| | | NOTHING CAN KEEP US TOGETHER ! { Gabriel Wind & Sovannh M.Sailor} |  |
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Invité Invité
 | | Sujet: NOTHING CAN KEEP US TOGETHER ! { Gabriel Wind & Sovannh M.Sailor} Jeu 30 Juil - 12:00 | |
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C’est finit. Nous deux, c’est terminé, je ne veux plus te voir, ni entendre parler de toi. Va t’en s’il te plait…Sovannh, couchée sur son lit d’hôpital, dans sa blouse blanche à poids bleus, baissa la tête, les yeux inondés de larmes. Dans la pièce, debout devant elle, Gabriel Wind. Il donnait l’air de rester for, mais son cœur venait certainement de se briser. Sovannh sanglota, avant de finir par renifler. Gabriel quitta la pièce, et elle resta seule. Elle enfuit son visage dans son oreiller et pleura à chaudes larmes. Elle ne pouvait pas croire que c’était réellement en train de se passer comme ça. Elle ferma les yeux quelques instant. FLASH BACKS : Arrête ! Tu raconte n’importe quoi ! G : Moi ?! Oh mais je t’en pris Sovannh, j’ai vue comme il te regardait. Ca n’avait pas tellement l’air de te perturber. Et regarde, la preuve tu n’as rien remarqué !S : Alors tu n’as pas confiance en moi ? Mais bon sang Gabriel, quelle mouche t’a piquée ? Je suis enceinte jusqu’aux dents ! Tu crois vraiment que les types dans son genre veulent draguer des nanas enceintes comme je le suis actuellement ?! Réfléchis un peu ! G : Oui, c’est vrai, excuse moi, j’ai oublié de ne pas être con aujourd’hui!S : Pourquoi est-ce que tout tourne toujours au drame avec toi ? On ne peut pas parler sans que tu prennes les choses mal ! C’est vraiment épuisant, je t’assure. Y’a des jours où je me demande vraiment pourquoi je suis – Gaby la coupa - G : Pourquoi tu es avec moi ? Bonne question ! Je suis un GAMMA, tu es une THETA, on a rien à faire ensemble.Sovannh fixa Gabriel, elle était très déçue par ce qu’il venait de dire. Comment pouvait-il dire une chose pareille alors qu’elle était enceinte de leurs enfants ?! S baissa la tête tristement et laissa couler quelques larmes sur ses joues rougies par la colère. S : Tu le pense vraiment ? Gabriel, si c’est vraiment ce que tu pense, je crois effectivement qu’il y a un problème entre nous.G : Peut-être bien oui, peut-être bien que je le pense.S : Bien, alors je crois que tu ferais mieux d’aller faire un tour avant d’aller trop loin et dire quelque chose nous allons regretter l’un et l’autre.Gabriel ne dit rien, il se dirigea seulement vers l’entrée et ouvrit la porte. Avant de partir il se tourna vers Sovannh qui lui tournait le dos, appuyée contre le sofa de son appartement. Il paraissait lui aussi énervé. G : Ne m’attends pas.FIN DU FLASH BACK.Toujours en larmes, Sovannh essuya ses yeux d’un revers de la main. Elle se retourna et se retrouva face à la fenêtre, et la porte qui donnaient sur le couloir de l’hôpital. Elle vit ses parents parler avec Gabriel, son père mit une main chaleureuse sur l’épaule du jeune homme. Et enfin, Gabriel s’éloigna. Sovannh ne pouvant supporter de le voir partir, se remit de dos au couloir, elle regarda cette fois par la fenêtre qui donnait sur l’extérieur. Il pleuvait un véritable déluge dehors. Elle entendit la porte de sa chambre s’ouvrir, mais ne prit pas la peine de se tourner. Elle sentit quelqu’un s’asseoir à ses côtés sur le lit, puis mettre sa main dans ses cheveux. C’était sa mère. Elle s’approcha du visage de sa fille, qui pleurait de plus belle. Je l’aimais tellement maman ! Je l’aimais tellement ! FLASH BACKSovannh ouvrit les yeux. Le réveil affichait 10h56. D’après ce qu’elle voyait à travers la fenêtre, il faisait beau dehors. Elle caressa la place vide dans son lit. La veille au soir, elle c’était disputée avec son petit ami, Gabriel. Elle se leva difficilement du lit, du à son énorme ventre. Elle était maintenant enceinte de 7 mois et 3 semaines. Elle posa une main sur son gros bidon et sourit. Elle marcha jusqu’au salon et attrapa son téléphone portable. 0 appels en absence. Elle était un peu déçue, mais tans pis, il fallait bien que l’un d’eux fasse le premier pas. Elle composa le numéro de Gabriel et porta son BlackBerry à son oreille. Elle tomba directement sur la messagerie. Etrange … Tans pis elle reposa son portable et alla se préparer un bon petit déjeuner, en tentant de ne pas penser à Gab’ et leur dispute d’hier. Lorsqu’elle allait sortir le bacon du frigo, son portable vibra dans un vacarme pas possible. Elle lui sauta littéralement dessus. Allô ? Oh Gabriel c’est toi ! Je suis tellement contente de t’entendre mon …Sovannh fut coupé dans son élan par le jeune homme au bout du fil. Un instant, l’appartement fut plongé dans le silence. Elle sourit d’un air inquiet et ajouta enfin. Je vois … D’accord, et bien à toute de suite alors.Elle raccrocha le téléphone et retourna péniblement dans la cuisine, son sourire avait disparut. Gabriel avait quelque chose d’important à lui dire, et il avait l’air très sérieux au téléphone. Elle tenta d’ouvrir le paquet de bacon, en tirant sur la petite marque où c’est marqué « tirer ici ». Mais impossible d’ouvrir le truc sans déchirer l’opercule. Elle s’énerva et balança le paquet au sol, avant de s’asseoir sur une chaise de la cuisine, et de fondre en larme. Elle était persuadé qu’il voulait rompre avec elle. FIN DU FLASH BACKSa mère passait toujours sa main dans les cheveux de Sovannh. Ce geste affectif, l’aida à se calmer un peu, bien qu’elle ait encore un peu de mal à reprendre son souffle. Elle se sentait vidé de tout. Elle avait l’impression d’avoir tout perdue aujourd’hui, bien qu’en réalité, elle ait donné naissance à deux bébés, apparemment tous les deux en bonnes santé. Ni l’un ni l’autre n’avaient de prénom pour l’instant, et Sovannh réalisa que Gabriel ne serait pas là pour l’aider à choisir le prénom définitif de leurs enfants. Elle sanglota de nouveau et essaya d’articuler quelques mots. S :Est-ce que … Est-ce que mes bébés vont bien ? Je … Je … je veux les voir.Mère : Ne t’en fait pas, ils vont très bien. Tu as fait du très bon boulot. Ils sont en couveuse. Naitre à moins de 8 mois de grossesse c’est un peu plus compliqué que naitre à 9 mois. Mais ils vont bien. Et surtout, ils sont très beaux ma puce. S : Je veux les voir maman.Mère : Ton père est parti avec Gabriel, il voulait leur dire au revoir. Tu ne dois pas bouger pour l’instant, mais dès que je le peux, je vais demander aux infirmières pour que tu puisses les voir. En attendant, tu dois te calmer ma chérie. Tout va bien se passer.De nouveau Sovannh fondit en larmes. Elle n’avait jamais autant pleuré de toute sa vie. Mais c’était en partie la faute aux hormones post-natale. Et puis la situation était vraiment dramatique non ? S : Je … Je vais bien ! Je veux juste rester un peu seule et voir mes enfants. Je … s’il te plait.
Mère : D’accord. Je vais retrouver ton père. Nous reviendrons toute à l’heure, Jada et tes frères viendront sans doutes eux aussi. Je t’aime chérie.Sa mère quitta la chambre, elle était vraiment désolée de voir sa fille aussi triste et dans un tel état de panique. Quelque part, cela lui faisait mal de la voir dans cet état. C’était sa mère après tout et lorsqu’une mère voit son enfant mal, elle est mal aussi. C’est biologique. FLASH BACKLa porte de l’appartement s’ouvrit. Sovannh avait finit de déjeuner. Elle se trouvait dans sa chambre. Assise sur le lit. Elle ne faisait rien d’autre que penser. Elle entendit des pas se rapprocher, puis Gabriel, l’appeler. Elle ne répondit pas, elle ne bougea pas. Il pénétra dans la pièce au bout de quelques secondes. Il resta debout dans l’embrassure de la porte. Il avait un visage fatigué, et ses cheveux étaient en batailler. Il ne bougea plus non plus. G : Ils faut que je te parleIl avait dit ça avec tant de gravité dans la voix, que Sovannh ne pu se retenir de pleurer. Elle n’osait même pas le regarder tant elle était effrayé par ce qu’il allait dire. G : Hier soir … après qu’on se soit disputés. Je suis allé au Bionart.S : Je t’en pris …G : Attends, je … je dois le dire. J’ai bu, beaucoup… je ne savais plus quoi faire, ni quoi penser. J’ai eu mal après notre dispute. Et c’est là qu’elle m’a vue.Sovannh releva la tête. QUOI ?! Une fille est dans l’histoire ? Elle cessa de pleurer et se leva. Elle sentit quelque chose monter en elle. Quelque chose qu’elle ne saurait maitriser. Elle s’approcha de Gabriel qui avait le visage d’un garçon coupable. G : J’étais ivre, et malheureux. Alors … alors … j’ai couché avec elle.Une énorme claque lui arriva sur la figure. Elle était partie d’un coup, d’un seul. La main de Sovannh avait réagit dès l’instant où il l’avait dit. Elle ne pouvait tout simplement pas y croire. Et dire qu’elle voulait s’excuser. Elle était tellement en colère, ses yeux devinrent noirs, et elle sentit cette chose en elle exploser. S : Comment à tu pu ?! J’ai tout fait ! Tout ! Jamais Gabriel, jamais je ne tolérerais qu’un garçon me trompe peu importe si ce garçon m’a mise enceinte ! On s’est disputé, mais ça ne voulait rien dire ! Tout les couples se disputent, ce n’est pas pour ça qu’ils se trompent les uns et les autres ! Si seulement tu pouvais savoir à quel point je suis en colère à cet instant précis ! Je crois que jamais personne ne m’a mis dans une telle rage ! JAMAIS ! G : Je suis désolé ... je ne sais pas quoi dire d’autre, à part que je t’aime.Sovannh lui pointa l’index sous le nez, elle était rouge de colère. S : Je t’interdis de dire ça ! Un garçon qui aime une fille n’aurait pas était voir ailleurs dès la première dispute ! MAIS BON SANG CE QUE TU PEUX ÊTRE DEBILE !A cet instant, Soavnnh cria vraiment très fort. Son cœur s’accéléra. Elle était tellement en colère qu’elle aurait pu casser tous les meubles de cette maison, mais elle sentit une douleur terrible dans son ventre. Quelque chose de si fort, qu’elle ne pu se retenir et tomba par terre. Après ça, elle n’eu plus aucun souvenir du restant de la scène. Elle eu juste le temps d’entendre un cri de Gabriel, hurlant son prénom. FIN DU FLASH BACKSovannh avait très vite comprit que Gabriel l’avait lui-même porté aux urgences. Rapidement ils avaient du l’endormir, et l’opérer pour sortir les jumeaux de son ventre. S’ils n’avaient pas réagis aussi vite, les enfants et Sovannh auraient pu être en danger. Heureusement maintenant tout le monde allait bien. S avait subit une césarienne, suite au stress intense qu’elle avait subi, sa tension avait fortement monté, et c’était bien trop élevé pour une femme enceinte. Les disputes violentes qu’elle avait eu avec Gabriel avait avancées la naissance des jumeaux. Elle s’en voulait un peu, et aussi elle en voulait à Gabriel. Mais elle était heureuse qu’au final tout le monde aille bien. Cependant, pour elle, sa relation avec Gabriel, n’existait plus. |
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| | Sujet: Re: NOTHING CAN KEEP US TOGETHER ! { Gabriel Wind & Sovannh M.Sailor} Mer 5 Aoû - 20:28 | |
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FLASH BACK
Gabriel souffla. Il se tenait dans l’entrée de la chambre de Sovannh. Elle était assise sur son lit. En quelques secondes, elle se leva, et il se prit une gifle, après lui avoit avoué son aventure d’un soir avec une jolie jeune fille, rencontré dans un bar. Il ne se sentit pas la force de riposter. Il venait de gâcher toute sa relation avec la jeune fille. Il regarda ses pieds un instant puis releva la tête et fixa le ventre de Sovannh. Elle, elle était rouge de colère, et elle criait. Gabriel aurait voulu lui dire de se calmer, que s’énerver n’était pas une bonne chose vue son état, qu’elle devrait s’asseoir, etc, etc, mais il ne pouvait pas. Elle parlait vite et avec une telle intensité dans la voix qu’il n’arrivait plus à sortir un seul mot désormais. Soudain, alors qu’elle venait de crier plus fort encore, elle s’écroula au sol. Gabriel n’eu pas le temps de la rattraper.
SOVANNH !
Il se projeta sur le sol et lui attrapa le haut du corps. Elle était totalement inconsciente. Il reposa sa tête sur le sol et se leva en quête du téléphone. Il composa le 911, plus paniqué que jamais.
Allô ? Je… je suis au 3568 Pacifique Avenue appartement 12 ! Ma petite amie est enceinte de jumeaux et elle vient de perdre connaissance… et …
Gabriel s’arrêta, il se baissa et remarqua quelque chose sur le sol. Il y avait du sang !
Je … Elle est enceinte de 7 mois et 3 semaines et … et elle perd du sang ! Je … Quoi ? Non attendez, vous devez faire plus vite ! Laissez tomber ! Je l’emmène moi-même !
Gabriel balança le téléphone plus loin et couru sur Sovannh. Il se baissa et la souleva dans ses bras. Il marcha le plus vite qu’il pu avec le corps inerte de la jeune fille qui perdait toujours du sang. Gabriel quitta l’appartement et descendit les escaliers en vitesse. Heureusement S n’habitait pas au dernier étage de l’immeuble. Il la glissa à l’arrière de sa voiture, au diable les sièges en cuir. Et se plaça au volant. Il démarra et partit le plus vite possible en direction de Langley Hospital.
FIN DU FLASH BACK
Lorsque Sovannh se réveilla, suite à l’opération qu’elle avait subit, Gabriel attendait encore dans le couloir, avec les parents de la jeune fille, qu’il avait contacté dès leur arrivée à l’hôpital. Il était mort d’inquiétude, mais il avait pu voir ses deux magnifiques bébés, et il les trouvait déjà adorables. Lorsqu’il eu le feu vert de l’infirmière pour aller la voir, les parents de S le laissèrent. Il pénétra dans la chambre et sourit à Sovannh. Elle paraissait distante, et toujours aussi en colère. Et c’est là qu’elle prononça ce qu’il redoutait tant. « C’est finit ! ». Gabriel était déçu, mais il comprenait. Sovannh paraissait fatiguée, et il ne vit pas l’intérêt de continuer à crier son amour. Il ne voulait surtout plus la voir souffrir. Il quitta la pièce. En retournant dans le couloir, il se plaça devant les parents de S qui se levèrent.
Je vais partir à New York. Je ne peux pas rester en sachant que ça lui fait du mal. Je voudrais juste savoir… s’il est possible de garder un contact avec vous, Sovannh ne veut plus me parler, mais j’aimerais être un bon père quand même…
Mère de S : Il est évident Gabriel, que nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour que ces deux petits aient le droit d’avoir deux parents !
Père de S : Tu as fait une erreur. Une erreur regrettable… Mais ils restent tes enfants, et tu as autant de droits que Sovannh sur eux.
Son père plaça une main réconfortante sur l’épaule de Gabriel. Il baissa la tête quelques instants.
Mes parents sont d’accord pour que je poursuive mes études à la NYU. Etant donné que nous sommes déjà en Août, il a fallut faire vite pour trouver une nouvelle universitée. Je les ai appelés ce matin. Mon père est encore plus déçu par moi qu’il ne l’était déjà… Je crois que ce jour restera toujours gravé dans ma mémoire. Je deviens père et je perds la femme de ma vie et je baisse encore un peu dans l’estime de mes parents… Je crois qu’avant de partir je devrais aller voir les bébés.
Gabriel attrapa sa veste, et la mère de Sovannh rentra dans la chambre de sa fille, en faisant signe à son mari de suivre Gabriel. Ils prirent l’ascenseur ensemble, jusqu’à l’étage où tous les bébés de l’hôpital sont mis à l’écart de leurs mères pour les laisser les jeunes mamans se reposer ou encore parce qu’ils sont trop fragiles pour sortir et qu’ils sont en couveuse. Pour les deux enfants de Gabriel, c’était ce cas là. Il marcha rapidement, suivit du père de S. Il s’arrêta devant un boxe où deux couveuses étaient installées. Il passa une main dans un trous qui permettait de toucher les enfants sans les sortir de leur « boite »
Ils sont magnifiques !
Père de S : Ils sont plus que ça !
Je viendrais les voir à chaque vacances, et certains week-end, et puis je pourrais vous appelez souvent pour savoir comment ils vont… Je ... Je pourrais être un bon père. Et puis New York ce n’est pas si loin …
Père : Je sais que tu es déçu… Je sais que ça fait mal, mais Sovannh l’est aussi… Une fois qu’elle ira mieux, je suis sûre qu’elle te reparlera. Je ne dis pas qu’elle se remettra avec toi, mais je suis persuadé qu’elle t’acceptera dans sa vie. Vos vies sont sellées ! Vous devrez toujours avoir un contact. Sache que nous serons toujours présents pour toi Gabriel, je sais qu’au fond tu es un gentil garçon.
Merci beaucoup. Prenez soins de Sovannh, et prenez soins de mes enfants.
Gabriel déposa un baiser sur ses deux mains, et place chacune d’entre elles sur une couveuse. Il enfila sa veste et se tourna. Il commença à partir et fit volte face au dernier moment.
S’il vous plait, encore une chose … Dites à Sovannh de penser à Julian pour notre fils.
Et sur ce, Gabriel quitta l’étage, quitta l’hôpital, quitta la ville …
FIN
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