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for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ

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MessageSujet: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptyVen 11 Fév - 21:54

    for you, nothing is a secret

    for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ X538k4 for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ A710



Ce matin, en se levant, la première pensée d’Elzbieta fut : boire un thé. Elle n’avait envie de rien d’autre. En se réveillant, elle avait eut l’impression d’être assoiffée. L’impression d’avoir dormi durant tout un hiver, d’avoir hiberné. Elle avait perdu toute notion de temps. Surement du au fait qu’elle voulait tout oublier. Ne pas penser à tout ce qui lui arrive en ce moment. Elle se mit à penser à ce qu’elle avait lu dans le roman qu’elle était en train de lire en ce moment. Le personne principal lui ressemblait tellement, il avait lui aussi tout perdu : sa sœur, sa femme, son père. Tout quoi. Quant à elle, elle avait perdu contact avec sa famille, son ex-fiancé était mort, elle venait de faire une fausse couche, plus d’enfant à élever, et enfin elle venait de perdre un nouvel amoureux, mais surtout son meilleur ami. En le plantant là, au mariage, elle avait perdu deux personnes en une. Elle se sentait tellement impuissante à ce qui lui arrivait, elle ne contrôlait plus rien. Et plus le temps défilait, plus ça empirait. Elle était comme ce Paul, elle était montée au sommet de la falaise, et maintenant elle ne faisait que de tomber, elle n’arrivait pas à remonter. C’était un trou sans fin, insupportable. Elle ne faisait que de se demander qu’est ce qui pourrait l’aider à remonter la pente, qu’est ce qui pourrait stopper toute cette malédiction qui s’est abattue sur elle. Elle se sent tellement maudite. Comme si on la punissait de quelque chose, mais de quoi ? Devait-elle faire quelque chose en particulier pour arrêter tout ce massacre autour d’elle ? Elle se sentait tellement prise au dépourvue, seule, mais surtout perdue. Elle avait besoin d’aide, mais de qui. Elle n’osait en demander à personne, pensant que personne ne la comprendrait et donc ne pourrait l’aider. Et pourtant, elle savait qu’elle avait besoin de quelqu’un à ses côtés. Elle était à la recherche de cette personne, sans pour autant vraiment la chercher. Elle l’attendait plutôt. Après avoir bu deux tasses de thé, elle s’était préparée pour aller à l’université. On était lundi, elle avait donc dormi chez elle, comme tous les week end. Elle avait ce besoin de se sentir à l’écart des autres. Malgré le fait qu’elle veuille avoir une personne à ses côtés, elle s’excluait elle-même de la société. Sa voiture était garée dans l’allée, restant sur le seuil de sa porte, elle se posa la question : je prends ou pas la voiture ? Enfin de compte, elle s’était résiliée à marcher. Elle était en avance, à l’heure, elle pouvait se permettre de se rendre à Berkeley sans un quelconque transport. Tout au long du trajet, en écoutant à fond la musique dans ses oreilles, réfléchit, pensa à tout ce qui se tramait dans sa vie en ce moment. Elle essayait d’y mettre une raison, une réponse à la question « Pourquoi ? », mais, il y avait un trou, un espace. Pas de réponses lui venaient en tête. Elle arriva peu de temps après, et se dirigea tout de suite vers son casier, pour prendre les affaires qu’il lui fallait pour son premier cours très matinal. Son cours préféré, avec le prof qu’elle appréciait le plus. Il avait tout de suite vu qu’elle allait mal, et lui avait proposé son aide. Une sorte de « complicité » les liait. Il s’agissait de son professeur de littérature. C’était toujours un plaisir de se retrouver dans sa salle, et d’écouter son cours. Ca l’envoutait, et c’était surement un des rares moments où elle oubliait tout. Elle pouvait l’en remercier pour au moins cela, étant donné qu’elle avait rejeté son offre d’aide. A se demander pourquoi. Elle venait de refermer son casier, et se colla au mur, regardant tous les étudiants qui étaient déjà présents. Ils étaient tout de mêmes très nombreux pour un matin, de si bonne heure. Elle l’aperçut au loin, arrivant dans le couloir, avec sa bande d’amis, comme tout étudiant se doit d’avoir. Martin. Il l’avait connu par hasard. Alors qu’il la connaissait déjà, elle, ne le connaissait pas. Ou peut-être qu’elle avait entendu parler de lui, comme on peut entendre parler de tout le monde dans une telle université. Elle l’avait même surement déjà croisé à maintes reprises. Maintenant, ils étaient en quelque sorte des amis. Pour le moment, la seule chose qui le reliait était la simple et bonne raison que Martin était au courant de tout ce qui pouvait se passer dans la vie d’Elz, du côté de sa santé. Depuis cet été, depuis sa première visite à l’hôpital, et après son séjour, il était au courant de tout. Le code de confidentialité avait été trahi par l’un des infirmiers, ami de Martin qui lui avait alors tout raconté. Les raisons de sa présence ici, ce qu’elle avait, tout, il savait tout. Ce jeune homme aurait pu ne rien lui dire, et garder tout cela pour lui, mais non. Apparemment, il avait préféré lui dire qu’il savait tout sur elle, et sur ce qu’elle avait vécut. Elle aurait pu mal le prendre, et même faire appel à la justice. Non, ça ne s’était pas passé de cette façon. Elle avait apprécié le fait qu’il fasse carte sur table, qu’il lui avoue tout. Elle aimait aussi le fait qu’elle ne soit pas obligée de lui parler, il savait déjà tout. Elle pouvait alors se blottir dans ses bras, pleurer, lui parler librement. Il était déjà au courant. Parce que le plus dur dans tout cela, restait toujours, le dire aux gens qui sont proches de nous. Elzbieta en plus, n’aimait pas parler d’elle, de ses problèmes. C’est vrai qu’elle avait trouvé vite du réconfort auprès de Martin. Ils n’étaient pas des amis, ils ne se voyaient pas pour parler de tout et de rien. Il venait souvent la voire quand il y avait quelque chose de nouveau dans la santé, vie d’Elz. Il était venu la voir lorsqu’il avait apprit sa grossesse, lors de son agression. Elle était fidèle au même hôpital, et l’ami de Martin, aussi. Cet infirmier était toujours présent. Lorsqu’elle le vit quitter sa bande, pour venir vers elle, en sa direction, par réflexe, elle regarda autour. Pour voir s’il pouvait s’agir d’une autre direction vers laquelle il s’avançait. Non. C’était bien vers elle qu’il avançait. Elle avait perdu l’enfant. Elle savait donc déjà ce que serait le sujet de leur conversation. Mais là, elle n’avait pas vraiment envie d’en parler. D’un côté, elle était soulagée de ne plus avoir cet enfant, mais aussi, elle avait la rage, elle était en colère de l’avoir perdu aussi bêtement. A cause d’un foutu accident. Elle n’avait pas envie de se confier à Martin, mais se blottir dans ses bras, pourquoi pas. C’est ce qu’elle fit lorsqu’il fut en face d’elle. Aucune salutation, à bas la politesse. Elle s’était lancée dans ses bras comme si sa vie n’était attachée qu’à ça : au fait qu’elle soit dans ses bras. Sa seule chance de survie. Elle devait avouer qu’elle se sentait extrêmement bien, à cet instant-même. Comme toujours, elle ne voulait pas défaire son étreinte. Il n’y avait rien de bien spécial entre eux, et pourtant il y avait tout de même cette chose. Ce qui la rendait bien en sa présence. Il en connaissait des choses sur elle, mais ce n’était pas le cas pour Elz. Elle ne savait pas grand-chose sur lui, et ça ne la dérangeait pas. En fait, ça lui plaisait plutôt cette situation. Avec lui, il n’y avait pas besoin de paroles pour qu’elle se sente bien, à l’aise. Il la prenait dans ses bras, et ça allait déjà beaucoup mieux. Un regard pouvait suffire aussi. Bien sur, elle s’était déjà demandé si tout cela continuera lorsque tout ira mieux dans sa vie. Il y a des amitiés qui ne sont là que pour un petit laps de temps. C’était surement ce genre d’amitié qu’elle avait avec Martin. Il était celui qui lui avait été envoyé pour être en quelque sorte là pour elle. Une larme coula sur sa joue, une seule seulement. Elle fit en sorte que Martin ne la remarque pas. Et enfin, elle se positionna pour être en face de lui, à nouveau. « Tu es au courant ? » Bien sur qu’il le savait, sinon il ne serait pas venu la voir, elle voulait tout simplement en être certaine. Il aurait très bien pu venir la voir, pour la saluer. Peut-être avait-elle tout faux, et qu’une amitié, une vraie amitié, était en train de se tisser entre eux, et qu’elle ne s’en rendait pas compte. Pour le moment elle ne voyait que le fait qu’elle ait besoin de lui pour avancer dans sa vie. Elle ne le remercierait pas, elle n’y arriverait pas. Mais il saura qu’elle apprécie tout ce qu’il peut faire pour elle, être là. Venir vers elle dès que quelque chose de nouveau se produit. Elle n’a pas besoin de faire appel à lui, il vient de son propre chef. Elle ne le connait vraiment pas du tout, et peut-être qu’il n’est pas celui qu’elle peut penser être, elle s’en fiche. Il est juste adorable avec elle. Ce n’est pas quelque chose d’éternel, pour la vie. Elle en profite chaque nouveau jour, car tout cela peut changer d’un instant à l’autre, elle le sait. Et si elle apprenait qu’en fait il ne s’agit que d’un salop ? Voudra-t-elle toujours de lui comme « ami » ? Elle n’y a en fait jamais pensé. C’est aujourd’hui, en le regardant dans les yeux, qu’elle se posa la question. Qui était-il ? A part Martin de Thomas. « C’est fini avec James, j’ai dit non au dernier moment. » Il était aussi au courant à propos de son mariage, elle ne l’avait pourtant pas invité, mais elle lui avait dit auparavant que l’enfant aura un père, et qu’elle allait se remarier avec lui. Elle lui avait donc aussi raconté le « mariage forcé ». En fin de compte, il en savait des choses. « Et je demande le divorce. » Pourquoi lui disait-elle tout cela ? A vrai dire, même elle ne pourrait pas y répondre. Mais elle avait besoin de lui dire certaines choses. C’était quelque chose d’essentiel à sa survie, pour qu’elle puisse continuer à vivre à peu près normalement. Mais surtout, pour pouvoir garder espoir, confiance en elle. Elle allait réussir à retrouver un semblant de vie à peu près normal. Quand ? Elle ne sait pas, mais elle sait que ça arrivera. Elle était bien avec lui, mais tout ce monde la mettait mal à l’aise. Surtout lorsqu’elle apercevait les amis de Martin en train de les regarder. Comme s’ils étaient deux bêtes dans un zoo. Elle essaya de le faire comprendre à son « ami ». Au fond, elle savait qu’il la comprendrait. Elle pourrait presque l’aimer, car au fond, c’est un homme comme ça qu’il lui faut.
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MessageSujet: Re: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptySam 26 Fév - 1:38

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ELZ ; MARTIN

    « Un seul murmure est je suis à toi .» Un seul murmure et tu peux m'appeler. Les amis sont faits pour aider ce qu'ils aiment. Je ne suis pas ton ami, je suis bien plus. Je suis ton confident, ton protecteur, c'est ainsi dur de supporter le mal qu'engendre nos proches • • Martin De Thomas


    Chaque matin, vers six heures, la chambre de l’Epsilon était bercé dans une nouvelle musique. Son réveil criait de toutes ses forces pour le réveiller. Tous les matins en pleine semaine c’était la même chose. Le jeune homme n’avait pas fait pour une fois la fête la veille. Le réveil était un peu plus facile que dans ses habitudes. Il se réveilla doucement et caressa ses cheveux en les mettant en arrière. Il se redressa et alluma une cigarette qui passait sous sa main. Le regard fatigué et éteint, il regardait droit devant lui la décoration qui était exposée sur le mur. Un grand tableau en noir et blanc d’un célèbre artiste photographe. Sa journée de cours n’allait pas être victorieuse. Sa journée était remplie, si remplie qu’il n’avait pas une minute pour souffler, il devait se rendre dans tous les amphithéâtres. Ses cours ne seraient guère intéressant, mais il avait des engagements, il devait les suivre sans vraiment râler. Frottant ses yeux turquoises à nouveau, il décida enfin de se lever. L’heure tournait. Il ne devait pas arriver en retard en cours, il séchait suffisamment. Il devait se montrer sérieux ce qui n’était pas vraiment sérieux quand on connait le spécimen. Il tira les grandes portes de son dressing. C’était une petite pièce qui faisait huit mètre carré. A l’intérieur, on pouvait trouver de tout, des jeans, des chemises, des tee-shirt, des manteaux… Et même des costumes. Tout était vintage. Rien n’était de supermarché, il ne manquait plus qu’il s’habille avec des vêtements bons marchés, il n’était pas encore prolétaire. Il saisit un jean noir et une chemise noire Armani. Sa salle de bain était chauffée et des plus design. Il fit couler un long bain en profitant du temps pour se raser. L’attente passée, son corps se plongea dans une eau à trente huit degré. Il se laissa aller, plongeant sa tête en arrière. Rien ne pouvait être mieux qu’un bain pour commencer une journée, quoi que on pouvait très bien commencer par le sexe c’était mieux et plus énergique. Le bain était plus détendant et c’était une épreuve pour faire peau neuve. Sur sa petite tablette, il trouva son déjeuné. Il prit quelques macarons parisiens colorés qu’il dégusta à la vitesse de la lumière, c’était sa gourmandise préférée. Un café avalé en vitesse, et il regarda sa Rolex qui annonça neuf heure du matin. Pris de panique, il saisit une serviette qu’il mit autour de ses hanches. Il s’essuya rapidement et enfila les affaires qu’il avait choisi. Se coiffant vite fait dans la glace de sa chambre, il saisit un paquet de cigarette et ses clés de voiture de sport. L’avantage quand on est riche c’est de profiter des joujoux que papa et maman vous offrent pour n’importe quelle occasion. Malheureusement cela ne peut pas toujours vous aider pour vous diriger dans votre lieu de rendez-vous. Vous pouvez arriver à l’heure comme en retard. Cela dépend de la circulation qui circule en centre. Ce matin là, on ne peut pas dire que la chance soit du côté du jeune Italien bien au contraire, la circulation était allongée, il était difficile d’accéder à un point de rendez-vous précis. Les voitures étaient collées les unes aux autres à quelques centimètres. Il était difficile d’y accéder. Martin s’énervait au volant de son cabriolet tout neuf. Après avoir eu son accident, sa voiture était allée à la casse et il avait fallu en acheter une autre, une nouvelle qui sentait encore le neuf. L’odeur qui se dégageait du cuir était encore toute fraiche. Pourtant, ça ne l’empêchait pas de fumer, la fenêtre grande ouverte, la cigarette à la main, il klaxonnait en attendant qu’une personne se désigne pour avancer. Mais la circulation dura des minutes, puis une heure. Il lui fallu un total d’une heure et demi pour sortir de ce bouchon. Un vrai drame pour toute personne qui n’est pas habituée, mais quand on voyage dans son cas, on sait prendre son mal en patience en écoutant un fond musical. La circulation et la pollution n’étaient plus un problème pour les Californiens. Bien au contraire, cela faisait parti de leur train-train quotidien. Ils étaient habitués. Pourtant rien qu’à voir la file de voitures dans le parking, on put se rendre compte que les élèves n’étaient pas en retard. Il restait une place à l’extérieur du campus, Martin s’y gara et retrouva une bande d’amis de son groupe scolaire. Des personnes de sa confrérie. Ils vinrent l’aborder. Sourires aux lèvres hypocrites ou non, tous étaient autour de lui à lui dire qu’il n’y avait personne. Aucun professeur n’était présent, c’était le véritable pied. Il attrapa ses affaires de cours dans le coffre de sa voiture et il monta l’allée pour se diriger vers les casiers. Ce couloir était rempli de monde, les gens se bousculaient pour atteindre leur casier et y déposer leurs affaires. Le chahut dominait bien plus que les messes basses des élèves hypocrites. Dans l’ombre, au milieu de tous, cette jeune blonde au regard de braise. Le teint pâle et inquiétant, mais si charmeur. Cette Alpha qui avait tant de problème et que Martin écoutait sans se lasser. Elzbieta. Elle était là parmi les autres élèves près de son casier. Il n’eut pas à faire un pas vers elle qu’elle se projeta dans ses bras avec une telle impulsion qu’il l’entoura de ses bras pour la rattraper. Elle changeait de tous les Alpha que l’Epsilon pouvait connaitre. Elle était la plus importante d’eux tous. « Tu es au courant ? ». Non il n’était au courant de rien. L’affaire ne lui était pas encore parvenue aux oreilles. Attentif à ses propos, il fronça les sourcils. Il tenta de chercher la solution aux problèmes qu’elle exposait. Mais c’était si vague qu’il était tout bonnement impossible de savoir de quoi elle voulait parler. « C’est fini avec James, j’ai dit non au dernier moment. ». C’était donc lui l’oracle de cette mise en scène. Il aurait du s’en douter. Si ce n’était pas un homme ça ne pouvait être que la famille ou un ami. Mais le cas le plus courant était celui du petit ami ou dans le cas d’Elzbieta d’un ex-futur mari. « Et je demande le divorce. ». Ainsi c’était sur ce divorce qu’elle venait de finir. L’enjeu était bien plus complexe. Cette situation était totalement inconnue. C’était à peine si une relation avait duré six mois chez lui. Il était le genre à être si frivole qu’il ne comptait même plus ses conquêtes. Cela devenait trop important de compter une telle chose et ce n’était pas vraiment poli. Il saisit la jeune femme par la main et la regarda dans les yeux « Viens on va dehors, on sera plus tranquilles pour discuter. ». Avant qu’elle n’eut le temps de répondre, il l’emmena à l’extérieur, les personnes aux alentours ne faisaient pas attention aux moindres paroles des deux jeunes adultes bien au contraire, ils étaient tranquilles et pouvaient aborder les thèmes fâcheux et importants. La regardant dans les yeux, son regard glacial heurta le sien à la vitesse de la lumière. Il ne comprenait pas pourquoi elle demandait le divorce. « Pourquoi donc demandes-tu le divorce ? Que s’est-il passé raconte-moi tout ! ». Il était bien rare de voir le jeune homme dans ces états, mais dans de telles conditions, il n’avait pas le choix et devait secourir son amie en détresse. Après tout, elle ne demandait qu’une chose : son aide.
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MessageSujet: Re: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptyDim 27 Fév - 0:24

WONDERFUL LIFE ;



Durant son week end, la belle avait travaillé, en tant que bonne Alpha. Mais elle avait aussi fait du shopping, devant remettre à jour sa garde robe. Mais surtout son tiroir réservé aux sous-vêtements. Elle n’était plus satisfaite de ce qu’elle possédait, alors elle s’était rendue dans un magasin spécial femme. Ce qu’elle aime le plus après les robes, voire même égal, les sous-vêtements. Ses préférés ne sont pas tout ce qui est en dentelles, non elle déteste même ça. Elle aime ce qui a de la couleur, surtout dans les tons rouges, rouge et noir. C’est ce qu’elle trouve de plus sexy. La couleur rouge pour en quelque sorte montrer qu’il peut toujours y avoir de l’amour dans le sexe. Le rouge étant la couleur de l’amour. Puis le noir, l’intimité, le noir, le sombre. Pour dire que le sexe c’est quelque chose d’intime, quelque chose entre deux êtres s’unissant dans l’amour. De plus, Elzbieta a toujours trouvé que le rouge et le noir sont deux couleurs qui s’associent très bien ensembles. Elle s’était donc acheté quelques ensembles. Rouge et noir. Bleu foncé, ainsi qu’un bleu clair. Bref, elle avait fait quelques folies. Mais après tout il ne faut pas la laisser seule dans un tel magasin. En ce lundi, elle avait mit sur elle un de ces ensembles. Le bleu clair, la couleur des Alphas, une coïncidence ? Peut-être. Il n’empêche que ce bleu va à ravir sur Elz, il se marie très bien avec son teint, avec ses formes. Pour faire son choix dans son magasin préféré, elle avait fait appel à sa vendeuse préférée qui avait toujours très bien su la conseiller. Elle avait été ravie de ses choix. Se sentant à merveille dans ce nouvel achat. Seul hic. A qui pouvait-elle montrer tout cela ? Plus personne ne faisait partie de sa vie, plus aucun homme, ni de femmes d’ailleurs. Personne. Généralement lorsqu’on se fait plaisir dans de tels achats, c’est pour faire plaisir en retour à quelqu’un d’autres, pour une soirée en particulier. Il ne restait à Elz qu’à se faire plaisir seule, même si ce n’est pas réellement son « tripe » à elle, de se faire plaisir seule. Mais elle ne se sentait pas vraiment apte de retrouver l’amour, ou même de retrouver un garçon quelconque. L’amour elle n’y croyait plus. Le sexe ? Pourquoi ne pas essayer. Les aventures sans lendemain cela ne peut pas faire plus de mal qu’une histoire d’amour qui finit mal. Surtout lorsque l’aventure d’une seule nuit fait partie d’un accord commun entre les deux êtres « s’accouplant ». C’est cela, Elzbieta allait faire ça. Du moins, elle allait essayer. Et maintenant, elle pouvait comprendre comment les filles, ou même les hommes décident d’être ainsi. Préférant les aventures d’une nuit sans lendemain, ou sans engagements. Juste du sexe, et pas d’amour. Ainsi, on risque beaucoup moins de souffrir. Elle comprenait et acceptait ce mode de vie. Pourtant, elle ne se savait pas capable de devenir ainsi. L’amour pour elle, a toujours été quelque chose de très important. Ce n’est que du passé. Maintenant, ce n’est que vent. Même ses propres parents se sont séparés. L’amour n’est pas quelque chose d’éternel, et c’est obligé qu’on en souffre un jour ou l’autre. Elzbieta préférait maintenant s’attacher à autre chose, à l’amitié. Elle avait besoin de quelqu’un qui saurait être là pour elle comme elle le voulait. Martin. C’est lui qu’elle aperçut lorsqu’elle pensa à cela. Coïncidence ? Cela en faisait trop de coïncidences en ce moment. Elle qui n’y croit pas normalement, elle commençait à douter. Elle se retrouva vite dans ses bras, laissant couler une larme. Elle pouvait essayer tant bien que mal de cacher sa faiblesse, et de se monter forte, mais face à Martin, c’était impossible. Elle était tellement vulnérable. Quant à lui, il s’agissait d’un vrai homme, celui qui a sa tête sur les épaules, fort comme un roc. Strauty n’a jamais aimé ce : « les hommes doivent être forts et ne pas se montrer faible, ne pas pleurer ». Dans ce cas là, elle appréciait cette idée. Martin le sexe fort, elle le sexe faible. Elle se sous estimait, et se mettait elle-même dans une situation d’infériorité. Elle doit vraiment se sentir mal pour être comme ça. « Viens on va dehors, on sera plus tranquilles pour discuter. » Elle apprécia cette attention, et cette initiative. Surtout du fait que les amis du jeune homme les regardaient. Ils devaient se demander ce qu’ils pouvaient très bien se dire, qu’est ce qui avait pu être aussi important pour que le bel Epsilon lâche sa bande pour aller rejoindre une autre personne, qui plus est, est une fille. Ils allèrent à l’extérieur, peut-être qu’il y avait plus de monde, mais on ne faisait beaucoup moins attention à eux, à ce qu’ils pouvaient se dire. Elz préférait cet endroit plus fréquenté pour parler avec Martin, bizarrement. Elle avait gardé sa main dans la sienne. Ce contact était si spécial à ses yeux. Elle ne pourrait vraiment pas dire ce que cela lui fait ressentir, surement du bonheur, du réconfort, du courage. Un tout de ce genre de sentiments. Bon sang, que se passait-il avec ce jeune homme qu’elle connait à peine à part son prénom, nom, confrérie. De l’alchimie ? De l’attirance ? C’était bien trop bizarre pour y avoir une réponse, et ça déstabilisait notre pauvre jeune fille. Martin avait l’air si tendre, agréable, et pourtant quand elle croisa son regard. Un regard si froid, glacial. Il ne faisait transpercer aucunes émotions, sentiments. Etait-ce une façon de se converser ? Pas mal de personnes sont dans le même cas. Elzbieta ne serait jamais comme ça. Elle est trop transparente, même si elle essaie de cacher ce qu’elle est vraiment, ce qu’elle ressent. On le remarque tout de suite. Ce regard lui fit peur, mais en même temps la mit en confiance. « Pourquoi donc demandes-tu le divorce ? Que s’est-il passé raconte-moi tout ! » Merde. Elle n’aimait pas le fait qu’il ne soit au courant de rien, comme par hasard. Tout était fait pour l’emmerder. Obligée de tout lui dire à vive voix, horreur. Elle se connaissait, et savait en avance qu’en lui racontant elle craquerait. Elle allait pleurer devant Martin, dans ses bras. Elle détestait cette idée. Il avait l’air si… sans sentiments, émotions, avec ce regard. Et pourtant, elle savait qu’au fond il y avait un cœur comme chez tout le monde. Comment va-t-il réagir en la voyant pleuré de cette façon-là ? Parce qu’elle allait se lâcher. Pleurer une seule et dernière fois. Elle allait pleurer cette perte, cet enfant qui n’a pas connu la vie. Elle appréhendait, et se posait surtout trop de questions. Elle l’entraina un peu plus en dehors du campus, tant pis pour ses cours. Elle avait tenté d’y aller, mais maintenant elle se sentait incapable d’y aller. Elle n’avait qu’une envie : rester avec De Thomas. Elle s’arrête sous un arbre, elle s’y assit, et proposa à Martin de s’installer à son tour. « Je ne l’aimais plus. D’ailleurs je me demande si je l’ai aimé une seule seconde. Au fond, je crois qu’il n’y a eu de la grande amitié, c’était qu’un meilleur ami, et c’est allé trop loin. J’ai fait la conne. Puis on allait devenir parents, je me suis rattachée à ça, en me disant qu’on allait faire de bons parents ensembles, que ce petit garçon aura ainsi un papa… Mais il n’y avait plus lieu d’être : j’ai perdu l’enfant dans un foutu accident de voitures. Plus rien ne me liait avec James, du moins côté amour, mariage et tout ce qui va avec. J’ai préféré arrêté là, même si du coup j’ai du perdre un meilleur ami qui était amoureux de moi, et prêt à tout pour moi.» Petit à petit qu’elle lui parlait, elle se mit à pleurer. Elle ne regardait pas son ami, elle n’osait pas. Son regard restait fixé à l’horizon. Sur cette façade de Berkeley. Cet arbre était situé juste en face du campus, une simple route les séparait. Ses yeux étaient remplis de larmes, et ça commença réellement à couler. Elle eut du mal à respirer, la tristesse la submergea d’un seul coup. Elle cacha sa tête dans ses mains, et essaya de se calmer, en se séchant le visage, les joues. Elle essaya d’arrêter de penser à tout ça, mais impossible. Maintenant qu’elle en avait parlé, elle devait continuer à y penser. Pourquoi avait-elle du vivre toute cette grossesse jusqu’au derniers mois, pour enfin de compte ne rien avoir. L’enfant aurait du naitre en Avril. Elle l’avait perdu au cours du mois de Février. Que deux putains de mois. Elle se détestait. « Martin, tu ne peux pas savoir comment je me sens… tellement perdue. Je ne sais même plus à quoi je sers sur ce monde. Jusqu’ici je pensais avoir trouvé une voie : être une mère de famille, une jeune mère soit, mais je comptais finir mes études et avoir un bon boulot pour faire vivre cet enfant. Mais maintenant, j’ai quoi ? Plus rien. Plus de famille, plus d’ambition, aucune envie de retourner finir mes études. J’ai tout perdu à ce mariage, cet enfant était mon tout, et j’ai perdu ce tout. Je suis désolée. » Bien sur qu’elle se rendait compte de ses paroles, mais tout ça l’atteignait vraiment. Après son viol, elle avait déjà attenté à sa vie, elle se savait d’humeur suicidaire quand tout allait vraiment mal. Elle avait peur de ses propres actions. Elle était suicidaire, et pourtant elle ne veut en aucun cas mourir de cette façon là. C’est tellement faible. En étant là, avec Martin à cet instant-là, elle espérait pouvoir compter sur lui. Serait-il à la hauteur ? Putain.
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MessageSujet: Re: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptyDim 20 Mar - 2:04

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ELZ ; MARTIN

    « Un seul murmure est je suis à toi .» Un seul murmure et tu peux m'appeler. Les amis sont faits pour aider ce qu'ils aiment. Je ne suis pas ton ami, je suis bien plus. Je suis ton confident, ton protecteur, c'est ainsi dur de supporter le mal qu'engendre nos proches • • Martin De Thomas


    La vie réservait de nombreuses surprises aux individus humains. Bonnes comme mauvaises. La plupart du temps, elles étaient mauvaises. Ce n’était qu’une série d’épreuves pour endurer l’être vivant à une suite d’évènements tous autant plus durs. Ce divorce pour Elzbieta pouvait être la pire des choses pour elle. Elle se confiait à Martin, qui n’était pas vraiment le meilleur confident pour ce genre de situations. Ce n’est pas le style de garçon à qui on peut facilement faire confiance. Sa réputation ne l’aidait pas beaucoup. Il avait cette fâcheuse tendance à envoyer valser les autres, à les torturer.. De plus, il se torturait lui-même en s’enfonçant dans un gouffre dont il ne pourrait plus souffrir. Souffrir du manque de celle qu’il aime. Oubliez tout ce qui peut le rapprocher de son conte de fées. Passer des heures à se morfondre, ce n’était pas vraiment sa tasse de thé. Il n’était pas du genre à rester des jours devant son ordinateur à s’empiffrer de chocolat ou à dormir toute la journée. Non, il avait un moyen bien plus rapide, qui vous taillade les veines, vous meurtrit de l’intérieur, vous fait pourrir : la drogue. Petite substance à sniffer ou à fumer. Tout était bon pour oublier. Ce petit paradis n’avait pas de prix. Malheureusement, il ne pouvait pas proposer à Elzbieta un petit peu de poudre magique. Il serait rare qu’elle soit d’accord. C’était la solution du jeune garçon, non la sienne. Elle devait se guérir d’une autre manière. Avec Martin, elle était sûre d’une chose c’est qu’il serait là pour elle. Elle représentait quelque chose de concret pour lui. Elle était ce qui était de mieux. Cette ancienne petite Alpha conservait sa sagesse et sa simplicité. Elle n’était pas une poupée barbie ridicule qui se balade dans toute l’université avec un chihuahua dans un sac de luxe et des lunettes mouches grotesques en tant que lunettes de soleil. La petite fille sérieuse était devenue une femme qui avait pris ses ailes pour faire l’une des plus dures étapes de la vie : se marier. Martin ne comprenait pas vraiment la raison de cet engagement. Ce n’était qu’un morceau de papier. Les deux jeunes mariés le signaient et voilà ils étaient mariés. Ce papier ne signifiait rien. Il n’allait pas garantir la fidélité de l’homme. La femme ne serait pas sûre de le voir rentrer chaque soir dans leur maison. Ce bout de papier n’était qu’une rose trop épineuse qui prenait un réel plaisir à faire souffrir les gens. Le fossé était creusé, la personne allait se noyer, s’éteindre dans un gouffre.

    Dehors, la lumière du soleil éclairé tous les alentours. La chaleur faisait son retour, étouffant toutes les matières hivernales. Elle ne voulait qu’une chose : laisser son empreinte et prendre le dessus sur l’hiver qui allait s’éteindre pour marquer la fin du mois de Noël, et de l’hiver. L’arbre qui prenait racine sous eux, se développait de manière majestueuse, épousant à son tour les épais nuages blancs. Le cadre était des plus agréables. De son cuir, Martin saisit un fin paquet argenté. Une sorte de cadeau qu’on lui avait fait. Ses initiales étaient gravées au dessus. Il ouvrit le contenu et laissa entrevoir les portes du cancer. Une rangée parfaite de cigarettes était étendue sur la plaque de métal. Il n’y avait que à Berkeley qu’on pouvait voir une telle chose. C’était impressionnant de se rendre compte à quel point on peut dépendre de nos parents. Surtout quand il s’agit d’argent.   «J e ne l’aimais plus. D’ailleurs je me demande si je l’ai aimé une seule seconde. Au fond, je crois qu’il n’y a eu de la grande amitié, c’était qu’un meilleur ami, et c’est allé trop loin. J’ai fait la conne. Puis on allait devenir parents, je me suis rattachée à ça, en me disant qu’on allait faire de bons parents ensembles, que ce petit garçon aura ainsi un papa… Mais il n’y avait plus lieu d’être : j’ai perdu l’enfant dans un foutu accident de voitures. Plus rien ne me liait avec James, du moins côté amour, mariage et tout ce qui va avec. J’ai préféré arrêté là, même si du coup j’ai du perdre un meilleur ami qui était amoureux de moi, et prêt à tout pour moi. ». Le regard azuré de l’Epsilon resta marqué sur les pommettes de la jeune femme qui baignait sous des rivières de larmes qui se succédaient toutes, les unes aux autres. Martin avait bien raison, l’amour ne servait à rien sauf à nous blesser encore plus. C’était une erreur de parcours qu’il fallait rétablir avant de se laisser aller dans les bras du néant. Il n’avait pas l’habitude d’être doux avec les autres. Ce n’était pas maintenant que cela allait changer. il sait la jeune femme par les épaules et le ramena contre lui. Séchant ses larmes avec ses doigts, il se demandait quelle carte jouer. La carte de la gentillesse ou de la méchanceté qui exprime tout ce qu’il ressent ? A bas les cartes ! Il allait être naturel et aller droit au but, elle n’avait pas besoin d’un homme qui ne cesse de raconter sa vie sans pour autant écouter la sienne. «  Les erreurs de jeunesses ! Que veux-tu que je te dise ? Un divorce c’est quoi ? C’est juste un morceau de papier qui sera brûlé. Vous ne serez plus jamais ensemble. C’est situation n’est pas mauvaise, tu as pu apprendre à te canaliser. Il ne faut pas te laisser face à un mec, tu ne sais pas comment ils agissent. Même si c’était ton meilleur ami et ton conjoint, comme tout homme il a un double jeu et il sait s’en servir. Je me demande ce qui t’as pris de vouloir être sa femme, c’est pathétique et idiot, ne trouves-tu pas ? Pathétique parce que je déteste l’idée de l’amour, et celle du mariage me donne la nausée. Et idiot car tu es allée bien trop vite, tu as le temps de vivre des aventures aussi incroyables. ». Par la suite, son discours marqua le jeune garçon. Il était dans la même situation. « Martin, tu ne peux pas savoir comment je me sens… tellement perdue. Je ne sais même plus à quoi je sers sur ce monde. Jusqu’ici je pensais avoir trouvé une voie : être une mère de famille, une jeune mère soit, mais je comptais finir mes études et avoir un bon boulot pour faire vivre cet enfant. Mais maintenant, j’ai quoi ? Plus rien. Plus de famille, plus d’ambition, aucune envie de retourner finir mes études. J’ai tout perdu à ce mariage, cet enfant était mon tout, et j’ai perdu ce tout. Je suis désolée.  ».. Il fallait être fou pour ne pas reconnaitre sa véritable nature, il avait envi de la soulever en l’air et de lui donner un bon soufflet. Ces bêtises-là n’étaient que des paroles sans histoires. Des paroles d’adolescente ! Martin n’était pas con, il savait qu’elle était assez forte pour survivre tout ça. Elle ne devait pas s’en faire pour une historie de garçon et de gamin. Il y avait bien plus important, comme la guerre civile ou bien que tout le monde ait à manger. Rien n’arrivait ! Il la serra dans ses bras, fronça sérieusement les sourcils. «  Je t’interdis de dires de telles choses ! Si tu es perdue c’est normal, on ne peut pas te le reprocher ! Mais tu es trop dure envers toi-même, tu ne vas pas foutre en l’air ta vie pour un gamin et un mariage ! Tu as ta vie devant toi, les erreurs peuvent exister, elles sont conçues pour nous aider rien de plus. Si tu devais être démotivée, à quoi cela pourrait bien te servir ? Tu as besoin de réussir de nos jours. Tu as les capacités, tu es assez douée pour tout. Tu n’as pas à te poser des questions sur un mec. Les mecs sont tous cons et un gamin tu peu en refaire d’autre. C’est certes trop cru, mais c’est la réalité. Il faut que tu te lâches sans jamais perdre de point de vue ton objectif. Le ballon doit arriver dans le panier par tous les moyens. Sèche-moi ces vilaines larmes ! »
    Il faut reconnaitre que sa vie n’était pas joyeuse. Elle était même dure, mais il n’avait pas envi de la retrouver comme lui, elle ressemblerait à une épave, ne vivant que pour une chose : la consommation de drogues. Elle avait le temps de déprimer sur cet épisode de sa vie. Elle était bien plus maline qu’on ne pouvait le croire, Martin en était convaincu.
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MessageSujet: Re: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptyMer 23 Mar - 21:17

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On ne choisit pas ses amis. Jusqu’ici Elzbieta n’était pas d’accord sur ce point-là, car pour elle, bien sur que si on les choisissait. Si l’on n’apprécie pas une personne, on ne va pas devenir ami avec. L’affinité compte beaucoup dans l’amitié, voire plus. Mais depuis qu’elle a rencontré Martin, son opinion a changé. Elle ne connait strictement rien sur lui, et pourtant il est comme un ami pour elle. Elle ne l’a pas choisit, il est venu à elle. Depuis, elle se confie à lui. C’est comme se confier à un psychologue, vous ne le connaissez pas du tout, et pourtant vous lui parlez de votre vie, sans tabou. Martin n’est pas pour autant un psy ou autre. Juste un jeune étudiant qui « aide » Elzbieta. Elle n’avait pas pu le rejeter lorsqu’il est venu à elle, lui annonçant tout ce qu’il savait à son sujet. Surement du à sa beauté, ou du moins cela a aidé. Elle ne serait jamais allée vers un jeune homme aussi beau, merci la timidité. Etant donné que c’est lui qui est venu, elle en a en quelque sorte profitée. Profiter pour avoir un ami aussi beau, non pas que ses amis ne le soient pas. Ne nions pas que De Thomas soit un sex appeal. On a tous quelque chose qu’on regarde en premier chez un homme, en général il s’agit des fesses. Pour notre jeune fille, cette partie là passe en deuxième, car elle regarde en priorité les yeux, le regard de l’homme en question. Et là, pour Martin, ce fut un coup de foudre. Elle est tombée amoureuse du regard, de la couleur des yeux de ce cher Epsilon. Depuis le temps maintenant, elle aurait déjà pu tenter quelque chose, ce n’est pas l’envie qui lui manque. Mais elle était avec James, elle ne pouvait donc pas, mais maintenant, elle est libre comme l’air en plein milieu océanique. Aucun obstacle. Non, elle ne tentera rien, ce n’est pas son genre. Quoique… quel est son genre à vrai dire ? Jusqu’ici rien n’a marché avec les hommes, tout a toujours mal tourné. Et si elle changeait un peu ses habitudes : arrêter d’attendre et de prendre les choses en main. Pour l’instant, ils se trouvaient sous un arbre, et elle se confiait, tout naturellement. Loin de là ces idées de prendre les choses en main avec ce beau gosse. Alors qu’avec certaines personnes, il lui est dur de se confier, avec lui, aucunes difficultés. Les mots sortent tous seuls. « Les erreurs de jeunesses ! Que veux-tu que je te dise ? Un divorce c’est quoi ? C’est juste un morceau de papier qui sera brûlé. Vous ne serez plus jamais ensemble. C’est situation n’est pas mauvaise, tu as pu apprendre à te canaliser. Il ne faut pas te laisser face à un mec, tu ne sais pas comment ils agissent. Même si c’était ton meilleur ami et ton conjoint, comme tout homme il a un double jeu et il sait s’en servir. Je me demande ce qui t’as pris de vouloir être sa femme, c’est pathétique et idiot, ne trouves-tu pas ? Pathétique parce que je déteste l’idée de l’amour, et celle du mariage me donne la nausée. Et idiot car tu es allée bien trop vite, tu as le temps de vivre des aventures aussi incroyables. » Lorsqu’on n’arrive pas à se confier à quelqu’un de proche, c’est souvent parce qu’on a peur que celui-ci nous juge, ou alors on a peur de ce qu’il peut penser de nous en retour. On tient énormément à lui, et on ne veut pas le blesser, ou lui faire du mal avec toutes nos histoires. C’est en quelque sorte à cause de tout cela qu’Elzbieta ne s’est jamais véritablement confiée à son frère de cœur : Nath. Il ne sait rien à propos de son viol, ou alors de la fois où elle s’est faite agressée, ou même de son accident. Elle ne veut pas qu’il se fasse du mauvais sang juste par sa faute. Elle le connait trop bien, et elle sait que c’est ce qui arrivera si elle ose lui dire tout cela. Elle préfère donc le laisser en retrait. C’est pour son bien. Martin, tout en étant un « ami », n’est pas grand-chose pour elle. Elle s’en fiche pas mal de ce qu’il peut penser d’elle, s’il la juge. Elle n’a pas peur de le faire chier avec toutes ses misères. Oui, bon, c’est assez complexe entre eux deux, mais surtout très dur à définir ; leur relation. Il était toujours très direct avec elle. Bien qu’elle n’apprécie pas vraiment tout ce qu’il peut lui dire, elle l’écoute tout le temps. Car c’est avec de tels conseils qu’on avance. Un ami, un vrai, qui n’aimerait pas vous blesser, ne dira jamais tout ce que vient de dire Martin. Et pourtant, c’est ça qui fit voir la réalité en face à notre chère jeune fille. « C’est quand même le deuxième mariage qui me passe sous le nez. J’ai tout simplement l’impression d’être maudite vois-tu ! C’est vrai que là je commence à me demander qu’est ce qu’est vraiment l’Amour. Si ça se trouve j’ai cru avoir trouvé l’amour, mais en fait non, pas du tout. Peut-être que je ne sais pas ce qu’est l’Amour. J’aimerai être comme toi : ne pas aimer l’amour, ne pas y croire, mais je ne peux pas. On a tous une petite morale en nous, qui nous dit en quoi croire, en qui, et la mienne me dit de croire en l’amour. On n’est peut-être pas d’accord sur ce point là, mais je suis d’accord avec toi sur le fait que je suis allée trop vite avec James. Je ne suis pas de celles qui couchent à droite et à gauche, comme ça. Je ne sais même pas comment tu es toi, mais j’imagine que t’es le genre de mec qui couchent avec toutes les filles, étant donné que tu détestes l’amour, je me trompe ? » Elle profita de ce petit instant pour essayer d’en savoir un peu plus sur ce joli garçon qui lui servait d’ami/confident. Jusqu’ici, ce fut que lui qui l’écouta, il en savait des choses sur elle. Et c’est vrai que ça ne l’avait jamais plus dérangé que ça, mais maintenant elle aussi voulait en savoir des choses sur lui. C’est tout à fait normal comme envie, du point de vue d’Elzbieta. Elle plongea son regard dans le sien. Ses larmes disparurent, et laissèrent place à de la conversation. Celle qu’appréciait Elz en étant avec Martin. Une conversation des plus profondes et sincères, comme ils avaient l’habitude de faire, mais surtout de parler. « Je t’interdis de dires de telles choses ! Si tu es perdue c’est normal, on ne peut pas te le reprocher ! Mais tu es trop dure envers toi-même, tu ne vas pas foutre en l’air ta vie pour un gamin et un mariage ! Tu as ta vie devant toi, les erreurs peuvent exister, elles sont conçues pour nous aider rien de plus. Si tu devais être démotivée, à quoi cela pourrait bien te servir ? Tu as besoin de réussir de nos jours. Tu as les capacités, tu es assez douée pour tout. Tu n’as pas à te poser des questions sur un mec. Les mecs sont tous cons et un gamin tu peu en refaire d’autre. C’est certes trop cru, mais c’est la réalité. Il faut que tu te lâches sans jamais perdre de point de vue ton objectif. Le ballon doit arriver dans le panier par tous les moyens. Sèche-moi ces vilaines larmes ! » Elle ne s’était même pas rendue compte que des larmes avait apparues de nouveau en continuant la conversation. Et vu le ton qu’il prit avec elle, elle ne pouvait que mieux faire de se sécher ces larmes. Il avait raison sur tout. Cela ne sert à rien de se mettre dans un tel état pour une personne, un mec. Ils sont des milliards sur Terre, et elle, elle n’en pleure qu’un seul. Elle peut demander à quiconque de lui refaire un enfant si elle le souhaite autant. De plus, au début, elle n’en voulait pas de cette enfant. Il est tellement facile de mettre une femme enceinte. Ce n’est pas ça le problème, de créer une progéniture. Putain, pourquoi il doit toujours avoir raison ce fichu con. A cette pensée, elle ne put s’empêcher de sourire, et de rire à sa propre pensée. Elle devrait plutôt être contente d’avoir un homme à ses côtés qui sache quoi lui dire. Un homme qui sache lui faire voire la réelle vie en face de ses deux yeux. Sous un coup d’élan, elle lui prit sa main dans la sienne, et se coucha sur ses jambes. Sa tête sur celles-ci. Elle regarda le ciel, tout en « zappant » avec le visage de Martin. C’est vrai qu’il est vraiment beau. « T’es canon, et t’as de la tête. Tous les mecs ne sont pas comme toi. T’es une perle à ne surtout pas perdre. Tu sais t’es genre la petite perle la plus jolie d’un collier. Un collier pas super joli, mais tu es celui qui le rend joli. Genre ma vie c’est ce collier, et tous mes anciens mecs sont ce qui remplit ce bijou sans pourtant rendre ma vie un magnifique conte de fée, alors que toi… Je suis tout simplement contente de te connaitre. Merci Martin. » Tout cela était sortit comme si elle lui racontait sa vie, avec ce qu’elle a mangé hier, etc. Elle n’avait pas eu besoin de réfléchir une seule seconde, et c’est ce qu’elle pensait. Les paroles du jeune homme lui en avait fait voir des choses. Elle l’écoutait. Une main dans la sienne, de l’autre, elle lui passa la main sur son visage, et lui sourit. Et elle se remit à regarder le ciel, d’un bleu commun. Le bleu que seul un ciel peut avoir. Quelques nuages par-ci, par-là. Mais ce n’était tout de même une très belle journée. Une belle journée qu’elle partageait avec monsieur De Thomas, que demander de plus ? Elle ne demandait rien, tout allait pour le mieux. Elle n’en pouvait que mieux remercier Martin, mais comment. C’est ce à quoi elle pensait tout en regardant le ciel. Un petit silence s’était imposé entre eux deux. Ce silence qui ne peut que faire du bien, qui fait réfléchir. Sa tête restait sur les jambes de Martin.
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MessageSujet: Re: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptyMer 30 Mar - 22:16

for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ Abbey-lee-kershaw-barnaby-roper04
ELZ ; MARTIN

    « Je suis tout à toi ♥.» Le désir est le grand ressort providentiel de l'activité ; tout désir est une illusion, mais les choses sont ainsi disposées qu'on ne voit l'inanité du désir qu'après qu'il est assouvi. • • Ernest Renan


    La chaleur s’éprend de vous par deux moyens. Le premier est sous un jour de soleil comme ce dernier, les températures sont si hautes que votre corps réagit de manière systématique. Il est habité à la chaleur, sa température monte. On transpire, rien de bien sexy. Quoi que si on glisse son regard sur le bel Italien, une vue de lui nu, sous le soleil torride après un effort est toujours bon pour les yeux. Un corps bien taillé, une allure saine, il n’y a rien de mieux qu’un homme qui prend soin de lui et ne qui ne veut pas devenir comme les hommes plus âgés, avec une grande brioche qui sert de ventre et une halène d’ivrogne. C’était traditionnel chez les hommes, minces jeunes, et gros vieux. Pourtant, Martin avait envi de changer cette tradition, le seul conseil que son père lui a donné c’est que son corps était l’unique maître de son destin. Notre civilisation est si superficielle que l’unique façon de plaire est le corps. Un individu avec un corps sain trouvera plus facilement du travail et des relations sans lendemain. L’argent ne fait pas tout. Une belle gueule est aussi préférable. Martin avait tout. L’intelligence, le physique d’un Apollon tout pour plaire. Pourtant, il avait un sale caractère. Un caractère qui en glace plus d’un. C’était tout simplement un con et il en était bien conscient. Il adorait s’en amuser.
    Le deuxième moyen d’une chaleur pénétrante est une envie sexuelle. Utilisant les mots crus. Un corps a toujours besoin d’exercice physique. Une activité physique régulière. Certains choisissent un sport, du football, du basketball… Mais d’autres plus feignants et ayant tout compris préfèrent l’usage du lit. C’est un sport qui muscle tout le corps et qui donne une certaine envie. On profite du corps de l’autre tout en se faisant plaisir, une véritable union. Faire l’amour était un sport comme les autres, beaucoup plus profitable et plus agréable. C’état un plaisir à deux. On gagnait plus que dans une relation sportive. Quel est le véritable intérêt de courir après une balle ? Aucun, sauf de s’épuiser ! Quel est l’intérêt de coucher avec une personne ? Se faire plaisir et faire plaisir à l’autre. Martin n’était pas un expert pour tout ce qui concerne les relations sérieuses. La seule qu’il a véritablement connue est Constance. C’était une relation d’une nuit, mais il avait des sentiments pour elle. Ces sentiments étaient ancrés dans sa poitrine. Il était impossible de les retirer. Ils étaient plantés dans la chair. Il souffrait de cet amour à sens unique. C’était bête à dire, mais elle était la meilleure chose qu’il lui était arrivé. Mais elle était aussi la pire. Il découvrait les joies de l’amour avec elle. Il comprenait les répliques idiotes de Roméo, il comprenait son geste de mort. Juliette était sa destinée, elle était sa vie. Si elle n’était plus vivante, il n’avait plus de raisons d’exister. Elle était Juliette, il était Roméo. Tous les deux étaient prévus pour des destinés malheureuses et tragiques. Mais on est dans le XXI siècle, de nos jours, les hommes se suicident rarement pour une femme. Surtout dès qu’il s’agit de De Thomas. Parlez de ça à une fille avec qui il a couché, elle vous rigolera au nez. Martin amoureux, c’est difficile à croire. Ce type il n’a pas de sentiments, c’est impossible ! Et pourtant, si il était plus amoureux de Constance que quiconque. Il était sûr d’être le seul réellement amoureux d’elle. Son Edward n’était qu’une illusion, elle n’avait rien à faire avec. « C’est quand même le deuxième mariage qui me passe sous le nez. J’ai tout simplement l’impression d’être maudite vois-tu ! C’est vrai que là je commence à me demander qu’est ce qu’est vraiment l’Amour. Si ça se trouve j’ai cru avoir trouvé l’amour, mais en fait non, pas du tout. Peut-être que je ne sais pas ce qu’est l’Amour. J’aimerai être comme toi : ne pas aimer l’amour, ne pas y croire, mais je ne peux pas. On a tous une petite morale en nous, qui nous dit en quoi croire, en qui, et la mienne me dit de croire en l’amour. On n’est peut-être pas d’accord sur ce point là, mais je suis d’accord avec toi sur le fait que je suis allée trop vite avec James. Je ne suis pas de celles qui couchent à droite et à gauche, comme ça. Je ne sais même pas comment tu es toi, mais j’imagine que t’es le genre de mec qui couchent avec toutes les filles, étant donné que tu détestes l’amour, je me trompe ? ». En écoutant l’ancienne Alpha, il se rendait compte de sa vision des choses et celle du monde extérieur. Tout le monde le pensait froid comme la glace. On disait même qu’il n’avait aucun sentiment pour C. Mais c’était faux. Les gens n’avaient pas conscience de l’homme qu’ils avaient en face d’eux. Martin était encore plus complexe que tous les autres. Il ne se résumait pas à une seule phrase. Bien des scientifiques pouvaient l’analyser, mais ils seraient incapables de voir qui se cache dessous. Un homme froid comme la glace, mais chaud comme la braise. Elle avait la même vision de l’amour que lui. L’amour c’est quoi ? Un sentiment trop complexe, bien trop curieux. On y goûte une fois et dès qu’on commence on ne termine pas. On connait des moments magiques, puis des impasses et des malheurs. A cet instant présent, il dirait que l’amour est plus une fatalité, un fardeau qu’un sentiment heureux. Il était rare que les personnes aient beaucoup d’enfants et vivent heureux dans le temps. On trouvait cela dans les contes. Il trouvait que Elz’ ne profitait pas beaucoup de la vie. La vingtaine est deux mariages. Il trouvait cela trop rapide, elle était dans le printemps de sa vie qu’elle pensait à se caser. Elle était bien une fille pour ça ! Martin avait bien plus les pieds sur terre, il profitait de la vie avec excès, on ne sait pas de quoi demain est fait. Il voulait l’argent du beurre, le pot et la crémière. Il voulait tout. Que tout soit parfait ! Il était l’unique acteur de sa vie et il voulait marquer d’une croix blanche la Terre, laisser son empreinte. Il sourit aux propos de la jeune femme et répondit par la suite. « Sincèrement, je sais pas ce que tu peux aimer dans le mariage ! T’en as déjà raté deux, ça te suffit pas ? On est pas obligatoirement né sur terre pour rencontrer sa moitié, se marier et avoir des enfants. Oh non, de nos jours, on utilise plutôt la technique de ’’je te saute, tu te sentiras mieux. ’’ N’espère pas trouver un homme qui te convient ça n’existe pas. Ils pensent tous pareil. Ils analysent leur besoin personnel d’abord, vous les femmes vous arrivez en fin, si on n’a pas besoin de vous pour le sexe. Ce n’est pas que je n’aime pas l’amour. Je n’ai jamais été trompé, jamais trahi, pourquoi ? Parce que je n’étais jamais amoureux ! J’ai jamais reçu un seul sentiment d’amour. Le seul amour que je devais recevoir était l’amour maternel, mais j’ai reçu un amour budgétaire. Mes parents me donnaient de l’argent. Ils m’en donnaient sans compter. C’était et c’est toujours leur manière de me dire qu’ils existent. Longtemps, j’ai été manipulé par eux, mais je me suis rebellé. Si je donne l’impression de détester l’amour, c’est mon tempérament et mon caractère. Je ne suis pas un homme comme les autres. À vrai dire, je suis bien pire. Tout le monde sait des choses sur moi, mais ils ne savent pas toute la vérité. Je suis bien pire qu’on ne peut le croire ! De quel droit peux-tu affirmer de telles choses ? Penses-tu qu’on devient comme ça en claquant des doigts ? Non ma petit, c’est beaucoup plus complexe. Tu ne peux pas apprécier être au lit avec un mec aussi rapidement si ce n’était pas ton style de vie. Tu te feras bouffer sur le marché. Par un autre, ou par moi, dans ce monde, on est sans pitié, tu joues dans la cour des grands. » Sa voix rauque résonna dans les esprits sourds. On avait entendu que lui. Cela le mettait hors de lui, une jeune femme demandant le divorce, ne croyant plus à l’amour. Cela peut-être compréhensible, mais de là à se la jouer grande dame, il fallait avoir un certain culot. Ce n’était pas inné, elle ne pouvait pas être une vraie garce et faire concurrence à Martin, c’était impossible. Personne n’était aussi con que lui il fallait le reconnaître. Ils étaient tous rares de se prendre pour les maîtres du monde, si tu n’as pas la classe, si tu n’es pas IN, tu ne seras jamais une véritable VIIIP. Autant regarder le carré VIIP pour cela. Les gens se croient pour la plupart au dessus des autres, notamment Martin, mais le concernant c’était une vérité. Il était cru dans ses paroles. Il n’avait pas peur de ce qu’elle pouvait lui reprocher. Il en avait rien à faire à vrai dire. Il était comme ça. Un connard. Il le vivait bien. Encore heureux. « T’es canon, et t’as de la tête. Tous les mecs ne sont pas comme toi. T’es une perle à ne surtout pas perdre. Tu sais t’es genre la petite perle la plus jolie d’un collier. Un collier pas super joli, mais tu es celui qui le rend joli. Genre ma vie c’est ce collier, et tous mes anciens mecs sont ce qui remplit ce bijou sans pourtant rendre ma vie un magnifique conte de fée, alors que toi… Je suis tout simplement contente de te connaitre. Merci Martin. ». Ce compliment devait lui allait droit au cœur. Ce n’était pas tous les jours qu’une fille dit cela ouvertement à un homme. Et pourtant, il était si sûr de lui qu’un tel compliment ne lui faisait plus vraiment rien. Il savait qu’il avait une belle tête. Il savait très bien qu’il était le mec parfait. Il avait un beau corps, un tempérament fort et dur et un visage de rêve. Se couchant sur ses jambes, il se mit à l’aise. Passant une main dans les cheveux de la nouvelle progéniture des Beta, il les caressa du bout des doigts avant d’atteindre son visage qu’il caressa du bout des doigts. Elle n’était pas si moche que ça. Elle était même pas mal, bien foutue, magnifique, et blonde. Une qualité en plus. L’Epsilon ne pouvait pas résister à son charme. Elle pouvait lui proposer n’importe quoi à ce moment là, il ne dirait pas non, bien au contraire. Il ne refusait jamais des avances, c’était les portes du paradis. Le paradis de l’envie qui nous fait succomber au moindre des nos gestes. « Sérieusement, ce n’est pas la première fois qu’on me le dit. Mais je dois te remercier. Venant de ta part, c’est la première fois. Je dois te retourner le compliment. J’ai rarement vu d’aussi belles Russes que toi. Les filles de l’Est sont vraiment les plus belles. Vous avez une telle prestance, un tel charisme et une si belle sensualité. Vous dominez bien les filles du Sud. Vous n’êtes pas banales ! Tu n’es pas banale. Tu dois même être l’une des plus belles existant sur ce globe ! » Non loin de lui, il y avait de jolies petites fleurs violettes. Par galanterie et surtout pour attiser ses flammes, il en prit une qu’il donna à la belle Russe, enfleurant ses oreilles avec ses lèvres. Il commença à embrasser son cou, remontant doucement vers l’embrasure de ses lèvres où il déposa un tendre baiser furtif. La regardant comme un joyau, il caressa la moindre parcelle de son visage avec délicatesse, reproduisant les mouvements plusieurs fois avec douceur. Il n’y avait rien de mieux que l’épreuve tactile.
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Ce petit moment en compagnie avec Martin lui faisait du bien. Elle se sentait bien, tout était –presque- beau. Bien sur, ce n’est pas un claquement de doigts que tout redeviendra normal, et que la vie sera complètement belle. Mais, elle n’y pensait pas. Elle profitait tout simplement de cet instant. Elle pensait à tellement de choses, de bons souvenirs pour commencer ; elle eut une envie soudaine : faire du shopping. Cela lui fit penser aux jours qu’elle avait pu passer à New York, à faire du shopping sur la Fifth Avenue, acheter des souvenirs en plein Times Square, aller à Chinatown avec ses amis et marchander pour acheter au plus bas prix. Les restaurants à un prix pas possible, là où elle était allée avec son père. New York est surement la ville qu’elle préfère le plus au monde, où elle s’y sent le mieux. Les promenades dans Central Park. Elle aurait du se marier là bas, avec son premier fiancé. Ils avaient tout organisé, elle avait du tout annulé, toute seule, sans personne à ses côtés. Si elle le pouvait, et voulait vraiment, elle y déménagerait tout de suite, mais à vrai dire, elle se sent tout aussi bien ici, à San Francisco, à Berkeley. Surtout à cet instant précis. On a tous un moment de notre vie où l’on aimerait y faire pause et le vivre durant toute notre vie. C’est ce qu’elle ressentait précisément en sa présence, à Martin. Elle ne savait pas ce qu’il avait de plus que les autres, à part surement sa beauté, mais elle était plus qu’attirée par lui, il y avait autre chose. Elle ressentait cette chose, sans pour autant savoir ce que cela voulait signifier. Qu’est ce qui est plus que de l’attirance, sans être pour autant de l’amour ? Elle n’avait pas envie d’y réfléchir plus. Elle se sentait bien avec lui, et c’est la seule chose qui importait. Elle s’était trop posée de question jusque là, elle devait arrêter avec ça. Des fois, il faut savoir vivre la vie tout simplement, sans se demander à chaque fois où cela va nous mener, ce que ça veut dire, etc. Juste profiter. C’est ce qu’elle allait faire avec Martin. Leur conversation l’aide, en quelque sorte. Il lui disait simplement ce qu’il pensait, sans passer par quatre chemins, et c’est ce dont elle avait besoin : un avis neutre. Elle pouvait totalement se confier à lui, et il pouvait lui répondre franchement. Elle appréciait ce genre de confidences, mais surtout ce qu’on pourrait un commencement d’amitié, voire plus si affinités, comme on le dit si souvent. « Sincèrement, je sais pas ce que tu peux aimer dans le mariage ! T’en as déjà raté deux, ça te suffit pas ? On n’est pas obligatoirement né sur terre pour rencontrer sa moitié, se marier et avoir des enfants. Oh non, de nos jours, on utilise plutôt la technique de ’’je te saute, tu te sentiras mieux. ’’ N’espère pas trouver un homme qui te convient ça n’existe pas. Ils pensent tous pareil. Ils analysent leur besoin personnel d’abord, vous les femmes vous arrivez en fin, si on n’a pas besoin de vous pour le sexe. Ce n’est pas que je n’aime pas l’amour. Je n’ai jamais été trompé, jamais trahi, pourquoi ? Parce que je n’étais jamais amoureux ! Je n’ai jamais reçu un seul sentiment d’amour. Le seul amour que je devais recevoir était l’amour maternel, mais j’ai reçu un amour budgétaire. Mes parents me donnaient de l’argent. Ils m’en donnaient sans compter. C’était et c’est toujours leur manière de me dire qu’ils existent. Longtemps, j’ai été manipulé par eux, mais je me suis rebellé. Si je donne l’impression de détester l’amour, c’est mon tempérament et mon caractère. Je ne suis pas un homme comme les autres. À vrai dire, je suis bien pire. Tout le monde sait des choses sur moi, mais ils ne savent pas toute la vérité. Je suis bien pire qu’on ne peut le croire ! De quel droit peux-tu affirmer de telles choses ? Penses-tu qu’on devient comme ça en claquant des doigts ? Non ma petite, c’est beaucoup plus complexe. Tu ne peux pas apprécier être au lit avec un mec aussi rapidement si ce n’était pas ton style de vie. Tu te feras bouffer sur le marché. Par un autre, ou par moi, dans ce monde, on est sans pitié, tu joues dans la cour des grands. » Lorsqu’il parlait, elle savait que tout ce qu’il lui disait, il le pensait. Martin ne fait pas partie de toutes ces personnes qui disent des choses sans réellement le penser. Lorsqu’il s’exprimait, elle plongeait son regard dans le sien, et elle pouvait y lire tellement de choses, mais surtout de la sincérité. Elle ne faisait même pas attention au ton sur lequel il s’exprimé. Son regard dans le sien, elle avait l’impression d’écouter une berceuse. Comme toutes ces berceuses qu’on nous fait écouter étant petits. Si tout ce qu’il lui avait dit, serait sorti d’une bouche de quelqu’un d’autre, elle aurait très bien pu le prendre mal, mais venant de lui, tout était différent. Ses paroles, elle les prenait en considération. Elle l’écoutait, mais surtout elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance. D’un côté, il allait l’aider à avancer, elle le savait, elle le ressentait. Par quels moyens ? La vérité, et sa vision des choses, de la vie. Il s’exprimait, elle l’écoutait, et elle apprenait un peu plus sur cet homme. Bien qu’il lui avoue qu’il était pire que ce qu’on pouvait penser de lui, cela ne la fit pas partir. Au contraire. Cela lui donna envie de plus le connaitre. Leurs regards restèrent unis durant une longue minute, Elzbieta ne répliqua pas tout de suite, elle réfléchissait. Elle pensait à tout ce qu’il venait de lui dire, qu’est ce qu’elle pouvait bien dire, que devait-elle penser ? Elle avait toujours cette petite pointe de naïveté, et elle osa penser que s’il lui disait qu’elle se ferait bouffer en moins de deux dans ce style de vie, c’était peut-être une façon, sa façon à lui, de la mettre à l’écart. Il voulait peut-être la mettre en garde, ne voulant pas qu’elle entre dans cette « cour des grands ». Elle rêvait surement, mais elle n’arrivait pas à penser autrement. Comme il venait de le dire, on ne devient pas quelqu’un d’autre en un claquement de doigts, donc on ne change pas aussi vite non plus. Elle pouvait tout de même tenter, surtout aux côtés de cet « expert », de ce qu’elle avait comprit, il s’y connaissait. Il pouvait la guider, non ? Elle apprendra vite, et elle sera une très bonne élève. « Bonne », dans les deux sens du terme. « Peut-être bien que je veux refaire un troisième mariage foireux, pour faire le « jamais deux sans trois ». Je suis désolée pour tes parents, mais des fois c’est mieux ainsi, au moins on est sur de ne jamais être déçu par eux. De quel droit ? Je ne sais pas, je dis simplement ce que je pense, comme tu le fais. Et non je ne pense pas qu’on peut changer comme ça, aussi facilement, mais qui ne tente rien, n’a rien, alors je tente. Si ça se trouve, il y a toujours eu cette fille là, celle que je veux devenir maintenant, en moi. Je n’ai tout simplement pas eu envie de le devenir, alors j’ai tout fait pour ne pas l’être, croire en l’Amour, me donner des excuses. Mais il y a un jour, où on se rend compte enfin de ce qu’est la vie, et ce que l’on doit être, malgré notre morale. Et quoique tu dises, je vais faire ce que je souhaite.» Elle lui avait répondu avec ironie, valait mieux rire de cette situation plutôt qu’en pleurer comme elle l’avait fait il y a quelques instants. Etre avec lui, enfin de compte ça lui faisait oublier ses soucis. Elle ne peut pas s’en plaindre, ça ne peut que faire du bien de ne pas penser à toutes ces emmerdes, à cette foutue vie. Elle reconnut en lui comme de la colère, ou se trompait-elle ? L’avait-elle mis en colère en parlant du fait qu’elle voulait entrer de ce grand jeu auquel il appartient. A vraie dire elle ne comprenait pas tout, mais elle s’en fichait. Il pouvait se mettre en colère s’il le souhaitait, en rien ça n’aura une influence sur ces choix. Elle ne se fait pas marcher sur les pieds aussi facilement. Elzbieta ne connait pas le genre de filles que Martin fréquente, mais elle n’est pas comme elles, ça elle en est certaine. Et bien qu’il puisse le penser, il se trompe. Elle ne peut rien dire sur lui, elle ne juge pas avant de connaitre bien la personne, il ne la jugera pas non plus, même s’il la connait mieux qu’elle, elle ne puisse le connaitre. C’est quelque chose entre eux, ce « non-jugement » à propos de l’autre. « Sérieusement, ce n’est pas la première fois qu’on me le dit. Mais je dois te remercier. Venant de ta part, c’est la première fois. Je dois te retourner le compliment. J’ai rarement vu d’aussi belles Russes que toi. Les filles de l’Est sont vraiment les plus belles. Vous avez une telle prestance, un tel charisme et une si belle sensualité. Vous dominez bien les filles du Sud. Vous n’êtes pas banales ! Tu n’es pas banale. Tu dois même être l’une des plus belles existant sur ce globe ! » Elle avait toujours eu de la répugnance envers ces hommes et femmes se pensant toujours supérieur aux autres. Ne se prenant pas pour la merde, et qui prennent les compliments toujours comme un rien du tout. Soi-disant parce qu’on leur en fait toujours, ils deviennent insensible à ces paroles. Maintenant, elle ne ressentait plus cette répugnance, mais ça la faisait sourire. A sa première phrase, elle sourit. Elle ne comprit pas pourquoi, mais c’est comme si ça la rendait heureuse. La suite, par contre, lui fit bien plus plaisir. C’est vrai que jusque là, elle avait été plutôt réservée envers lui, et ne lui avait jamais dit de telles choses. Elle ne lui avait jamais dit tout ce qu’elle pouvait ressentir envers lui, cette attirance. Tout cela changeait maintenant. L’attirance devait être réciproque vu ce que Martin commença à faire avec la fleur qu’il venait de cueillir. Il jouait avec la tentation, leur tentation à eux deux. Il lui déposa un léger baiser, court, mais intense, du moins à son goût. Cette épreuve tactile était bien trop dure pour Elz, elle se releva. Elle se posa sur les jambes de son ami, face à lui. Ses mains passèrent sur le visage de De Thomas, avant qu’elles ne passent sous le haut de celui-ci. Elle avait envie d’y re gouter : à ses lèvres. Elle se colla contre lui, tout en rapprochant sa bouche d’une de ses oreilles pour lui susurrer quelques paroles. « Je dois avouer que tu es aussi l’un des plus beaux, mais surtout que tu as le plus beau regard que je n’ai pu voir jusqu’ici. Ne crois-tu donc pas qu’on « irait » bien ensemble ? Deux belles personnes comme nous. » Le mot « irait », au moment où elle l’eut dit, elle fit bien comprendre à son ami que c’était entre guillemets. Mais en même temps, elle ne sut pas trop pourquoi elle venait de dire cela. C’était sortit tout seul. Pour faire en quelque sorte oublier ces paroles, elle l’embrassa. D’une façon langoureuse, passionnée, et emplie de désir. Elle lui montrait de quoi elle était capable. Elle a surement cru à l’amour jusqu’ici, mais ça ne fait pas d’elle une fille inexpérimentée de ce domaine qu’est la tentation, le jeu de séduction. Elle voulait lui prouver que ce qu’il lui avait dit plutôt était en quelque sorte « faux » et qu’elle en était tout à fait capable. Durant ce long baiser, elle passa même ses mains de son torse à un plus bas. Etant sous un arbre, mais surtout étant donné qu’elle était sur lui, personne ne pouvait voir ce qu’ils faisaient, ou plutôt ce qu’elle faisait. C’est qu’elle est maligne la petite. Une fois le baiser finit, elle le regarda, un sourire malicieux, coquin étant présent sur ses lèvres. Elle colla son front au sien, et attendit la suite, s’il y en avait une. Qu’avait l’expert en stock ? A lui de montrer, lui prouver qu’il était aussi bon que ce qu’il prétendait être.
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MessageSujet: Re: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptyVen 22 Avr - 23:31

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ELZ ; MARTIN

    «Emporte-moi dans les joies du désir !.» Les braises vous réchauffent parfois mieux que les flammes. • • Stephen King


    La vie est une salle garce qui ruine tout le monde. Nous sommes tous envahis de problèmes qui bouffent notre existence. Chacun a son moyen de les gérer, on les gère souvent mal d’ailleurs. Elzbieta pensait que les problèmes se réglaient facilement, il suffisait d’être une autre personne pour tout régler. Mais c’était faux ! Il fallait faire un pas en avant et régler ses problèmes à la force de ses bras… Et c’est Martin qui dit ça ? Le gamin qui fume, anéanti par son passé ? Il était devenu une momie squelettique. Il dépendait d’une quantité de poudre, alors qu’elle voulait se laisser aller. Chaque personne était différente. L’étendu des problèmes n’était pas la même. Il est rare que deux individus aient les mêmes, sauf si ils sont tous les deux embarqués dans une histoire sordide. C’était irréel cette sensation. Celle que l’on ressent quand la peur vous domine le ventre. Notre cœur bat vite sans s’arrêter, on a l’impression de ressentir nos premiers mois d’amour, malgré tout c’est faux, nous sommes seuls au monde. Nos amis sont là, mais ils ne nous aident pas plus que cela. Martin chérissait ses meilleurs amis, c’étaient les seuls qui comptaient réellement pour lui, mais si il avait un problème, il était assez connu pour que Martin fonce tête droite et ne dise rien. Il était un solitaire dans l’âme. Il ne voulait pas que les autres se mêlent de sa vie privée. Ses problèmes étaient assez pitoyables pour que l’on s’en mêle, il se voyait mal dire que si cette blessure qui le torturait était une blessure d’amour. Il s’était souvent moqué de tous ces hommes qui vont une scène dès qu’ils perdent une petite amie, il se foutait de Roméo, Tristan… De tous ces héros tragiques, mais il vivait la même situation. Il était fou amoureux de cette Juliette qui lui prenait toute son oxygène. C’était une calamité à porter sur son dos. Pourtant que ce soit Aislynn, Estevan ou Noelynn, ils ne seraient rien ! C’était son propre combat ! La seule personne au courant de cette histoire était Perdita. Elle était la seule à qui il pouvait réellement faire confiance. Elle était toujours là pour lui que ce soit par plaisir ou pour l’écouter. Une vraie pause paradisiaque. Suffit maintenant, il avait trop profité d’elle ! Méfiez-vous de cet arrogant aux allures de bad boy. Rien ne pouvait l’arrêter, pas même les beaux yeux de biche des femmes. Ces diablesses encore plus cruelles que les sorcières de Salem, il se fichait de leur faire du mal, c’était excitant. Rien n’est mieux que de faire du mal aux autres. On se protège nous-mêmes contre le monde extérieur qui peut se montrer insupportable et douloureux. C’était une arme comme une autre. L’image était telle que la colère et la méchanceté faisaient penser à une bande de rottweilers qui ne cessent de monter la garde devant la carapace blindé que s’était faite le jeune garçon. « Peut-être bien que je veux refaire un troisième mariage foireux, pour faire le « jamais deux sans trois ». Je suis désolée pour tes parents, mais des fois c’est mieux ainsi, au moins on est sur de ne jamais être déçu par eux. De quel droit ? Je ne sais pas, je dis simplement ce que je pense, comme tu le fais. Et non je ne pense pas qu’on peut changer comme ça, aussi facilement, mais qui ne tente rien, n’a rien, alors je tente. Si ça se trouve, il y a toujours eu cette fille là, celle que je veux devenir maintenant, en moi. Je n’ai tout simplement pas eu envie de le devenir, alors j’ai tout fait pour ne pas l’être, croire en l’Amour, me donner des excuses. Mais il y a un jour, où on se rend compte enfin de ce qu’est la vie, et ce que l’on doit être, malgré notre morale. Et quoique tu dises, je vais faire ce que je souhaite. ». Ce dernier ne put s’empêcher de rire. Mais à quoi bon un troisième mariage? Elle n’en avait pas marre de se faire passer pour une petite nunuche rêvant du prince charmant ? Elle n’avait plus cinq ans, les princes charmants n’existaient plus, les mecs étaient maintenant des connards qui passaient leur temps à coucher avec tout ce qui bouge. C’est simple, l’envie était plus dominante que l’amour. Quand on voit une personne pour la première fois, il est impossible de s’intéresser à son intérieur, on ne peut que voir son extérieur. Ainsi, sous cette belle couche de vêtements on imagine le contact de notre peau sur la sienne, les mouvements que peuvent exécuter notre corps dessus. Une telle alchimie nait. Il est quasi-impossible d’y résister. Les premières envies des hommes sont le sexe, mais pour les femmes, c’est la même chose, nous sommes tous fait identiquement. Il y a toujours au fond de nous, une part animale qui domine. Il est impossible d’y résister c’est contre nature. Quant au fait de changer de comportement, cela faisait doucement rigoler Martin. On ne peut pas changer qui on est. On le subit tout simplement. Notre physiologie est telle qu’on ne peut pas changer qui on est. L’individu naissant acquit des normes et des valeurs qui sont propres à sa famille. Bien qu’il la déteste, il les reproduira toujours. Cela faisait parti de son éducation. Notre façon de voir le monde est identique pour tous, du moins presque. « Tu te prends pour quoi Elz’ ? Une gamine de trois ans ou quoi ? Un mariage encore ? Tu veux en faire ta vie ? Te marier à chaque fois ?! C’est bien pathétique. Je n’ai rien vu d’aussi inutile dans la vie que le mariage. Sérieusement, tu as le temps et toi tu fonces dans le tas. Tu n’as rien compris au monde Babe ! Nous sommes loin d’être là pour t’offrir le bonheur dans la joie, comme dans la maladie ou dans la richesse comme la pauvreté. Ma belle il y a une seule chose qu’on veut nous ! C’est ça ! » Il posa sa main sur ses fesses et continua : « Sincèrement tu vas me faire croire que tu vas passer de l’intello modèle à la parfaite petite fille toute douce ? Non mais Elzbieta redescends de ton nuage un peu ! Tu n’arriveras pas à t’en sortir dans cette cours des grands. Cela ne sert à rien d’avoir une grande gueule ! On attend à ce que tu manipules, que tu séduises, que tu jettes, que tu n’es aucun scrupule ! Être une vraie salope. Mais si tu arrives à te voir dans un miroir après, vas-y je t’en prie, montre-moi la salope que tu peux être, et je te décline le tapis rouge ! Jouons ! ». S’approchant d’elle à nouveau, il se colla à elle, caressant l’embrasure de ses longues jambes graciles. Il fit glisser ses mains le long de sa grande jambe. Remontant jusque sous sa robe. Un sourire pervers sur le côté, il s’approcha d’elle et l’embrassa. Le jeu était lancé, les dés venaient de tomber sur la table. C’était à elle de décider de l’avenir. Jouer avec lui ou lui en filer une. La réponse était toute trouvée, c’était de la pure manipulation après ce qu’il venait de lui dire, elle ferait certainement tout pour montrer qu’elle peut être ce genre de filles. Mais Martin restait lucide, pour lui c’était impossible qu’une petite Alpha devienne une Beta, c’était formellement impossible. Il fallait être taré, ou tout à fait stupide pour y croire ! Personne ne pouvait prendre le total contrôle du jeune garçon. Ses parents adoptifs avaient certes une influence sur lui, mais jamais ils n’allaient totalement le contrôler. Martin était instable et incontrôlable. Il fallait être complètement taré pour tenter quoi que ce soit face à ce garçon totalement dérangé ! Les jeux, il adorait cela, si elle voulait jouer, il prendrait un fou plaisir à l’utiliser comme un petit pion. Vous me direz, elle se laissera pas faire et tentera de le réduire en miette, au baliverne, qu’elle essaie ! Il n’avait peur de rien, il avait sa réputation ici et ce n’était pas elle qui allait y faire changer quoi que ce soit. « Je dois avouer que tu es aussi l’un des plus beaux, mais surtout que tu as le plus beau regard que je n’ai pu voir jusqu’ici. Ne crois-tu donc pas qu’on « irait » bien ensemble ? Deux belles personnes comme nous. » Pure provocation ? Il ne fallait pas cela avec le jeune garçon, il ne répondait pas à l’appel mais courait derrière avec de l’aisance et facilité comme un coureur olympique. Rien ne pouvait lui faire peur. Jouer avec le feu n’était pas interdit. Se brûler était excitant. Se faire soigner par une infirmière en petite tenue ? ENCORE PLUS ! Sortez vos mouchoirs mes belles, vous allez découvrir le visage diabolique de l’Epsilon. Ce dernier mordilla sa lèvre inférieur quand cette dernière passa sa main dans un profond gouffre. Ce gouffre qui le fit tant frissonner. « Le lion ne s’arrange pas avec l’antilope. Prouve-moi que tu es une lionne et à tous les deux nous ferons commérer les autres élèves ! ». Une sorte de défi qu’il lançait. Elle l’embrassa avec fougue, il se pencha sur le côté roulant dans l’herbe, son cœur était éparpillé sur le sien. Il fit caresser sa main dans le creux de sa poitrine, titillant du bout des doigts le fin tissus drapé sur son corps. L’envie le contrôlait, ce n’était un homme qui parlait mais bel est bien un animal en manque de ce désir si influent sur son corps. Comment ne pas imaginer une telle scène entre ces deux personnages défiant l’un et l’autre ? Il ne faut pas être déçu du voyage, après tout qui a dit que le plaisir ne faisait pas parti du jeu ? Il fallait être fou pour refuser un tel corps et ne pas se mêler aux flammes de l’enfer.
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MessageSujet: Re: for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ EmptyMer 27 Avr - 19:26

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On dit que nous sommes les seuls acteurs de notre vie. Ce n’est pas complètement faux, mais, car il y a toujours un « mais », certaines choses arrivent, et c’est cela qui nous fait changer. C’est ces choses là qui nous font faire des choix impropre de notre personne. Si tout ce qui s’est passé dans le passé d’Elzbieta ne serait pas arrivé, surement qu’elle n’aurait jamais prit la décision de rejoindre les Betas. Donc, oui d’accord, elle n’est que la seule actrice de sa vie, mais les figurants, normalement pas très importants, jouent un assez grand rôle dans les vies d’autrui. Elle est l’actrice de sa propre vie, mais aussi la figurante de la vie de Martin, ou d’autres. Elle était une Alpha, elle est une bêta, et il ne veut pas croire en cette métamorphose, quel con. C’est en quelque sorte à cause de cela qu’elle voulut se moquer de lui. Franchement, comme si elle était aussi conne pour vouloir se remarier tout de suite, juste pour le plaisir de faire un troisième mariage encore raté. Qui est le con entre les deux ? Elle, ou lui qui croit innocemment à cette foutaise ? Etant tout de même encore un peu sympathique, elle peinait à croire qu’il avait vu juste dans sa moquerie, et qu’il s’amusait aussi, mais cela semblait réelle. Il semblait vraiment y croire, et ça fit rire notre jeune fille qui écouta attentivement ce qu’il avait à dire. Mais plus le temps passait en sa compagnie, plus elle eut envie d’autre chose, quelque chose que les Beta raffolent. Puis, elle avait envie de lui prouver qui elle était réellement, et qu’il arrête de penser qu’elle n’était qu’une pauvre fille qu’on pouvait avoir aussi facilement. Elle avait envie de lui, mais en même temps, elle voulait qu’il n’y ait rien entre eux, du moins pour le moment, juste pour lui prouver qu’elle n’est pas comme toutes ces barbies qui se jettent sur le premier venu et qui paraissent si faciles à avoir. Non, bon sang, non, Elzbieta n’est pas aussi facile qu’elles, et elle allait le prouver. Elle sait tellement bien faire ça, et puis, étant très têtue, elle n’allait pas lâcher l’affaire aussi facilement. « Tu te prends pour quoi Elz’ ? Une gamine de trois ans ou quoi ? Un mariage encore ? Tu veux en faire ta vie ? Te marier à chaque fois ?! C’est bien pathétique. Je n’ai rien vu d’aussi inutile dans la vie que le mariage. Sérieusement, tu as le temps et toi tu fonces dans le tas. Tu n’as rien compris au monde Babe ! Nous sommes loin d’être là pour t’offrir le bonheur dans la joie, comme dans la maladie ou dans la richesse comme la pauvreté. Ma belle il y a une seule chose qu’on veut nous ! C’est ça ! » Elle avait envie de rire, sa façon de lui parler, la faisait rire. On pourrait penser qu’il est son père, ou alors plutôt un frère. C’est ça, un frère qui engueule sa sœur. Elzbieta avait tellement envie d’exploser de rire, qu’est ce que peuvent être cons les mecs, surtout ceux dans le genre de Martin. Autant elle appréciait avant, mais maintenant, elle ne savait même plus quoi penser. Mais après tout, pourquoi ne pas s’amuser, puis, il ne faisait que lui répéter, qu’elle devait arrêter de croire en l’amour, arrêter de foncer dans le tas. Très bien cher Martin, tu l’auras cherché. Lorsqu’il posa ses mains sur le fesses de la jolie miss, elle le regarda malicieusement avant de les lui enlever, non pas qu’elle ne veuille pas mais elle voulait s’amuser. On lui dit quelque chose, elle applique tout simplement. « Sincèrement tu vas me faire croire que tu vas passer de l’intello modèle à la parfaite petite fille toute douce ? Non mais Elzbieta redescends de ton nuage un peu ! Tu n’arriveras pas à t’en sortir dans cette cours des grands. Cela ne sert à rien d’avoir une grande gueule ! On attend à ce que tu manipules, que tu séduises, que tu jettes, que tu n’es aucun scrupule ! Être une vraie salope. Mais si tu arrives à te voir dans un miroir après, vas-y je t’en prie, montre-moi la salope que tu peux être, et je te décline le tapis rouge ! Jouons ! » Franchement, mais qui se prend-t-il celui là ? C’est qui est pathétique à croire qu’Elzbieta n’est qu’une pauvre adolescente ne sachant rien de la vie. Elle n’est pas née d’hier, et puis à ce qu’elle sait, il est plus jeune qu’elle, alors d’où lui donne-t-ils tous ces … conseils ? Non il ne s’agit pas là de conseils. A vraie dire, elle ne sait même pas comment prendre tout ce qu’il lui dit. On pourrait penser à des précautions, qu’il lui dit de faire attention à elle, tout en la prenant de haut. Il n’allait pas être déçu de son « élève ». Il souhaitait jouer avec une pauvre innocente, il allait être servit, et ne verrait rien venir. Il venait de la mettre en colère, mais elle ne montrait rien. Comme on dit « la vengeance est un plat qui se mange froid », et elle allait la prendre sa vengeance, à force d’écouter tout cela sur son ton supérieur, elle en eut ras le cul. Attends de voir ce qu’elle te réserve mon cher De Thomas. « T’es sérieux là ? Mais tu me crois aussi conne que ça ? Le plus con entre nous, là c’est toi : à croire que je suis aussi conne à vouloir me refaire un 3e mariage. Tu prends vraiment les filles pour plus conne que toi, et arrête avec tes leçons de moral ou je ne sais quoi. Tu n’es pas le meilleur dans ce domaine là, je suis plus vieille que toi, et je connais beaucoup mieux ce monde de saletés comme toi. Je vais réussir parfaitement à survivre, et je vais te le prouver, donc allons-y jouons, c’est ce que tu aimes le mieux faire, et peut-être que tu seras meilleur dans ce domaine-là, parce que dans le « je suis ton grand frère » tu n’es qu’une vieille merde. Rho voyons chéri, ne le prends pas mal, vis au moins une fois avec la vérité en face, plutôt que de ne vivre que dans la superficialité. » La dernière phrase fut ajoutée lorsqu’elle vit son visage, presque en train de, se décomposer lorsqu’elle lui dit qu’il n’était qu’une pauvre vieille merde. Il ne doit pas être habitué à se faire parler de la sorte, et bien Elz lui apprendra aussi des choses. Martin doit être le genre de mecs à n’avoir entendu dans sa vie, venant de filles bien sur, le genre de : « tu es parfait au lit », « on recommence quand tu veux », « j’ai passé un super moment en ta présence », « putain t’es un dieu beau gosse », et on en passe. Mais ce que notre Alpha-Beta lui avait dit, il ne devait pas être habitué. Et pour faire oublier cette petite expression, elle le laissa faire lorsqu’il s’approcha de nouveau d’elle, la caressant. Hey guys, vous êtes dans un lieu public. Non, ils ne l’avaient pas oubliés, enfin du moins pas Elzbieta, mais c’était dans le jeu, ou cela devait l’être. Surement qu’il faisait ça juste pour voir si elle se laisserait faire dans un tel lieux, là où on peut les voir, mais surtout pour voir si elle y répondrait. Les deux sont de fins manipulateurs. Elzbieta, durant toute son enfance avait manipulé son petit frère, bon, ce n’est pas du tout la même chose, c’est vrai, mais tout de même. La manipulation reste de la manipulation. Et elle savait très bien que ce qu’il attendait c’est qu’elle tombe dans son piège, donc qu’elle réponde à ses avances. Elle n’est pas aussi conne. C’est ce qu’elle allait faire, mais tout en restant très lucide, sachant pertinemment à chaque fois où tout ce qu’elle allait faire la mènerait. Elle n’allait pas le laisser prendre tout contrôle sur elle, impossible. A moins qu’elle lui fasse croire cela. Elle peut très bien faire croire qu’il a raison, et là, ce sera elle qui aura une longueur d’avance sur lui. Mais elle peut très bien faire comme s’il avait raison, et il pensera avoir gagné. Les deux étaient bons. Une vague d’excitation la fit frémir lorsqu’il passa sa main sous sa robe, mais elle voulait s’amuser à faire la coincée, pour l’instant. Avec un léger sourire, gêné, elle lui retira la main. C’était la deuxième fois qu’elle lui retirait la main de quelques part, mais cette fois-ci, il n’y aura pas de troisième fois. Elle allait le prendre par surprise. « Le lion ne s’arrange pas avec l’antilope. Prouve-moi que tu es une lionne et à tous les deux nous ferons commérer les autres élèves ! » Elle l’embrassa, et ce fut à son tour de plonger sa main là où ce n’était pas permit. Il répondit tout autrement qu’elle, elle avait pu le faire. Elle se retrouva sur lui qui était couché sur l’herbe. Elle le laissa faire ce qu’il souhaita, sans ajouter rien de plus à ses paroles. Sauf un petit « Prouve-moi que tu es prêt à tout pour que je te montre cette preuve. » qu’elle lui susurra à son oreille, juste avant de retirer sa robe. Pour se retrouver en sous vêtements dans le parc de l’université. Etait-il donc vraiment prêt maintenant, ou voulait-il laisser tomber ? Elle se colla à lui, et commença à lui retirer le tee shirt qu’il portait. Doucement, mais avec conviction. Tout en le lui retirant, elle lui déposa des baisers sur le torse. Un lieu public qu’ils fréquentent tous les jours. Tout ce jeu en valait-il la peine ? Et encore, elle ne lui montrait rien d’elle, de la « lionne » qu’elle pouvait être, mais elle lui avait montré quelque chose. Qu’elle s’en fiche des regards des autres, et qu’elle n’a aucune honte de ce que peuvent penser tous ces étudiants, que tout cela ne lui fait pas peur. Peu importe, pas toutes les betas ne seraient capables de cela, et ça Martin doit bien l’avouer. Il avait voulu se frotter à elle, et bien c’était elle qui se frottait à lui maintenant. Le tee shirt fut retiré, et elle le lança loin, juste pour qu’il soit obligé d’aller le chercher par la suite, et qu’on voit bien qui il est : Martin de Thomas, car pour le moment elle est celle qui est sur l’autre, et on peut ne pas vraiment de quel homme il s’agit. Toutes ces actions n’étaient pas faites comme ça, à la légère, il y avait toujours quelques chose derrière, il n’allait pas être déçu, loin de là.
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for you, nothing is a secret • MARTIN&ELZ

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