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Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.”

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MessageSujet: Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” EmptyLun 21 Sep - 17:34





Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif


et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur






La rédemption. C'est un sujet délicat est-ce que nous avons tous le droit à une seconde chance ? Pour les gens normaux sans histoire je crierai oui sans hésiter. Qu'en est-il des fautes graves ? A partir de quel moment considère t-on qu'une faute est plus grave qu'une autre ? Quand on a huit ans nos parents considèrent que la faute la plus grave c'est quand on boit tout le bidon de Javel. Quand on a quinze ans la plus grosse faute c'est d'être tomber amoureuse de l'amour de sa meilleure amie. Et j'en passe. Mais on est a chaque fois pardonné car on est jeunes et innocents. Aujourd'hui on nous accable de la moindre erreur aussi bien de jugement que de nos actes. J'avais toujours eu de la chance dans ce domaine là quoique je faisais on m'accordé toujours l'indulgence. J'aurai été très bonne en plaidoirie, l'avocate du diable celle qui défendrais les criminels expliquant au jury l'enfance tragique qui l'a conduit à faire ses actes abominables. Joaquim faisait partit de ces jeunes gens accusé à tort ceux que c'est facile de pousser aux portes de la prison car on veut éviter les coup s d'état. On veut éviter de créer le chaos, dans une ville comme New-York, il faut toujours un suspect idéal. La mère de famille, l'amant décadent, la fille jalouse de la belle mère , le sportif sans cervelles, la bimbo qui en fait des tonnes. Je savais le passé du jeune homme car sous ses airs de grand timide, les confessions sous la couette sont les plus révélatrices. Le désir était quelque chose qui m'animait de part en part, il suffisait d'un regard, d'un revers de main qui frôle ma paume, de ce rictus qui en dit long sur toutes les mauvaises attentions.  Notre rencontre était des plus banales, dans le magasin de vêtements où il travaillait depuis sa sortie de prison. Roublarde comme jamais j'avais passé plusieurs semaines à négocier, pas par manque d'argent mais juste par challenge. Puis de fil en aiguille nous nous sommes rapprochés. L'impudique et le pudique formait un duo improbable. En pleine campagne marketing avec Aiden sur notre fausse relation tout ça devait resté secret et encore plus pour mon travail. Il était différent des autres hommes que j'avais pu rencontrer il était à la fois timide comme arrogant c'était ce que j’appréciais dans le personnage à la fois simple comme complexe. Nous avons trouvé en chacun la meilleure partie de l'un de l'autre, on répondait à nos besoins sans se prendre la tête. Nous n'avions pas besoin de sentiments pour vivre, non nous vivons l'instant présent. Ces petits moments, étaient devenus presque quotidien comme un nouveau souffle. Je lui avais donné rendez-vous à mon appartement, pour faire nos petites affaires mais pour une fois j'estimais qu'il avait le droit au bonheur, à de la gentillesse, de la douceur. J'étais pas du genre a tapé dans l'affectif mais Joaquim m'avait touché, son histoire je n'osais pas imaginé ce qu'il avait pu vivre en prison et cela m’horripiler à chaque instant de l'imaginer vivre entre quatre murs séparer par des barreaux .  J'avais plutôt tout prévu pour le coup, une bouteille de vin un dîner que j'avais mis presque deux heures à préparer des lasagnes maison. Ce n'était pas un tentative de drague ou une preuve de romantisme c'était juste un moment de flottement ce genre de moment où tout autour de soi semble disparaître comme une parenthèse dans nos vies si imparfaite. Lumière tamisée, des petites bougies on avait tout le droit à un peu de sentimental, et même si je justifiait ça pour le bien de Joaquim c'était aussi pour moi, j'avais besoin de vivre normalement ne serait-ce que quelques heures. C'était pas bien complique ce que je demandais, au fil des semaines nous avions apprit à se connaître à devenir presque des amis plus que des amants et j'étais l'amie fidèle, celle qui prenait soin des autres. Je n'avais à présent plus qu'Andrew dans ma famille, je n'avais plus rien je me retrouvais encore une fois toute seule me laissant un grand vide au fin fond de mon être. Habillée par un simple corset, des bas, des talons les cheveux tombant sur les épaules. Je savais ce qu'il aimait au fil du temps et ce genre de petite tenue n'est pas insensible aux hommes. Le cœur commençant à battre à tout rompre je regardais mon appartement en me demandant si c'était  vraiment une bonne idée de le couvrir d'attentions. Allait-il s'imaginer quelque chose ? Trop stressée par mon élan de bonté, je décidais comme d'habitude de me détendre avec mon bâton d'herbe. Mes lèvres s'enroulaient autour de celui-ci, les premières bouffés fut salvatrices, j'inspirais profondément quand je l'entendais taper à la porte. Un sourire aux lèvres je me dirigeais vers la porte l’entrouvrant légèrement toujours le joint au bord des lèvres. Je levais mes yeux à la hauteur des siens avant de retirer mon joint de mes lèvres tout en saisissant son regard qui était d'un hypnotique renversant « Toujours pile à l'heure, je te laisse entrer tu connais la maison » lui murmurais-je à quelques centimètres de ces lèvres. Le laissant entrer je le jauger du regard et visiblement ce n'était pas le grand jour pour déballer toute la gentillesse que je pouvais avoir avant même qu'il ne puisse adresser un mot je me plantais devant lui, laissant ma main détachais lascivement les boutons de sa veste tout en lui disant d'un ton ferme mais pas déplaisant «  T'as pas intérêt à me faire ta tête de déterré, je me suis casser toute la soirée pour organiser tout ça ». Montant sur ma pointe des pieds je laissais mes lèvres frôler sa joue avant de glisser à son oreille «C'est moi qui mène la danse ce soir.. ». Lui disais-je tout en laissant mes doigts caresser ses lèvres pour les entrouvrir et lui glisser le joint. A toi de jouer Joaquim, mais n'oublie pas les femmes ont toujours ce qu'elles veulent d'autant plus quand elles sont d'humeur joueuse.
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MessageSujet: Re: Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” EmptyMar 29 Sep - 22:03


Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.. Laissant les gouttes d'eau brulante tomber sur sa nuque puis sur son dos, il rejette la tête en arrière signe de relâchement. Après une journée comme il vient de vivre, Joaquim ne pourrait rêver mieux que ce genre de moment de relaxation. Dans l'idéal il aurait préféré prendre un bain bien chaud et moussant, mais son nouvel appartement est uniquement meublé d'une douche à l'italienne. Et comme on lui a attribué un logement suite à sa liberté nouvelle, il n'a pas cherché à réclamer plus de confort. Un ancien loft, réaménager dans un style moderne qui dénote largement avec les murs en brique et les poutre d'acier. Il possède soixante-dix métres carrés habitable. Une cuisine américaine dans les tons rouges et noir, un salon avec meuble télé et grand canapé avec méridienne. Une salle d'eau, deux chambres et un énorme balcon. Plus de confort qu'il n'aurait jamais pu espérer retrouver après son séjour derrière les barreaux. Là bas, il n'avait le droit qu'à une petite couchette. Un matelas aussi épais qu'une feuille, si bien qu'il lui est arrivé plusieurs fois de préférer dormir sur le sol plutôt que sur cet engin de torture. Là bas, l'eau était froide et boueuse, la nourriture envoyée sous vide et tout juste chaude. Autant dire que niveau confort il serait se contenter de tout, cela ne sera jamais aussi rudimentaire que ce qu'il a vécu durant un an. Lui qui n'a jamais été élever dans le luxe, mais qui en a tout de même très vite pris gout, ce passage en prison lui a appris à se contenter de peu. Il sait pertinemment qu'il arrivera à reprendre le dessus, que ce n'est qu'une question de temps pour qu'il puisse se refaire financièrement. Totalement nu sous l'eau bouillante, Joaquim se frictionne le torse, le ventre puis les jambes avec le gel douche senteur vanille qui se met à mousser sous ses doigts. Après avoir passé un an à se laver en trente secondes chrono, il ne peux que prendre son temps sous cette eau divine à présent. Il se souvient, que la première chose faite le jour de sa libération, avant même de se faire un bon gros repas, avait été de prendre une douche. Il était resté plus d'une heure, vidant les 200 litres de ballon d'eau chaude, se frottant presque de façon convulsif comme pour éliminer toute la saleté accumulée en prison. Il se souvien encore du sentiment de bien être et de liberté qu'il a éprouvé. Pour rien au monde il ne prendra de nouveau le risque de sacrifier ce confort retrouvé.
Son téléphone portable en main , il consulte rapidement le message de la belle Charlotte ne sachant que penser réellement. A-t-il vraiment envie de retrouver celle qui est devenue une sex friends ? ou prefère-t-il rester seul chez lui, méditant sur sa vie et sur sa solitude ? Passer du temps avec Charlotte a toujours été un réel plaisir pour le jeune homme, qui, sortant de prison avait eu un véritable besoin de retrouver des draps, la chaleur du corps d'une femme. Du sexe, rien que du sexe. Un besoin vital de s'envoyer en l'air. Les premières fois, il s'est même surpris lui-même a désiré du violent. Faire mal et se faire mal. Prouver qu'il est vivant et libre. Heureusement pour lui, il est tombé sur une demoiselle ouverte à toutes sortes de délires et répondant toujours présent à ses appels. Rencontrés au magasin où il travaille. Les deux jeunes amant ont vite noué contact, la demoiselle cherchant à joueur de son charme afin d'avoir quelque ristourne sur ses achats. Devant ses grands yeux marrons, son air taquin et son corps athlétique il n'a pu s'empêcher de lui proposer une autre sorte "d'arrangement". Plusieurs mois désormais qu'ils entretiennent ce genre de relation intime, il leurs arrive parfois même de se confier sur leurs vies et problèmes respectifs. C'est tout de même le pas trainant qu'il se présente chez elle. On ne refuse jamais une partie de sexe, même s'il sait qu'il ne se montrera pas au mieux de sa forme cette nuit. Comme tout homme, Joaquim ne supporte l'idée de ne pas être ce qu'on appelle "un bon coup", plus il pourra donner de plaisir plus il en prendra et surtout : plus son égo en sera rebooster. Plus jeune, alors qu'il enchaînait les conquêtes, il avait noté dans un carnet chacun de ses actes sexuels, attribuant une note à ses partenaires et débriefant de tout cela avec ses potes. Cela peut paraître ringard ou même ignoble de faire cela, mais il s'agissait là d'un concours entre mec, d'une façon de rigoler et surtout de prouver qui sera le meilleur au lit.
La porte s'ouvre à demi sur une Charlotte plus sexy que jamais. De son regard de biche parfaitement maquillé, en passant pas ses cheveux qui descendent en une cascade d'ondulation sur ses épaules et qui recouvrent sa poitrine délicate, jusqu'à sa tenue toute en dentelle. Si Joaquim ne se sentait pas réellement d'attaque ce soir, il n'a besoin de rien de plus pour se remettre en forme. Charlotte sait pertinemment comment y faire avec Joaquim. Avec les hommes en général. Une rumeur dit qu'elle est limite nymphomane, toujours prête à avoir le moindre hommes dans son lit. Parfois, Léandro a peur de voir cette relation se stopper, ou bien qu'un des deux parties se voit s'attacher à l'autre. Et puis finalement, il se rassure en se disant qu'il n'a aucune grande importance aux yeux de la belle ; il n'est que son pantin du moment et il doit bien avouer que pour le moment cela lui convient amplement. Parfois, il ne surprend lui-même à ne pas s'être accroché plus que cela. Lui qui parfois peut être un véritable coeur d'artichaut. Et puis il se souvient que son caractère de gémeaux lui fait se lasser très rapidement d'une personne. Il sait que Charlotte n'est qu'une passade dans sa vie. Ce qui ne l'empêche pas de se délecter du moindre moment passé en sa compagnie. Après tout, toutes les chansons ont une fin, est-ce une raison pour ne pas apprécier la musique ? Entrant dans l'appartement, il pose une main sur la taille fine de Charlotte avant de lui déposer un baiser au creux du coup. Un signe affectif afin de la saluer, alors qu'elle-même venait de déposer son joint entre ses lèvres. Sans même en aspirer une bouffé, il retire le bout en carton de ses lèvres. « A savoir sur moi : Je ne touche pas à sa ! » dit-il en brandissant la cigarette remplie de drogue sous le nez de la demoiselle avant de ne l'éteindre soigneusement dans le cendrier près de lui tout en haussant un sourcils d'un air faussement naïf. Au prix du gramme, Charlotte va surement l'étriper pour son geste. Le jeune homme est bien placé pour savoir à combien cette merde ce vent sur le marché. Devant la moue boudeuse de la brune et de peur de prendre ses foudres, il passe alors devant elle afin de contempler les petites surprises qu'elle lui avait préparé. Joaquim n'est pas le genre à faire dans le romantisme. En général il n'apprécie vraiment pas toutes ses attentions. Ce sont, à ses yeux, des gestes d'un ridicule inuit. Il pourrait vomir devant tans de romantisme, il l'a toujours dit. Du moins, il le pourrait si cela ne venait pas de Charlotte. S'il ne savait pas qu'elle agit ainsi uniquement pour l'avoir de nouveau dans son lit. « Tu ne te donnes pas tans de mal pour m'avoir habituellement.  » Il ne lui fait toujours pas face et fourre ses mains dans les poches serrées de son pantalon pour se donner un air décontracté.


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MessageSujet: Re: Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” EmptyDim 18 Oct - 23:07





Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif


et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur






Avoir des sexfriends était la nouvelle tendance du vingt et unième siècle. La jeunesse se cache derrière ce genre de relation car aujourd'hui on estime qu'il est beaucoup plus difficile de vivre pleinement avec une seule et même personne. On ne se sent pas prêt à jurer fidélité jusqu'à ce que mort s'en suive. La fidélité c'est un concept c'est comme la bouffe mexicaine soit tu aimes, soit tu n'aimes pas. Personnellement quand j'entendais le mot fidélité, pour moi ça rimait avec perpétuité, et ça n'avait aucune bonnes augures à mon égard. Je m'étais toujours arrangée dans ma vie pour ne pas avoir de chaînes attachées à mes pieds. Et ce n'était clairement pas le moment de traîner un boulet à mes pieds, alors j'usais du prétexte qu'il fallait d'abord que je mette de l'ordre dans ma vie pour pouvoir songer un jour a y inviter quelqu'un durablement. Un prétexte est ce qu'il est un masque face à la peur de l'engagement dans ce cas. S'engager c'était comme si on laissait le droit à l'autre de nous tuer à petit feu, de prendre chaque petit morceau de nous et de ne former plus qu'un et se retrouver après des sacrifices, des moments difficiles, et de joie, seule face à une coquille vide. Je n'avais déjà plus grand chose à l'intérieur, je n'étais pas celle qu'on se disait elle c'est pour la vie , non je suis celle qu'on prenait pour une nuit. Seulement les personnes qui me connaissait depuis des années aurait pu s'intéresser à moi durablement, étant d'abord ce moineau fragile qui dit amen à tout transformée en vipère sans nom qui se cachent derrières toutes sortes d'addictions pour se sentir vivante. Se sentir vivant, ce n'est pas se lever de bon humeur le matin, non, se sentir vivant c'est se sentir pousser les ailes, se sentir au dessus de tout. Et ce sentiment je le ressentais à chaque fois que j'avais le malheur de me lier à un homme, connaissant mes atouts j'en jouais au maximum parfois quitte à être dérangeante pour sentir ce drôle de pouvoir en moi. Fort heureusement pour moi, dans la vie je ne contrôlais pas tout ce qui pouvait m'arriver, Joaquim en était l'exemple parfait. Il avait débarqué dans ma vie comme ça, et plus je dévoilais mon visage. Si on analysait mon rapport avec le romantisme, on ne trouverait pas grand chose en effet je n'ai jamais été impressionnée par le romantisme de une car aucun homme sur cette terre n'avait su l'être avec moi et deuxièmement pour moi le romantisme c'est la dernière option pour un couple qui se contient dans une routine et qui considère qu'un bouquet de fleurs ravivera la passion. Connerie. Pourtant j'en étais là, à préparer une chose dont j'avais horreur mais si je ne me trompais c'était une grande première pour tous les deux. Joaquim était une passade, mais comme toutes mes passades je les vivais à fond jusqu'à ne plus en pouvoir considérant que chaque instant doit être à son apogée. Si j'avais la prétention de me balader d'hommes en hommes chacune de mes relations étaient différentes, comme si j'étais une autre personne perpétuellement. Anxieuse, comme pas deux l'arrivée de Joaquim fut comme une délivrance, quelques de secondes de doutes avant de jeter tout ça à la poubelle mais je m'y résignais laissant le destin en choisir autrement. Il se trouvait dans l'encadrement de ma porte d'entrée et cacher notre attirance l'un envers l'autre était vaine, nos corps, nos regards nous trahissait à chaque instant. C'est en le voyant jauger ma tenue, que mon cœur se mit à battre plus fort, à crier au secours pour qu'il me délivre de cette tension qui commençait à naître. Le laissant faire le tour de l'appartement il m'interpelle écrasant ce que je venais de fumer. Ma langue passait sur ma lèvre inférieure pour ne pas commencer à cracher mon venin. Mes mots arrivaient tout de même à passer la barrière de mes lèvres « Tu pourras les écraser autant que tu veux au fond du cendrier, j'ai bien d'autres moyens de m'évader ». Sous entendu, toi derrière ce trop plein de vêtements bien trop inutiles. Laissant le jeune homme se déplacer comme il le souhait j'appréhendais la réaction de Joaquim face à ce que je lui avais préparer. Visiblement aussi stupéfait que moi face à ce spectacle il relève à sa manière qu'il a bien vu ce que j'avais préparé, sans pour autant en souligner l'effet procuré. Face à sa remarque, je ne pouvais que rebondir de façon positive en lui glissant du même air faussement naïf qu'il avait pu avoir quelques minutes auparavant «  Si tu ne manges pas, je n'ai pas ce que je veux, et vu que sauf cas contraire j'ai toujours ce que je désire il vaut mieux pour toi que tu sois coopératif ». Ce qui était une bonne attention au départ se transformait en un chantage innocent mais chantage quand même les verres de vin déjà servit je lui faisait enfin face lui brandissant son verre pour qu'il le saisisse, plongée dans son regard maintenant cette distance qu'il avait crée en arrivant je balayais du regard le corps de Joaquim que je devinais sous ses vêtements avant de prendre une gorgée de vin. Je m'adressais à lui cette fois-ci avec un ton ferme et déterminé « Je ne suis pas d'humeur à me satisfaire que d'une heure ou deux, et comme je prends soin de mon plaisir je tiens à ce que tu sois complètement apte à assouvir ce que j'envisage ». S'il n'avait pas compris les allusions sexuelles, c'est qu'il était sourd ou alors complètement à l'ouest. Laissant mon doigt jouer sur le rebord de mon verre, j'attends une réponse de sa part comme une sentence. A la fois excitée par le jeu, et frustrée d'impatience j'étais comme une môme dans la file d'attente d'un manège.
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Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.  Se sentir important, recevoir de l'intention, avoir quelqu'un sur qui compter…Voilà tout ce qui importe actuellement pour les jeunes adultes, avides d'amusement et s'interdisant tout attachement, dont Joaquim fait partifait partit. Il a déjà connue l'amour, le véritable amour de ceux que l'on ne vit qu'une fois, mais il sait également à quel point cela peut faire mal. A quel point l'attachement mène parfois à de nombreuses douleurs.  Avec Charlotte, les choses sont loin d'être compliqués sur se sujet. Aucune prise de tête depuis le départ, aucune question à se poser, rien que le plaisir de partager de torrides moments l'un avec l'autre. Il serait inutile de cacher l'attirance entre les deux jeunes gens. Il n'y a qu'à voir les regards qu'ils se lancent pour comprendre à quel point l'attirance physique est explosive entre les deux. Le regard brûlant qu'il vient de poser sur les courbes du corps fluet de la brune en dit long. S'il n'avait pas été mis de mauvaise humeur quelques minutes plutôt et s'il n'avait pas un tel esprit de contradiction il lui aurait très certainement sauté dessus sans aucune retenue. Mais Joaquim sait se montrer extrêmement butté, si Charlotte s'amuse trop à le provoquer il se fera un malin plaisir de la faire languir. Jusqu'à un certain stade évidemment, ce n'est qu'un homme après tout et même s'il sait parfois passer au-dessus de ses envies il ne pourra rester de marbre très longtemps devant une Charlotte qui sait très bien comment le faire craquer. Faisant face aux mets préparés par la demoiselle, il tente de garder une tête la plus neutre possible lorsqu'elle lui annonce que même s'il ne mange pas elle arrivera à ses fins avec lui. « Charlotte…douce Charlotte , tu sais à quel point je peux me montrer butté lorsque je le veux. » lance-t-il, son célèbre sourire de gamin au coin des lèvres. La faire attendre, la voir perdre  patience et faire en sorte qu'elle fasse ses petits caprices, voici le but en ce moment précis de notre portugais. Il sait à quel point elle est impatiente, mais aussi à quel point ce petit jeu s'avère dangereux, cela dit il ne peut s'empêcher de le tester. Il adore jouer avec ses nerfs. Il se tourne alors vers elle, s'en approche le plus possible tout en prenant soin de ne pas la toucher consciemment et la fixe de son regard le plus joueur.  « Apte je le suis. Volontaire je ne sais pas. J'ai pas tellement la tête à ça se soir » il hausse les épaules comme pour s'excuser, même s'il sait très bien qu'elle ne lui demanderas pas ce qui le tracasse. Et tans mieux d'ailleurs, car il n'a aucune explication réel à lui sortir. Hormis l'envie de la voir devenir folle d'impatience.  
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MessageSujet: Re: Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.” EmptyJeu 3 Mar - 21:46

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