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« Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary.

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MessageSujet: « Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. « Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. EmptyJeu 24 Déc - 23:46

« Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. 2j13jvr« Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. 2d0gv2x
L'attirance physique n'es rien.
Résistons ensemble. Ne succombons pas.
Oh, et puis merde hein !


    Ahnalaurie regardait la pluie à travers la fenêtre de sa chambre. Fascination ? Non. Juste le plaisir de regarder la pluie tomber. La pluie était autant adorée qu'elle n'était détestée. Comme les trois autres éléments de la Terre, d'ailleurs. On les vénérait, on les adulait. Mais, quand ils n'étaient pas avantageux pour l'Homme, on priait pour qu'ils disparaissent à jamais. En ce moment, Ahnalaurie était assez contente qu'il pleuve. Bon, il est vrai qu'elle aurait préférée qu'il neige. Mais, dans les deux cas, elle ne pouvait sortir par ce temps. A quatorze heures, la jeune rousse avait rendez-vous avec un avocat. Pour soi-disant donner un coup de pouce à son avenir. En couchant avec lui ? Haha. Ahna devait le retrouver au restaurant Italien, de Washington Avenue. Son préféré à lui, d'après son assitante qui lui avait donné le lieu de rendez-vous. Tiens, celui où Ahnalaurie allait dinner le vendredi, avec une amie. La jeune rousse voyait déjà letableau : il l'invite à dinner, puis lui fait croire qu'il a oublié ses papiers. Le travail avant toutes choses, n'est-ce pas ? Alors, il lui proposera de l'emmener chez lui : il fait plus chaud, on est plus en intimité, et ils pourront longuement parlé de son avenir, sans gênes, hein. Pendant dix secondes, sur les deux minutes de trajet, il lui caressera la jambe, pour lui ébourrifer un tout peu les cheveux, parce qu'ils auront rit à l'une de ses blagues vraiment pas drôles. Ils arriveront, et dans l'ascenseur qui les mèneront à son appartement qui se trouve au denrier étage - bah voyons ! - il l'avertira que c'est un très bel appartement du vingitème siècle, avec pleins de peintures célères, parce qu'il saura qu'elle peint. Arrivé, il enlèvera sa veste, lui propose de se mettre à l'aise en lui servant un verre de vin. Il l'élogera, lui dira à quel point il la trouve intelligente, charmante. Et une chose en ammenant une autre, il s'approchera dangeureusement d'elle, et ... vous connaissez la suite. Après une intense réfléxion - qui dura une demi-seconde - Ahnalaurie se dit que ce n'était pas si mal. Vengeance personnelle ? Sûrement que oui, on peut dire ça comme ça. Ahnalaurie sourit. Oui, elle avait l'air d'une débile. Mais les Alpha n'ont-ils pas l'air débiles à chaque fois qu'ils sourissent pour un rien ? Ahnalaurie attrapa donc son portable, et laissa un message sur le répondeur de l'avocat :

      «Bonjour, Maître Wyatts. C'est Ahnalaurie Stephenson. Pouvons-nous repousser notre rendez-vous à dix-huit heures. Je ne pensais pas avoir cours, mais en fait si. Tenez moi au courant ! Bonne journée ! »


    Ahnalaurie referma son portable et alla sur l'ordinateur. Tenir au courant Hélène de sa journée, de ses envies affreuses, de son empressement de partir pour la France... Mince, oui ! Voilà ce qu'elle avait oubliée de faire : acheter son billet d'avion. Ahnalaurie ouvrit son PalmPilot et le marqua pour dix-sept heures. Avant d'aller ... à la rencontre de son avenir. Il était 13h30. Que . pouvez faire Ahnalaurie pendant près de trois heures et demi ? Dormir ? Lire ? Travailler ? Elle pouvait le faire, pour son partiel de la rentrée. Mais, Ahnalaurie était en vacances. Son esprit " féminin " fit irruption : shopping. Ahnalaurie se dégotta une robe qui lui arrivait au dessus des genoux, avec des collants gris-beige presque transparents, ses bottes caoutchoux beige, et son manteaux beige un peu plus foncés. Son sac Gucci en main, Ahnalaurie était prête pour un minimum de trois heure de shopping !

    La roussette fit le tour des magazins de San Fransisco. Une dizaine de sacs aux bras, ahnalaurie entrait et sortait des magazins. Vers seize heures, elle s'arrêta au starbucks Coffee prendre un chocolat chaud et un Donut nature. Le Shopping, ca reste un sport qui donne faim aux femmes ! Après avoir avaler tout ça pendant une bonne dizaine de minutes, Ahnalaurie reprit le chemin de Berkeley en taxi cette fois-ci. Ahna se hâta de rentrer dans le bâtiment, puis dans sa chambre. Sa colocataire n'était pas là, la jeune stephenson en profita pour étaler le tout sur les lits et le parterre. Ses habits étaient trempés. Elle se déshabilla, et troqua ses habits contre son T-Shirt Alpha bleu et son bas de pyjama. Soudain, la porte s'ouvrit et un homme entra. Ahnalaurie se retourna et dévisagea le jeune homme trempé. Zachary safton. Une serviette se trouvait non loin de lui, mais Ahnalaurie ne l'invita pas à se sécher. Elle resta à sa place, et parla d'une voix froide :
      AHNA ▬ Zachary ! Quelle joie de te voir ! Non pas que je ne veuille pas te voir - non attends, je ne veux pas te voir. Mais, là, j'ai un rendez-vous, tu pourrais, euh ... me laisser ? Pour être polie. On dit que les brutes de ton genre comprennent rarement avec la politesse, mais qui ne tente rien n'a rien, hein.

    Plus cynique, tu meurs. Mais, elle se devait de se comporter ainsi. Sinon, elle craquerait derechef. Ses habits, trempés, moulait bien son torse. Et Ahnalaurie se souvint, au combien elle avait aimé touché son torse nu, trempé de sueur après la nuit de folie - agréablement très bonne . Oh Ahnalaurie, tu résisteras à la tentation ! Après tout, il n'était qu'un Delta !
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MessageSujet: Re: « Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. « Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. EmptyDim 27 Déc - 9:02

« Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. 2j13jvr « Quelle ... joie de te revoir, toi ! » Zachary. 1z2k0zk

    La journée s'annonçait plutôt bien. Le ciel n'était pas vraiment couvert et le temps était plutôt bon, je décidais donc d'aller faire du surf, mon sport préféré que j'avais plusieurs fois négligé depuis mes deux ans à Berkeley. J'étais allé à la plage à pied, ce n'était guère loin de l'université et puis marcher ne pourrait pas me faire de mal, bien au contraire. J'avais enfilé des vêtements décontracté, un tee-shirt blanc et un pantacourt, accompagné de mes converses basses. Le vent était plus ou moins fort ce qui était intéressant pour surfer. Je me dirigeais, comme un petit enfant qui va acheter un jouet, en direction de la plage, regardant sans cesse le ciel, puis le soleil. Je n'avais pas du tout prévu que la pluie tomberait plus tard dans la journée. Je me déshabillais lentement, ne cessant de fixer l'eau, l'océan. Je me sentais libre auprès de l'eau et depuis que j'étais à Berkeley, je n'avais jamais vraiment pris le temps d'aller surfer tranquillement, histoire de me changer les idées. Je saisissais ma planche, pénétrant dans l'eau froide, m'allongeant progressivement sur la planche et commençant à faire des petits mouvements de bras pour me faire avancer. Une vague venait droit sur moi, je commençais légèrement à me lever pour finalement réussir une figure quelque peu difficile. Je continuais à surfer environ jusqu'à 17 h lorsque le ciel commençait à ce couvrir, je n'y prêtais pas la moindre intention, continuant de surfer, comme ci de rien n'était. La pluie tombait quelques minutes plus tard. J'enlevais ma combinaison, me rhabillant très vite pour éviter d'attraper un virus style la grippe. Je saisissais ma planche, marchant jusqu'à l'université, me dépêchant pour éviter d'être trop mouillé. Malheureusement, j'étais bon pour me rechanger. Dans mon sac, j'avais des habits propres, mais je n'allais pas me changer au milieu de l'université, c'est alors qu'une idée me parcourait l'esprit. J'étais juste à côté de la maison des Alphas, je connaissais quelques personnes dont Cathaleen, mais elle n'était pas présente, je décidais donc de me rendre chez une femme qui aimait par-dessus mon corps et échanger quelques actes physique avec moi. En pénétrant dans la demeure, je ne m'attendais pas à trouver une femme que je détestais plus que tout, pourtant si je pouvais recoucher avec elle je le ferais, sans aucune hésitation.

    Je la regardais en souriant, puis faisant mine de ne pas la prendre au sérieux, je l'ignorai, retirant mon tee-shirt ainsi que mon pantacourt comme si j'étais seul dans la pièce. Je me retrouvais en boxer devant une femme que je n'aimais pas, mais bon, pour la première fois, non que dis-je pour la deuxième fois dans sa vie elle pouvait observer un vrai mec en boxer. Elle voulait toucher ? Peut être je n'en savais rien, mais personne ne pouvait résister bien longtemps à mon corps. J'approchais lentement en sa direction, déposant ma main sur la serviette pour la saisir et m'essuyer le visage, puis le torse pour finir plus bas. Je la regardais de mes yeux azurs avec un sourire ironique avant de prendre la parole, histoire de ne pas la laisser gober les mouches.

    Z A C A R Y | « Et bien si tu ne veux pas me voir, ferme donc les yeux au lieu de me regarder me changer. Je ne sortirais pas de cette maison avant d'avoir goûté à tes lèvres. Un rendez-vous toi ? Laisse-moi rire, tu vas boire un verre de jus de fruit avec le bibliothécaire ? Bref continue d'être désagréable ainsi, ça te vas à mereveille le rôle de la vilaine, tu as un air sexy et désirable avec. »

    Je la regardais avec un petit sourire moqueur, je n'étais pas le genre de mec à me laisser faire ainsi, surtout par une jeune femme qui était cruellement en manque d'affection. Avait-elle ses règles ? Je n'en savais rien et ça ne me regardais pas du tout, je dois également avouer qu'il y a des choses qui ne sont pas vraiment nécessaire à savoir.L'avais-je blessé ? Je ne pense pas. Elle avait du répondant cette jeune femme je ne pouvais pas le cacher, mais j'en avais plus qu'elle et si elle continuait de la sorte, elle finirait par déclarer forfait.
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