Je ne comptais désormais plus le nombre de filles dont j’avais eu l’occasion de ramener sur le haut de ce toit. Oh que oui, il avait du s’en passer des choses sur ce toit. Rien qu’en pensant à la dernière fois où j’étais monté, c’était carrément un élément surprenant que j’avais appris. En effet, j’étais venu en compagnie d’Aislynn. Enfin, à vrai dire, elle était montée avant moi et puis, j’avais aperçu une silhouette depuis le bas alors je l’avais rejoins à mon tour. Je connaissais la belle Aislynn d’une soirée, nos chemins s’étaient croisés et puis, nous avions fini par coucher ensemble, le temps d’une nuit, de prendre son pied. J’étais repartit durant la nuit, sans lui laisser quoi que ce soit. De toute manière, elle connaissait mon parcours comme la plupart des étudiants de Berkeley. Rares sont ceux à qui le nom Thomas Johansten n’évoque rien, encore plus aujourd’hui étant donné que je suis devenu une célébrité mondialement connue. Nous nous étions plus jamais revu depuis cette nuit jusqu’à notre rencontre sur ce toit. J’avais commencé par jouer les beaux parleurs et la draguer comme je le fais si bien. Elle m’avait immédiatement arrêté pour me signaler que notre nuit passée avait été une grosse erreur. Elle avait appris quelques temps plus tard qu’elle était tombée enceinte de moi. Autant dire que ce fut une nouvelle qui me laissa sur le cul comme on peut le dire. Une chance pour moi, elle n’a finalement jamais eu ce bébé.

Cependant, malgré les pensés qui pouvaient me traverser l’esprit à cet instant, je décidai de les ignorer. Il y avait, devant moi, quelque chose ou plutôt quelqu’un de beaucoup plus intéressant. Chrisdynne dégageait un certains charme dont je ne nie pas être indifférent, au contraire. J’ai toujours préféré les brunes aux blondes, d’une taille relativement moyenne voire petite, aux longs cheveux. Chrisdynne comptait tous les aspects qui me faisaient envie. Et puis, je n’avais pas oublié ce qui s’était déroulé lors de notre précédente rencontre. Nous avions laissé en suspend un petit jeu de séduction qui allait sans aucun doute se terminer en une partie de jambes en l’air. Ce soir, je ne savais pas si ce jeu allait aboutir, comme il l’aurait fait la dernière fois mais en tout cas, c’était plutôt bien partit pour aller dans le même sens.

CHRISDYNNE : « Tu vois les preuves...Je suis toujours en forme Thomas pour garder ce corps tu en pense quoi ? »

La jeune Daryle avait donc finit par répondre de mes attentes. Elle venait de retirer le petit top qu’elle portait ce qui me laissait tout le plaisir d’admirer sa poitrine encore soutenue par un soutien-gorge tout à fait sexy de couleur rouge pétant. Pour rien au monde je n’aurais voulu que quelqu’un vienne nous interrompre alors qu’en fait, à n’importe quel moment, quelqu’un pouvait débarquer lui aussi sur ce toit. En l’occurrence, vu l’heure qu’il est, ce serait probablement le concierge qui dors quelques étages plus bas de temps en temps. En effet, c’est un type assez pauvre, du moins, suffisamment pour ne pas avoir l’argent nécessaire à vivre en ville dans un bel appartement.

THOMAS : « C’est vrai, je dois avouer que tu es très sexy dans cette tenue. »

Lui fis-je tout en souriant. Mais mes désirs ne s’arrêtaient pas là, loin de là. Après tout, c’était elle qui avait voulu jouer en premier, pas moi. Quoi que, c’était moi qui avait commencé par aborder notre soirée dans ce bar sur Sunset District c’est vrai …

THOMAS : « Mais bon, ce n’est qu’une petite preuve, ça ne suffit sûrement pas à me convaincre. »

Je savais qu’à tout instant, quelqu’un pouvait débarquer sur ce toit et nous interrompre. J’espérais cela dit que ça n’allait pas être le cas et que nous allions pouvoir continuer tranquillement les choses. C’était si agréable de partager cette soirée avec Chrisdynne. Elle était désormais en soutien-gorge, juste devant moi, debout, sa poitrine soutenue par un magnifique soutien-gorge de couleur vive. En rouge pour être plus précis. J’ai toujours adoré voir les femmes porter de la lingerie rouge, je ne sais pas pourquoi mais ça a toujours eu un effet certains sur moi. Le moins que je puisse dire, c’est qu’après toutes les poitrines dont j’ai eu l’occasion de voir, celle de Chrisdynne était particulièrement alléchante. Heureusement pour elle, le toit n’était que très peu éclairé. A vrai dire, seule une petite lumière à la porte permettant d’accéder direction au toit éclairait les alentours. Autant dire que les bâtiments annexes des confréries ne voyaient absolument rien. Il m’était déjà très difficile de distinguer le visage de la jeune Daryle alors forcément, les gens des alentours qui auraient le regard voyeur ne verraient à peine que des silhouettes ce qui n’est pas plus mal d’un certains point de vue.

CHRISDYNNE : « Tu n'as pas vu ma petite culotte de quoi elle a l'air...Elle est encore plus sexy que mon soutien-gorge rouge pétant. »

Au fond de moi, je ne demandais que ça. Après tout, je suis un homme et quand on m’offre une telle possibilité, je ne refuse pas. Après tout, ce n’était pas comme si je l’obligeais à faire quoi que ce soit. De plus, elle n’avait bu aucun verre d’alcool, du moins, elle me donnait l’impression d’être totalement sobre. Par contre, une chose qui m’étonnait beaucoup, c’était de la voir ainsi. Certes, lors de notre première rencontre dans ce bar, j’avais perçu en elle un côté de séductrice et d’allumeuse mais pas à ce point. De plus, elle m’avait dit qu’elle faisait partit de la confrérie des ALPHA si mes souvenirs sont bons. Une confrérie qui ne ressemble absolument pas à ça. Si je ne savais pas de quelle confrérie elle venait, j’aurais probablement dit que c’est une bêta. Et pourtant, non, elle fait partit de ces jeunes étudiants studieux qui pensent fortement à leur avenir et qui mettent toutes les chances possibles de leur côté pour réussi leur avenir. Je ne veux pas dire par là que les bêta ne sont pas comme ça, elles aussi se donnent beaucoup de peine dans leurs études. Malgré tout, elles sont souvent reconnues par leur façon d’allumer un gars comme le faisait justement maintenant Chrisdynne.

J’étais assez silencieux, je me contentai de regarder le magnifique spectacle qui s’offrait devant moi à mes yeux. Et puis, étant aussi une personne très joueuse, j’en avais profité pour lui faire savoir que pour moi, simplement retirer son top n’était pas suffisant pour me faire croire qu’elle est aussi en forme qu’elle ne l’était lors de notre précédente soirée. Je me demandais si elle allait prendre ma réplique de travers, me prendre par exemple pour un sale pervers ce qui m’était déjà arrivé à plusieurs reprises. Mais apparemment ce ne fut pas le cas. Elle retira son bas pour enfin terminer en sous-vêtements juste sous mes yeux.

CHRISDYNNE : « Tu vois la preuve que je suis en forme mon corps est tellement superbe à moins que tu me crois pas et que tu veules vérifier par toi-même ? »

Jusqu’à présent, j’étais assis parterre et je me contentai d’admirer le spectacle qui s’offrait à moi. Mais lorsque la jeune femme termina sa phrase, je me relevai gentiment afin d’être à sa hauteur. Je me dirigeai tranquillement vers elle puis déposai délicatement mes mains sur ses hanches pour ensuite descendre doucement le long de ses hanches pour ensuite poser mes mains sur ses femmes.

THOMAS : « Dit-moi, ce n’est pas la modestie qui t’étouffe à toi ! » rigolais-je « Ceci dit, je dois admettre que tu es plutôt pas mal et que tu provoques en moi toutes sortes de choses… »

Depuis ce qui s’était passé avec Heavynne, j’avais eu l’occasion de revoir de nombreuses filles. J’avais toujours pour elle cette impression étrange. En fait, j’étais persuadé ressentir quelque chose de fort pour elle mais je ne voulais pas l’admettre. Après tout, comment elle moi pourrions nous vivre une relation ? ça ne nous était pas permis tout simplement. Malgré tout, moi qui suis connu pour être un coureur de jupons, je n’avais pas profité d’une quelconque jeune femme, occupation qui fait pourtant partit de mes habitudes. Ce soir, je ne réfléchissais plus réellement à toutes les questions que je me posais depuis un certains temps quant à ma relation avec Heavynne, si elle allait s’arranger et aux dernières choses qui s’était produites dans ma vie. Je n’avais d’yeux et de pensés que pour la belle Chrisdynne qui, je devais l’admettre, m’excitait vraiment beaucoup. Peut-être que ce soir, pour une fois depuis plusieurs semaines, j’allais enfin me lâcher et reprendre le cours de ma vie habituelle. Le moins que je puisse dire, c’est que je ne regrettais en aucun cas d’avoir refait sa connaissance sur ce toit. Nous étions à l’abri des regards et je crois que ce n’était pas plus mal.

En effet, Chrisdynne était désormais bien décidée à continuer son petit jeu. C’est vrai que je m’étais fort investit dans son jeu mais celui-ci me plaisait beaucoup. A dire vrai, c’était surtout la jeune Daryle qui me plaisait. Après tout, j’imagine que je ne suis pas le seul homme à trouver que Chrisdynne est dotée d’une physique très attirant. Je n’étais déjà pas resté indifférent face à son charme naturel lorsque nous nous étions rencontrés dans ce bar sur Sunset District, mais ce soir, c’était d’avantage intense. Elle était à présent collée à moi, ce contact me provoquait presque des frissons, ce qu’avait toujours réussi à faire les femmes avec moi. C’est d’ailleurs sûrement pour cette raison que j’ai toujours recherché une certaine complicité avec celles-ci. La jeune ALPHA savait parfaitement comment entreprendre les choses, bien qu’elle ne me connaisse absolument pas, c’était un peu comme si elle arrivait à lire dans mes pensés et qu’elle devinait ce qui allait m’amener à la prendre contre moi.

CHRISDYNNE : « Ah oui intéressant tout ça...Tu sais que tu es pas mal toi non plus et non ce n'est pas la modestie qui m'étouffe. Je sais je suis une alpha d'habitude les filles sont sage mais moi j'ai un autre côté que tu as pu découvrir »

C’est vrai qu’elle était très loin d’être modeste. Cela me surprenait toutefois en sachant qu’elle fait partit de la confrérie des ALPHA. Comme la plupart des gens, je me suis toujours fait une image de cette confrérie. Pour moi, elle n’apporte pas un très grand intérêt et je me suis toujours dit que ce sont les ringards qui la fréquentent et je n’ai que très peu d’amis de cette confrérie voire pas du tout. Toutefois, une chose est certaine, Chrisdynne ne ressemble en aucun cas à l’image que nous pouvons nous, les autres, nous faire des membres de cette confrérie.

THOMAS : « Je suis assez chanceux dans ce cas. Je vais te faire une confidence : j’affectionne particulièrement bien cet autre côté de ta personnalité. »

En effet, je m’amusais beaucoup ce soir. C’est vrai que j’ai toujours aimé les femmes qui savent entreprendre les choses et je peux désormais affirmer que c’est le cas de Chrisdynne. La température de mon corps commençait gentiment à grimper et ce n’était que plus agréable. Je sentis la douceur de sa main se balader sur moi pour ensuite me pincer les femmes puis rester coller à mon fessier.

CHRISDYNNE : « Alors je te provoque encore certaines choses chez toi en ayant ma main juste ici ? »

Il est vrai que je n’entreprenais pas grand-chose de mon côté. Je dois admettre que c’est un élément que je n’ai pas l’habitude de faire. Je suis un charmeur, j’aime envoûté mes plans de séductions par de belles phrases, des sourires charmeurs et quelques blagues prêtes à faire rire n’importe qui au point de me rendre ridicule. Mais ce soir, il faut croire que c’était totalement différent. Ca n’était pas désagréable pour autant, bien au contraire même je dirais.

THOMAS : « Ouais, encore plus. C’est assez agréable je dirais… »

Chrisdynne toujours en compagnie de ce beau Thomas...En plus sur le toit du bâtiment très belle soirée c'était ce que la jeune Daryle voulait. Elle était toujours en sous-vêtements et jouait toujours ce petit jeu charmeur qui faisait en sorte que Thomas embarquait dans ce jeu et c'était encore plus intéressant comme soirée. Le toit était vraiment un endroit super personne pouvait voir ce qui se passait là-haut et c'était cela qui était encore plus amusant. Une chance qu'il ne ventait pas Chrisdynne risquerait d'attraper son coup de mort une façon de parler bien entendu.

Si jamais elle devait attrapé son coup de mort Thomas aura pas le choix de jouer au docteur avec elle. Mais pour le moment la chaleur envahissait le corps de Chrisdynne normal surtout avec Thomas. Sérieusement il avait rien de mieux que d'avoir un corps musclé coller à son corps pour que la chaleur envahisse notre jolie brune. Sur cela Thomas prit la parole en lui disant qu'il était assez chanceux dans ce cas là. Ce qui la fit sourire il enchaîna en lui disant qu'il devait lui faire une confidence. Il finit par lui dire qu'il affectionnait bien ce côté de sa personnalité elle le regarda et lui dit

Ah oui intéressant tu sais que tu vas peut-être en découvrir un peu plus sur ma personnalité elle se lécha les lèvres en le regardant droit dans les yeux.

Elle aimait bien son petit côté coquin sans doute que Thomas aimerait bien. Leurs corps étaient toujours coller l'un contre l'autre et la température devenait de plus en plus chaude entre les deux. Chrisdynne avait balader sa main sur le corps de Thomas et lui avait pincé une fesse et sa main était resté collé sur son joli fessier. Pour lui provoquer encore des petites chose la belle brune descenda sa main et la passa dans l'entre-jambe de jeune homme et avait frôlé la partie de celui-ci.

C'était assez hot comme soirée peut-être un peu plus qui sait...Alors Thomas prit la parole en lui disant encore plus que c'était assez agréable ce qui la fit sourire. La jeune brune montait et descendait le long de l'entre-jambe de Thomas et frôlait un peu plus sa partie quoi que peut-être Thomas lui dirait d'arrêter quoi que de la manière qu'il avait répondu c'était loin d'être déplaisant elle le regarda et lui dit

Ah oui et maintenant ?

Elle commençait à avoir un peu plus chaud qui dit qu'elle enlèverait pas son soutien-gorge elle aurait peut-être moins chaud. Elle allait peut-être laisser Thomas lui enlever vraiment ce soir notre jolie brune se sentait charmeuse et dragueuse ce qui lui plaisait vraiment beaucoup alors pourquoi pas en profiter.

Chrisdynne m’attirait de plus en plus c’était certains. En même temps, la jeune femme comporte tous les traits que j’ai de la femme parfaite en quelque sorte. Du moins, physiquement. En effet, comme presque chaque personne, il y a un certains types de femmes qui m’attirent. Avant, j’étais plutôt branché, belle blonde, forte poitrine, fesses rebondies et corps très sveltes. Aujourd’hui, je dois admettre que mon attirance à particulièrement changer. Les brunes m’attirent d’avantage et c’est bien pour cette raison que lors de notre première rencontre, j’avais abordé Chrisdynne. Pas simplement parce que son cuir chevelu est brun, loin de là. Mais ce soir-là, elle portait sur elle une magnifique robe assez serrée qui reflétait parfaitement bien toutes ses formes. Bien que maigre – presque un peu trop à mon goût – elle avait des courbes là où il le fallait. Nous n’avions malheureusement pas eu le temps d’aller au bout de notre discussion. Si on peut appeler ça une discussion… Ce soir, j’avais cette impression que nous n’allions pas être dérangés, qu’il n’y aurait aucun rendez-vous auquel ma présence est obligatoire, aucune personne ne m’attendant chez moi, j’avais toute la soirée devant moi. Et il y avait Chrisdynne, celle-ci ne semblait pas non plus être attendue ou que ce soit. Il n’y avait donc plus que cette magnifique jeune femme et moi, Thomas la star de cinéma.

CHRISDYNNE : « Ah oui intéressant tu sais que tu vas peut-être en découvrir un peu plus sur ma personnalité »

J’étais très loin de me douter qu’en montant sur ce toit ce soir j’allais faire sa rencontre pour la seconde fois. Je m’attendais très certainement à croiser d’autres personnes, mais loin de moi m’étais venu l’idée de participer à une activité aussi intéressante que celle-ci. La dernière fois que j’étais monté, on m’avait appris cette nouvelle qui a à jamais changé une partie de ma vie. Et pourtant, je n’ai pas pour autant changé mon mode de vie. J’étais persuadé rencontré quelqu’un qui, lui aussi rechercherait un moment de silence, une vue magnifique permettant de se libérer de toutes ses questions et ses pensés voire de trouver des réponses à ces questions. C’était en partie ce que j’étais en train de faire avec Chrisdynne. Bien que je me pose en ce moment beaucoup de questions, là, toutes ces questions étaient en train de disparaître petit à petit. Je n’avais d’yeux que pour la jeune Daryle et pour son corps absolument parfait. En fin de compte, ce que j’étais venu cherché, je l’avais trouvé.

THOMAS : « Ah oui ? Et bien sache que je n’attends que ça. »

C’était certains que le comportement de Chrisdynne me plaisait énormément. Sa main était toujours à la hauteur de mes fesses, posée délicatement sur mon jean Pepe Jeans London et des frissons parcouraient de plus en plus mon corps. Il ne s’agissait en aucun cas de frissons désagréables que l’on connait par exemple en temps froid, lorsque notre peau devient glaciale. Non, là c’était même tout le contraire. Et puis, il ne faut pas oublier qu’à Berkeley, il fait très rarement froid, même en hiver.

CHRISDYNNE : « Ah oui et maintenant ? »

Chrisdynne avait finalement déplacé sa main pour venir s’approcher de mon entre jambes. Autant dire que dès le moment où sa main se rapprocha de cet endroit assez sensible, je ressentis aussitôt une attraction très intense. C’était même difficile de rester calme dans des moments pareils. Je ne répondis cependant rien face à sa question, je suppose que la vision de mon visage lui suffisait amplement parce que tout ce que je ressentais se lisait clairement sur mon visage entrant dans un plaisir certains. Nos deux visages n’étaient qu’à quelques centimètres et quand celle-ci cessa enfin de frotter sa main dans les alentours de mon entre jambes, je me penchai doucement pour l’embrasser et glissser à mon tour mes mains sur sa poitrine pour ensuite lui défaire son soutien-gorge. Nous nous étions légèrement déplacé et dès à présent, j’étais appuyé contre un mur positionné juste à côté de la porte permettant l’accès au toit. Je me redressai légèrement puis je retirai mon t-shirt.

THOMAS : « Il faut quand même être équitable. » fis-je en souriant. En effet, Chrisdynne ne portait dès à présent plus que son string alors que moi, avant que je ne retire mon t-shirt je portais tous mes vêtements. Ce n’était pas vraiment très juste. Je laissai donc apparaître mon torse parfaitement bien entretenu, aussi bien que la poitrine généreuse de Chrisdynne à vrai dire …

Chrisdynne toujours coller contre Thomas aleur corps étaient collé l'autre contre l'autre. Elle était vraiment contente de l'avoir rencontrer une deuxième fois mais cette fois-ci elle n'avait pas de l'alcool dans le coprs elle était très consciente dans ses faits et gestes. C'était vraiment chaud comme endroit en ce moment Chrisdynne était super bien ce soir et surtout en très bonne compagnie. On dirait qu'elle ne se souciait pu de ses problèmes était disparu et c'était ce qu'elle voulait car ne voulait surtout pas gâcher sa soirée avec lui.

Chris avait une très belle personnalité et là en ce moment c'était son côté dragueuse qui était en jeu. On s'entends que Thomas aussi avait un côté charmeur et dragueur c'était ce côté qui plaisait à Chris. Qui sait un autre soi les deux jeunes pourraient apprendre à se connaître un peu plus car ce soir c'était pas l'endroit...Quand tu fais connaissance avec quelqu'un c'était plus dans un restaurant et une journée à la plage. Sur cela elle revena à elle parce que Thomas prit la parole en lui disant qu'il n'attendait que cela un sourire apparut sur ses lèvres et lui dit

Super crois je suis sûre que tu vas adoré

Chris avait déplacé sa main pour la passer dans l'entre jambe de Thomas...Elle vit que cela faisait de l'effet au jeune homme ce qui la fit sourire. Il n'avait pas répondu cela se voyait dans son visage que cela lui ferait un tel plaisir et un désir fou. Elle continuait mais là elle caressait un peu plus la partie du jeune homme tout en se mordant la lèvre inférieure. Thomas avait déposé un baiser sur les lèvres de Chris et ses mains s'étaient retrouvé sur sa poitrine et il enleva le soutien-gorge de celle-ci.

Les deux se retrouvaient donc près de la porte du toit. Thomas se retrouvera contre le mur et venait de retirer son chandail il avait toute une musculature. Il prit la parole en lui disant qu'il devait être équitable il venait de lui faire un petit sourire coquin ce qui plaisait à mademoiselle Daryle. Elle comprenait Thomas avait tous ses vêtements mais maintenant il se retrouvait en torse mais il devait être égaux en chris alors elle colla sa poitrine contre le corps du jeune homme et l'embrassait langoureusement et elle descenda dans le cou du jeune homme. Avec ses mains libre la belle brune détacha le jean de Thomas et maintenant il se retrouvait donc en boxer qui moulait ses fesses et lui dit en cessant de l'embrasser

Là c'est plus équitable non ?

Après ces quelques mots elle la partie de Chris se retrouvait coller à celui de Thomas et elle l'embrassa de nouveau et descendit dans le cou. Elle passa sa langue dans son cou et descendit le long de son torse et remonta vers ses lèvres. Des ses mains libres la jeune brune caressait le membre du jeune homme et commença à faire des petit vas et viens pour débuter cette belle soirée toute en passa sa langue sur les lèvres de Thomas

Chrisdynne avait cette façon d’opérer qui me plaisait beaucoup. Elle savait parfaitement quoi faire, à quel moment et surtout comment. Autant dire que j’avais facilement pu deviner que je n’étais probablement pas le premier mec avec qui elle avait pratiqué cette activité. D’un côté, ce n’était pas plus mal. J’ai toujours préféré les femmes avec de l’expérience plutôt que celles qui ne savent pas réellement comment s’y prendre. J’ai eu la chance de dépuceler plusieurs jeunes femmes, c’est toujours un privilège, quelque chose qui me reste et qui fait que je me souviendrai toujours d’elles. Malgré tout, je dois admettre que je préfère largement avoir des rapports sexuels avec une fille qui a déjà connu le sexe et qui prend ça comme un jeu de séduction. Parce qu’au fond, il n’est question que de ça. Séduction, plaisir, envie, il n’y vraiment aucun sentiment amoureux ou quoi que ce soit. J’ai d’ailleurs toujours eu du mal à me dire que certaines personnes se privent du sexe pour une raison de principe, parce que, selon eux, on ne couche pas avec n’importe qui. D’une part je les admire d’avoir autant de courage, et de l’autre, j’ai du mal à les comprendre. Je crois que même si j’aurais voulu suivre leur exemple, je n’y serais pas arrivé. Le sexe, ça a eu l’effet d’une drogue pour moi. J’y ai goûté la première fois par curiosité et puis, j’ai toujours ressenti un certains manque si bien que dès que je suis en contact avec une charmante demoiselle, je ne peux m’empêcher de l’attirer dans mes « filets ». Ce soir, je n’avais pas fait grand-chose pour séduire la jeune Daryle, à contrario, c’était plutôt elle qui avait commencé par utiliser sa carte de séduction. Elément que j’apprécie d’ailleurs.

La température ne cessait d’augmenter entre nous. Malgré la légère brise qui caressait ma peau, je n’avais en aucun cas froid, au contraire, mon corps semblait bouillant. Je ressentais aussi la chaleur émanant de la poitrine de Chrisdynne qui était posé contre mon torse. C’était vraiment très excitant, sans compter que la jeune brunette avait la main baladeuse ce qui me rendait complètement dingue. Je n’allais pas tarder à me jeter sur elle si elle continuait comme ça. Mais au fond, je crois que c’est tout ce qu’elle attend. Quand mon dos toucha la paroi en béton, je ressentis quelques frissons du à la froideur de la pierre mais ceux-ci disparurent très rapidement après m’être fait embrassé par Chrisdynne. Celle-ci s’occupa ensuite de mon pantalon qu’elle se permis de déboutonner puis de faire glisser sur mes cuisses pour ensuite le jeter sur le sol.

THOMAS : « Très certainement. »

Oui, c’était beaucoup plus équitable désormais. Nos deux langues se mêlaient l’une à l’autre alors que mes mains parcouraient chaque parcelle du corps de ma partenaire en passant par sa nuque, ses longs cheveux soyeux, sa poitrine, son dos, ses hanches, ses fesses. Toutes les parties de son corps étaient très fermes et bien entretenues. Mon souffle était désormais rapide et je soupirai de plaisir à plusieurs reprises. Je finis par me retourner afin de placer Chisdynne contre le mur et de pouvoir désormais m’occuper un peu d’elle. Je commençai par l’embrasser langoureusement pour ensuite couvrir sa poitrine de baisers et descendre peu à peu. Je m’arrêtai quelques instants à son bas ventre, puis, je descendis délicatement son string du même rouge vif que son soutien-gorge qui trainait désormais sur le sol. Je remontai jusqu’à son visage, un sourire aux lèvres avant de l’embrasser à nouveau et me frotter à elle tout en lui laissant le « champ » libre pour qu’elle puisse à son tour retirer mon dernier vêtement.