| | | Come Back In The Past. close |  |
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Invité Invité
 | | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Mer 28 Juil - 22:47 | |
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Un léger soupir exprimait bien plus de chose que les mots. Le corps avait parfois des réactions totalement incontrôlées, et c’était ce qui venait de se passer quand il lui mordilla le lobe de l’oreille. Elena ne préféra pas parler, ou même de tenter de se justifier. Tout cela aura été inutile. Et entre le soupir et les frissons, qui la mettaient presque de plus en plus mal à l’aise par ces expressions physiques de ces sentiments, il n’y avait pas grand-chose à rajouter.
Cela devenait complètement fou l’emprise qu’il pouvait avoir sur elle. Mais le plus dur à savoir était pourquoi elle se laissait faire ? Lui faire comprendre qu’elle n’était pas à ses pieds ? C’était peut être chimique à près tout. C’était ce que la plus part des filles qui ne trouvait pas d’explications avaient tendances à dire. Elena, elle, savait très bien que c’était ça : il n’y avait qu’à voir son regard profond, qui en disait souvent long sur ces attentes, ses gestes qui savaient comment les faire tomber toutes une par une. C’était d’ailleurs cette attitude qui avaient fait défaut dans leur passé commun.
Dans ce loft, la température était montée d’un cran pour la belle jeune femme. En effet, Martin avait posé les bonnes questions : est-ce qu’elle avait envie de risquer ça avec lui ? Il était du genre imprévisible, et en restant ici, ça pouvait être l’été de toutes les tentations, et de diverses expériences. Il sera dur de ne pas faire d’écart avec lui dans les parages. Et si ces questions n’étaient ni plus ni moins qu’une tentation de plus pour qu’elle dise oui définitivement à ce qu’il reste ici, à jouer encore plus avec le feu. En même temps, ce n’est pas comme si l’un comme l’autre avait une attache quelques parts.
L’espace d’un instant, un flash back de se qu’il sait passer à Berkeley refit surface. Une attache elle en avait une, ou enfin presque : La brunette était folle de cet Alpha, il lui avait fait tourner la tête sans le savoir, elle lui avait tout avoué et il n’avait eu que comme meilleur réaction que de s’évanouir comme ça, sous le coup du trop plein d’émotions. Elena avait quitté le bâtiment des Alpha peut après s’être assuré qu’il allait mieux. De puis, elle ne l’avait revu qu’à une soirée, où ils avaient à peine échangés des regards. Ce que le jeu de l’amour pouvait être dur comme ça. Si seulement là, elle pouvait être aussi libre et ne plus penser à cette histoire, comme pour l’effacer de sa mémoire, ça serai une souffrance de moins. C’était aussi pour ça que la jeune Zeta se laissa facilement séduire, en ce moment, s’oublier dans les bras d’un autre, il n’y avait que ça de mieux. Et Elena n’avait pas vraiment envie de se retrouver seul en ce moment, le moment était parfait pour que son beau brun ténébreux reste ici avec elle.
- Oui je te le demande vraiment. Reste. Dit moi ce que je risque, seule, ici avec toi ? Et si tu veux vraiment tout savoir … J’en ai plus qu’envie même…
Et voilà qui était dit. Il pouvait la prendre pour une naïve, ce n’était pas sa naïveté qui lui fessait défaut, mais ses sentiments. L’espace de cette appartement était suffisamment grand pour eux deux, sans qu’il ne se marche dessus. Et au moins Elena était presque sûr qu’elle ne passerait pas une soirée seule, bien qu’elle ne comptait pas restée enfermée ici. La joie de la vie italienne passait également par les soirées extraverties que la ville pouvait offrir. En Italie, les tabous n’existaient pratiquement et les pratiques étaient diverses, variées, et non jugeables.
La bouteille en main, les deux jeunes étudiants étaient l’un sur l’autre et surtout l’un contre l’autre. Elena était bien connue pour son côté joueuse, elle fit donc un signe de la tête que non ça irait pour ouvrir la bouteille, car elle avait une bien meilleur idée de comment fêter leur arrivée dans cette appartement.
Le belle brune se releva et s’assit à cheval sur Martin, sa robe remonta jusqu’à mi-cuisse, mais après tout ce n’est pas comme si il ne l’avait pas déjà vu nu, bien au contraire. La bouteille était fin ouverte, et un sourire coquin s’afficha sur le visage de la belle. D’un geste tendre, elle posa une main sur son front pour lui faire basculer la tête en arrière.
- Laisse –toi faire …
Avait-elle dit sur un ton des plus sensuels. Elle posa la bouteille sur le bord de la bouche de son amant pour y faire couler le liquide transparent et exquis de la bouteille.
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| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Sam 31 Juil - 14:43 | |
| Poussé par ses désirs, Martin ne voyait plus la réalité, emporté par son désir, sa raison était loin de pouvoir agir ou faire quelque chose sur ses faits et gestes. Il savait comment la faire réagir, c’était tellement naturel chez lui. C’était automatique, il avait l’impression d’être un robot, il suffisait d’appuyer sur un bouton pour qu’il exécute l’action. Se détachant légèrement d’elle, il se pencha pour baiser sa joue qui était dorée par le soleil. Mettant ses lunettes d’aviateur devant les yeux, sa carapace mystérieuse se reforgea autour de lui. Elle tentait de le protéger des autres pour ne pas être blessé.
Il se protégeait des autres pour ne pas souffrir, mais il prenait un réel plaisir à le faire. Il trouvait ça amusant, presque excitant, il était le chasseur et il traquait la brebis qui s’était égarée de son troupeau. C’était assez simple, il n’avait qu’à mettre un appât et tout venait vers lui. C’était comme ça depuis sa plus tendre enfance, dès qu’il voulait quelque chose il l’obtenait de grès ou de force. Il ne faisait rien pour l’obtenir, ça se faisait tout seul. Ce n’était pas une petite conquête qui allait lui faire peur. Elena n’était pas une simple conquête c’était une fille avec qui il avait osé faire le con. Il l’avait trompée à maintes reprises, mais elle lui pardonna jusqu’au jour où elle en eut marre. Mais il était sûr d’un truc, Martin n’était pas le genre d’homme à s’engager dans une relation amoureuse. Il ne voulait pas tomber amoureux. Sa famille ne lui avait jamais porté une seule attention. Ce qui n’arrangeait pas les choses, mais en regardant autour de lui, il avait vu des couples qui se faisaient et se défaisaient, certains avec facilité, d’autres avec douleur entrainant des drames mélodramatiques. Certains drames n’étaient pas pris à la légère, certains se donnaient la mort car ils pensaient avoir quitté l’amour de leur vie, alors qu’ils n’avaient pas encore vécu une bonne partie de la vie. L’amour n’intéressait pas Martin. Il se fichait de ne pas être amoureux et de ne pas vouloir vivre d’histoire, c’était son choix et il le maintenant coute que coute, jusqu’au jour où il tombera sur une jeune femme, qui sera son idylle. Il arrêtera ainsi toute bêtise avec les femmes, sa vie libertine au jour le jour ne sera plus la même bouleversée par un amour qui sera certainement fort. Peut-être trop fort pour son cœur qui ne pourrait pas s’en remettre.
La franchise était la seule chose dont on pouvait remercier Martin. Sa raison voulait mettre les points sur les i. Il ne voulait pas la déranger. Il n’était pas du genre très catholique. Il avait certainement peur de la blesser quelque part. En y réfléchissant, il fronça les sourcils. Était-ce normal de ressentir ça ? Il tenait à Elena c’était sûr. Il n’était pas tombé amoureux d’Elena comme elle l’avait été, mais il avait été sincère dans ses gestes et ses paroles. Il savait très bien qu’il n’était pas facile à vivre et ne voulait surtout pas en rajouter une. Fougueux et imprévisible, il pouvait réserver une excellente chose comme la plus terrible. Ce qui faisait une partie de son charme, il réservait toujours une surprise aux autres. Il fronça les sourcils à sa réponse et passa avec tendresse une main sur sa joue. Elle effleura avec douceur la joue de l’Italienne qui se trouvait près de lui. C’était une bonne question. Ce qu’elle risquait avec lui c’était la fin d’un beau monde, la fin d’une réalité comme le début d’une nouvelle aire pleines de bonnes choses. Il lui accorda un petit sourire en coin.
« - Tu risques bien plus de choses que tu ne peux le penser Elena. Si tu en as envie, j’exaucerai ta demande sans te contredire. »
Il ne la trouvait pas naïve. Elle croyait peut-être trop en lui. Mais il n’avait pas besoin de se justifier, c’était pas comme si elle ne le connaissait pas et qu’il n’était qu’un inconnu. Mais il était si imprévisible qu’il ne contrôlait pas ses faits et gestes. C’était avec intensité et avec ardeur qu’il faisait plaisir aux gens, mais il se faisait plaisir avant de faire plaisir aux autres. Pour une première fois, il ne voulait pas qu’elle souffre. Il ne souhaitait pas blesser cet ange qui était aussi pur et aussi chaste. Il voulait la laisser batifoler de ses petites ailes de papillon. Elle pouvait prendre sa revanche sur lui, si elle le voulait. Mais comme tout méchant diable, il s’attendait à ce qu’elle lui offre son corps. Une chose qu’il ne pouvait pas refuser. Il aimait coucher avec elle, et ne se priver pas de le faire.
La regardant faire, il sourit. Passant sa main dans son dos, il la caressa du bout des doigts parcourant chacune des zones qui lui étaient accessibles. Il bascula ses mains sur le haut de sa poitrine qu’il prit le temps de toucher en posant sa tête sur son épaule. Il caressa le décolleté de sa petite robe sombre. Mais elle décida de s’assoir sur lui à califourchon, s’attendant à une chose exquise, il se laissa prendre au jeu. A près tout, il n’était pas là pour jouer aux jeux de société, encore moins à la marelle ou aux jeux vidéos mais pour jouer à des jeux un peu plus physique. Elle lui pencha la tête en arrière, se laissant faire, il ferma les yeux à l’aveugle ayant confiance en elle. Ses cuisses étaient légèrement dénudées, il passa sa main dessus et caressa le début de ses cuisses en effleurant ses doigts contre sa peau brûlante.
Il entrouvrit les lèvres et laissa le liquide couler le long de sa gorge. Il sentit les degrés faire effet. Lui provoquant une fine douleur dans le fond de la gorge, il avait l’impression de s’embraser dans un feu qui prenait le contrôle de son âme. Seulement il en garda sur les lèvres, il se redressa en quittant la bouteille qui était sur ses lèvres. Il se rapprocha des lèvres de la belle Italienne et lui offrit un baiser parfumé qui se répandait sur leurs douces lèvres rosées. |
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| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Dim 1 Aoû - 1:50 | |
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La pièce venait de gagner quelques degrés supplémentaires. Sa tendresse et sa délicatesse étaient des choses que le temps ne lui enlèvera surement jamais. En même temps, Martin avait de la pratique, il additionnait les femmes, voire même les multipliait, et malheureusement Elena en savait quelques choses. D’ailleurs, elle n’avait jamais vraiment compris ce qui le poussait à avoir une tonne de femmes comme ça à ses pieds, même si cela est flatteur pour lui-même, Na’ avait toujours eu l’impression qu’il y avait autre chose derrière ça, une chose plus profonde. Il n’y avait jamais eu aucun sujet d’abordé là-dessus, enfin en même temps ce n’était pas comme si il avait eu beaucoup de temps pour ça : du temps où ils formaient encore ce qu’on appelle un couple, il y avait quelques restaurant, des boites de nuits, des nuits romantiques à la plage, et du sexe à outrances. Elena était dans sa petite bulle et lui dans celle des autres et venait percer de temps à autre la leur.
La brunette n’avait vraiment pas peur et son instance à dire qu’elle ne savait pas à quoi s’attendre pouvait être un peu inquiétant tout de même. Après tout, il avait quand même une très bonne éducation, il l’avait montré dans le passé, et ne ramènerai donc pas un harem de femmes ici pour réaliser ses fantasmes les plus fous, ce n’est pas comme si il sortait d’un rang voilent de mafieux sans conscience qui était à ça poursuite. Tout ce que la Zeta pouvait risquer était de retomber dans ses bras, de faire renaître les sentiments qu’elle avait pour lui quelques mois auparavant. Là oui, elle risquait beaucoup sur cet enjeu là.
Au vue de comment sa phrase prenait une tournure étrange, s’était à se demander réellement s’il voulait rester ou non. Pour elle, il était hors de question qu’il vive ailleurs. Une pointe de jalousie ? Ce n’était pas vraiment le moment pour se genre de sentiment ridicule que la jeune femme éloigna vite de son esprit.
- Alors tu es à moi pour ces quinze prochains jours mon petit diable.
Ce petit surnom n’était pas anodin, et plein de sous entendu. Au fond de ce petit cœur, il y avait l’espoir tout de même qu’un déclic se fasse, où du moins qu’ils profitent des vacances comme il se doit, des vacances qui restent marqué dans leur tête pour longtemps.
Quand la belle s’exécuta dans ses mouvements, les instants d’infimes douceur leur provoquer frissons et comme une sensation de brûlure sous ses doigts. Si l’italienne ne pouvait pas se contrôler, elle aurait surement lâché un soupir qui parlait pour elle, un soupir de plaisir intense. Comment est-il possible d’un simple touché lui provoque de sensation pareil. Même les gestes où qu’un autre homme aurait pu poser sur elle, elle l’aurait envoyé balade. Mais lui non, c’était différent, comme un droit qu’il avait sur elle et que personne ne pourrait lui enlever.
En changeant de position, Elena le provoquait, elle savait que cette manière de se poser sur lui provoquerait des réactions comme le fait qu’il remonterait sa robe en glissant ces mains dans une tendresse hors du commun, parcourant chaque petit millimètre de sa peau toute chaude. Le liquide transparent de la bouteille coulée le long de sa gorge et débordé finement sur ces lèvres. Ce que Martin décida de lui faire partager, la saveur exquise de cet alcool, et surtout celle de ces lèvres fines et tendres, s’entremêlant a un baiser sage, bien que la fougue les appelés. La belle brune se retira cependant.
- Si tu me veux, tu vas devoir chercher à m’avoir.
Et ce fut après cette phrase, dite au creux de son oreille dans un seul son qui était murmure, qu’elle se redressa et se releva même complètement, après avoir mordiller son lobe d’oreille. Dans une démarche élégante, fine et gracieuse, Elena se dirigea vers la chaine hifi qui meublait légèrement le salon. La chanson qu’elle voulait se trouva rapidement dans la bibliothèque musicale. Un son harmonieux, sensuelle et pleine de charme. Son choix se porta vite sur « All I Need » de Within Temptation. Dans cette même élégance, Elena alla chercher Martin au fauteuil avec un regard qui pétillait de plaisir, et un sourire léger, montra légèrement la dentition blanche et parfaite de l’italienne, une main tendu vers lui pour l’inviter à danser.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Mar 3 Aoû - 12:34 | |
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For all i need
Make my heart a better place
Give me something I can believe
Don't tear me down
You've opened the door now
Don't let it close
Dans ses gestes, Martin était un agneau. Mais l’avait-il été une seule fois ? Il ne semble pas. Pourtant, il ne pouvait pas être méchant avec elle. C’était impossible. Il lui avait fait du mal, trop de mal certainement, mais elle revenait vers lui chaque fois qu’il le lui demandait. Entre eux une certaine passion était née et régnait en maîtresse sur les deux amants qui se retrouvaient certaines nuits. En regardant Elena on pouvait la comparer avec de nombreuses héroïnes de littérature. Mais le douce Italienne lui faisait penser à Juliette. Une héroïne dramatique. Elle avait renoncé à son mariage avec Paris, elle avait mis fin à sa vie pour Roméo qui était l’homme qu’elle aimait. Elena était ce genre de femmes. Capable de tout faire pour sauver leur âme et vivre un amour de folie avec l’homme qu’elles aiment. Elle avait la douceur et les origines de la belle Capulet. Si elle n’était pas une de ses descendantes c’était que le ciel n’avait pas bien fait son travail. Son regard de braise en disait long. Elle n’était pas méchante, loin de l’être. Il était impossible qu’elle le soit. Elle ne l’avait jamais été avec Martin. Il était sans doute un de ces Roméo. Elle avait dû l’aimer. C’était certain. Elle lui avait pardonné toutes ses tromperies, sans le moindre regret, elle avait toujours attendu mieux de lui en comportement un plus réconfortant. Elle devait espérer secrètement qu’il change. Pourtant il était destiné à vivre une vie de débauche où il était son libre arbitre. Il n’avait pas peur du monde. Loin de là, il essayait seulement de panser des blessures à sa manière.
Elena devait être une des seules personnes qui croyaient en Martin. Jamais personne n’avait cru en lui. Ses parents plaçaient un minimum d’espoir, mais se fichait de lui, ils ne savaient faire qu’une seule chose, mettre de l’argent sur son compte. Elena était si différente des autres personnes. Martin ne pouvait être méchant avec elle. Il ne pouvait lui dire que des paroles ironiques, mais pas de paroles méchantes. C’était au dessus de ses forces. Elle arrivait à toucher à ses sentiments. La carapace de béton qu’il avait construite au fur et à mesure arrivait à se détacher petit à petit. Non il n’emmènerait pas de filles ici. Il n’en voyait pas l’utilité, il y avait déjà Elena et c’était un manque de respect envers la jeune femme. Il sourit à ses paroles, mais passa une main sur son visage. Il prit un air sérieux, un air assez rare sur son visage. Un air que peu de personnes n’arrivaient à voir.
« -Je ne te ferai jamais de mal Elena. Je t’en ai trop fait »
Pour l’une des premières fois de sa vie, il était sincère, il ne voulait pas faire de mal à la jeune femme. C’était impossible. Il ne pouvait plus la blesser, elle était la seule qui croyait en lui. Il ne pouvait pas la décevoir encore une fois, il ne pouvait abuser de sa confiance. Décidemment, il devait être bien trop sensible à son goût. Il reprit ses esprits et un air malicieux regagna son sourire. Sa mine sérieuse s’était effacée, elle avait disparu comme si elle n’avait jamais existé. Sa peau était douce, elle n’avait pas perdu sa douceur au grès des mois qui étaient passés. Il la caressa du bout des doigts, ses mouvements était d’une extrême douceur. Caressant chaque petite partie de son corps. Il était plongé dans les caresses qu’il était en train de diriger sur son corps frêle.
Le jeune Epsilon en avait du fil à retordre avec la Zeta, elle venait de jouer à un jeu dangereux. Elle colla ses lèvres aux siennes partageant un baiser charnel. Leurs lèvres ne faisaient plus qu’une seule. Il se rapprocha légèrement d’elle pour se coller à elle, mais elle eut vite fait de se séparer de lui. Il se crispa, et ses membres se raidirent. Il était rare qu’il soit témoin d’une telle scène. Elle lui lançait une sorte de défis, un sourire en coin apparu sur ses lèvres. Il ne fallait jamais lancé de défis au jeune Epsilon, il les relevait sans problème, même si ça pouvait jouer avec sa vie. Un défis restait un défis.
« - Ne me lancerais-tu pas un petit défis ? »
Décidemment elle le cherchait. Il se mordilla la lèvre inférieur dès qu’elle lui ait mordillé le lobe de son oreille. C’était une chose qui pouvait facilement exciter le jeune homme. Le jeune homme la regarda marche et pencha sa tête en arrière en se laissant aller dans ce fauteuil. Une musique retentit dans tout l’appartement, provoquant un son charmeur qui insistait n’importe quel couple à venir danser. Plus sensuel que la voix des chanteur noirs au cours d’un slow, personne ne pouvait refuser de danser. Il se redressa légèrement et il la trouvait là à ses côtés une main tendue vers lui. Il sourit et se leva. Il prit délicatement sa main, qu’il baisa avec douceur. Il prit doucement sa main pour la conduire au centre de la pièce. S’inclinant vers elle avec élégance, il ne put s’empêcher de rire, mais il garda son sérieux. Prenant la jeune Zeta par la taille, il la rapprocha de son corps. Leurs yeux se croisèrent, un sourire s’échangea. Il fit un pas en avant pour commencer à conduire cette danse. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Mer 4 Aoû - 23:09 | |
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Avec toujours une tendance à voir le meilleur chez les personnes qu’elle rencontrait, des gens avec qui Elena avait des affinités, où avait eu des affinités. Un côté optimiste que même les rencontres les plus durs ne lui avaient pas fait changer. Pourtant, Martin lui avait donné une tonne d’occasion de perdre cet aspect positif de sa personnalité, mais elle continuait de croire en lui, sans aucune raison particulière. C’était lui, voilà la raison que la brunette se donnait quand se demandait encore pourquoi elle croyait en lui. C’était Martin. Avec ses qualités et ses défauts, mais pour la jeune femme, ses défauts s’effaçaient vite quand il montrait ses qualités. Une référence toujours à leur passé, quand ils restèrent assis des heures à une table de terrasse autour d’un café, ou même dans l’appartement qu’avec la Zeta dans leur canapé, quand il l’écoutait parler dans ces moments durs, toujours là pour la rassurer. Elle se souvint aussi qu’elle était inapprochable, bien que lui allait voir ailleurs, si un seul homme osé juste poser un seul regard sur la belle italienne, il fallait parier que ça allait tourner au règlement de compte, un rôle de protecteur qui lui avait fait croire à l’époque que malgré les tromperies, il y avait un fond de sentiment en lui à son égard. Elena y a cru du moins. Sa réponse était donc assez perturbante « Je ne te ferai jamais de mal Elena. Je t’en ai trop fait ». Leur séparation était la décision qui n’était pas facile à prendre, une rupture ne l’ai jamais de toute façon, dans ses valeurs. Son ténébreux avait conscience du mal qu’elle avait donc eu après leur séparation, et ils ne coupèrent jamais réellement les ponts à cause de ça, un rattachement au passé, une manière de le garder en quelques sortes, et dans son propre jeu à lui. Sa phrase prenait un sens étrange, comme s’il n’avait jamais dit ça de sa vie, comme une promesse où même Martin y croyait vraiment. Et en y réfléchissant bien, se fut une première fois qu’elle l’entendait prononcer une phrase sur un tel ton, et quand il passa sa main douce et légère sur son visage, elle ne pu s’empêcher de pencher la tête pour la presser un peu plus fort. Ce moment intense, et ne fit pas partie de leur habitude de retrouvaille. Un pouls qui s’accélérait, s’il entendait son cœur battre comme ça, il prendrait la fuite aussi vite, tellement il battait à une vitesse incroyable. Un léger son de voix sortit quand elle ouvrit la bouche pour s’exprimer enfin après un petit moment de silence.
- Je te crois… Je te crois …
Son sourire était tout aussi fin, et pourtant tout aussi éclatant qu’à son habitude. Se fut tout ce qu’elle arriva à dire sur le coup, et en même temps, qu’avait-il d’autre à dire ? Car tout était dit. Elena le croyait sur parole, quitte à ce que la perde un jour ou l’autre.
Alors que la brunette jouait à un jeu dangereux, elle refit place à la joueuse pour laisser le côté sentimentale à l’abandon, de toute façon, aucune place n’était attribuer à un quelconque sentiment ici, juste celui du désir, du plaisir et de ses amis. La fine joueuse était de retour, et cette danse qu’elle avait déjà en tête pourrait presque faire place de pré- préliminaire. Les deux jeunes gens brûlaient de plaisir l’un pour l’autre, mais Elena voulait faire durant le moment encore un peu plus longtemps. Le faire languir et prouvait qu’on ne pouvait pas tout obtenir d’elle, d’un simple claquement de doigts.
- Tu devrais me connaître assez pour avoir déjà une réponse à ta question ...
Les premières notes de musiques résonnait dans la pièce, face à lui avec un sourire en coin affolant, Martin prit la main de la belle pour la baiser tendrement, et il l’a conduisit au milieu de l’appartement, qui leur offrait toute la place nécessaire pour s’exprimer en danse librement. Alors qu’il s’inclinait, Elena lui fit une grande révérence en remontant légèrement sa robe, et fléchissant les genoux, pour respecter les traditions anciennes. Martin se présentait à elle, Elena se présentait à lui. Un rire assez retenu pour ne pas gâcher se moment, mais qui montrait toute de même son amusement, tout à son image d’ailleurs. Revenu l’un a l’autre, lui prenant sa taille, et elle passa une main autour de sa nuque, ne pouvant s’empêcher de caresser tendrement la base de sa chevelure, descendant dans le cou, du bout des doigts. L’italienne ne le quitta pas des yeux, et à l’affut de son regard, elle eut un sourire charmant quand leur beaux yeux se trouvèrent enfin. Leurs mains qui étaient jusque là libre, se rejoignirent pour ne faire plus qu’une, entrelaçant leurs doigts.
Il fit le premier pas de danse, et Na’ se laissa guider et s’imprégna complètement de cette musique envoutante, qui aurait fait craquer un couple heureux et amoureux ensemble depuis quelques temps. Si on pouvait encore lui trouver une qualité, Martin était très bon danseur, il savait conduire leur petite valse à la perfection, même s’il n’y avait à peine quelques secondes d’écouler dans cette musique.
Collée à lui, Elena se sentait comme sur un petit nuage, le cœur toujours battant, les yeux pétillants, et inconsciemment, la belle brune resserra ses doigts sur ceux de son partenaire de danse. Quelque peu gênée par cette situation, ou plutôt par les effets que la danse lui produisait, l’italienne tourna le regard en collant sa joue contre l’épaule de son partenaire de danse. Mais il fallait dire se qui en était, cet échange sensuel et romantique lui donnait un effet de désir encore plus fort.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Ven 13 Aoû - 18:43 | |
| Les relations de Martin n’étaient jamais positives. Il n’avait jamais eu d’amis, les gens ne l’aimaient pas vraiment. Il était différent des autres. Il inspirait une envie de donner des claques. Son visage était loin d’être angélique. Cheveux noirs comme un diable. Seul ses yeux bleus étaient pales. Ils inspiraient confiance. Mais c’était le seul indice sur son visage. Les filles se battaient pour pouvoir coucher avec lui. Il avait du succès avec elles. Elles étaient si fragiles qu’il se laissait jouer le jeu. Il les draguait. C’était facile de se servir d’une jeune fille. Elle se croyait certes intelligentes et pensaient avoir un surplus d’intelligent sur les hommes, ais c’était faux. Les hommes étaient bien plus intelligents qu’elles. Certaines se faisaient remarquer des autres par leurs allures, d’autres par leurs intelligences.. Toutes les filles différentes des autres attiraient le regard de Martin. Elena était différente des autres filles. C’était une fille simple. Elle était assez naïve et pourtant adorable. On pouvait facilement la manipuler avec les sentiments. Longtemps, Martin s’était amusé à la faire. Mais tout était pourtant fini. Il ne voulait plus la faire souffrir comme il avait pu la faire souffrir. Il ne voulait plus air comme ça avec elle. Elle avait eu des sentiments pour lui Elle l’avait aimé de tout son cœur. Il l’avait ignorée ! Il avait ignoré les sentiments qu’elle avait pour lui. Il ne pensait qu’à lui et à personne d’autre. Trop de gens n’avaient jamais pensé à lui. Si il ne le faisait pas lui-même si il serait condamné à suivre une existence dans l’obscurité sans vraiment se faire connaître. Il n’avait jamais voulu ça. Il espérait marquer la planète avec son nom. Il ne voulait pas avoir une existence qui serait oubliée au fil des années. Il voulait être comme Achille qui avait été trop gourmand. Il avait voulu combattre et ne pas se faire oublier des autres. Une existence en or. C’était ce qu’il désirait le plus au monde. Sa fierté était trop importante pour qu’il puisse agir d’une autre façon que celle-ci.
Un sourire s’attira sur ses lèvres rosées. Un sourire sincère et plein de fierté. C’était la première fois qu’une personne croyait en lui. Personne n’avait jamais cru en lui. Malgré tout le mal qu’il lui avait fait, elle croyait en lui. Elle était la seule fille qu’il respectait. Elle représentait peu près tout pour lui.
« Tu es la première personne qui a toujours cru en moi. Pourquoi ça ? Je ne le mérite pas ! »
Le désir était une chose que les jeunes connaissaient déplus en plus, se battant pour vivre leurs premières relations amoureuses ou même amitiés. Ils devaient tout vivre. La vie leur apportait tout, mais leurs relations étaient en vrac, ils devaient eux-mêmes faire leurs choix. Chaque choix n’était pas volontaire. Certains personnes faisaient tout pour se rendre intéressantes, leurs choix n’étaient pas parfaits. La regardant avec un petit sourire en coin, il lui embrassa le bout de son menton.
« C’est un défis ! »
La musique s’évadait dans toute la pièce. Elle s’échappait de la chaine qui était posée sur un meule en pin blanc brillant. Elles dansaient les unes avec les autres, se cherchant, s’embrassant à nouveau et recommençant une nouvelle fois. La tenant par la taille, ils étaient proches l’un de l’autres. Leurs corps s’épousant avec désir et chaleur. Elle était le feu ardant et lui était le diable qui renfermait ses bras comme un étaux sur elle. Elle était digne d’être une princesse dans cette robe. Elle pouvait charmer bien plus d’hommes qu’on ne pouvait le penser. Rassemblant tout le charme et les bonnes manières qu’il avait appris durant toutes les années e son apprentissage avec ses professeurs de danse. Tel un gentleman, il dansait avec grâce en faisant attention pour conduire la danse avec grâce et douceur. Sa peau fut marquée par de nombreux frissons qui lui parcoururent le corps. A cet instant, il se sentait tellement bien. Il caressa sa taille en l’effleurant. Sa main s’échappa pour ramener une mèche derrière son oreille.
Il y avait bien longtemps qu’il n’avait pas échangé une danse avec une autre jeune femme. Cet échange était romantique et sensuel. Il était l’air d’une danse à un mariage. Une valse les emportant dans un endroit de rêves où ils étaient tous es deux les rois. Fermant ses yeux, il profita des dernières notes de cette musique apaisante. A la fin de la musique, il se pencha vers elle, prenant délicatement sa main il déposa un léger baiser sur sa main. Son regard se releva et il fit un grand sourire à celle qui était sa cavalière. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Mer 18 Aoû - 21:18 | |
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C’était la question à cent mille dollars ! Pourquoi elle croyait en lui ? Est-ce qu’il y avait seulement une raison ? Elena était du genre optimiste, et ne voyait le meilleur chez les personnes qui l’entouraient, c’était sa nature, elle était comme ça. Mais pourquoi s’acharnait autant pour lui, malgré leur passé qui n’était pas des plus glorieux, mais un attachement qui ne s’expliquait pas les unissait, où du moins l’unissait à lui. Ça n’expliquait pas pourquoi c’était comme ça. Après tout, on ne commandait pas ce que le cœur dictait, bien que parfois la raison essayait de se frayer un chemin à travers tout ça, et d’éviter les pulsions que la jeune femme pouvait avoir, mais elle avait beau faire, c’était souvent comme ça qu’elle vivait les choses, à l’instinct et aux pulsions. En même temps, la jeunesse n’était pas faite pour se poser une tonne de questions, bien qu’Elena pouvait réagir après réflexions, mais cet état se fessait rare, et ça l’avait amenée jusque ici, en Italie, dansant dans l’appartement qu’elle louait, avec un homme qu’elle avait aimé. Même les comptes de fée n’avaient pas inventé de plus belle histoire, tout cela semblait tellement irréaliste qu’il était difficile à y croire que tout se passait là, sous ses yeux qui brillait sous les effets des émotions, les rêves se perdaient, et ils étaient tous aussi fantasque les un que les autres. La musique, dans un même temps, les emportaient dans une valse que Martin menait brillamment, leurs pas s’enchainèrent avec grâce et élégance, les films pouvaient les envier. Sans le regarder, Elena réfléchissait encore à la question et décida enfin d’y répondre.
- Ne dis pas que tu ne le mérites pas, ce n’est pas vrai. Enfin pas pour moi. Je ne sais pas pourquoi je crois en toi comme ça, pourquoi je m’acharne à vouloir être optimiste quand on parle de toi. Ça serait tellement plus simple, si j’avais une partie de moi qui serai méfiante. Si tu veux une réponse, je dirai que c’est l’instinct féminin qui m’y pousse ou …. Ou toi tout simplement …
Ce genre de confidence étaient loin d’être évidente, Elena était déjà passée par là il y a peu, elle avait même l’impression de revivre un remake de Berkeley. Ce qui avait le don de faire monter les larmes aux yeux à Elena. La jeune femme voulait des vacances qui l’éloignaient de tout ça, et elle retombait en plein dedans. Et c’était comme ça à chaque fois. Entre elle et Marin, on pouvait appeler ça de la chimie. Il y avait une attraction qui les attirer l’un à l’autre, la différence entre les autres fois et aujourd’hui était la confidence à laquelle elle se livrait.
Le jeu auquel la Zeta, l’amusait contrairement aux réflexions qu’elle se fessait un peu avant. Après tout le jeu était une chose qu’elle adorait, et le mieux était encore d’y jouer avec un bon partenaire. Martin en fessait parti.
Ils dansèrent encore et toujours, jusqu’à que la musique décida qu’il y ait une fin. Cette musique qui devait être un défi, avait eu quelques peu l’effet escompté. Une douce sensation de chaleur et de désir était bien présente. Une touche gentleman en plus de sa part, un simple baiser sur sa main. Mais le jeu n’était pas fini, pas pour elle. Elle passa délicatement une main derrière sa nuque pour le rapprocher et l’embrassa sans y mettre trop de passion, mais assez sensuel pour l’énerver un peu plus. La brunette se détacha rapidement, encore une fois, puis le regarda droit dans les yeux en lâchant naturellement :
- Et …. C’est tout ce que tu sais faire ? Apparemment, je suis bien meilleure que toi à ces petits jeux…
Un défi ? Encore ? Elena adorait la provocation et elle ne se gênait pas pour lui en faire part. Elle savait qu’il y répondait sans problème. Elena repartit vers la table où se dressait encore la bouteille d’alcool et les deux verres. L’italienne prit ses derniers et les remplit presque à raz bord et tendit un des verres à son amant…
- A ta santé mon amour …
Dit avec un sourire en coin, la tête légèrement penchée, elle se voulait charmeuse, et sans se vanter, c’était un de ses atouts. « Mon amour » qui n’en était pas un, mais un surnom parmi d’autre, comme elle aurait pu dire tant d’autre, mais celui résonnait plus au « je te cherche, alors trouve moi ». Elena bu son verre après l’avoir levé, l’alcool n’était restait que quelques secondes dans ce verre avant d’être bu entièrement.
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Mar 24 Aoû - 23:35 | |
| Les gens sont décidemment trop naïfs ou bien trop idiots ! Ils ne savent pas distinguer une personne mauvaise d’une personne bien. Une personne bien se faisait tout le temps avoir et elle rependait le bien autour d’elle en ayant toujours le sourire aux lèvres. Quand on regardait les personnes méchantes, elles étaient plus que mauvaises, elles savaient qu’il ne fallait pas se faire marcher sur les pieds. Elles n’avaient pas peur d’une personne qui faisait deux ou trois fois leur poids. Elles n’avaient peur de rien et aimaient provoquer les autres. Mais leur activité préférée était de faire du mal aux autres. Ca Martin le savait mieux que quiconque. C’était son jeu préféré. Son activité favorite. Une façon facile de jouer de l’esprit cupide et stupide de la plupart des humains. Martin était un adepte de ce jeu. Il manipulait, blessait et le tour était joué. Il n’avait pas vraiment à réfléchir à la façon dont il devait s’y prendre, c’était toujours pareil, la même routine qui ne cessait de tourner. Le même tour de passe-passe. Rien ne changeait. Il réagissait comme ça avec tout le monde. Il avait été aussi méchant avec cette jeune femme qui avait été sa petite amie pendant de nombreux moments. Il avait profité d’elle, trop peut-être. Pour la première fois, il s’en voulait. C’était une première. Il s’en voulait de faire du mal à une jeune fille qui avait à peu près son âge. Une grande première. Fronçant les sourcils, il ne comprenait pas pourquoi elle ne lui en voulait pas. Elle restait neutre face à lui. Elle n’avait pas vraiment de sentiments mauvais contre lui. Elle arrivait toujours à croire en lui… C’était la première fois que ça lui arrivait. Son estomac se serrait, il n’arrivait pas à croire ça. C’était une première. Touchant sa joue avec une main, il la caressa tendrement, avant d’exprimer un petite sourire en coin en essayant de garder son sérieux.
« L’instinct féminin ? Je ne vois pas le rapport ! Je ne t’ai jamais demandée de croire en moi ! Je ne vois même pas pourquoi tu crois en moi alors que tu sais très bien que mon occupation favorite est de faire du mal aux autres. Je t’ai faite du mal, je t’ai blessée, mais tu m’as pardonné encore et encore. Je t’en remercie. Mais je pense que tu as fait une terrible erreur, tu as perdu ta fierté en pardonnant à un homme tel que moi. Si j’avais été un autre, je n’aurai jamais dis ça, mais là ce n’est pas le cas. Je ne suis pas le meilleur homme sur Terre et je ne méritais pas ton pardon ! »
Une constante routine s’était installée entre eux. C’était une rencontre toute simple, toute naturelle sans vraiment de gestes mauvais. Mais quand la nuit tombée ou qu’on portait moins d’attention sur eux, tout s’enchainait. Tout partait. C’était une bande musicale qui s’écoulait tout au long de leur rencontre. Un jeu qui se continuer à chaque rencontre. Il jouait encore avec elle. Lui faisant des sourires charmeurs, des regards complices. Il jouait avec des gestes doux qui voulaient une récompense en retour. Il voulait chercher son du comme si elle le lui avait promis. Mais ce n’était qu’une illusion, elle n’avait jamais demandé qu’il revienne faire irruption dans sa vie pour la faire souffrir. Une nuit juste pour elle et lui. C’était ce qu’il se demandait encore et encore. Passant au dessus de ses désirs, il attendait comme un gamin capricieux qu’elle accepte de le reprendre juste pour une nuit.
Laissant ses lèvres balader son poignet, il la regarda dans les yeux, se rapprochant d’elle il condamna ses lèvres à celer un baiser avec celles de son interlocutrice. Un baiser sans passion, sans rien un baiser futile digne de la tendre enfance au collège. Les premiers baisers qu’on offrait au début d’une relation. L’écoutant, un sourire chatouilla ses délicieuses lèvres sucrées. La rapprochant de son corps de pierre, il balada ses lèvres sur sa peau halée. Remontant vers son oreille, il la mordilla sans procurer le moindre effort. Seulement il attaquait par les endroits sensibles : Les zones érogènes.
« Je pense que tu n’as pas le même vocabulaire que moi ou la même pratique du mot jouer. »
Il saisit la coupe dans laquelle était versée un liquide limpide qui épousait la forme du verre. S’approchant dangereusement de la belle Italienne, il mêla son regard au sien avec une intensité hors du commun.
« A vous ma chère ! Ma chère et douce amante ! »
Levant son verre en l’air pour imiter un toast en famille, il s’inclina comme à son habitude, et puis d’un seul geste, il réalisa avec élégance l’absorption de l’alcool qui résidait dans son verre. Penchant sa tête d’un seul coup en arrière, ses lèvres épousèrent le dessus de la coupe pour laisser la liquide limpide se répandre dans sa gorge pour lui provoquer une douleur interminable dans le fond de sa gorge . |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Come Back In The Past. close Jeu 16 Déc - 10:40 | |
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