the great escape
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p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway

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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptySam 10 Juil - 18:19

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edward constance
«.Nous deux c'est comme un épisode des simpsons, le générique change à chaque épisodes, mais la connerie habituelle est toujours là.»

Ce que la vie pouvait parfois être compliqué. Le souvenir de la soirée d'hier soir placé sous le signe de la royauté, de Versailles et des déguisements essentiellement composé de froufrou à outrance provoquait une certaine amertume dans l'esprit de la belle Constance. Le cour de littérature à laquelle elle assistait la passionnait tellement qu'elle y trouva un cours instant de sommeil, entre deux lignes des « Misérables » de Victor Hugo. Même ses rêves semblaient vouloir lui rappeler combien le bal avait été agité. Malheureusement pour elle la soirée ne lui avait rapporté que mauvaises surprises sur mauvaises surprises, sa robe de princesse préférée et au combien inconfortable avait gagné ce matin même un aller simple pour le pressing, une soeur au fond de la tristesse et par-dessus tout son égo sur-dimensionné en avait pris un coup. Au moins maintenant elle savait qui, à l'avenir, aurait ou non le droit à ses plus douces faveurs. Augusto l'avait ramené à son appartement au petit matin, sans gueule de bois, mais pourvu d'un maux de tête résonnant dans son esprit au gré des paroles de son professeur de Littérature, résigné à laisser la La Tour Dubois dormir sur sa table de classe tandis qu'il poursuivait son éloge sur les convictions de notre ami Victor Hugo à l'écriture de son oeuvre. Bien heureuse déjà étudié les Misérables lorsqu'elle était encore à la Sorbonne, Constance se contenta de plonger son visage dans l'étreinte de ses bras et de scruter l'heure affichée sur son téléphone, caché dans sa trousse. Douze heures cinquante-trois. Amen, la sonnerie menaçait de retentir d'ici deux minutes, la délivrance, le messie en culotte de velours Gucci dernière collection sous forme d'une sonnerie. Le fait que le temps passe et qu'elle finissait les cours après cette délicieuse sonnerie de délivrance mirent la demoiselle en de très bonnes dispositions, exit la soirée dégueulasse de la veille, Bonjour nouvelle journée de pur délire. Elle souffla presque de bonheur lorsqu'elle dut ranger ses affaires et sortir hors de cette salle de l'enfer, son rendez-vous fixé pour le déjeuner avec son amie Alanna risquait de décevoir cette dernière étant donné que Constance n'était pas du tout affamée. Mais au moins elles pourraient pratiquer leur passe-temps préférés, faire les « gossips. » . C'est en croisant les différents acteurs du bal dans les couloirs qu'elle se remémora la soirée passée. Tour à tour elle croisa Augusto à qui elle adressa un sourire et des salutations amusées, Edward et Drew jouant de paire à la gueule de bois du siècle à qui elle n'accorda rien d'autre qu'un simple regard, noir à l'occasion pour Edward et enfin Manon qui semblait d'humeur aussi massacrante qu'elle. Rien à foutre du bal, au moins c'était noté, l'an prochain elle préfèrerait sortir se mettre la mine avec un inconnu dans un bar plutôt que de se rendre au bal de fin d'année. Enfin elle recroisa Drew une nouvelle fois, seul. Elle ne réussit d'ailleurs pas à contenir un fou rire. Fou rire qu'elle contenait depuis hier soir et qu'elle ne pouvait désormais plus contenir au fond de son ventre. Elle se souvenait de lui tenant un micro dans sa main, déclarant un flot de paroles amoureuses et désespérés à destination de la soeur La Tour Dubois, se souvenait de Augusto lâchant une crise de fou rire en simultanée et de s'être demandé comment elle aurait réagi si jamais un de ses petits amis avaient joué le « lover ». Réaction en direct, crise de fou rire. Le pire étant qu'elle ne s'en voulait pas d'un poil de se moquer de lui de la sorte, même si le geste était courageux de sa part, il n'en restait pas ridicule. De plus belle il agissait comme un pur con avec sa sœur. Le vent qu'il s'était pris était mérité.

Enfin hors des locaux, un café dans ses mains acheté à la volée dans l'un des cafés store de l'établissement, Constance fouilla dans son sac à main à la recherche de son téléphone tandis qu'elle entamait sa marche vaillante en direction du parc de Berkeley, armée de son air sûr d'elle. Pas moyen de mettre la main sur ce foutu téléphone. La dernière fois qu'elle l'avait vu c'était dans sa trousse durant le cours de Littérature. Enfin lorsqu'elle put mettre la main dessus, le visage d'Alanna de dessina sur son écran affichant ainsi un nouveau message de la demoiselle, message qu'elle s'empressa d'ouvrir.


•••
from alanna gardner to constance la tour dubois
en retard ! foiré un test de maths, je vais rattraper ça auprès de mon prof. on se retrouve plus tard ! Bisous ♥

Alanna, l'art de faire de la séduction à l'un de ses professeurs pour qu'il fasse semblant d'oublier un test mauvais sur son bulletin scolaire. Elle eut un sourire amusé, Alanna était pleine de ressource, tout comme elle, elles se ressemblaient toutes les deux en tout point si ce n'est qu'il y avait une brune et une blonde. Elle haussa les épaules, un petit quart d'heure solo ne lui ferais aucun mal, dans tous les cas elle avait fini les cours et par conclusion n'avait rien à faire de son après-midi, même si elle trouvait toujours quelque chose ou quelqu'un à emmerder. Le programme qu'elle avait établi dans son esprit consistant majoritairement à raconter la déclaration embarrassante de Drew la nuit dernière à Alban qui mourrait d'envie d'avoir tous les détails. Elle pris place sur un banc à l'ombre dans le parc et se mit à réfléchir. Il n'y avait vraiment rien à faire dans ce bahut la journée. Elle poussa un soupir, s'allongea sur le banc de tout son long et fixa les feuillages se mouvoir au gré d'une légère brise au-dessus d'elle, tenant Les Misérables dans ses mains histoire de simuler une lecture attentive. Son portable fourré dans la poche de son short vibra une fois encore et lorsqu'elle consulta le dernier message en attente, l'écran afficha le visage d'un Atwoodth. Maxwell à l'occurrence.

•••
from maxwell atwoodth to constance la tour dubois
Tu te souviens de ce que je t'ai dit hier soir ? Tu serais adorable de le dire à Edward ♥

Ce qu'il lui avait dit hier soir relevais d'un souvenir qu'elle croyait être un rêve. Elle était tellement exténuée hier soir qu'en s'endormant, elle avait crus avoir à faire à un rêve ou Maxwell lui annonçait la grossesse de Lyzabeth. Apparemment cela n'avait pas été le fruit de son imagination, mais bel et bien une réalité. Au courant que l'entente n'était pas des plus cordiale entre les deux jumeaux, elle en conclus que Maxwell comptait sur elle pour mettre tonton Edward au parfum. Elle eut des papillons dans l'estomac en pensant Lyzabeth enceinte. Ce que cela pouvait être adorable, le couple, le fait d'avoir un enfant à eu deux. Ils étaient tellement adorables ensemble que même elle qui n'était pas branchée couple devenait toute mielleuse lorsqu'elle rencontrait Lyzabeth. Elle se contenta de répondre à Maxwell par un rapide « ce seras fait my friend ». Lyzabeth et Maxwell avoir un bébé, un bébé du style vrai bébé. Ça va pas non ! Comme c'était eux, elle trouvait cela adorable même si elle ne se mentait pas à elle même, à leurs âges tout de même ! Fallait être fou. Constance n'était pas de ce genre-là. Plutôt du genre à aimer faire les bébés, mais pas à les avoir. Tant qu'on continuait à l'appeler Tatie et non Maman, ça irais. Les enfants c'est mignon quand ce sont les autres qui les ont. Elle eut un petit sourire amusée, ressorti son téléphone de sa poche.

•••
from constance la tour dubois to edward atwoodth
Tu t'es enfui tellement rapidement hier soir que je n'ai même pas eu le temps de te contempler dans tes habits d'époque. Moi qui pensais que tu tenais mieux que ça à l'alcool, c'est une déception. Heureusement pour toi, j'ai toute l'après midi et la soirée de libre et un tas de chose à te raconter. Pour l'instant je bronze au parc, mais c'est toi qui vois babe. xoxo

Elle aimait bien l'enquiquiner, se contenta de sourire,d'envoyer son message et de se remettre à sa contemplation du livre d'Hugo. Elle ne comptait pas rester là toute l'après midi, après tout elle n'était à la disposition de personne, mais pour lui elle serait prête à faire un petit effort de patience. Son esprit divagua vers Lyzabeth et Max', ces deux fous. Tatie Constance projetait déjà de devenir gâteuse et d'acheter un tas de connerie à ce gosse, même si techniquement elle n'était pas "Tatie" . The hell yeah, correspondante et meilleure amie de Maxwell, pas moyen de la faire passer à la trappe.
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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptyLun 12 Juil - 16:51

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" live fast, die young "

Pour une fois que monsieur ne tenait pas l’alcool… Un bruit retenti dans l’appartement du jeune Atwoodth, s’en suivi un grognement rauque. Une main posée sur la tempe, le garçon maudissait le coin de la porte qu’il venait de percuter. Fallait vraiment être con pour laisser une porte ici.. Le réveil difficile et pas encore tellement lucide, Edward ne prit même pas la peine de passer par la case ‘cuisine’ : ses jambes trouvèrent toutes seules le chemin jusqu’à la banquette du salon où il se laissa mollement tomber. A peine levé, déjà recouché. La gueule de bois n’était vraiment pas faite pour lui. Soupirant depuis son trône, le garçon laissa néanmoins un léger sourire se dessiner sur son visage : la soirée avait été certes courte, mais plutôt pas mal. Bien qu’il n’ait guère eu le temps de saluer tout le monde… A cette pensée, le garçon posa machinalement les yeux sur son costume : en charpie et trônant au beau milieu de la pièce. Jolie pièce. Et puis, sans chercher à en comprendre davantage, le Delta laissa sa tête retomber en arrière, contre les coussins. Dernière fois qu’il s’enfilait une bouteille entière de Rhum tout seul…

Mais la petite sieste matinale fût de bien courte durée. Un son strident raisonna aux côtés du jeune homme alors qu’il venait à peine de refermer les yeux. Le sursaut lui arracha un léger hoquet de surprise alors que lui, se cassa littéralement la figure de son fauteuil. Bon sang… Qui était assez fou pour oser l’appeler à… 14h ?! Mais depuis quand on réveillant les gens à 14h de l’après-midi avec un texto ? La nouvelle mode sans doute. Peinant à se redresser pour chopper son cellulaire resté sur la banquette, Edward fini néanmoins par parvenir à son but. Enfin ! Téléphone en main, il arqua un sourcil en louchant à moitié sur l’engin. Constance ? Un léger sourire en coin vint étirer ses lèvres alors que son cerveau lui, cherchait à comprendre les signes inscrits sur l’écran. Finalement, c’est un rire qui lui échappa. Hé oui, elle n’était sans doute pas la seule à être déçue des compétences de monsieur Atwoodth. Il était vrai que les deux jeunes gens n’avaient pas vraiment eu le temps de se croiser au bal. Si ce n’est quelques paroles échangés, Edward n’avait pas tellement eu l’occasion de lui en dire davantage –merci le Rhum-. Hochant la tête de gauche à droite en soupirant d’amusement, le jumeau pianota quelques instants sur sa machine :


Citation :
from edward atwoodth to constance la tour dubois

Pas besoin que je porte une robe pour que tu me contemples. Oh… Et concernant l’alcool, on peut remettre ça si tu veux ? On verra qui de nous deux tient le mieux hinhin… Ok, j’ai compris Darling. Essaye de pas chopper de coup d’soleil le temps que j’me prépare.

Ily.

Arquant un sourcil, le jeune homme remis quelques minutes avant de pouvoir se redresser. Au fond, cela pourrait sans doute le remettre sur pied que d’aller à la rencontre de la jeune Omicron. Entre les deux amis, tout avait toujours été plus ou moins compliqué, mais tellement distrayant. Comme deux gosses qui se retrouvent, lorsqu’Edward et Constance passaient du temps ensemble… Il était bien rare qu’aucun des deux ne commette une petite bêtise, ou aille emmerder l’autre. Au fond, Atwoodth avait toujours apprécié la jeune femme pour ce petit côté immature et imprévisible. Quelle plus belle amitié que la leur ? Tels étaient tout du moins les songes du delta alors qu’il tentait comme il le pouvait de manier cette fichue douche sans se casser la figure. Chose qui bien entendu arriva… Trempé, il ne prit même pas la peine de se sécher les cheveux mais enfila directement ses vêtements. Qu’à cela ne tienne, le Soleil s’occuperait de son brushing. Légèrement empressé, le voilà seulement qui quittait l’appartement, manquant évidemment de faire quelques pirouettes dans les escaliers qu’il parvient à descendre en quelques secondes… Sur le dos.

Inutile de préciser que pour un garçon qui a dormi... 14h ? le réveil est terriblement difficile. Plus encore quand il doit faire face au Soleil. Aveuglé par la lumière du jour, Edward ne retint pas un grognement alors qu'il ressortait ses... Bon sang, il avait même oublié ses lunettes de soleil. Doué le bambi... Ou comment mettre un delta de mauvaise humeur. Quoiqu'il en soit, c'est en appelant le premier taxi à disposition que le garçon se rendit au lieu de.. rendez-vous ? Cette délicieuse idée amusa intérieurement le garçon alors qu'un sourire niais naissait sur son visage. Sourire que sans doute le chauffeur pris pour lui... Au vu du clin d'oeil qu'il lui adressa dans le rétroviseur. Et donc un sourire bien vite remplacé part une grimace de la part de l'étudiant qui préféra ignorer la chose.. Dégoutant. Mais heureusement pour lui, sa destination n'était plus très loin. Sauvé par le gong... Ou pas. Parce que monsieur le chauffeur descendit en même temps qu'Edward du véhicule, ce dernier arqua un sourcil en toisant l'individu. Hum, mouais ? Un problème ? Il avait payé pourtant...

    le chauffeur ♣ « Dis moi mon p’tit, tu te promènes souvent au parc… Tout seul ? »

    edward ♣ « Euh… »


Mais à vrai dire, Edward ne prit pas tellement la peine de répondre à son interlocuteur. Préférant prendre ses jambes à son cou plutôt que tenter le diable. C'est que les pervers homosexuels étaient nombreux dans le coin... Prenant un malin plaisir à couper à travers les sentiers pour foncer dans les buissons (et éviter miraculeusement les troncs), la course du Delta se stoppa bien vite... Trébuchant sur un truc, Edward s'en alla manger l'herbe du parc. Un léger "outch" retenti alors qu'allongé au sol, il se redressait maladroitement pour guetter ce qui avait amener à se ridiculer devant... Constance ! Punaise, les bancs sont bien cachés dans ce parc pour ne pas qu'il l'ait vu.

    edward ♣ « CONSTANCE ! Vas-y cache moi, y un fou qui veut m'violer ! »


Et se précipitant sur elle -prenant le loisir de la bouger un peu du banc-, il en profita pour la serrer dans ses bras. Un léger sourire amusé alors qu'il apercevait au loin le pseudo chauffeur regagner son véhicule. La tête posée sur l'épaule de la jeune Omicron, il souriait comme un gosse, laissant son regard posé sur elle.

    edward ♣ « Sinon coucou ! Hum, ouais tu voulait me voir alors jeune fille ? »


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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptyMar 13 Juil - 20:24

Dans quel univers pouvait-elle attraper un coup de soleil ? Sa peau mate halée lui offrant une protection naturelle contre le soleil, la demoiselle pouvait aisément passer des heures au soleil sans qu'une aucune trace rouge ne vienne ternir son teint de bébé hawaïen. Elle leva les yeux au ciel, s'accordant un sourire amusé benêt alors qu'elle lisait avec attention la réponse d'Edward à son premier message. Il avait un sens de la répartie qu'elle aimait beaucoup, alliée à un sens de l'humour détonnant et en parfait accord avec le sien, il était évident que Atwoodth et Dubois étaient souvent, si ce n'est toujours, sur la même longueur d'onde. Elle laissa échapper un petit rire à la connotation sur l'alcool que comportait son message. La vision de lui quittant le bal la veille, un gros coup dans le pif, une démarche titubante de droite à gauche au gré de ses pas malhabile et son costume taché d'alcool provoqua en elle un rire doux et assuré. Les personnes en présence devaient la prendre pour une dingue à rigoler de la sorte, seule qui plus est, mais qui pouvait réellement juger Constance La Tour Dubois, qui ose était inexorablement considéré comme un payot de première classe. Elle leva les yeux au ciel, elle était toujours prête à relever les défis, il le savait très bien, elle était « cap » de tout dès lors qu'il s'agissait d'un défi, elle était du genre à aimer son égo, tellement qu'elle se devait d'emporter la victoire à chaque fois. Définitivement ce mec-là était passionnant, tellement qu'elle l'admirait presque d'avoir trouvé la force de répondre à son message, mieux encore de se préparer pour la rejoindre.

Enfin un compagnon pour l'après-midi, elle aimait bien passer du temps avec lui et Maxwell serviable comme à son habitude lui offrait une excuse en or sur plat d'argent afin d'attirer Edward. - Même si son charme naturel et son pouvoir de séduction devait pas mal aider tout de même - Parfois elle doutait sur les jumeaux. Ne les ayant jamais vu tous les deux dans le même temps, il était difficile pour elle de les distinguer, physiquement parlant, car au niveau du caractère c'était une sorte de gouffre qui séparait les deux. Maxwell étant beaucoup plus sérieux et surtout beaucoup plus « amoureux », Edward étant beaucoup plus déluré, lorsque l'un ouvrait la bouche elle pouvait reconnaître à qui elle avait à faire, à force de pratique, elle était parvenue à reconnaître avec qui elle conversait. Plus simplement Maxwell avait tendance à la surnommer « Conscons », nouvellement « Tatie ConsCons » alors que Edward aimait mieux l'appeler « Consti' ». Constance et la famille Atwoodth, longue histoire. Elle jubila à l'idée de passer l'après-midi en compagnie de monsieur Edward, agrippa son téléphone dans l'étreinte de ses doigts fin et se concentra sur les touches qu'elle s'amusait à appuyer tandis qu'elle s'allongeait sur son banc, un sourire bête sur le bout des lèvres transmettant implicitement son impatience.

•••
from Constance La Tour Dubois to Edward Atwoodth
Pas faux, mais si tu pouvais éviter de remettre un jour une robe en ma présence, je t'avouerais que ça m'arrangerais, j'ai une réputation tout de même ! Quand tu veux petit joueur, depuis ta performance de hier soir, je suis sûr de l'emporter (^.^). See ya ♥

Elle se remit à sa lecture, rêvassant en moitié à ce qu'elle pourrait faire, aujourd'hui, dans un mois ou même l'an prochain. Elle aimait songer à ce genre de choses, son avenir et se projeter dans un futur qu'elle construisait elle-même. D'autant plus qu'elle était dotée d'une imagination, voir d'une connerie, débordante. Lisant à moitié son livre et réfléchissant de l'autre moitié, c'est un fracas non loin d'elle qui vint l'extirper de ses songes. Basculant son regard vers la gauche, c'est un Edward goûtant à la pelouse de Berkeley, étalé de tout son long qui gisait sur le sol, remuant comme une carpe que l'on venait de sortir de long qu'elle aperçut. Réflex, elle se mit à rire, ouvertement, se moquer de lui en le pointant du doigt, son autre main occupé à appuyer son ventre qui commençait à la faire souffrir sous les contractions provoquées par le rire. CONSTANCE ! Vas-y cache moi, y un fou qui veut m'violer ! Second effluve de rire, tandis qu'il se faisait sa place sur le banc, elle se redressait, auparavant allongé elle s'assit, se laissant docilement prendre par l'étreinte du Delta et le serrait de même dans ses bras, tentant par la même occasion d'étouffer son rire, la tête plongée dans le creux qu'offrait ses épaules et son cou, ce qu'elle n'arriva à faire que moyennement. Elle ne se dépêtrait pas de se sourire idiot, la vision d'Edward étalé entre quelques feuillages lui revenant en flash à chaque fois qu'elle essayait de se calmer. C'est que maintenant que tu remarques que tout le monde veut te violer ?! La terre entière rêve de ta belle gueule en secret, ce pauvre homme n'as fait que faire ce que beaucoup retiennes à ton égard, annonça-t-elle d'un air solennel, compréhensif, sérieux mais trahis par un sourire amusée coincé au coin de ses lèvres et le ton ironique qu'elle venait d'employer. Ce que beaucoup retiennes, c'est à dire le draguer et avoir des pensées obscènes à son égard s'entend.

Elle croisa ses jambes sur le banc, détournait son regard dans la direction d'où provenais Edward, apercevant ainsi un chauffeur désabuser se rapatrier dans son véhicule. Chauffeur qui leur adressa un dernier regard par dessus le toit de son véhicule, regard à laquelle elle répondit par une grosse grimace. Elle tira la langue et fronça le nez, reflet tant une réflexion dans le style « t'es deg ou t'as besoin que j'en rajoute une couche ? ». Sinon coucou ! Hum, ouais tu voulait me voir alors jeune fille ? Huh que faire, lui dire tout de suite ou bien faire durer le plaisir de la nouvelle. C'était limite jouissif d'avoir cette position, elle savait tout il ne savait rien. Même si il ne devait pas se douter de l'intensité de la nouvelle, d'ailleurs elle n'était même pas sur qu'il s'en préoccupe vraiment et que cela lui fasse l'effet d'une bombe au vue de son entente avec son frère. Elle baissa le regard vers lui, qui appuyait sa tête sur son épaule, eut un petit sourire. Elle fut résolut sur l'instant à prendre un air grave, menaçant d'annoncer une mauvaise nouvelle. Elle posa sa tête sur la sienne, ne sachant pas par ou commencer. mmm. Je voulais voir ta gueule de bois ridicule, si jamais un jour t'arriverais à te remettre d'avoir but trois verre de coca light.dit-elle avec un sourire moqueur, haussant les sourcils machinalement pour lui indiquer que oui, elle se foutait de sa gueule. Finalement il n'y avais pas de quoi faire un flan, ça le ne concernait pas directement. Et puis au moins après elle serait tranquille. non plus sérieusement, ton frère m'as chargé de te faire parvenir une nouvelle. Elle pris un petite sourire amusée, sérieux à la fois. Lyz' est enceinte. Blop. Elle contempla Tonton Edward avec un sourire amuse. Silence de mort, l'espace de quelques secondes, elle renchérit. de trois mois ! dit-elle d'une voix enjouée. Elle plaqua ses deux mains de part et d'autre de son visage, un peu vivement sur le coup, avec son plus beau et son plus gros sourire annonça solennellement. Tonton Edward ! Ça te va à ravir ! Tu vas être complètement gaga et gâteau, j'ai hâte de voir ça ! Elle lui pinça les joues, comme une grand mère gâteuse à son petit fils, rien que pour l'enquiquiner, tout en lui tirant la langue en riant. Elle était comme ça avec lui, redescendait plus en dessous que du stade bébé, gamine. Mais elle s'aimait bien comme ça, riait tout le temps. En même temps il avait le délire facile et ils avaient le même humour fastoche. Elle passa sa main dans ses cheveux, parce qu'elle aimait bien toucher les cheveux des garçons et encore plus lorsqu'ils possédaient un peu de longueur et d'épaisseur.


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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptySam 17 Juil - 20:08

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" live fast, die young "

Ils étaient tels deux enfants, deux âmes innocentes. Edward étouffa un rire. Tête posée sur son épaule, il écoutait en silence les paroles qu’elle lui adressait. Diable, qu’il aimait la savoir à ses côtés. Sous les ombres rassurantes des arbres du parc, ils échangeaient à voix basses quelques paroles, le tout accompagné d’une poignée de douceur. Qui pourraient les surprendre ? Si on exclu ce chauffeur aux tendances pédophiles et homosexuelles… Atwoodth grimaça à la simple pensée du vieil homme près de son véhicule. Et, alors que Constance se chargeait de venir poser son visage contre le sien, il bu avec un large sourire chacun de ses mots. Choqué, il resta bouche bée en imitant l’expression boudeuse d’un môme de 4 ans. Surtout devant le haussement de sourcils qu’elle lui adressait. Et puis, il fini par s’avouer vaincu : soupirant tout en haussant machinalement les épaules. Ok, il n’avait pas tellement bu ce soir-là, mais c’était pas une raison pour sans arrêt remettre ce sujet sur table ! Quelle honte. Edward leva les yeux au ciel avant d’en rire.

    edward ♣ « Coca whisky s’il te plait ! On m’a drogué... Et puis tu sais pas ce qu’ils avaient mis dans le jus d’orange hein. »


Et de nouveau, ce fût sa voix qui se fit entendre. Mais l’humour n’était plus au rendez-vous. Abordant un tout autre sujet, la jeune française prit une intonation beaucoup plus sérieuse. Ce qu’elle lui annonça eu pour conséquence la disparition pure et simple de son sourire. Lyzabeth ? Enceinte ?! Sa mâchoire aurait pu se décrocher de sa lèvre que sans nul doute elle se serait retrouvée au sol. Maxwell, futur papa ?! Il n’en revenait tout simplement pas. Même si ces évènements étaient à prévoir au vu de la tournure que prenait la relation des deux amoureux. Ce qui aurait dû enchanté et émerveiller le tonton en question le figea complètement d’effroi. Non pas qu’il détestait les gosses, au contraire. Mais savoir qu’encore une fois, son jumeau était parvenu à accomplir une chose que lui n’avait pas… Ce type était décidément bel et bien le ‘parfait petit Atwoodth’. Mamie et grand-père seraient sans doute bien heureux de l’apprendre. Il sourit vaguement face à l’enthousiasme de son amie : tatie Consti’ semblait déborder de joie… Ce qui n’fût pas le cas de son compère. Refermant les yeux, il soupira de lassitude en allant niché son visage contre son épaule. Machinalement, l’enfant réclama juste une pointe de réconfort en allant serrer l’une de mains de sa chère tatie.

Les relations familiales n’avaient jamais vraiment été la tasse de thé du Delta. Il faut dire qu’ayant été le premier à quitter la maison du fait de son ‘rejet’, ses frères et ses parents ont toujours passé après le reste. Comment voulez-vous aimer un type qui est votre portrait craché, mais en version ‘plus mieux’ ? Mais enfin… Les temps changent dit-on. Sauf Jesse, Constance devait sans nul doute être la seule personne à laquelle il aimait se confier à se propos. Et bien heureusement pour lui, ce petit bout d’ange avait toujours su lui apporter l’amour que sa propre famille avait omis de lui apporter. Si derrière ces gestes d’affections ne se cachaient pas une série de doutes, peut-être aurait-il pu la considérer comme la sœur qu’il n’a jamais eue. Une pensée qui arracha un doux sourire au garçon alors qu’il redressait à peine le visage pour croiser le regard réconfortant de sa folle compagne. Glissant avec douceur chacune de ses mains sur ses joues et amenant son nez se poser contre le sien, le jeune gamin soupira à voix basse :

    edward ♣ « Waouh… Ca, c’est un sacré potin. Tatie Consti’ a l’air vraiment comblée. Waouh… Mais, j’suis content pour eux, vraiment. Mais bon… Encore une fois, Max’ aura réussi à me prouver qu’il mène une vie parfaite comparée à la mienne. » Une once de regrets surgit alors dans ses prunelles alors qu’il se relevait lentement du banc. « Mais bon, tu sais quoi ? J’m’en fiche. A la limite, j’pense que sa joie d’avoir un gosse n’est rien comparée à celle que j’éprouve quand j’suis avec toi, ma vieille folle ! »



La mine enfantine, il inclina légèrement le visage sur le côté. Edward ne s’attarda pas à prononcer d’autres mots, se penchant doucement vers elle, il joua quelques instants avec l’une de ses mèches de cheveux pour ensuite lui adresser un simple, mais étrangement doux baiser sur la joue. Et quel acte inhabituel pour un garçon qui manque d’affection à revendre… Allez savoir pourquoi, aux côtés de la jeune femme, tout était toujours cent fois plus simple. Edward se redressa finalement, esquissa un vague air amusé avant d’arquer un sourcil en lui offrant son bras :

    edward ♣ «Dis-moi Consti’, un petit tour sur le dos du futur Tonton gâteau ? Faut que je m’entraîne à porter des gamins après-tout ! »


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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptyMar 20 Juil - 23:37

Coca whisky s'il te plait ! On m'a drogué... Et puis tu sais pas ce qu'ils avaient mis dans le jus d'orange hein. Elle leva les yeux au ciel, sourire amusé plaqué sur ses traits lui signifiant un gigantesque « cause toujours ». Aucune autre personne n'avait mis les voiles pour avoir trop bu, du moins pas dans les premiers instants du bal. Mais rien ne servais d'insister sur cet épisode, elle avait devant elle un temps considérable pour se moquer de lui et de sa performance de la veille, mieux valait pour elle qu'elle balance la nouvelle dont elle était porteuse au début de la conversation plutôt que de complètement zapper plus tard. Car il était comme ça avec elle, si elle avait quelque chose à lui dire, elle n'arrivais jamais à transmettre son message du fait qu'il arrivait à capter son attention dès son arrivée, à la mettre sur la voie d'une conversation tout autre et à la faire oublier ce qu'elle voulait dire. Il captait toute son attention lorsqu'ils étaient ensemble, tellement que parfois elle en oubliait leur environnement et perdait complètement pied, ils étaient lui, elle et le reste du monde tel des atomes gravitant autour d'un noyau qu'ils représentaient tous les deux. Même si elle n'avouerait jamais cette emprise qu'il pouvait avoir sur sa personne, elle en était parfaitement consciente, mieux ne cherchait pas à s'en dépêtrer.

Elle opta cependant pour l'aveu direct, espérant qu'il ne prenne pas mal la nouvelle, il n'y avait pas de raison. Mais elle était au courant des états d'âmes de son Atwoodth vis-à-vis de Maxwell et ne pouvait s'empêcher de s'imaginer qu'il pouvait prendre mal la nouvelle que Lyz' soit dans l'attente d'un heureux évènement. Mais au moins se serait dit en tout et pour tout au début de la conversation et elle aurait tout loisir de lui remonter le moral si besoin est durant l'après-midi entière. Elle le contempla après son annonce lancé comme de l'huile sur le feu avec des traits forçant un sourire crispé, le silence pesant venant s'installer telle une inconfortable mélopée. Ses prunelles noisettes le fixaient en quête d'une quelconques réactions durant les quelques secondes que leurs regards se reliaient encore, avant qu'il ne sombre tête la première dans l'écrin que lui offrait son cou, sentant ainsi un large soupire lui chatouiller la peau. Ce fut à son tour de pousser un soupire, elle n'aimait pas être porteuse de ce genre de message à la limite de la déception, encore plus lorsque la déception était ressentie par lui. Elle se laissa docilement guider tandis que la main d'Edward s'agrippait à la sienne, entremêla même ses doigts aux siens dans une valse coordonnée, passa son autre bras autour de ses épaules pour assurer le plus de confort dont il pouvait avoir besoin. Elle était câline avec lui, une vraie poupée en sa compagnie. Avec son sourire et son enthousiasme idiot elle avait dû lui donner la sensation de parfait bonheur, d'insensibilité par rapport à ce qu'il pourrait ressentir alors qu'elle était parfaitement au courant de ce qu'il pouvait ressentir vis-à-vis de son jumeau. Elle se passa au crible intérieurement, se maudit l'espace de quelques secondes de toujours vouloir jouer la carte du gros sourire, même faux, avec les autres. Elle le laissa avaler la nouvelle à son rythme, serrant ses épaules d'une main et caressant doucement le dos de sa main avec son pouce. Elle avait raison d'être interloqué, qui aurait pu s'y attendre, même si Maxwell et Lyzabeth étaient le couple le plus solide, le plus unis et surtout le plus amoureux qu'elle ait jamais vu, la jeunesse faisait qu'aux yeux de la française, tout ceci était précipité. Bien que sa vision des choses ne changeaient pas le fait qu'elle était aux anges pour eux. Enfin un mouvement de la part du Atwoodth vinrent mettre fin aux songes profondes de Constance dirigées vers le couple Laxwell, elle le contempla avec son sourire d'ange bourré de réconfort et continuant à sourire de la même manière lorsque leurs deux jolies frimousses eurent contact, elle posa ses mains sur les siennes posées de part et d'autre de son visage. Waouh... Ca, c'est un sacré potin. Tatie Consti' a l'air vraiment comblée. Waouh... Mais, j'suis content pour eux, vraiment. Mais bon... Encore une fois, Max' aura réussi à me prouver qu'il mène une vie parfaite comparée à la mienne. Toujours ce regard désappointé. Elle se pinça légèrement les lèvres, que pouvait-elle dire de plus pour le réconforter, elle n'aimait pas voir ce regard. La déception d'encore une fois, avoir un train de retard sur Maxwell. C'était donc ça avoir un jumeau ? Sans cesse être en concurrence ? Elle leva les yeux au ciel, rien à foutre qu'ils ne s'entendent pas, pour elle ils restaient tous deux exceptionnels et elle aimait la différence entre eux. Ne dis pas ça, ta vie est géniale ! Contrairement à notre amie Maxwell, toi tu vas pouvoir continuer à faire le con sans avoir peur de réveiller quelqu'un et à dire des gros mots à profusion sans te faire engueuler ! lui dit-elle avec son plus grand sourire angélique. Il avait un style de vie quasiment similaire à la sienne et dans son cas elle n'échangerait pour rien au monde la façon dont elle voyait sa vie, ses moeurs et ses habitudes. Ou bien elle le ferait, mais alors il fallait avoir des arguments en béton et surtout être vraiment exceptionnel. Elle le contempla se lever du banc avec ce même sourire, espérant avoir été un minimum convaincante et réconfortante.Mais bon, tu sais quoi ? J'm'en fiche. À la limite, j'pense que sa joie d'avoir un gosse n'est rien comparée à celle que j'éprouve quand j'suis avec toi, ma vieille folle ! Dans un monde peuplée d' émoticone, elle aurait été celui qui avait des lueurs dans les yeux tellement la remarque était adorable. Son coeur de glace fondit sur le cou, décidément il avait le don pour s'attirer ses faveurs par de simple parole celui là. Elle laissa échapper un rire amusé, les surnoms entre eux, grande institution. Le baisé doux sur la joue vint renfoncer encore plus la demoiselle dans son état d'admiration pour lui, on comprenait désormais pourquoi elle avait une attention particulière pour lui. Elle prit la peine de se lever à son tour, lui faisant face et le toisant de son petit mètre 69 avec un sourire banane tirer jusqu'aux oreilles, si cela n'avait tenue qu'à elle, elle aurait fait ressortir la groupie qui était en elle, la vraie fille qui dès qu'elle reçoit un compliment d'un beau garçon, se met à sautiller de joie sur place. Mais très peu pour elle, ce n'était pas son genre, avoir une réaction positive de la part de la bitchy qu'elle était face à un compliment relevait de la rareté. Mais il y avait le droit, le chanceux. Elle l'attira contre elle, entourant ses deux bras autour de ses épaules et se jeta littéralement sur lui pour l'attirer pour un gros calinou enjoué, histoire de lui tirer un sourire au moins, elle courba le dos en arrière, tellement qu'ils auraient pu limite tomber en arrière et se mit à rire en lui collant un gros baisé sur la joue dans un grand « mouah » avant de finalement se redresser. Oui tu t'en fiche, parce que figure toi que quoi que tu puisses penser vis à vis de tes frères, tu es mon atwoodth favoris ♥ annonça-t-elle solennellement, armée de son sourire le plus malicieux et sérieux à la fois possible.

Dis-moi Consti', un petit tour sur le dos du futur Tonton gâteau ? Faut que je m'entraîne à porter des gamins après-tout ! Elle n'eut pas le temps de le laisser se préparer qu'elle sauta sur le banc, puis sauta sur son dos comme un cabri.wiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! réponse positive, elle allait jouer à Lucky Luke chevauchant son Jolly Jumper ! Retour à la case enfance. Son air malicieux démontra qu'elle s'apprêtait à passer un bon moment, comme tous ceux qu'elle avait pu passer avec lui. Elle croisa ses bras autour de ses épaules, assez serrer pour avoir une bonne prise, mais assez lâche afin de ne pas l'étrangler non plus. Tu sais quoi ?! entonna-t-elle de sa voix mélodieuse, la pointe du visage posé sur son épaule droite, cherchant à capter son regard. Si tu arrives à faire le tour du parc en courant sans tomber, je paye ma tournée de ce que tu veux tout à l'heure. Il avait la gueule de bois et rien que la façon dont il s'était étalé en la rejoignant au parc annonçait que le tour du parc, aussi gigantesque soit-il, annonçait que le parcours serait semer d'embuche. Elle se voyait déjà le cul planté dans un buisson, râlant à outrance qu'elle avait des branches dans le tee-shirt et les coudes égratignés. Mais le simple fait de l'imaginer courir, elle sur son dos, titubant à droite à gauche en essayant de garder une once équilibre lui plaisait assez. Au moins s'il gagnait, il aurait le droit à la tournée fanta/vodka ou autre qu'il n'avait pas eu la veille, il ne pouvait pas refuser, l'appel de l'alcool étant plus fort que tout autre chose (a). Sans tomber et en moins de 5 minutes ! T'es pas une tapette hein ! Tu peux le faire ! T'es Superman !dit-elle en riant, les traits d'une enfant de six ans traçant son visage enfantin.Superman j'ai dit, pas Supercrèpe ! en espérant qu'il ne s'étale pas comme une crêpe, elle avec, sur le sol plein de gravier. Puis crotte, s'ils se croutaient, elle ferait l'infirmière (a)

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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptyDim 25 Juil - 18:58

Un large sourire déchira l’expression de son visage. Incroyable le don qu’avait cette fille pour lui afficher une banane h24 sur la figure. Et les mots qu’elle prononça à son adresse ne purent que le faire doucement rougir, tel un gosse victime d’une timidité marquante. Et puis, sans même qu’il n’eut le temps de répondre, la voilà qui sautait désormais sur son dos. Un hoquet de surprise s’échappa de sa bouche, précédent un rire amusé. Monsieur jouerait donc à faire le rôle du fidèle destrier. Mimant le bruit d’un gros cheval empoté, Edward glissa ses mains jusqu’aux chevilles de la jeune française. C’est qu’il ne faudrait pas non plus que la miss se casse la figure toute seule… Penchant légèrement le visage, il entrevit le visage radieux de son amie avant de rire de ces quelques moqueries. Lui ? Tomber ? En quel honneur ? C’n’était pas comme s’il avait la gueule de bois… Reprenant alors un air hautain –quoique peu crédible vu le haussement du sourcil qu’il lui adressa -, et se mit lentement en route.

    edward ♣ « Tu n’as donc pas confiance en mes talents d’alcoolique refoulé ? J’suis pas n’importe quel dada j’te rappelle ! » Il étouffa un rire. Supercrêpe ? Prions pour que ce n’soit pas le cas. Le ridicule ne tue pas, heureusement… Evitant alors de justesse un arbre, il se tordit légèrement la nuque pour croiser son regard. « Supercrêpe ? Tu toi tu seras quoi alors ? Supranutella ? »


Et c’était parti… Sautillant au dessus d’un minuscule gravier, Edward s’en alla sans lui laisser le loisir de répondre. Détalant comme un idiot en vacillant de temps à autre – manquant bien entendu de percuter Hommes comme troncs à toute occasion -. Un pigeon eu par ailleurs le privilège de se payer le pied de monsieur Atwoodth alors qu’il venait de glisser sur une zone pleine de cailloux glissants… Comble de la chose : voilà le vendeur de hot-dogs du parc. Arquant un sourcil, Edward adressa un clin d’œil malicieux à sa gamine de complice. S’approchant du stand à pas feutrés… Il s’empara de deux repas préparés avant de filer au galop. Bien entendu, c’est sous les cris et menaces du gérant que les deux voleurs s’en allèrent se cacher derrière une paire de buissons. C’est que ça creusait quand même de courir avec une dadame sur le dos. Refilant son dû à Constance, le Delta se mit à éclater d’un grand rire. Le souffle court désormais, il ralentit doucement le pas en trottant doucement alors qu’il dévorait un bout de sa récompense :

    edward ♣ « Haha, Supercrêpe t’assure même un Supercassecroûte ! Si avec ça j’mérite pas un ptit bonus franchement. » La voix déformée par l’adrénaline, on aurait facilement pu le confondre avec une adolescente complètement gagatte face à un poster de Brad Pitt tout nu. Ne remarquant même pas que monsieur s’était tartiner du Ketchup partout la poire, le jeune garçon pencha le visage en arrière pour croiser le visage de son amie. « Heu, dis, je sais plus c’est où moi notre point de départ. Tu crois qu’on a fait le tour du p…. »

    le vendeur♣ « ESPECE DE PTITS VOYOUS ! »

    edward ♣ « Oups… »


Voilà que le vilain monsieur gras du stand de hot-dog s’était mis à leur poursuite, fourchette en main. Edward n’eut pas vraiment l’occasion de terminer sa phrase : il se remit à courir de plus belle, avec son Lucky Luke sur le dos. C’est que le vieil bouchon courrait plutôt vite pour son âge – et sa graisse -… S’enfuyant finalement jusque derrière un imposant tronc d’arbre, c’est ici que leur course se termina… Et pas de manière très douce. Le hot-dog volé du Delta ne pu lui rester dans les mains alors qu’il enjambait un nouveau buisson : ne manquant pas de glisser sur le pain au ketchup, c’est en faisant un beau vol plané que Constance et Edward terminèrent leur petite promenade en cheval. Supercrêpe était arrivé ! Edward étalé sur le ventre, dans l’herbe ; et Constance restée sur son dos. Un léger « aoutch » se fit entendre de la part du garçon alors qu’il se gratte machinalement la tête. Lançant un coup d’œil en arrière, il s’assura que son amie n’avait pas perdue la tête dans leur chute. Impeccable. Il soupira d’amusement en plongeant le visage entre ses mains.

    edward ♣ « Ahhhh, j’me suis fait eu par mon propre jeu ! La ruine… En plus j’ai même pas pu finir mon hot-dog…. Et j’ai perdu ! »


Un léger sourire étire ses lèvres en un coin alors que lui, docilement, se retourne habilement afin de lui faire face. Situation qui, de nature, aurait été plutôt gênante pour n’importe quel humain, mais pas pour eux. Allongé au sol, Constance sur lui, il était, au fond, plus amusé qu’autre chose. Posant chacune de ses mains sur les joues de son bout d’française, il croisa son regard d’or. C’est alors qu’il se mit à mimer la bouille d’un gosse désolé :

    edward ♣ « Supercrêpe s’est super ratatiné… Tatie Consti avait raison. Désolé d’avoir douté de ton tout puissant savoir. »


Deux enfants. Ils n’étaient que deux gosses. S’aimant à la folie au point de dire des âneries sans craindre que l’autre ne se fiche de lui. Qu’importe : ensembles, eux deux réunis, il en avait toujours été ainsi. Déposant son front contre le sien, Edward s’amusa l’espace de quelques instants avec une de ses mèches de cheveux. Délibérément, il se mit même à quitter son regard pour veiller à ce que le vilain gros monsieur ne les rattrape pas. Bon, au moins le tas de gras les avait perdus. Tant mieux, parce qu’en aucun cas, le jeune Atwoodth aurait voulu qu’on ne vienne perturber ce petit instant de douceur entre eux.




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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptyVen 30 Juil - 18:47

Elle fut emporté par un cyclone châtain galopant impétueusement sur le gravier. Gravier crépitant sous l'effet des pas cadencé qu'effectuait sa monture, son à laquelle s'ajouta le rire mélodieux de Constance qui serrait l'étreinte de ses bras plus fort à chaque nouveau virage et la desserrait jusqu'à parfois lâcher complètement les épaules d'Edward afin de lever les bras en l'air, se laissant porter par les courants d'air frais et revigorant s' engouffrant dans sa chevelure alors que son esprit divaguait sur la sensation de liberté qu'elle ressentait. Elle volait, planait littéralement, perché sur la plus belle monture qu'on ait pu lui offrir à ce jour, sa préférence, son favoris. Son fidèle destrier qui tout comme le célèbre âne de Shrek, était doté d'un humour imparable, ainsi se retrouva-t-elle à rire sans retenue alors qu'il dévalait les sentiers du parcs à toute allure. Ce qu'elle pouvait rire en sa compagnie, rire à s'en arracher la mâchoire et ce à chaque instant qu'il osait, dans sa course, dévier son regard des travers sinueux de Berkeley pour la gratifier de la vue qu'offrait ses délicieuses prunelles azures. Elle fronça légèrement les sourcils lorsqu'il lui adressait un clin d'oeil tandis qu'elle apercevait le stand de hot dog se dessiner prêt d'eux, ainsi comprit-elle que son camarade allait jouer l'imbécile au profil de leurs estomacs. Un air malicieux se dessina sur sa bouche, elle enfouit son visage sur l'épaule d' Edward afin de camoufler sa future crise de fou rire naissant au creux de son ventre. Elle sentait uniquement les mouvements qu'il effectuait, sentit qu'il se saisissait de quelque chose et eut la mauvaise idée de relever le visage de son écrin au même instant, constatant ainsi qu'il jouait le voleur de Hot Dog. Les papillons coincés dans son estomac se mirent à tournoyer, la faisant ainsi rire d'un rire franc et bien sonore qu'elle ne réussit pas à retenir, attirant pour l'occasion le regard et les foudres du gérant de l'échoppe de nourriture. Elle se laissa emporter dans la course afin d'éviter le pauvre gars qu'ils venaient tous deux de dépouiller de deux hot dog, en croquait un bout entre deux rires et deux tirages de langues à l'intention de leur poursuiveur. Même si ce n'était pas elle qui courrait et faisait l'effort pour eux deux, elle était exténuée, son estomac l'a tiraillant de toute parts à cause de ses crises de fous rires intenables. Cependant, elle était tellement bien installée sur son dos qu'elle s'accrocherait de toutes ses forces si jamais il voulait la faire descendre, elle ne descendait plus, le pauvre devrait la porter jusqu'à la fin de sa vie.

• Haha, Supercrêpe t'assure même un Supercassecroûte ! Si avec ça j'mérite pas un ptit bonus franchement.• Elle lâcha un petit rire amusé, décidément, elle n'arrêtait jamais avec lui. • Aah je crois que Supercrèpe auras le droit au bonus de son choix •dit-elle en finissant son déjeuné, à défaut d'avoir mangé avec Alanna à midi, elle venait de déguster un met dérobé par le meilleur des Arsène Lupin qu'elle ait connu, son préféré encore une fois. Ce que c'était excitant tout de même ! Perché sur le dos de son compagnon de jeu le plus amusant, elle scrutait tour à tour derrière elle afin de vérifier si leur poursuiveur rodait encore et le visage d'Edward qui avançait à pas mesuré désormais. L'espace d'un instant elle se demanda si le vendeur de hot dog avait laissé tombé sa course folle après eux. • Heu, dis, je sais plus c'est où moi notre point de départ. Tu crois qu'on a fait le tour du p....• • ESPECE DE PTITS VOYOUS ! • La réponse à son questionnement intérieur revint les courser au triple galop et c'est un regard totalement affolé qu'elle accorda au poursuivant tandis qu'Edward détallait aussi sec. • GOGOGO ! • Elle resserra son étreinte autour de ses épaules, jusqu'à presque l'étrangler et adressa un dernier regard au vendeur de Hot Dog, vêtu d'un tablier blanc et d'un chapeau de cuisine, levant les bras en l'air et courant en leur direction avec nonchalance, du fait de sa condition physique et de son poids qui devait facilement approcher le fond du gouffre. Alors qu'Edward tournait derrière un arbre, Constance envoya une grosse grimace dédaigneuse à la saucisse ambulante, rire au point et sourire mesquin aux lèvres.

Pas le temps de profiter de ce moment de mesquinerie, qu'elle se retrouvait les avant bras rapés d'herbe verte plaqués au sol. Elle n'avait rien vu arriver, le buisson, le sandwich qu'Edward tenait dans sa main et enfin son visage venir complètement bouffer les cheveux de son impétueux destrier réduit à l'état de crêpe au ketchup gisant sous elle. Au moins sa chute avait été amortie par lui, même si elle sentit que son dos venait de se prendre un méchant choc. • Ahhhh, j'me suis fait eu par mon propre jeu ! La ruine... En plus j'ai même pas pu finir mon hot-dog.... Et j'ai perdu ! • Elle se redressa, resta tout de même accroupi sur le dos d'Atwoodth et vint apposer sa main droite sur le sommet de son crâne et sa main gauche sur son dos et fit la moue, sa consolation résidant essentiellement dans le fait qu'il venait de s'avouer vaincu. Elle se frotta le visage à l'aide de ses deux mains et lorsqu'elle les dégagea, elle put apercevoir les traits malicieux d'Edward la scrutant. Quelle situation ambiguë en y pensant, n'importe qui aurait pris chacun des gestes affectueux qu'ils faisaient l'un envers l'autre comme mainte et une preuve d'une histoire outrepassant la simple amitié. Elle n'y prêtait pas attention, elle avait l'habitude, lui et elle c'était beaucoup de rire et d'affection, au moins ils étaient dans une bulle increvable lorsqu'ils étaient ensemble et les problèmes extérieurs n'existaient plus lorsqu'elle scrutait son regard océan. • Supercrêpe s'est super ratatiné... Tatie Consti avait raison. Désolé d'avoir douté de ton tout puissant savoir. • Elle fut attendrie par sa moue enfantine, elle abaissa son visage au niveau du sien et déposa ses deux bras de part et d'autres de sa tête, laissant sa longue crinière brune bouclé se mêler à ses cheveux châtains, son nez vint jouer le sien tout en douceur. • Tu es un poney perdant • murmura-t-elle, un sourire amusé plaqué sur ses lèvres alors qu'elle continuait de jouer avec son nez. • Mais, tu as de la chance, j'aime beaucoup les perdant. Et si tu es un poney, je suppose que j'en suis un aussi • dit-elle en soupirant, amusée alors que ses doigts jouaient la valse avec ses cheveux. Concernant le fait qu'il ait douté de sa suprématie, hé bien dorénavant il n'en douterais plus (a). Elle pouvait rester comme ça des heures et des heures durant tellement elle était bien. Elle poussa un soupire d'apaisement, après la petite aventure du marchant de hot dog, un moment de douceur et de tranquillité n'était pas de refus. Elle laissa ses deux avant bras glisser vers l'avant et toujours au-dessus d'Edward, vint l'écraser de son poids plume, pour loger son visage dans son cou, lui volant un baisé sur la joue au passage. Tranquillité et douceur, quand tu vous tiens.

Ne voulant pas l'écrabouiller de tout son long trop longtemps, elle se redressa un peu, se recoiffa les cheveux et s'aperçut qu'en effet, il avait fait une boucle quasi complète pour sa course, même si il avait perdu, il avait fait quasiment le tour du parc. Ils étaient désormais allongés devant le bâtiment de vie des ômicrons, la « Victor's Hugo résidence ». Elle fut un peu nostalgique pour le coup, ayant déjà déménagée la totalité de ses affaires dans la gigantesque maison qu'elle habitait avec Manon, Edward H. et Augusto, elle ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil à la fenêtre de son ancien appartement. S'apercevant ainsi que la fenêtre était grande ouverte. Elle fronça les sourcils un moment avant de se souvenir que son ancien colocataire Alban ne déménageait que dans quelques jours et qu'aujourd'hui il triait ses affaires avec l'aide de son demi frère Estevan. D'ailleurs, ils faisaient tous deux un vacarme d'enfer, troublant ainsi le silence du parc. La touche finale, la cerise sur le gâteau vint lorsqu'un grand bruit de stéréo vint retentir en écho dans le décor. Constance qui venait à peine de re concentrer son attention sur Atwoodth et s'apprêtait à le décoiffer férocement fut surprise par la musique qui vint s'échapper de son ancienne fenêtre et se redressa une nouvelle fois.
boum boum boum
Elle se mit à rire, mon dieu que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas entendu cette satanée musique, au moins depuis son départ de la France si ce n'est plus. Elle l'aurait dans la tête durant des jours entiers après ça, elle put même entendre Alban et Estevan se mettre à hurler comme des bêtes dans la chambre. Elle ne pouvait pas rester assise face à tel mélodie, elle se leva d'un bond, attrapa son chapelier fou favori par le bras et le força à se lever pour danser avec elle. • Viens montrer de quoi tu es capable • dit-elle en se trémoussant, pire en devenant complètement folle sous l'effet de cette musique ! Elle riait comme une abrutie et tenant Edward par la main elle le tira vers elle, attrapa sa seconde main et le forçait dans un premier temps à danser. • Allez ! Fais voir comment les poneys danse ! • Elle secouait la tête dans tous les sens, riait, faisait la folle dingue, mais ce qu'elle aimait ça !
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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptyMer 18 Aoû - 23:49

Quel mal y avait-il à vouloir redevenir enfant ? Dans le fond, savourer cette époque passée n’était pas une si mauvaise chose. Qui plus est, en bonne compagnie, ce petit instant de détente devenait un véritable paradis. Elle était venue approcher son visage au dessus du sien afin de lui adresser une poignée de mot. Atwoodth fit la moue. Un poney perdant, certes… Mais une monture qui sait voler à travers les buissons ! Il répondait gentiment aux petits jeux de son amie, jouant de son nez contre le sien tout en mimant le visage d’un enfant boudeur. Quelques secondes de doux répit pour une après-midi à peine entamée. A les apercevoir ainsi, quiconque aurait sans doute pu soupçonner quelques ambigüité à travers ce qui paraissait n’être qu’une banale amitié. Et à vrai, c’était par ailleurs cette douteuse question qui commençait peu à peu à tracasser le concerné. Caroll aurait certainement apparu folle de rage si elle les avait ainsi entrevu tout les deux, dans ce parc. Qu’à cela ne tienne. L’iota resterait sans nul doute l’une de ses dernières préoccupations si jamais elle venait à pointer le bout de son nez ici. Contemplant silencieusement le regard que lui adressait sa partenaire de jeu, Edward vint à tour jouer de sa main dans la chevelure de la Française. Une étreinte pour le moins innocente pour les deux enfants. Un sourire trônait sur le visage de gosse du jeune delta. Si chaque fois que monsieur devait se prendre une cuite et passer son lendemain à courir à travers des troncs d’arbres, Atwoodth allait vite devenir un alcoolique de renommée. Elle déposa un baiser sur sa joue, il se mit à ronronner tel un félin.

Une brise légère se mit à souffler avant que le calme petit repos des enfants ne vienne à être troublé. Une musique retentissante s’échappait du bâtiment trônant juste derrière eux. Aller savoir pourquoi, Constance se mit à briser le silence –pu très silencieux…- de son rire cristallin ; entraînant ainsi la curiosité du delta à refaire surface. Il arqua un sourcil tout en se redressant sur ses avant-bras. Saperlipopette, voilà qu’elle se relevait en le tirant par la main… Pour danser ? Danser au beau milieu d’un parc avec des centaines de paires d’yeux vous fixant h24 et suivant vos moindres faits et gestes… ? En voilà une idée hors du commun ! Les traits du garçon restèrent faussement sceptiques alors qu’un large sourire déchirait son visage. Que le chapelier fou et son Alice viennent à entamer une danse des plus loufoques ne serait pas quelque chose d’absurde aux yeux de ceux qui connaissent les deux phénomènes. Bien au contraire ! Jetant un rapide coup d’œil au batîment d’où provenait la musique, Atwoodth leva les yeux au ciel. Bien sûr, Estevan ne pouvait qu’être le genre de bonhomme à écouter ce style de musique. Camarade de longue date, et ami alcoolique à souhait ! Il se mit à rire en repesant à la fois où tout les deux s’étaient retrouvés comme des idiots devant une bouteille de Vodka sans savoir comment l’ouvrir tellement ils étaient saouls. Mimant une petit frimousse timide mais néanmoins amusée, le ‘poney’ entama quelques mouvements peu communs avant de complètement se lâcher à son tour. Bras passés au tour de la taille de la jeune femme, il revoyait très nettement le clip de la musique défilant sur les chaînes française à une certaine époque. En grand imitateur qu’il était… Cela va de soit qu’Atwoodth se mit à mimer ces mêmes pas de danse. Remuant bras et jambes tout en se décollant légèrement de Constance pour venir gigoter tout autour d’elle. A les voir ainsi de loin, sans doute aurait-on pu les confondre avec deux tarés tentant d’apprendre à chasser des mouches. ‘J’aime trop ton boule de mec !’. Si la miss ne le prenait pas pour un gay après cet épisode, le delta serait chanceux. Quoiqu’il était amusant de constaté que la féminité de la jeune femme s’était presque envolée pour laisser place à une enfant complètement déjanté. Le genre de petite fille qui suffisait à combler le petit garçon au fond. Juste derrière elle, Edward se pinça les lèvres en souriant doucement.
    edward ♣ « Bah tiens ! Tu vois de quoi le poney est capable ! Shake ton booty mon gars ! »

Et sur ces mots, il plongea à quatre pattes au sol en passant juste sa tête entre les deux jambes de son amie… Pour ensuite se relever, madame trônant assise sur ses épaules. Tout cela bien entendu en continuant à danser comme un fou à qui on aurait retiré sa camisole. Et il se reprocha du bâtiment, sautillant comme un poney attardé sur la pelouse du parc. Ses mains tenant fermement chaque jambe de sa cavalière, le petit dada s’en alla galoper tout en remuant son arrière-train à droite et à gauche, quelques mots lui échappant parfois alors qu’il tentait de chanter en français… Enfin à vrai dire, si ce n’est le refrain, le reste restait peu compréhensible. Posté devant le bâtiment des Omicrons, Edward pencha le visage en arrière afin de capter le regard de Tatie Consti’.
    edward ♣ « Tiens, t’as qu’à essayer de chopper une branche ou un fruit, et tu la balances dans la fenêtre d’Estevan ! »

Qu’importe s’il devait se trimballer une folle alliée sur les épaules jusqu’à la fin de sa vie, il adorait ça ! Depuis ce jour où ils se sont retrouvés enfermés l’espace d’une nuit pour avoir commis quelques âneries ensembles, plus rien ne semblait venir les séparer. En vérité, séparés, les deux enfants redeviennent adultes. Réunis… Les bêtises repartent de plus belle ! Et mon Dieu, que c’était bon de pouvoir profiter ainsi de la vie. Pouvoir repasser l’enfance qu’il n’a jamais connu. Bien qu’au fond la nouvelle annoncée quelques instants plus tôt l’ait légèrement déstabilisé, Edward en restait… Presque fier. Tonton Edward ? Faudrait-il encore que lui et Maxwell puissent un jour s’adresser de nouveau la parole sans se fusiller du regard… Mais en y repensant, une légère étincelle vint illuminer le regard du delta. Maxwell papa. Mon Dieu. Il réalisait seulement l’ampleur de la chose. Un rire lui échappa alors qu’il continuait de lever la tête pour guetter le visage surélevé de son amie. Qui sait… Peut-être un jour aurait-il le loisir de faire mumuse également avec son neveu ? Idée pour le moins assez folle, mais qu’est-ce qu’il ne l’était pas en cet instant ? Chatouillant distraitement les mollets de la jeune femme en laissant ses doigts vagabonder sur les pattes de sa cavalière, Edward pouffa de rire en voyant l’image de son amie avec un gosse dans les bras.
    edward ♣ « Dis-moi Tatie Consti’, tu voudras bien m’accorder une petite faveur ? Celle d’aller voir mon futur neveu, à l’hôpital, une fois qu’il sera né ? Je n’voudrais pas que papou Max’ ou mamou Lyz’ viennent à croire que j’vais shaker mon booty devant leur petit bambin… J’risquerai de me faire tuer avant même d’avoir mis les pattes dans l’hôpital ! »

Il pencha légèrement le visage sur le côté, imitant ce coup-ci la gueule du Chat Potté dans Shrek. Et puis finalement, il se mit à rire. Comment garder son sérieux face à une bouille telle que celle de son Alice déjantée ? C’était tout bonnement impossible… Et heureusement !
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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway EmptyLun 23 Aoû - 21:23

p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway 149tnrr p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway Rblbet
edward constance
..«.On se prend la main, comme des enfants, le bonheur aux lèvres, un peu naivement et on marche ensemble, d'un pas décidé alors que nos têtes nous crient de tout arrêter.»

Ah satané demi frère qui mettait fin à un moment de douceur et de complicité par un vacarme assourdissant - heureusement qu'elle portait estevan dans son coeur sinon le chatiment aurait été terrible - en une fraction de seconde le calme plat et le silence instauré par la douceur des gestes entre le duo était rompu par une série de paroles enchainées à l'arrachée par une voix rauque. Youn ! Elle se mettait à rire, plus question de jouer la douce et câline Constance avec un fond sonore de cette envergure, la brune entraînait son camarade dans une danse effrénée, jetant ainsi par-dessus bord toute pudeur ou toute réserve qu'elle pouvait posséder, aussi infime soit-elle. Avec lui il n'y avait rien dont elle puisse avoir honte, danser comme une idiote en bougeant bras et jambes dans tous les sens, agiter ses cheveux bouclés en l'air, avoir l'air d'une détraquée. Edward ne la jugeait pas pour tout ce qu'on pouvait dire sur son compte, sa réputation, sa confrérie et c'était une chose dont elle profitait, presque jouissait tellement il était bon de ne pas être jugé par des ont dit et autres rumeurs superficielles. Enfin quelqu'un qui la prenait pour ce qu'elle était, une gamine survoltée et increvable certes, mais il était comme elle, ils étaient comme ça tous les deux. Deux adultes ayant perdu leurs enfances et leurs adolescences dans divers problèmes et mésententes et qui rattrapaient le temps perdu à des pleurnicheries en crapahutant à travers des branches. Elles s'étaient écorchés les coudes en tombants à terre, mais le bonheur de danser en sa compagnie était telle qu'elle en oubliait ses brûlures et continuait à s'agiter en compagnie de son complice le plus déjanté. Collé Serré mieux qu'une bande de zoulou en période de fête, Constance explosait de rire à chaque mimique, chaque mouvement effectué par le delta et par-dessus tout rentrait dans son jeu, se collant à lui, ses bras entourant ses épaules tandis qu'ils s'entraînaient mutuellement dans des mouvements pouvant les faire tomber à la renverse à n'importe quel instant. Ils étaient deux fous alliés, mais deux fous heureux, personne ne pourrait le nier, ni même ne leur enlever. Il avait une dégaine aberrante lorsqu'il dansait, même si elle comprenait bien qu'il jouait les danseurs fous pour l'accompagner sans faire de chichi, elle n'en revenait pas qu'un garçon d'ordinaire réellement sexy puisse casser le mythe de la sorte, seulement elle avait beau se dire qu'il avait sacrément l'air con, il était ridiculement sexy à faire ses gestes de droite à gauche tel le chapelier fou exécutant la gigue en délire pour son Alice. C'était exacte, leur petite histoire prenait des airs de comptes de fée, tour à tour ils changeaient de portrait, passant de princesse Fiona chevauchant son fidèle destrier aux allures d'âne à Alice et son bouge excentrique Chapelier fou ! Amusant, Exaltant, Passionnant ! Son rire se transformait en douce mélopée alors que sa gorge menaçait de lâcher prise tellement elle riait aux éclats, Constance sentait qu'elle aurait une voix rauque et saccadée sous peu si jamais elle continuait à rire d'un franc pareil ! Un rire mi-moqueur mi-dérisoire qui se transforma-t-en hoquet de surprise lorsqu'en une fraction de seconde elle se rendit compte qu'il jouait une fois de plus la monture. Elle faillit perdre l'équilibre sous le choc, lâcha un petit « ohoh » surpris tandis que ses deux bras s'alignaient horizontalement afin de prendre un équilibre qu'elle ressentait comme fragile. • Tiens, t’as qu’à essayer de chopper une branche ou un fruit, et tu la balances dans la fenêtre d’Estevan ! • Plus facile à dire qu'à faire ! Elle se débattait déjà pas mal pour ne pas se cogner contre un tronc d'arbre. Et lorsqu'elle eut enfin trouvé un bon appui, son bougre de poney se mit à gambader à droite à gauche, ce qui sans mentir eut le mérite de faire rire la belle La Tour Dubois alors qu'elle se prenait brindille et branche en pleine poire, il gambadait, dansait en même temps ce qui donnait un cocktail de mouvement tout à fait anti -sexy, pourtant elle riait comme une bougresse, le jeune homme chantonnant les paroles de la chanson française à l'aide d'un accent américain à couper au couteau. Il était fou, elle était folle. Mais folle awesome ! Lui encore pire ! Pour une fois qu'elle considérait quelqu'un comme son égal au niveau du « awesome », c'était à marquer d'une pierre blanche. Enfin elle daigna lever les yeux au ciel, affichant un air souriant mais d'ors et déjà plus sérieux à la recherche d'un fruit bien juteux à balancer sur la fenêtre de son ancien appartement. Bingo Jackpot. Une pèche bien mur, bien juteuse. Elle eut un sourire sadique, sachant qu'Alban devait rendre l'appartement propre, qu'elle avait déjà déménagé et que la vitre donnait directement sur la salle à manger, un mur en béton d'un blanc immaculé. Elle se saisit du fruit et le balança de toutes ses forces, tellement que le mouvement de son bras fit balancier et failli faire tomber le duo à la renverse, heureusement que beau atwoodth tenait encore sur ses jambes ! Sinon ils se seraient tous deux envolés vers d'autres cieux. Un gros « Spouiiiik » se fit entendre tandis que demoiselle Constance étouffait un rire entre ses doigts fins. « Oh putain ! » criait la voix de son ex colocataire à travers la fenêtre et dans un accent français parfait en prime ! C'était le moment de détaller, elle baissa son regard vers sa monture favorite afin de le sommer de détaller, seulement elle remarqua qu'il était pris dans un petit moment de blanc et réflexions. Ils restaient sur place, tandis que messire Alban criait dans le vide qu'offrait sa fenêtre.

Elle glissait ses doigts dans sa tignasse châtain, scrutant son regard de velours lui faire les yeux doux avec un air amusé alors qu'elle s'amusait à le décoiffer du bout des doigts. • Dis-moi Tatie Consti', tu voudras bien m'accorder une petite faveur ? Celle d'aller voir mon futur neveu, à l'hôpital, une fois qu'il sera né ? Je n'voudrais pas que papou Max' ou mamou Lyz' viennent à croire que j'vais shaker mon booty devant leur petit bambin... J'risquerai de me faire tuer avant même d'avoir mis les pattes dans l'hôpital ! • C'était donc ça, son rire se joignit à l'unisson au sien, il était tellement adorable lorsqu'il l'a regardait de cette manière qu'elle pouvait lui donner le bon dieu sans confession. Tonton Edward voulait s'assurer que le futur représentant de la famille Atwoodth sois initié aux joies qu'offraient gamineries, conneries à profusion et autres confiseries délicieuses. Elle lui adressait un sourire amusé, glissa ses jambes de ses épaules à son dos se retrouvant dans la même position cavalière que lorsqu'ils avaient simulés une course de petit chevaux dans le parc, Puis d'un coup d'un seul, descendit de son dos, le contourna, lui fit fasse et lui sauta dessus, entourant ses jambes autour de sa taille et ses bras autour de son cou, son visage jouant le face à face avec le sien. Elle lui adressait un sourire amusé. • Bien sûr que j'irais le voir ! Quelle question ! • dit-elle d'un air presque outré, son air de comédienne inscrit sur son visage alors qu'un léger rictus amusée tirait la commissure de ses lèvres. D'un air assez théâtral elle passa à un visage beaucoup plus doux, très chevalin. Son visage d'ange s'illumina alors qu'elle lui offrait sont plus beau sourire en magasin, avec ce sourire rien, il ne pouvait rien lui refuser. • Et tu connais la plus belle nouvelle de la journée ?! Tu vas venir avec moi voir ton neveu •Lueur dans les yeux, sourire magique, il ne pouvait pas dire non même si elle savait qu'il allait hésiter. L'entente entre les jumeaux Atwoodth, le sujet tabou. Seulement elle ne voulait pas laisser le choix à Maxwell de voir son frère et qu' Edward puisse voir son neveu. Au fond Maxwell était tellement branché famille que même pour sa querelle avec son frère, aussi ridicule soit elle, il n'aurait pas le coeur à faire la gueule plus longtemps à son jumeau. • Et s'ils te tuent, Ch'te vengerais jte l'jure ! Un coup de pique à brochette dans les fesses pendant leurs sommeils • petit air de diablesse sur la poire, elle serra son poing devant ses yeux, se donnant un air de vengeresse folle alliée totalement adorable. Un visage d'ange et le diable au corps. • Maintenant tu promets que tu vas te rabibocher avec ton frère, qu'on ira voir ton neveu tous les deux, juré craché par terre et tu me fais un calinou • Air sérieux pas du tout sérieux, elle pointa du doigt un endroit vers le sol où il devait cracher et tenta de prendre un air dubitatif, lèvres serrées. Elle savait que ça n'était pas une mince affaire, la famille Atwoodth. Mais elle arrivait à s'entendre avec toute sa famille alors pourquoi pas eux, accueillir un heureux évènement devait enterrer la hache de guerre pour tout le monde et si Consti devait mettre son petit grain de sel, elle le ferait. Elle lui adressa un sourire, attendant qu'il jure et qu'il crache alors que ses doigts se baladèrent de ses épaules jusqu'à son cou pour se perdre encore une fois sous sa masse de cheveux, ce qu'elle aimait ça, toucher les cheveux, ça c'était un réel geste affectif de la part de la La Tour Dubois que très peu pouvaient se vanter de recevoir, heureusement, il était assez spécial aux yeux de Constance. Elle poussa un petit soupire, ses deux mains vinrent se poser de part et d'autre de son visage, lui adressait un air doux. • Allez tonton, si tu ne le fais pas pour maxou fais-le pour ton neveu ou ta nièce... Tu vas être le meilleur Tonton EVER ! • Et elle était sûre de ce qu'elle avançait ! Le revers de sa main vint caresser sa joue, elle lui adressait un sourire amusé, puis un clin d'oeil « you know it babe » . Un autre moment de douceur entre un millier d'instant délirant, décidément il savait l'occuper le Atwoodth. Elle attendait toujours qu'il jure et crache, comme si l'enfant qu'elle était il y a dix ans lançait un défi à l'enfant qu'il était il y a dix ans, petite Constance qui revenait dans le passé, traversait l'atlantique et tendait la main au petit Edward pour aller jouer, deux bouts de chou adorable revenu du passé dans leurs corps d'adultes. Elle aimait ça, cette idée ! Après tout elle était comme Peter Pan, rêvait de rester bloqué dans son enfance pour l'éternité, où tout restait simple et ne se résumait qu'à aller jouer à cache cache avec les copains. Peter Pan & Wendy, après Alice & Son Chapelier fou. Décidément son imagination débordait en compagnie d'Edward qui lui procurait la sensation de vivre dans un de ces vieux bouquins de comtes de fée poussiéreux coincé dans une vielle malle au grenier, vieillis par le temps et passionnant à la lecture. Sa pensée lui arracha un sourire bête, dommage pour elle dès qu'Edward ne lui tiendrais plus compagnie, le retour à la réalité l'arracherait au pays imaginaire.

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