Le réveil avait sonné le début d’une belle journée, Elzbieta ne put finir son rêve. Un bien joli, ou plutôt torride, rêve qui la mettait en scène avec Zac ou plutôt Zacary Safton. Un beau delta au corps parfait. La veille, ils s’étaient envoyés des texto assez obscènes, d’où le rêve qu’elle avait fait. Elle avait tout mis en scène, enfin plutôt son imagination. Un fantasme venait de naitre pour la jeune fille. Elle laissa le réveil sonner, ne voulant pas sortir de son lit, elle avait envie de continuer ce rêve, elle s’était sentie heureuse durant ce rêve, sentant en elle une vague de chaleur qu’elle apprécie toujours de sentir. Durant au moins vingt minutes, elle resta dans son lit, regardant son plafond à sourire comme une imbécile, son bras plié avec sa tête dessus. Une fois levée, elle alla prendre une douche froide pour la réveiller. Heureusement qu’elle avait mit son réveil trois heures avant son premier cours, elle s’était ainsi levée vers les huit heurs. Merci les partiels qui font manqué énormément de cours. Les vacances se faisaient sentir. Alors qu’elle avait sa serviette autour d’elle, son portable vibra : un sms. Elle entra dans sa chambre et alla voir qui cela pouvait être, Zac. Un sourire apparut sur son visage à la lecture de ce sms, elle y répondit. Puis alla enfin se sécher et finir de se préparer pour cette journée d’un temps estivale. Elle opta pour une robe légère, ainsi que des sandales blanches, depuis un certain temps elle avait laissé tous ses talons au fond de son armoire, à cause d’une douleur au pied. Elle ne savait pas d’où ça provenait, mais elle préférait ne plus porter pour l’instant de talons, au moins le temps d’aller un médecin. Un maquillage léger, et elle sortit enfin de sa chambre. Tout au long du trajet qui la menait au bâtiment de l’université, elle y rencontra des connaissances, elle les salua donc toutes. Elle avait tous son temps devant elle, elle s’installa donc sur l’herbe et se mit à finir un livre, sous le soleil. Elle put le finir avant d’aller à son premier cours de la journée. Durant toute la journée elle « discuta » avec Zac par le biais de texto. Ce n’était pas vraiment une discussion, il s’agissait plutôt de leur conversation à eux deux. Ils ne se virent même pas une seconde, même pas dans les couloirs. C’est pourquoi vers la fin de la journée, elle lui proposa de la rejoindre au bar de l’université. Fin de journée : vingt heures. Il ne lui avait pas répondu, sympathique tout cela. Seulement, notre Beta ne comprit pas qu’il s’agissait d’une « ruse » pour se faire désirer. Elle s’installa au bar pour patienter avec pour consolation, au cas où, un verre d’alcool. Dix minutes, et toujours pas là. N’étant pas du tout patiente, elle pensa tout de suite qu’il n’allait pas venir, alors elle commença son verre, eut le temps de le finir et d’en commander un autre, exactement de la même boisson. Le jeune homme arriva avec « retard » bien qu’on ne puisse pas parler de retard étant donné qu’ils ne s’étaient pas fixés d’heure. Il arriva tout simplement à l’heure qu’il avait souhaitée, pour se refaire une beauté ? Elz aurait pu faire de même. Elle le sentit arrivé par derrière, sans même entendre sa voix, ou le voir, elle savait qu’il s’agissait de lui, surement son parfum. « Je commençais vraiment à penser que tu allais me laisser seule ici. » Elle se retourna vers lui pour lui faire face et lui offrit son verre qu’elle n’avait pas encore commencé, le connaissant assez bien de ce côté-là elle savait qu’il appréciait cet alcool. Pour notre jeune fille, les boissons devaient s’arrêter, elle en avait déjà consommé au moins trois pour l’attendre. Elle le laissa s’asseoir à côté d’elle, tout en le regardant faire. Elle se trouvait chanceuse. Chanceuse de l’avoir, d’avoir la chance de pouvoir l’avoir qu’à elle toute seule pour certaines soirées, de pouvoir contempler son corps de dieu, de pouvoir « baiser » avec lui. Elle n’est pas la seule dans ce cas là, elle le sait, mais ça lui fait tout de même plaisir. Un aussi beau jeune homme, elle ne peut que s’en sentir fière. Leur soirée débuta tout d’abord tranquillement, ils ne sont pas ce genre d’ « amis » à se parler de leurs vies respectives. Entre eux, il n’y a vraiment que du sexe, ils ne se voient que pour passer du bon temps. Bien qu’Elzbieta sent bien qu’il se passe quelque chose entre eux deux. Ils continuent pourtant ainsi pour être sur qu’il n’y ait aucun sentiments. Comment avoir des sentiments pour une personne dont on ne connait que très peu de choses, son prénom, sa confrérie, et c’est tout. Bien qu’elle se soit dit qu’elle arrêterait de boire pour la soirée, elle s’était enfilé encore deux verres. La soirée ne commença qu’après cela. Lorsqu’Elzbieta se rapprocha de lui, pour passer sa main sur son torse tout en la faisant descendre petit à petit, tandis ce que ses lèvres se rapprochaient elle, de son oreille et qu’elle se mit à lui dire tout pleins d’obscénités en direct. C’était bien la première fois qu’elle faisait ça, elle s’était toujours limitée à le faire que par sms, mais ce soir elle changeait la donne. Disons que l’alcool l’aidait pas mal. « Ca te dit ? » Ce genre de conversations doit restés privées, bien qu’elle lui ait proposé pour commencer un simple petit massage dans un coin du bar. Il ne s’agissait pas là de simples petits massages, elle venait d’y rajouter une petite once de « cochonnerie », et bien sur elle avait précisé le fait que ça se passerait ici, et non pas en privé. Elle lui déposa de légers baisers sur la joue, tout en avançant vers les lèvres de celui-ci, et l’embrassa enfin, juste pour lui donner un avant-gout. Elle l’embrassa comme il l’aimait, comme elle l’avait embrassé lors de leur premier baiser. Tout ce qui avait mit en place cette relation entre eux deux. C’est ce baiser qui était la cause de tout cela. Elle lui mordilla la langue, doucement mais sensuellement, comme elle ne l’avait jamais auparavant. Elle trouvait toujours une petite nouveauté. Elle le prit par la main, et ils allèrent s’installer sur un canapé face à une table, où Zac commandant encore des verres, comme si ça ne suffisait pas déjà.


(comme dit mon 12 000 pour toi )

Il y a de ses journées qui reprennent avec un soleil merveilleux, qui nous fait rappeler que l'été est arrivé ou qu'elle approche et pourtant étudiant en deuxième année tu as ce genre de chose qui te pourri toutes tes soirées et tes weekends end oui vous voyez tous de quoi je parle : les partiels .
Cela faisait bien une semaine que j'étais rester enfermer des jours entiers pour réviser les épreuves qui avait lieu pendant 3 jours d'affilés , alors pas de sorti , des textos et appels vite fait mais vraiment en sur-volage …

Quand je me levais ce matin là j'me sentais léger , très bien dans mon esprit et dans mon corps je savais que c'était la dernière journée d'épreuve et que ce soir je pourrai enfin sortir , je textotai souvent Elzbieta depuis quelque jour , l'envie de la voir , et le manque d'un corps à corps me manquais depuis cette semaine d'abstinence , c'était une horreur les examens pour sa . Certes il existe des personnes qui s'en foutent de leur avenir et qui préfèrent profité sachant que papa verserait un petit chèque pour que son fils passe alors qu'il a rien foutu … ce qui n'étais malheureusement pas mon cas , sinon sa serai bien trop facile et du coup plus amusant du tout .

Elzbieta m'envoya un message entre midi et deux , à la pause repas, entre deux révisions de dernière minute et un sandwich engloutit aussi vite que je le pouvait ;je répondis une fois , celle ci renvoya un message pour me demander si on pouvait ce soir , qu'elle serait au bar de l'université, je ne pris pas la peine de répondre, il fallait se faire désirer parfois puis je n'étais pas le genre de mec à être scotché derrière le cul d'une fille, si j'avais envie d'la voir j'y allais sinon elle attendrait ou se ferai draguer par un autre grand bien lui fasse.

N'avez vous jamais jouer à ce genre de jeu stupide : cap pas cap , action ou vérité ? Et bien notre jeu à nous c'était le jeu de pas tomber amoureux, c'était la relation sans attache , la relation purement sexuel , qu'importe l'heure le lieu , il suffisait de dire un seul mot et c'était parti pour de la « baise » .
Certes j'avais des filles aux quatre coins de cette fille qui n'attendait que moi , c'était vrai , mais faut dire plus on passe sur une fille , plus sa se repend et après y'en a qui n'aime pas forcement que vous avez eut X conquêtes mais bizarrement je trouvais toujours , j'avais beau avoir la réputation d'un salop , d'un goujat , d'un connard , j'étais comme sa , je me protégeais comme je le pouvais , et toute relation purement physique ne me dérangeait pas du tout ; enfin faut il que la fille me plaise bien évidemment j'vais pas sauter un cochon ou un cachalot après tout , mais en profitant de ma jeunesse, en me protégeant de l'Amour , j finissais par avoir une sale réputation de fou , mais bon comme les gens le disent souvent : « y'a que les jaloux qui parlent sur toi , si tu serais pas intéressant ils en feraient pas tout un cake ».

Après avoir fini les partiels j'avais ce besoin d'aller me vider une dernière fois la tête , alors comme ceux qui me connaisse bien s'en doute , c'est rien d'autre que direction : PLAGE pour activité favorite : SURF , être reconnu dans cette catégorie la c'est quelque chose de bien plaisant, après avoir fait le beau pendant une demi heure , fait baver quelques filles , je me hâtais de rentrer dans ma chambre . Après une douche , session coiffure, habillement , je pris les clés de ma porsche et roula en direction de l'endroit ou m'attendait ma Sex Friends , vêtu d'une chemise blanche et d'un pantalon noir ainsi que des lunettes de soleil , et oui les jours étaient long à présent .

Quand je fus à l'intérieur du bar , je la repéra dessuite , celle ci me senti sans doute à mon parfum ou l'odeur de mon gel parce qu'elle se retourna ajoutant une petite phrase à mon égard , j'effleurai ses lèvres , prit le verre qu'elle me tendit et le vida cul sec avant de lui répondre .

«  Te laisser seule , comme ça , jamais de la vie … et puis il faut dire que j'avais bien envie d'être en bonne compagnie ce soir , de quelqu'un que je connais en tout cas . »

Notre relation on l'avait choisi ensemble , non mais que je ne passe pas encore pour je ne sais quoi , on s'est fixé des régles ensemble , celle de ne jamais tomber amoureux ou de ressentir des sentiments qui pourrait perturber cette relation , pas de bonjour ni de au revoir en s'embrassant sa fait trop couple sinon , pas de petit déjeuner au lit , donc forcement pas de dodo ensemble . On avait le droit de se textoter pour planifier , qu'importait l'heure si un de nous deux ne venait pas c'était tant pis pour l'heure et puis voilà de toute façon quoi faire de plus ? Pour le lieux il fallait varier , tout comme les positions d'ailleurs , expérimenter les plus folles positions que ni l'un ni l'autre osait peux être demander à un éventuel copain ou copine . Ma petite blondinette pris les choses très vite en main posant sa main sur mon torse et la glissant au niveau de la ceinture , elle commençait à connaître le mal ,à me connaître pas par coeur mais du moins mon mécanisme ; faut dire elle est la même pour tous à quelques exemple prêt … , elle m'emmena alors dans un coin du bar , je fis signe à une serveuse qui me bouffait du regard deux verres de vodka , la vodka qu'est ce que c'était bon , celle ci m'embrassait de façon si spéciale mais tellement excitant .

Entre deux embrassade , mes mains qui avaient glissé légèrement vers sa fleur , elle me demanda si sa me disait, un sourire aux lèvres suivit d'un regard provocateur je lui déclara :  « J'suis toujours partant tu devrais le savoir non , qu'importe le lieux ou l'heure , et toi alors sa te dérange pas ? ». Installé sur le canapé , je l'embrassai longoureusement , passant mes mains sur son corsage , j'ai toujours eut les mains baladeuse je dois l'accorder depuis très très longtemps , il semblerait même que la maitresse à appelé souvent ma mère pour ce petit problème … Quelques instant plus tard où la température commençait à monter un petit raclement de gorge sorti ma langue de la bouche de ma partenaire , la serveuse était quelque peu mal à l'aise elle posa tant bien que mal les deux verres sur la table , je lui adressais un sourire avant de vider à nouveau le verre de vodka pure d'un trait .

Les yeux. La partie du corps, du visage que préfère Elzbieta. C’est d’ailleurs ce qu’elle regarde en premier chez quelqu’un, chez tout le monde : femmes, enfants, vieux. On ne peut tout de même pas dire qu’il s’agit là d’une obsession, mais presque. Elle peut tout aussi bien fixer une personne juste pour ses yeux. Et surtout, elle n’hésite jamais à dire à quelqu’un que ses yeux sont sublimes, et tant pis si l’on pense que c’est une approche pour draguer. Elle ne peut vraiment pas s’en empêcher. Les yeux de Zacary sont plus que sublimes. Tout d’abord, ils sont bleus. Bon nombre de filles qui veulent un homme aux yeux bleus, une légende, un fantasme ; les hommes aux yeux bleus, soit disant les plus beaux, les plus recherchés, les plus rares. Faux. Les générations changent, et maintenant, comme si une personne quelconque a fait un revirement de situation, comme si l’on avait exaucé les vœux des jeunes femmes : on voit plus régulièrement des blonds aux yeux bleus. Très bien, Elzbieta les aime aussi, mais de là à ne vouloir qu’un stéréotype de ce genre, non, vraiment pas. Très peu pour elle. Mais face à Zacary, lorsqu’elle plongeait son regard dans le sien, elle pourrait complètement changer d’avis, son opinion pourrait très bien être renversé. Jusque maintenant, elle souhaite un blond aux yeux verts, ou alors un brun aux yeux bleus ou verts, au choix. A voire le premier qui se présentera à elle. Mais bien sur, après, il n’y a pas que ça qui compte, il y a tout autant la beauté intérieur. Mais, celui qui dira que le physique ne compte pas, mentirait. On s’en fiche peut-être d’avoir un mec magnifique, un Apollon, mais on ne peut dire qu’on prendrait vraiment de tout. Il faut au moins que nous, la personne concerné, on trouve la personne belle, et tant pis si les autres ne sont pas de cet avis. Mais jamais, ô grand jamais, on ne pourrait être avec quelqu’un qui ne nous fait pas plaisir aux yeux, au moins juste question de sexe, ou de simples baisers. Comment voulez-vous embrasser une personne n’étant pas à votre goût ? Et la beauté intérieure ne peut strictement pas intervenir là dedans. Il est vrai qu’après, on a tous notre opinion vis-à-vis de cela, et Elzbieta sait très bien ce qu’elle veut d’un homme, trop exigeante même. Elle veut un homme tout aussi beau à l’extérieur qu’à l’intérieur, intelligent, marrant. On pourrait presque imaginer l’homme parfait, elle ne veut pas l’homme parfait, bien qu’il n’existe pas, mais elle veut un homme l’aimant pour ce qu’elle est, qui pourrait l’aimer autant qu’elle pourrait l’aimer elle. Elle veut un homme qui la comble. Et enfin, elle veut un homme avec des défauts et qui ne les cache pas. Elle ne veut surtout pas un homme superficiel. Jamais elle ne choisira un homme juste par le physique, et c’est bien pour cela qu’elle ne veut pas en savoir de trop sur Zac. Moins elle en saura, plus elle sera sûr qu’il n’y aura rien entre eux, cela risquerait trop de tout gâcher entre eux. On pourrait presque dire que c’est beau entre eux, ça ne l’est pas. C’est juste sexuel, comment peut-on trouver quelque chose de beau dans une relation entre deux personnes qui n’ont qu’une seule chose qui les relie, et qui plus est, lorsqu’il s’agit de sexe. Absurde ! Ils passent du bon temps, et c’est surement la seule chose qui pourrait être caractérisé comme « beau », parce que oui, ils passent d’excellents moments ensembles. Ils arrivent à se remonter le moral mutuellement, à faire oublier à l’autre ses problèmes, et on en passe. Ensembles, on les verra toujours souriants. Ils ne se confieront jamais l’un à l’autre, de ce fait, ils ne pensent que très peu souvent à leur problèmes respectifs en présence de l’autre. Donc, en conséquence, si l’on ne pense à aux problèmes on ne peut pas être triste, et on ne peut qu’être heureux d’être en si belle compagnie. A peine l’eut-elle vu qu’elle eut envie de lui. Il était tellement beau, avec ces yeux, ce sourire, cette petite barbe de quelques jours. Tout était si bien accordé, ce visage si parfait. Ces traits si bien dessinés. Elle n’hésita donc point du tout à lui faire des avances obscènes, mais tout d’abord elle lui avoua qu’elle aurait presque cru qu’il n’allait jamais venir, ce à quoi il répondit. « Te laisser seule, comme ça, jamais de la vie … et puis il faut dire que j'avais bien envie d'être en bonne compagnie ce soir, de quelqu'un que je connais en tout cas. » Est-il possible de connaitre une personne tout en ne sachant rien sur lui en même temps ? Car c’est ce qu’Elzbieta ressentait face à Zac. Cette réponse ne la surprit tellement pas, elle avait l’impression de le connaitre, mais s’en restait une impression. Il lui arrivait très souvent d’imaginer la réaction du beau Delta, jusqu’ici elle ne s’était jamais trompée. Elle arrivait à prévoir ce que dirait, penserait ou réagirait le beau blond, s’en devenait grave étant donné qu’elle ne le connait ni d’Eve ni d’Adam. « Dis-moi Zac, tu dis toujours ça aux filles ? Il faudrait que tu changes un peu tes répliques, bientôt ça ne marchera plus aussi bien. Conseil d’a… enfin un conseil quoi ! » Elle avait été sur le point de dire conseil d’ami, jusqu’au moment où elle se rendit compte qu’elle ne pouvait pas utiliser ce terme là : ami. Elle ressentit un pincement, à l’intérieur, dans son propre cœur. Bien sur, elle savait depuis le début qu’il n’était rien d’autre que des sex-friends, c’est très facile de le devenir, mais pour enlever le sex, c’est plus compliqué. Pour être, par la suite, de simples amis, c’est toujours plus compliqué. Elle se rendait compte qu’elle ne serait surement jamais une amie, mais rien qu’une amie de sexe, rien de plus, surtout avec ce qu’ils s’étaient dit : pas de sentiments. Et c’est beaucoup plus simple lorsqu’on n’est pas ami avec l’autre, la vie peut être bien dure des fois. Pour oublier cela, pour faire partir ces idées noires, elle passa aux choses sérieuses, ce pourquoi elle avait fait venir Zac ici. « J'suis toujours partant tu devrais le savoir non, qu'importe le lieu ou l'heure, et toi alors sa te dérange pas ? » Elle aimait les mains du Delta, ce qu’il faisait, le fait qu’il soit si entreprenant. Elle n’avait pas besoin de lui demander quoi faire, il savait s’y prendre, il allait l’avouer. Avec un sourire malicieux, elle ne lui répondit pas tout de suite, le laissant faire dans ce qu’il faisait. La température monta très vite entre les deux, mais elle chuta d’un seul coup lorsqu’ils sentirent une troisième personne, ah non le threesome ce n’était pas pour ce soir. Zac remercia la serveuse légèrement gênée par la situation, ce qui fit rire Elzbieta. Mais au moins, elle saura qu’il ne faudra plus les embêter durant la soirée, ils seront tranquilles, et il n’y a que ça qu’ils demandent : de la tranquillité. « Voyons Zac, pour qui me prends-tu ? » Tout de suite après cela elle vint rapprocher sa bouche de son oreille, et vint lui mordiller, d’abord sensuellement mais légèrement la lobe de son oreille, pour faire monter petit à petit le taux de « sauvagerie ». Elle finit son petit truc en le mordant réellement, tout en continuant ces morsures tout au long de son cou pour les arrêter sur un suçon. Elle voulait marquer son territoire. Durant ce suçon, ses mains s’attaquèrent à la chemise du beau blond, et elle la lui retira.

Il ya certaines personnes à qui on ne peut pas résister. Il y a cette sorte d’attractions qui nous unit. On se sent attiré par cette personne, et même si l’on tente de ne pas céder à cette tentation, on n’y arrivera jamais. Alors, cédons à la tentation. Elzbieta sentait cette attraction entre Zacary et elle. Aucun des deux n’y pouvaient quelque chose. Ils pouvaient ne pas céder, la vie fera tout pour toujours les réunir. La vie fait bien les choses, ou du moins, lorsque ça concerne ce que les choses se doivent d’avoir lieu. Apparemment, c’était écrit qu’ils devaient coucher ensemble, sans qu’il n’y ait rien d’autres. C’était arrivé. C’aurait pu s’en arrêter là, mais apparemment, encore une fois, ils n’étaient pas censés n’être qu’un coup d’un soir, mais plus. Ce genre d’amis qu’on appelle plus communément : amitié amélioré. Seulement, entre eux, pas d’amitié. Une précaution comme une autre pour ne pas avoir affaire avec l’amour ou autres. Entre eux, ce n’était que purement physique : sexe, sexe et encore sexe, tout simplement. Un petit jeu sexuel, cela ne peut pas faire de mal, que causer du plaisir qu’on ne peut connaitre que comme ça. Bien sur, y a ces jouets qu’on appelle sex toys, qu’on peut utiliser seuls. Elz ne veut pas y avoir affaire. Pour elle, c’est avec mec sinon rien. Puis quoi encore : être seule dans sa chambre, à crier comme une star du X pour un jouet. Pathétique. Mais à quoi servirait les mecs sinon ? Bon vous l’aurez compris, notre jeune Alpha est totalement contre cette façon là de se faire plaisir. Elle n’est que pour les parties à deux. Quant aux orgies, elle préfère ne pas dire un mot là-dessus. Les gens parlent beaucoup trop. Son jouet à elle ? Zac. Un homme, un vrai. Si vous voulez pêcher un homme, allez en récoltez un chez les Delta, vous serez sûr d’en avoir un, à moins que vous soyez une poubelle, personne ne voudrait de vous. Mais personne n’est une poubelle. On peut ne pas plaire à tout le monde, mais on plaira, obligatoirement au moins à une personne. Alors qu’elle s’était installée sagement au bar de l’université, elle attendait tout aussi sagement son ami à qui elle avait envoyé un message pour qu’ils se voient, et qu’ils aient une partie de jambes en l’air. Pas besoin de se le dire, si l’un des deux voulait voir l’autre ça ne pouvait être que pour cela ; se faire plaisir. Elle pensait se faire poser un lapin, mais ce fut un chaud lapin qu’elle vit apparaitre. Zac arriva tout aussi beau, comme à son habitude. Ils ne prirent pas deux heures, ils allèrent s’installer dans un coin, pour boire un peu plus tranquillement, mais surtout pour s’échanger des câlins, baisers à l’abri des regards. Non pas que cela les dérange, c’était surtout pour les autres, car ce n’est pas toujours sympathiques de voir deux personnes fricoter chaudement. Dans un bar de la ville, ils n’auraient pas fait attention, mais ils étaient tout de même dans l’enceinte de l’université. Une certaine tenue était demandée. Leur soirée n’allait pas perdurer ici. Mais ils parlèrent un peu avant, s’échangeant quelques paroles. Elzbieta se mit à le taquiner, ce qu’elle adorait faire. En même temps, elle en apprenait un peu sur le beau jeune homme. Elle essayait de le déchiffrer et savoir quel genre d’homme il est réellement, seulement, elle le fait à sa façon. Elle ne va pas se mettre à lui poser des questions, non. Elle le fait discrètement, sans qu’il n’en sache quelque chose. « Non non je ne dis pas toujours ça aux filles, quand même pour qui tu me prends j'suis pas le clicher du mec avec des phrases déjà toute faites qu'il répète à toutes les filles qu'il croise, non non pas du tout je suis authentique moi » Etait-ce la vérité ? Ou s’agissait-il de simples paroles pour paraitre un gentil jeune homme. Pour l’éloigner de ce qu’il était : un simple beau parleur qui a déjà toutes ses phrases pré faites dans sa tête. Elle allait devoir en savoir plus. A vrai dire, elle s’en fichait un peu de savoir ce qu’il était. Si ses paroles il les disait à toutes ces conquêtes. Ce n’était pas avec ça qu’il allait l’avoir, il l’avait déjà. Il n’a pas besoin de la charmer pour l’avoir. Généralement, lorsqu’on dit cela à une fille pour l’avoir, ce sont des simples phrases qu’on a entendu dans des films, qu’on a pu lire et qu’on remix à notre sauce, pour que ce ne soit pas complètement, non plus, du copié. Elle le regardait, avec un sourire aux lèvres. Il la faisait rire. « Je vois surtout que tu ne te prends pas pour de la merde. » Les caresses se faisaient tranquillement pour le moment, une main de Zac se posa le long de sa cuisse, ainsi que quelques baisers. Il prononça avec quelques paroles qui la fit sourire, mais pas parce que ça lui plut. Plutôt parce que ça la faisait rire ce genre de compliments. Si un homme pensait pouvoir avoir Elz avec ce type de phrases, qu’il se détrompe. Heureusement, qu’il ne tentait pas de l’avoir, sinon il ne l’aurait jamais eu. D’ailleurs, pourquoi ne pas essayer de voir de quoi il était capable. Voilà une idée qui venait de surgir dans sa tête, il allait morfler. Ou alors, elle le sous estimait. « Pour la digne russe que tu es, pardi » Elle commençait à le connaitre, et elle savait que maintenant, il était partit dans sa tête pour une bonne soirée assez chaude en sa compagnie. Il serait, on va dire, prêt à tout pour arriver à ses fins. Elle pouvait le tester. Et sinon au pire, elle ferait tout pour continuer à le chauffer en même temps, elle n’allait pas le perdre pour la soirée. Elle se mit à lui mordiller sauvagement le lobe de l’oreille, comme il l’aimait. En même temps, ses mains dans le dos du beau blond s’incrustaient dans son dos. Une petite pointe de sauvagerie tout en restant discrète et en ne donnant pas tout ce qu’elle pouvait. Après tout, ils étaient toujours dans le bar, en public. « Et si on partait d’ici ? » D’un seul coup, elle stoppa ce qu’elle faisait pour sortir du bar, ne se retournant même pas pour voir s’il la suivait. Elle savait à l’avance qu’il serait derrière elle. Elle l’attendit dehors, et au moment où elle le vit, elle se rapprocha pour déposer sa main, fermement sur l’une de ses fesses. Elle n’avait pas fait que de la déposer, elle l’agrippait. Elle serrait cette fesse, comme pour faire comprendre qu’elle en attendait plus.