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You must forget me [Pv]

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MessageSujet: Re: You must forget me [Pv] You must forget me [Pv] - Page 2 EmptyMer 26 Aoû - 18:20


    Parfois, j'ai tendance à trop réfléchir. Pourtant j'ai remarqué que c'était lorsque j'étais plus spontanée que je réagissais de la meilleure façon - seulement lorsqu'il ne s'agit pas d'un moment de colère. Inconsciemment, je dois avoir les bonnes réponses en moi, mais je dois être trop têtu pour les écouter. Il m'arrive de juger trop vite les gens, ayant trop pris confiance en moi. Mais me croyant une bonne personne, je n'aurais jamais imaginé me tromper et faire souffrir à ce point là. Seulement, je ne le savais pas encore, et la péripétie est loin d'être terminée.

    J'étais actuellement encore par terre, sur mes genoux, tenant Lyssandre qui venait de se réveiller. Apparemment elle avait l'air d'aller bien. C'est toujours une surprise quand quelqu'un s'évanouit devant soi. Heureusement, la plaisanterie avait l'air d'être au goût du jour. Ambiance que l’on n’aurait peut-être jamais eue si elle n'était pas tombée. Cependant, la phrase qu'elle me dit après avoir chuchoté qu'elle allait bien me déstabilisa. Elle avait peut-être dit ça sur le ton de la plaisanterie, mais au fond, je savais que Lyssandre le pensait. Que j'ai envie qu'elle meurt ? Cela me remit complètement en question. Ma réponse ? Bien évidemment que non, je n'ai pas envie qu'elle meurt, mais j'avoue que mon comportement pourrait prêter à confusion. Mais comment ai-je pu donner une telle image ? Même si la phrase de Lyssandre me fit chavirer, j'essayais d'en montrer le moins possible sur mon visage. Quoi ? Elle essayait de me faire culpabiliser ? Etrangement elle réussit. Je m'en voulais même que la dernière chose que je lui avais dite avant qu'elle s'évanouisse n'était que des paroles de reproches, prononcée avec une intonation que trop élevée. Elle faisait exprès de me faire culpabiliser c'est ça ? Je commençais à en être de moins en moins convaincu. C'est là que je pris conscience que je voyais toujours le pire en elle. Mais pourquoi ? Elle a quand même fait quelque chose qui mérite cette attitude de ma part non ? Je n'aurais pas été méchant avec elle dans le vent ! Perturbé, je ne comptais tout de même pas retourner ma veste aussi facilement.

    J'approchai ma main de son visage, dans le but de tester sa température, et en la touchant je sentis une sorte de léger frisson. C'est alors qu'en regardant Lyssandre dans les yeux, je ressentis un sentiment étrange que je ne connaissais pas. Curieux, je ne pu mener à bien mes investigations. Lyssandre eut une réaction plutôt inattendue. Elle se retira immédiatement, rejetant ma main dans la précipitation. Qu'est-ce qui a, j'ai les mains froides ? Pris par surprise, mon pouls s'était légèrement accéléré. Cela ne pouvait être causé que par ça. Surpris, je regardai Lyssandre, la main encore dans la même position, mais cette fois-ci dans le vide. N'empêche, pourquoi avait-elle eut si peur de moi ? Avait-elle cru que j'allais la frapper ? Peut-être était-elle amoureuse de moi et ma main contre son visage l'avait troublée. J'en rigolais intérieurement, trouvant cette idée complètement farfelue. C'est alors que discrètement, je la vis remettre bien ses cheveux. Ceci me mit la puce à l'oreille. Cependant, n'ayant pas assez d'indice, je n'osai pas me prononcer trop vite. Avait-elle quelque chose à cacher ? Un secret ? Malgré moi, plus je passais de temps avec elle, plus elle m'apparaissait comme une personne différent et moins détestable. Après avoir soupiré, je me remis contre le mur.

    Je ne fais pas semblant. Tu restes une mortelle. Et puis qu'est ce qu'on penserait si, une fois qu'on serait délivré, on te retrouvait morte.

    Tiens c'est marrant. Moi qui suis si franc d'habitude, j'avais dit d'un ton sérieux quelque chose qui ne mettait même pas venu à l'esprit. Vous connaissais ces phrases que l'on dit sous l'impulsion et qu'on regrette ensuite ? Moi pas ! Enfin ca ne m'étais presque jamais arrivé. C'est vrai que je dis beaucoup de chose sous l'effet de l'impulsion et que je manque de tact, mais si je me souviens bien, je disais toujours ce que je pensais sincèrement, au plus profond de moi. Et là, je m'étais trahi à moi-même et c'était trop tard. Hors de question de m'excuser. Mais qu'est-ce que je fais si elle croit vraiment que j'aimerais qu'elle meure ? Je ne voulais pas continuer à lui donner cette impression. C'est contraire à ce que je suis. Mais non, il fallait que j'oublie. Je n'ai jamais pris pour habitude de faire attention à ce que les autres pensaient de moi, et je n'avais pas l'intention de changer aujourd'hui ... Quoique cette fois-ci, ca avait l'air de me gêner. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne voulais vraiment pas qu'elle pense une telle chose de moi. Gardant un ton sérieux, je repris.

    Enfin, je dis ça pour rire bien sûr. Personne ne souhaite la mort de personne. Et puis, je dois l'admettre, tu as l'air moins horrible que je le croyais. Mais j'ai dit moins, ça veut dire que je te reproche toujours ta manière d'agir !

    C'est vrai à près tout. Elle n'a rien fait dans ce local qui mériterait ma haine envers elle. Mais bon, il se trouve qu'on était toujours enfermé là comme deux idiots. Mon ventre se mit contre toute attente à gargouiller. C'était le matin et j'avais l'habitude de prendre un bon petit-déjeuner; avec du pain que j'aurais moi-même était chercher à la boulangerie. Toussant pour sistraire un peu la gêne occasionné, je cherchai un peu à changer de sujet.

    Je commence à craquer et en plus j'ai faim ! Qu'est-ce qu'ils font tous ! Ils se doutent de rien ? Apparemment je n'avais qu'à demander. Quelques secondes plus tard, des bruits de pas se firent entendre. Impossible de deviner qui s'était bien entendu, mais rien n'aurait pu arrêter ma pulsion. Je fis un bond sur moi-même et fonça vers la porte.

    Hey ! C'est moi Charlie ! Je suis coincé dans cette put ...

    Je repris mon calme, comprenant que mon agitation était surment inutile. C'est bon, on était sauvé. Je repris donc de plus belle, mais avec une voix plsu serein.

    Juste dans ce vieux local maudit ! Quique vous soyez, est-ce que vous pourriez nous sortir de là s'il vous plait.

    Je me retournai vers Lyssandre, non peu fiere d'avoir fait avancer les choses.

    Ca y est ! dis-je le sourire aux lèvres. Nous allons enfin pouvoir gouter à nouveau aux joies du monde des mortelles !

    Sans me soucier de rien, j'avais encore balancé une phrase tout droit sortie de mon imagination. C'est dans ces moments là que je ne capte pas le décalage et pense avoir dit quelque chose de drôle ou même d'intelligent. La pluspart des gens me prennent fou à cause de ces phrases. Ils me snobs ou même me dénigrent sous mes yeux. Que pouvais-je y faire. C'est comme ça que je suis et au moins, cela fais rire mes amis.

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MessageSujet: Re: You must forget me [Pv] You must forget me [Pv] - Page 2 EmptyDim 6 Sep - 11:48

    Les événements s'étaient visiblement tournés en sa faveur. Finies les remarques acerbes, les regards haineux qu'elle pouvait sentir sur elle. Il semblait réellement inquiet, et elle devait bien avouer qu'elle en ressentait un soulagement, ainsi qu'un bien-être certain dû au fait qu'il s'occupait d'elle. Elle aurait aimé rester dans ses bras. Et pourtant, malheureusement, cette sensation qu'elle n'avait plus ressenti depuis si longtemps disparut soudainement, laissant place à la réalité, et à ses peurs dès l'instant où il toucha sa nuque. Elle ne pouvait pas le laisser découvrir la vérité. Il en savait déjà bien trop sur, elle, heureusement, sans en être conscient. Et c'était ainsi que cela devait rester. Et pourtant, durant ces quelques minutes où elle avait réussi à plaisanter, elle s'était de nouveau sentie comme cette fille qu'elle était sur Internet, lors de leurs nombreuses discutions. Il lui arrivait souvent de les regretter, plus que de raison. Elle se demandait souvent ce qui serait arrivé si elle lui avait dévoilé la vérité. Elle rêvait parfois d'une version où les choses se seraient déroulées à merveilles. Mais elle réalisait rapidement que son existence était bien loin du conte de fées. Il aurait été évidemment très déçu, une déception qu'elle aurait eu un mal fou à encaisser. En particulier ces derniers temps, où elle sentait qu'elle était au bout du rouleau. Ce qui venait de lui arriver en était la preuve. Et à présent, elle ne savait plus comment se comporter. Elle qui pourtant conservait toujours une certaine maîtrise d'elle-même voyait bien qu'elle perdait totalement le contrôle. Elle faisait n'importe quoi, et tout ce qu'elle allait gagner était la suspicion de Charlie à son sujet. Elle s'en voulait également de ce qu'elle venait de dire. À quoi jouait-elle? Il était évident qu'il ne souhaitait pas sa mort, elle le connaissait suffisamment bien pour le savoir. Cherchait-elle inconsciemment à le faire culpabiliser? Peut-être. Elle ne pouvait s'empêcher de lui en vouloir pour les remarques qu'il lui avait faites, bien qu'elle ne puisse pas le lui dire.

    Ce que les autres penseraient si elle mourrait? Elle n'en avait pas la moindre idée. Elle n'était pas très aimée, après tout. Et puis, au fond, mourir était une chose qui lui arriverait tôt ou tard. La cocaïne, l'anorexie, ou quoi que ce soit d'autre finirait tôt ou tard par avoir raison d'elle. Pour la première fois depuis longtemps, elle ne sut que répondre à cette question qu'il lui posait. À vrai dire elle ne s'était jamais interrogée là dessus, sans doute parce que la réponse lui semblait évidente. Après tout, n'avait-elle pas fait tout ce qui était en son pouvoir pour être haïe? Il y avait bien une raison à cela. Chuter, encore et toujours chuter. Jusqu'à s'écraser au sol. Non, il n'y aurait personne pour la rattraper. Elle fut malgré tout surprise de ses paroles, et se tourna vers lui, l'observant de ses yeux verts. Elle soupira.

    « Je sais bien que tu ne souhaite pas vraiment ma mort. Je disais juste ça pour rire. »

    Son ton n'était pas tellement convainquant, mais il saurait bien s'en contenter. Personne ne souhaitait la mort de personne. Il ne savait pas à quel point il avait tort. On lui avait fait tant de mal, qu'elle se sentait morte, à l'intérieur. Elle ne put empêcher son regard de prendre une expression douloureuse, et fut soulagée d'être dans la pénombre. Elle n'eut pas à répondre à cela, car ce qu'il dit ensuite la fit frémir de colère. Venant d'une autre personne, cela l'aurait sans doute fait sourire, mais de lui, elle ne le supportait pas. Elle lui lança un regard noir.

    « N'imagine pas un seul instant que tu me connais. Tu ne sais rien de moi, tu entends, rien du tout. »

    Elle avait tenté de conserver un ton froid et posé, mais sa voix indiquait clairement qu'elle était blessée. Et elle avait menti. Il savait presque tout d'elle, sans doute davantage que n'importe qui d'autre. Mais elle devait oublier celle qu'elle était alors. Après tout, il la haïssait. Il ne la connaissait pas en chair et en os. Il la voyait avec le même regard que tous les autres. Et pour ça, elle le détestait. Pourquoi était-elle incapable de lui avouer qui elle était. Rien que pour voir sa tête, par vengeance, elle en était tentée. Mais elle se retint, trop consciente que ce serait la pire erreur qu'elle pourrait connaître aujourd'hui, bien pire que de se retrouver enfermée avec lui dans ce placard.
    Elle entendit le ventre du jeune homme réclamer sa pitance, et se dérida un peu. Elle non plus n'avait rien mangé, et n'en avait d'ailleurs pas l'intention. Ça faisait des mois qu'elle n'y arrivait plus. Au début, parce qu'elle n'avait plus d'appétit. Puis, elle s'était retrouvée enfermée dans un cercle vicieux dont elle n'arrivait plus à sortir. Elle n'essayait même pas d'ailleurs.
    C'est alors que, tout comme lui, son oreille perçut des bruits de pas dans le couloir. Tout comme lui, elle cria à l'intention de la personne. Elle savait qu'il y avait de très grandes chances pour que sa présence soit extrêmement mal reçue. Peut-être allait-elle subir le même accueil que chez les Gammas. Et pourtant, tout valait mieux plutôt que rester ici, avec lui, car tôt ou tard, elle le savait, elle finirait par craquer et lâcher le morceau. Tout mais pas ça.

    « Hey, aidez nous, on est enfermés! »


    L'air fier du jeune homme lorsqu'il se tourna vers elle la fit sourire. Et la phrase qu'il dit ensuite déclencha chez elle un léger rire, malgré elle. Ce n'était pas la première fois qu'elle entendait ce type de formules, de sa part. Il y avait chez Charlie un côté spontané qui parvenait toujours à la faire rire, même à travers un écran d'ordinateur. Oui, il pouvait paraître fou, ou bizarre, mais c'était l'une des choses qui lui avait plu. Il avait su rendre en elle cette part de légèreté qu'elle avait oublié. Mais tout cela était bel et bien terminé à présent.
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MessageSujet: Re: You must forget me [Pv] You must forget me [Pv] - Page 2 EmptyJeu 17 Sep - 19:33

Evan avait toujours attaché beaucoup d’importance à l’amitié. Le manque d’amour familial avait renforcé ce besoin d’avoir des amis et de pouvoir tout partager avec eux. Elle appliquait à merveille l’adage « On ne choisit pas sa famille mais on peut choisir ses amis ». Si elle n’avait jamais été gâtée avec ses parents, elle s’était rattrapée en comblant ce manque grâce à ses amis. Son arrivée à Berkeley n’avait fait que renforcer ce besoin. Pourtant difficile à cerner et difficile à apprécier, elle avait su s’entourer de personnes de confiance sur qui elle pouvait à chaque fois compter.

Parmi eux, son meilleur ami, Charlie McCoy. Leur contre avait été complètement anodine : premier jour d’Evan à Berkeley, en cherchant désespérément sa nouvelle confrérie, elle avait percuté sans le vouloir l’un des étudiants Sigmas. Il l’avait alors aidé, se prenant d’affection pour la jeune femme totalement perdue. Ils avaient appris à se connaître et depuis deux ans ils étaient inséparables. Etant donné que son cercle d’amis était très disparate, elle voyait souvent Charlie le soir, dans le grand salon des Sigmas. Ils se racontaient leurs dernières péripéties autour d’un café, voire d’un repas. Ils avaient rencontré d’autres membres de leur confrérie, les incluant dans ce qui se transformait en une petite bande avec laquelle Evan partageait ses déboires. Ils avaient instauré depuis quelques mois une tradition, celle du petit-déjeuner du dimanche. Le principe était simple, à tour de rôle, l’un des membres de leur petit groupe se levait pour aller cherche du pain tandis que les autres préparaient le petit-déjeuner. Ils se retrouvaient tous dans le salon accueillant pour prendre leur petit-déjeuner tous ensemble, se racontant leurs dernières tribulations. C’était une tradition à laquelle Evan attachait beaucoup d’importance. Et ce dimanche-là ne faisait pas exception à la règle. C’était à Charlie d’aller chercher du pain, lui qui sautait souvent son passage ne pourrait pas y couper cette fois. Elle avait donc réuni toute la petite bande afin d’offrir à son meilleur ami un réveil dont il se souviendrait longtemps. Chacun avait choisi un instrument de son cru –Evan avait opté pour une casserole. Ils avaient tous débarqué dans la chambre de Charlie, provoquant un tapage qui avait bien entendu réveillé le Sigma. L’air hagard, les cheveux ébouriffés, il mit quelques minutes avant de se réveiller complètement. Evan avait retiré la couverture du jeune homme, le laissant frigorifié, pour l’obliger à se lever, ce qu’il fit. Tout leur groupe finit par sortir de la chambre de Charlie, pour lui laisser le temps de se préparer.



Une demi-heure plus tard, Evan commençait sérieusement à s’inquiéter. Charlie n’était toujours pas revenu d’aller chercher le pain, ce qui aurait du lui prendre dix minutes à tout casser. D’abord persuadée qu’il s’était rendormi, elle était allée dans sa chambre mais n’y avait trouvé personne. Elle avait ensuite tentée de le joindre sur son portable en vain, Charlie restait désespérément injoignable. Elle demanda à tous les membres de sa confrérie s’ils ne l’avaient pas vu, mais toutes leurs réponses étaient négatives. Où diable avait-il pu bien passer ? Elle avait fini en désespoir de cause à refaire tout le trajet qu’il aurait du faire normalement, passant par tous les endroits qu’il aurait du traverser. Elle finit par descendre l’imposant escalier qui menait aux pièces d’en bas. Elle jeta un coup d’œil un peu partout mais il semblait n’y avoir personne. Elle avança de quelques pas, passant devant le local supposé maudit à cause de la porte qui semblait avoir des envies soudaines de coincer les gens à l’intérieur de ce même local. Il était d’ailleurs étrange que la porte soit fermée alors qu’elle restait toujours ouverte en principe, pour éviter que des personnes ne restent bloquées dedans. Elle s’approcha de la porte. Elle entendit soudain deux voix à l’intérieur du local. En y prêtant plus ample attention, elle reconnut celle de son meilleur ami qui avait réussi par on ne sait quel moyen à rester coincé à l’intérieur. En revanche, elle était incapable de trouver la personne à qui appartenait la deuxième voix. De toute évidence c’était une femme.



Evan actionna la poignée, permettant ainsi d’ouvrir la porte. Elle trouva à l’intérieur du local Charlie, comme prévu, ainsi qu’une jeune femme qui ne lui était pas inconnue. Elle eut un instant d’égarement. Qu’est-ce que Lyssandre Callahan, une Beta, pouvait bien faire dans un local des Sigmas en compagnie de quelqu’un qu’elle détestait ? Elle tenta vainement de trouver une réponse à cette question.



- Je peux savoir ce que tu fais ici ? dit-elle en s’adressant à Lyssandre. Elle n’appréciait pas particulièrement cette dernière, surtout parce qu’entre Charlie et elle, c’était la guerre. Et surtout, je peux savoir comment vous avez fait votre compte ? Charlie bon sang, tu sais très bien que ce local a des ratés, qu’est-ce que vous faisiez à l’intérieur ?
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