the great escape
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★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles

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Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
prénom, pseudo : elo, lodiie
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MessageSujet: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyJeu 7 Juil - 11:35

★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles Tumblr_liuvazPI8S1qhnx85o1_500


A moment like this some people wait a lifetime
For a moment like this some people search forever, for that one special kiss

    Cela faisait quelques temps qu'avec Joshua tout allait calmement. Depuis mon retour de Paris, beaucoup de choses s'étaient passées. On avait longtemps discuté. On s'était dit qu'il valait mieux laisser faire le temps que de vouloir toujours tout contrôler. On a essayé de ne pas se prendre la tête quoi.. On se revoyait sans pour autant passer toutes nos journées ensemble et ça nous a vraiment aidé. Aujourd'hui, c'est le bal de fin d'année et beaucoup d'évènement nous ont perturbé. Cela fait deux bonnes années qu'on se court après, qu'on se cherche sans pour autant toujours se trouver. Pourtant c'était comme présumé, un delta et une iota, ça fait toujours quelques petites étincelles. Néanmoins, j'espérais plus que tout passer au dessus de tout ça. Il était tout ce que je désirais, tout ce que je voulais. Avec ses défauts et ses qualités, je m'étais faite à la raison qu'il était ce qu'il était et que c'était de cette manière que je le pensais près de moi. Peut être ranger son côté dragueur, je pense que ça ne pourrait pas le tuer. Enfin bon, je m'étais faite à cette raison également. Tant qu'il restait droit et sincère avec moi, je n'avais rien à lui reprocher. Sur ces deux années, on en avait vu des histoires, des jalousies, des blabla en tout genre. Alors à l'heure actuelle, je me dis qu'on ne sait pas trop mal sorti de toute cette polémique. Il a fait des erreurs. J'en ai faite également. L'important est de pouvoir s'en rendre compte et d'avancer malgré tout. Car au fond de moi, j'ai du mal à m'imaginer sans lui. J'ai besoin de savoir qu'il est là, qu'il m'entoure et qu'il m'aime. J'ai cette impression d'être utile pour une fois, d'être une jeune femme complétement comblée, d'avoir une raison de continuer. Moi qui m'était promise de ne plus aimée en arrivant à l'université, je m'étais bien gourée. En plus d'être amoureuse, j'en étais accroc à ce mec. Je ne le voulais que pour moi et sans exception. Joshua a chamboulé mon existence. Il a fait de moi, une autre personne. Je ne peux que le remercier et lui rendre l'appareil. J'aimerai qu'il soit fière de lui quand il s'imagine près de moi. J'espère qu'il a cette envie plus que tout d'avancer à mes côtés..

    Peut être m'étais je trop emballée quand il m'avait proposé de l'accompagner au bal. Je n'en sais rien mais je ne m'étais pas faite prier pour trouver la tenue qui me rendrait encore plus désirable. Joshua a tout ce qu'il faut pour être parfait. Alors j'essaye comme je peux d'être à sa hauteur. En sachant que beau nombre de femmes voudraient être à ma place. Deux présidents, deux personnes, complémentaires et différentes. En attendant son arrivée, je n'avais pas cessé de bouger. Passant par la douche, j'avais pris le soin de laisser tomber mes cheveux sur mes épaules, laissant ainsi apparaitre quelques boucles. De cette manière, je pouvais remarquer que mon visage s'était affiné au fil des années. Je n'étais plus cette petit fille à la bouille toute ronde et aux grosses boucles qui venaient cacher mon visage. J'avais plutôt l'air d'une jeune femme souriante et en bonne santé. L'université était donc quelque chose qui me réussissait. J'avais connu des personnes uniques et dont je ne savais plus me passer. J'étais à la tête d'une confrérie qui me tenait tellement à coeur que je ne me voyais plus sans elle. J'étais passée par tellement d'épreuve que j'avais cessé de les compter. Ce soir, je ne voyais qu'une chose, mon bonheur. Je ne voulais plus me prendre la tête. En compagnie de celui que j'aimais, je voulais profiter de cette soirée. Montrer au gens qui ont souvent parlé, qu'on est toujours là, ensemble et lié. D'ailleurs, il ne devrait pas tarder. Je me décide enfin à enfiler cette robe de bal. Sans pour autant en faire trop, je m'étais résilié à du classique, une tenue sombre et classe. J'imaginais déjà Joshua en costume, cravate. Je savais que ce genre de tenue lui collait à la peau et qu'il serait des plus séduisants. Je n'attendais qu'une chose à cet instant précis, pouvoir le toucher. Avoir cette sensation en l'embrassant que notre histoire est bien réelle. Malgré les hauts et les bas, j'espère que tout va bien dans sa tête. Il y a quelques mois, ça m'avait tué de le voir prendre cette drogue. Je n'avais jamais osé imaginer qu'il était aussi bas lorsque je n'étais pas là. Bien au contraire, je le pensais trop fière pour accepter une seconde que je pouvais lui manquer. Peut être que cette soirée allait nous faire avancer un pas en avant.. C'est ce que j'espérais. J'avais attrapé cette horrible craindre de chaque fois reculer. Je me posais beaucoup trop de questions. Je craignais à nouveau de tout perdre. Je me demandais qu'allait être ces deux mois de vacances. J'espère qu'on puisse passer du bon temps ensemble. J'attendais beaucoup de choses.. Cependant, je préférais y aller tranquillement. Je souhaitais vraiment que notre relation fonctionne. J'aime Joshua si fort que je ne pourrais plus le voir s'éloigner, je ne le laisserai plus m'abandonner. Je tiens trop à lui pour pouvoir y renoncer.. Il est l'oxygène dont j'ai besoin.
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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyMer 13 Juil - 23:29


No one else can love you like I do . « I don't quite know how to say & how I feel. Those three words,Are said too much ... They're not enough. Would you lie with me and just forget the world ? ღ.

    Ma relation avec Aislynn avait bien évolué en bientôt deux ans. Lorsque j’y repensais, j’avais toujours du mal à m’avouer et à réaliser que nous formions un couple depuis tant de temps. A la rentrée prochaine, cela fera 4 ans que j’étudie à Berkeley et en tout ce temps, ma vie avait bien changé. J’avais moi-même changé. La plus part des changements que j’avais effectué sur ma personne, c’était pour elle, je les lui devais. Malgré tout ce qui s’était passé entre nous, elle avait toujours été la pour moi, même lorsque je ne voulais de l’aide de personne. Elle m’avait sincèrement rendu meilleur. Sans aucun doute elle avait été le changement que j’attendais dans ma vie, le petit rayon de soleil qui avait donné un sens à mon existence. J’avais toujours, depuis l’adolescence, tout fait pour éviter de tomber amoureux. Je faisais le maximum pour ne pas m’attacher aux gens surtout les filles, les connaitre le minimum, coucher avec elles, m’amuser et rapidement les oublier. J’avais très bien réussis ce petit jeu, et je suis toujours aussi bon dans ce domaine ; à une exception près. Avec elle, on s’était cherché pendant bien longtemps. Nous nous étions tourné autour, pendant des mois, commençant un jeu de séduction, art dans lequel nous excellions tous deux. Jusqu’à ce qu’un jour, le jeu prenne fin, dans l’un des ascenseurs de Macy’s. C’est là que tout avait commencé en réalité. J’aurais pu faire comme avec toutes, prendre du plaisir avec elle, m’amuser quelques temps et la laisser quelques temps plus tard… Mais elle avait quelque chose que les autres n’avaient pas, ce petit quelque chose qui vous dit qu’il faut tenter l’aventure, quoi qu’il en coute, que ça en vaudra la peine. La preuve, plus d’un an & demi plus tard, nous étions toujours là.

    Pourtant notre relation nous en avait couté, à tous deux. Je n’avais pas toujours respecté ma promesse de fidélité, et en bon delta je ne gâchais pas une occasion de passer un moment en bonne compagnie. Je savais que mon comportement la faisait souffrir, mais c’était plus fort que moi. Je ne pouvais pas m’en empêcher. J’avais appris à me contrôler, et à ne plus sauter sur la moindre blonde aux gros seins que je voyais. Vu sous cet angle, ça avait l’air pathétique, mais je ne suis qu’un homme. Mon comportement, nos prises de tête, nos passés et le quotidien nous avait fait défaut. Il y a un an maintenant, nous avions pris la décision de nous séparer, elle partait pour Paris, sans moi. Alors que je noyais mon chagrin dans l’alcool et le sexe, elle passait du bon temps avec l’autre enfoiré de Charles Edouard. Cet étranger avait littéralement foutu la merde dans notre couple. Pourtant nous en étions ressortis plus fort après tout. Nous avions réussis à passer l’éponge et depuis Noël tout allait pour le mieux. Nous faisions notre maximum pour passer du temps ensemble, sans pour autant être trop l’un sur l’autre, en essayant de concilier nos emplois du temps respectifs. Le droit et le cheer lui prenait énormément de temps, quand à moi c’était le journalisme et le mannequinat qui m’empêcher de passer tout mon temps avec elle.

    Pourtant depuis 6 mois, nous avions réussis à faire pour le mieux. Nous évitions de nos prendre trop la tête. Elle m’avait aidé, contre mon gré à réduire la drogue et à arrêter les plus néfastes. Nous avancions petit à petit dans notre relation, et ce soir, nous allions tous deux au bal de fin d’année où serait élu le plus beau couple. J’avais peu d’espoir pour nous deux, après tout ce qui s’était passé récemment entre nous, à noël dernier … Nous étions moins en couple officiel la journée, privilégiant l’intimité. Nous n’étions donc plus autant enviés qu’avant. Pourtant, nous étions tous deux conscients que certains et certaines rêveraient d’être à nos place, soit avec elle, ou avec moi. J’avais accepté de nous présenter ce soir, en partie pour lui faire plaisir, mais aussi pour montrer que j’étais capable de me tenir, et essayer de faire oublier les événements de la dernière fête importante intra-confrérie.

    Ce soir, je savais que je devais faire bonne impression. J’avais donc tout préparé pour l’occasion, costume cravate, noir pour rester sombre. J’avais aussi acheté les fleurs tradition du bal de promo ; je les avais choisis rouge, pensant qu’en tant que capitaine et présidente des Iota, ma petite femme s’habillerait aux couleurs de son équipe, qui lui allait si bien. J’avais donc mis dans ma pochette de costume, cette petite fleur qui était raccord avec le bracelet de fleurs que j’allais lui apporter. Je mis rapidement du gel dans mes cheveux, pour un effet ébouriffé-class. Puis après m’être parfumé et regardé une dernière fois dans la glace, je sorti.
    La maison Iota était à moins d’un kilomètre de la maison Delta, qui deviendrait bientôt mixte. J’avais pris ma voiture et avais choisi le CD de LifeHouse je le mettais, dors-et-déjà pour qu’il soit en lecture lorsque nous reprendrions la voiture en direction de San Francisco. Après un rapide check in de mes cheveux dans le rétro, je me rendis à l’intérieur. La maison Iota me connaissait bien, et je connaissais plutôt assez bien la plus part des membres. Les présidentes étaient respectivement ma petite amie, et ma cousine. Ma meilleure amie faisait partie des cheerleader, ainsi que la plus part de mes bonnes amies. Mon ex-femme en faisait elle aussi partie, mais ça c’est une autre histoire. J’entrais donc sans problème, en saluant les filles en bas. La chambre de ma bien aimée, se trouvait tout en haut, mais j’avais l’habitude de gravir ces marches. Une fois devant sa porte, je toquais, puis sans attendre de réponse, entrais.
    Elle était déjà prête, et tout en beauté. « Mon cœur, tu es magnifique » Lui dis-je avant de l’embrasser tendrement. Je tenais derrière mon dos, dans ma main gauche, le fameux bracelet fleur, que j’avais eu tant de mal à choisir ; et tout en l’embrassant, je tentais de lui accrocher au poignet sans qu’elle s’en aperçoive ; mais c’était raté. Je mimais un air timide, et fini de lui attacher. « Tu as encore besoin d’un peu de temps ou on peut y aller ? » Quelle femme ne fait jamais attendre son compagnon ? Rare sont celle qui sont prête à l’heure, mais j’avais pris l’habitude d’attendre quelque minutes, et j’avoue que je prenais un certain plaisir à la voir se donner un dernier coup dans les cheveux qui étaient déjà splendides comme ça. « Tu es vraiment ravissante comme ça, à faire pâlir de jalousie toutes les autres demoiselles ce soir. »

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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyJeu 14 Juil - 14:02

★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles Ix9fzp


Feel this .. Can you feel this
My heart beating

    Tant de choses nous avaient rapproché et certaines nous avaient même éloignées. Comment l'expliquer ? Je ne suis pas sûr de savoir quoi vous répondre. Tout ce que je sais, dès à présent, c'est que j'ai ce besoin de le sentir près de moi. J'ai peut être ce côté égoïste qui a pris une grande part de moi - même quand il s'agit de ses relations. Néanmoins, cela peut se comprendre. Il est beau, intelligent et charmeur. Quelle femme pourrait y résister ? Je suis loin d'être dupe et même s'il essaye de faire le mieux qu'il soit, il ne peut pas changer de A à Z. Je ne veux pas non plus qu'il devienne quelqu'un d'autre ou quelqu'un de totalement différent. Je tiens tellement à lui et c'est le Joshua que j'ai rencontré dont je suis tombée amoureuse. Maintenant, c'est clair que j'apprécierais qu'il se dise qu'il est en couple et qu'aucune autre femme ne peut avoir droit à ses caresses, à ses promesses et à sa tendresse. Être la seule et l'unique, c'est tout ce que je souhaite. Seulement je préfère ne pas être sur lui sans cesse. Je crains encore aujourd'hui de le voir s'éloigner de moi, de le perdre. Lorsque je suis partie à Paris l'année passée, j'ai réalisé beaucoup de choses. Charles - Édouard était là quand j'en avais besoin et je ne peux pas lui en vouloir de s'être intercaler entre moi et Joshua. Je lui ai quand même laissé la porte ouverte. Cependant, quand je pensais que ça allait mieux dans ma tête et dans mon coeur, il y avait toujours ce point d'interrogation. Où était mon delta ? Que faisait - il ? Pensait - il à moi ? Plusieurs fois, j'ai eu cette envie pendant la nuit de me lever, de refaire ma valise et de rentrer. Mais c'était loin d'être aussi facile, j'avais peur. Peur de rentrer et de le voir dans ces draps en charmante compagnie, je ne voulais pas tomber face à cette réalité qui était fortement possible. Je ne pouvais pas, j'en mourais à petit feu si ça avait été le cas. Je ne pouvais pas en attendre autant de sa part. Après tout, il devait être au courant que j'étais partie sur l'autre continent et que des rumeurs fusaient sur la nouvelle conquête du gamma. Je ne pouvais pas, je n'en avais pas la force. Mon coeur était encore trop fissuré pour pouvoir revenir sur mes pas et m'avouer mes fautes. J'ai donc continué de passer du temps avec un autre. Ce n'est pas pour autant que je l'avais oublié, loin de là. Je m'étais même surprise d'avoir prise cette photo de lui dans mes bagages. Je la regardais plusieurs fois par jour en la caressant,comme s'il pouvait ressentir cette attraction qui nous liait à distance. Pendant des mois, je me voilais la face. C'était plus facile que de m'avouer dépendante d'un homme, de ne pas n'importe lequel, j'en suis consciente car il était celui qui avait décroché mon coeur. Joshua est celui qui a changé le cours de mon existence. Il m'a rendue meilleure, plus forte et encore plus fière de ce que je pouvais être. Cette rencontre fut une nouvelle ère écrite dans mes veines.

    Le coeur battant quand on toqua à ma porte, il était face à moi. Le beau brun était sur son trente et un. Il était carrément à croquer. Je ne sais pas quelle envie me poussait à aller à ce bal parce qu'à cet instant, je voulais l'enfermer dans cette chambre et ne l'avoir rien que pour moi. Quand j'entendis cette phrase qu'il prononça, mon corps frémit et encore plus quand il vient à poser ses lèvres sur les miennes. « et toi, elles vont se battre pour que tu leur accordes une danse. » Prenant la situation que je m'imaginais à la rigolade. Il n'en fallut pas longtemps pour que j'en arrive à penser que personne ne l'aurait. Joshua est mon cavalier et il va danser avec moi. Elles n'ont qu'à avoir leur partenaire attitré. De plus quelle idée de venir seule au bal de promo de fin d'année.. Elles pensent trouver quoi ? La perle rare, l'âme solitaire qui trainerait dans un coin. Essayant de faire ça avec discrétion, je sentis quelque chose se poser sur mon poignet. Baissant mon attention sur ce qu'il faisait, je remarque ce bracelet fait de roses rouge. Il savait quelle fleur choisir. Les roses rouges, les fleurs de l'amour mais aussi au couleur de ma confrérie. D'ailleurs que je suis fière d'en être la présidente, c'est tellement précieux. Cependant, je ne savais pas si je me présenterais de nouveau à la prochaine élection. On dit que l'avenir nous le dira, voilà pas de quoi se prendre la tête. A ce moment là, je me poserais la bonne question et on verra les conséquence. Je ne peux pas prévenir le futur, encore heureux. Si j'avais ce pouvoir se serait horrible. Savoir quand sera ma dernière heure, mes pires souvenirs et mes plus beaux aussi. Je ne voudrais pour rien au monde avoir ce pouvoir surnaturel. « Encore deux minutes, le temps que je regarde si tout est parfait. Tu penses que je devrais les laisser comme ça mes cheveux et ne pas les attacher ? » Interrogative, devant ma moitié, je faisais mes dernières vérifications. Je ne voulais pas avoir le truc qui gêne et qui reste graver dans les anales pendant le restant de ma vie. Comme si j'avais une herbe de persil coincé entre les dents ou encore le derrière de ma robe coincé dans mon bas. Alors quand il avoua : « Tu es vraiment ravissante comme ça, à faire pâlir de jalousie toutes les autres demoiselles ce soir. » Je savais que tout était parfait. Lui donnant un doux baiser sur le coin de ses lèvres. Je finis de me parfumer, m'observe une dernière fois dans la glace et revient face à lui. Joshua était tout ce que je voulais d'un homme. Il était vraiment ma correspondance, ce dont j'avais besoin. « ça me fait tellement plaisir d'être ta cavalière, après cette année, je me dis qu'en s'en sort plutôt pas mal. Tu comptes tellement que ... impossible de me passer de toi maintenant. Merci de me prendre telle que je suis et surtout de me supporter malgré tout. » J'avais prononcé ces quelques mots tout en rassemblant les dernières choses dont j'avais besoin dans mon sac et en souriant en prononçant mes dernières paroles. J'avais aussi des défauts et une grande jalousie. Pourtant, il semblait ne pas être lassé s'il était là ce soir. Finissant par me placer devant lui, je sourie de plus belle et ajoute : « fini, on peut y aller charmant cavalier. »
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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyDim 31 Juil - 2:36





    Bien des choses avaient changé depuis mon arrivée à Berkeley, j'étais devenue quelqu'un d'autre. J'avais apporté avec moi un lourd passé que j'avais tant bien que mal tenté de caché; et pour l'instant aux yeux de tous je n'étais que Joshua McLowndes le brun ténébreux un peu trop charmeur. Je n'était pour personne, MJ l'homme qui avait tué le petit ami de son ex, en état d'ivresse. Tout le monde ignorait qui j'étais vraiment et c'était mieux ainsi. En arrivant ici, ce que je souhaitais par dessus tout était passer inaperçu; ne pas m'attirer d'ennuis et avoir pour une fois une scolarité normal. Mais si j'avais voulu réussir cela, ce n'est pas à Berkeley que j'aurais du aller suivre mes cours, mais dans un monastère sur une ile perdue. J'avais au départ joué la carte du timide, qui avait plutôt bien marché avec les filles. Puis je m'étais rapidement fait ma place sur le campus. Une bonne bande de copains, une confrérie qui vous introduit plutôt bien et surtout de très jolies filles à mon bras. A mes débuts, je jouais le vrai womanizer, le playboy à l'état pur. Je couchait avec des filles différentes chaque soir, sans même leur demander leur prénom. Je m'adonnais à des fantasmes encore jamais réalisé. Je ne rappelais jamais les filles ... et je prenais un certains plaisir à en faire souffrir plus d'une. Oui c'était jouissif de voir qu'à mon tour j'avais le pouvoir de rendre quelqu'un malheureux, de faire croire à une fille qu'une relation était sincère et puis, lui avouer peut de temps après que ce n'était pas du tout le cas. C'était facile, et pour moi c'était un moyen de rendre l'appareil à la gente féminine qui m'avait au par avant fait souffrir. C'était macho de mettre toutes les femmes dans le même panier, et de les faire toutes payer pour une pauvre salope; mais c'était ainsi. Si à cette époque là, on m'avait dit que je tomberais à nouveau amoureux, je n'y aurais pas cru, et j'aurais certainement tout fait pour que ça n'arrive pas. J'avais une certaine fierté, et pour moi être amoureux, c'était devenir niais, et mou. Dépendre de quelqu'un d'autre que de sois même, mais surtout ne plus être libre. Pourtant être en couple avait de nombreux avantages, mais à l'époque je ne l'envisageais pas encore.

    Depuis que j'avais rencontré Aislynn ma vie avait changé. C'était une femme que je respectais. Peut être l'une des seule que je respecte vraiment. Jamais je n'aurais pu jouer avec elle, ou la faire souffrir. La voir mal; me rends toujours mal à mon tour. Ce n'était pas de la pitié, ou quoi que ce soit d'autre, c'était réel la voir souffrir me rends malade, c'est quelque chose que je ne supporte pas. Pourtant je sais très bine que mon comportement la blesse. Mais je sais aussi que je ne peux pas changer plus que je ne l'ai déjà fait. Il m'est impossible de ne pas discuter avec une fille; et lorsque je le fais, je sais très bien que qu'il m'arrive de faire des sous entendus. Mais pour moi il n'y avait rien de bien méchant. J'avais juste besoin de savoir que je plaisais encore, besoin de voir que malgré tout le temps passé au coté d'Aislynn j'étais encore un homme désirable par d'autres femmes. Mais jamais je ne pourrais tromper celle que j'aime en couchant avec une autre. Pour moi c'était quelque chose de méchant et qui la ferrait bien trop souffrir.

    Elle était resplendissante, magnifique. A chaque fois que je la voyais, je la trouvais toujours un peu plus belle, surtout lorsqu'elle portait ce genre de robe. Elle était sur son trente-et-un ce soir, et cette tenue lui allait à ravir. Depuis toujours elle avait était plus ou moins jalouse et ne pouvait s’empêcher de faire des petites remarques que je trouvais mignonnes. « Mais je ne danserais qu'avec toi ce soir mon ange. » Dans cette petite robe, elle me donnait envie de la garder rien que pour moi. De fermer la chambre à clé et de profiter de la soirée, rien que tous les deux. Cette tenue mettait ses atouts en valeurs, et je sais que ce soir plus d'un souhaiteraient être à ma place. Pourtant je serais le seul et unique homme à tenir son bras lorsque nous entrerions dans le bâtiment des fêtes. Alors qu'elle se regardait dans le miroir en essayant se se décider pour une coiffure plus qu'une autre, je lui déposais quelques baisers dans le cou. Elle voulait être parfaite, mais elle ne se rendait pas compte qu'elle était déjà. A coté d'elle je me demandais si j'étais à la hauteur. « Tes cheveux sont très bien comme ça, j'adore quand tu te coiffes ainsi. » Tout en se préparant, elle finit par ajouter qu'elle était heureuse de passer cette soirée avec moi. C'était le genre de chose auquel je ne pensais pas. Je n'étais pas du genre à dire les choses ouvertement. Je préférais montrer ce que je ressentais plutôt que d'utiliser des mots que je trouvais peu suffisant face à ce que j'éprouvais. Et puis, depuis toujours j'avais eu du mal à m'ouvrir aux gens, bien que ma petite blonde puisse lire en moi comme dans un livre ouvert, je n'étais pas un homme à dire mes sentiments. Pour moi c'était évident que j'étais heureux de partager cette soirée de fin d'année en sa compagnie, mais ça ne me serait pas venu à l'esprit de lui dire si elle ne l'avait pas fait avant. Non que je ne le pensais pas, c'était seulement que je n'en ressentais pas le besoin. C'était peut être ça la plus grosse différence entre les hommes & les femmes. Alors je la pris dans mes bras, puis après l'avoir tendrement enlacé je lui chuchotais à l'oreille «Avec toi, je suis le plus heureux des hommes. » Et je l'embrassais, d'un baiser doux, mais rapide. Elle était finalement prête nous pouvions y aller.

    Nous avions donc descendu le grand escalier de la confrérie rouge, mains dans la main. Certains membres ne participaient pas à la fête, les premières années principalement et nous regardaient d'un regard admirateur. Une fois dans la voiture, une fois le le moteur allumé, la musique se déclencha sur le CD que j'avais programmé. Nous n'étions pas très loin du bâtiment des fêtes communément appelé "what's up ". Nous y serions dans moins d'un quart d'heure. Sur le trajet, nous discutons de choses plus ou moins importantes, dont le fait que nous soyons inscrits au concours du prom couple. C'était quelque chose qui lui faisait plaisir, et qui si nous le gagnions m'aurait fait plaisir à moi aussi, mais je doutais fort que ce soit le cas.

    Quand tout à coup, une voiture déboula à l'intersection; il roulait beaucoup trop vite et je ne l'avait pas vu venir. Il arrivait par ma droite et je n'eu pas le temps de faire une quelconque manœuvre, qu'il avait déjà embouti la portière droite. Ma tête avait touché le volant plutôt violemment, j'était un peu sonné. Peut être étais-je tombé dans les pommes un bref instant. Il me fallu quelques minutes pour reprendre mes esprits et réaliser ce qui venait de se passer. Une fois ma tête claire, je me tourna vers Aislynn qui dont la tête avait cognée contre le montant de la portière. La fenêtre et le par-brise était brisés. « Aislynn, ça va rien de cassé ? » Mais elle ne répondait pas. « Aislynn chérie, tu vas bien ? » Alors je décidais de lui secouer légèrement l'épaule « Mon coeur, tu m'entends ? Répond moi. » Je paniquais. Je pris alors son pouls, il était un peu faible, mais son coeur battait encore c'était le principal.
    Je sortis alors de la voiture pour appeler les secours. Pas de réseau, c'était bien ma veine. Heureusement les numéros des secours fonctionnent sur un réseau à part, beaucoup plus performant. Je composais alors le 911. A l'autre bout du fil, une femme me disait de me calmer, de ne surtout pas la toucher, et d'aller voir dans quel état était le chauffard qui nous avait percuté. Il avait enfoncé toute la portière coté passager; et c'est à se moment là que je me réellement mis à paniqué. Et si Aislynn ne s'en sortais pas ? Tout serait de ma faute. La femme au téléphone dont la voix se voulait rassurante me disait de respirer et de ne pas paniquer plus que ça; les secours seraient bientôt sur place.

    L'attente de l'ambulance me paru durer une heure. Je me sentais impuissant. Je n'avais le droit de toucher à rien; pas de réseau pour prévenir quelqu'un et personne d'autre ne passait sur la route. Pourtant habituellement cette route était régulièrement fréquentée par les étudiants, mais ce soir, ils étaient tous au bal. Je m'étais assis par terre et la tête dans mes mains, je tentais de me calmer. Au bout de quelques minutes, j'entendis la sirène retentir; ils étaient enfin là. Ils me demandèrent de m'éloigner, pour ne pas les gêner. Puis ils entamèrent la procède d'extraction du véhicule, en commençant par le chauffard qui apparemment, vu son odeur avait consommé beaucoup d'alcool. J'avais envie de leur hurler de ne pas le sauver qu'ils devaient d'abord s'occuper de la fille, mais ils ne pouvaient pas faire autrement, il fallait d'abord dégager de véhicule pour accéder à ma celle pour qui je m’inquiéter. Alors que je les voyais, tenter d'ouvrir la portière de ma voiture, pour faire sortir Aislynn, un homme vint à ma rencontre. . « Vous avez été blessé au front, et vous avez subi un sacré choc, ça ne vous embête pas de venir avec nous pour faire quelques tests ? » Mais qu'est ce qu'il croyait le type ? Que j'allais quand même aller au bal & laisser Aislynn toute seule à l’hôpital ? Je voulais être à ses coté lorsqu'elle se réveillerait. Je devais être la pour elle. Ils la mirent ensuite sur un brancard; sa jambe était couverte de sang, elle avait pris un coup à la tête et ce n'était peut être pas ces seules blessures. « Elle est dans un sommeil profond, mais sa vie n'est pas trop en danger, elle va s'en sortir monsieur. » Ils lui posèrent ensuite de nombreux fils pour vérifier sa tension, l'aider à respirer et que sais-je encore. Moi j'étais un peu soulager. Elle n'allait pas mourir à cause de moi.


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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyJeu 11 Aoû - 13:14

    Sans hésiter, il était devenu ma plus grande force et ma plus grande faiblesse. Joshua s'en sans rendre compte avait une certaine emprise sur mon quotidien. Il était devenu ma plus belle rencontre et ma plus grande attache. Je ne pouvais plus m'en passer, je ne pouvais plus m'en éloigner.On était toujours aussi proche et aussi complice. Les coups durs, on en avait eu. Des disputes, elles nous avaient connu. Des moments de pure confidence, ça avait été inévitable pour s'attacher l'un à l'autre. Même si on pouvait ressentir parfois qu'on ne disait pas tout, qu'on se préservait derrière le petit jardin secret qu'on avait formé au fil des années chacun de notre côté. Alors quand il passa le pas de porte, tout aussi élégant, je peux m'empêcher de l'observer, de même le charmer en échangeant quelques regards furtifs. Dans ces bras, je me perds.. Sur ces lèvres, j'apprends à nouveau à y croire et dans ses yeux, j'arrive à lire les choses qu'on ne sait pas toujours dire. Quand il avoue que je serai la seule à pouvoir danser contre ce torse bien sculpté. Je ne peux m'empêcher d'y rajouter quelques mots. « J'espère bien ça, car je ne laisserais aucune femme t'approcher.. Personne d'autre que moi, pourra en profiter. Moi, moi et rien que moi. Quand il s'agit de toi, je peux devenir une grande égoiste.Tu le sais ça » Souriante comme jamais, il savait combien je devenais protectrice. J'avais eu peur, une fois.. C'était carrément suffisant. On dit souvent que c'est lorsqu'on perd quelqu'un qu'on se rend compte de l'importance que cette personne peut avoir dans notre existence. Il m'observait en train de faire les cents pas. Je voulais être parfaite pour lui. Je voulais être à la hauteur de ces attentes. Il me faisait part de ces impressions. Cela me réchauffait le coeur de savoir qu'il faisait attention au moindre détail et surtout que j'avais fais le bon choix pour cette coupe de cheveux. S'approchant de moi, je me laissais câliner par cette étreinte. Dans ces bras, je m'y sentais tellement bien que je pourrais y passer ma vie. On était si complémentaire pour être ensemble, que je ne voulais que rien ne change. Je voulais qu'il reste toujours cette homme dont je suis tombée amoureuse. Quand il me muremure ce genre de paroles, mon coeur bat la chamade. Il bat tellement fort qu'il ne lui faut pas plus pour sortir de ma poitrine. Joshua veut vraiment me faire craquer, il veut vraiment que je le renferme dans un donjon pour le garder rien que pour moi. Alors je me contrôle et je réplique : . « Si tu savais combien tu m'es indispensable. Si tu savais ce que mon coeur ressent.. J'ai envie de dire que je suis une femme complétement comblée et tout ça grace à toi. » Un baiser rapide et tellement complice que je ne pouvais que l'apprécier. S'en suis un parfait silence de quelques secondes, j'étais prête. Nous pouvions y aller.. Il ne me manquait plus rien. Dans cette voiture, nous nous rendions au bal de fin d'année. Une soirée pleine de rebondissement dont je ne doutais pas les conséquence à cet instant.. Jusqu'à ce qu'une voiture viennent nous couper la route..

    Il n'avait pas eu le temps de réagir. Personne n'aurait pu. Les phares du second véhicule arrivant à vive allure vers le notre m'avaient aveugléé. Le coup fut vif et sans précédent. Ma tête cogna contre la vitre pour venir rebondir sur l'airbag qui s'était ouvert. Comme une voix lointaine, je l'entendais m'appeller mais je n'arrivais pas à m'exprimer. Les appels au secours de Joshua se faisaient de plus en plus mince à intercepter. C'était le flou. Je me voyais sans pour autant avoir le pouvoir d'agir. Cela peut paraitre fou mais j'étais comme hor s de moi. Physiquement, j'étais allongéer sur le siège passager de la voiture du delta et coincée par le tableau de bord. Mentalement, j'étais bien plus loin. Je me voyais comme sans vie. La panique se lisait sur le visage de ma moitié. Trop faible pour l'avertir que j'étais là, si près de lui.. Je ne voulais pas l'abandonner. Après tout ce qui nous était arrivé. Le destin ne voulais nous laisser, nous mettant sans cesses à l'épreuve. Il est certain qu'on pourrait voir de cette façon, la manière dont nous puvions tenir l'un à l'autre. A cet instant, Joshua me paraissait fort. Il aurait pu péter un plomb ou se prendre une ligne de cocaienne. Appelant les secours pour les insiter à me sortir en premier lieu. Il ne lachait pas l'affaire et quand même une ambulancière s'approcha de lui pour savoir s'il n'avait rien, aucune hémoragie, il prononçait encore mon nom.. Je l'aime cet homme, je l'aime plus que personne. POur le pire comme pour le meilleur, je veux être à ces côtés. Cet homme est celui dont j'ai besoin pour respirer, pour survivre. Joshua est ma drogue à moi : celle que je souhaite prendre jour et nuit. Cette terible drogue précieuse que je prendrai jour après jour jusqu'à mon dernier souffle. Il avait toutr changé. Depuis que je le cotoyais, je l'avais vu munir. Il s'était remis en question parfois. Il semblait avoir accepté ce qu'il pouvait ressentir à mon égard. Joshua était depuis aller de l'avant. Même lorsque nos chemins s'éloignent l'un de l'autre, je le revois plus solide, plus grand. Mais il a eu aussi un effet sur moi et la femme que je peux être aujourd'hui.. Je ne craignais plus rien du tout tant qu'il était près de moi. Comme si j'étais indestructible ou que son amour me faisait devenir une sur - femme. Je ne sais^pas de quoi sera fait demain. Je n'en ai pas la moindre idée. Je ne m'imagine plus sans lui. C'est peut être égoiste mais c'est de lui dont j'ai besoin. Que serions nous après l'université ? Telle pouvait être la question. Je ne veux pas me faire nos projets en avance. Si on doit toujours êtres ensemble, les choses se feront naturellement. Je ne veux pas être déçue. Je ne veux pas qu'un malheur tombe sur nous , sur moi sans que j'aie le pouvoir de réagir. On est passé par bien des épreuves que je ne peux pas le laisser. Pas maintenanat. Alors je dois me battre, je veux lui prouver à mon tour combien je peux l'aimer. Quand soudain, on arrive à débloquer la portière de mon côté. Des mains viennent se poser sur moi. Déposant mon corps sur un brancard, je le sens juste là. Les brancardiers essayent de le rassurer mais je le connais ainsi que les émotions prenant possession sur son visage. Il est angoissé. Il eespère que rien de grave ne puisse m'arriver. Se proposant pour monter à mes côtés dans le véhicule d'urgence. On doit nous examiner et savoir pourquoi je ne réagis pas.. Je veux ouvrir les yeux et pouvoir articulier quelques paroles pour lui souffler mon courage. ême une seconde pour pouvoir m'exprimer.. Sentant sa main venir se poser contre la mienne. J'aimerai avoir la possibilité de lui crier, lui déclarer ces quelques mots que j'essayais de retenir depuis notre réconciliation. Trois mots si lourds d'importance mais si sincères. Je t'aime. I love you Joshua, i love you forever..
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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyLun 15 Aoû - 2:31

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    Nous devrions être élu roi & reine de Berkeley; après tout, nous le méritions tout autant que tous les autres, peut être même plus que certains mêmes. Et pourtant au fond de moi, je savais très bien que cette année, nous n'obtiendrons pas le prix. Pas que je partais vaincu d'avance, j'étais juste réaliste. Comment gagner le titre, avec la popularité de notre couple ? Nous évitions de nous exposer trop ensemble; pas que nous étions timides ou que nous avions honte, mais plutôt que l'on préférait se réserver pour l'intimité. Nous nous retrouvions souvent au cours de la journée; mais nous avions tous deux nos vies, chacun de notre coté. Et c'était peut être mieux comme ça, ne pas être tout le temps l'un sur l'autre, ne pas se coller à longueur de journée. Après plus d'un an & demi de relation, nous avions besoin d'un peu de liberté. Pour autant, nous adorions nous retrouver ensemble plus tard dans la soirée. C'était notre petit moment à tous les deux. Ce semestre j'avais un peu délaissé ma confrérie, au profit de mes études. Qui l'eu cru ? J'avais donc depuis la réunification, laissé mon titre de président, à mon plus grand regret. Mais si je voulais ne pas redoubler cette année, je n'avais pas vraiment le choix. Je passais alors mon temps à faire des travaux de journalismes, et avais donc du participer activement au journal de l'université. Cette activé extrascolaire dont je me serais bien passé, et qui me prenait bien trop de temps à mon gout, m'avait tout de même permis de faire quelques rencontres. Le journalisme me plaisait, mais pas autant que la mode. J'avais choisis l'année dernière modélisme en major, et je pensais sérieusement à suivre un double cursus à la rentrée. C'était beaucoup de travail, mais je ne voulais pas arrêter mon cursus de mode, et pour rester à l'université je devais continuer Journalisme. What a dilema !
    Ce soir était un grand soir, et nous étions donc tous deux sur nos trente et un. Il y avait longtemps que je n'avais plus porté mon costume préféré. Ce soir, même si nous n'étions pas gagnants, c'était notre soirée et je comptais bien en profiter au maximum. Ce soir elle était mienne, toute entière et rien ne pouvait venir gâcher notre bonheur parfait. « Ce soir je suis tout à toi, mon amour. Et je compte bien en profiter. Toi et moi, rien que nous deux toute la soirée. Y a bien longtemps que l'on n'est pas sortit ensemble comme ça. » Ma mère m'avait toujours dit, la réussite d'un couple, c'est de faire des choses ensemble, de se créer des souvenirs. Ce soir allait nous faire du bien. Pourtant l'espace d'un instant je nous voyais bien rester dans sa chambre la déshabiller rapidement et profiter de cette soirée rien que nous deux. Mais ça je pourrais l'avoir en rentrant, si elle n'était pas trop fatiguée. Elle peaufinait sa tenue alors qu'elle était déjà merveilleuse; mais ma petite blonde était comme ça, une vrai perfectionniste. Je l'avais quasiment toujours connu comme ça, probablement grâce au cheerleading qu'elle était ainsi. Dans un sport qui demandait autant de mouvement, l'erreur n'était pas concevable. Sa vie était rythmée par sa passion, et j'adorais ça. Notre relation était loin d'être parfaite, nous avions eu des hauts, mais aussi beaucoup de bas, peut être assez pour que nous sachions désormais que nous nous aimions plus que tout. Notre amour était à toutes épreuves, et maintenant plus rien ne pouvais nous séparer. Elle m'embrassait rapidement, après m'avoir dit combien elle était heureuse d'être à mes cotés. J'adorais l'entendre dire qu'elle était comblée avec moi. Une reconnaissance que j’appréciais beaucoup, et qui était évidemment réciproque.

    Rien aurait pu briser cette soirée qui commençait si bien. Rien, peut être pas. Je n'avais pas pris en compte l'éventualité d'un accident. Non, j'avoue que je n'y avais pas pensé. Et c'est arrivé tellement vite. Nous étions en train de discuter, de planifier notre semaine à venir et l'instant d'après un chauffard avait enfoncé ma portière droite. J'étais premièrement trop sonné pour réaliser. Mais quelques secondes après, une fois que mon esprit m'étais revenue, j'étais dévaster. Voir ma moitié dans cet état là m'était insupportable. J'avais envie de hurler. J'avais beau crier son nom, tenter de la bouger, elle ne répondait pas. On dit que lorsque l'on frôle la mort de près, on voit sa vie défiler. Mais croyez-moi c'est aussi le cas, quand on voit la personne que l'on aime, tenté de se faire enlevée par la grande faucheuse. Je n'étais pas croyant, du moins plus depuis quelques année, mais pour la première fois depuis longtemps je ne pu m'empêcher d'adresser une petite prière. A qui s’adressait-elle ? A Dieu, probablement ou à qui bon voudrait l'entendre et serait capable de me rendre ma petite femme. J’aurais été prêt à tout ce soir pour qu’elle s’en sorte indemne, même à donner ma propre vie. De toute façon, ma vie sans elle n’aurait plus vraiment de sens à présent. La perdre serait comme perdre mon cœur ; déjà que j’avais mis beaucoup de temps à le retrouver … Je ne pouvais pas imaginer continuer sans elle. C’était inimaginable, une souffrance insurmontable. Les secours étaient arrivés rapidement, pourtant le temps m’avait paru si long. Si j’avais pu, j’aurais déplacé la voiture à mains nue. Ils avaient d’abord dégagé l’enfoiré qui avait peut être retiré la vie à ma tendre. Il était dans un sal état, et je me moquais bien de savoir s’il respirait encore. Deux pompier s’occupaient de le brancher à leurs machines, alors que deux autres entamés la procédure d’extraction de mon véhicule. Le médecin, tenait absolument à prendre ma tension. « Bordel mais lâchez-moi, je vais bien. Occupez vous d’elle ! » Ils ne leur fallûrent pas beaucoup de temps pour la mettre sur le brancard. Elle semblait respirer, mais avec difficulté, c’était déjà ça. « Elle va s’en sortir hein ? Dites moi que ça va aller. » J’étais perdu, son rythme cardiaque était bas ; j’attendais avec une immense impatience le premier diagnostic du médecin. « Son état est plutôt stable, je ne peux pas me prononcer pour le moment sur les dégâts, mais elle devrait s’en sortir indemne » J’avais retenu mes larmes tout le long, mais là c’était trop d’émotion, pourtant je ne pleurais jamais, ou alors que très rarement, et jamais en publique, mais là c’était trop pour moi, je ne pouvais plus contenir mes larmes. A cet instant précis, on pouvait donc voir des petites perles salées rouler sur mes joues. Ils l’installèrent dans le véhicule d’urgence et je pris place à coté d’elle. De l’autre coté, se trouvait l’homme qui nous avait percutés, il n’avait aucun papier sur lui. Je ne savais pas si je devais prévenir les parents d’Aislynn … mais réflexion faite, je voulais attendre d’être à l’hopital et d’en savoir un peu plus, histoire de ne pas les effrayer pour rien. J’espérais qu’une chose, c’est qu’elle se réveille. Puis elle prononça quelques mots, presque inaudibles, tout doucement. Et j’étais rassuré, et heureux, elle m’aimait. Il y avait longtemps que l’on ne se l’était pas dit, on se le faisait comprendre mais sans se le dire vraiment. Je ne retenais plus mes larmes, je n’en pouvais plus c’était trop éprouvant. « Je … Je t’aime Aislynn. Je serais toujours là pour toi. You Jump I Jump remember ? » Elle était en vie, et elle parlait. Est-ce qu’elle était consciente de tout ce qui s’était passé ? Peut être pas. Mais l’important était qu’elle aille bien. « ça va aller chérie, je suis avec toi, et je le serais, quoi qu’il arrive ! » J’étais si heureux qu’elle soit enfin réveillée, même si c’était pour peu de temps, qu’elle risquait de re-sombrer. Je m’en moquais, je voulais simplement qu’elle aille bien. Qu’elle soit hors de danger.

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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyDim 21 Aoû - 0:01

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Listen to your Heart
    Qu'avait - il changé à ma vie ? Tellement de choses.. Joshua, c'est une histoire qui ne se raconte pas. Elle se vit. Carrément, je ne regrette rien. Aucune de mes erreurs, aucun de nos fous rires, je prends tout, le bon comme le mauvais. J'en veux encore et toujours plus. Car le moment durs nous ont rendu plus forts. Tandis que les instants de parfaite émotion, de frisson et de rires aux éclats nous ont rendu plus complices que jamais. Je ne regrette rien. J'avance la tête haute et le coeur lié au sien. Je sais qu'à nous deux, on devient plus fort. Lui et moi ne formons qu'un. Une seule et unique histoire, celle qui peut donner un sens à toute notre existence. Il est l'homme dont je suis dingue. Celui avec qui j'ai envie de tout voir, de tout vivre. Il est cette force qui me pousse de l'avant. Ce pied qui me tape le cul quand j'hésite à reculer. Il est cette faiblesse pour qui je serais prête à tout plaquer. Cependant, par moment, j'ai cette peur au ventre. J'aimerai lui expliquer, j'aimerai qu'il me comprenne sans que j'ai le besoin de lui démontrer. Je sais qu'il est l'homme qu'il a toujours été et que je ne peux pas tout changer. Cela ne m'intéresse pas non plus, je dois l'avouer. Mais j'aimerai juste qu'il se suffise de moi, moi et rien que de moi. J'en ai ma claque de toutes ces filles. Je sais qu'il est delta, j'en ai parfaitement conscience. Faut pas croire.. Seulement, je n'arrive plus à me contenir. Des fois, j'ai envie de m'avancer vers elle et de leur dire qu'elles aient voir ailleurs si Joshua n'y est pas. Merde, quoi! Il n'y a pas assez de mecs à Berkeley pour qu'elles viennent chauffer le mien. On devrait trouver leurs parents et leur conseiller de plonger les fesses de leurs progénitures dans une bassine d'eau froide. C'est radical. Néanmoins, ça peut s'avérer efficace. J'ai de moins en moins facile à me tenir. J'aimerai qu'il comprenne parfaitement. Je ne sais pas, moi mais il lui suffit de m'imaginer faire de la sorte. Je suis consciente qu'il est carrément canon et carrément delta. J'aimerai juste qu'il mette une partie de ses groupies de côté qu'elles comprennent qu'il n'y a aucune chance, aucune lueur d'espoir pour que monsieur McLowndes se transforme en prince charmant. Il s'avère qu'il est déjà occupé, mais le soucis c'est que ça ne s'affiche pas sur son front. Alors avant de quitter mes appartements pour la soirée de l'année, je l'entendais me murmurer de douces paroles qui me réchauffaient le coeur, qui faisait vibrer tout mon être. « ça va nous faire le plus grand bien, juste toi et moi. » J'y pensais si fort qu'il m'était impossible de le retenir. S'il avait pris du temps pour être au top de sa forme, s'il était allé chez le coiffeur et qu'il m'avait apporté cette fleur, c'est qu'il voulait être parfait pour sa cavalière. Pour moi. J'aimais me sentir importante ou différente quand il posait son regard sur moi. Je me demande ce qu'aurait pu être ma vie si mon chemin n'avait pas croisé celui de ma moitié. Que serais - je en train de faire à l'heure actuelle ? Avec qui ? Je n'en ai pas la moindre idée et je dois avouer que c'est le moindre de mes soucis car je n'aurais pas pu souhaiter mieux que l'amour..

    Seulement lorsque le conducteur fonça vers nous à vive allure, j'avais eu la plus grande crainte de ma vie. Qu'allait - il nous arriver ? Pourrais - je le protéger ? Et la seconde d'après, je n'étais plus moi. Un corps sans vie faisait place sur le siège passager. Je n'avais plus la force de me battre, je n'en avais plus le choix. J'avais été blessée et il faudrait plus qu'une petite sieste pour me remettre sur pied. J'avais cette impression d'être pourtant là, comme si je pouvais entendre ce qui m'entourait. Cette voix portante de Joshua qui posait mille et une question dans cette ambulance. Je le sentais toucher ma main mais je n'avais aucun pouvoir de réaction. Cette situation me rendait dingue, je voulais le rassurer. Je voulais lui dire ce que j'avais sur le coeur. Je voulais lui dire ces mots que j'avais retenu depuis l'été passé. Joshua était tellement pour moi que lorsqu'il s'agissait de sa personne, j'avais toujours du mal à me fixer des limites. Ces derniers temps, on avait fait assez attention. On voulait chacun de notre côté que ça marche, qu'on soit carrément indestructible. De plus, allez savoir quel sort du destin me donnait cette chance. Cela ne dura que quelques secondes mais il m'a suffit de ce temps là pour lui dire, pour qu'il sache combien je l'aime. « Je … Je t’aime Aislynn. Je serais toujours là pour toi. You Jump I Jump remember ? » Cette réponse, cette réplique, seul lui aurait pu me la donner. Il me connaissait plus que quiconque, plus que mes parents et que mes meilleurs amis. Joshua me connaissait mieux que je ne pourrais moi même me connaitre. C'est compliqué à comprendre ? Pas tellement que ça. Il est l'homme qui m'a fait évolué, celui avec qui j'ai avancé. Il sait comment je peux réagir et comment il peut me canaliser dans ces moments de crises. Il sait ce que je peux penser sans avoir à me le demander. Il sait tellement de choses à mon sujet. Je comprends alors que je ne peux plus lui répliquer. Une des machines dans l'ambulance fait un bruit terrible. Les battements de mon coeur se font de moins en moins répétitif. Je n'arrive plus à intercepter sa voix ou ce qui nous entoure. C'est le vide totale, comme si j'étais transportée ailleurs.. « ça va aller chérie, je suis avec toi, et je le serais, quoi qu’il arrive ! » Ces dernières paroles raisonnaient en moi. Il me donnait cette envie d'être une guerrière, de ne pas perdre une seconde pour me battre et devenir invincible. Sauf que là ça ne semblait plus dépendre que de moi.. On me perçait à nouveau le bras avec une aiguille. L'ambulance finit par se stopper et sans attendre, on me descend du véhicule. Je sens à nouveau l'air sur mon visage comme si j'arrivais à remonter à la surface de l'eau. Je n'allais pas me laisser noyer. Je voulais vivre encore et beaucoup de choses près de lui. Je voulais être celle avec qui il pouvait rêver. Je ne souhaitais pas être celle qui avait pu l'abandonner, encore une fois. Je voulais changer sa vision de la vie, lui rendre l'espoir et le voir plus invincible que n'importe quel homme. J'aimerai qu'il arrive à mettre ces démons du passé juste pour se consacrer à une toute nouvelle page du cahier. Les projets se bousculaient en moi. Je pouvais encore entendre sa voix. Imagination ou réalité ? Je ne pouvais pas vous l'affirmer. Les choses allaient devenir sérieuses quand pour la dernière fois, je poussais avec mon lit cette dernière porte, celle qu'on peut appeler le bloc opératoire.
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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyLun 5 Sep - 18:06

Ma vie sans elle n'était pas imaginable. Depuis que nous étions back together ma vie avait changé. Je n'étais pas tout à fait le même. Un homme différent ? Peut être pas totalement, mais en tout cas un homme plus droit, rangé et fidèle. Pour la première fois dans ma vie j'étais l'homme d'une seule femme. Nous avions traversé de nombreux évènements ensembles; des bons, des mauvais ... Mais les meilleurs étaient là pour faire peser la balance en notre faveur. Plusieurs fois, nous nous étions demandé si nous avions bien fait de nous remettre ensemble; et à chaque fois, nous nous rendions compte que notre couple était une évidence. Après toutes ces fois où l'on s'était séparé nous n'arrivions pas à vivre l'un sans l'autre. C'était peut être un raisonnement niais mais après tout, notre couple malgré les hauts et les bas, avait survécu. Nous nous étions battu, et nous avions fait quelques sacrifices pour y arriver, mais, maintenant nous étions heureux. Et probablement plus rien ne pourrais nous séparer. Maintenant c'était nous deux contre le monde, juste nous.

Nous avions tous deux un passé, probablement plus lourd de mon coté, mais nous avions réussis à surmonté ce que le passé tentait de nous faire regretter. Les gens qui cherchaient à nous séparer et les épreuves de la vie qui rendent la relation toujours plus compliqué. Mais c'était ainsi; après deux ans de relation, nous pouvions dire que nous étions fait l'un pour l'autre. Même si je ne l'avouerais pas de si tôt; parfois il m'arrive de m’imaginer dans dix ans, Aislynn a mes cotés avec des enfants dans les bras. Et si pour une fois nous étions chanceux ? Si cette fois la vie nous accordait cette chance de vivre heureux à deux.

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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles EmptyJeu 24 Nov - 14:45

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MessageSujet: Re: ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles ★ ce n'est que quand il fait nuit, que les étoiles brilles Empty

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