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Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN

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MessageSujet: Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN EmptyMer 22 Juin - 17:27

UN RÈGLEMENT DE COMPTE IMPROVISTE
❥ klay & alexeen
Tic, toc, tic, toc, tic, toc. Le bruit de l'horloge résonnait sans cesse dans ma tête. Je commençais à royalement devenir impatient. Le cours était d'une nullité totale. En d'autre mot, il était épouvantablement ennuyant et tout ce que je souhaitais c'était qu'il se termine au plus vite. Je n'arrivais vraiment plus à me concentrer sur ce que le professeur essayait de nous expliquer ce qu'allait être notre prochain examen, ma concentration était posée sur l'horloge qui me paraissait bien lente. Je soupirais mentalement tout en tapotant mon crayon contre mes livres. Je m'imaginais déjà sortir de la classe pour aller faire ce que voulais et profiter enfin de mon week-end qui allait s'amorcer à la fin du cours. J'avais comme hâte de pouvoir être relaxe. J'avais bossé tous le long de la semaine sur ma fin de ma session qui avait débutée. Même si ça ne me plaisait pas, je n'avais pas le choix pour réussir et passer à la prochaine étape. C'était la vie, mais bon, j'avais hâte comme tout le monde de finir et de prendre ça off. Toutefois, il en restait encore pas mal à faire, du moins il y avait ce week-end qui s'approchait à grand pas. Un genre de calme avant la tempête. Bref, je continuais à regarder intensément l'horloge et c'est enfin là que la cloche sonna pour indiquer la fin de la journée et le début du petit congé. J'attrapais mes livres sans me faire prier et sortit de la classe rapidement pour ensuite aller déposer mes livres dans mon casier.

En marchant dans les corridors de l'Université afin de me diriger vers la sortie, j'aperçus une blondinette que je connaissais au loin. Ce n'était pas l'une de celles avec qui j'entretenais des relations plutôt proche, mais ce n'était quand même pas une anodine. Celle-ci commençait à m'exaspérée. Pourquoi? Tout simplement car pour une raison que j'ignore, depuis un certains temps, elle m'évite comme si j'étais la peste. Pourtant, lorsque qu'on s'était parler via le net, elle semblait super gentille et ouverte. Ce n'était à n'y rien comprendre. Alexeen était un vrai mystère pour moi et s'en était déstabilisant. J'avais peut-être fait un truc pour mériter ce retournement de situation, mais c'était nul de ne pas savoir ce que j'avais fait de mal. Des fois, je me demandais même si ce n'était pas tout simplement par honte qu'elle me fuyait. Peut-être que j'étais trop moche ou je ne sais quoi pour elle. En tout cas, j'en avais aucune idée et ça me perturbais. À chaque fois que je la rencontrais et qu'elle partait comme si je n'existais pas, un envie de la séquestrer pour savoir la raison qui la poussait à être comme ça me démangeait. D'ailleurs, c'était bien ce qui venait de me passer par la tête. Surtout que je venais d'apercevoir une classe de tutorat vide et ouverte.

C'est donc, prit d'une pulsion, que j'attrapai le bras d'Alexeen qui passait à mes côtés. Elle resta subjuguée un instant, mais elle n'a pas eu trop le temps de réagir avant que je l'entraîne dans la salle de tutorat à quelques pas d'où nous nous trouvions. Les pieds à l'intérieur de la pièce, je la poussais d'un élan en la lâchant vers le fond de la classe. Ensuite, je fermais la porte derrière moi et restai planter là en cas où que la demoiselle essaye de s'enfuir. Je venais donc de réaliser ce que je voulais faire depuis un certains temps. J'étais enfin seul avec Alexeen et ça sans qu'elle puisse me fuir une nouvelle fois. J'allais enfin pouvoir comprendre l'agissement de la blondinette à mon égard. J'espérais du moins qu'elle ne se mettre pas a crier. Je n'avais pas le goût de passer pour un agresseur ou je ne sais quoi. De toute façon, elle ne devait quand même pas penser que j'allais lui faire du mal. Elle devait bien savoir que je ne la toucherais pas. Malgré sait-on jamais ce qui pouvait lui traverser l'esprit. Je posais mon regard vers elle de manière sérieuse. «Pourquoi tu me fuis?» Mon ton à ce moment là était sérieux, mais calme. Je ne voulais quand même pas la brusquer plus qu'elle ne l'était déjà. J'étais quand même pas un abrutit. Pourquoi élever la voix tout de suite quand il se peut qu'elle me réponde rapidement et ça sans problème. Il était donc préférable de rester calme, mais claire.

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MessageSujet: Re: Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN EmptyVen 24 Juin - 0:23

Alexeen & Klay ♥



    Petit flashback de six ans en arrière. J’avais seize ans, jeune et naïve comme on dit. Surprotégée par mes parents, je n’avais pas vraiment conscience du monde extérieur, ce monde qui n’était pas forcément tout beau tout rose. Une après midi entre copines de classe, on était partie dans les boutiques pour s’acheter des conneries. Enfin quand je dis conneries, c’est des bracelets, des colliers, des vêtements en tout genre. On défilait comme des princesses en sortant des cabines d’essayage en rigolant, toutes plein de vie, rêvant de croquer la vie à pleine dents. Je me souviendrais de ce jour jusqu’à la fin de ma vie. J’avais une petite robe blanche en dentelle, c’était l’été à New York, mais il faisait toujours assez chaud à New York de toute façon. Cette journée là, je me souviens que pas grand-chose ne n’avait plus, il fallait dire que j’étais assez difficile en matière de vêtement. Donc aucun sac de shopping avec moi. Mes deux parents travaillaient, pour une fois, j’allais rentrée à pied jusque chez moi. Marisa m’avait donné quelque petit raccourcis à prendre, et il fallait dire que j’étais assez franche, je n’avais pas peur de grand-chose. C’était pour ces raisons que passer à travers ses rues assez sombres ne me faisait pas peur. Et pourtant j’aurais dû. La première rue était assez déserte, donc j’avais pu la traverser sans souci. La deuxième a été mon pire cauchemar. Alors que je marchais tranquillement, un homme pas très âgé, la trentaine même pas, brun aux yeux très sombre, s’arrêtait devant moi. Naïve, je lui demandais pardon avant de passer, mais rien à faire, il restait là devant moi. Je voulais alors m’écarter pour passer sur le côté. De nouveau, cet homme me barrait la route. Il avait se sourire sur le visage qui me glaçait le sang. J’allais donc faire demi-tour et revenir sur mes pas, mais il en avait décidé autrement. Il me tenait le bras, il me faisait mal, je me souviens encore de la marque pendant les jours qui suivaient qui me rappeler ce qu’on avait pu me faire. En demandant juste de me taire de façon assez vulgaire, je sentais sa main se baladait le long de mon corps, j’avais envie de hurler, de crier, mais l’autre main lui servait à la mettre sur ma bouche pour éviter justement cette incident. De toute façon, je ne faisais pas le poids face à cet homme, qui mine de rien avait de la force dans ses bras. Sa main se baladait sur la petite poitrine qui s’était formé, puis descendait de plus en plus. Je fléchissais les jambes comme pour ralentir sa descente, les larmes coulaient en silence. Puis au bout d’un moment, il enleva sa main en me disant que je pouvais hurler tant que je voulais, que personne ne m’entendrait. J’avais pris le risque de hurler par instinct. Enragé, l’homme me mit la plus belle gifle de toute ma vie. Je sentais ma joue battre et elle m’était douloureuse. A peine le temps de m’en remettre, il m’avait jeté au sol avec une violence sans pareil. J’avais mal partout, je ne pouvais déjà à peine plus bouger. Je peinais difficilement à me débattre pendant que ce moment de violence n’était pas fini. Il m’arrachait ce qui me servait encore jusque là de sous vêtement. Ma robe était dans un mauvais état et je ne parle même pas de mon état psychologique. Je savais que quoi que je fasse il finirait par réussir ce qu’il voulait faire et je ne pouvais plus me battre face à lui, j’étais à bout de force. Devant moi, l’homme avait retiré son pantalon, son sous vêtement. Les souffrances que j’avais pu ressentir jusque là n’était rien comparé à celle que je ressentais dans cet instant précis. Il enchainait les va et vient, et je pleurais de plus en plus, toujours en silence, vidé de toute énergie. Son affaire fini, l’homme s’est rhabillé et à repris sa route, avec un sourire sur le visage sans pareil. Cette image restera toujours marquée dans ma tête. Allongée sur le sol, je me sentais salie, horrible, honteuse de ne pas avoir empêché cet homme de poser ses mains sur moi. Quand j’avais enfin retrouvé la force de rentrée chez moi, personne n’était de retour à la maison. J’étais tellement gênée. Jamais je n’en avais parlé à qui que ce soit, je me sentais incapable de le faire.
    C’était pour ça que j’avais dû éviter Klay. Klay, une jolie amitié qui s’est faite sur internet, sur le forum de Berkeley, alors que je cherchais à me faire des connaissances avant mon arrivée sur les lieux. Via le net, on s’entendait très bien, on se parlait assez régulièrement. Et j’avouerai que j’avais déjà imaginé des centaines de scénarios dans ma tête pour la première fois où l’on se verrait. Jamais je n’aurais cru ça. Lors que je l’ai vu, l’image de ce violeur, mon violeur, m’était renvoyé en pleine tête. Brun, les yeux foncés, cette silhouette bien élancée, et ce sourire… La copie conforme de ce mec qui avait fait de ma vie un enfer. On avait tout de même pris un verre ensemble, je ne voulais pas lui paraître complétement désorienté, mais je ne savais pas comment j’ai pu autant me retenir de m’enfuir en courant. Surement parce que Klay restait Klay, et qu’il était un homme vraiment très gentil qui ne méritait pas ça. On avait donc conclut le rendez vous quelques heures plus tard. J’avouais avoir passé un bon moment avec lui, mais cette image d’il y a six ans en arrière, je n’arrivais vraiment pas à m’y faire. Depuis, j’avais décidé de l’ignorer, ça valait mieux pour lui. Je continuais mon petit train-train habituel, en espérant qu’il tirera un trait sur l’amitié qu’on avait construit via l’internet.
    C’était sans compter la fameuse université où je comptais m’inscrire. Je devais m’y rendre pour donner un dernier papier et finaliser mon inscription. Je traversais le couloir tête baissé, car je voulais aller vite, je devais finaliser mon arrivée à San Francisco et je n’avais pas beaucoup de temps devant moi. Sauf que dans ma précipitation, on me prit le bras et m’emmenais dans une salle avec les volets à peine ouvert. J’eus un petit cri, mais vraiment léger par la surprise. Mais la plus grande surprise était de me retrouver devant Klay. Là, j’avais vraiment peur. Le côté sombre de la pièce assombrissait encore plus ses traits, et cette histoire défilait dans ma tête. Non je n’avais aucune raison d’avoir peur de Klay, mais je faisais tout de même quelques pas en arrière avant de me plaquer contre une table, juste le temps de retrouver mes esprits. «Pourquoi tu me fuis?». Je relevais alors la tête. La question était claire, nette et précise. Son ton n’était pas froid, mais on sentait bien que Klay était décidé à avoir une réponse. Mais je ne voulais pas ou je ne pouvais pas ? Je ne serais pas dire. Après tout comment pouvoir lui dire qu’il ressemblait à mon violeur. Je ne pouvais pas, en faite. Décidée, je fonçais en direction de la porte, mais Klay ne me laissait pas sortir. « S’il te plait laisse moi sortir Klay, s’il te plait… » Je me faisais presque suppliante, je sentais une boule dans la gorge se faire. Jamais je n’avais pleuré devant qui que ce soit. Jamais. Je ne comptais pas commencer maintenant. Voyant qu’il persistait, je me reculais vers la table qui me maintenait auparavant. Je décidais de m’assoir dessus. De toute façon Klay voulait une réponse et ne me laisserait pas ressortir sans. « Ce n’est pas contre toi. Au contraire. Tu n’as rien à voir dans tout ça. Rien du tout. ». C’était tout ce don j’étais capable de lui dire pour le moment, j’étais juste capable de rassurer. C’est tout.
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MessageSujet: Re: Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN EmptyJeu 11 Aoû - 6:50

UN RÈGLEMENT DE COMPTE IMPROVISTE
❥ klay & alexeen
Planté devant la porte, je regardais toujours Alexeen avec insistance. J'attendais qu'elle réponde à ma question et qu'elle m'explique clairement la raison qui la poussait à me fuir comme la peste. Pourtant, je n'avais rien fait de bizarre avec elle. Je ne voyais vraiment pas ce qui faisait en sorte que cette blondinette normalement sympa se mette à m'éviter. Je commençais réellement à croire que quelqu'un lui avait monter la tête contre moi. Qui et pourquoi? Ça j'en savais rien, mais cette hypothèse me semblait de plus en plus logique. Toutefois, il y eu un truc que je remarquais soudainement dans son regard et cette chose c'était de la peur. Alex avait peur... mais de quoi? De moi? Je fronçais les sourcils à cette pensée. Il était vrai qu'à l'instant présent Alexeen semblait me craindre. Elle avait prit la peine de ce reculer dans la classe pour finir par heurter un bureau. Je devais tout de même avouer que la situation pouvait paraitre bizarre. Je l'avais emmenée de force dans un local sombre et je prenais même la peine de le boucher le chemin en cas où elle tenterait de s'échapper. Toutefois, malgré ça je n'avais aucunement en tête l'idée de lui faire du mal. Ce n'était pas mon genre. Tout ce que je désirais c'était qu'elle s'explique. J'en avais marre de la voir m'ignorer. Je soupirais donc exaspéré par la situation. Je ne voulais pas lui faire peur, mais si il fallait passer par là sans vraiment le vouloir pour arriver à avoir une conversation avec elle je me devais de le faire. Je ne changeais donc pas d'air malgré que j'avais remarquée quelques instant plus tôt que la situation la rendait nerveuse.

J'attendais donc toujours une réponse à ma question lorsqu'Alexeen se jeta sur moi essayant d'attraper la poignée de porte de la classe pour sortir du local. J'eus toutefois de la facilité à la repousser afin d'éviter qu'elle attrape cette fameuse poignée et qu'elle réussisse à me fuir de nouveau. «S’il te plait laisse moi sortir Klay, s’il te plait…» Ces paroles étaient dites de façon suppliantes et aurait presque crue qu'elle allait se mettre à pleurer. Voir la blondinette dans cet état ne m'amusais aucunement, même que je détestais ça. Toutefois, j'allais plier par dessus mes sentiments, car j'étais vraiment décidé à ne pas la laisser partir sans réponse. De toute façon je n'avais rien à me reprocher, je n'allais pas la battre ou encore la violer. J'allais juste la questionner et lui parler franchement. «Tu ne sortiras pas d'ici sans m'avoir répondu. C'est inutile de me supplier Alex.» Lui dis-je un peu sèchement en la repoussant de nouveau loin de la porte. Elle du finalement comprendre que je ne la laisserais pas filer vu qu'après mes paroles elle alla s'asseoir sur un bureau d'un air tout ébranlé. «Ce n’est pas contre toi. Au contraire. Tu n’as rien à voir dans tout ça. Rien du tout.» Les nouveaux qui sortirent de la bouche de la nouvelle ne me convenait pas. Ce n'était pas assez claire. C'était toujours aussi incompréhensible. Je roulais mes yeux un instant trouvant sa réponse insuffisante et reposais mon regard froid sur elle. «Alors, si ce n'est pas contre moi. Pourquoi fais-tu ça?» Ma voix qui avait prononcé ces quelques mots avait été aussi froide que mon regard. Je ne voulais pas paraitre gentil, jovial ou encore compréhensif, car ça me mettait hors de moi cette histoire, mais je ne voulais pas non plus lui faire peur ou la faire pleurer. Il ne me restait qu'à être neutre et à ne démontrer aucune émotion en restant bien sérieux. C'est donc ce que je fis en espérant avoir une réponse un peu plus concrète la prochaine fois.

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MessageSujet: Re: Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN Un règlement de compte improviste. - KLAY & ALEXEEN EmptyMar 13 Sep - 13:51

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