the great escape
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p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway

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MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway - Page 2 EmptyMar 31 Aoû - 13:55



Ah sacrée Constance. Sans doute aurait-il mieux fait de ne rien dire, car au vu du coup d’œil que lui adressait la jeune française de toute sa hauteur, cela n’annonçait rien de terrible pour la suite. Ou en tout cas… Pour lui. Et tout comme une enfant l’aurait fait, elle se faufila entre ses griffes pour descendre lentement le long de son dos. Il frissonna d’amusement alors que son visage prenait une moue suppliante. Et voilà qu’avant-même qu’il ne puisse reprendre la parole, sa bien aimée grosse vache de tatie lui sautait littéralement dessus. Jamais elle ne laisserait souffler, le pauvre enfant. Et au fond, cela lui plaisait de toutes les manières qu’il puisse être. Il étouffa un hoquet de surprise en passant ses bras autour de sa taille, s’en suivi un rire sincère qui s’échappa de ses lèvres. Qu’à cela ne tienne, la miss semblait avoir déjà tout prévu. Elle ne tarda d’ailleurs pas à répondre à sa demande, l’acceptant avec une joie non contenue. Et il hocha la tête en se pinçant les lèvres. Il était vrai que la question paraissait relativement stupide quand on sait quel lien entretenait La Tour Dubois avec le second jumeau Atwoodth. Meilleur ami, et une amitié des plus sincères. Edward soupira de soulagement alors qu’une question trottait dans sa tête. Son préféré lui avait-elle dit ? Maxwell résidait pourtant comme étant son ami le plus proche… Pour preuve, s’il lui avait confié l’annonce de la grossesse de Lyzabeth ! Jaloux ? Certainement pas… Quoique… Mais pas le temps pour le jeune delta de songer plus longtemps sur la question, voilà que sa partenaire de jeu revenait à l’attaque. Un sourire d’ange gravé sur son visage, elle répliqua une menace qui laissa Atwoodth bouche bée. Venir avec elle ?! Toc toc la tête ou quoi ? Mimant la bouille du petit garçon boudeur et outré, il évita son regard, détournant le visage en cherchant du coin de l’œil quelque chose à fixer. Au fond, le fait de revoir Lyzabeth le faisait frétiller d’envie d’accepter, qui plus pour avoir la chance de voir son petit bout d’chou. Mais le fait est que… Papa Maxwell serait là. Sans doute les yeux étincelants et un sourire sans défaut planté sur la figure, traduisant un certain mérite « J’ai une familleuh, et pas toi ! ». Edward soupira, mais bien vite les paroles de la française le firent revenir à la réalité. Il ne pu l’ignorer bien longtemps… Bah au moins sa petite diablesse le protègerait de toute attaque. L’image de Constance armée d’une brochette lui sauta directement à l’esprit, il ne pu retenir plus longtemps de pouffer de rire. Et son regard se reposa tout naturellement sur le sien, il scintillait doucement. « Consti’ bon sang… T’es… Rah espèce de tête de mule ! Tu pourras toujours courir pour que j’aille te refaire des crêpes maintenant ! » La menace du siècle : privé tatie Consti’ de ses fameuse crêpes. Parce que oui, faut-il encore précisé qu’entre Constance et Edward, les crêpes, c’était quelque chose de sacré. Plus précieux qu’une pépite d’or et bien plus énorme que Big Ali. Les crêpes made in awesome, c’était juste… Unique. Un rictus vint se dessiner sur les lèvres d’Atwoodth alors qu’il se souvenait parfaitement de la dernière fois que la miss était venue chez lui afin qu’ils en fassent ensemble… Bataille de Nutella et de crêpes ! Armée de sa poêle, la française fût plutôt difficile à renverser… Face à une petite cuillère aussi, y avait pas photo.

Revenant enfin sur Terre, Edward ronronna presque alors qu’elle jouait de ses mains autour de son cou et de ses cheveux. Il prit une dernière bouffée d’air en s’avançant de quelques pas jusqu’à parvenir à un petit muret et où il déposa sa chère Tatie. Il fit la moue, haussa les épaules et fini par baissa le visage en crachant parterre. Fichue femmelette ! A croire qu’il n’était malheureusement pas capable de lui refuser quoique ce soit. L’air d’un gros dûr, il se redressa, bras croisé sur la poitrine en reculant d’un pas ou deux. Le menton levé, il prit à son tour quelques airs théâtraux en toisant la jeune femme d’une manière hautaine, les sourcils arqués : « Non mais qu’est-ce que tu crois, j’suis Supertonton t’sais. D’où tu vas douter de mes compétences ? » Mais il ne pu rester ainsi bien longtemps, riant un dernier coup avant de venir reprendre sa Tatie awesome dans ses bras. Et hoplà, il la reportait contre lui en tournant sur lui-même comme une toupie. Sauf que l’inconvénient des toupies, c’est que ça fait mal à la tête… Pris d’un soudain vertige, le petit chapelier fou s’arrêta en s’appuyant dos contre un tronc d’arbre. Un sourire planté sur le visage, il l’enfouit dans le cou de la française, légèrement essoufflé mais riant aux éclats. Ses mains descendirent jusqu’à s’emparer des siennes qu’il serra doucement du bout des doigts. Et puis, il releva doucement la tête, bouche entrouverte comme s’il voulait parler. Le regard faussement sévère, il reprit une voix stricte en laissant toutefois une légère courbe parcourir ses lèvres : « Mais ne viens pas à croire que je le fais pour ma belle sœur ou mon éventuel neveu hein ! C’est totalement faux ! » Et puis, il s’adoucit soudainement. Posant ses mains de part et d’autre de son visage en jouant avec quelques unes de ses mèches de cheveux. Son nez collé contre le sien, il referma les yeux. Nouvel instant de douceur en compagnie de la plus parfaite personne qu’il soit. La voix sereine, il reprit : « Je le fais uniquement pour toi, tatie Consti’. » Une dernière fois, Edward reposa son regard sur le visage d’ange qui lui faisait face. Aller savoir pourquoi la contradiction se lisait dans ses prunelles. Il chassa tout doute de son esprit, inspira un bon coup, et finalement céda. Visage tout près du sien, il déposa ses lèvres contre les siennes. Embrassant d’un furtif mais doux baisers sa précieuse Alice, danseuse anonyme.

Chacun de ses sens s’emporta. Il recula finalement, laissant les yeux baissés au sol. Affichant la même trogne qu’un gosse qu’on aurait réprimandé, il baissait le visage au sol, pinçant les lèvres, confus. Le ptit garçon qui embrasse la ptite fille. Une nouvelle fois, il manqua de parler, mais aucun mot ne sorti de sa bouche. Juste un vague « Je reviens » avant qu’il ne s’éclipse rapidement. Wouch. C’est que ça foutait un coup ! Au fond, il avait toujours su que Constance comptait énormément pour lui, autant là, il avait le cœur qui battait la chamade après cet épisode. Si ça s’trouve elle aimait déjà quelqu’un ?! Première fois qu’une telle question vint affecter l’esprit en bouilli du delta. Et puis, son regard se posa sur un.. Un vendeur de gaufres ?! Il sourit. Bah voilà, parfait. Le goûté était servi ! A pas de fauve, il s’approcha du stand où les gens faisaient la queue. Non pas que monsieur était impatient, mais il ne manqua pas d’air en fonçant tête baissée devant tout le monde. Hoplà, et il commanda une paire de gaufres sous le regard exaspéré du vendeur qui essayait de calmer les râleurs de service derrière Atwoodth. Ce dernier déposa un billet, s’empara du paquet de pâtisserie, et, choppant le pot de Nutella se présentant joliment face à lui, il s’en alla en courant. Un voleur cet homme ? Jamais. Sans doute lui manquait-il juste quelques cases… Quoiqu’il en soit, c’est sous un brouhaba général que le jeune homme parvint à échapper à la foule de vieux machins en allant retrouvant sa Tatie fétiche. Essoufflé mais bien vivant, il tendit les gaufres à la française, tout fier en agitant le petit pot de pâte à tartiner. « Surprise ! » La tête d’un gosse. Il reprit doucement une respiration constante avant d’oser reposer son regard dans celui de la française. S’installant accroupi au sol, il lui fit signe de venir le rejoindre dans l’herbe verte. Piquenique - goûté ! Un léger sourire relevant ses lèvres, il lâcha à voix basse : « Bah euh… Tu viens ? Ou alors tu boudes parce que tu voulais de la chantilly… ? Non parce que si c’est ça, tu sais j’peux aller en chercher hein ♥ »
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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
prénom, pseudo : julia.
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p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway - Page 2 EmptySam 4 Sep - 23:20

• Consti' bon sang... T'es... Rah espèce de tête de mule ! Tu pourras toujours courir pour que j'aille te refaire des crêpes maintenant ! • Menteur. Elle lui souffla sur le visage alors que ses lèvres laissaient échapper un " pffff.ffff.fff " grave ré-haussé de son sourire moqueur. Il y tenait autant qu'elle à ces séances crêpes, néanmoins elle fit mine d'être déçus, afficha l'air d'une gamine qu'on venait de punir de la pire manière qui soit, mi horrifié mi déçus par cette annonce, des larmes factices de circonstances lui montant presque aux yeux tellement ses talents de comédiennes prenaient une mesure incommensurable à cette circonstance. Pas de crêpes, pire pas de crêpes made in Atwoodth, car il fallait l'avouer, ce bougre était un chef lorsqu'il s'agissait de cuisiner des pâtisseries, ces crêpes étaient un réel délice, tellement que sur l'instant elle en eut presque l'eau à la bouche. Pour sûr elle était une grosse tête de mulet d'âne bâté d'emmerdeuse notoire, mais au fond c'était peut-être l'une des raisons principales qui faisait qu'elle était ce qu'elle était aujourd'hui et qu'on l'aimait. Une emmerdeuse. Mais une emmerdeuse gentille. Une emmerdeuse adorable à qui l'ont pouvait tout pardonner en échange d'un sourire. Elle lui tirait la langue férocement, levait le visage en faisant mine de bouder alors que discrètement sa main droite venait se loger dans ces cheveux de soies. Finalement elle rabaissait son regard vers le bourreau des crêpes, lui adressait son regard le plus sadique et d'un geste d'un seul, tirait sur l'une de ses mèches de cheveux pour un sortir quelques cheveux châtains, provoquant les grognements de son chapelier et un rire méchamment sadique de la part d'Alice. • MUHAHAHA. Vala t'avais cas pas me traiter de tête de mule, bourricot va • La vilaine reportait devant les prunelles couleur ciel de son compagnon ses deux doigts tenant les quelques petites mèches qu'elle venait de lui arracher sèchement. • Vas y interdit de moi de crêpe, maintenant j'ai ton ADN, j'peux te cloner à volonté, j'en aurais à la chaine des crêpes • dit-elle agitant les quelques cheveux devant le regard de celui qui devenait alors l'exemplaire original, son air mesquin gâché par un rictus amusé. Elle laissa échapper un rire amusé, même si elle tentait un jour de cloner Edward, demoiselle La Tour Dubois était bien consciente qu'aucune des copies n'égalerait l'original, il était unique à ses yeux et jamais ô grand jamais l'ont ne pourrais le remplacer. Plus elle le contemplait, plus elle avait l'impression qu'il était hors du commun, irremplaçable, mais tellement similaire à elle qui se pensait d'un commun ennuyeux que tout dans sa perception de lui devenait contradiction, mais la finalité restait la même, Edward était on ne peut plus exceptionnelle pour Constance qui généralement ne laissait aucun garçon être proche d'elle de la même manière qu'ils étaient proches. Et pis même qu' Edward il sait faire des crêpes comme personne !

Confortablement installée dans l'étau de ses bras, elle manqua de grommeler lorsqu'il décida de la poser. C'est qu'elle était étrangement bien dans ses bras, alors lorsqu'il la déposa sur un dossier dur, son grommellement fini par s'échapper de sa bouche, rapidement remplacé par un rire franc lorsque la vision d' Edward crachant au sol parvint à ses yeux éblouis. Ce qu'elle aimait gagner avec lui, c'était d'un bonheur exaltant, elle riait et sa vie entière prenait l'allure d'un théâtre géant où chacun de ses amis et proches avaient un rôle lorsqu'ils étaient ensemble et où bien sûr Edward avait l'un des plus beau, des plus importants, peut-être trop important à y penser, mais jamais rien n'est trop important lorsqu'on parle d'un Atwoodth, tous avaient une place spéciale pour la Française et Edward semblait se convenir dans le rôle du chapelier fou, même si lorsqu'on le regardait et l'on oubliait le fait que ce mec soit totalement barré, il avait beaucoup plus l'allure d'un prince que d'un pauvre fou dansant la gigue en délire et buvant du thé en compagnie d'un lapin pressé. Chapelier Fou Cuisinier Danseur Poney, il tenait tous les rôles les plus récurent, le chanceux. • Non mais qu'est-ce que tu crois, j'suis Supertonton t'sais. D'où tu vas douter de mes compétences ? •. Elle lui adressait son plus beau sourire. Sûre qu'il était supertonton, elle n'en doutait pas le moins du monde, mieux aurait donné cher pour avoir un oncle de cette envergure là lorsqu'elle était petite et même encore maintenant. Cependant, elle fit grise mine, s'il jouait le comédien, autant qu'elle en face de même et qu'elle nie. • J'sais pas mais bon, un Tonton qui veut plus faire de crêpes à une Tatie, comment tu veux t'occuper de ton futur neveu/nièce si tu ne t'occupes déjà pas de moi • S'occuper d'elle venait à la même chose que de s'occuper d'un enfant. Un Disney et un plat de pâtisseries devant la télévision et on ne l'entendait plus. Elle leva les yeux au ciel et se mit à siffloter, bras croisé, l'air de rien mis à part d'un ange souriant à l'excès en prévision d'une punition distribuée pour une bêtise en valant la peine. Dans une vie antérieure, elle devait être une enfant perdu. Son imagination débordante la faisait divaguer vers l'île imaginaire crée de mains de maitre par J.M Barrie afin de contenter la fougue et le besoin d' aventure de son jeune Peter Pan. Lorsqu'elle était enfant elle s'imaginait être tout un panel de personnages fantasmagoriques, commençant par un pirate, son favoris surement, naviguant sur les sept mers armée d'une épée, tricorne et bandana rouge sur la tête, un air féroce sur le visage, passant par l'indigène dans sa savane, courant lance en main après un gnou à attraper pour le repas. Quelle enfance mouvementée ! Elle était une petite fille complètement agitée, délurée et infatigable qui crapahutait de-ci de là en déplaçant monts et merveilles rien qu'à l'aide de son imagination débordante de vitalité. Vitalité qu'elle possédait toujours et qu'elle eut tout le loisir de laisser échapper par son rire franc et joyeux joint à Edward qui la faisait tournoyer dans tous les sens. C'était facile, la vie était facile, rire était facile lorsqu'elle était avec lui. Après être passé par tout un assortiment de personnage, Chapelier, Poney, Voleur de hot dog et compagnie, il devenait toupie. Elle sentit le vertige et le hot dog qu'elle avait mangé tournoyer dans son estomac au rythme de ses bras battant l'air et de ses cheveux se mêlant au courant d'air provoqué par leur manège. Pouf, elle avait mal au coeur, son ventre vacillant de droite à gauche la forçait à ne plus faire un mouvement l'espace d'un instant et à souffler un bon coup, souriante comme pas deux. • Mais ne viens pas à croire que je le fais pour ma belle soeur ou mon éventuel neveu hein ! C'est totalement faux ! • Elle scruta ses traits d'un air interrogateur, sourire en coin, se demandant ce qu'il voulait bien dire par là. Le voir faire preuve d'un tel sérieux était déconcertant pour elle, ses mains dans les siennes tremblaient d'impatiente de connaitre la suite de cette supplique. Elle le regardait avec un sourire insistant, l'air de dire « crache le morceau », ses doigts fins jouaient avec les siens, son regard scrutait ces prunelles océans à la recherche d'une réponse. • Je le fais uniquement pour toi, tatie Consti'. • Groupie qu'elle était, ses lèvres se pincèrent doucement et s'étirèrent dans un sourire conquis. Elle avait l'impression d'être l'une de ces filles totalement gaga face au charme d'un mec et qui se laissait tomber en de belles paroles. Dans cette situation cela n'avait rien de péjoratif, elle se mordit les lèvres, se sentant privilégié d'être la raison d'une futur réconciliation entre les deux frères Atwoodth. Elle lui adressa son plus beau sourire, le plus sincère alors que ses mains serraient plus fort les siennes, les yeux dans les yeux, front contre front. N'importe qui qui passait par là aurait pu les prendre pour un couple roucoulant un jour de beau temps, elle en était sûre et consciente, mais ne s'en préoccupait pas le moindre du monde, l'instant présent étant trop délicieux pour qu'elle n'en profite pas. Dans sa bulle, elle croisa ses deux bras autour de la taille de son chapelier et sans avoir le temps de répondre quoi que ce soit, se retrouva à faire connaissance avec ses lèvres... ♥

Plus délicieux que le meilleur des bonbons, plus intense que d'affronter la ligue pokémon sur sa game boy color, plus doux que de dormir dans des draps de sois. Elle fut transportée sur un petit nuage et tout son corps fut paralysé sous l'effet du baiser que lui offrait son chapelier, plus étonnement elle aimait ça, cette sensation. Décidément aujourd'hui ils allaient de surprise en surprise. Un baisé rapidement interrompu, elle n'osa pas le regarder, la situation ne prêtant pas à sortir une blague salace, elle se sentit obligé de diriger son regard vers le sol tandis qu'il jouait les fuyards. Elle porta ses doigts sur sa bouche sous l'effet de la surprise, se retrouvait planté comme un piqué, seule dans le parc tandis qu' Edward avait foutu le camp on ne sais où. Alors, c'était aussi malsain que ça qu'il l'ait embrassé, pour qu'il se casse voir ailleurs si elle y était s'entend comme ça s'entend. Elle fut déconcertée, déjà par le baiser qui la remuait plus qu'il ne le devrait et par Edward qui se tirait comme si de rien n'était, ne lui laissant pas l'opportunité de faire un quelconque commentaire. Seulement elle eut un sourire, cœur battant, au moins elle savait que ce soir elle s'endormirait avec un sourire aux lèvres en pensant à cet après-midi et à ce moment précis, bizarrement. Mais ce moment entier était bizarre, mais un bizarre tout à fait saisissant, délicieux et ... merde ça n'était pas dans ses habitudes de réfléchir à ce genre de choses. Mais l'important résidait dans le fait de savoir si c'était dans ses habitudes d'avoir le cœur accroché au mille à l'heure rien que pour un simple bisou. Elle pensait, réfléchissait, stoïque dans le parc à l'endroit même ou Edward l'avait laissé, troublé comme jamais elle se laissa surprendre par la voix rauque de son acolyte revenant de sa course étrange. • Surprise ! • Alright ! Faisont comme si de rien n'était et comme si ça n'était pas bizarre du tout (a). Elle leva les yeux au ciel, lui adressant un air amusé, de petites brimades lui arrivant aux oreilles non loin d'eux de la direction d'où il provenait. • Bah euh... Tu viens ? Ou alors tu boudes parce que tu voulais de la chantilly... ? Non parce que si c'est ça, tu sais j'peux aller en chercher hein ♥ • Aussitôt dit aussitôt fait, elle vint prendre place à ses côtés, découvrant ainsi gaufre et Nutella. Slurp, l'eau à la bouche, bonzour ! Ah celui là, il la secouait dans tous les sens, lui faisait bouffer hot dog et la re-secouait pour manger une gaufre au gouter. Entendant encore les complaisances de diverses voix féminines et masculines dans le décor, elle adressa un sourire à Edward tandis qu'elle s'emparait du pot de patte à tartiner. • Tu t'es encore fait des amis à ce que je vois • lâcha-t-elle dans un petit rire. Son attention se porta sur le pot qu'elle tenait dans ses mains, délicieux sésame dont la couleur et l'odeur qui s'en dégagea lorsqu'elle l'ouvrit attisèrent les papilles curieuses de Constance. Elle plongea son doigt dans le mélange, le porta à sa bouche. • miam miam miam miam miam • lâcha-t-elle, a fond dans sa dégustation. Elle fit silence quelques instants. Se mit à réfléchir en fixant le pot qu'elle tenait dans ses doigts alors qu' Edward sortait les gaufres du sachet, concentré à s'appliquer. L'air de rien, elle regarda le pot du nutella avec une passion non dissimulé, son air d'ange malsain et son sourire de diablesse venant enrober ses traits. Règle numéro 1, ne jamais, ô grand jamais donner un pot de nutella à une La Tour Dubois, sans surveillance d'un adulte • Edwaaaaaaaaaard •,dit-elle, air de gamine innocente et pure sur le visage. Elle plongea trois doigts dans le pot de nutella presque liquide grâce à la chaleur. Releva le regard vers Atwoodth et ... • GRAAAAAAAAAOUR • telle une lionne elle lui sauta dessus, l'écrasant de tout son poids plume. À califourchon sur lui elle apposait férocement ses doigts chocolatés sur le visage et lui étalait la pâte à tartiner sur la figure, riant comme une gosse de six ans à peine. Immobilisé et dominé, elle s'accorda même une fraction de seconde pour reprendre le pot et lui en remettre une couche en pleine poire avant de se relever et de détaller sec. • Oohh on dirait un kinder bueno ! • cria-t-elle au loin en lui pointant du doigt, une crise de fou rire lui torturant l'estomac. Et sentant qu'elle était en danger de mort dès à présent pour trahison, elle se mit à courir dans le parc afin d'en réchapper, une petite course histoire de digérer et perdre les kilos qu'il venait de lui faire prendre en bouffant des hot dog et des gaufres. • Bah alors patapouf ! T'arrive plus à te trainer après une gaufre ?! Je te croyais plus sportif que ça • cria-t-elle au loin, lui adressant une féroce grimace provocatrice. Aaah provocation et gaminerie, quand tu nous tiens.
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p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway p.v ♦ Never take life seriously. Nobody gets out alive anyway - Page 2 EmptyDim 10 Oct - 15:37

Nul besoin de supplier son Alice afin qu’elle vienne se joindre à lui. Le pot de Nutella était un argument de choc après tout. Tout fier de son petit plan, le Delta afficha une mine satisfaite alors qu’il dévorait sans la moindre délicatesse sa seconde entrée de l’après-midi. Il remua la tête de gauche à droite à ses paroles. Des amis ? Beuh non, tout le monde l’aime, le ptit voleur Atwoodthien. La bouche pleine et le visage tartiné de sucre glacé, il ne pu toutefois réprimer un hoquet amusé alors que sa partenaire de jeu venait de s’emparer de leur précieuse récompense de la journée. Au moins, elle ne semblait en aucun cas avoir été embarrassée par le petit geste qu’il lui avait adressé quelques minutes plus tôt. Secrètement soulagé, le bonhomme châtain fit la moue en contemplant sa gourmande fétiche s’empiffrer de l’objet de ses délits. Amusant de constater à quel point une gamine peut perdre toute féminité en dégustant un pot de Nutella. Il en rit ouvertement en pointant du doigt sa mangeuse folle. Il se régalait. Prétextant fixer sa bouille de petite fille conquise qui dévorait son quatre heure, alors qu’il contemplait tout simplement la merveille de son sourire moqueur… Et, serait-ce possible, malsain ? Ouuuuh, qu’on sonne l’alerte, la tatie Constance avait une idée derrière la tête ! Chose confirmée d’ailleurs lorsqu’elle fixa son camarade timbré d’une manière qui le laissa perplexe. Mimant le coupable accusé, Atwoodth leva les deux mains en l’air, lâchant sa pâtisserie fétiche avant de lâcher : « Quoi ?! Quoi ?! Qu’ai-je fais ? De quoi suis-je coupable ?! » PAF, même pas le temps pour le pauvre petit condamné de se défendre, un Pokémon enragé venait de lui tomber dessus. Attaque barbouillage de Nutella ! Non mais c’est pas vrai, vengeance il y aura. Allongé contre son gré au sol, et soumis à sa française, Edward tentait tant bien que mal d’éviter les griffes chocolatées de son Alice folle furieuse. Deux gamins de même pas dix ans à en juger par leurs rires résonnant dans le parc au beau milieu de l’après-midi. D’ailleurs, les passants observant d’un œil indiscrets la scène ne manquaient pas souvent de décrocher eux-mêmes un sourire amusé. La folie La Tour Dubois / Atwoodth était contagieuse il fallait croire. Se débattant comme il le pouvait, le pauvre Chapelier couleur choco’ désormais se mit à crier d’une voix entrecoupée de fou-rire quelques mots : « Ahhh mais qu’on me lâche, à l’aideeeeee ! Je suis trop jeune pour être dévoré en tartine de Nutella ! Tatie, tu m’le payeras ! » Et elle se leva en un seul bond. Bah voilà, quel beau boulot, franchement bravo. Atwoodth avait plus l’air d’un Mikado géant désormais que d’autre chose. Bueno hein ? Bah voyons ! Riant aux éclats, Edward se releva comme il le pouvait, se frottant les yeux en dégageant rapidement au passage un peu de la pâte à tartiner… Qu’il s’empressa de léchouiller par la suite. Que la miss Constance prenne ses pattes à son cou, le vilain Dracaufeu sommeillant en lui allait vite s’éveiller.

Debout sur ses deux pieds, le boudeur professionnel qu’était Edward ne se fit pas prier. Bras croisés sur la poitrine, il leva le menton en fermant les yeux. Adressant un majestueux ‘’ non mais j’te boude hein ’’ à sa tatie préférée en lui tournant le dos. Et son regard enfantin s’illumina aussitôt. Oh mais quel joli petit lac avions nous à une paire de mètres à peine… Bon un lac de Nutella c’aurait été encore mieux, mais on était pas encore dans la baraque à Willy Wonka… Bien qu’aux yeux des deux-là, ce parc était devenu un véritable pays des merveilles. « Patapouf hein ? Toi tu vas faire Pataplouf d’ici peu ! Alors cours ! » Chose promise, chose due : une nouvelle course s’était engagée. La Tour Dubois en première ligne qui trace comme un gazelle à travers champ… Et Atwoodth Bueno qui entamait sa traque en poursuivant sa proie à vive allure ! Le spectacle s’annonçait prometteur. Qui plus est, les deux zigotos avaient leur public : des vieux râleurs qui soupiraient lorsqu’ils se faisaient bousculer par l’un des deux fous. Impossible de décrire le moment tellement il était unique : une Tatie en furie qui tentait de s’échapper, et un Bueno sur pattes qui essayait de ne pas se prendre d’arbre en coupant à travers les buissons et cabanes à Churros du parc. Poing levé, à la manière d’un général en guerre, il hurla à plusieurs reprises le prénom de son Alice. Lui envoyant de temps à autre quelques menaces alors que le vent fouettait doucement quelques unes de ses mèches de cheveux chocolatisées. « Attention, captain Bueno te rattrape ! » TADAM ! Et après cinq minutes de course, il lui avait enfin mis la patte dessus : sautant sur son monstre de gamine en l’encerclant de ses deux bras pour la soulever. Haha, il la tenait ! Peine perdue pour son adversaire de s’échapper. Se frottant la joue contre la sienne, voilà comment il se mit à tartiner à son tour celle qui l’avait faite tout en chocolat/noisette. Pas de pitié pour les traîtres ! Et Patapoum, du coin de l’œil, le regard d’Atwoodth s’attarda sur l’étendue d’eau qui se présentait à quelques pas d’eux. Sourire tout fier, il souleva sa Tatie contre lui, posant son nez enrobé de pâte à tartiner contre le sien. Quelques secondes de répit où chacun des deux reprenaient leur souffle, avant qu’il ne se mette soudainement à tirer doucement sur quelques unes des mèches de son Alice brune. « Pfff, c’toi la Patapouf. On dirait une grosse vache qui galope dans un parc ! » Petit bisou sur la joue, et c’est ainsi que « gentil gaillard Atwoodth » s’en alla. Petit démon était back !

Quelques secondes lui suffire pour se mettre à sautiller sur place, tel un kangourou, et finalement s’approcher du lac… Qui faisait dos à Constance cela allait de soit. Et un boum, deux boum… Et trois boum ! PLOUF ! Tatie et Tonton en plein dans la flotte pour un bain d’aprem au beau milieu des poissons et du parc. Feuille de nénuphar sur le crâne et Nutella dégoulinant sur le visage, c’est tout en serrant sa Princesse grenouille contre lui qu’Edward se mit à toiser d’un air victorieux sa cavalière chérie (a). Adressant un gros bisou sur la joue de sa Tatie, il ne pu s’empêcher de réprimer un nouveau rire. Aller savoir de quoi la miss serait capable pour se venger d’un tel acte. Danger de mort, le capitaine Constance allait sans doute lui planter son infâme crochet dans la figure s’il ne se tirait pas au plus vite d’ici ! Secouant le visage de gauche à droite à la manière d’un animal –le tout en envoyant quelques majestueuses gouttelettes venir s’écraser sur la tête de mamie Consti (a) -, Edward se mit à reculer vers la pelouse du parc… D’autant plus qu’au loin, l’un des gardiens de la place venait de poser son attention sur les deux fous furieux en cavale. Manquerait plus qu’ils se retrouvent une nouvelle fois en garde à vue ceux-là ! « Mais boudes pas, regarde, on a même un gentil monsieur qui va nous aider à sortir d’ici ! Oh bah en plus il mange une crêpe lui aussi, c’est un de nos camarades. » Mais l’hypothèse du châtain chapelier fût bien vite contredite lorsque ledit gardien se pencha vers les deux grenouilles chocolatées qui pataugeaient gentiment dans le lac. Grosses lunettes noires sur le pif et une pas belle bouche pleine de morceaux de crêpe, il leur ordonna d’un geste simple mais furtif du bras de décamper au plus vite d’ici… « Beuh… On fait rien de méchant monsieur l’agent… Dites, vous auriez pas une serviette ? » Oops, petite touche d'humour en trop sans doute pour monsieur grognon de service ? Parce qu'au vu du calepin que le bonhomme sortait, tout ça ne s'annonçait pas très très bon pour Alice et son Chapelier. Se penchant tout près de la brunette gamine, il lui murmura quelques paroles « Lui tu vois, c'est le crapaud du lac. A trois, on s'échappe d'ici et direction le camp de base. Un... Deux... TROIS ! »

Cavalière Stitch sur le dos du poney Woody... Sortant tant bien que mal du lac, les vêtements trempés et dégoulinant de partout. Mais rien n'était impossible pour ces super-héros ! Va comme le vent Pile Poil ! Course poursuite à travers le parc, et direction le centre-ville pour regagner un éventuel taxi qui serait ok pour les accepter sur sa banquette arrière... Le sourire accrochés aux lèvres, son Alice sur son dos, c'est finalement après plusieurs minutes d'évitage de tronc d'arbre et de poteaux que les deux Pokémons fous parvinrent à franchir la grille d'entrée du parc, sains et saufs... Ou presque. Penchant le visage en arrière afin de croiser le visage toujours trempé de sa folle dingue de vache, c'est un ravissant sourire béat qui s'afficha sur les traits de Tonton Atwoodth : « Nous sommes d'accord : j'ai gagné, tu as perdu ! Rendez-vous à ma prochaine victoire dans ta cuisine pour une bataille de sucre et de pâte à crêpe ! »
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Constance La Tour Dubois
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Constance La Tour Dubois
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