the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

Partagez

(adrian) just need money and margarita

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

(adrian) just need money and margarita - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: (adrian) just need money and margarita (adrian) just need money and margarita - Page 2 EmptyDim 6 Sep - 15:54


L'amitié ? C'est quand vous pouvez frapper à cinq heures du matin à la porte d'un ami pour lui dire : « J'ai tué quelqu'un » et qu'il vous répond tranquillement : « Faisons disparaître le cadavre. Où est-il ? »~ (léo-alison/adrian)

Comme chaque fois il l’avait écouté, regardé, essayant de comprendre sa situation, son mal être. Il l’avait conseillé, ou plutôt sermonné sur sa façon d’agir mais peut-être était-ce le seul moyen pour lui de la ramener à elle. Il avait fait de son mieux pour rester l’ami qu’il avait toujours été, celui qui ne lui as jamais fermé sa porte, celui à qui elle pouvait se confier même si cela n’arrivait que très peu. A la façon dont elle avait agi envers lui dans ce casino quelques minutes plus tôt il lui avait semblé que tous ses efforts avait été vain et pourtant le voilà maintenant au bord de la piscine, main dans la main avec elle. Au fond peut-être qu’elle n’avait pas réellement envie de tout abandonner, de l’abandonner lui. Peut-être qu’elle avait encore besoin de s’accrocher à cette main qu’il lui tendait, à cet espoir. Lorsqu’elle accepta de jouer à ce jeu idiot qu’il venait de proposer il esquissa un sourire, ayant l’impression qu’elle commençait à se rapprocher de lui, pas à pas et peut-être que bientôt il pourrait l’apercevoir et s’écrier. Ça y est ! Elle est revenue ! Seulement le chemin semblait long mais Adrian n’avait pas l’intention de se décourager. Peut-être qu’il devrait encore crier, peut-être qu’elle finirait même par le détester au final mais il ne voulait pas la laisser s’en aller, disparaître et ne laisser place qu’à cette fille sans âme, qu’il avait pu observer. Lorsque sa main vient s’accrocher à la sienne il comprit qu’il ne devait plus la lâcher, jamais, de peur de ne jamais pouvoir l’attraper à nouveau. Ils sautèrent alors dans l’eau, s’enfonçant au milieu de ce petit océan, et alors que sa tête refaisait surface l’un des sons les plus sublimes qui soit se fit entendre. Quelques secondes à peine mais il était là. Il l’avait entendu rire et c’était pour lui une belle réussite. Ce son si mélodieux le fit sourire alors qu’il déposait son regard sur elle. Comme si ce saut l’avait libéré de toutes ces barrières elle sembla alors s’ouvrir à lui, plus sincèrement, lui expliquant ce qu’elle avait ressenti. Lui parlant de sa solitude. Il aurait voulu lui dire qu’il comprenait parfaitement mais ce n’était pas le cas. Il n’arrivait pas à se mettre à sa place mais ça ne l’empêcherait pas de l’aider comme il l’avait fait jusqu’à lors. Finalement elle lui demanda s’il allait bien et cela le fit sourire. Comme souvent elle était maladroite, essayant d’être une bonne amie sans savoir comment faire. Elle semblait avoir perdue tout son naturel, toute sa naïveté. Elle laissa sa robe couler au fond de long comme si c’était normal, offrant à Adrian la vue de son corps en sous-vêtements pour la deuxième fois. « Oui Léo, je vais bien, et encore mieux maintenant que je te vois sourire » Il jeta un léger coup d’œil sur elle, l’eau des plus transparentes lui laissait le plaisir de contempler son corps mais il savait le faire en toute discrétion « Et puis comment aller mal alors que tu te déshabille devant moi, je n’en demandais pas tant » L’humour comme toujours lui permettait de détendre la situation et peut-être même de réussir à la faire rire une fois de plus. Pas du genre à sauter sur la première fille à moitié nue devant lui cette situation ne le dérangeait pas plus que cela et encore moins lorsqu’il s’agissait de Léo. Elle était si naturelle des fois, elle réussissait toujours à le surprendre. Certainement malgré elle la plupart du temps. Heureux d’être le premier à la voir il était tout autant triste de l’être. Triste qu’elle n’ait eu personne sur qui compter. Peut-être n’avaient-ils pas supporté un nouvel abandon de la princesse. Adrian n’était pas de nature rancunière mais malheureusement on ne pouvait pas en dire autant de tout le monde. Défaut ou qualité, il était difficile de juger. Harper doit s’occuper de sa fille, de sa relation à distance, des problèmes qu’elle rencontre. Elle a elle aussi une nouvelle vie à gérer, des choses auxquels elle doit faire face et Adrian pouvait comprendre qu’elle n’ai pas pris le temps de prendre des nouvelles comme il avait fini par comprendre que Léo ne l’ai pas fait avec lui. « Envoie lui un message alors… Les amis sont rares Léo, les vrais amis je parle alors envoie lui un message » Adrian nagea pour regagner le bord de la piscine, restant dans l’eau, Léo à ces côtés. « Bon et maintenant j’aimerais que tu montres ce bar que tu as à la cave et je te parlerais alors de mon film dont je vais bientôt commencer le tournage.» Il avait décidé de changer de sujet. Et puis elle lui avait demandé comment il allait alors c’était certainement le meilleur moment pour lui parler un peu plus de son nouveau projet. « Peut-être que bientôt ce ne sera plus toi mais moi qui t’inviterais à de grands événements… Tu pourrais venir me voir… Mon appartement ne fait certainement pas le quart de cette villa mais il est déjà beaucoup plus grand que celui de San Francisco et puis tu y seras toujours la bienvenue»
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

(adrian) just need money and margarita - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: (adrian) just need money and margarita (adrian) just need money and margarita - Page 2 EmptyMar 22 Sep - 17:25

just need money and margarita
Leo-Alisson & Adrian



Pour arrêter de se complaire dans un égoïsme scindé de doutes, Leo-Alisson avait décidé d’écouter son cœur une fois de plus et de laisser à Adrian l’opportunité de lui faire changer ses habitudes de solitaire imprenable. Pour cette raison, elle se retrouvait moins contre son gré qu’elle ne l’aurait préalablement imaginé, dans la piscine où elle n’avait jamais une seule fois mis les pieds. Peut-être que, lors de l’achat de cette immense supercherie qui lui rappelait bien trop le vide qu’elle ressentait, elle avait imaginé se noyer dans le eaux bleus si elle y plongeait entièrement sans précaution. Elle aurait laissé le sol l’attirer et elle se serait laisser aller en se délectant de cette sensation de bien-être, de vide, d’absence même de sons et de pensées qui lui rappelaient sans cesse le visage de la personne qu’elle avait aimé bien trop vite pour le perdre au même rythme. Elle courrait aujourd’hui à la même vitesse qu’avant mais ne sillonnait plus la même atmosphère. Tout semblait désespérément triste mais dans un ultime effort, elle faisait enfin face à Adrian, un souvenir du passé qui aurait dû la hanter mais qui lui faisait étrangement plus de bien encore. La plénitude, le sentiment de se retrouver quelque peu, d’oublier un léger instant pourquoi ils en étaient là dorénavant. Il n’avait pratiquement pas changé. Toujours ce visage candide, ces fossettes remontées en un sourire onirique de ce que représentait l’ambition d’un jeune homme encore émerveillé par les moindres opportunités que la vie pouvait offrir. C’était beau. Plus que le martellement qu’avait subi les mimiques de la jeune femme après ce doux trépas qu’elle s’était infligée chaque jour durant pendant qu’il construisait sa vie tel un conquérant. Alors elle finissait par plonger à ses côtés en espérant oublier un jour qu’elle avait perdu une vie et une famille. En oubliant que les papiers concernant la garde de son fils venaient d’arriver la veille et qu’une simple signature définirait son rôle de mauvaise mère à tout jamais. Ce n’était certainement pas ce qu’elle était mais ce à quoi elle correspondrait aux yeux de Micah lorsqu’il grandirait sous l’œil attentionné de son père. Ca, elle en était persuadée. Rien de nouveau à l’horizon. Qu’elle disait avec un réel sourire pendant qu’elle s’était débarrassée de ce qui semblait l’encombrer et représentait l’attirail parfait de celle qui voulait paraître pour ne pas qu’on vienne lui parler réellement de ce qui avait une vraie importance. La parure, les attributs, le doux goût du luxe. De la superficialité en puissance qui ne pouvait qu’accroître son costume de caméléon lorsqu’elle ne voulait pas être remarquée. Elle se rapprochait elle aussi du bord de la piscine et s’encquérait enfin de savoir ce qu’Adrian avait pu mijoter durant cette longue année où elle avait disparu en laissant pourtant de conséquentes traces d’elle dans les magazines mondains. Ok, très bien, j’utiliserais enfin les pièces de cette maison. Hormis le salon et ma chambre, j’avoue que je ne me suis jamais réellement prélassée ici. Je croule sous le travail mais j’ai l’impression que tu as eu la même expérience que moi. Je veux tout entendre. Qu’elle disait, sincèrement intéressée par la soudaine ascension de son ami. Si son travail s’était développé, c’était avec le plus grand des plaisirs qu’elle accueillerait son film. Leo sortait de l’eau et, ruisselante, entrait dans le pool house afin d’y dégoter deux serviettes qu’elle lui tentait avec le charme du loup. Si elle n’était plus très créative concernant ses propos, elle l’invitait tout de même à la suivre, l’immense envie de découvrir son futur chef d’œuvre. La cave, à la lumière tamisée, offrait la somptueuse vue d’une voûte de pierres anciennes au plafond presque plutôt bas. Dégotant une bouteille recouverte de poussière, elle soufflait sur le millésime pour tenter d’y déceler une marque. A sa stupeur, elle tenait quelques milliers de dollars en main si ce n’était plus. Leo avait bien un défaut dans le monde dans lequel elle vivait, c’était qu’elle n’y connaissait absolument rien en alcool ! Je veux bien me déplacer. Peut-être que pour une fois, ils pourront se passer de moi… Qu’elle disait avec un sourire même si ce serait pour la première fois qu’elle se permettrait un séjour loin des deux villes qui accueillaient ses nouveaux bijoux tous neufs et surtout qui devaient faire assurément leurs preuves. Mais Leo sentait qu’elle avait besoin de cette atmosphère accueillante et amicale que lui offrait sincèrement son ami d’enfance. Trop d’eau avait coulé sous les ponts pour qu’elle ne s’aperçoive pas qu’il avait besoin d’elle tout comme le contraire était encore plus exact.  Parles moi de ton film. Tu as besoin de finance ? N’importe quoi et tu me demandes. Je crois que mon père a des contacts dans le milieu, je peux lui demander de te mettre en relation avec eux… Qu’elle disait tout naturellement  en débouchant la bouteille. Le liège s’écrasait sur les murs et le son se faisait happer par l’obscurité pendant qu’elle s’installait à même la pelouse du billard qu’elle avait découvert à l’instant. Servant deux verres, elle lui tendait le premier et s’empressait d’engloutir la moitié du sien avec la dextérité d’une buveuse confirmée. Hors, Leo-Alisson, buvait mais ne tenait pas. J’aimerais t’aider. Déjà à l’époque je trouvais que tu avais du talent. Pas uniquement parce que tu me prenais comme actrice principale dans un fim où j’étais la seule à figurer évidemment… Qu’elle disait dans un éclat de rire qui se perdait dans la fondation. Les souvenirs remontaient. Quand elle se trémoussaient devant la caméra et se prenait pour une Audrey Hepburn grande classe.



Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

(adrian) just need money and margarita - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: (adrian) just need money and margarita (adrian) just need money and margarita - Page 2 EmptyDim 4 Oct - 17:35


L'amitié ? C'est quand vous pouvez frapper à cinq heures du matin à la porte d'un ami pour lui dire : « J'ai tué quelqu'un » et qu'il vous répond tranquillement : « Faisons disparaître le cadavre. Où est-il ? »~ (léo-alison/adrian)

L’obstination d’Adrian avait finalement porté ses fruits. Elle c’était jetée à l’eau avec lui et ce geste amené le jeune homme à penser qu’il restait encore un peu de Léo au fond d’elle. Elle ne pouvait pas avoir entièrement disparu, pas aussi vite. Malgré tout elle semblait encore si loin de lui. Le brunet avait tant essayé de la ramener durant les dernières heures qu’il ne l’avait même pas questionné sur la raison de ce changement. Après tout, tout ce qu’il a pu lire ce sont des journaux. Les journalistes disent ce qu’ils veulent il en est bien conscient. Même si elle n’avait pas nié avoir tout perdu il avait pourtant besoin d’explications. Il lui semblait pourtant qu’il soit encore trop tôt pour la questionner. Peur qu’elle se braque et s’enfuit à nouveau. Outre le manque de meuble dans cette immense bâtisse ce qu’il avait observé par la suite était l’absence de présence d’un enfant. Micah n’était pas là il le sait bien, mais il pensait au moins qu’il avait été là. Quelques jours, quelques semaines, peu importe. Mais rien n’indiquait qu’un quelconque chérubin est mis les pieds ici. Depuis quand n’avait-elle pas vu son fils ? Des semaines ? Des mois ? Il ne l’avait jamais imaginé mère et pourtant aujourd’hui il ne s’imaginait pas que l’on puisse lui enlever son enfant. « Ne vas pas croire que je te fait des avances si je me déshabille, je tiens juste à ne pas ruiner ce beau plancher » Adrian retira alors son T-shirt, son pantalon et enroula la serviette autour de sa taille avant de suivre la jeune femme jusqu’à la cave qu’elle découvrait peut-être pour la première fois tout comme lui. Heureux de voir à quel point elle s’intéressait à son avancée il ne tarda pas à lui parler de son projet, projet qui n’en était plus vraiment un puisqu’il était devenu réel. Certes il n’était pas encore terminé seulement chaque jour il se concrétisait un peu plus. Chaque jour Adrian se répète que sa y est, il a réalisé son rêve. Peut-être trop optimiste c’est vrai mais il a attendu ce moment pendant temps de temps qu’aujourd’hui il ne s’imagine pas l’échec. Serait-il capable de recommencer à zéro si tout cela venait à prendre fin ? Sa vie à lui c’était devenu son film. Est-ce qu’il finirait seul comme Léo si tout s’arrêtait ? Est-ce qu’il trouverait le courage de se relever ? Une chose est sûr c’est qu’il était certain d’avoir quelqu’un pour l’aider à se relever, peut-être pas Léo non, c’est vrai. Il ne peut pas dire qu’il était certain de pouvoir compter sur elle et pourtant il ne pouvait pas dire qu’elle ne ferait pas tout son possible. Cela dépendait simplement de la Léo qu’il aurait en face de lui à ce moment-là. « C’est une comédie romantique, je commence le tournage dans quelques jours, j’ai vraiment hâte. Tout sa est tellement nouveau pour moi, je n’ai jamais géré une équipe aussi importante. Sa me fait un peu peur j’avoue mais c’est une peur qui fait du bien » Elle voulait vraiment être la pour lui il le voyait. Même si sa façon de vouloir l’aider n’était pas vraiment celle qu’il attendait il appréciait tout de même l’intention. « Ton soutien, c’est tout ce dont j’ai besoin Léo. Je suis sûr que le film te plaira, de plus il y a même un personnage inspiré par toi » Comme pour beaucoup des personnages de son film Adrian c’était inspiré des personnes qu’il connaissait, avait connu, même de banal inconnu qu’il n’avait croisé que trois ou quatre fois dans un café. Encerclant le verre de sa main il en but une bonne moitié avant de reposer son regard sur la jeune femme, assis en face de lui. Ce moment-là lui rappela un de leurs souvenirs. Une autre de leurs retrouvailles il y a presque deux ans. Dans son minuscule appartement à San Francisco. Se souvenir le fit sourire. « Je vois que tu as toujours une aussi bonne descente, mais je te préviens je n’ai pas l’intention de te porter jusqu’à ta chambre si tu ne peux plus marcher, tu dormiras sur ce billard. » Il se mit à rire. Bien sûr elle savait pertinemment qu’il ne le ferait pas. C’était bien trop méchant pour qu’il puisse le faire. Lui, Adrian, le gentil londonien qui pardonne toujours tout, celui qui est toujours là pour ses amis. Devrait-il changer ? Peut-être. Mais pour devenir quoi ? Un de ses connards, méchant et imbus d’eux-mêmes qu’il déteste tant ? Certainement pas. « Oh et ne m’en veux pas mais à l’époque je te prenais comme actrice car personne d’autres ne voulait cependant tu es une piètre actrice Léo, heureusement ta beauté à sauvé nombre de mes chefs d’œuvre » Lança t-il tout en riant à nouveau heureux de passer un bon moment avec son ami d’enfance. L’embêter, la faire rire, râler, la retrouver tout simplement.
Revenir en haut Aller en bas
Cameron Eynsford
there's no place like berkeley
Cameron Eynsford
prénom, pseudo : noémie
date d'inscription : 20/04/2014
nombre de messages : 5713
disponibilité rp : cameagan
avatar : julian schratter

(adrian) just need money and margarita - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: (adrian) just need money and margarita (adrian) just need money and margarita - Page 2 EmptyMar 13 Oct - 16:05

:out:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

(adrian) just need money and margarita - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: (adrian) just need money and margarita (adrian) just need money and margarita - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas

(adrian) just need money and margarita

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Sujets similaires

-
» money, money, money, must be funny, in the rich man's world ▶ one shot.
» money, money, money ~ juliet (pv)
» Your Life Against His Money
» Make the money [ LUX ]
» time is money

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-