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« La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais. » || Emydence

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« La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence Empty
MessageSujet: « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais. » || Emydence « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence EmptySam 20 Fév - 19:10


    Une vague odeur de sucre écœurante flottait dans les bureaux ce matin, et on l’entendait crisser sous les dents des conseillers et secrétaires. Une personne bien intentionnée avait déposé des viennoiseries plus tôt. Je n’y touchais pas, la faim ne me tiraillait pas au point de déjà grignoter à peine une heure après mon frugal petit-déjeuner, me contentant de me renseigner sur mes tâches du jour sur le tableau d’affichage. De toute façon, il ne restait presque rien dans la corbeille, si ce n’est de miettes. Les autres employés de Berkeley, trop occupés à mastiquer, ne pensèrent pas à me saluer, j’étais transparent, ne faisais pas le poid face à de la nourriture. Je quittais donc la pièce en silence pour rejoindre les couloirs. Les pensées circulaient librement dans mon crâne, s’emmêlant et s’entrechoquant. Coleen et mon père me hantaient, j’étais mélancolique et plutôt déprimé. Le manque de sommeil agissait aussi sur moi néfastement. J’enchaînais les fêtes épuisantes ce mois-ci, tentant de me débarrasser de cet état de non-existence qui était mien. En effet, ma vie sociale se résumait au néant, plus d’amis, juste des ennemis, des élèves, et un ancien amour qui traînait de le coin. Des fantômes qui tournaient autour de moi, en somme, pas de concret. Les couloirs déserts m’encourageaient à l’auto-apitoyement, mais j’essayais quand même de me changer les idées, en sortant mon baladeur de fortune. L’argent me manquait pour acheter un i-pod et de nouveaux CDs, ça ne me dérangeait pas tant que ça. Mon choix musical se porta sur « Smell like teen spirit » de Nirvana. Le bruit chassa mes derniers tracas, remède miracle contre l’affliction.
    Après une longue marche dans les couloirs, je me retrouvais face à un tronçon consacré aux casiers, celui que je devais surveiller. La chanson, hypnotisante, tournait en boucle dans mes oreilles, les mots perdaient leur sens plus je les écoutaient. « Je suis le pire dans ce que je fais de meilleur » clamait le chanteur … Ma caméra me manquait, voila ce que me rappelais cette phrase. Il n’y avait rien à comprendre, l’incohérence de mes reflexions ne me posait plus problème, je me laissais porte. Je n’osais plus rien filmer ces derniers temps, de peur de créer un film dépressif, à la place je m’essayais aux scénarios. J’imaginais un monde apocalyptique, plein de souffrance et de malheur, pour me convaincre que ma vie n’était pas la pire, mais ça ne marchais pas. Dans le fond, je me savais condamner au malheur et à la solitude, sans miracle. Sans trop réfléchir, j’augmentais le son de la musique, pour ne pas entendre la sonnerie quand elle viendrait. Je redoutais les hordes d’étudiants trop heureux. Pourquoi avait-je donc fais surveillant ? C’était nul et dégradant comme métier. Me faire engager à Berkeley, juste une tentative désespérée d’aller mieux, une lutte vaine contre le désoeuvrement. Depuis que j’avais abandonné la drogue et Coleen, ma vie manquait cruellement de sens, et ce sens, même en parcourant l’Amérique de long en large, je ne le trouvais pas. J’étais perdu. Mon baladeur dérailla soudain, la voix de Kurt Cobain grésillait désagréablement. En enlevant les écouteurs, j’osais un soupir. Maintenant, mon esprit offrait une prise facile à la nostalgie. Des phrases de mon père revenaient à ma mémoire, incisives. C’était décidemment un très mauvaise journée.
    Le silence ne dura pas longtemps. Sur le sol dur résonnaient des pas, réguliers. Je tournais la tête, et restait une longue minute à observer la demoiselle qui s’avançait. Ses longs cheveux retombaient sur ses épaules dans une belle ondulation, elle se mouvait avec grâce. Personne n’aurait pu deviner qu’il n’y a pas si longtemps, j’avais la soigner suite à une entorse. J’osais l’admirer encore un peu avant d’aller l’aborder. Emydence me fascinait par sa beauté, son charme. La répulsion naturelle que j’avais pour les riches ne s’appliquait pas à elle. Etonnament, un sourire passa sur mon visage, j’étais sensé être plein d’une peine insupportable, mais rien n’y faisait. Emy me donnait envie de sourire. J’avais l’air légèrement moins renfermé … Enfin, j’avais quand même un travail à faire. Il était anormal qu’une étudiante traîne si tôt dans les couloirs.
    « Hum… Qu’est-ce que tu fais là ? »
    Je fis un effort considérable pour chasser l’agressivité de cette phrase.
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« La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence Empty
MessageSujet: Re: « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais. » || Emydence « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence EmptySam 6 Mar - 21:01

« La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence 100306083823932598 « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence 0015w880
EMYDENCE thompson VLADIMIR richardson


    « La modestie est quelquefois
    ______hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais. »




    Dans un mouvement désagréable et non naturel, mes paupières s'ouvrirent à mes yeux encore étourdis par le profond sommeil proche. Je refermais ses derniers aussitôt, la luminosité alentour me fessait mal a la tête rien que pour le fait que je savait que cette luminosité était signe de stopper ce rêve. Rêve ? C'était vite dis, j'avais cauchemardée, encore une fois. Ça en devenait lassant, cette tache noir brouillant ma vue chaque matin sans cesse. Très lassant. Je portait ma main a mon front, qui se plissait naturellement en une expression de mal être. Mes yeux s'ouvrirent enfin, de très fins rayons de soleil avait réussie a le glisser dans la pièce. Je tournais nonchalamment la tête vers mon réveil en me doutant qu'il devait être tôt, étant donné que je ne l'avait pas encore entendue sonner. 6H15. Il était tôt. Cette journée s'annonçait tranquille ne devais débuter que dans un heure. Je décidait finalement de me lever. Je déclenchait mon réveil et une musique emplis l'air ambiant. Cette le genre de musique qui vous rendant de bonne humeur, vous donnait envie de sauter de votre lit, danser partout, courir dans la douche et hurler sur la balcon. Ce matin, je me contentais juste de courir dans la douche. Une fois sortie, j'eus une envie soudaine de me mettre en robe, soit ! Le soleil aveuglant dehors et l'air doux du petit matin promettait une belle journée. J'ouvris mon armoire à la volé, et me décidais pour un petite robe d'été vert kaki manche courte au genoux. Le bout de la robe retombais librement au dessus de mes genoux & aussi ridicule soit-il, j'avais avoir les jambes a l'air. J'enfilais un collant couleur chair et nouais une ceinture noir autour de mes hanches. J'esitais quelques minutes entres des escarpins et des ballerines pour finalement me rabattre sur mon dernier choix. De sympathiques petites ballerines noir toute simple mais tellement mignonnes. Je refermais mon armoire et traversais ma chambre pour aller me placer devant mon miroir. La tenue allais, pas ma tête, je fis une grimace, puis marchait jusqu'à ma salle de bain.

    Touts les miroirs me reflétait quelque chose de pas très jolie à l'heure actuel, je passais la main dans mes cheveux, les attachais en que de cheval lâche avant de m'attaquer a mon visage. Je ne forçais pas trop, un léger coup de crayon, un peu de poudre sur chaque joues, un coup de mascara, un trait de gloss et c'était tout. J me fixait a nouveau, c'était mieux. Je ne bougeait pas, mon esprit vagabondais, encore et toujours. Je bessais la tête et au bout seulement de quelques minutes repérait un bout de papier égarer sur un rebord d'une étagère. Je l'attrapait et le dépliait soigneusement. Une écriture en patte de mouche trônais au centre d'un morceau de papier. Je décryptait et me rappelais. Il s'agissait du mot laissé par Vladimir Richardson, l'un des nombreux surveillants de Berkeley. Je souris et lançais le papier dans la poubelle, ce garçon m'avait sauver la mise alors qu'il en avait aucunement eu l'ordre. Ce souvenir douloureux de ma cheville hurlant la douleur m'avait laissait des séquelles. Je m'appuyait sur mon pieds, le tordis dans tout les sens. Aucunes douleurs. Non, pas des séquelles physiques, des séquelles psychique. Effectivement, il avait laissé échapper que son être avait eu l'expérience d'un jour parcourir en long et en large le merveilleux pays qu'était les États-Unis. J'avais était impressionner par ses paroles et le temps était passé si vite en sa compagnie que je n'avait pas du tout eu le temps d'épuiser mon stock de questions a son sujet. Il me fascinait, littéralement, lui et son renfermement. C'est comme quand on vous dis de ne surtout pas vous retourner, vous vous retournerez forcement. Et bien la, on m'avait dis de ne surtout pas lui posé de questions, devinez quel est la suite du programme ! Je secouait la tête, me brossais les dents rapidement, puis attrapais un brosse a cheveux qui trainait ici et la. Je passait deux trois coup sans trop me soucier, mes cheveux avait au moins un avantage, il ne bougeais pas trop et le matin, il suffisait juste de dompter quelques mèches récalcitrante et le tour était joué.

    Je ressorti de la salle de bain, me dirigeait vers ma table de travail et sortis d'un des tiroirs quelques livres. Je pris aussi un classeur de droit et fourrait le tout dans un de mes Longchamp. J'aimais les Longchamp, même si une demoiselle comme moi avait largement les moyens de me payé des Chanel, je les trouvait sobre et super jolie. J'en avait plus d'une vingtaine, de toute tailles de toutes couleurs. Aujourd'hui, c'était le marron. Kaki, noir & marron. Trois couleurs, parfait. Je tournais la tête vers mon réveil : 7H40. Pour commencer à 8H30. Je décidais tout de même de me rendre a l'université, je trouverai forcement quelque chose a faire, un devoir a faire trainant dans mon casier, un livre à lire pour la semaine suivante … J'attrapais donc mon trench-coat beige et l'enfilais, je posait une paire de Ray Ban sur mon nez, attrapais mon porte monnaie et mes clés et me dirigeait vers la porte. Je refermait derrière moi la porte, le couloir de la résidence était complètement vite, pas étonnait, a cette heure-ci. Je fourrait mon bazar dans mon sac et descendis a la hâte les escalier de la maison EPSILON. Je sortie dehors, le soleil ne me fessait à présent plus tord, j'inspirai un bonne bouffée d'air frais et me mis en route. La maison Epsilon se trouvait assez éloignée de l'université en elle même, en chemin, il y avait un café étudiant, j'y pénétrait. L'endroit était en vie, un bon nombres d'étudiant était posé a une table, un livre ouvert sous les yeux, absorber par l'écran de leur ordinateur, ou tout simplement, le nez a l'air en train de rêvasser. L'endroit que malgré remplis était incroyablement silencieux. Je m'avançais d'un bon pas vers le bar et commandais un café. Cinq minutes me suffirent a avaler ce qui constituait mon petit déjeuner. Je sortie du bâtiments, rien n'avait bougée entre la seconde ou j'étais rentrée et celle ou j'étais sortie. Je remis mes lunettes de soleil et me mis en route vers le bâtiment principal. Une fois arrivée je pu constatée qu'il était presque désert, quelques profs trenaillaient par ci par la, rejoignant leur salles de classes pour se préparer au cours, quelques élèves pommés aussi. Je me dirigeait vers l'allée ou se trouvait des cassiers, dont le mien. Concentrée dans mes pas, je ne remarquait pas tout de suite une présence. Quand je levait enfin le bout du nez, je pu apercevoir cette personne, a qui il y a encore une demi heure, j'avais pensée dans ma salle de bain. L'expression sur son visage m'inspirait confiance et je lui rendis son sourire.
    « Bonjour , comment va-t … Allez vous ? »
    Je me rectifiait au dernier moment, même si Vladimir avait l'air de quelqu'un de sympathique, c'était quand même un surveillant, a vouvoyer donc. Je l'écoutait parler d'un air absent. Un fois qu'il eu fini de parler, je me remis a marcher doucement en direction de mon casier, a quelques mètres seulement. Je m'arrêtait et me tournais vers lui. J'attrapais d'une main mes lunettes et plaçait ces dernières a califourchon sur ma tête.
    « Je passait juste a mon casier »
    Je n'ajoutait rien, il n'avait rien de plus à ajouter.
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« La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence Empty
MessageSujet: Re: « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais. » || Emydence « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence EmptyVen 12 Mar - 23:24


    Je l’avoue, la première chose qui m’avait frappé chez Emydence, ce n’était pas sa personnalité, comme le voudrait la tradition romantique moderne, mais sa beauté naturelle. Ce matin, son charme restait intact, même sous l’effet des lumières crues des néons. On sentait le vague effort de maquillage, les lèvres un peu trop brillantes pour être naturelles, le mascara aussi était présent, mais rien de choquant. Les traits d’Emy étaient fins, charmants. Son corps n’était pas disproportionné, la robe d’été qu’elle portait lui allait à merveille, et ses ballerines complétaient l’ensemble avec beaucoup de classe. Elle possédait cette élégance formidable, qui manquait cruellement à certaines autres étudiantes, ces filles dont les vêtements constituaient presque en une absence de vêtement … Mais je m’égare. La beauté d’Emy m’avait donc incité à faire le premier pas vers elle, mais c’était sa personnalité, sa curiosité qui m’avait incité à lui parler, la soigner, car le visage parfait d’Emydence était associé à un rictus de souffrance du à une horrible entorse. Je l’avais gentiment soigné, à ma grande surprise. Je veux dire, j’étais normalement renfermé, solitaire, peu aimable… bien qu’aimé, sauf que ce jour là, mon bon fond avait dépassé les convenances, les apparences. C’était le grand dilemme de ma vie qui était résumé en ma relation avec la riche mademoiselle Thompson ; se fier aux apparences ou prendre des risques ?
    J’appréciais le sourire d’Emydence, qui avait ce petit quelque chose d’ironique. La seule personne capable de me remonter le moral ce matin le faisait sans même y prêter attention, naturellement. Je me demandais, moi, en bon surveillant que je me devais d’être, pourquoi elle se rendait à son casier si tôt. Le bâtiment principal venait à peine d’être ouvert, par un autre surveillant. Bref… Le vouvoiement de l’étudiante me lassa légèrement perplexe. Je n’étais pas habitué à une telle politesse. Pour la plupart des personnes du campus, j’étais un « sal pion » juste bon à rester moisir en heure de colle. Qui pense à la souffrance que c’est, de surveiller des personnes turbulentes dans des pièces à l’odeur de vomi quand l’on a rien fait ? On oublie la souffrance des surveillants, ils font partis du paysage au même titre que la peinture, les poubelles, les murs. Je me sentais parfois mal, noyés dans la masse, alors qu’il n’y a pas si longtemps, je vivais au jour le jour, fous parmis les fous, mon tour de l’Amérique. A l’évocation de ce périple, les souvenirs revenaient en masse, et particulièrement celui des rocheuses, ou j’avais appris à la hâte les soins à pratiquer en cas d’entorse, ce qui m’avait trop vite servis. D’autres choses refluaient à ma mémoire, mon dernier joint, mes dernières larmes, mon dernier passage à la caravane familiale … j’avais presque vécu une fin de vie. Mon passé récent me manquait, m’emplissait de mélancolie, et la voix de mon père, pressante, me hantait. Je cohabitais sous mon crâne avec des fantômes agressifs.
    Malgré toutes les peines, je souriais à Emydence, qui représentait aujourd’hui une alternative à la fatalité. Je ne serais pas pessimiste face à elle, je maintiendrais ces apparences que je m’efforçais pourtant de dépasser car telle était ma nature si contradictoire. On me disait compliqué, bipolaire, ce qui restait vrai encore après ma petite mort de l’année dernière. Ca m’aidait à supporter les jours qui passaient, ces changements incessants.
    « Cela va bien … j’ai juste envie de voyages en ce moment. Et toi, ton entorse ? » Dis-je, le souffle presque coupé d’avoir enchaîné tant de mots. C’était rare, parce que dur. Après une pause, je murmurais presque. « J’ai eu peur d’avoir mal fait les choses. L’époque des rocheuses me semble tellement lointaine, floue … » encore une reprise de souffle. Ces quelques phrases me donnaient l’impression de me comporter … Oh, serait-ce possible ? Comme un bavard.
    J’avais brièvement expliqué cet épisode court à Emydence, alors que je m’occupais de ses membres meurtris. Ses yeux avaient pris une lueur différente, plus vive, à l’évocation de cet ailleurs. Elle était intriguée, comme si je dégageais soudain vrai mystère, une sagesse de voyageur. Si elle savait combien, elle, me fascinait, cela casserait le mythe. Je ne comprenais pas comment une demoiselle si riche pouvait rester naturelle, avec de vrais problèmes. Encore ce soucis des apparences, récurent, ineffaçable. Ancré en moi.
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MessageSujet: Re: « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais. » || Emydence « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence EmptyJeu 5 Aoû - 1:33

Corbeille.
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MessageSujet: Re: « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais. » || Emydence « La modestie est quelquefois hypocrite, et la simplicité ne l'est jamais.  » || Emydence Empty

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