the great escape
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With or without you ? ♦ Martin ♦

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MessageSujet: With or without you ? ♦ Martin ♦ With or without you ? ♦ Martin ♦ EmptyMar 27 Juil - 12:28

With or without Y O U ?




Il était 10h du matin. Un temps radieux reignait sur la belle ville de San fransisco. Dans la célèbre université de Berkeley, les élèves les plus studieux bossaient déjà, que ce soit sur le bureau, dans leur chambre, ou au foyer des élèves. D'autres, au contraire, se prélassaient, allongés dans la pelouse , ou bien encore, faisant une brasse dans la grande piscine olympique dont été dotée l'université. Aucun des deux cas ne correspondaient à Golden. Elle, elle venait de pénetrer dans le grand hall de l'école, et ce pour sans doute une unième fois. Sauf que cette fois, c'était diffèrent. Elle trainait derrière deux énormes valises , l'une rose, et l'autre grise. A son bras, pendait son sac à main, en cuir bleu marine. Elle portait sur les oreilles un gros casque de musique et écoutait une de ses chansons préferées, With or without you, de U2. Pour elle , 10h était une heure bien trop matinale pour qu'on la dérange. Encore un peu 'dans le cirage', comme on dit, seule la musique la mettait de bonne humeur le matin. Elle s'avancait d'un pas determiné , comme à son habitude, à travers le long couloir qui menait aux maisons des confréries. Elle pressa le bouton de l'ascenceur, pour rejoindre sa propre maison, mais décida avant d'aller chercher un café à la caféteria. Elle laissa ses valises en plan, sachant pertinemment que personne n'oserait y toucher. Elle avanca rapidement vers le comptoir de la caféteria, et, avant de passer commande, hauta son casque des oreilles, et le glissant autour de son cou.Un serveur , sans doute la pour arrondir ses fins de mois , s'approcha d'elle.

" Qu'est-ce que je te serre Mademoiselle ?

Golden eut un petit sourire mesquin. C'est dingue, ce que les gens peuvent-être impolis parfois. Ne savent-ils pas, que lorsque l'on ne connaît pas une personne, on ne se permet pas de la tutoyer, au contraire, on la vouvoie avec respect ?! Une autre l'aurait pris avec le sourire, prenant ca comme une approche, mais golden, elle, au contraire, s'en indignait.

" Tu es gentil, tu me vouvoies, comme tout le monde .

Commença-t-elle par dire , avec dans la voix, pas un gramme de gentillesse. Elle passa sa main dans ses cheveux , les secoua lentement, puis haussa les épaules. Le serveur était un peu ridicule dans son costume obligatoire, constitué d'un polo bleu clair immonde, et d'un grand tablier blanc, limite propre. Une petite casquette avec la masquotte de Berkeley posée sur sa tête, couronnait le tout. Golden le regarda de haut en bas avec dédain. Ils ne savent plus qui embaucher dans cette foutue école pensa-t-elle.. Le serveur prit l'air outragé devant la réponse si sèche de la jeune femme. Golden s'en moquait éperdumment. Apres tout, elle se foutait bien de ce que pouvaient penser les élèves de cette école, elle n'était pas là pour être appréciée.

" Donne moi un café extra long, tu sera gentil.

Aboya-t-elle, avec un sourire mesquin.
Aussitôt dit , aussitôt fait, le serveur paraissait maintenant comme terrorisé par la belle blonde, c'est pourquoi il s'éxécuta rapidement, et posa donc un grand gobelet de café devant elle. Golden n'avait pas besoin qu'il lui annonce le prix, elle balanca un billet de 5$ sur le comptoir, sachant pertinemment que le prix du café était bien plus faible, mais elle n'avait pas le temps pour ce genre de détails, et même si laisser presque 3$ de pourboire à un serveur minable la répugnait, elle haussa les épaules, et tourna aussitôt les talons, son gobelet de café à la main. Elle se ré-avanca vers l'ascenceur, tira ses valises, monta dans l'étroite cabine, et pressa le bouton du 1er étage, de la maison des Bêta.
Arrivée à destination, elle se ballada dans les couloirs , tirant toujours derrière elle ses lourdes valises. Elle trouva facilement sa chambre, car son nom ainsi que celui de sa colocataire était inscrit en lettres roses, sur la porte. Priant pour que sa colocataire soit absente, la jeune femme poussa la porte lentement. Bingo, personne n'était la.
Elle s'avança alors vers ce qui semblait etre son lit, puisqu'il n'était pas défait.
Elle décida de se reposer un peu , avant de vider sa valise. Elle étoufait dans son jean levi's, et sa veste de jean qui y était accordée. Elle les ôta tout deux, et se retrouva en sous vetements, roses, et noirs. Peut importe si ma colocataire entre, je ne suis pas pudique pensa-t-elle. Elle se jeta alors sur son lit, s'allongeant, et savourant le confort du bon matelas sur lequelle elle était destinée à dormir pendant encore un bon bout de temps.



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MessageSujet: Re: With or without you ? ♦ Martin ♦ With or without you ? ♦ Martin ♦ EmptyMer 28 Juil - 20:41

      With or without you ? ♦ Martin ♦ Olsen-Twins-3-mary-kate-and-ashley-olsen-12095920-100-100 With or without you ? ♦ Martin ♦ Damon-damon-salvatore-14045256-100-100


    *I’m a Barbie girl in the barbie world. Life is plastic. It’s fantastic. You can brush my hair.*

    Cette musique défila en boucle sortant du petit réveil posé juste à côté du lit de l’Epsilon. Il y avait meilleur réveil que cette radio qui passait de vieux tubes des années quatre-vingt. De fines lueurs du soleil vinrent troubler le réveil du jeune homme. Il ouvrit ses yeux clairs et les ferma aussitôt en s’enroulant dans ses couvertures de soie. Il se protégea la vue du soleil qui commençait à lui abimer les yeux. Mais cette musique ne cessait de retentir dans toute la pièce. Martin devait la couper avant d’avoir une migraine. Sortant une main du tas de couverture, il atteignit le réveil mais le fit tomber sans pour autant l’arrêter. Il soupira une nouvelle fois et sortit de son lit pour chercher le réveil qui était tombé sous le lit. Il tira le fil et retrouva la piste de son radio réveil. Il le tira d’un coup sec sur son lit et l’éteignit avec un petit sourire sur les lèvres. Il le posa sur sa table de nuit et on frappa à sa porte. Une fine femme aux traits épais et abimés avec le temps se présenta à l’encadrement de la porte. Portant une petite robe à pois rouge et noire. Ses cheveux gris étaient tirés et coiffés en un chignon. Elle avait pour prénom Luciana. C’était une Italienne qui était depuis la plus tendre enfance de Martin sa nourrice, maintenant, elle travaillait au compte des parents de Martin, elle veillait à ce qu’il ait une vie équilibrée. Elle ne lui posait pas vraiment de questions. Il faisait ce qu’il voulait tant qu’il revenait entier à l’appartement. Mais ce matin, elle était venue le réveiller comme il lui avait demandée la veille.

    « -Monsieur Martin, il est temps de vous réveiller et de passer à table, un petit déjeuné vous attend. »

    Elle ferma la porte et Martin contempla la porte noire qui se ferma. Il déplaça les draps de soie sur le côté et se leva. En tenue légère, ou plutôt en boxer noir, il se dirigea vers la fenêtre, il ouvrit les volets et regard la ville de San Francisco qui circulait déjà à une heure aussi matinale. Martin n’avait pas pour habitude de se lever si tôt sauf quand il avait cours. Mais ce matin c’était différent, il avait besoin de passer aux maisons des confréries. Il devait récupérer sa montre. Il l’avait laissée chez une de ses conquêtes et il devait la récupérer au plus vite. Il se dirigea dans la salle de bain qui était dans la continuité de sa chambre, il se déshabilla et fit couler de l’eau froide afin de refroidir la pièce. Il mit ses pieds dans l’immense baignoires aux pattes de lion d’époque et plongea son corps dans un bain pratiquement froid qui le rafraichit en quelque seconde. Il pencha sa tête en arrière et ferma les yeux en profitant de ce petit bain. Pourtant il n’avait pas vraiment le temps de se la couler douce. Il dut sortir précipitamment. Il saisit une des serviettes blanches qui étaient empilées les unes sur les autres, il la mit autour de ses hanches et sortit de la baignoire mettant de l’eau partout sur le sol. Il se dirigea vers l’évier légèrement surélevé. Il fit couler de l’eau froide qui sortit du bec d’un aigle en couleur dorée. Saisissant son rasoir, il rasa les poils rebelles qui s’étaient dressés sur sa peau la nuit dernière. Ayant fini, il laissa ses cheveux tels quels et saisit un boxer noir et s’habilla d’un jean Diesel foncé et d’un tee-shirt à manches courtes en col en V. Prenant les Ray Bans qui étaient sur la commode en noir plaqué, il les posa devant ses yeux clairs. Il ferma sa chambre, mais Luciana se tenait non loin de lui. Elle le regarda mécontente d’avoir préparé un petit déjeuné auquel il n’allait pas toucher. Il soupira et saisit un croissant qui était dans une coupelle en argent. Il le mit dans sa bouche et remercia la vieille femme qui avait un petit sourire satisfait sur ses immondes lèvres qui dans le temps étaient magnifiques. Il prit la petite télécommande de son cabriolet sport noir et descendit par l’escalier de service. Passant devant le concierge, il ne fit pas attention à cet homme. Il partit dans l’immense parking et prit sa voiture, il n’était pas comme tous ces enfants riches qui avaient leurs petites limousines trop tapantes à l’œil, il préférait son cabriolet qui était plus sexy et qui faisait de lui un homme jeune, viril et puissant. Mettant le son à fond, il termina le croissant qu’il avait pris juste avant de partir. Allumant le contact, il se prépara à partir en direction de l’université de Berkeley.

    La route dura à peu près une demi-heure, les bouchons persistaient dans la ville, mais il avait pu se faire un chemin parmi toutes ces voitures. Berkeley était encore ouverte. Des élèves tentaient de rattraper leurs notes qui étaient catastrophiques alors que certains qui ne pouvaient pas partir en vacance restaient pour se baigner à la piscine qu’offrait l’université, mais Martin n’était pas là pour ça. Il avait d’autres projets en tête et il ne comptait pas perdre son temps avec de telles banalités. Il partit en direction de l’immense villa des Beta. Il y rentra comme dans un moulin à vent, la jeune femme qui était en face de lui, lui fit un sourire, mais il n’y accorda pas d’importance, il s’en fichait, il devait récupérer sa Rolex qui était dans la chambre d’une jeune femme avec qui il avait couchée quelques jours avant. Montant les escaliers, il arriva devant la chambre, il découvrit une jeune femme aux cheveux blonds allongée dans son lit. Il reconnut Golden, il ne put s’empêcher de faire une grimace. Il reconnut sa Rolex sur la commode disposée à côté du lui de la jeune femme. Il ferma la porte et s’approcha de la commode pour saisir sa Rolex. Il l’admira quelques secondes, elle était en argent et brillait de milles feux. Il la regarda dans les yeux et arqua un sourcil en s’interrogeant sur la présence de la jeune femme.

    « -Qu’est-ce que tu fais là ? »
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MessageSujet: Re: With or without you ? ♦ Martin ♦ With or without you ? ♦ Martin ♦ EmptyMer 28 Juil - 23:45

- J'ai changé de Nom, et d'avatar, mais globalement, au niveau du caractère, etc, le perso reste le même, donc ça ne change rien :) -

With or without you ? ♦ Martin ♦ 55qlhi With or without you ? ♦ Martin ♦ B8uu5y

" Can't read my,
Can't read my
No he can't read my Poker Face
"

La jeune femme était allongée de tout son long sur le lit une place qui lui était attribué. Elle se fichait éperdumment de ses valises, qui n'attendaient qu'une chose, qu'elles soient vidées, puis rangées dans les grandes armoires en bois blanc, qui se trouvaient au fond de la pièce. La chambre, était conçue pour deux élèves de la confrérie Bêta. Les murs étaient d'un rose pale, et les meubles style art déco, moderne, en bois blanc. Le tout créait une harmonie agréable au regard. La jeune Coleen venait à peine d'emmenager, mais elle se sentait déjà bien dans cette pièce, dans cet univers qui lui correspondait. Elle esperait maintenant qu'elle allait bien s'entendre avec sa colocataire, même , si, coleen n'avait nulle intention de devenir amie avec elle. Moins j'ai de prétendues amies, mieux je me porte pensa-t-elle en baillant. En effet, la jeune femme était fatiguée. Sans doute à cause de ses exploits sexuels de la veille.Avec qui avait-t-elle couché ? Un inconnu rencontré dans un bar, se souvint-elle difficilement en se massant les tempes. Elle les collectionait les inconnus, apres tout..Un de plus, un de moins, ca ne changeait pas la donne. Il est vrai que la belle , au fond, regrettait l'amour. L'amour, qu'elle avait connu une fois,et qui l'avait fait tant souffrir.Elle ne voulait plus souffrir. Sa vie avait été construite sur de la souffrance, des absences, des drames,des échecs, et , de cela, coleen n'en voulait plus. L'amour. Ce sentiment quel s'interdisait d'épprouver, quoiqu'il arrive. Certes, ce n'était pas en couchant une fois avec un inconnu que son coeur allait se mettre à battre, pour de bon. Non biensûr. Mais peut-être qu'au fond, la garce que tout le monde croyait connaître, avait besoin de ce sentiment, de cette énergie, pour se sentir réellement vivre. Quelqu'un à dit un jour, que la vie ne valait pas la peine d'être vécue si l'on aimait pas. C'est ce que ce demandait la jeune femme,toujours allongée sur son lit, ses cheveux actuellement bruns, en bataille autour d'elle. Il y avait bien un gomme, pour, qui, elle ne pouvait s'empecher de ressentir quelque chose. A ce stade, elle ne pouvait pas franchement dire si c'était du réel amour, ou non, mais ressentir à nouveau ces choses là, lui faisaient du mal, et la jeune femme s'en voulait déjà, de se laisser aller à de pareils sentiments. Nikolaï. C'était diffèrent avec lui, elle était diffèrente. Et leur relation n'était pas basée sur du sexe, au contraire .
Parmis toutes ses aventures d'une nuit, il y avait un jeune homme , qu'elle revoyait frequemment, avec qui elle continuait de coucher, mais sans aucun sentiment. Hormis peut-être de la haîne ? Oui cet homme s'appellait Martin. Ils s'étaient rencontrés des mois auparevent , et couchaient ensembles régulièrement,pourtant, ils se haissaient mutuellement. C'était leurs désirs mutuels qui l'emportait sur la haine. A ce jeu là, la jeune femme avait depuis longtemps perdu. Les coups d'un soir, étaient , si l'on peut dire, ce qui la maintenait en vie. Mais , maintenant, maintenant que Nikolaï était entré dans sa vie, elle doutait. Elle doutait de tout, d'elle. Et s'en voulait, car elle s'était promis de ne plus jamais ressentir ce sentiment, qui bien souvent, vous détruisait lentement. Avec Martin, il n'y avait aucun amour qui tenait , loin de là. Seule la haine, et le désir régnait entre eux. Mais maintenant que Coleen était perdue, maintenant qu'elle avait rencontré Nikolaï, le désir qu'elle éprouvait pour martin serait-il toujours le même? Elle n'en savait strictement rien. Et ne préferait pas savoir pour le moment. Pourquoi haïssait-elle à ce point Martin ?! Tout chez lui l'insupportait . Sa façon d'être; sa façon d'être hautain, supérieur. Coleen n'avait qu'une envie, le giffler, dès qu'elle le voyait. Mais elle ne faisait pas, car, lorsqu'ils se voyaient, ils finissaient tous deux dans un lit, à faire des choses peu catholiques. Je suis une vraie garce, pensa la jeune femme, en contemplant le plafond de sa chambre. Oui , une garce, mais c'est comme ça que les gens me connaissent, m'aiment, où me détestent. Je ne changerais pas, car je suis moi même, et c'est le plus important. Mais était elle vraiment elle même ?! Cette question là, elle préferait l'éviter, de peur d'y répondre, peut-être ?! Elle n'en savait rien ,et au fond, ne préférait pas savoir. Soudain, elle entendit des pas dans le couloir, ce qui était éttonant, puisqu'à cette heure ci, d'habitude, tous les élèves planchaient durement sur leurs cours. Sauf coleen, qui venant de s'installer dans la maison des bêta, avait eut le droit à une journée vacante. Les pas se rapprochaient de la chambre de la belle, s'arrèterent un instant devant la porte, et, d'un coup, la dite porte, s'ouvrit, sur... Martin.
Tiens, quand on parle du loup... On en voit la queue pensa la jeune femme. Elle se redressa, sur ses coudes, n'étant pas genée par sa petite tenue (martin l'avait déjà vue tant de fois peu vétue, qu'elle n'éprouvait plus aucune pudeur avec lui..) . Elle le regarde fixement dans les yeux, voyant , que lui, regardait la table de nuit, sur laquelle était posée sa rolex. Coleen avait pris soin de la poser la, attendant que son heureux propriétaire revienne la chercher . Enfin, martin leva les yeux vers la jeune femme, et d'une voix neutre lui demanda ce qu'elle faisait la . Coleen eut un léger petit rire narquois. C'était l'hopital qui se moquait de la charité. Après tout, elle était dans SA chambre, et elle avait entièremment le droit de s'y trouver, à n'importe quel moment, que le jeune Martin le veuille , ou non.

" - Mon cher Martin. Moi aussi je suis ravie de te voir, vraiment. Oui je vais bien, merci. Plus sérieusement , que me vaut cet honneur, de ta présence ici ?! Tu aurais oublié quelque chose l'autre soir peut-être, si je comprends bien ?! Rassure toi, je ne comptais rien en faire. Les petits bijoux offerts par papa à son grand fi-fils ne m'interesse pas. D'autres bijoux m'interessent en revanche."

Après avoir prononcé ces derniers mots, la jeune femme se rapprocha de très près du jeune homme, et d'un geste furtif, elle passa sa main au niveau des bijoux de famille du jeune homme. Juste histoire de lui rappeller de bons souvenirs. Elle ôta aussitôt sa main, et se rendit dans la salle de bain attenante. La, elle saisit les trois préservatifs que Martin avait oublié l'autre nuit, ressortit de la petite pièce, se ré-avance vers le jeune homme, et lui glissa dans la poche arrière de son jean. Elle était donc derrière lui, dans son dos, et , se hissant sur la pointe des pieds, murmura à son oreille.

" - Elles aussi, tu les avaient oubliées, chéri.
"

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MessageSujet: Re: With or without you ? ♦ Martin ♦ With or without you ? ♦ Martin ♦ EmptyDim 1 Aoû - 23:37

    With or without you ? ♦ Martin ♦ Mmsk03 With or without you ? ♦ Martin ♦ Fnb002
    Is just a game. What's the game ? Hate & Sex ?
    I don't know where i'am. But i know your a creature for my pleasure.
    And i'm that for you. So are you ready for the game with m
    e ?



    Quelques soirs avant cette belle journée d’été, un jeune homme avait été conduit dans cette chambre. La jeune femme qui l’accompagnait était une Beta. Une magnifique femme aux longs cheveux blonds qui tombaient dans le bas de son dos. Ils avaient prévu de s’amuser dans les quartiers de cette belle jeune femme. Sa colocataire avait fini ses études et était partie vivre dans un autre pays, ou dans une autre ville plus aisée où elle pourrait établir sa vie. Toute la nuit avait été rédigée sous les traits du plaisir. Une longue nuit d’extase où s’étaient retrouvés deux amants. Deux amants qui avaient envie du corps de l’autre. Ce n’était pas une envie, mais un désir obsessionnel ils n’avaient pu attendre que la villa soit vide. Il fallait qu’ils se retrouvent l’un contre l’autre. La température n’avait cessé d’augmenter avant de s’attirer les foudres de la passion. Mais ces soirées là, Martin en avait l’habitude, il ne faisait que ça sans s’arrêter. L’été y était pour beaucoup. Il n’avait pas ses cours et se permettait de tomber encore plus dans les bras des jeunes femmes, ce n’était pas si difficile. C’était même devenu un jeu d’enfant pour lui. Tous les moyens étaient bons. Toutes les tactiques étaient faciles. En été, les personnes sont souvent loin des êtres qu’ils aiment ou sont tout simplement célibataire. Ils sont en manque de câlins et c’est ainsi que Martin rentrait en scène. Son atout c’était son physique et son charme. Il pouvait faire craquer n’importe quelle fille en un claquement de doigts, certaines résistaient et les autres se laissaient aller dans ses bras. Certaines arrivaient même à oublier leurs malheurs dans les bras du jeune homme. Pourtant il ne donnait aucune attention particulière. Son âme était renfermée. Ses sentiments n’existaient plus. Il était devenu un robot sans aucune envie de réagir. C’était lassant d’être un être humain, on ne peut rien faire sans l’emprise de nos sentiments. Chaque geste, chaque pensée sont contrôlés par nos sentiments. Seulement, quand notre cœur est renfermé et ressemble à une éponge qui absorbe et rejette aussitôt le surplus de sentiment, ça nous est égal. Depuis son plus jeune âge, il n’avait jamais connu le mot « amour ». Ses parents ? Non aucune attention. Ils étaient toujours de sortie soit pour leur travail, soit pour assurer le peu de couple qui leur restait. Cette vie était devenue pathétique. Sa vie n’était plus une surprise. Il avait l’impression d’être continuellement dans un refrain qui passait en boucle dans sa tête pour tout contrôler chez lui. Non il n’avait jamais eu la « chance » d’être amoureux. Mais est-ce vraiment une chance ? Une bonne chose ? Je ne pense pas, c’est plutôt un autre fardeau qu’on a décidé d’inclure dans notre vie. Un sentiment incontrôlable qu’on ne peut pas gérer. Aucun livre écrit n’explique le fonctionnement de l’amour. On apprend seul. Certains sont d’excellents élèves et reproduisent parfaitement ceux que leur ont appris leurs parents. Mais d’autres moins chanceux sont des cancres et sont obligés de se contrôler et trouvent une autre occupation pour combler ce trou béant dans leur poitrine. Parmi ces cas aucun ne convenait à Martin. Il avait l’impression d’être à part dans cette vie. Il n’était pas le genre de personne qui voulait aimé, et il ne voulait pas le faire, c’était une perte de temps. Et comme on dit le temps c’est de l’argent.

    Coleen parlons d’elle, elle n’est pas le genre de femmes avec lesquelles une relation amoureuse pourrait être construite sérieusement, du moins avec l’Epsilon. C’était simple avec elle, il n’avait pas vraiment à se creuser la tête. Ses gestes étaient toujours les mêmes. Si ils avaient envie d’être tous les deux ensemble, ils faisaient en sorte de se retrouver tous les deux dans la même pièce. Une pièce tamisée pourquoi pas ? Personne autour. C’était l’idéal pour commencer un nouveau jeu. En somme, Martin détestait cette fille. Il ne pouvait pas la supporter, elle essayait de prendre les rennes, d’être toujours au dessus de lui. Mais ce qu’on ne lui a pas appris quand elle était petite c’était que c’était l’homme qui devait être respecté. L’homme avait été depuis longtemps considéré comme un patriarche. C’était lui qui établissait les règles dans un foyer. Il devait être un minimum respecté des femmes, mais la jeune femme n’avait pas l’air d’avoir la même idée en tête que lui. Son opinion devait être légèrement différente de la sienne, même bien plus différente. Mais qui le veuille ou non, les deux étaient attirés comme des aimants, ils se ressemblaient peut-être au fond. Sa Rolex autour du poigné, il regarda la jeune femme avec un petit regard pétillant de prédateur qui admirait sa proie.

    « - Désolé de n’être point poli avec vous ma chère ce soir, mais je ne comptais pas tomber sur quelqu’un. La chambre devait être vide à ce qu’on m’a dit. Mais je me suis trompé, la vermine traine à cette heure-ci j’aurais du m’en douter pourtant. Cette montre un objet de famille ? Hum non, elle est bien plus récente que mon grand-père, il me semble, elle doit avoir mon âge, mais ça tu dois t’en douter. Tu n’y prêtes pas d’importance maintenant, mais quand ton mari enfin si tu arrives à en avoir un, en aura une, tu seras fière de pouvoir l’exposer car tu ne sais pas combien peuvent couter ces petites merveilles.  Quand aux bijoux de familles… » Il s’arrêta en la regardant d’un œil mauvais, mais il passa une main sur ses fesses. « Elles sont toujours actives »

    Le jeune homme regarda avec intention la jeune femme qui partie dans sa salle de bain pour aller chercher les petits objets emballés dans une petite pochette en plastique. Elle les plaça dans la poche arrière de son jean. En se mettant sur la pointe des pieds, elle lui parla discrètement. Il la plaqua de force brutale -mais tout de même douce- contre son torse de pierre. Il se pencha alors vers son oreille et ne put s’empêcher de lui murmurer en ayant un immense sourire aux lèvres :

    « -Ne préfèrerais-tu pas jouer avec moi à des petits jeux intéressants ? »
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MessageSujet: Re: With or without you ? ♦ Martin ♦ With or without you ? ♦ Martin ♦ EmptyLun 2 Aoû - 12:45


Martin était un homme , si attirant . Mais pourtant, que Coleen haissait de tout son être. Tout chez lui, insupportait la jeune brune. Ses manières d'enfant pourri gaté, sa façon de croire qu'il est supérieur à vous, et le sera toujours, sa façon de croire aussi, que l'homme est bien supérieur à la femme, ce que, biensûr, Coleen détestait entendre. S'il y avait bien, une chose qu'elle détestait plus que tout, c'était bien les hommes machos. Pourquoi ne pas convenir , que, l'homme et la femme sont égaux ?! Certes, la femme est plus intelligente, plus maligne, sait faire plusieurs choses à la fois (contrairement aux hommes) . Oublions le sexe faible, et instaurons deux sexe forts. L'homme, et la femme. Ca c'était ce que pensais coleen, et c'était bien loin, de ce que pouvais penser le jeune Epsilon. Sa façon de regarder les gens de hauts, avec un air si hautain, insupportait Coleen. Si elle pouvait, elle lui aurait déjà mis deux paires de claque, et l'affaire aurait été réglée. Mais ca ne marchait pas comme ça, car malgrès toute la haine qu'éprouvait la jolie coleen envers Martin, elle ne pouvait s'empecher d'être attirée irrésistiblement envers lui.

Mais d'où venait cette attirance ?! Peut-être du physique fortement avantageux du jeune homme. Il était beau, bien foutu, il fallait le dire. Cependant, ça n'empechait pas la jeune femme de le trouver ridicule, avec sa chère petite rolex au poignet, et tout ces accessoires luxueux, qui ne lui servaient à rien. Coleen était sans doute autant aisée que lui, si ce n'est plus, mais la diffèrence, entre elle, et le jeune Epsilon, était que Coleen, elle, ne l'affichait pas sur tout les toits. La classe, c'est d'avoir un minimum de modéstie. Ce dont, Martin, était visiblement, totallement dénué.

Elle le comtempla, le regard rempli de mépris. Pourquoi , se retrouvait-elle si dépendante de cette attirance , quand elle était en sa présence ?! Elle était toujours jugée sur la pointe des pieds, derrière le jeune homme, attendant qu'il réagisse. Il se contenta de glisser une main sur ses fesse, geste qui provoqua immédiatement son petit effet chez la brune.

« - Désolé de n’être point poli avec vous ma chère ce soir, mais je ne comptais pas tomber sur quelqu’un. La chambre devait être vide à ce qu’on m’a dit. Mais je me suis trompé, la vermine traine à cette heure-ci j’aurais du m’en douter pourtant. Cette montre un objet de famille ? Hum non, elle est bien plus récente que mon grand-père, il me semble, elle doit avoir mon âge, mais ça tu dois t’en douter. Tu n’y prêtes pas d’importance maintenant, mais quand ton mari enfin si tu arrives à en avoir un, en aura une, tu seras fière de pouvoir l’exposer car tu ne sais pas combien peuvent couter ces petites merveilles. Quand aux bijoux de familles… » Il s’arrêta en la regardant d’un œil mauvais, mais il passa une main sur ses fesses. « Elles sont toujours actives »

Avec à la fois violence, et délicatesse, il retourna la jeune femme contre lui, tout contre son torse. Elle ne put s'empecher de laisser échapper un petit sourire. Il était peut-être prétentieux, hautain, et inhumain, mais il n'en restait pas moins intelligent. Et , un homme, avec qui elle pourrait s'amuser, là maintenant tout de suite. Ce n'était pas le désir qui manquait. Cependant, elle préférer le laisser patienter, avant de commencer quoique ce soit.


« -Ne préfèrerais-tu pas jouer avec moi à des petits jeux intéressants ? »

Cette fois elle émit un petit rire. Quels 'petits jeux interessants' le bel Epsilon avait il à proposer à la jolie bêta , si peu vétue ?

" - Des jeux intéressants dis tu.. Voyons voir, je ne suis pas une fille avec qui on joue, tu ne le savais pas ?! C'est moi, qui ai plutôt tendance à jouer , avec toi."

Dit-elle, avec un petit sourire, en appuyant sur le 'toi'. Aussitôt dit, aussitôt fait; elle se détacha de l'étreinte du beau jeune homme, se retourna, son dos, et ses jolies fesses face à martin donc, et elle se réapprocha de lui, lentement. Elle se colla à lui, son postérieur, bien positionné, à un endroit qui ne devait pas laisser le jeune homme indifférent.
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MessageSujet: Re: With or without you ? ♦ Martin ♦ With or without you ? ♦ Martin ♦ EmptyDim 15 Aoû - 19:52

    With or without you ? ♦ Martin ♦ 9s5mpf With or without you ? ♦ Martin ♦ Damon-damon-salvatore-13900303-100-100

    It's high voltage you can't shake the shock
    Because nobody wants it to stop, check it out
    Coleen&Martin Song ♥


    Comme si Martin était le seul à avoir des attitudes de gamins pourris gâtés. Il n’avait que ça contrairement à certaines personnes. Ses parents n’avaient jamais été là pour lui, ils était toujours en voyage, loin de leur fils pour pouvoir continuer leur métier. Mais laissant dans l’ombre un enfant qui avait besoin d’amour, il est le témoin d’un ménage sans amour et sans attachement. Personne n’avait été là pour ce jeune enfant. Seulement une vieille nourrice qui n’avait jamais cru en lui. Elle le considérait comme un enfant pourri gâté, il ne méritait pas réellement d’attention il avait tout ce qu’il voulait. Elle était jalouse de la richesse de ses parents, du luxe qu’ils offraient à cet enfant qui n’était pas reconnaissant. Mais il n’avait pas besoin d’argent, il s’en fichait, ce qu’il voulait c’était que ses parents s’occupent un jour de lui. C’était un vœux qu’il avait oublié depuis longtemps. Il regardait les enfants avec envie. Une envie qui l’avait longtemps rongé. Il s’était toujours imaginé en compagnie de ses parents, sentir leurs chaleurs, leurs sourires et sentir une douce étreinte qui pouvait réchauffer un corps en hiver. Mais jamais ce n’était arrivé. Ils avaient juste voulu que leur fils soit bien élevé, qu’il soit digne de la famille de Thomas. Il attirait depuis tout petit les regards et ne cessait de plaire. Une chose que ses parents avaient remarquée. Ils voulaient faire de leur fils une bête de foire, qu’il soit meilleur dans toutes les catégories. Comme si un être humain est destiné à être parfait. Pourtant Martin y était arrivé. C’était un jeune homme parfait jusqu’à ce que son entrée en Italie soit totalement chamboulée et qu’il change de caractère pour devenir celui qu’il était.

    Martin ne pouvait être d’accord avec cette femme. Quelque fois, il se demandait comment elle faisait pour rester ici sans avoir réellement de problèmes. Il se demandait comment un jeune homme pouvait poser ses yeux sur elle. C’était tout bonnement impossible. Elle était jolie. Il fallait le reconnaitre, elle avait ce petit quelque chose qui vous fait rêver. Mais il ne peut pas la supporter. Elle se donne des airs supérieures. Elle est une féminine. Une femme complètement irresponsable. Elle serait certainement prête à tout pour se rendre intéressante. Elle pensait pourvoir être mieux que lui, elle se trompait. Elle s’imaginait être au dessus de cet homme, elle était encore une fois fautive. Est-ce possible qu’une personne soit au dessus de Martin de Thomas ? Non c’est impossible. Un élève brillant, riche, mais avec un foutu caractère. Un caractère manipulateur, rusé et calculateur. Les trois défauts qui font mauvais ménage ensemble. Il savait comment manipuler les autres, les utiliser pour s’en servir jusqu’à ce qu’il ne demande qu’une seule chose : le laisser tranquille. Il fallait bien plus que le supplier pour qu’il ne cesse de jouer avec vous. Après tout vous êtes quoi ? Des marionnettes ! Vous n’êtes capables de rien faire sans l’avis d’une autre personne. C’est tout bonnement idiot, après tout, tout le monde a une personnalité, non ? C’est là qu’il faut réagir et se rendre intéressant, ce qui n’est pas gagné chez certaines personnes. L’écoutant avec de bonnes grâces, il resta concentré sur ses lèvres. Elle se retourna et commença à jouer avec son corps si on peut dire ça comme ça. Il se détacha d’elle et ajusta sa chemise pour arranger son col. La laissant dans le vide, il marcha dans la chambre et prit un livre qui était posé sur l’étagère. Il le regarda avec attention, touchant la couverture de ses doigts fins. Il se tourna vers elle avec un sourire ironique sur les lèvres. Un sourire qui donnait envie de donner des claques.

    « Je pense pas que nous jouons dans la même cours ! Je ne joue pas dans la cours des petites filles, qui essayent de se donner un petit air de prostitué ! Tu veux me chauffer, il t’en faudra bien plus ma belle. »

    Laissant tomber le livre sur la petite commode blanche disposée juste en dessous de l’étagère, il se retourna regardant la jeune femme qui s’était redressée. Un autre petit sourire sur les lèvres, il s’approcha d’un pas élégant vers cette jeune femme, sa proie. Il la saisit par les avant-bras et la plaqua avec fermeté contre son torse de pierre. Il la regarda avec un regard méchant étincelant d’éclairs rouges qui n’attendaient qu’une chose remettre cette petite idiote à leur place. Une grande haine envahissait son corps. Une violence enchainait ses bras. Elle prenait le contrôle de sa tête. Le contrôle de son cerveaux. Mais il ne comptait pas se laisser par une petite Beta qui cherchait à l’impressionner ou même à le perturber, ça ne marcherait pas comme ça. Se rapprochant de son oreille, il n’hésita pas à lui susurrer ces petits mots :

    « Tu veux que je te dise, essaye de jouer avec moi, tu n’y arriveras pas ! Je t’explique une chose, tu ne fais pas le poids face à moi. Je n’ai pas toujours l’air aussi gentil que je peux l’être. Car pour ta gouverne, essaye de jouer en première avec moi, je serai le dernier à jouer avec toi et à me régaler de tes restes ! »

    La détachant de lui, il la regarda avec un petit air innocent, mais à la fois ironique qui en disait long sur ce qu’il était en train de penser.
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