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Tout en public [Aaron]

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MessageSujet: Tout en public [Aaron] Tout en public [Aaron] EmptySam 18 Oct - 4:05

Maria avait la tête ailleurs c’est temps-ci. Sa relation avec Walter avait évoluée, ce n’était plus seulement des batailles dès le matin pour ennuyer l’autre, c’était devenu du sexe, mais aussi une nouvelle complicité. Quand il l’avait planté à l’église le jour de leur mariage elle avait décidée de ne plus faire confiance à personne et encore moins à un home. Pourtant, elle avait des collèges hommes à l’Université et elle s’était rapprochée d’un en particulier, Aaron Moire. Ce dernier avait écouté ces problèmes et elle avait parfois l’impression de lui prendre de son temps et de l’ennuyer pour rien, parce qu’il ne devait pas être intéressé par ce qu’elle disait. Alors, Maria avait finit par arrêter de se lamenté et elle avait décidée d’apprendre à connaître un de ses professeurs, qui plus est qui enseigne la même matière qu’elle. Aaron est un homme tout à fait sympathique, qui plus est séduisant et il est de très bons conseils. Le seul problème c’est que Maria et Aaron ont finit un jour dans le même lit. Après une soirée à manger, parler et s’amuser, il l’avait raccompagnée chez elle et ils avaient finit dans le même lit.

Le lendemain matin, Maria s’était sentit mal à l’aise et elle l’avait laissé en plan dans le lit et elle était partit au travail essayant de ne pas le croiser. Seulement, elle n’avait pas pensé qu’il lui déposerait les clés de la maison qu’elle avait laissée pour qu’il ferme après lui. Une certaine gêne c’était imposé entre eux et pourtant, Maria aimait ces discussions et ces repas complices. Alors, elle voulut en parler avec Aaron, mais elle avait peur que ça ne finisse à nouveau dans le même lit. Elle aurait put aimer aller à nouveau avec lui et la tendresse qu’il montrait mais elle avait toujours envie de Walter et elle ne pouvait pas l’oublier. De plus, la meilleure amie de Maria, Shenae Hudson est attiré par Aaron et la directrice préfère rester en dehors de tout cela. Elle a toujours une certaine gêne quand elle est en présence des deux personnes, car elle ne veut pas perdre sa meilleure amie. Vu qu’elle ne lui en a pas parlé et en même temps, elle est tout à fait à l’aise face à Aaron, parce qu’il a été clair et ils sont aujourd’hui amis.

La jeune femme avait donc décidée de ne pas en parler avec sa meilleure amie et que personne ne devrait le savoir. D’ailleurs, de son côté, elle n’en parlerait sûrement pas avec Walter au contraire, elle préférait qu’il ne soit pas au courant. C’est pour ça qu’elle préférait aussi être vu en public avec lui parce qu’au moins o ne pourrait pas dire qu’ils couchent ensemble ou ce genre de choses. On les voit en amis et rien d’autres, c’est ce qu’elle voulait, de plus, elle était venu au café et lui avait proposé de venir s’il avait du temps pour parler des cours et aussi des élèves s’il avait des problèmes ou pas. Alors, une fois dans le café, elle commanda un café noir, sans sucre et elle alla s’installer à une table avec quelques dossiers qu’elle allait pouvoir remplir en l’attendant.
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MessageSujet: Re: Tout en public [Aaron] Tout en public [Aaron] EmptySam 18 Oct - 18:02

    Aaron Moire, voila un professeur que l'on pouvait qualifier de coureur de jupons. Toujours, il faisait la cour aux femmes, toujours, elles tombaient sous son charme, et toujours, il restait gentleman et romantique à souhait. Certaines personnes disaient que coucher avec lui, devenait un rituel, comme si tout le monde y passait. Disons plutôt que notre Irlandais n'avait pas des conquêtes dans le but d'agrandir son tableau de chasse, non, il trouvait ça stupide. Mais, comme il n'était pas encore prêt à se lancer dans une histoire sérieuse, il préférait assouvir ses désirs sexuels avec quelques demoiselles. Pour tout avouer, il avait même couché avec sa "patronne". En effet, Maria O'Berkeley était la directrice de l'université. Avant, il ne lui parlait pas énormément, et Dieu sait que c'est un homme très ouvert. Puis un jour, il la rencontré en dehors de l'établissement, en larmes. N'étant pas d'une nature passive qui s'en va sans rien dire, il alla la voir, et tenta de la consoler, étant donné qu'en plus, il la connaissait. A partir de ce jour, les deux jeunes gens se sont particulièrement rapprochés. Devenus amis, ils passent beaucoup de temps ensemble et vont souvent boire un verre ou un café en dehors de l'université. Pourtant, un jour, sans vraiment savoir comment, alors qu'il venait de la raccompagner chez elle, elle avait refermé la porte. Aaron avait "stagné" juste devant, sur les marches, dans le froid des nuits d'automne. Quelques secondes après, elle avait ré-ouvert, ils s'étaient embrassés et avaient terminé tout cela dans un lit.

    La gêne avait été présente quelques jours. Notre Irlandais avait voulu lui parler, cependant, Maria l'évitait autant que possible. Mais tout cela s'arrangea quelques jours après, ils semblaient avoir fait abstraction de ce qu'il s'était passé, comme si cela était un sujet tabou. Si c'était ce qu'elle voulait, Aaron acceptait. D'ailleurs, ce soir, elle l'avait invité à boire un café. Ainsi, il débarquait au lieu de rendez-vous, vêtu d'un simple jean, d'un fin pull noir laissant apparaître le col et les manches d'une chemise blanche. Veste sur le dos et écharpe autour du cou, il était au téléphone, en train de parler avec sa fille, Jodie.

    -Oui... Euh... non ! Tu ne restes pas avec lui toute seule. Hors de question. [...] Non, c'est pas négociable.

    Les yeux intensément bleus de notre Irlandais se posèrent sur la magnifique et charmante femme qu'était Maria. Il lui adressa un beau sourire en coin, laissant apparaître deux belles fossettes sur ses joues légèrement barbues en plus de celle sur son menton. Il s'approcha donc, et commença à retirer sa veste noire ainsi que son écharpe, apparemment occupé à jouer son rôle de papa-poule à sa fille de dix-neuf ans.

    -J'aime pas ce type. [...] Oui, d'accord, t'es majeure, mais je suis encore ton père, et j'ai le droit d'avoir mon opinion sur le garçon que tu fréquentes ! [...] Comment ça je suis vieux jeu? [...] Ouais c'est ça, bonne soirée !

    Notre Irlandais entendit un Biiiiip. Venait-elle de lui raccrocher au nez? Sale gosse ! Aaron soupira avait de fermer son portable. Dans ces moments là, il aurait aimé être une femme pour la comprendre, ce qui aujourd'hui, était totalement difficile. Mais il reporta bien vite son regard perçant sur Maria et lui adressa un nouveau sourire. S'asseyant en face d'elle, il lui avoua sur un ton gêné mais amusé.

    -Excuse moi si je suis en retard. Ce n'est pas facile tout les jours d'être parent.
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