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" La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ●

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MessageSujet: " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● EmptyLun 29 Aoû - 13:24

Edward O'Malley




● Palace Hôtel, suite deluxe numéro 120 ●

Je me trouvai actuellement dans ma suite du Palace Hôtel, cela faisait actuellement 1 semaine que j’y loge, depuis mon arrivée à San-Francisco en fait.
Certes, je disposais d’une chambre à l’université de Berkely dans ma confrérie, mais j’avais décidé de m’y installer seulement à la reprise de l’année scolaire, ce qui n’était pas encore le cas.
Je devais débourser 550$ par nuit dans cette suite, c’est papa et maman qui vont être content. Bien sûr, je ne comptais pas les extras : petit-déjeuner au lit, séance de bien être au spa, repas au restaurant, quelques bouteilles de champagne de temps à autre.

J’adorai beaucoup cette suite, très lumineuse et immense. Plus de 90², convenable pour une suite.
Le lit était énorme et particulièrement confortable, je dois bien avouer que j’avais beaucoup de mal à m’en extirper, d’ailleurs je m’y trouvais dessus en ce moment-même. Assise en tailleur, je regardais mes e-mails, qui provenaient pour la majorité de mes amis New-Yorkais qui désiraient prendre de mes nouvelles.
Ils me manquaient tous énormément, ils me manquaient tellement que je leur avais demandé de venir à San-Francisco ce soir, histoire que l’on se retrouve pour une dernière soirée avant que je ne sois trop prise par mes cours. Je senti mon téléphone vibrer sous l’un des nombreux oreillers, je l’attrape et découvre un message de mon amie Crystal : « Nous sommes à l’aéroport de San-Francisco, nous venons tout juste d’arriver. Prépare-toi ma belle, nous allons passer te prendre à ton hôtel. Nous y serons vers les 19H. A toute, love you. »

Je souris, j’avais réellement des amis extraordinaire. Je me souviens avoir envoyé un message à Crystal ce matin vers les 10h en lui demandant de venir ici. Et j’allais la voir dans… 1h !
Oups, il était déjà 18h et je n’étais absolument pas prête, je portais juste un t-shirt et un shorty.
Je me levai du lit et me dirigea vers la salle de bain. Je n’avais vraiment pas le temps de me faire un jacuzzi, donc je filai sous la douche (très spacieuse) et fit couler l’eau.
« Dépêche toi Ivana, tu dois encore choisir tes vêtements, te coiffer, te maquiller et on sait très bien que cela prend un certain temps ! ». Mon Dieu, je me réprimandais moi-même, consciente qu’il me restait peu de temps.
Je sortie de la douche, attrapa une serviette et me dirigea jusqu’à mon lit où j’avais des sacs remplient de nouveaux vêtements fraichement acheter que j’avais fait apporter jusqu’à ma chambre.
En fait, cela aller être assez simple de m’habiller pour ce soir, les habilles que je venais d’acheter s’accorder parfaitement bien ensemble, décidément, j’étais vraiment douée dans ce domaine.
Ca sera donc un top noir décolleté Gucci avec une jupe pourpre satinée de chez Prada, ainsi qu’une paire d’escarpin Dior.
Une fois habillée, je passais au maquillage, j’ai décidé que cela serait un maquillage chic et soft. Un trait d’eye-liner sur les yeux, du blush rose sur les joues et un coup de rouge à lèvre pêche.
Je détachais mes cheveux, que j’avais gardé attaché toute la journée et remarqua qu’ils étaient légèrement ondulés. Je décide donc de les garder comme ça en ajoutant juste un headband noir en perle.

18h50, il était temps que je descende en bas de l’hôtel pour retrouver tout mon beau monde.
J’attrapai mon sac Chanel noir ainsi qu’un blazer noir de chez la même marque et sortie de ma suite tout en l’enfilant et fila dans l’ascenseur.

Message de Crystal : « Nous sommes là ! »
En effet, une fois dans la rue je pouvais constater qu’ils étaient effectivement ici, en limousine bien sûr.
Je m’installai à l’intérieur et encercla l’ensemble des personnes présentes dans mes bras, trop heureuse et émue à la fois de pouvoir les revoir. Une fois les accolades de faites, je me servi une coupe de champagne en attendant la fin du trajet. Nous avons tous prit la décision d’aller au DNA Lounge, qui était un endroit réputé pour ses nombreux cocktails.
Nous étions arrivés devant l’établissement, et de nombreuses personnes se retournèrent vers nous, après tout, combien de personnes pouvaient se vanter d’arrivée en limousine ?
Je fus la première à sortir de la limousine et entra dans le bar et alla directement commander un cosmopolitain.
Crystal quand à elle décida de prendre un mojito ainsi qu’une bouteille de champagne que le serveur amena jusqu’à une table qui nous avez été apprêté.

Je suivi mes amis jusqu’à notre table lorsque je sentie mon téléphone vibrer. « Papa » étant entrain de m’appeler.
J’hésitai à répondre, cela faisait horriblement longtemps qu’il ne m’avait pas appelé mais j’appréhendais ce coup de file. Je décide donc de laisser mon téléphone vibrer, recommença à marcher sans lever la tête de mon cellulaire et percuta quelqu’un. Mon verre pencha vers moi et déversa tout son contenu sur mes nouveaux vêtements tout juste achetés.
Je bouillonnai à l’intérieur de moi, les vêtements, c’étaient sacrés pour moi.
Sans même prendre la peine de voir qui était la personne qui était responsable de cette bavure, je ripostai verbalement.

« Vous pourriez quand même faire attention ! Et le pressing, il va falloir le payer ! » lançai-je sur un ton cassant à l’individu.
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" La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● Empty
MessageSujet: Re: " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● EmptyVen 2 Sep - 19:18

" La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● 556950tumblrlh5e5pvbzL1qf384j




Les cours vont bientôt reprendre. Les vacances se terminent. Je reviens à peine d'Irlande, fraîchement marié à Maria, la directrice de l'université de Berkeley. Nous sommes revenus il y a quelques jours et déjà je souhaite profiter des dernières soirées de vacances. Ma femme s'est accordée toute une après midi avec une de ses amies, à faire des trucs de filles et à décompresser. Ainsi j'ai dû garder Aaron, notre fils de maintenant cinq mois, ainsi qu'Ambre, notre gamine de cinq ans. Et encore je jouais les papas-poules. Mon ex-femme me ramena en plus mes deux autres enfants, Set et Jade, deux jumeaux de huit ans aussi merveilleux que turbulents. Bref. La journée ne fut pas particulièrement simple et très reposante. Mais au final, je m'en sortais plutôt bien. Et quand Maria rentra, je prétextais une grosse envie de sortir pour me détendre. Elle ne pouvait pas vraiment me le refuser. Ainsi je saisissais mon cellulaire et appellais Ezéckiel. « Hey ! C'est moi ! Ça t'intéresse une petite virée dans un bar ce soir ? » Je l'imagine déjà en train d'esquisser un large sourire. « Ok, mais on va au DNA Lounge. » Pour ma part, mes épaules se haussent. « Comme tu veux. »

Ainsi nous débarquâmes dans la soirée dans ce bar dit chic. Nous nous étions donnés rendez-vous au comptoir. Et c'est vêtu d'un pantalon de costume gris et d'une chemise noire que j'entrais à l'intérieur. Mon regard bleu azur balaya l'endroit du regard et rapidement Ezéckiel, mon collègue de droit, me fit un signe en levant le bras. Je le rejoignais et lui serrais la main suivi d'une accolade. Il commanda un second whisky. « Je te mets une branlée au billard ? », me demanda-t-il avec une lueur de défi dans le regard. Je saisissais le verre en souriant. « Ok, viens par là. »

La soirée se déroula très bien. Nous fîmes deux parties de billard. J'en gagnais une. Litovski remportait la seconde partie. Impossible de nous départager, nous avions le même niveau à ce jeu, ce qui rendait ceci bien plus intéressant. Puis Ezéckiel parti rejoindre une jeune femme qui lui adressais des sourires depuis quelques minutes déjà. Et en bon célibataire, il n'avait pas de contraintes. Il tourna la tête vers moi, en me demandant silencieusement si ça me dérangeait qu'il aille tenter sa chance. « Allez dépêche toi, sinon c'est moi qui vais l'accoster. » Nous nous observâmes avec amusement. Bien évidemment, je plaisantais. Je suis un homme marié et fidèle. Mais ce n'est pas pour cela que je n'acceptais pas une discussion avec une belle jeune femme qui venait vers moi. Très cultivée et intéressante en plus du charisme qu'elle dégageait. Enfin tout cela jusqu'à ce que je sente quelque chose, ou plutôt quelqu'un, me percuter. Je tournais la tête en entendant un : « Vous pourriez quand même faire attention ! Et le pressing, il va falloir le payer ! ». Cette voix, je la reconnaitrai entre mille. Je laissais un soupire s'échapper de mes lèvres en reconnaissant Hammer. Quelle petite peste celle là. Je fronçais les sourcils. « C'est vous qui m'êtes rentrée dedans. », lui avouais-je en fronçant les sourcils. « Mais bon, puisque vous insistez... » Je laissais tomber le contenu de mon verre à moitié vide sur ses vêtements. Oui, je suis un sale gosse, mais elle n'est pas mieux. « Voilà, là, vous avez une raison de hausser la voix sur moi. » Petit sourire arrogant.
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MessageSujet: Re: " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● EmptySam 3 Sep - 21:02

Je levai les yeux pour voir à qui j’avais affaire et eu un léger sursaut de surprise en tombant nez à nez avec le professeur O’Malley. Pourquoi fallait-il que je tombe sur LUI évidemment ? Il faisait partit des personnes que je détestais le plus à San-Francisco et que je voulais absolument éviter. Dès que nous nous retrouvions face à face cela se terminer généralement en eau de boudin, chacun essayant de blesser l’autre. En somme de véritables gamins pour résumer.
Il reflétait tout ce que je pouvais haïr chez un homme, tout comme je pouvais être le genre de femme qu’il ne pouvait pas voir en peinture.

Je sorti de ma torpeur lorsque je l’entendis prendre la parole « C'est vous qui m'êtes rentrée dedans. » Comment ça, c’étais moi qui lui était rentrée dedans ?! Il n’avait qu’à pas être planté là, en plein milieu du chemin, comme un dadais. Il ne fallait pas s’étonner qu’après, ce genre de choses se passent. « Mais bon, puisque vous insistez... » J’eu à peine le temps de réagir qu’il me renversa le reste de son verre sur mes vêtements déjà passablement imprégner d’alcool. Je me reculai tout en poussant un cri, offusqué, et en regardant mes pauvres habits, complètement fichus.
Je relevai la tête, tout en ayant la bouche ouverte dû à la surprise et prête à répliquer.
« Voilà, là, vous avez une raison de hausser la voix sur moi. » Mais pour qui se prenait-il celui-là ? Monsieur était professeur à Berkeley et moi étudiante là-bas donc il pouvait tout se permettre peut-être ? Il se mettait le doigt dans l’œil, et royalement ! O’Malley voulait jouer ? Et bien il allait être servit !
Je balayai du regard la salle du DNA Lounge à la recherche d’une quelconque « arme » de riposte car je n’allais pas m’avouer vaincue aussi facilement, cela lui ferait bien trop plaisir.
Je souri de contentement, un serveur se trouvait juste derrière O’Malley, un plateau dans la main supportant différents cocktails. « Parfait » pensai-je à ce moment-là.
Je m’approchai donc de O’Malley, le regard malicieux. Seulement quelques centimètres nous séparez désormais ; je positionnai ma main droite derrière sa nuque et pencha la tête de l’autre côte jusqu’à atteindre son oreille avant de lui murmurer « C’est dommage, pour une fois que vous aviez fait l’effort de bien vous habillez. » Tout en lui parlant, j’avais attrapé sur le plateau du serveur un verre remplit de bloody Mary que je lui renversai sur la tête, en prenant soin de mettre reculée à temps afin de ne pas me faire éclabousser.
Je ricanai en voyant le résultat tout en le regardant avec mépris.
« Magnifique professeur ! Je suis sûr que cela fera un remarquable soin pour vos cheveux !
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MessageSujet: Re: " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● EmptySam 10 Sep - 11:42

" La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● 556950tumblrlh5e5pvbzL1qf384j




Avec Ivana, le temps était à la bêtise. Nous ne nous appréciions que très peu et chacun était toujours partant lorsqu'il s'agissait de faire des coups bas à l'autre, ou bien de l'humilier devant quelques personnes, voir une foule entière. Dans les faits ? J'ai déjà enfermé la jeune femme dans une salle de cours pendant trois heures d'affilé, uniquement pour la faire criser. Pour ma part je me suis déjà reçu en pleine figure une carafe d'eau lors du déjeuner à la cafétéria tout comme j'ai déjà écrasé une assiette de purée contre son visage. Les étudiants voyaient en notre relation explosive une immense air de jeux, un spectacle humoristique des plus poilants. Ainsi, il n'était pas rare de voir quelques sourires s'esquisser quand il voyait qu'Ivana et moi étions dans la même pièce. Pour les supérieurs, comme ma nouvelle femme, Maria, directrice de l'université, l'ambiance était moins à la rigolade. Il ne fut pas rare que Hammer et moi nous retrouvions dans le bureau de mon épouse pour nous faire gronder comme des enfants de cinq ans. Mais rien à faire, nous avions beau promettre de faire des efforts chacun de notre côté, quand l'occasion se présentait à nouveau, nous nous faisions les plus belles crasses possible.

Et ce soir n'échappait pas à la règle. Après qu'Ivana m'est foncé dedans et m'est engueulé devant une partie du bar, je n'avais trouvé, pour me défendre, que la solution de lui renverser une verre sur ses vêtements apparemment tout juste achetés. Oui, je suis persuadé que Hammer ne fait jamais de lessive, qu'elle ne met qu'une fois ses fringues, puis poubelle, elle va en racheter d'autre. Peut-être j'exagère, mais je ne dois pas être loin de la vérité. Mon regard croisa le sien, plus sadique. Pour ma part, j'arborais une expression de défi, avec les yeux plissés, comme un cowboy dans une rue poussiéreuse, face à son ennemi et prêt à livrer un duel au pistolet. Elle s'approcha de moi. Je la laissa faire, sans trop savoir pourquoi. « C’est dommage, pour une fois que vous aviez fait l’effort de bien vous habillez. » Je fronçais les sourcils. J'étais toujours élégamment vêtu lorsque je me retrouvais à Berkeley. En effet, étant professeur dans une des plus grandes universités du monde, je me retrouvais dans l'obligation d'être présentable en toutes circonstances. Ça ne me gênait pas vraiment dans la mesure où les costards m'allaient bien. Et puis, une fois chez moi, je pouvais de nouveau porter mes vieux T-shirt et autres jeans délavés.

« Magnifique professeur ! Je suis sûre que cela fera un remarquable soin pour vos cheveux ! » Et au même moment, je sentis un liquide couler sur mes cheveux. Par réflexe je faisais un bond en arrière et passais ma main au dessus de ma tête pour recueillir quelques gouttes d'un liquide rouge sang. Mes sourcils se froncèrent à nouveau. Elle voulait la guerre ? Très bien ! Je m'approchais d'elle. « Au fait, je m'habille peut-être mal, mais au moins, je ne fais pas des études inutiles dans l'espoir de créer des fringues affreux portés par des anorexiques au bord du malaise pour quelques défilés de mode. Des fringues immondes, qui, malgré tout, seront fixés à un prix cher et achetés par des filles sans cervelle comme vous parce que papa et maman donnent beaucoup d'argent de poche. » La vexer ? J'en rêvais. La voir pleurer me ferait jouir sans aucun doute. Et la voir sortir de ma vie me produirait le plus grand des orgasmes. J'attrapais le verre d'une femme assise à une table, menaçant. Jusqu'à ce qu'on se fasse tous les deux arrêtés dans notre élan par des hommes de sécurité. On me tirait en arrière. « Vous deux, DEHORS ! », entendis-je alors qu'Ivana comme moi étions poussés vers la sortie. Et malgré l'idée de se débattre, en quelques minutes, nous nous retrouvâmes tous les deux à l'extérieur avec l'interdiction formelle de rentrer de nouveau ce soir sous peine de voir les flics débarquer. « Vous êtes fière de vous ? Qu'est-ce qui a prit à vos parents de concevoir une merde comme vous ? À leur place, je me serais empressé de vous tuer à la naissance. »
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● EmptyLun 26 Sep - 23:04

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MessageSujet: Re: " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● " La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu." ● Edward O'Malley ● Empty

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