the great escape
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take care of your heart, baby ●● the golden trio.

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MessageSujet: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptySam 8 Oct - 0:37

take care of your heart, baby ●● the golden trio. Tumblr_lpvywzpe8O1r0rmoxo1_500

take care of your heart

she is an heart breaker. •• Écoute Bernard... J’crois que toi et moi, on a un peu le même problème ; c’est qu’on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est oublies qu’t’as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher... the golden trio.


Ecouteurs aux oreilles, volume au maximum et paroles aux lèvres, Charlotte remontait sa quatrième série crunch, les joues à peine rosées alors que sa voisine avait déjà rendu l’âme. Elle lui adressa un magnifique sourire compatissant de sa plus haute faux-culetée, et continua son va et vient en reportant son regard vers un point invisible face à elle. Trois semaines que les cours avaient repris. Ou plutôt, commencés, dans le cas de Chuck. Première année d’université, limite, première année d’étude tout court. Après le lycée, on la voyait très peu potasser pour trouver une bonne école ou même un boulot précis. Elle n’en avait pas vraiment besoin, en fait ; les têtes d’ampoules, ça se débrouillent toujours alors que les autres rament. Ca avait ses avantages ; et cette année, ça avait été d’être reçue à Berkeley d’un simple coup de téléphone en énumérant son dossier scolaire et en faisant une blague féministe. La Chuck blasée avait fait son come-back et s’était ramenée à SF deux mois avant la rentrée, reprenant possession des lieux sans trop de peine, avec juste la désagréable sensation d’être de retour chez elle. Encore peu habituée à l’environnent qui avait fait de son enfance un cauchemar, elle y retrouvait cependant une certaine stabilité qui la confortait dans l’idée que faire un nouvel essai dans cette ville ne pouvait pas être si mal. Elle avait débuté dans la filière psychologique avant de se spécialiser dans le comportement criminel. Elle l’avait fait les yeux fermés, comme si c’était une évidence d’étudier ses gênes dans un amphithéâtre bondé administré par un trentenaire à peine sortit d’Harvard. Le cynisme de la belle alpha était à peine perceptible en temps normal, seulement, dès qu’elle prenait ses marques à un endroit, elle semblait comme leste de faire ce que bon lui semblait. Casser du sucre sur les gens n’était pas son passe-temps préféré, mais il fallait bien avouer que lorsque votre voisin d’amphi vous demande si des pulsions meurtrières vous habitent comme chez lui, c’était difficile de résister à la tentation.
Bref. Nous étions mardi, journée assez pourrie il fallait bien le dire, malgré les restes de chaleur estivale. Certains trainassaient sur l’herbe du campus pour profiter des dernières journées de beau temps, alors que d’autres s’enfermaient dans leur chambre pour finaliser leur fiches sur la théorie du complot d’après John Douglas, célèbre profiler qui nous coûtait une disserte de quinze pages pour lundi prochain. Charlotte avait terminé la première moitié de son devoir et laissait la deuxième pour le week-end, comme à son habitude. Elle avait enfilé un short et un tee-shirt, s’était mit un bandeau de grand sportif dans les cheveux et était partie courir un bon quart d’heure bouteille d’eau en main avant de passer par la salle de musculation et de fitness. Elle n’avait vraiment rien à perdre, pas un kilo de graisse, elle s’entrainait plus pour le plaisir que pour restructurer son corps tout en finesse ; ce qui avait le don de susciter quelques regards noirs de ses coéquipières. Elle aurait facilement pu atterrir chez les Iotas, avec son mental d’acier et son corps de ballerine, mais non. Finalement, non. Deux séries plus tard, elle se relevait et attrapait sa bouteille qu’elle vida presque entièrement avant de vider le reste dans sa main pour hydrater son cou et sa nuque. Elle rejoignit Bowie, son petit rayon de soleil, assise plus loin sur un des tapis bleus de la salle. Elle s’adossa à un poteau de poutre, reprenant encore son souffle, avant de commencer à taper la discute avec la sampi. Presque instantanément, un autre rayon de soleil vint égaiement cette journée ; c’était Malcolm, un iota plutôt désirable sur lequel louchait Chuck depuis son arrivée. Elle lui fit un petit signe de capitainerie peu prononcé, avant de lancer nonchalamment un « Malcolm, toujours un plaisir. » agrémenté d’un sourire malicieux.
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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptySam 8 Oct - 0:43

A TROIS, C'EST TROIS FOIS MIEUX Et là, le gars me dit « J’ai un p’tit zob moi en tout cas, mais je m’en contente, comme ça je peux porter des sous vêtement moins grands ». J’ai rien compris. Ca doit être génial pour lui, mais j’ai rien compris. don'cha wish you were us ?


J’avais l’impression de me balader dans le royaume des pigeons, et que mes semblables me traitaient comme leur roi. Et ça m’énervait, car je m’étais toujours dit que le seul endroit au monde où c’était la honte d’être le roi, c’était dans le royaume des pigeons. Pourtant, j’avais atteint cette place sans aucune difficulté, non, juste en laissant mon Ego supérieur et ma crédulité guider mes sens. C’est pour ça que j’avais quitté ma place toute moulée au sommet de Stanford, en tant que la mascotte la mieux cotée de Californie, pour venir me faire tout petit dans l’université qui avait les équipes de sport les mieux cotées de Californie. Je pensais être accueilli comme un roi, ouais, c’est clair, mais pas comme ce type de roi. Je voulais être la mascotte de l’équipe première de basketball, pas la mascotte de remplacement des footballeurs. J’étais fait pour le gymnase, moi, pas pour le terrain plein air, sous la pluie en hiver, à me les geler, sentir mes poumons se resserrer dès que je ferais un effort dans le froid. Bon, je dramatise, c’est vrai qu’on est en Californie et que les saisons n’existent pas, mis à part l’été, mais c’était comme ça que je le ressentais. Je m’étais fait pigeonner, et c’était un connard de roux qui avait pris ma place au sommet. Il allait bien voir comment j’allais le reléguer à la deuxième place, cet enfoiré.

Dans ce dessein, j’avais besoin de m’entraîner, toujours plus. Même si j’avais déjà fait mes preuves en tant que mascotte en gagnant chaque concours auxquels j’ai participé, il était improbable que je me repose sur mes lauriers. Il me fallait au moins deux heures de sport en salle par jour, plus un jogging de plus d’une heure chaque matin et chaque soir. Désormais, je n’allais vivre que pour le sport, abandonner la clope, abandonner la fête… Enfin, non, peut-être pas la fête. La seule chose que je ne comptais pas abandonner, tout simplement parce que c’aurait été plus qu’impossible, c’était la drague. Mon vrai terrain de jeu, serrer des minettes dans tous les recoins. Mon vrai sport, avec le cheerleading, c’était le rentre-dedans, et j’étais plutôt doué pour ça, d’ailleurs. J’avais trois proies, pour l’instant. Tout d’abord, Constance, la capitaine des pom-pom girls, donc celle que je devais absolument avoir pour compléter mon tableau de chasse. Je me suis fait les capitaines de toutes les équipes dans lesquelles j’étais passé, et celle-là était particulièrement attractive ; je ne pouvais pas passer à côté. Ensuite, il y avait Chuck, la fille farouche, au sourire coquin, qui, je le savais, mourrait d’envie de moi, et je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir la satisfaire. Et pour finir, la dernière mais pas la moindre, il y avait Bowee, la Sampi, la peace and love, le genre de fille qui ne se pose pas de question et qui se laisse faire. Comme en plus c’est un vrai canon, ça ne devrait pas être déplaisant.

Je m’étais donné un mois pour les pécho toutes les trois. Je n’avais pas de rêgle, je pouvais faire exactement ce que je voulais pour arriver à mes fins, mais pour le challenge, j’allais attendre d’elles qu’elles soient consentantes. Chuck et Bowee seraient mes distractions, Constance serait ma récompense. J’avais tout prévu, et dans mes plans, il n’y avait qu’une étape : user de tous les moyens pour les faire finalement craquer. Ce que je n’avais pas prévu, c’était que je doive affronter deux d’entre elles de front, l’une avec l’autre. C’était un dilemme de devoir me comporter comme toujours avec les deux, parce qu’elles finiraient par comprendre qu’au final, je me fous royalement de leurs gueules. Et cet après-midi, mardi, à la salle de sport, ça se produit.

J’étais pénard en train de faire des exercices d’assouplissement sur les tapis, pour entraîner mon dos à toutes mes acrobaties du soir – je parle des matchs, bande de perverses – quand j’ai d’abord aperçu la tête toute brune de Bowee. Ca me faisait déjà très plaisir – et comprenez ce que « très plaisir » signifie pour un gars d’une vingtaine d’années – de la voir, et je me dirigeais déjà pour aller l’accoster alors qu’elle s’assouplissait sur les tapis. Mais c’était sans compter une autre voix, celle d’une fille toute petite, toute mince, toute frêle qui était cachée par un des énormes poteaux, qui s’éleva en premier. « Malcolm, toujours un plaisir. » Fuckin shit, j’étais pris. Je ne paraissais pas mal à l’aise extérieurement, mais mes organes étaient en réel conflit intérieur. Si je n’étais pas déjà tout transpirant des heures d’haltérophilie que je venais de passer, elles auraient pu voir les goûtes liées au stress perler sur mon front. Dude, il fallait que je m’en sorte. Et c’est là que je me suis rendu compte qu’il me suffisait de faire Malcolm. Ce n’est pas comme si j’avais passé deux mois à courir après l’une comme l’autre, leur avouer mon amour et ma fidélité éternelle. Je les chauffais juste un peu de temps en temps. « Chuck ! Dis, j’ai remarqué que tu kiffais de reluquer… Peut-être que tu veux tâter un peu, aussi ? » Je lui ai tendu mon biceps bandé dont les veines ressortaient visiblement. J’ai gardé mon bras dans cette position quand j’ai tourné la tête vers Bowee pour lui faire un clin d’œil. Être charmeur, c’est mon métier. « Bowee, toujours un plaisir. » Phrase volontairement piquée à Chuck, parce que je savais que ça pourrait l’irriter. Chuck, elle me faisait craquer avec ses petits sourires détournés. Bowee, elle me faisait craquer tout court.

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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptySam 8 Oct - 0:45

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BOWIE, CHUCK & MALCOLM
" le trio "

► La vie n’est pas un sport qu’on se contente de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est en cours, qu’on le veuille ou non. Alors allez-y, discutez avec l’arbitre, changez les règles, trichez un peu. Faites une pause et soignez vos plaies. Mais jouez. Jouez ! Jouez le jeu. Jouez vite. Jouez librement. Jouez comme si il n’y avait pas de lendemain. D’accord, l’important n’est pas de gagner ou de perdre, l’important c’est la manière de jouer. Vous ne croyez pas ? Grey's Anatomy.


Quelle journée pourrie. Entre les cours, le restaurant et les soirées, je ne savais plus où donner de la tête. Tout s'enchaînait tellement vite à Berkeley. Et le seul moyen de ne pas se perdre, de profiter de la vie, est de s'adapter au rythme de cette folle course. En plus de tout ça, je dois trouver le temps de faire du sport. Il est clair que j'ai parcouru des milliers de kilomètres simplement pour étudier, mais je n'allais pas me laisser emporter tout de même. Il faut garder le temps d'entretenir son corps, et surtout, de garder en forme son cœur. Plus tard, j'aimerais travailler dans la recherche sur les maladies incurables, pouvoir enfin libérer de leur fardeau un bon nombre de personne. Et si je veux réussir à atteindre mon objectif, il faut d'abord que je pense à ma propre santé. Université ne rime pas avec prise de poids, il faut juste savoir gérer. De mon côté, je gère la chose assez bien. Par contre, les sorties se faisant de plus en plus fréquentes, il faut veiller à ne pas aller dans l'excès, chose que par contre, je ne gère pas assez. La preuve ce week-end : j'étais un vrai déchet. Ce n'était pas totalement de ma faute non plus. Boire trop d'alcool et fumer en même temps, ça ne fait vraiment pas bon ménage. Un jour arrivera où je ne pourrais plus me comporter ainsi. J'avais l'habitude à New-York pourtant, mais ici, les fêtes étaient beaucoup plus grandioses, beaucoup plus poussées dans l'extrême, beaucoup plus intéressantes même. Enfin bon, passons.

A peine avais-je fini le service de midi que j'enfourchai mon vélo pour m'éloigner le plus rapidement possible de cet endroit. Serveuse, ce n'est pas un travail facile. Surtout quand il s'agit d'un grand restaurant chic de San Francisco. Les personnes aisées sont vraiment insupportables parfois. Souvent même. Cela fait maintenant trois mois que j'exerce, et je reste toujours étonnée par la grandeur de leurs caprices. Certains sont vraiment poussés, histoire de bien faire chier le personnel, et d'autre sont plus simplets, encore heureux. Les verres, le sujet favori de nos clients. Il peut-être légèrement rayé, chose que seulement eux peuvent apercevoir, ou alors la couleur ne serait pas accordée harmonieusement avec le reste de la décoration de table. Sérieusement, ils commencent à me gonfler. Un verre de plus coûtant une fortune qui se retrouve à la poubelle. Limite si un lot de six ne couvre pas la totalité de mon salaire. On n'y peut rien, il y a toujours eu des injustices dans le monde, et ce n'est sûrement pas aujourd'hui que tout s'arrêtera. Au contraire, même si je m'efforce de positiver, la société devient de plus en surprenante, dans tous les mauvais sens du terme. Comme on dit, quand on n'a pas le choix, on fait avec. Ayant besoin de ce travail pour vivre, je ne pouvais que relativiser, garder le sourire et exécuter leurs désirs comme un vulgaire esclave. Je préférais largement travailler au café, un lieu un peu plus accessible disons par les gens normaux. J'y ai d'ailleurs rencontré Chuck, une jeune femme adorable et pleine de vie. Dès que je passais un peu de temps avec elle, ma journée s'illuminait, elle devenait tout de suite plus agréable, beaucoup plus. Elle est mon petit rayon de soleil, mon alpha. Je tenais vraiment à notre amitié, l'une de mes plus belles rencontres ici.

Heureusement que l'université possède un complexe sportif car sinon, j'aurais eu difficilement les moyens de m'en payer une digne de ce nom. Avouons-le, le lieu est vraiment bien équipé. Sûrement aussi bien qu'un club privé. Les prix sont juste plus avantageux, du fait de notre statut d'étudiant. Au bout d'un quart environ, j'arrivais enfin à l'université. La plupart des élèves venaient en voiture, mais moi, je préfère le vélo. C'est plus physique, et surtout, plus écologique. Sac sur l'épaule, je traversais le campus pour me rendre jusqu'à la salle de sport. Après avoir enfilé un mini-short noir accordé à mon tee-shirt, je me rendais devant le miroir, pour rassembler mes cheveux en un joli chignon. Lorsqu'on a de belles jambes, pourquoi les cacher ? Enfin prête, le moment était venu de se défouler, enfin ! Installée confortablement sur les tapis, je commençais par une série d'étirement, pour ensuite me rendre sur un tapis de course. A peine avais-je eu le temps d'en faire quelques uns que Chuck vint me rejoindre. Je savais qu'elle venait souvent ici, mais c'est bien la première fois qu'on se retrouve ensemble. Très vite, la discussion prit le dessus sur l'exercice. Et puis, l'arrivée de Malcolm n'arrangea rien. « Bowee, toujours un plaisir. » dit-il après avoir salué Charlotte, d'une manière bien a lui, c'est le cas de le dire. Le jeune iota aimait bien se mettre avant, et il avait de quoi le faire. « De même, MILF. » J'adore l'appeler ainsi. Ce n'est pas très classe, certes, mais je trouve que ça lui va bien après tout. Je répondis à son clin d’œil par un petit sourire charmeur, celui d'une petite gamine qui sait qu'elle allait passer du bon temps. Parce que nous trois réunis, on vend du rêve. Et puis le malin sait très bien qu'il ne me laisse pas indifférente, et ce depuis un bon petit bout de temps. User de son charme, c'est ce qu'il fait. Et je tombe les deux pieds dans son jeu, comme une simple débutante.
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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptyDim 9 Oct - 13:11

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take care of your heart

she is an heart breaker. •• Écoute Bernard... J’crois que toi et moi, on a un peu le même problème ; c’est qu’on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est oublies qu’t’as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher... the golden trio.


Le golden trio réunit, ça vendait vraiment du rêve. C’était comme un cercle vicieux qu’aucun n’avait décelé ; Malcolm avait dans l’idée que les deux filles crevaient d’impatience de le dessaper, Bowie en bavait limite rien que d’y penser, et Chuck jouait à la fille qu’en avait rien à foutre. Le problème, c’était que ni Charlotte ni Bowie n’avait aperçu le manège de Malcolm. Il les entrainait toutes les deux alors qu’elles pensaient être l’unique objet de son désir. En même temps c’était normal ; elles étaient trop occupé à le regarder plutôt qu’à se regarder baver toutes les deux. Et elles avaient toutes deux deux manières distinctes de parvenir à leur fin. Chuck préférait le jeu du chat et de la souris, en faisant croire au iota que l’affaire était dans la poche, alors que Bowie lui offrait du charme. M’enfin, si Charlotte avait daigner tourner la tête pour regarder son amie qui dévorait Malc’ des yeux, elle aurait sûrement lâcher l’affaire. Elle n’était pas du genre à s’obstiner, ce n’était qu’un mec, un Malcolm, yen avait d’autres. Mais dans le moment, c’était celui-là qu’elle voulait. « Chuck ! Dis, j’ai remarqué que tu kiffais de reluquer… Peut-être que tu veux tâter un peu, aussi ? » Elle se contenta d’hausser un sourcil parfaitement épilé et s’exécuta, l’opportunité étant trop belle. Pas du genre à discuter trois heures sur le pourquoi du comment il pouvait bien lui demander de faire ça, Chuck agissait toujours comme bon lui semblait sans se poser de questions. Elle n’avait jamais été raide dingue des petits prétentieux qui se prenaient pour des dieux, mais le renouveau était tentant, alors why not ? Ce n’était de toute manière pas son grand amour, ni une obsession. Juste une distraction bien agréable qui, un jour, devra prendre fin d’une manière encore plus agréable. Ca prendra le temps que ça prendra. « Bowee, toujours un plaisir. » Elle savait qu’il ne faisait pas ça par hasard, et que c’était dans le seul de la rendre folle. Pour ne pas lui faire ce plaisir, elle sourit, faisant claquer sa langue, toujours son regard perçant suivant chaque faits et gestes du sportif.

La tête d’ampoule qu’était Charlotte avait beau ne pas avoir trouvée toutes les cartes du jeu de Malcolm, elle savait quand même pourquoi il était là, et pourquoi il faisait tout ça. Se ramasser des filles, profiter de certaines naïves et les jeter ensuite. Ca aurait du la répugner, pourtant en le regardant, elle se disait qu’il avait bien raison. Ca devait pas être mal. Profiter de la vie et des gens... Chuck tenterait peut-être une reconversion, à voir. Mais pour l’instant, c’était lui qui pensait les avoir dans la poche. Après que Bowie et Malc’ est finit de se regarder béatement, l’alpha attira son attention. « Malc’, tu veux bien me dire si mon grand écart est potable ? J’arrive pas à savoir si je suis assez... souple. » C’était petit, c’était laid, mais c’était trop bon. Fallait bien reprendre la main, et les atouts de la jeune fille, c’était de un sa taille fine, et de deux son corps de ballerine. Passant devant lui en lui adressant un clin d’oeil, elle demanda à Bowie de regarder aussi, histoire de dire "t’inquiète je lui fais pas du rentre-dedans vu que je t’inclus dans le truc, je veux juste l’avis d’un professionnel". Elle fit une roue parfaite pour finalement atterrir en grand écart, l’air de dire que c’était si simple que ça l’ennuyait à mourir. « Alors ? » Elle leva ses petits yeux charmeurs vers le iota puis esquissa un sourire à Bowie. Bitch please.
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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptyDim 9 Oct - 20:33

A TROIS, C'EST TROIS FOIS MIEUX Et là, le gars me dit « J’ai un p’tit zob moi en tout cas, mais je m’en contente, comme ça je peux porter des sous vêtement moins grands ». J’ai rien compris. Ca doit être génial pour lui, mais j’ai rien compris. don'cha wish you were us ?


J’étais très excité par la seule idée de me retrouver avec ces deux filles-là, en même temps. Tout ça parce qu’elles étaient extrêmement désirables… Même plus que ça. C’étaient Bowie et Chuck, merde ! On formait à nous trois un fuckin’ trio. Très dirty, comme ça. Ce n’était pas ce que je pourrais nommer un « golden trio », non, c’était dirty. Parce que dans ma tête, nous ne coexistions, nous trois, que dans le seul but de copuler fièrement et d’une façon totalement… Ouais, explicite comme il m’est interdit de l’être maintenant, quoi. A peine lui avais-je proposé que Chuck s’était précipitée pour toucher mon corps, à tâter mon muscle comme si elle m’examinait… Alors que je savais très bien qu’elle était déjà en train de mouiller sa petite culotte à imaginer lesdits biceps entourer son corps frêle. Elle voulait de moi beaucoup plus que je voulais d’elle, et c’est d’ailleurs pour ça que je voulais d’elle, en fait. Mais peu importe la cause, j’avais envie d’elle, c’était ça l’important.

Après Chuck, il y avait Bowie, qui avait sa manière bien à elle de me saluer. « De même, MILF. » De cette expression, j’avais pincé les lèvres. L’acronyme de mon nom complet était mon plus gros des complexes, et je ne savais jamais comment aborder les plaisanteries de mes condisciples à ce sujet. Bowie aurait été un gars, je lui aurais rêglé son compte à la spartiate, mais non, Bowie était une femme, et une femme que je désirais me faire. Il fallait que je la joue finement, agréablement, sans la brusquer ou être violent. Je suis un gars violent, mais pas avec les filles. Je lui ai fait un clin d’œil. De toute façon, elle savait très bien que je détestais quand elle m’appelait comme ça, et c’était sans aucun doute la seule raison pour laquelle elle continuait à le faire. « Oh, tu trouves ? J’ai pas l’impression d’avoir quarante ans, des énormes boobs et une libido incontrôlable, pourtant. » Colgate Smile On. Peu importe que ma plaisanterie ait été drôle ou pas, mon sourire qui suivait lui aurait fait tout oublier, je lui aurais annoncé que sa mère venait de décéder en mettant au monde un éléphant qu’elle n’aurait pas relevé. J’avais les dents blanches parce que mon occupation principale était de me les brosser une dizaine de fois par jour.

Je me serais bien attardée plus longtemps sur Bowie, qui avait l’air de s’effacer face à l’imposante présence de Chuck, mais encore une fois l’Alpha se fit savoir. « Malc’, tu veux bien me dire si mon grand écart est potable ? J’arrive pas à savoir si je suis assez... souple. » Je l’aurais bien remballée en lui faisant savoir que je n’avais cure de ce qu’elle pouvait faire de ses jambes, mais c’était faux ; c’était tout ce qui m’importait, de savoir ce qu’elle savait faire de ses jambes. Elle s’étendit face à moi. Je me suis mordu la lèvre inférieure. J’avais beau fréquenter l’élite des pom-pom girls vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, je ne me lassais toujours pas de voir une fille me prouver sa souplesse. C’était incroyablement sexy tant cette position était suggestive. « Alors ? » Alors, son grand écart était parfait, et si le short que j’avais n’était pas si large, j’aurais eu la honte de ma vie. Mais à cet instant, Bowie n’existait même plus. C’était juste Chuck qui m’appelait à forniquer ici même. Ni une ni deux, une seule enjambée m’a suffit pour me placer à son dos et poser mes mains sur ses hanches – ouais, j’étais donc accroupi – et pousser son bassin un peu plus vers le bas. « Ca risque de faire mal, mais c’est le prix de la perfection, ma belle. » J’ai poussé un gros coup, et si elle avait été à peine moins souple, on aurait entendu un os craquer. Nous étions tous passés par là un jour où l’autre. Maintenant, elle était parfaitement droite, et son grand écart était digne de la perfection. J’avais toujours mes mains placées sur ses hanches. Je lui aurais bien susurré un truc cochon à l’oreille, mais je me suis abstenu. « T’en penses quoi, Bowie ? Tu pourrais faire mieux ? » Je lui ai souri. J’espérais juste la voir dans une position aussi suggestive.


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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptyLun 17 Oct - 22:37

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BOWIE, CHUCK & MALCOLM
" le trio "

► La vie n’est pas un sport qu’on se contente de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est en cours, qu’on le veuille ou non. Alors allez-y, discutez avec l’arbitre, changez les règles, trichez un peu. Faites une pause et soignez vos plaies. Mais jouez. Jouez ! Jouez le jeu. Jouez vite. Jouez librement. Jouez comme si il n’y avait pas de lendemain. D’accord, l’important n’est pas de gagner ou de perdre, l’important c’est la manière de jouer. Vous ne croyez pas ? Grey's Anatomy.



Rien qu'en nous voyant réuni comme ça, je savais qu'on allait passer un moment fort agréable. Et pas des moindres. Entre mon humour pas drôle, que seul ma personne comprends, les petites provocations de Chuck qui rendent fou Malcolm, je confirme, ça promettait d'être amusant. Quand on regarde bien, tous les trois avons les mêmes objectifs : passer une bonne soirée, si vous voyez ce que je veux dire. Du moins, je ne rêvais que de ça moi. A chaque fois que j'étais en sa présence, j'y pensais d'ailleurs. Etrange pourtant, ce n'est pas vraiment mon habitude de sauter sur tout ce qui bouge, mais quand il s'agit de Malcolm, tout prend une ampleur différente. Evidement, je suis beaucoup trop fière pour faire quoi que ce soit. Parce que je suis quasi-certaine qu'il n'attend que ça, lui aussi. Après tout, il a bien réussi à se faire Chuck, ce qui n'est pas rien non plus. Enfin, là n'est pas la question. Je prends un malin plaisir à regarder Chuck tâter les muscles du sportif, la manière dont elle s'est précipitée était tellement drôle. Quoique à sa place, je pense que j'aurais fait pareil.

« Oh, tu trouves ? J’ai pas l’impression d’avoir quarante ans, des énormes boobs et une libido incontrôlable, pourtant. » Je ne me lasse jamais de ses réponses et surtout, de ses dents parfaitement blanches. Même si son sourire était à tomber, je n'allais tout de même pas le laisser gagner de la sorte. «  De nos jours, on fait des merveilles, c'est facile de cacher sa vraie nature. Enfin, j'avoue quand même que dans ton cas, c'est limite improbable, pas de doute, t'es bien un petit gars. » C'est vraiment mauvais comme remarque, mais tellement drôle, tellement énorme. Comme le nez en plein milieu de la figure. Short large n'assure pas une sécurité totale. Nous ne sommes jamais à l'abri à cent pour cent. De toutes façons, j'allais très vite remarquer que niveau bassesse, il y avait mieux que moi. Bien sûr, il n'y avait que Chuck pour m'égaler, voir même me dépasser : « Malc’, tu veux bien me dire si mon grand écart est potable ? J’arrive pas à savoir si je suis assez... souple. » J'ai limite envie de la féliciter pour ce coup-là, la feinte parfaite. Puis lorsque celle-ci m'invite à donner un avis, juste histoire de faire comme si, je ne pus m'empêcher d'attendre la fin de la manœuvre de Malc, après tout, c'était lui le professionnel. « T’en penses quoi, Bowie ? Tu pourrais faire mieux ? » J'avais vraiment envie de faire mes preuves en retour, mais impossible. Je ne peux pas lui donner ce plaisir. Il va devoir faire preuve de patience avant. « Tu sais, je n'ai pas l'expérience de Chuck, va falloir attendre un petit peu mon coco. Je suis sûre que Chuck sera ravie de m'entraîner. » Je lève un sourcil interrogateur, accompagné de mon plus beaux sourire. Je sens que la suite va être encore plus excitante. Notre petit jeu, je l'adore.
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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptyLun 24 Oct - 15:36

take care of your heart, baby ●● the golden trio. Tumblr_ls3u2wd49L1r1s4vao1_500

take care of your heart

she is an heart breaker. •• Écoute Bernard... J’crois que toi et moi, on a un peu le même problème ; c’est qu’on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est oublies qu’t’as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher... the golden trio.

Ils assuraient. Y'avait pas vraiment d'autres mots pour les décrire. Chuck avait conscience de ça et en jouissait à chaque détour dans un couloir. N'importe qui n'aurait pas tenu aussi longtemps et aurait sûrement déjà commencer à arracher les vêtement du iota, alors qu'ici, l'attente était encore mieux que l'acte qui viendrait, elle en était sûre, plus tard. Ce n'était qu'une question de temps, et pourtant, elle n'était pas pressée. Parce que ce qui se passait là dans la salle de fitness, c'était leur quotidien ; autrement dit, c'était excitant. Et les malins qui tentait avec peine de ne pas les regarder et de faire mine d'étirer leurs muscles endoloris ne pouvaient pas dire le contraire.
Une Charlotte en présence de MILF n'était plus une Charlotte ordinaire. Une Charlotte ordinaire exhibait rarement ses atouts de souplesse, et ne parlait pas si mielleusement. Non, il pouvait être fier d'avoir ce spectacle juste pour lui. Et il semblait vouloir en profiter au maximum. Elle le sentit se positionner derrière pour appuyer d'un coup sec sur ses hanches. Aucune grimace de douleur n'apparut sur le doux visage de l'alpha, trop habituée à ce petit coup délivrant une décharge impressionnante dans le bas du ventre. Elle se sentait à présent à l'apogée de ses efforts de jeunesse, et si Malcolm ne s'était pas tenu juste derrière elle à guetter une possible déficience, Chuck aurait sûrement pousser un soupir de douleur. Pourtant elle resta droite, ne lui accordant pas le plaisir d'un regard assez expressif sur la situation dans laquelle ils se trouvaient, et après qu'il eut détourner son regard du bas de son dos, elle regarda à nouveau Bowie. « T’en penses quoi, Bowie ? Tu pourrais faire mieux ? » Elle regarda son amie en souriant gentiment, imaginant déjà par quelle feinte ingénieuse elle allait éviter de se craquer le bassin. « Tu sais, je n'ai pas l'expérience de Chuck, va falloir attendre un petit peu mon coco. Je suis sûre que Chuck sera ravie de m'entraîner. » Un large sourire complice se dessina sur les lèvres de la française, alors qu'elle se relevait de son grand écart aussi gracieusement qu'elle l'avait descendu -ne rien laisser passer- pour aller rejoindre son amie sampi et lui prendre la main pour l'entrainer sur un tapis. « On va arranger ça ma cocotte. » Adressant un regard malicieux à Malcolm, l’alpha fit s’asseoir Bowie et s’accroupit à côté d’elle avant de lui attraper la cheville et de l’envoyer aussi près de la tête de la sampi que sa souplesse le lui accordait. Les deux filles jouaient avec le beau iota, le faisaient saliver, le torturait... C’était ça le bon côté de la chose.
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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptyLun 24 Oct - 17:29

A TROIS, C'EST TROIS FOIS MIEUX Et là, le gars me dit « J’ai un p’tit zob moi en tout cas, mais je m’en contente, comme ça je peux porter des sous vêtement moins grands ». J’ai rien compris. Ca doit être génial pour lui, mais j’ai rien compris. don'cha wish you were us ?


Tous les trois, on était un modèle pour les jeunes. Pas un bon modèle, non, pas comme ceux que notre maman elle dirait « oh, regarde, comme ils sont mignons ensemble, tous les trois ! » (phrase qu’une mère ne dirait qu’en présence de chatons ou de bébés, jamais de jeunes adultes consentants), non, plutôt un modèle de télé réalité, où je serais l’enculé tiraillé entre deux filles. On écrirait sur moi dans des journaux peoples et toutes les gonzesses de la planète jureraient me détester, mais au fond, elles n’auraient qu’une seule envie : s’envoyer en l’air avec moi. Et puis, peu importe, traitez-moi de salaud si l’idée vous chante ; je n’ai pas l’impression de faire quoi que ce soit de mal dans l’optique ou Bowie et Chuck savent pertinemment qu’il n’y a et n’y aura jamais aucune histoire ou relation type "amour" entre nous. Je n’étais même pas sûr de pouvoir un jour assumer la tâche d’être un ami fiable ou quoi que ce soit, alors elles allaient devoir se satisfaire de mon corps, seulement et exclusivement mon corps, peu importe quand et peu importe comment. Et cela faisait déjà quelques semaines que notre jeu durait, alors pour moi il était grand temps d’y couper court. J’en avais marre de leur tourner autour, et en même temps je me délectais de ces moments à essayer d’en faire craquer l’une avant l’autre, pour m’en pécho une tout autant que pour voir la réaction de la seconde. Je les savais tellement sournoises à mon sujet que j’étais certain qu’il n’y aurait pas de bagarre de fille, pas de « pince-moi le bras, que j’te tire les cheveux », mais bien plutôt quelque chose de plus pervers, de la vengeance à l’état pur… Et je serais l’intrument de cette vendetta – du moins, c’était comme ça dans mes fantasmes.

Bowie était une fille parfaitement faite. Comme si l’usure de l’histoire n’avait pas eu d’effet sur elle, comme si elle était la première des créatures divines, comme si Dieu l’avait lui-même moulée. Si je devais faire un top ten des filles que je voudrais un jour avoir, toutes catégories confondues – avec Jennifer Aniston en tête, évidemment – elle y trouverait sa place. Elle avait physiquement tout pour elle ; moi qui n’était pas un amateur de la superficialité, je trouvais mon compte en plongeant mon regard sur elle. En plus d’un corps parfait, elle était belle. En plus d’être belle, elle avait de l’esprit. J’étais gagnant dans l’affaire, à tous les coups. « De nos jours, on fait des merveilles, c'est facile de cacher sa vraie nature. Enfin, j'avoue quand même que dans ton cas, c'est limite improbable, pas de doute, t'es bien un petit gars. » Aich. Ma virilité l’emporterait donc toujours. J’ai fait craquer mes phalanges, articulations des doigts, en lui faisant un réel Colgate Smile et en bandant discrètement mes muscles. Un homme, il était clair que j’en étais un ; et pas un PD, ça, c’est clair. « Ca c’est rien de le dire. Et attends que je te le prouve, un homme comme moi… On en trouve pas à tous les coins de rue. » Au niveau souplesse, franchement, peu me chaud ; je suis suffisamment souple pour deux, au lit comme dans la vie. Mais si elle manifestait réellement sa volonté de s’améliorer, je serai le dernier à refuser de l’aider. « Tu sais, je n'ai pas l'expérience de Chuck, va falloir attendre un petit peu mon coco. Je suis sûre que Chuck sera ravie de m'entraîner. » Ces deux cochonnes s’amusaient à me chauffer au maximum. J’avais déjà une Chuck à proximité, il fallait que Bowie s’y mette aussi.

Chuck, si pour moi elle n’était pas à la hauteur de Bowie au niveau de physique, la dépassait sérieusement dans un autre domaine ; j’étais bien plus intéressé par elle dans l’optique où elle était à peu près tout ce que j’attendais chez une fille. Elle était drôle, intelligente, cultivée, explosive, bonne, souple et tout ce qui s’en suit. Et même si elle n’était pas aussi attrayante que Bowie au niveau physique, je trouvais qu’elle avait énormément de charme. Enormément. Et si je devais choisir une fille pour avoir une relation sérieuse, ou une relation tout court, en fait, je choisirais Chuck. Heureusement que je n’avais pas à le faire. « On va arranger ça ma cocotte. » c’est quand elles ont commencé à faire des trucs vraiment très, très, très, très, très chaud toutes les deux, juste devant mes yeux, avec leurs regards aguicheurs et leurs jambes écartées que je me suis demandé ce qu’on foutait toujours en plein milieu d’une salle de sport. Si je m’étais approché d’elles pour les conseiller sur comment faire leurs exercices, je me serais probablement fait arrêter pour abus sexuel dans un lieu public. Je me suis mordu quasi jusqu’au sang ma lèvre inférieure. Il fallait sérieusement que quelque chose se passe. Elles me faisaient languir et je détestais ça. Soit je me jetais sur l’une d’entre elles dans le vestiaire, soit je les faisais languir à mon tour et terminais ma soirée dans les bras d’une autre, déchargeant sur elle mon trop plein d’excitation de la journée. « Je vais prendre une douche. J’emmène la première qui sort boire un verre. » qu’elles se battent, maintenant. Je me suis un peu approché d’elles pour faire je ne sais quoi, humecter le mélange de leurs odeurs corporelles ou un truc du genre, puis je me suis éloigné avec une tête de beau gosse, marchant en arrière pour ne pas rater une seule seconde de plus de leur magnifique jeu de jambes. Je suis sorti de la salle pour prendre une douche, bien froide histoire de me détendre un peu après toutes ces émotions, je me suis rhabillé, passé un coup de déodorant, coiffé, puis je suis sorti, mon sac de sport sur l’épaule, m’adossant au mur du complexe sportif en attendant la chanceuse qui sortirait toute sourire. Elles n’avaient plus qu’à se battre.
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MessageSujet: Re: take care of your heart, baby ●● the golden trio. take care of your heart, baby ●● the golden trio. EmptyDim 4 Déc - 22:23

take care of your heart, baby ●● the golden trio. 111008030235376452

BOWIE, CHUCK & MALCOLM
" le trio "

► La vie n’est pas un sport qu’on se contente de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est en cours, qu’on le veuille ou non. Alors allez-y, discutez avec l’arbitre, changez les règles, trichez un peu. Faites une pause et soignez vos plaies. Mais jouez. Jouez ! Jouez le jeu. Jouez vite. Jouez librement. Jouez comme si il n’y avait pas de lendemain. D’accord, l’important n’est pas de gagner ou de perdre, l’important c’est la manière de jouer. Vous ne croyez pas ? Grey's Anatomy.


« Ca c’est rien de le dire. Et attends que je te le prouve, un homme comme moi… On en trouve pas à tous les coins de rue. » Qui n'a jamais rêvé du corps de ce petit Malcolm ? En plus d'avoir une gueule d'ange – qui cache bien de nombreuses pensées pas vraiment angéliques finalement – il a le corps qui va avec. Ce n'est pas mon genre de sauter sur tout ce qui bouge, ou alors de me jouer d'un homme. Mais quand il s'agit de Malcolm, la tentation est trop forte. Et c'est vraiment distrayant. Le but du jeu est de voir qui craquera le premier, et je sens que la fin est bientôt proche. En même temps, comment pourrait-il résister à deux jolies jeunes femmes comme Chuck et moi ? Mission impossible à mon avis. A cette heure-là, il devrait s'inventer plein de petites scènes, ce qui ne m'étonnerait en rien venant de lui. « J'ai hâte que tu fasses tes preuves dans ce cas, et tu as intérêt d'être à la hauteur. » lui dis-je avec un sourire en coin. Je sais très bien à quel il doit être parfait, mais les hommes aiment qu'on les défie, ça les rend fous. « On va arranger ça ma cocotte.»  A peine avais-je demander de l'aide que Charlotte se dirigeait vers moi pour commencer la torture. Mais dans quoi je m'embarque ? J'imagine déjà la douleur au moment du mouvement final. Affreux. Mais rien qu'à voir la tête de Malcolm qui en demandait secrètement plus à chaque fois me donnait envie d'aller jusqu'au bout. Et puis, je suis bien capable de cacher la grimace qui se dessinera probablement sur mon visage. Je suis forte à ce jeu. Enfin, nous étions fortes à ce jeu, c'est vraiment le cas de le dire.

Pendant que nous faisions des exercices de souplesse, nous exagérions un peu trop dans nos mouvements, les rendant plus sensuels et surtout plus aguicheurs. Heureusement que nous sommes à l'université, parce que si un pauvre gosse nous voyait en ce moment, il en serait traumatisé à vie. Je m'étonne quand même dans mon comportement. Je ne me pensais pas capable de jouer aussi bien. Mais avec la collaboration de Charlotte, ce petit cinéma ne pouvait que bien se passer. Chaques geste, parole et mouvement étaient soigneusement étudiés. Même si ça n'en a pas l'air, nos esprits chauffent, en trouvant le meilleur moyen de rendre notre camarade mâle dans tous ses états. L'effet désiré était très vite obtenu, un peu trop d'ailleurs. Trop faible ce petit. Tellement qu'il partit dans les douches. Trop d'émotion pour lui à mon avis. En même temps, il y a de quoi.

« Je vais prendre une douche. J’emmène la première qui sort boire un verre. » Toujours préoccupées par nos acrobaties, nous le regardions partir, jusqu'à ce qu'il ne soit bel et bien plus là. Après ce qu'il venait de dire, il fallait bien monter un plan. Parce que nous ne sommes pas sottes non plus, il n'attendait plus que l'on se batte pour le rejoindre, et surtout, pour finir la soirée avec lui. Ce qui serait un signe de faiblesse je dirais. M'arrêtant net, je remerciais ma chère amie de m'avoir aussi bien coatchée pour rajouter ensuite : « Bon, on fait quoi ? On ne va pas se battre non plus ? Il faut trouver quelque chose pour le rendre encore plus dingue, tu vois ? J'imagine que tu as une idée fulgurante dans ton esprit en ce moment même. Alors je t'écoute. Je te propose quand même un petit quelque chose, cela va de soi. Et si on s'arrangeait pour sortir en même temps ? Comme ça, il sera encore obligé de subir nos provocations. » Game ooon bitchies.


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