficile, une chance qu’ils avaient leurs Sam, oui le chauffeur de Fleur avait été nommé d’office leurs Sam, « Celui qui conduit c’est celui qui ne bois pas » xD Et il valait mieux puisqu’ils enchainent pas mal de flûte a cette allure Fleur n’allait pas tenir bien longtemps, une chance qu’elle mangeait en même temps. « J’ai vu Jules pour la première fois hier. Tu ne peux pas savoir comme il est beau. T’imagines, plus tard nos gosses seront les meilleurs potes si ca se trouve ». Oh mec, c’est vrai il été papa maintenant, ils étaient tout les deux parent célibataire tu parle d’un tableau. « Ah je suis contente félicitation !! J’imagine vu la tronche du père fort possible, se serait super marrant, mais aussi super impossible, dans tes rêves, rare sont les amitiés qui dure après la fac tu sais. » Charmante Fleur. « Je suis heureux d’être là avec toi Fleur » elle prit sa main et reprit. « Et moi donc tu n’imagine pas comme tu arrive à me faire penser à autre choses. »
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Sujet: Re: Las Vegas paradise • NATHEUR Mer 27 Avr - 15:01
NATHANIEL & FLEUR « Nous avions besoin d'oubli, tous les deux, de gite d'étape, avant d'aller porter plus loin nos bagages de néant. [...] Deux êtres en déroute qui s'épaulent de leur solitude ✿ Natheur forever. »
Pourquoi fallait-il toujours que je m’embarque dans des relations compliquées et qui allaient forcément que faire souffrir ? Comme si je n’avais déjà pas eu ma dose avec Naomi, non il fallait que j’en rajoute une couche et que je tombe amoureux de la seule fille qui avait encore plus de problèmes que moi au niveau sentimental. Bien joué Nathaniel, vraiment. On ne choisit pas la personne que l‘on aime, cela nous tombe dessus un jour sans que l’on ne puisse rien y faire, cette situation me correspondait vraiment. Je n’avais pas choisi de tomber amoureux, encore moins de Fleur. Si j’avais eu à choisir, je ne serais retombé amoureux de personne. L’amour, l’amour encore et toujours l’amour. Des gens passaient leur vie à chercher à l’amour. L’âme sœur, la personne idéale, ça n’existait et cela n’existera jamais. Les couples qui duraient toute une vie ? C’était fini ça. Maintenant aux premiers problèmes, les couples se séparaient sans forcément se remettre en question. Et c’était bien triste. J’y avais cru au grand amour. Plus que tout. Mon cœur avait été confié à Naomi. Et elle l’avait bousillé, piétiné, écrabouillé sans aucune vergogne. Sans aucune honte. Elle m’avait humilié. Mon égo en avait prit un coup et jamais je ne souhaitais revivre cela. L’amour, moi je n’y croyais plus. Et pourtant, il avait encore frappé. Sans que je ne demande rien. Sans que je ne dise rien. Il était encore apparu au coin de ma vie pour me frapper en pleine tête et en plein cœur. Des sentiments, pour Fleur, si un jour on m’avait annoncé cela, j’aurai probablement ri. Pas que cela me répugnait, bien au contraire, mais Fleur avait tellement toujours été qu’une simple amie, certes très attirante, mais seulement amie pour moi que je n’avais pas imaginé une seule seconde finir avec elle. Il y avait déjà un couple Atwoodth-La Tour Dubois et visiblement il n’avait jamais été programmé qu’il y en ait un autre. En pensant à Edward, si un jour je finissais avec Fleur, je n’osais imaginer sa réaction. Nos relations n’en seraient que plus négatives j’imagine. Mais aujourd’hui je ne riais plus de cette probabilité que des sentiments naissent à l’égard de la jolie brune. Non, la situation était même loin de m’enchanter. J’étais dans une impasse, vraiment. Fleur sortait d’un mariage, et moi je m’accrochais à elle, comme un crétin. Un triple idiot même, me forçant à me convaincre que la situation s’arrangerait mais soyons réaliste, jamais elle ne s’arrangerait. La jeune alpha n’était pas prêt à oublier son Drew, le père de son fils et je n’étais pas prêt à oublier mes sentiments pour elle. Même si je le souhaitais, cela n’arriverait pas. Ils s’étaient doucement infiltrés en moi avant d’y prendre pied. Je ne pouvais plus reculer, les dés étaient lancés. Pile, il y avait une chance qu’elle s’intéresse à moi, face, elle n’oublierait jamais Drew. A votre avis, sur quelle face la pièce allait retomber ? « Au pire tu te perdrai aussi sans moi non ? Rappel toi une chose mon petit le cerveau de l’équipe ici c’est moi. Cimer ton sens de l’orientation. ». Sur ce point, elle n’avait pas tort. Je n’avais aucuns sens de l’orientation. A mon arrivée à Berkeley j’avais eu me perdre un nombre inimaginable de fois. Ma rencontre avec Catahleen, une de mes meilleures amies, s’était notamment grâce à cela, mon sens de l’orientation de la mort. C’était un soir où encore une fois je m’étais perdu dans ce grand campus et heureusement ma route avait croisé celle de Catah qui fut ma lumière. Enfin elle aussi niveau orientation on pouvait en reparler, puisque nous nous étions retrouvé dans une fête privée oméga à cause d’elle. De là s’en était suivie une crise de fou rire et une jolie amitié qui durait depuis plus de trois ans. « Oh ca va hein, au pire si on se perd, j’use de mon charme pour qu’on nous montre le chemin ». Je lui tirais légèrement la langue, tel le gros gamin que j’étais. J’assumais entièrement mes trois ans d’âge mental quelque fois. M’enfin, je savais être mature et posé quand il le fallait, surtout depuis que je savais que j’étais papa, faire le gamin, il allait falloir que je laisse ça à Jules. Mon caractère de grand enfant, je le sortais généralement pour faire rire les gens qui m’étaient chers et dont je savais que l’humeur n’était pas au beau fixe. Comme avec Fleur par exemple. Elle allait en bouffer ce week end de mes blagues vaseuses et mes gamineries, foi de Nathaniel. « Merde ce que tu peux être trop romantique parfois, je sais bien qu’on n’est pas en couple, mais quand même tu pourrais me dire ça dans une phrase plus harmonieuse, du genre, bon aller fait toi plaisir aujourd’hui je ravie de t’inviter. Non non toi c’est à base de Bon ok pote choisi ton fast food je régale ! ». Encore une fois Fleur venait de me tuer. Je me mettais alors à rire. Plus romantique que moi, tu mourrais ! Mais pour que je sois romantique, il me fallait avoir une petite amie car effectivement je n’avais pas pour habitude d’être romantique avec mes amies. Quoiqu’avec Fleur c’était un peu différent maintenant mais justement je tentais de ne rien laisser paraître et de me comporter comme si la jeune femme n’était qu’une simple amie. Simple amie à cause de qui mon cœur s’emballait quand elle me charmait avec ses sourires. Simple amie, on y croyait oui. « Ma chère Fleur, choisis le restaurant de ton choix, moi peu n’importe, ta simple présence me ravie et me comble. Ca te va comme ça ? ». Je lui renvoyais son coup d’épaule en rigolant avant qu’elle choisisse le restaurant de son choix. Bien évidemment, bien qu’étant à Las Vegas, son Drew était toujours présent autour de nous. Non il ne suffisait pas qu’il soit dans sa tête, il fallait aussi que je ressente sa menace sur ma tête aussi. Le restaurant choisi et surtout la place où nous nous trouvions se trouvaient pile en face d’une chapelle. Good choice, vraiment. J’en soupirais intérieurement. Moi qui voulais lui faire oublier ce type, la tâche s’avérait difficile. Mais j’y arriverai. J’en étais certain. Renoncer ? Ce mot ne faisait pas parti de mon vocabulaire. « Tu sais que tu peux compter sur moi de la même façon ». Je lui souriais en la regardant. Un étrange lien nous unissait. Ce n’était pas forcément pour me déplaire. Je souhaitais juste qu’elle ouvre les yeux, sur Drew, sur moi, sur nous. J’avais tellement plus de choses à lui apporter que lui. Fleur commanda alors des coupes de champagne. Oh damn elle voulait déjà commencer à boire à même pas 14h, je n’osais imaginer comment nous allions finir d’ici quelques heures. L’alcool et Nathaniel ne faisaient pas forcément bon ménage. Après ma dernière cuite, je m’étais réveillé nu dans le lit de Stiyzanna avec qui j’avais couché après seulement une première rencontre de quelques heures. Et puis je me devais de protéger la jeune femme. C’était mon rôle d’homme après tout. La première coupe se but d’une traire néanmoins, pour fêter notre victoire de présidents de confrérie et notre week end ici. « Ah je suis contente félicitation !! J’imagine vu la tronche du père fort possible, se serait super marrant, mais aussi super impossible, dans tes rêves, rare sont les amitiés qui dure après la fac tu sais. ». Je me pris sa dernière phrase en plein visage. Ses mots résonnèrent dans ma tête quelques secondes et mes yeux s’accrochèrent aux siens. Moi j’y croyais aux amitiés qui duraient longtemps. L’amour était éphémère, pas l’amitié. Et je comptais bien le prouver à la jeune femme. Elle, Catahleen, Evan et Noelynn, je ne comptais pas les lâcher, après nos études. « La notre sera rare alors. Puisque que je compte pas te lâcher après Berkeley Et ouais c’est bête hein mais si tu voulais me semer, ben c’est raté ». Si il m’était donné de rester à Berkeley toute ma vie avec mes amis les plus proches, j’y emménagerais pour le restant de mes jours. Mais un jour la vie nous rattrapait et il fallait bien grandir. Mais le souhaitais-je vraiment ? « Et moi donc tu n’imagine pas comme tu arrive à me faire penser à autre choses ». Je ravalais difficilement les pâtes que je venais d’enfourner dans ma bouche. Ouais classe hein. Sa phrase venait de me donner des papillons dans le ventre et un sourire niais s’était inscrit sur mon visage. « Ca tombe bien, c’était exactement mon but ». Nos mains accrochées, je n’osais plus bouger. Sa peau douce contre la mienne, j’appréciais l’instant présent. J’aurais voulu avoir le pouvoir de figer cet instant à tout jamais. Plus rien ne comptait autour de nous. A cet instant précis, à ces secondes précis, il n’y avait que nous et rien que nous. Nathaniel et Fleur. Fleur et Nathaniel. Et pas Fleur, Nathaniel et Drew. Game over Drew. Le repas se termina dans la joie et la bonne humeur, l’alcool commençant à monter doucement à la tête. Fleur semblait légèrement pompette et moi, il ne m’en fallait plus beaucoup pour que je titube. J’avais arrêté les verres avant que cela dégénère, si nous étions tous les deux bourrés à 15h de l’après-midi, je n’osais pas imaginer dans quel état nous allions être ce soir. Après avoir payé, nous nous retrouvions dans la rue. Fleur rigolait toute seule, et son rire me fit sourire. Elle était tellement plus ravissante quand elle semblait joyeuse. « Bon Fleur on fait quoi maintenant ? On visite Las Vegas histoire de repérer un bon casino pour ce soir ? ». Evidemment qui disait Las Vegas, disait casino et machines à sous. Et en véritables touristes, nous n’allions pas échapper à la règle.
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Sujet: Re: Las Vegas paradise • NATHEUR Mer 27 Avr - 15:59
I just have to say it once, you just need to hear it.... I love you Elena. And that's because I love you that... I can't be selfish with you. That's why you can't know this. I don't deserve you. But my brother does. God I wish you hadn't to forget this... But you do...
Lorsque que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-mêmes. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation. Fleur n’avait pas encore passé tous ces cap, d’ailleurs elle en était loin, elle en était a la colère, autant dire qu’elle avait encore du chemin a faire avant d’être totalement libérée de l’emprise du Drew, mais en tout cas une chose est sur c’est qu’elle ne l’aimait plus. Oui elle ne l’aimait plus, et ça elle l’avait enfin accepté et reconnu, pourtant oublié une relation si longue en si peu de temps, ce n’était pas facile mais elle était tellement dégouté, déçu, énervé que tous cela passait tous seule maintenant. Le pire dans cette histoire c’est que le petit Jason se retrouvé au milieu de tous ça, lui qui était si mignon lui qu’elle aimait plus que tous au monde, comment on pouvait être père et faire une chose aussi affreuse. Et en plus il en voulait la garde, bon sang qu’il garde la pêche parce qu’il n’aura rien du tout, une garde partagé a la limite, mais la garde exclusive il peut toujours rêver ! Enfin elle était la avec son Nathaniel, prête à dévorer un plat italien de grand cuisiner, autant dire une merveille. « Oh ca va hein, au pire si on se perd, j’use de mon charme pour qu’on nous montre le chemin ». Fleur se mit a rire suite a sa remarque, c’est vrai qu’il avait du charme, plus qu’il n’en fallait d’ailleurs, elle l’avait toujours trouvé très attirant, et elle se demandait comment certaine femme faisait pour lui résister. S’ils ne se connaissaient pas Fleur aurait déjà tenté, bien que se ne soit pas du tout son genre de tenter quelques choses. Oui en fin de compte c’était plutôt l’inverse, on lui court après, mais elle ne court après personne cela va de soit. Quand on est une fille, on doit se laisser charmer et pas aller charmer tous ce qui bouge, pas comme toutes ces greluches a Berkeley qui ne pense cas une chose « le sexe » le sexe, le sexe, le sexe, putain les filles maintenant avaient que ce mot la à la bouche. « Tu possède un charme toi ? Si oui je sais pas où tu le met, il doit être bien caché. » Oh elle plaisantait bien sur, Nathy était un peu susceptible et cela l’avait toujours fait craquer. « Tu sais bien que je plaisante, tu es beau comme un cœur chéri. » Fleur s’approcha de lui pour lui caresser la joue, oui la Fleur était devenu très tactile, mais elle ne l’était pas avec tout le monde au contraire, cette fille est une sauvage alors a moins d’être quelqu’un de très proche, elle ne cherchera pas a être sociale, elle est plutôt timide, en faite ça dépends parce que des fois elle peut aller vers les gens, et parfois non. « Ma chère Fleur, choisis le restaurant de ton choix, moi peu n’importe, ta simple présence me ravie et me comble. Ca te va comme ça ? ». Qu’il était mignon, enfin à moitié puisqu’il avait été contraint et forcé de reformuler sa phrase pour qu’elle devienne plus agréable et harmonieuse, la Fleur aurait fondu s’il avait dit ça dés le début, mais il ne l’avait pas fait donc le charme était rompu. Totalement. Elle appréciait quand même l’effort xD Fleur était aussi une femme trop romantique, trop FLEUR bleu, peut-être qu’elle en faisait un peu trop aussi, va savoir. Soit elle en faisait trop, soit Nath en faisait pas assez, le choix pour Fleur était vite vue, Nathaniel n’en faisait définitivement pas assez « Bon c’est un peu contraint et forcé donc le charme n’agit pas, mais si tu me l’avait faite comme ça dés le début, j’aurais fondu mon petit père. Dommage pour toi, try again » Fleur souria de plus belle et reprit. « Mais oui ca me va, c’est par-fait ! » fit-elle rapidement. Fleur se demandais si Nathaniel pensait encore à Naomi, surtout que maintenant il serait amené a la voir beaucoup plus souvent suite a la naissance de leurs fils, rien que de penser à elle, elle en avait la nausée, elle détesté Naomi, au plus haut point, après Drew elle était la personne qu’elle détestait le plus. Comment avait-elle pu lâcher Nathy ? Comment pouvait-elle être une aussi grosse salope qui se tape tous ce qui bouge et qui fait des gosses partout ? Elle ne la comprenait pas, et ne voulais pas le comprendre. En tout cas si elle avait été a sa place, elle ne l’aurais jamais laissé, jamais elle n’aurait pu faire de mal à son petit Nathaniel. « La notre sera rare alors. Puisque que je compte pas te lâcher après Berkeley Et ouais c’est bête hein mais si tu voulais me semer, ben c’est raté ». C’est mot lui apporta un frisson, un frisson qui longea le long de son corps tendu. L’entente de ces mots l’avait en fin de compte soulagé, le fait de le gardé prés d’elle a vie, ne lui ferais que du bien, elle n’attendait que ça, et oh grand dieu non qu’elle ne veut pas le semer. Elle souria et renforça sa main autour de celle de Nathaniel. Fleur commençait a caler et ne mangeais pas beaucoup, elle avait toujours super faim et pourtant elle n’arrivait pas a avaler grand-chose. Le contre coup de ces histoires encore et toujours. « Ca tombe bien, c’était exactement mon but ». Elle souria, et but encore un petit coup de son champagne, champagne tellement bon en bouche. Elle ne buvait pas souvent, mais on peut dire qu’elle adore le champagne, elle avait aussi l’impression d’être seule avec lui, elle n’entendait aucun bruit autours, pourtant dieu sait ce qu’il y en avait du bruit, le restaurant était bondé de monde, mais elle le regardait lui et personne d’autre. « Et bien objectif atteins, tu auras le droit à un bonus si tu continue » Dit-elle d’une voix sérieuse, elle avait un sourire niais sur le visage, bon sang depuis Drew elle n’avait plus niaisais avec personne mise à part son fils. Le repas se terminé vraiment bien et maintenant Fleur avait du mal à rester en place dans la rue, ne cessant de montrer du doigt plusieurs monument ou quoi que se soit d’autre. « Bon Fleur on fait quoi maintenant ? On visite Las Vegas histoire de repérer un bon casino pour ce soir ? » Fleur rigola a l’entente de cette phrase, oui pourtant il n’y avait rien de drôle, mais elle en pouvait plus, elle se retint aux bras de Nathaniel et se replia sur elle-même tellement qu’elle rigolait. Elle ne manqua pas de tomber une ou deux fois, mais Nathaniel avait su la recadré, apparemment soit il avait moins bu, soit il tenait beaucoup mieux l’alcool qu’elle. En tout cas le temps passe et il passe et Fleur était déjà pompette, elle pointa du doigt un magnifique casino nommé « Le Montécito », elle sautilla et frappa des mains. « Ah celui la, regarde c’est le même cas la télé !!!!!!! » et elle le regarda « Dingue non ? »
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Sujet: Re: Las Vegas paradise • NATHEUR Jeu 28 Avr - 17:20
NATHANIEL & FLEUR « Nous avions besoin d'oubli, tous les deux, de gite d'étape, avant d'aller porter plus loin nos bagages de néant. [...] Deux êtres en déroute qui s'épaulent de leur solitude ✿ Natheur forever. »
La vie est chienne. La vie se moque de nous. A chaque minute, chaque seconde de votre existence. Quand vous pensez que tout va bien, que vous êtes in touchables, ce n’est qu’une illusion. Le destin est tragique. Jamais il ne vous apportera paix et sérénité. Nous sommes vivant pour souffrir. Vivant pour mieux mourir. Combien de personnes ne connaissent pas le gout du bonheur ? Combien ont déjà essayé d’en finir avec la vie ? Combien y sont parvenu ? Combien ont échoué ? La question de la mort est partout. Le suicide est omniprésent dans nos têtes. Certains moments, il se fait si présent qu’on ne pense qu’à lui. Je vous mentirais si je vous disais que je n’y avais jamais songé. Et mentir c’est mal. La mort m’était apparue comme une délivrance dans une période critique de ma vie. La trahison de Naomi m’avait cassé, je souhaitais que la mort m’achève. L’accident de mon frère Maxwell avait fait accélérer le processus. Quand je n’avais plus personne vers qui me tourner, mon frère avait toujours été là. Mais son accident avait emporté avec lui des fragments de sa mémoire, fragments qui comportaient notre fraternité. Mon mentor n’était plus là, mon amoureuse était partie, que me restait-il ? Des amis ? Oui mais les amis, ça va, ça vient me disais-je. Or j’avais tort de penser cela. Car sans eux, je ne serais probablement plus là aujourd’hui. Sans ces personnes vers qui je m’étais tourné quand mon existence ne me satisfaisait plus, j’aurai probablement mis fin à mes jours. Mais mes anges étaient là, autour de moi, ils rodaient et me surveillaient. Fleur faisait partie de l’un de ses anges. Et jamais je ne la remercierai assez d’avoir été ce qu’elle a été quand j’allais mal. Une amie parfaite. C’était à mon tour d’être un ami parfait maintenant. A mon tour d’être présent, de la réconforter, de lui changer les idées. Et je savais exactement comment m’y prendre. Fleur n’avait pas vécu des choses faciles, rien n’était comparable à mon histoire, mais dans un sens, le résultat était le même. Notre égo en avait prit un coup, notre cœur n’était plus qu’un tas de miettes à nos pieds et des insomnies ponctuelles orchestraient nos nuits. J’imaginais ce que devait ressentir en ce moment Fleur. Sa rupture avec Drew était toute récente et j’enviais son courage et sa détermination à faire comme si rien ne s’était passé. A sa place, je n’aurais probablement pas pu venir à Las Vegas et m’amuser. A la fin de mon histoire avec Naomi, j’étais resté cloitré chez moi des jours. Et puis un matin, le poids de l’absence de Naomi était parti. Je m’étais réveillé, comme libéré, serein. C’était arrivé sans que je n’y puisse rien, sans que je n’y sois pour rien. Ca c’était fait tout naturellement et un matin je m’étais réveillé sans plus aucuns sentiments pour la mère de mon fils. Et à partir de ce matin-là, j’avais pu revivre, enfin. Mon plus grand souhait en ce moment était que Fleur retrouve cette sérénitude en elle. Qu’elle ne pense plus à Drew en ayant le cœur broyé. Qu’elle l’oublie, doucement, mais surement. J’étais là pour ça. Ce week end était fait pour cela. « Tu possède un charme toi ? Si oui je sais pas où tu le met, il doit être bien caché. […] Tu sais bien que je plaisante, tu es beau comme un cœur chéri. ». Fleur ou l’art d’être gentille. Je la reconnaissais bien la ma Fleur, toujours à me charrier dès que j’ouvrais la bouche. Elle connaissait mon caractère un tantinet susceptible et s’en amusait beaucoup. Ma main douce contre ma joue, je plongeais ms yeux dans les siens. Si elle commençait comme ça, j’allais s’en doute ne pas tenir très longtemps. « Ma beauté n’a rien de comparable à la tienne ». Petit clin d’œil avant de rire. Je jouais la carte romantique mais si mes belles phrases pouvaient la faire craquer un peu plus sur mon charme, je ne crachais pas dessus. A la guerre comme à la guerre disait le proverbe. « Et bien objectif atteins, tu auras le droit à un bonus si tu continue ». Je lui souriais à mon tour, très intéressé par sa remarque. Un bonus, ah oui vraiment ? Je baissais les yeux avant de les relever vers la jeune femme, un léger sourire en coin. « Un bonus ? Et quel genre de bonus ? ». Je la regardais toujours, attendant sa réponse. Le repas au restaurant se déroula dans une bonne atmosphère, mélangeant rire et complicité, alcool aussi quelque peu mais surtout rire. Ma Fleur était bien plus jolie quand elle souriait et riait que quand je la voyais la mine triste et les pensées parties très très loin d’ici. Elle était plus belle que n’importe qui et je fondais littéralement. Le week end s’annonçait très dur pour moi. Etre aussi proche que ça de Fleur sans rien pouvoir faire ni espérer quelque chose en retour. L’amour à sens unique, quelle grosse merde. Et il fallait que ça me tombe dessus alors que je n’avais rien demandé à personne. Les flûtes de champagne s’étaient assez enchainé pendant ce repas et nous étions comment dire, assez joyeux. Moi moins que la jeune femme quand même. J’avais su modéré ma boisson car je me connaissais, si je finissais saoul maintenant, je n’allais sans doute plus pouvoir totalement me controler et qui sait ce qui allait arriver. Le week end ne faisait que commencer et je n’avais pas vraiment envie de tout foutre en l’air maintenant. Bien au contraire. Enfin Fleur semblait dans un état si second que je doutais qu’elle ne comprenne quoique ce soit. Mais autant ne pas jouer au con tout de suite et ne pas effrayer Fleur. Je voulais encore profiter de ces moments partager avec elle avant que la situation ne dérape si elle devait déraper un jour. Nous étions à présent ressorti du restaurant et je dus rattraper plusieurs fois Fleur qui manquait de tituber et de tomber. Wow si à cette heure-là, elle était déjà pompette, comment allait s’annoncer la soirée. Je rigolais en regardant la jeune femme sembler tout excité et sautiller sur place en me désignant un casino. « Fleur calmes toi, sinon on te pourra jamais entrer dans ce casino ». Je passais mon bras autour de sa taille en ramenant la jeune femme contre moi de façon à ce qu’elle reste un minimum droite et pour qu’elle semble sobre le plus possible. Je n’avais qu’une envie, faire exploser mon rire qui me titillait la gorge mais si je me m’étais à rire, s’en était fini pour nous. Nous avions l’air d’un réel couple à ce moment-là et ce n’était pas forcément pour me déplaire. Arrivé à l’entrée du casino, je saluais le portier avant de m’avancer pour entrée. Mais le grand black au costume noir nous stoppa immédiatement. « Vous n’êtes pas en tenue adéquate pour ce genre d’établissement. Et vous aviez l’amabilité de revenir quand votre copine sera un peu moins saoul ». Je vis que Fleur allait répliquer quelque chose mais je me dépêchais de faire un petit sourire au portier avant de tourner les talons. Quelques mètres plus loin je lâchais la jeune femme et me mit à rire moi aussi. « Fleur faut qu’on rentre un moment à l’hôtel sinon on va se faire refouler à tous les casinos ». Et je n’avais pas tort. Nous devions changer de tenue si nous voulions déjà oser espérer entrer et surtout Fleur devait aller se reposer quelques instants, histoire d’être à nouveau fraiche et opérationnelle ce soir. Je nous ramenais donc à l’hôtel et essayais Fleur sur son lit quand nous fûmes arrivé à mon port. « Putain Fleur t’es bourrée complet là ». Je ne pouvais m’empêcher d’éclater de rire en la regardant, étant moi aussi quelque peu joyeux. Je m’asseyais aux côtés de la jeune femme et me laissais tomber sur le dos sur son lit, les yeux rivés au plafond. Mon répit fut de courte durée puisqu’un coussin m’atterrit en pleine tête. Je rouvrais les yeux et vit une Fleur morte de rire, un coussin à la main. Immédiatement je me redressais, attrapant un coussin au passage. J’étais debout sur le lit de la jeune femme, prêt à attaquer. Fleur vint rapidement me rejoindre et une belle bataille de coussins commença, mélangeant rire et complicité. Nous étions tous les deux plus ou moins net et cela rendait la partie encore plus attrayante. Mais qui disait alcool, disait perte d’équilibre et c’est ce qui arriva à Fleur, je réussis à la rattraper au dernier moment alors qu’elle commençait dangereusement en arrière. Mais n’étant pas très sobre non plus en voulant la rattraper, je perdis moi aussi l’équilibre et nous nous écroulâmes tout les deux sur le lit, moi tombant en arrière, Fleur me tombant dessus. A cet instant précis, nos yeux s’accrochèrent et le temps se figea. Je n’avais qu’une envie, poser mes lèvres sur les siennes et l’embrasser. J’étais à deux doigts de le faire. Nos visages n’avaient jamais été aussi près l’un de l’autre. La question était, lequel des deux allaient faire le premier pas ? Et y aura-t-il seulement un premier pas de fait ?
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Sujet: Re: Las Vegas paradise • NATHEUR Ven 6 Mai - 10:40
I just have to say it once, you just need to hear it.... I love you Elena. And that's because I love you that... I can't be selfish with you. That's why you can't know this. I don't deserve you. But my brother does. God I wish you hadn't to forget this... But you do...
C’est quoi ce bordel avec l’amour là ? Comment ça se fait qu’on devient dingue à ce point ? T’imagine le temps qu’on passe à s’prendre la tête la-dessus ? Quand t’es seule tu te plains: est-ce que je vais trouver quelqu’un ? Quand t’as quelqu’un: est-ce que c’est la bonne ? Est-ce que je l’aime vraiment et est-ce qu’elle m’aime autant que moi je l’aime ? Est-ce qu’on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ? Pourquoi on se sépare ? Est-ce qu’on peut réparer les choses quand ça part en couille ? Toutes ces questions à la con qu’on se pose tout le temps ! ... Pourtant on ne peut pas dire qu’on n’y connaît rien ! On est préparé putain : quand on est petit on lit des livres d’amours, on lit des contes, on lit des histoires d’amours, on voit des films d’amour ! L’amour, l’amour, l’amour ! et ben l’amour ça craint, on fini toujours déçu, trahi ou bien pire encore moi m’étais arrivé le bien pire encore mon ex été un tueur, oui un killer de ces dames, il avait voulu tuer ma sœur et il avait presque réussi, non il ne l’avait pas touché mais putain il avait tiré, il avait eu le cran de le faire, c’était juste incroyable quoi, comment avait-il pu avoir le cran d’appuyer sur la détente, et c’est le pauvre Matt qui en avait payé les conséquence. En tout cas je ne pensais plus vraiment à ça, bordel ce que j’étais bien avec Nathy, il me changeait vraiment l’esprit et il me fit sourire encore plus quand j’entendis cette petite phrase « Ma beauté n’a rien de comparable à la tienne » , je me sentis légèrement gênée et le teint de mes joues prirent une légère teinte rosé, j’avais chaud, mais cela était sans doute du à l’excitation du moment. Je ne m’étais jamais imaginé vivre une histoire avec Nathaniel, nous étions bien trop ami pour ça, ca ne m’avais jamais effleurée l’esprit, mais c’est a cet instant que j’y songeai. Je m’y voyais bien, mais une armée d’image poignante ressortie a la surface, la vision de Naomi embrassant Nathy, la voir enceinte, voir Nathaniel heureux avec elle. Et la je fus totalement coupé du monde où je vivais une romance avec mon ami, oui mon ami voilà ce qu’il était et rien d’autre juste un très bonne ami. Ah que nous avions bien grandi depuis nos premières année à Berkeley, oui nous étions devenu maintenant parents, oui une grande étape dans notre longue vie, maintenant nous ne penserons plus cas nous même, maintenant nous devrions penser pour une autre personne, une autre partie de nous même fini l’égoïsme, bien que je n’ai jamais été égoïste avec mon fils je le serais encore moins. « Un bonus ? Et quel genre de bonus ? » je me mis à sourire j’avais une idée derrière la tête mais a mon avis lui refuserai catégoriquement ma brillante suggestion, elle croisa ses mains autour de sa taille et s’approcha. « Si tu es sage attention mon Nathaniel je vais t’offrir une Lap-attend la suite- Dance, oui oui une lap dance, autant profiter comme il se doit de Vegas non ? » Je terminai mon repas suivi de Nathaniel, quand à moi je ne me sentait vraiment plus dans mes états normal c’était tellement mais tellement rare de me voir ainsi c’était même d’ailleurs jamais arrivé, je n’avais jamais été ivre morte, oui on peut dire que s’était ma première fois et j’étais ravie qu’elle soit en compagnie de mon Nathy. « Fleur calmes toi, sinon on te pourra jamais entrer dans ce casino ». Je ris a ne plus m’arrêtai, il me grondait, j’aimai bien ça, il faisait le papa poule, qu’il était mignon, oui je le trouver craquant, du moins je pense que l’alcool le trouver craquant, bien que enfaite non je sais plus ce que je dis je suis bourré mais je l’aime ce Nathy et je sais que je pourrais toujours compter sur lui. J’essaya de me calmer et il m’aida a rentrer à l’hôtel. « Fleur faut qu’on rentre un moment à l’hôtel sinon on va se faire refouler à tous les casinos ». Et je n’avais pas envie d’y retourner je voulais faire la fête oublié tous mes soucies et vivre au jour le jour, enfin juste pour ce weekend du moins. « Putain Fleur t’es bourrée complet là ». Je ris encore et encore, qu’il était beau mon Alpha je le regardais et j’appréciais la vue que j’avais en ce moment même en face de lui. Bourré ? Mais non bien sur que non qu'est-ce que tu va chercher la ! J’étais surexcité je vis Nathy s’allonger sur le lit, non mais ça va pas ou quoi, qu’est-ce qu’il fait, nous devions passer un weekend de folie pas le temps de se poser quelques minutes, je pris dans mes mains un cousin rapidement je le tenais fermement et l’envoya directement sur le visage du jeune homme, aiiiiie le pauvre une chance que les cousin était vraiment mou, mais a peine j’eu le temps de reprendre mon cousin qu’il était déjà en pleine action debout sur le lit préparant une représailles, merde j’étais mal, je n’avais aucune issue, je pris le risque de courir vers lui pour foncer dans le tas, nous étions complètement fou et on faisait que de rire encore encore et encore. Je fis un peu la folle et je ne manqua pas de tomber à plusieurs reprise, mais cette fois je me balançai en arrière, si je tomber j’allais m’écraser sur le sol et a mon avis ça n’aurait pas été très agréable, malgré le trop plein d’alcool que Nathy avait dans le sang il se dépêcha de me rattraper chose réussite mais en plus il perdu lui-même l’équilibre mais une chance qu’il restait pas mal de place dans le lit de l’autre coté, nous tombâmes tout les deux sur le lit lui était en arrière mes mains ne lâcha pas celle de Nathy donc il m’entraina dans sa chute, je tomba lourdement sur lui, il fit un petit bruit de douleur mais souri par la suite. Je posai ma tête un instant sur son torse et la releva aussitôt. Nous entamions la une séquence lourde en émotion mon regard était posé sur le siens et nos bouche était seulement à quelques mini centimètre l’une de l’autre. Les secondes s’enchainer et je ne bougeai avant que lui ne prenne ma tête pour m’embrasser, je ne le repoussai pas, qu’est-ce qui m’arrivais ? Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie... (désolé fallait je la place un coup cette réplique je l’aime tellement ) Encore une fois le temps passe et je ne le repoussai toujours pas le baiser s’arrêta tout seule naturellement. Et lui et moi nous nous regardions sans vraiment savoir quoi faire, quoi penser, ou bien encore quoi dire…
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Sujet: Re: Las Vegas paradise • NATHEUR Dim 8 Mai - 18:38
NATHANIEL & FLEUR « Nous avions besoin d'oubli, tous les deux, de gite d'étape, avant d'aller porter plus loin nos bagages de néant. [...] Deux êtres en déroute qui s'épaulent de leur solitude ✿ Natheur forever. »
« Si tu es sage attention mon Nathaniel je vais t’offrir une Lap-attend la suite- Dance, oui oui une lap dance, autant profiter comme il se doit de Vegas non ? ». Mon dieu rien que d’y penser, j’en avais des frissons. Merde si Fleur n’était qu’une amie, je ne devrais pas avoir ce genre de pensées. Je devrais plutôt en rire et la charrier mais non je n’avais qu’une seule envie, qu’elle me le fasse ce lapdanse, vraiment. Je devenais complètement dingue à l’imaginer danser, à imaginer ces courbes parfaites. Comment en étais-je arrivé à ce point ? Comment avais-je dérivé de telle sorte à tomber amoureux d’une des mes amies les plus proches. J’avais toujours fait en sorte que cela n’arrive jamais. Mélanger amitié et amour n’avait fait de bons effets, bien au contraire. Et puis c’était arrivé, sans crier gare. Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre. Le mal était fait. Un jour je m’étais réveillé et je n’avais plus vu la jeune femme de la même manière. Je n’éprouvais plus les mêmes sentiments pour elle. Je ne la voyais plus en simple amie. Elle était devenue beaucoup plus que cela sans que je m’en rende compte. Et quand je m’en étais rendu compte, c’était trop tard. J’aurais aimé qu’elle ne prononce jamais cette phrase, qu’un jeu de séduction ne s’installe pas entre nous. Parce que même si elle ne s’en était pas aperçu, en disant cela elle venait d’ouvrir le jeu. Inconsciemment elle m’avait dragué. Et moi, simple humain, simple homme amoureux, j’avais du mal à résister. Vraiment du mal. Comment résister à un minois si parfait, si angélique, à ses sourires pleins de charme et à ses yeux pleins de tendresse ? Comment vouliez-vous que je résiste à tout cela ? J’en étais tout bonnement incapable. Ce week end, elle pouvait me demander tout ce qu’elle voulait, je serai tout entier à sa merci. J’étais toujours prêt à faire tout et n’importe quoi et à être toujours entièrement dévoué pour mes amis, mais avec la jeune femme, cela en prenait une tout autre dimension. Elle n’avait cas ouvrir la bouche et me demander quelque chose et elle l’obtiendrait, s’en était presque certain. Certains pourraient appeler cela de la soumission, de la débilité, mais à vrai dire, j’en avais plus rien à foutre des autres. J’étais tel que j’étais et tant pis si cela ne plaisait pas. Ce week end il s’agissait de Fleur et moi et de personnes d’autres. D’ailleurs j’avais coupé mon portable ou tout ce qui pouvait me relier à l’université. Pendant deux jours non stop nous n’y penserions pas et nous nous amuserions, j’en avais fait la promesse à ma jolie brune et je comptais bien honorer cette si douce promesse. La ville qui ne dormait jamais allait entendre parler de nous, foi de Nathaniel ! Le repas s’était déroulé à vive allure, toujours dans la joie et la bonne humeur. Puis nous avions bien essayé d’entrer dans un casino mais avec le trop plein de joie de vivre de Fleur après avoir enquiller quelques coupes de champagne et nos supers dégaines de touristes, malheureusement l’accès aux machines à sous nous avaient été refusé. Mais ce n’était que partie remise puisque nous avions décidé, enfin j’avais plutôt décidé, que nous allions rentrer un moment à l’hôtel pour nous reposer et surtout décuver un coup avant de ressortir plus tard. Une bonne douche ne nous ferait sans doute pas de mal non plus, histoire de nous remettre un peu les idées en place. Pour nous remettre les idées, cette mini pause nous avait remis les idées en place. Ou pas pour être plus exact. C’était carrément tout l’inverse. Parce que non seulement Fleur ne semblait pas décider à vouloir se reposer mais en plus, à cause de la bataille de coussins lancée, la jeune femme se retrouvait allongée sur moi, parce que nous avions perdu l’équilibre et que nous étions tombés. Nous étions dans l’impasse, vraiment. Je la regardais, elle me regardait et aucuns des deux ne bougeaient. Nos lèvres étaient plus proches qu’elles ne les avaient jamais été et je me demandais quelle force surhumaine me retenait pour ne pas sauter sur ses deux lèvres si belles et qui semblaient si douces. Malheureusement, ou heureusement, je ne savais pas vraiment quel était le terme approprié dans cette situation, cette force ma lâcha et cette attraction pour les lèvres de la jeune femme me força à l’embrasser. Ce fut deux lèvres qui s’effleurèrent, qui se cherchèrent avant d’engager un baiser plus fougueux. Mon cœur s’était emballé à une vitesse folle et les yeux fermés, je n’étais plus maitre de moi-même. Fleur avait les lèvres les plus douces que je n’avais jamais embrassé. Elle sentait bon, son odeur m’enivrait totalement. Si je ne me calmais pas tout de suite, une chose regrettable allait sans doute arriver. Et cela me faisait affreusement peur. Au bout de quelques instants, je quittai alors ses lèvres à regrets. Voilà le mal était fait, nous avions échangé un baiser et maintenant nous étions visiblement gênés. J’étais très gêné, mal à l’aise, n’osant plus vraiment la regarder dans les yeux. Qu’avait-elle pensé de cela ? Allait-elle me gifler ? Ou avait-elle apprécié ? Tellement de questions se bousculant dans ma tête. Moi je l’avais apprécié ce baiser, plus que tout. J’en avais encore les mains moites et le cœur au bord des lèvres. Pourtant je me dépêchais de me dégager de l’emprise de la jeune femme. Je m’asseyais alors au bord du lit, me prenant la tête entre les mains sans la regarder. « Je suis désolé. Vraiment désolé Fleur, je ne sais pas ce qu’il m’a prit. Faut vraiment que j’arrête de boire moi ». En disant cela, je tournais doucement la tête vers la jeune femme, lui offrant un timide sourire. Quel beau menteur je faisais. Je n’étais pas désolé. Et bien sur que je savais pourquoi j’avais fait cela. J’éprouvais des sentiments pour elle et le peu d’alcool que j’avais dans le sens m’avait poussé à commettre l’irréparable, l’embrasser alors qu’elle était allongée sur moi. Qu’allait-elle penser de moi à présent ? Que je n’étais qu’un homme parmi tant d’autres, pas capable de réfréner ses pulsions quand une jolie fille était sur moi. Embrassant ses amies, comme ça, alors que cela ne se faisait pas normalement. Bordel je venais vraiment de tout foutre en l’air, notre amitié, notre week end. Allait-elle seulement me pardonner cet écart de conduite ? Je l’espérais vraiment. Sinon, je n’avais plus cas reprendre l’avion direction San Francisco et Berkeley. J’aurai l’air malin tiens à expliquer les raisons de mon retour si précipité. Et j’aurai aussi probablement un Drew sur le dos, prêt à me foutre son poing dans la gueule à la première occasion. Bordel j’étais vraiment débile parfois. J’attrapai alors la main de Fleur qui se trouvait à côté de moi qui osait enfin la regarder dans els yeux après plusieurs longues, très longues secondes de silence. « Excuses moi, vraiment. J’espère que tu ne m’en veux pas pour ce geste complètement débile. Moi je m’en veux, je n’aurai jamais du faire ça. Tu viens à peine de te séparer de Drew, je n’avais pas à agir comme cela ». Et allez Nath, remets en une couche avec Drew. Putain quelques fois il fallait vraiment que j’apprenne à fermer ma grande gueule. J’étais le dernier des idiots et il fallait vite que je quitte cette chambre avant de faire une bourde de plus. « Je vais te laisser un moment, il faut que j’aille prendre ma douche avant qu’on sorte tout à l’heure. Et puis te connaissant, tu vas mettre trois plombes à te préparer alors autant commencer tout de suite ». Allez un peu d’humour dans cette ambiance pesante n’allait pas faire de mal. Tourner la situation en dérision, c’était du moi tout craché cela. Je lui adressais un petit sourire avant de quitter la chambre. En refermant sa porte derrière moi, je soupirai. Qu’on m’apporte une corde, vite. Après une douche, je m’écroulai en boxer sur mon lit, sur le dos, les mains derrière la tête et les yeux planté sur le si beau plafond de ma chambre. Le goût du baiser avec Fleur me revenait encore en tête et j’avais beau tout faire pour le chasser de mon esprit, le sale bougre persistait. Je me demandais ce que faisait Fleur à ce moment précis, était-elle aussi perdue que moi ?
Accueil 
en tout cas, elle appella son chauffeur et il prit le temps de mettre ces valises et celle de nathy dans la limousine, pour partir ensuite, Fleur ne faisait pas souvent appele a son chauffeur, mais aujourd’hui elle n’avait pas vraiment envie d’attendre un taxi. « Toujours, en tout cas, j’éspere pour toi que tu ne m’agacera pas ou je te laisse dans la soute de l’avion honey » L’attente a l’aéroport était longue, mais avec Nathy sa passait tout seule, ils enchainent les crises de rire, c’est dingue ces deux la s’était tout de suite apprécié quand Fleur était arrivé chez les Alpha, mais maintenant qu’ils sont présidents tout les deux, elle sentait bien qu’il allait se rapprocher. Une fois dans l’avion et que celui çi decolla, Fleur ferma les yeux, elle n’était pas vraiment fan de tous ce qui est décollage et attérissage, tel une gamine elle s’enfonça dans son siège et ferma les yeux, elle pu sentir ensuite la main de nathy prendre la sienne, il était vraiment génial, un ami comme elle n’en n’avait jamais eu au masculin. « Oui il est chez ces grand – parent avec Drew bien sur » Elle leva les yeux au ciel mais elle se promit de ne plus penser a lui pour éviter les crises de nerf, après tout elle ne l’empechera pas non plus de voir leurs fils, il était son père et avait le droit de le voir tant qu’il ne lui ferait pas de mal a lui aussi. Une fois l’atterrissage passé aussi, ils sortirent de l’avion direction leurs merveilleuse suite, putain qu’il faisait beau et chaud, Fleur sortie ces lunettes de soleil et Nathy en fit autant, en tout cas en arrivant devant le palace, elle ne pu s’empecher d’admirer, elle était habitué au luxe, mais celui de Vegas était tout autre chose, une fois dans leurs suite, Nathy s’exprima sur la chambre Fleur ne pu que l’approuvé « Ce que c’est classe, dommage que tu nuisse au décors heuresement que je suis la pour rattraper le truc tu vois » 
bien sur qu’elle le taquinait, et elle lui balanca a son tour un coussin hors de prix surement. Après qu’ils se soient laisser un peu de temps pour ranger quelqus affaire, enfin pour Fleur il s’agissait d’une valise complète pour seulement 3 jours quoi 
le Nathy arriva dans sa chambre, il avait faim pourquoi cela n’était pas la belle alpha ? Déjà dans leurs appart’ elle le voyait sans arrêt se goinfrer, tel un ours qui n’a pas manger depuis des mois. « Oh ca va on y va m’apelle pas princesse pour m’amadouer je connais ton petit jeu Atwootdh :D , c’’est pas possible jamais tu t’arrête de bouffer un peu, en plus tu grossi pas d’un milligramme, je suis jalouse, et une femme jalouse ce n’est pas bon mon petit Nathaniel. En tout cas je vais manger que si tu me paye un bon restaurant italien, j’ai une envie de pâte a la carbonara tu comprend, je pense que ma grossesse ma laisser des séquelle 
» Fleur lui tapa sur l’épaule et sortie vite de la chambre, pour sortir, qu’elle se sentait bien en sa compagnie, elle ne pouvait pas vraiment l’expliqué, elle se sentait naturelle, sans avoir besoin de faire attention a quoi que se soit, chez les alphas ils formaient vraiment une sacré bande, Catah la meilleure amie de Fleur, avec Plum, Nath, et Aymeric, une sacré petite bande qu’elle n’échangerai pour rien au monde. Dire que Nathaniel était partie chez les omega a une époque, heureusement que Fleur n’était pas encore a Berkeley pour avoir vu ça, sinon elle aurait pu le tuer de ces propres main, bon ok peut-etre pas, a l’idée de prononcer le mot, « tué » elle repensa illico a Drew, merde décidément quand-est-ce qu’elle allait enfin pensé a autre chose, surtout qu’elle ne pense pas a lui dans le sens, qu’il lui manque, elle pensait surtout a lui tirant sur sa petite sœur, qu’elle n’avait cessée d’aimer, pourtant elle l’avait prévenu, si ce n’est pas un comble ca, la petite sœur qui met en garde la grande, comme quoi aussi déchanté qu’elle était, elle avait eu raison. Et pour cela, elle se promit de se rapprocher de sa petite sœur, le delta avait reussi a faire en sorte de les faire détester. En tout cas pour le moment elle était en très bonne compagnie, une fois dans le restaurant chic bien sur elle aperçu au font malgrés tous une chapelle ainsi que des machines, a sous, son regard resta plongé dans la chapelle elle n’arrivait pas a regarder ailleurs, a ce moment la tout le flashback de son mariage raté lui revient en tête et Nathaniel la prit par derrière pour lui faire retourné la tête. « Je suis désolé, c’est tellement loin, mais récent en même temps. Est-ce que tu crois que je vais pouvoir m’en remettre ? »
) Encore une fois le temps passe et je ne le repoussai toujours pas le baiser s’arrêta tout seule naturellement. Et lui et moi nous nous regardions sans vraiment savoir quoi faire, quoi penser, ou bien encore quoi dire…