| | | Quand le destin s'acharne {Seb} |  |
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 | | Sujet: Quand le destin s'acharne {Seb} Mer 5 Nov - 20:39 | |
|  © Pnimio« Comme on dit "faire l'amour", il faudrait pouvoir dire "faire la haine". C'est bon de faire la haine, ça repose, ça détend. »
- François Mauriac -*Bam*. Qu'elle est donc ce bruit? Celui d'une blonde qui après avoir essayé comme elle pouvait de jeter son réveil par terre, était tombée de facon maladroite à même le sol. La journée de Nena commencait mal. Mais surtout, elle se demandait ce que le son de son réveil venait faire dans sa chambre a même pas 11 heure du matin. La jeune femme avait en effet appris qu'elle avait une journée de libre car son prof de création design {le seul cours ou elle se rendait assiduement et pour le coup, le seul cours de sa journée} s'était porté pâle, et avait donc prévu une matinée a dormir pour rattraper son sommeil dû à un nombre de fêtes beaucoup plus importante qu'elle ne pouvait en supporter. Elle avait par la suite, immaginait une après-midi tranquille à flâner en ville, vous savez une de ses aprem agréable où l'on a pas d'impératif, pas de rendez-vous et pas besoin de regarder sa montre toutes les cinqs minutes. Seulement voilà, sa colocataire avait certainement du en décider autrement, connaissant le côté "marmotte" de la blonde. Saleté de Sherry. La jeune blonde, se releva comme elle peut et, le reste de "sa nuit" étant foutu, alla ouvrir ses volets. Seconde mauvaise nouvelle, il pleuvait. Je vous l'accorde vraiment rien de catastrophique, mais tout de même ca a de quoi plombait le moral quand notre tête est encore remplie de cette sonnerie stridente qu'on déteste tous.
Notre présidente de confrérie préférée { } ne se découragea pas vraiment pour autant, ayant toujours la perspective d'une aprem sympa et, après une douche express et un habbilage/coiffage/maquillage tout aussi rapide se retrouva dehors vers 11 heures 45 (c'était le plus rapide qu'elle puisse faire, et avouez que par rapport à certaines c'était vraiment rien comme temps de préparation) et s'engoufra dans sa décapotable dont elle referma la capote puisqu'elle s'apprêtait à quitter le parking couvert. 5 minutes plus tard, elle était toujours à essayer de démarrer désespérémment sa voiture. Décidement, depuis que son père lui avait offert il y a de ca plus de deux ans, cette voiture passait plus de temps au garage que sur la route. A croire que son père faisait tout pour l'emmerder, même à distance  . La jeune femme remonta donc avec regret vers sa chambre, et après avoir chercher son portable en vain pendant un certain laps de temps, Nena parvint à le trouver parmi son foutoir gigantesque. Après de nombreux coup de téléphone, la journée de la jeune femme s'annoncait définitivement un calvaire : Sherry était partie chez ses parents, Soukaïna & Luc étaient avec leur enfant, Nick, son petit ami, était en cours. Son petit ami? C'était tellement rare dans la bouche de Miss Barks qu'il était bon de le notait. Eternelle peureuse et les fluctuations de son coeur avait en effet la plupart du temps mise à mal le peu d'histoire qu'elle avait eu. Mais a présent c'était une jeune femme casée. Et comblée. Bon je vous l'accorde, il est vrai qu'en même temps, Nick & elle n'était ensemble que depuis une à deux semaines mais la jeune femme y croit.
Enfin bref, pour résumer, la jeune femme était coincée à l'université et on ne pouvait pas vraiment dire que ca l'enchantait. Après s'être enfermée dans sa chambre et avoir poussé un grand cri, qui se serait sans doute entendu a des kilomètres à la ronde si la jeune femme n'avait aupréalablement mis un oreiller sur sa tête, et après avoir tenté nonchalament de s'occuper en zappant sur les programmes télés plus que catastrophiques, la jeune femme avait décidé au bout d'une heure qu'il était peut-être temps de voir si le monde ne s'était pas arrêté de tourné. Elle mangea donc un truc rapide avant de sortir et de se diriger vers le campus. L'université était presque désert étant donné qu'a cette heure-ci{un peu plus de 14 heures} la plupart des étudants étaient en cour et ceux qui séchaient pour passer une apres-midi tranquille étaient déjà partie depuis longtemps. Nena croisa quelques retardataires qui s'empressaient d'une façon grotesque qui fit sourire la Nena zen et presque laxiste qu'elle était. Mais en parlant de retardataire la jeune femme se rapella qu'elle avait un devoir sur l'Histoire de l'Art à rendre et que, s'il n'était pas près dans 3 jours, son prof qui en avait marre du coté je-m'en-foutisme de la blondinnette, lui mettrait une note capable delui pourrir son année complète et d'empêcher déjà l'obtention de son diplôme en fin de 3eme année.
Au lieu de retourner dans sa chambre pour faire les recherches sur son ordinateur portable, Nena se dit que la salle d'informatique était plus proche. La jeune femme se dirigea vers l'ascenseur,entra, et appuya sur le 3eme étage. Mais alors que les portes de l'ascenseur allaient se refermer un invité surprise fit son apparition. Sebastian Alberfoth. Déjà que sa journée avait mal commencée alors là c'était la cerise sur le gâteau. Sebastian & Nena c'était un peu le feu et la glace, deux exacts opposés qui, vous l'auraient compris se détestent au plus haut niveau d'animosité. Certes, en parallèle, sans que l'un et l'autre le sache, chacun fantasmait contre leur grè l'un sur l'autre mais en général quand ils se croisaient ils se balancaient plus souvent des vacheries que des mots affectionneux . Sebastiant était prétentieux, arrogant, hautain du moins en la présence de Nena. Et par dessus tout, grande geule mais ca Nena ne pouvait pas vraiment lui reporchait étant donné qu'elle en était une aussi. A chaque fois que Nena le voyait, elle n'avait pas besoin de se forcer pour l'affronter simplement par défi, parfois par agacement mais là, vu sa journée, c'était même presque avec plaisir qu'elle déverserait toute sa colère sur lui. Aussi fut-elle presque contente pour le coup de le voir, mais il était hors de question de le montrer pour qu'il ne se fasse pas di'dée. Alors Nena, reine de la dissimulation, eut le réflexe de faire une tête qui était tout sauf un signe de bienvenue.
Murmura-t-elle entre ses dents mais d'une façon que Sebastian soit obligé de l'entendre. Le connaissant, Nena savait qu'il ne s'empecherait pas de répliquer à cette courte phrase et à la tête qu'elle faisait et c'était justement le but de la manoeuvre. La partie commençait...
Dernière édition par Nena Barks le Dim 9 Nov - 16:30, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Quand le destin s'acharne {Seb} Sam 8 Nov - 15:31 | |
|  © Faded Icons« L'érotisme, ce triomphe du rêve sur la nature, est le haut refuge de l'esprit de poésie, parce qu'il nie l'impossible. »[ Emmanuelle Arsan ]
Tout en essayant de faire abstraction des courbatures qui mettaient en branle son corps à peine réveiller, il s’appuya sur sa commode pour tenter de se relever sans trop de difficulté en portant sa main de libre à sa tête pour s’ébouriffer les cheveux et se gratte l’arrière du crâne en ouvrant doucement les yeux. Dur dur le réveil hein. Il se prit à peu près tout les meubles présents dans la chambre en voulant accéder à sa salle de bain, veillant à étouffer les jurons qu’il lançait à tout va dès que son pied rencontrait un objet non identifié qui n’avait sûrement rien à faire là. Mémo personnel : penser à ranger sa chambre…Un jour. C’est donc vêtu d’un short de sport noir et fluide lui arrivant au genoux, et d’un débardeur blanc lui collant déjà à la peau puisqu’il avait eu la mauvaise idée de l’enfiler avant de finir de se sécher le corps. Oui, sa douche n’avait apparemment pas suffit à bien le réveiller. Ses cheveux dégoulinaient encore d’eau, d’un geste rapide il enleva le surplus d’eau à l’aide de sa serviette qu’il jeta par la suite négligemment sur l’étendoir prévu à cet effet. Il se chaussa de basket blanche un peu destroy à force de les utiliser pour courir ou faire un quelconque sport. Et après un dernier coup d’œil pour vérifier qu’il ne lui manquait rien, Sebastian sortit de sa chambre en veillant à fermer ses poches qui contenaient son portable, es clés et son légendaire iPod qui lui servirait bien puisqu’il comptait courir un bon bout de temps afin d’oublier ce énième rêve et ce réveil des plus désagréable. Les cours ? Ah oui, c’est vrai qu’il en avait. Ce n’était pas des cours importants pour son cursus et il demanderait à quelqu’un de lui filer les photocopies pour qu’il puisse réviser un peu avant ses partiels, comme d’habitude en faite.
Vous l’aurez comprit, son avenir professionnel n’a pas l’air de lui tenir plus que ça à cœur et c’est donc la tête emplit d’image de lui et Nena en pleine séance de sport peu catholique, qu’il commença à courir avec entrain. Une musique rock rythmait chacun de ses pas. Son souffle régulait à la perfection grâce à des années de footing. Pas un chat sur le campus, à l’heure qu’il est tout le monde était en cours et c’était tant mieux. Mais après une heure et demie de course, le corps de Sebastian le rappela à l’ordre. Il n’avait pas beaucoup dormit, il n’avait pas mangé ni bu quoique se soit ce matin et même si moralement il pouvait continuer, physiquement il avait atteint ses limites et si l’anglais voulait continuer il lui fallait quelque chose dans le ventre. Comme quoi ça arrive même aux meilleurs hein. A bout de souffle, tout transpirant, il avait enlevé son débardeur pour que l’air le rafraîchisse un peu, passant du même coup le tissus sur son torse et son visage pour éponger la sueur. C’est ainsi qu’il se dirigea vers le bâtiment principale de Berkeley en direction de l’ascenseur qui l’emmènerait au restaurant universitaire pour qu’il puisse se restaurer et se reposer un peu avant de reprendre ses exercices physiques qui l’avaient bien aidé à lui enlever de la tête tout ce qui concernait Nena. Une chance en soit. Mais les portes en acier de la cage élévatrice se mirent à bouger, signe qu’elles n’allaient pas tarder à se refermer, Sebastian piqua alors un sprint et rentra de peu, effleurant ainsi le métal froid. Mais une voix le fit tourner la tête vers la personne en question et il pu constater qu’il n’était pas seul dans cet ascenseur, mais qu’en plus la personne en question n’était autre que Nena…« Super. Vraiment super. Je déteste définitivement cette journée. » Il ne s’adressait pas directement à la blondinette, l’éviter et ne pas lui parler, c’est ce qu’il comptait faire malgré les provocations de celle-ci. Mais le caractère du jeune homme le rattrapa bien vite, comment aller contre sa nature ? Lui ne le pouvait pas en tout cas. Son dos se colla contre l’une des parois, les deux se faisant ainsi face. Les bras de Sebastian se croisèrent sur son torse alors que son regard d’ébène se planta dans l’azur de celui de Nena. Si confrontation il doit y avoir, alors confrontation il y aura. « Je ne savais pas que tu savais te servir d’un ascenseur…Mais je me rends compte qu’il suffit simplement d’appuyer sur un bouton et qu’à force d’être célibataire, le fonctionnement d’un ascenseur était le même que celui d’un vibromasseur, tu as fais le rapprochement entre les deux objets. Finalement, ça t’a servit à autre chose qu’à prendre ton pied maintenant tu peux utiliser ce genre de technologie toute seule. On arrête pas le progrès hein. » Quel bon goût n’est-ce pas ? Et sans plus d’attente, il appuya à son tour sur un des boutons présent sur le tableau prévu à cet effet, se remettant ensuite dans sa position initial sans quitter du regard Nena. Un sourire suffisant et provoquant s’étendit peu à peu sur les lèvres de l’anglais qui savait qu’en faisant ainsi, il énerverait la ravissante blonde, mais quand le jeu démarre entre eux il est difficile de stopper la machine… |
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| | Sujet: Re: Quand le destin s'acharne {Seb} Dim 9 Nov - 17:28 | |
| © Pnimio« Comme on dit "faire l'amour", il faudrait pouvoir dire "faire la haine". C'est bon de faire la haine, ça repose, ça détend. »
- François Mauriac -
Si vous disiez à Nena que Sebastian rêvait certaines nuit d'elle et lui dans une situation relativement érotique, voir même carrément anti-catholique, elle aurait certainement du mal à croire que ca lui arrivait...à lui aussi ! Malgrè la lucidité de sa jeune femme, son amour pour Nick, il arrivait en effet à la jeune blonde de faire le même genre de rêve assez fréquemment. Elle savait pertinnament que ca n'avait pas de sens, Sebastian représentait sans aucun doute tout ce qu'elle détestait {arrogant,prétentieux, provocateur} mais malgrè elle et sa résistance acharnée, le jeune homme s'incrustait de plus en plus la nuit. A croire qu'il voulait la torturer même quand elle n'était pas en sa présence. Chaque matin de ce genre, ou elle se réveillait après un énième rêve, un cri se faisait souvent entendre de la part de la jeune femme. Passant à présent ses nuits avec Nick, elle lui disait simplement qu'il s'agissait d'un cauchemard. Ce qui était vrai. C'était une sorte de stupide fantasme qui avait fait irruption dans ses rêves il y a un peu de temps, pratiquement depuis qu'elle le connaissait en fait. Elle maudissait le jour ou elle avait croisait sa route et ou cet affrontement perpétuel avait commencé. Le fait donc qu'elle rêve parfois de moments intimes en sa présence n'avait rien avoir avec les sentiments de la jeune femme pour son petit ami. C'était comem si Nick fantasmait sur une actrice superbe, par exemple. Pour sortir cet idiot de sa tête, la jeune femme se rendait fréquemment à la salle de sport pour une séance de boxe intensive, elle frappait, frappait et vous vous doutez aisément qui elle pouvait imaginer en face d'elle. Ainsi, elle avait finit par atteindre une très bonne technique, aussi mieux vaut-il ne pas la chercher et l'énerver. A bon entendeur...(a)
Il y a des jours comme ca ou la vie veut vous faire sentir qu'elle vous déteste, ou tout arrive mais jamais ce que vous désirez et cette journée était certainement aujourd'hui pour Nena comme pour Sebastian. Si pour l'une tout allait de travers on ne pouvait pas vraiment dire que l'autre filait la parfaite journée non plus. Quand Nena vit les portes s'ouvrir sur Sebastian, elle était à présent sûre que sa journée était destiné à lui faire vivre l'enfer. Mais que, cette rencontre avec Sebastian pourrait sans aucun doute être un excellent moyen de soulager ses nerfs. Elle lanca donc un "C'est pas vrai" de façon à ce que Sebastian l'entende et s'énerve. Mais la jeune femme remarqua vite un détail qui la dérangeait : Sebastiant était torse nu ! Et qui plus est, plus ou moins en sueur. C'était une blague ou quoi? Et voila que des images revenaient dans la tête de la jolie blonde, des images très explicite d'une nuit précédente ! Mais c'est pas vrai ! Ah ce moment précis, Nena n'avait qu'une envie, se jeter sur Sebastian, et lui envoyez quelques coups de poings comme à son punching ball alors qu'il n'avait même pas encore ouvert la bouche { ce qui n'allait pas tarder, le connaissant }. Elle détourna la tête quelques instants, se calma mentalement et parvint à se focaliser uniquement sur la paire d'yeux de Sebastian qui la fixait et qui semblait lui envoyer tout sauf des élans de symphaties. Il faut dire que malgrè tout ce qui trottait dans al tête de Nena, cette dernière avait réussi à garder la même tête peu sympathique du début. Le jeune homme semblait aussi heureux de la voir quand il balança qu'il détestait vraiment cette journée. Tant mieux, c'est réciproque mon cher (a).
Nena, par pure esprit de contradiction et de défi, lança quelques petites autres provocations à voix basses, de façon toujours à ce que Sebastian les entendent. Ce dernier semblait déterminer à l'éviter, à ne pas dire un mots, mais la nature profonde d'un être le rattrape toujours aussi Sebastian ne se retena plus longtemps. Il attaquait fort. Faire un rapprochement entre un vibromasseur et un ascenseur, quel goût vraiment . Pas de quoi choquer Nena hein qui était loin d'être une sainte ni touche, tout de même il ne faut pas exagérer. A l'entente de son discours, Nena refreina un sourire. La ou certaine se serait retrouvé bouche bée sans rien dire, Nena n'avait pas a réfléchir longtemps pour trouver une parade à l'attaque de Sebastian. Et la ou pas mal des autres n'aurait pas aimer entendre ce genre de chose de la bouche de quelqu'un sur son compte, Nena aimait déjà l'affrontement qui allait se passer. C'était comme une montée d'adrénaline ou tous les coups étaient permis. Et généralement, ni l'un ni l'autre ne s'empechait quoi que ce soit pour atteindre parfois le paroxysme de la provocation verbale. L'un en sortait gagnant parfois, puis c'était au tour de l'autre et dans certains autres cas, plus nombreux, les deux jeunes gens faisait relativement jeu égals. Mais cette fois-ci Nena était bien déterminer à lui mettre la pâtée en beauté 8) . Néanmoins, Nena ne laissait rien transparaître, feignant toujours cette tête peu agréable et hostile puis enchaina rapidement à son tour sur les paroles de Sebastian.
Monsieur au super QI a parlé ! Mais dis-donc si tu te crois si intelligent que ca par rapport à moi tu dois avoir de sacrés notes en cours non? Ah j'oubliais encore faudrait-il que tu y ailles! Et le stéréotype de la blonde débile & nymphomane, il faudrait sincèrement que tu arrêtes de l'utiliser, c'est du réchauffé mon pauvre. (a) En ce qui concernent les ascenseurs, sache que je savais les utiliser bien avant que tu saches te servir d'un appareil photo. J'en avais une dizaine dans la maison ou je suis née. Et puis, même quand j'étais célibataire, je n'ai jamais manqué de mecs pour me satisfaire sans utiliser ce genre de choses, je te remercie. Ce qui n'est pas le cas des filles avec qui tu couches à la petite semaine, à ce qu'on m'a dit. Mais bon rassures-toi, je garderais le secret...
La partie promettait... Néanmoins il était vrai que Nena ne se montrait pas vraiment avec son vrai visage avec Sebastian, c'est vrai. Elle se montrait elle aussi arogante et hautaine, et par dessus-tout faisait allusion quelques fois à la cuillère en argent avec laquelle elle était née ce qui n'était pas son genre puisqu'elle se plaisait à croire qu'elle avait travaillé dur pour en être arrivé ou elle en était. Car avoir de l'argent ca aide, mais grandir sans une mère décédée et avec un père absent et qui se moque totalement de votre existence, avouez que ce n'est pas des plus simples. Nena ne bougea pas, alors que l'ascenseur se lançait vers sa course aux étages, et restait les yeux plantés dans ceux de Sebastian, toujours de la facon la moins amicale possible.
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