the great escape
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p v . b e n j a m i n ● because i need you

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MessageSujet: p v . b e n j a m i n ● because i need you p v . b e n j a m i n ● because i need you EmptyJeu 2 Sep - 22:39

        p v . b e n j a m i n ● because i need you Bejasz

    KILL ME, I WOULD LIKE TO


    Le soleil allait s'éteindre dans quelques heures à peine. Une brise s'était levé sur le campus de Berkeley. Seule, je marchais sur un sentier peu emprunté près de l'université. Mon Ipod sur les oreilles, cette tragique mélodie que j'avais enregistrer moi-même en boucle, j'essayais de faire le vide de mon esprit. J'essayais de comprendre le pourquoi du comment des évènements des derniers mois. Comment ma vie, qui semblait avoir pris un rythme normal en arrivant à l'université, avait-elle fait pour se détériorer aussi rapidement. Comment avais-je fais pour être si nulle ? C'est lorsque la mélodie atteint la cinquième reprise que les larmes coulèrent sur mes joues. Le piano était tout ce qui me restait de mon adolescence. Le piano et la danse bien sûre, danse que je ne pratiquais plus depuis longtemps.. La puissance de mes mots à travers cette douce musique tremblait dans tout mon corps. Certains se demandaient comment de si petite mains pouvaient provoquer autant d'accord et de sentiment sur un appareil tel que celui-ci. La réponse était simple : le coeur était le seul responsable. J'avais enregistrer ce morceau une heure avant de venir ici. Et là, encore, j'avais pleurer.

    Ce n'était pas autant le fait d'avoir gâcher ma vie avec mes actions idiotes qui me faisait mal. C'était de voir que tout le monde y apportait autant d'importance. Dans la vie normale, une femme qui tombe enceinte ne suscite pas autant d'Attention. Il faut vivre dans ma vie pour bien y comprendre. Il y a de cela une semaine, un texto de la part de Watch Out m'était adresser. Texto que tous les abonnées de cette emmerdeuse reçoit automatiquement lorsqu'un nouvel article est en ligne sur son blog. Je m'attendais à un petit truc simple pour annoncer la fin des vacances. Le genre du ''qui est allé où, qui a fait quoi ? ''. Je m'attendais à tout sauf ça. Ce que j'ai vue me retourna à L'envers. Cette emmerdeuse de première classe avait publier un article spéciale baby. Un article pas très favorable que tout les étudiants, et je dis bien tout les étudiants de Berkeley, ont vu. Un article dans lequel on m'accuse à tord d'obtenir ce que je mérite parce que j'ai eu le malheur d'être blesser. Il y a des dizaines de filles ici qui trompe leur petit ami des milliers, même des milliards, de fois par jour. Pour elles, on n'en fait pas tout un plat. Mais moi, pour qui c'est arrivée une seule fois et une fois dans laquelle Anton me manquait tellement que je le cherchais à travers Joe, les gens en parleront pendant des années.

    Anton m'aimais, j'en était certaine, il n'allait pas me laisser tomber même avec l'histoire de Watch Out, mais à ce moment je me sentais tout de même seule. Sur mon passage, tout le monde s'exclamait ou ragotait à mon sujet. J'étais la risé de l'université, encore une fois, parce qu'une langue de vipère souhaite le malheur des autres sans en avoir honte. à quoi bon gâcher la vie des autres ? Qu'est-ce que cela apportera de mieux à la vie déjà parfaite de miss potin ? En une semaine, c'était la première fois que j'affrontais le monde extérieure. Watch Out m'avais mis KO. Elle avait provoquer mon isolement. Elle souhaitait ma mort et elle l'aurait. Je n'arrivais plus à me battre, je ne voulais plus mener ce combat, il n'en valait plus la peine. Je ne souhaitais que le ciel orangé tombe sur ma tête et ne m'épargne pas.

    J'aurais voulu courir, m'enfuir loin d'ici, mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas laisser ici les rares personnes à qui je tenais. Même si je souffrais rien n'était dit que je devais causer le malheur des autres aussi. Je n'avais pas été conçu pour briser des coeurs, mais pour les apaiser. Même dans le cas où le mien l'était. J'essuyais du revers de la main les fines gouttes de tristesse qui coulaient encore un peu, essayant par la même occasion de chasser mes penser. Impossible. Je retirais mes chaussures, resserrais un peu le veston que je portais et pris place en beau milieu de la pelouse. Les yeux clos, je me laissais emporter par la musique qui jouait encore dans mes oreilles. Ce n'était ni une composition, ni un interprétation originale, je l'avais jouer tel quel. Elle était comme si c'était l'auteur lui même qui la jouait, mais mes émotions en changeait toute la signification. Cette balade était une mélodie d'espoir et de bonheur, mais mon ton sombre la transformait en un chant de douleur, un appel à la rescousse. Si seulement quelqu'un aurait pu entendre les mots qui se cachaient à travers ses notes...quelqu'un aurait peut-être pu me sauver...

    Tout le monde a besoin d'inspiration, tout le monde a besoin d'une chanson, d'une belle mélodie quand les nuits sont si longues car il n'y a aucune garantie que la vie sois facile. Un cris du coeur qui perçait le mien. C'était comme si tout était clair maintenant : je n'avais plus ma place ici. Je devais partir. Quand mon monde s'écroule, quand il n'y a aucune lumière pour rompre le noir, Lorsque les vagues inondent la rive c'est alors que je comprends que tout s'arrête ici. Tout a une fin, et la mienne commence dès maintenant.

      AMBRAE ▬ Je veux que tu partes ! Je veux que tu disparaisse ! Je veux que tu te déloges de mon ventre ! C'est à cause de toit tout ça. Toi et toi seul ! Je te hais de me faire mal, je te hais d'avoir provoquer mon humiliation, je te hais de me vouloir comme mère. Vas t'en, dégages, je ne veux plus de toi !


    criais-je sans m'apercevoir que je pleurais encore et que je parlais à haute voix.
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MessageSujet: Re: p v . b e n j a m i n ● because i need you p v . b e n j a m i n ● because i need you EmptyJeu 16 Sep - 22:26

p v . b e n j a m i n ● because i need you Sans_t61 p v . b e n j a m i n ● because i need you Rm8710_06-2070617
Ambrae&Benjamin
The sun would set in the nightime sky. The stars they'd cast and grow upon my eyes.

Il y a un temps pour tout. On ne cesse de nous murmurer que les secondes s’écoulent trop vite une fois qu’elles se font agréables. Et l’affirmation n’est pas si fausse que ça. Voilà qu’un peu plus d’un an s’était écoulé entre ses deux vies : celle d’autrefois, et celle d’aujourd’hui. Dès lors qu’Elle fût dans ses bras et lui dans les siens, le temps paru s’effondrer à une vitesse peu croyable. Comme si leur Amour avait eut le pouvoir de les figer tout les deux, ensembles, dans leur univers parallèle à ce monde si dérisoire. Parce qu’il était vrai qu’à côté de ça, tout –ou presque- semblait n’être de que de misérables détails. Mais parfois, il peut arriver quelques beaux miracles qui viennent vous rappelez que même si le Paradis porte désormais un nom et un seul, la vie sur Terre garde avec elle une poignée de trésors. Une poignée de sourires qu’il désire voir à jamais gravés sur les visages de ces quelques rares gens aimés. L’amitié avait cet avantage de pouvoir vous ramener sur Terre, là où la haine, la cigarette et l’alcool ne le pouvaient guère. Un simple regard aussi suffisant parfois à vous rappelez l’importance des choses… Ou les promesses à ne pas oublier… Comme celle d’arrêter de fumer par exemple.

Son regard vert planté dans celui de son petit ange, il soupirait d’amusement. Que Max soit bénie d’avoir hérité des mêmes traits que sa mère. Ses minuscules yeux inquisiteurs faisaient la grimace en se posant sur la cigarette qu’il venait de porter à ses lèvres. A croire qu’elle lui ordonnait sans la moindre parole de reposer immédiatement la drogue prise. Il souriait brièvement avant de finalement céder à sa demande. Au fond, il l’avait promis. Approchant alors une main de la petite, il lui caressa affectueusement la joue avant d’hausser machinalement les épaules. Inutile de lui demander ce qu’elle souhaitait, la réponse paraissait tellement évidente. Ses yeux pétillaient, et son bras indiquait clairement et délibérément la fenêtre et le soleil couchant. Source de lumière qui berçait tendrement leurs petit instant en tête à tête. Il soupira d’amusement. Embrassant l’enfant sur le front avant de passer un bras autour de sa taille de crevette pour la porter contre lui. « T’es déjà comme maman, tu veux sortir les soirs en boîte de nuit toi aussi, hum ? » Des paroles qui firent sourire la petite, à croire qu’elle comprenait le moindre de ses mots. L’aîné se joignit aux rires innovant de son trésor. Une poignée de secondes furent suffisante pour qu’il parvienne à remettre la main sur la poussette, ainsi que sur la petite tenue rose qui servirait de vêtement chaud à la jeune fêtarde de la soirée. Qu’on ne lui dise pas qu’elle ne tenait pas d’Esthell, cet enfant avait tout d’elle. Jusqu’au sourire.

Parc baigné d’une lumière pâle et doucement orangée. Les alentours restaient accueillants malgré le fait que peu à peu, le monde désertait les lieux. Une pensée pour la femme aimée, alors qu’il apercevait du coin de l’œil les premières prémices de la nuit. Un an de bonheur. Une fichue année où il avait été tellement bon de sourire, d’étreindre, et d’aimer. Que Dieu ait le pouvoir de faire durer cela éternellement. Ils se l’étaient jurés. Enfin, quoiqu’il puisse arriver, quoiqu’il puisse se passer, jamais il n’aura regretté pareille existence. Elle avait été le baume soignant ses blessures, et reste la drogue à laquelle il est devenu dépendant. Comme l’enfant réclamant sa peluche, comme Max recherchant son petit ours à serrer, lui recherchait sans cesse son Amour à étreindre. Qu’on ne dise pas qu’aimer est une chose ignoble : ce serait mentir. Ca blesse, ça nous dévore et ça nous consume chaque jour. On ne peut regarder le reflet du ciel sans apercevoir le visage de l’être aimé. Mais à quoi bon se mentir ? Ce sont nos choix qui déterminent ce que nous sommes, ainsi que notre cœur. Qu’il ne se mette plus qu’à battre pour une seule et unique personne, et là, le choix est atrocement risqué. Mais tellement délicieux lorsque réalisé avec finesse. Il aimait, il était aimé. Le Paradis existait bel et bien sur Terre. Un point c’est tout.

Et des mots viennent résonner soudainement à ses oreilles alors qu’il sort peu à peu de ses songes. Qu’on le tue s’il ne venait pas à reconnaître les intonations de l’une de ses compagnes les plus fidèles. Un coup d’œil à la petite fille qui se laissait bercer par les grésillements de la poussette sur le chemin, et il se mit à sourire tout en se dirigeant sereinement vers l’étudiante. Au beau milieu de la pelouse, elle était allongée. Sans un bruit, il écouta les mots qu’elle prononçait à l’adresse sans nul doute du propre petit ange qui l’habitait. Il soupira doucement avant de s’arrêter aux côtés de la jeune femme. Sans le moindre mot, il contourna la poussette pour venir s’installer près de son amie. Vraisemblablement, les sourires et la gaieté n’étaient pas au rendez-vous… Il hésita quelques secondes avant de finalement prendre Max dans ses bras et s’installer assis aux côtés de sa compagne. Sa main se posa sur le poignet de l’enfant qu’il hocha à gauche et à droite en guise d’un ‘coucou’ adressé à la jeune femme, et il pencha le visage sur le côté tel un gamin intrigué. « Mais je viens à peine d’arriver ! Tu veux déjà que je m’en aille ? » Il lui sourit sereinement, posant finalement une main sur son front pour une caresse affective. « Shhh. Calmes-toi. Y a pas de raisons de lui adresser tous ces vilains mots, il –ou elle ?- ne t’a encore rien fait. J’ai même l’impression qu’il y en a une ici qui l’aime déjà. » Et c’était peu dire, puisque Max tendait dors et déjà les bras en direction du ventre légèrement arrondi de la future mère. Comme pour l’enlacer. Chose qui d’ailleurs ravi silencieusement le jeune homme alors qu’il déposait la petite sur son amie. « Amby, j’te présente Max. Et Max, j’te présente ta future nounou ! »
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MessageSujet: Re: p v . b e n j a m i n ● because i need you p v . b e n j a m i n ● because i need you EmptyVen 17 Sep - 0:14

p v . b e n j a m i n ● because i need you Picture2burn7 p v . b e n j a m i n ● because i need you Vanessa01-2
benji&amby
kill me, i would like to


Mais qu’avais-je fais à la terre, au ciel et à l’océan pour être envie de cette vague de terreur et de malheur. Je ne demandais rien de plus qu’un peu de répit dans ma vie bien assez mouvementé ainsi. Que voulaient-ils tous à la fin ? Tout avait commencé par watch out et tout s’était terminer de la même façon. C’est fou comme l’ont ne réalise pas à quel point certaines choses sont blessantes avant d’être touchées pas elles. À mon arrivé à Berkeley, tout avais été rapide. J’avais connu le site web dégradant de watch out, sans trop m’en soucier. ‘’Elle n’aura jamais rien à raconter sur moi’’ me disais-je jour après jours en regardant les abominables articles qu’elle rédigeait sur les étudiants de Berkeley, commentant action et départ. Elle ne manquait jamais une occasion de se moquer de l’erreur d’un tel ou de l’achat d’une telle. Au début, je trouvais ça très drôle. Voir les autres souffrir ne me faisais point de mal. Je n’y voyais rien de bien ni rien de mal. En fait, tant que je n’étais pas concernée, les simagrées de WO m’étaient indifférentes. J’étais simplement curieuse de voir ce qu’elle racontait dans ses articles. Puis, un jour, elle parlait de moi. Depuis, je trouvais les articles moins drôle, moins pertinents, moins amusants. Pourquoi rire du malheur des autres ? Et ce, à deux reprises ? Je voyais maintenant dans quel monde réel nous vivions tous : un monde d’irrespect. Heureusement que ce n’était pas le cas pour tout le monde, manquerait plus de généraliser faussement des faits contestables de la vie. Je ne serais pas mieux de dire que tout le monde se réjouissait du mal des autres, parce que je savais clairement que c’était faux. J’en avais la preuve dans ma vie : Benjamin. Benjamin qui avait toujours su me calmer, même quand le tonnerre de mon corps grondait sur tout le monde. Et le voilà, là encore une fois, à vouloir me clamer.
Seule dans l’herbe, ne je l’avais pas vu arriver tout de suite. Il était venu sans bruit, me laissant encore un peu seule avec mes songes, pleurer de tout mon corps le reste de larmes que je contenais. Il avait toujours été ainsi. Mon calme après la tempête. Une sorte de pilule calmante, si on veut. En fait, si l’image me le permettait. Nous agissions l’un sur l’autre comme une douce lueur de la vie, même lorsque nous pensions que tout s’effondrait sur nos têtes. Son humour ne me laissait jamais de glace, même si je lui faisais la tête. Il était doté de ce dont fabuleux de me faire rire et sourire peu importe le moment. Donc, à sa blague naturelle qui – naturellement – était sur un ton mélodique et détaché, je ne pus que sourire. Un petit sourire, pour commencer. Quelque chose d’à peine visible. Que seul les experts en ‘’sourisage’’ auraient pu remarquer. Puis, mon sourire s’élargie et je me surpris même à laisser un petit rire s’échapper.

    BENJAMIN ▬ Mais je viens à peine d’arriver ! Tu veux déjà que je m’en aille ?
    AMBRAE ▬ hihi, ma-mais non ! Je-je veux que tu restes ! Je-je… pa-pardon.. c’était pas.. à ca-cause de toi…


Ajoutais-je entre mes sanglots. Sa main rassurante vint se poser sur mon front pour exécuter l’une de ses désirables caresses rassurante et amicale. Je souris entre mes pleurs avant de poser mon regard intriguer sur le petit bout de chou qu’il tenait entre ses mains. Il avait l’air si naturel avec elle, ce petit bébé qu’il considérait comme sa propre fille. Je souris devant tout cet amour. Ce sourire se fana cependant lorsqu’il déposa la fleur des champs contre mon ventre.

    BENJAMIN ▬ Amby, j’te présente Max. Et Max, j’te présente ta future nounou !
    AMBRAE ▬ Moi ? Moi nounou ? Voyons Benji… comment veux-tu que je m’occupe de.. de cette crevette…. Je ne sais même pas changer une couche !


Dis-je en prenant maladroitement le bébé dans mes bras. J’avais besoin de cours, d’aide. Que quelqu’un me montre, me dise comment faire. Je regrettais déjà de ne pas être à la hauteur… moi qui attendais à mon tour un bébé. De toute façon, il n’y avait rien à dire : je n’en voulais plus.
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