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Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ]

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MessageSujet: Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ] Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ]  EmptySam 23 Oct - 21:43



La maladresse peut parfois être une source de cauchemars pour certains. Incapable de faire un pas dans la rue sans se ramasser un pot de peinture ou que sais-je encore. Des portes poisses à plaindre. Mais, cas rare… La maladresse peut parfois être la cause de bonnes choses. Ce n’est certainement pas Séraphine qui vous dira le contraire. La jeune femme se baladait dans les couloirs de l’université, ses pensées se bousculaient dans sa tête. Un sourira s’étira sur ses lèvres quand elle crut apercevoir un très bon ami, Sigma de son état. Leur amitié s’était révéler au fil de rencontres plus ou moins catastrophiques. Apparemment quand deux énergies négatives se rencontraient, ça faisait des étincelles. A force d’être dans les embrouilles les plus rocambolesques, ils avaient finis par parler. Tant de coïncidences ne s’était pas faites au hasard. C’était un coup du destin. Le garçon en question se nommait Charlie Noah Silver. Président de la meilleure confrérie du campus pour le meilleur et le pire.

La reine des gaffes, c’était elle. Jamais l’étudiante n’aurait pensée être aussi bien comprise par quelqu’un. Mais à cette époque, elle ne connaissait pas Charlie. Ce garçon, elle l’adorait. Et c’était une des raisons pour lesquels, elle avait rejoint la confrérie SIGMA. Depuis qu’elle avait entendu parler de Berkeley, la brunette ne voulait qu’une chose : Rejoindre le clan des artistes car la plupart de ces membres étaient supers. Pour l’instant, elle ne s’était pas trompée. La jeune femme chercha son ami des yeux mais impossible de le trouver. La française d’origine se reconcentra vers son idée principale : le tutorat. Elle avait besoin d’un peu d’aide pour un exercice qu’elle avait dû mal à saisir et surtout faire pas mal de recherches pour un exposé qu’elle devait préparer. Tout un programme studieux.

C’est avec le sourire qu’elle pénétra dans la salle. Jetant un coup d’œil aux alentours, elle trouva une place libre près d’une fenêtre. Elle s’y dirigea avant de sortir son ordinateur portable de son sac et avec l’aide de quelques livres, Séraphine commença son travail. Mais c’était sans compter sur sa capacité a toujours trouver quelqu’un qu’elle connaissait sur son chemin. Et aujourd’hui, l’invité n’était nul autre que… l’ombre qui se rapprochait doucement de la belle. Serah ne remarqua rien du tout, bien trop concentrée sur le nombre d’informations à ingurgiter. Elle allait les clouer sur place avec tout ce qu’elle prévoyait de faire. Mais non, rien n’allait se passer comme prévu… et pour cause, une main se posa sur l’épaule de la future réalisatrice qui la fit sursauter

« Charlie !! Tu m’as fait peur !! T’aurais fait quoi si j’avais eu une crise cardiaque, hein ? »

La surprise et d’une certaine manière, l’agacement passée. La jeune femme se retourna avec un grand sourire vers son ami. Elle l’embrassa sur les deux joues pour lui dire bonjour avant de s’asseoir et de lui faire signe de faire de même s’il le voulait bien. C’était toujours difficile de tenir une conversation avec un problème de hauteur. Au final, elle s’en sortirait avec un torticolis si elle s’aventurait dans ce terrain-là. Ces yeux brillèrent d’un éclat de malice en observant son vis-à-vis. Dire qu’elle avait prévu de le suivre, voilà que c’était lui qui venait la trouver alors qu’elle avait décidée de travailler. Tant pis l’exposé attendrait. La demoiselle était loin d’être stupide et savait d’ors et déjà qu’étudier avec son interlocuteur était tout bonnement impossible. Après tout, ils avaient le don de se retrouver dans des situations pour le moins peu commune… Elle plongea son regard dans le sien avant d’ouvrir la bouche.

« Aurais-tu un détecteur pour savoir quand je désire travailler et venir pile à ce moment-là ? Que me vaut l’honneur de ta visite, mon cher ? Une envie de parler ou avais tu l’intention de travailler également jusqu’à ce que tes objectifs s’envolent à ma vue ? Je t’écoute… »
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MessageSujet: Re: Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ] Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ]  EmptyDim 24 Oct - 0:32

supermarkets s*cks.

Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ]  Stock8





C'était horrible. Re-faire les mêmes courts que l'an dernier, un par un, pareils, sans le même changement. Faire mes cours de première année m'aurait probablement moins déranger; j'allais en classes n'importe comment, la plus part du temps, j'étais a moitié bourré et je dessinais des dragons. C'était la belle époque. Je passais mes apres-midis au parc à faire des ronds de fumée à la place d'écouter une vielle femme à la voix semblable à celle d'une poule essayer d'apprendre à des filles sans voix à apprendre à chanter, quand elles étaient des causes perdues, me laissant seul, sans rien apprendre. Malheureusement, j'avais du vieillir. Je devais être sérieux, avoir un beau diplôme. N'importe quoi. Un diplôme pour faire de l'art. Pourtant, mon but était de me battre contre les institutions, non? Retourner à la vraie chose... alors pourquoi perdre mon temps? « Pour ne pas me retrouver SDF, pour avoir un travail, si les cds ne se vendaient pas, pour Bela & Sid. ». Bons arguments. Bien que je m'en fichais, d'être SDF, seulement, les deux cités le valaient.

J'avais donc passé une après-midi en classes. À écouter les mêmes choses que l'an dernier. Avoir sut, je me serais levé le matin, quitte à perdre l'autre qui de toute façon, m'a quitté malgré que j'ai mis ma vie sur la glace pour lui. Mais bon, je ne pouvais plus rien changer au passé, mais je pouvais agir sur mon futur : alors j'allais en cours, même si c'était réellement barbant. Par chance que cette cloche, objet merveilleux, avait sonné, me libérant de cette routine horrifiante. Je pouvais prendre mes clef et rouler vers la liberté, ou plutôt, vers le super marché. Faire les courses, un truc hyper énervant, qui me faisait presque regretter ma chambre de confrérie et le frigo toujours plein des sigmas. Mais bon, j'allais être papa, ce n'était pas une bonne idée d'avoir un bébé dans un si petit endroit, avec de la musique à tout heure du jour et autant de gens qui entrent et qui ressortent.

Je marchais donc en direction de la sortie de l'université, après ce cours qui m'avait presque donné des maux de tête, quand je passais devant la salle de tutorat. La porte était ouverte, et en passant, j'eus le temps d'apercevoir ma petite Séraphi, cette fille devant qui j'avais enchaîner les gaffes si souvent, avant de lui parler et de réaliser à quel point elle était géniale. C'était en quelques sorte ma meilleure amie, ma victime préférée lors des batailles de polochons, quoi. Aller la voir, lui demander comment elle allait et aller casser la croute? Nah! Pas mon genre! Je choisis plutôt une entrée subtile, un truc digne des plus grands ninjas, je me glissait derrière elle avec la subtilité d'une lionne – pas que je sois particulièrement féminin, seulement, tout le monde sait que les lions ne sont pas du tout subtiles, et qu'ils sont plutôt paresseux, en vérité – en pleine chasse. Je mis ma main droite sur son épaule. Voilà. Attaque lancée. Tout à coup, je sentis sont corps se soulever, puis redescendre. Plan réussit. A+ Capitaine. Elle me reconnut – les tatouages sur les mains n'étaient pas très discrets, eux – et me demanda ce que j'aurais fait, si elle aurait fait une crise cardiaque. Question piège?
CHARLIE NOAH SILVERBonjour Sépahinou, je vais très bien, merci de t'en inquiéter, vraiment, petite impolie. En cas de crise cardiaque, il faut faire un massage cardiaque, mademoiselle, c'est mon papa médecin qui me l'a dit. D'autre question d'ordre médical? Hahaha, non, sérieusement, si tu aurais fait une crise, je me serais probablement évanoui, sous le choc, tu vois?

Par la suite, elle se retourna, m'embrassa les deux joues, comme le faisaient mes grands-mères, mais d'une façon beaucoup plus agréable, et me fis signe de m'asseoir. La petite Seraphi avait peur d'avoir mal au cou? Bon, il faut dire que j'étais plutôt grand, et que moi aussi, je risquais le torticolis, si je ne prenais pas place sur cette chaise en bois, alors, je m'assis aux côtés de ma meilleure amie de l'univers, qui avait commencer à parler. Je ris à ses paroles; avoir un détecteur d'envie de travailler, ce serait bien chouette, mais malheureusement, c'était hors des limites de la technologie humaine, pourtant très avancée.

CHARLIE NOAH SILVERNon, mais j'aimerais bien. Remarque, on ne devrait pas l'utiliser sur moi, parce qu'il est plutôt rare que j'ai envie de travailler. Mais sinon, j'adore venir te déranger, eh puis, qui te dis que tu ne travailles pas mieux sous pression? Je viens te voir parce que j'ai un grave problème, ma Séraphinouille, c'est que je n'ai vraiment pas envie d'aller faire les courses. Ça me tue, tu sais, Mili, ma coloc, elle est partie pour ce truc, en France, alors, elle ne peux pas vraiment y aller, Bela, bah, elle a déjà les siennes à faire, alors, ça m'étonnerais bien qu'elle ait envie de faire celles de son mari en plus, déjà qu'elle vient cuisiner pour moi, de peur que je m'intoxique, parfois... Alors je suis obligé d'acheter moi même fruits et légumes, ça me prend un temps fou, et quand je reviens chez moi et que je croque dans une pomme, je réalise qu'elle n'a pas le goût attendu, j'ai jamais apprit à choisir les fruits, alors c'est pour moi un parcourt de combattant, le marché. Sinon, j'ai vu que tu étais dans cette pièce, alors, je me suis dit qu'on pourrait peut-être parler jusqu'à ce que je supermarché ferme, et que par un malheur effroyable, je doives remettre les courses à demain.

Je lui souris. J'étais un flemmard né. Je voyais déjà sa réaction; Charlie, tu dois apprendre à faire certaines choses par toi même... ou pas. J'avais vraiment envie de la retenir jusqu'à ce qu'elle décide de faire mes courses pour moi, mais ça ne serait pas correct, quoi que...
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MessageSujet: Re: Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ] Quand travailler devient mission impossible... [PV Charlie ]  EmptyMar 26 Oct - 21:55

A peine le garçon venait de s’asseoir que déjà la machine à papotage se mit en marche. Serah admirait vraiment cette capacité. Bien sûr, elle aussi était du genre bavarde. Quand elle était lancée, il fallait trouver pour l’arrêter. Mais bon quand même… La SIGMA lui avait juste fait des reproches et voilà qu’il était parti…

Charlie - Bonjour Sépahinou, je vais très bien, merci de t'en inquiéter, vraiment, petite impolie. En cas de crise cardiaque, il faut faire un massage cardiaque, mademoiselle, c'est mon papa médecin qui me l'a dit. D'autre question d'ordre médical? Hahaha, non, sérieusement, si tu aurais fait une crise, je me serais probablement évanoui, sous le choc, tu vois?

Décidemment, elle adorait ce garçon. Toujours des réponses avec une pointe d’humour dans la voie. Belammée en avait de la chance d’avoir un copain comme ça. Elle ne devait pas s’ennuyer, ça c’était sûr. La jeune femme esquissa un sourire. Evidemment qu’elle savait qu’il fallait faire un massage cardiaque en cas de crise. Avec Charlie à ses côtés, elle n’avait plus rien à craindre. C’était un fait.

Serah – Me voilà rassurée. Avec toi, je n’ai aucun risque de craindre pour ma vie, tu es là et tu sauras faire face à toutes les situations possibles, j’en suis sûr. Non, si je m’évanouis là, direct sans aucune raison, tu penses que tu arriveras à contrôler tes émotions pour me sauver, histoire que je ne meurs pas étouffée ? Sinon… aucune autre question d’ordre médicale. Je sais plus artistique, en fait… Ah j’allais, oublier… le séraphinou… tu ne trouves pas qu’il ait de trop ? Pourquoi pas séraphinounette tant qu’on y est ? J’anticipe, j’aimerais éviter ce surnom aussi. Même si je sais que ça ne te feras rien du tout, tout est bon pour m’embêter… n’est-ce pas ?

La brunette aimait beaucoup la compagnie du Sigma. Bien évidemment, son arrivée était souvent synonyme de bouleversement de ses propres plans. Non pas que ça la dérangeait car d’un autre côté, avec lui, elle était assurée de passer une très bonne journée. Séraphine scruta du regard son interlocuteur, essayant de deviner ce qu’il avait dans la tête. Qu’allait-il lui annoncer encore ? Une envie de s’enfuir de Berkeley et de sécher les cours qui lui restait ? Allait-il redécorer la salle de tutorat dû à sa maladresse légendaire avec son aide ? Ou rester tranquille ? Non impossible… Le petit ami de Béla n’était certainement pas du genre à ne pas bouger de sa chaise et à attendre que les heures passent. C’était forcé qu’il soit venu voir Serah avec un projet bien particulier en tête. Ses lèvres se mouvèrent et la jeune femme concentra toute son attention sur lui.

Charlie - Non, mais j'aimerais bien. Remarque, on ne devrait pas l'utiliser sur moi, parce qu'il est plutôt rare que j'ai envie de travailler. Mais sinon, j'adore venir te déranger, eh puis, qui te dis que tu ne travailles pas mieux sous pression? Je viens te voir parce que j'ai un grave problème, ma Séraphinouille, c'est que je n'ai vraiment pas envie d'aller faire les courses. Ça me tue, tu sais, Mili, ma coloc, elle est partie pour ce truc, en France, alors, elle ne peux pas vraiment y aller, Bela, bah, elle a déjà les siennes à faire, alors, ça m'étonnerais bien qu'elle ait envie de faire celles de son mari en plus, déjà qu'elle vient cuisiner pour moi, de peur que je m'intoxique, parfois... Alors je suis obligé d'acheter moi-même fruits et légumes, ça me prend un temps fou, et quand je reviens chez moi et que je croque dans une pomme, je réalise qu'elle n'a pas le goût attendu, j'ai jamais appris à choisir les fruits, alors c'est pour moi un parcourt de combattant, le marché. Sinon, j'ai vu que tu étais dans cette pièce, alors, je me suis dit qu'on pourrait peut-être parler jusqu'à ce que le supermarché ferme, et que par un malheur effroyable, je doive remettre les courses à demain.

Séraphinouille ? Elle avait bien entendu ? Ne lui avait-elle pas dis de ne justement pas l’appeler avec ce genre de surnom à rallonge ? C’était officiel, le jeune homme n’en faisait vraiment qu’à sa tête. Maintenant, il lui parlait de courses… Attendez, il ne croyait quand même pas que la française allait faire ses courses à sa place quand même, c’était du délire. Bon évidemment, il ne l’avait pas dit clairement mais quand on lisait entre les lignes… c’était forcé qu’au final, c’était ça qu’il voulait. Il ne manquait vraiment pas de culot… L’autre alternative était quand même plus plaisante, même si encore une fois, elle révélait la paresse de l’étudiant. Papoter jusqu’à la fermeture du supermarché… Pourquoi pas. Elle n’aurait pas à bouger comme ça.

Serah – Je comprends. Mais dis-moi, j’hallucine ou tu insinues l’idée que je puisse allait faire tes courses à ta place ? Parce que si c’est le cas, je te le dis tout de suite Charlie, c’est Non, irrémédiablement NON. Tu as des jambes, tu as une liste de courses donc tu vas faire tes emplettes mais sans que je te remplace. Je veux bien t’accompagner jusque-là bas. Là, il n’y aucun soucis, mais pour le reste, tu peux courir. Ce n’est pas parce que tu es mon meilleur ami que je vais accepter tout ce que tu me demandes. Tu me connais et tu aurais dû t’en douter de ma réaction, non ? Franchement, tu m’épates. Maintenant, je veux bien rester discuter avec toi jusqu’à la fermeture, c’est-à-dire dix-neuf heures, je crois ? Et les courses, on remet ça à plus tard… si t’es gentil, j’accepterais de te venir en aide. Mais pas plus, d’accord ?

Oui, vous avez bien lue. Du non catégorique, l’étudiante en cinéma était passée à une possible aide à une condition. C’était du Séraphine tout craché. Une volte-face en trente secondes sans l’intervention de son vis-à-vis.

Serah –Et sinon, avec Béla, tout va bien comme au premier jour ? T’es marié, tu vas avoir un enfant… Avec un papa pareil, il va forcément être épanoui. Et tous ces changements dans ta vie ne te font pas bizarres ? Personnellement, si c’était moi qui étais à la place de Belammée… j’ignore comment j’aurais réagi… sinon quoi de neuf, mon chou ?
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