Dans les étoiles ... [pv Edward]

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Moi aussi je t'aime Caroll Venn...

Moi aussi je t'aime Caroll Venn...prononçais-je plus lentement derrière ma respiration, d'une voix beaucoup plus basse pour m'assurer qu'elle entende bien ses mots.

Tu sais, j'attendais ce moment depuis longtemps. Celui où j'aurai enfin le courage de t'avouer mes véritables sentiments. Dis-je sur le même ton que le précédent.

Invité

Ses mots résonnaient en écho autour de moi. C'était peut-être ça finalement le véritable amour. J'avais toujours dit qu'il n'existait pas. J'avais bléssé, manipulé et pourtant j'avais l'impression que je mettais trompée. J'avais peut-être finalement le droit à cet amour. Un amour révolut qui apparaissait de nouveau comme une lueur nette vers un futur, incertain mais pourtant beaucoup plus réel et perceptique que lorsque je me l'imaginais avant ... Je voulais maintenant me racheter auprès de l'être qui m'importait le plus. Il ne me rejetais pas, une lueur brillante dans ses yeux me faisaient comprendre qu'il avait plus que tout envie de rester avec moi et de revivre un bonheur à deux. Un chemin que l'on emprunterait ensemble. Je me complaisais à m'imaginer dorénavant pendant de longs mois à ses côtés et ces pensées me réchauffait et faisait bouilloner un feu nouveau autour de mon coeur. Un feu qui n'était pas apparut depuis longtemps. Je m'étais égarée dans des chemins qui n'étaient pas les miens, maintenant je comprenais que j'avais enfin trouvé la bonne voix. En laissant Edward, j'avais romput quelque chose en moi. En me mettant avec Lucas Stane, j'avais crut être vraiment amoureuse. Je mettais plus mise avec lui finalement pour combler la plaie qui ruinait mon coeur, pour rendre jaloux Edward et avoir quelqu'un à mes côtés. Je ne disais pas que je n'avais rien ressentit pour Lucas mais je savais dorénavant que le bon choix et l'homme que je voulais à mes côtés jusqu'à la fin serait Edward. Je savais aussi que les tromperies devraient être écarté et que je devrais faire attention à ce que certains de mes amis pourraient dire à ses côtés. Effectivement, j'avais l'habitude que l'on me propose des plans tordus et je ne voulais pas qu'un aspect d'incertitude se place entre nous deux comme avant. Je voulais trouver une vraie confiance dans notre couple et j'allais essayer d'y parvenir même si j'allais devoir oublier mes talents de joueuses auprès de la gente masculine. J'espérais au moins qu'il en ferait de même et je savais que pour nous deux, cela allait être difficile ...

J'avais peur que tu ne ressentes plus la même chose que moi ...

J'ouvris enfin les yeux pour regarder les traits de son visage que je ne cessais de carresser du bout des doigts, ses lèvres, ses yeux, ce sourire ... Front à front, nos souffles se mêlaient et je sentais que l'on ne faisait plus qu'un. Je comprenais maintenant que s'éviter dans les couloirs n'avait servit à rien appart renforcé cette impression de vide qui m'avait transpercé durant cet été ou je m'étais evertué à trouver d'autres hommes pour remplir cette absence. Je l'avouais, ce n'était pas très malin, je tombais dans les vices, en sortais pour y remplonger de sitôt. J'étais fragile et forte toute à la fois et sans doute mes sentiments se mêlaient totalement dans la contradiction. En ce moment même, ma personne, désinvolte et glacial se changeait, je redevenais enfin la personne qui aurait tellement voulut déversé son amour pour quelqu'un qui comptait. Il était devant moi, aussi sublime qu'il l'avait toujours été.

Pardonne moi, j'ai été stupide, j'ai renoncé à toi pour de mauvaises raisons, j'en suis consciente ...

A quoi bon se faire pardonner si déjà il acceptait tout dorénavant ? Mais je préférais lui dire cela maintenant plutôt que la discussion revienne et qu'alors nous nous disputions pour le passé. Un passé révolut dont j'avais honte à présent. Je l'aimais de tout mon corps et plus ses deux mots résonnaient d'entre ses lèvres plus je me sentais fondre au creux de ses bras rassurants. Je l'embrassa encore et encore, mes yeux étaient humides mais je me refusais à verser une larme, j'étais trop bien avec lui pour céder à la tentation de tout relâcher d'un coup ...

Invité

Je n'aurais jamais imaginé qu'en une seule soirée, bercée sous un ciel étoilé, tant de choses pourraient se passer. J'étais encore étonné de me voir dans les bras de Caroll Venn, celle qui était considérée comme une croqueuse d'hommes, mais celle qui depuis longtemps me correspondait. J'avais de la même manière, toujours eu la réputation d'être un véritable playboy sans coeur, à la fortune bien placée, pourtant je n'avais jamais laissé la possibilité de tomber amoureux de côté, au contraire, maintenant qu'elle m'était donnée je la voyais comme la chose la plus naturelle dans la vie d'un homme. Cet homme, c'était moi, et j'étais bien content de l'être car cela faisait bien trop longtemps que mon célibat me pesait. Moi qui avais tant aimé et crié haut et fort les grands biens de la liberté amoureuse ainsi que de la liberté sexuelle, je me voyais, aujourd'hui, obligé de dire qu'être enfermé dans cette cage appelée amour ne me gênait absolument pas, si bien sûr nous pouvions appelé cela une cage. Oui, parce qu'une relation amoureuse pouvait simplement être vue comme une nouvelle vision des choses, mais à deux cette fois. On pouvait donc considérer que j'étais parfaitement à l'aise dans mon nouveau statut « en couple » et que cette fois je comptais bien faire les choses

Si je peux bien te garantir une chose, c'est bien que je partage tes sentiments.

Nous buvions nos paroles comme un petit couple récent, dans leur première semaine d'amour immaculé, pourtant cela faisait des années que nous nous connaissions et que nous avions des rapports plus amoureux qu'amiraux, qu'est ce qui n'avait pas marché ? Le fait peut être que nous nous écoutions que très rarement, ou que nous n'étions pas fusionnel en cette période là de nos vies. A présent, les choses avaient changé selon moi, nous savions ce que nous voulions et comment l'obtenir, ou le garde dans notre cas. Je serrais encore fort dans mes bras Caroll, de peur qu'elle s'envole tel un oiseau obligé de quitter ce ciel, je l'embrassais encore et encore pour m'assurer qu'elle était bien là, que tout cela n'était pas qu' illusions créées par mon subconscient pour me faire croire à une des choses que je désirais le plus.

Je ne vois absolument pas de quoi tu parles, je ne vois que deux étudiants sur le toit d'une université réputée, tard le soir sois un ciel d'hiver et qui enfreigne sans aucun doutes toutes les règles de sécurité de l'établisse... dis-je d'un ton amusé essayant par tous les moyens de faire en sorte que la jeune arrête de se sentir coupable. Dans une relations, il y avait toujours deux fautifs.

Puis, je ressentis petit à petit à nouveau le froid de l'hiver, le même que j'avais senti en arrivant sur ce toit, il était temps selon moi de se diriger vers un autre lieu, cette fois-ci beaucoup plus chaud. Il était le signe que nous devions quitter le lieu de notre réconciliation, qui resterait gravé dans ma mémoire jusqu'à la fin de mes jours. Il passait du lieu discret dans lequel se retrouver au lieu symbolique, qui marquait le renouveau d'une relation qui semblait perdue depuis longtemps. Souriant, comme à mon habitude je saisis doucement la main de la jeune femme avant de lui adresser un des mes regards qui me donnait l'impression d'être le plus mystérieux des hommes sur la Terre.

Viens, je vais te raccompagner...

Et c'est sous une centaine de baisers échangés, d'étreintes partagées de compliments adressés que nous nous rendions chez la jeune femme. Je me serais vraiment senti coupable de lui faire attraper froid, cela gâcherait tout le romantisme qu'il y avait eu dans nos paroles et je ne le souhaitais pas. J'espérais que cette soirée ne s'achève jamais car j'étais parfaitement bien contre la jeune femme que j'aimais.

Sujet Terminé

» (r) où vas-t-on mademoiselle ? dans les étoiles.
» Dans un élan de passion [Edward A.]
» Dans la vie jette toi à l'eau tant qu'il n'y a personne pour te pousser dans le dos ♪ [Mika & Amy]
» Un café ? Tu le préfères dans la tasse ou dans ma tête ? [LEO-ALISSON&JONAH]
» L’homme fort, brave comme on a toujours vu dans nos bouquins ou dans les films depuis qu’on a l’âge de 12 ans c’est factieux, il n’existe pas. ¤ ft Milla

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