Maria avait eu un début de journée plus que mouvementée et elle avait été plus que contente du début de journée surtout avec Walter. Ensuite, une fois qu’elle fut arrivée à l’Université, tout avait été très vite. Sa secrétaire avait été plus de désagréable. Bon en même temps, il n’était pas loin de onze heures, voire même plus qu’en Maria était arrivée au bureau. Elle avait donc loupée beaucoup de rendez-vous et elle devait les replacer dans sa journée. Ouvrant son agenda pour voir où elle aurait du temps, elle vit à nouveau le message que lui avait écrit Walter, comme quoi à huit heures, elle devait lui faire un câlin. Elle se sentit rougir et reprit son sérieux en regardant le reste des rendez-vous, bon pour celui avec Jim pas touche, elle le garde, elle veut le voir, ça fait longtemps qu’ils ne se sont pas vus, donc il reste là. Avec l’aide de sa secrétaire, Maria réussit à replacer tous ses rendez-vous et elle put commencer à lire les différents dossiers qui étaient sur son bureua. Toute la matinée fut passée entre des cafés, des dossiers à lire, signer et des personnes qui voulaient absolument la voir. Il était seulement onze et demi, quand elle regarda sa montre et qu’elle voulut partir en douce pour changer d’air. Elle avait été trop prise ce matin et elle n’en pouvait plus. Elle devait faire une pause, sinon elle allait craquer et s’énervée.

Après avoir prit un nouveau café, elle mit un peu de musique dans son bureau pour lire les dossiers. Elle voulait à là fois se détendre avec la musique et travailler avec les dossiers. Elle commença à se concentrer quand son téléphone sonna, elle décrocha et entendit la voix d’un professeur qui se plainait d’une élève. Elle lui dit de lui donner un mot pour qu’elle vienne le voir tout de suite, puis en voyant l’heure, elle lui demanda de reporter ça à plus tard, elle ne savait pas quand, mais pus tard. La matinée mouvementée allait pouvoir se calmer vu qu’elle partait. Sa secrétaire voulut lui poser encore des questions, amis elle n’écouta pas et partit au parking pour prendre sa voiture et aller manger avec Jim. Une fois fait, elle se gara sur le parking du restaurant et elle sortit de sa voiture. Elle prit un grand bol d’air frais et sourit en allant vers l’entrée. Une fois à l’intérieur, elle demanda à une serveuse de lui indiquer si un garçon blond était déjà arrivé et elle n’eu pas la réponse, car Jim lui faisait déjà signe. Maria sourit et partit le rejoindre à sa table.

Elle embrassa Jim comme à leur habitude et ils finirent par s’asseoir à la table. Maria posa son sac le long de sa chaise et se tourna vers Jim. Il a fixait, alors elle l’écouta parler. Elle trouva étrange son regard mais elle savait qu’il était comme ça alors l’écoutant parler, elle sourit. Maria le fixa dans les yeux et cru voir le fils qu’elle aurait pu avoir un jour, mais en tout cas une chose était sûre pour elle, Jim est comme son fils, elle l’aime énormément et rien n’y personne ne pourra changer ça. Alors, elle sourit et de plus belle et prit la parole.

C’est très bien, je ne connaissais pas, comme ça tu m’apprends des choses et peut-être que j’y reviendrais un jour.

Maria sourit au garçon et elle regarda la serveuse qui leur demanda ce qu’ils voulaient. Prenant la commande, Maria regarda Jim qui suivait le déhanché de la serveuse. Elle se mit à sourire et fixa le garçon qui lui répondit. Maria sourit légèrement, c’est vrai qu’on ne peut pas le changer et en plus il est le fils de Walter. Forcément il ne pourra jamais être changé, mais Maria l’aime bien comme ça et quelque part, ça fait son charme. Finalement, Jim reprit la parole et Maria l’écouta. Quand il eu finit de parler, elle n’osa pas parler du matin même, alors elle fit comme si de rien n’était.

Comme à son habitude, il cache mes affaires, il m’ennui mais bon je fais avec.

Maria venait de se faire repérer, elle le savait au regard du garçon. Elle essaya de l’éviter ce regard, mais non elle ne résista pas.

Oui bon ce matin, il y a eu le jeu des pulsions entre nous et je dois dire que je ne sais plus trop où j’en suis avec Walter.

Maria voulait parler avec Jim et bien le début de conversation était plutôt intéressant, mais elle aurait préférée qu’on évite le sujet Walter. Après tout, elle était venu là pour profiter d’un bon repas et de discussions agréables avec Jim, pas pour autre chose. En tout cas, elle était contente de pouvoir le voir. Ca faisait presque trois semaines qu’ils ne s’étaient pas vus et elle espérait pouvoir partager des moments comme ça avec lui. Pour le moment, elle se plaisait à parler avec lui. Le fait de le revoir, elle avait prit se rendez-vous depuis longtemps et puis, elle l’avait noté dans son agenda, avec son code pour que personne en sache de qui il s’agit. En effet, elle ne voulait pas que Walter tombe la dessus. Bien sur, il devait savoir que Jim et elle se voyait de temps en temps, vu qu’ils sont en bons termes, mais Maria ne voulait pas qu’il les dérangent, surtout si c’était pour les ennuyer et surtout l’ennuyer elle en lui lançant des piques où ennuyer Jim en lui demandant de reprendre les études. Alors, elle espérait pouvoir passer des moments tranquilles en sa compagnie. Pourtant, elle aurait aimée pouvoir l’inviter chez elle, mais vu que monsieur Walter ne voulait pas partir, elle ne pouvait pas le faire. Cependant, elle l’invitait parfois au restaurant ou autres endroits peu fréquenter pour être tranquilles ensemble.

Alors, au bout d’un moment à penser, elle reprit ses esprits et resta le fixer un instant. Quand Walter et elle étaient encore ensemble, près à se marier, Maria avait pensé à beaucoup de choses et elle aurait voulut que Jim soit son témoin de mariage, si Walter ne l’avait pas choisit pour lui. La jeune femme le considère comme son fils et le voir souffrir la touchait énormément. Pourtant, elle savait qu’il n’était pas son fils biologique, mais elle aurait bien aimée. De plus, ils s’entendent très bien et elle est protectrice avec lui. Elle ne lui fait jamais la morale enfin presque jamais. Elle préfère rire et parler avec lui, pour que tout se passe bien entre eux. C’est un garçon qu’elle ne veut pas perdre à cause d’une dispute et encore moins au sujet de Walter. Maria ne pourrait pas le supporter. Sortant de ses pensées, Maria se sentait mal à l’aise face à Jim, parce qu’elle venait de lui avouer la vérité sur la situation avec Walter. Puis, elle le vit sourire aux lèvres, ce qu’elle trouva étrange, c’est le même sourire que Walter quand il compte lui jouer un mauvais tour. Puis, il écouta ce qu’il avait à dire. Au départ, elle fut plus que surprise, mais elle se dit que comme l’intéressé n’était pas elle pouvait bien parler à cœur ouvert et puis en même temps, Jim avait le droit de savoir la vérité.

Oui. Enfin je crois. Ce matin avec ce qui s’est passé, tout était confus et puis, une fois au travail, j’ai essayé de me l’enlever de la tête, mais ce n’était pas évident. Bien sûr que j’ai encore des sentiments pour lui, mais j’ai l’impression qu’il me fuit et que tout ce qu’il veut, c’est me pourrir la vie et rien de plus.

Voyant le regard de Jim pour avoir le fin mot de l’histoire, elle leva les yeux au ciel et le fixa dans les yeux.

Oui, j’aime ton père.

Bizarrement, Jim afficha un large sourire, qui ne plut pas trop à Maria, elle avait l’impression que quelque chose se tramait et qu’elle était la cible. Elle resta le fixer pour en savoir plus.

Maria eu alors une pensée qui lui traversa l’esprit, Walter devait être derrière elle et franchement, elle espérait que non. Quand Jim lui demanda pardon, elle comprit alors que son idée était bonne et elle ouvrit de grands yeux. En effet, il frappait sa canne au sol et franchement, elle lui aurait bien prit cette fichue canne et la lui aurait faite manger sur le champ. Mais elle ne pouvait pas, pas en public et encore moins devant Jim. Maria n’osa plus bouger, mais elle en avait marre, il allait vraiment lui gâcher sa journée tout entière. Au moins, quand elle travaillait, il ne venait pas, c’était vraiment le seul moment où elle pouvait se retrouver seule. Puis, elle s’entendit un déplacement d’air qui venait vers elle et elle se raidit sur le champ. Elle sentit son souffle sur sa nuque et elle écouta ses propos. Bien évidemment, parler fort pour l’ennuyer, c’était son truc et ça marchait toujours. Maria n’en pouvait plus, elle était à bout de nerf. Il avait tout fait pour l’ennuyer depuis ce matin et elle n’en pouvait plus. Le reste de la journée avait intérêt à être bonne, sinon elle allait sûrement faire une crise pour n’importe quel prétexte.

En plus de ça, elle avait avoué ses sentiments et elle n’aimait pas ça. Elle préférait rester discrète et là il avait à nouveau entendu. Elle aurait au moins préférée qu’il la regarda en face quand elle parlait. Mais bon, c’était comme ça, alors elle devrait faire avec. Ce qui n’arrangeait rien, c’était que Jim n’était pas à l’aise, seul Walter était comme un poisson dans l’eau. Maria bouillonnait à l’intérieur, mais elle ne voulait pas le montrer. Elle essaya de trouver un semblant de calme et regarda Jim qui avait l’air énervé. Puis, Maria préféra ne pas répondre à ce que Walter venait de lui dire, elle voulait rester maître d’elle-même, sinon elle allait lui sauter à la gorge pour le tuer de ses propres mains, quitte à finir ne prison ensuite. Puis, quand Walter tapota sur l’épaule de son fils, se dernier commença à s’énerver. Maria fronça les sourcils, étonné par le comportement du garçon et écouta ses propos. C’est vrai, il n’avait pas tort, Walter faisait l’enfant et elle aussi, elle avait toujours peur de se ridiculiser face à Walter qui ne pouvait pas rester sérieux longtemps. Mais Maria vit que les propos de Jim n’avaient pas laissé son père indifférent et qu’il avait l’air de réfléchir à tout cela.

En tout cas Maria espérait qu’il n’allait pas se mettre à rire face à son fils. Puis, elle tourna la tête vers Walter qui se mit à parler. Mais avant qu’il n’ait put parler, elle remarqua son regard et son sourire et elle se laissa tomber la tête la première sur la table. Oh non, pourvu qu’il ne parle pas de ce matin, seigneur aidez moi, je vous en supplie. Mais trop tard, il avait commencé à en parler et Maria ferma les yeux pour essayer de se calmer. Alors, elle releva la tête vers Walter et lui jeta un regard noir, si ces yeux avaient été des fusilles, il serait déjà mort. Ecoutant les propos de Jim, elle hocha légèrement la tête comme pour dire en effet qu’il ne valait mieux pas donner de détails. Maria fixa alors l’homme à côté d’elle et son regard noir en disait long sur son état d’énervement.

Je suis venu ici pour être avec Jim, ton fils, pas avec toi. Je suis venu aussi pour être au calme, ne pas m’énerver et toi, tout ce que tu trouves à faire, c’est déparquer en parlant comme tu le fais. Vu que tu as l’air de t’amuser, autant que je vous laisse, parce que je ne supporterais pas une seule énormité de ta part. Jim on se verra plus tard et désolé de partir.

Maria se leva et alla embrasser Jim comme elle le fait toujours. Elle lança un dernier regard à Walter et partit prendre sa veste à l’entrée. La serveuse l’avait mise de côté comme pour tout client qui préférait ne pas s’encombrer de leurs vestes. Pourtant, elle ne voulait pas partir, c’était une réunion de famille, enfin en quelque sorte, alors partir était une idée stupide, mais elle ne pouvait pas rester là, elle allait s’énerver et elle ne voulait pas se donner en spectacle.