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memories.~ pv

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Constance La Tour Dubois
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Constance La Tour Dubois
prénom, pseudo : julia.
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MessageSujet: memories.~ pv memories.~ pv EmptyJeu 30 Avr - 15:01




“.There should be a statute of limitation on grief. A rulebook that says it is all right to wake up crying, but only for a month. That after 42 days you will no longer turn with your heart racing, certain you have heard her call out your name. That there will be no fine imposed if you feel the need to clean out her desk; take down her artwork from the refrigerator; turn over a school portrait as you pass - if only because it cuts you fresh again to see it. That it's okay to measure the time she has been gone, the way we once measured her birthdays.”


Ses doigts fins effleurèrent la pierre gravée du nom d'Alban Saint-Rémy, puis se posa plus longtemps sur celle de Maxime de Bergerac. À ses deux plus vieux amis, et des meilleurs, elle offrit un bouquet de roses aussi rouges que celui de ses lèvres et en déposa une moitié sur chaque tombe. La vie, ou plutôt la sienne, continuait. Les leurs s'étaient stoppées un soir de Février qu'elle n'oublierait jamais et depuis, elle vivait pour plusieurs. Pour Alban, Maxime, et Fleur, à qui elle rendrait visite dans les minutes à venir. Avec le souvenir d'Alban, et son sourire toujours résolument sarcastique, et celui de Maxime, et sa façon si particulière d'être toujours fourrés – ou à l'origine – des meilleurs plans, se rappela à elle la douce odeur de l'adolescence. Celle dont elle avait profité à outrance, et où la liberté était reine. Constance, maîtresse de la Sorbonne. Constance, sublime créature. Constance première de classe, et pourtant première à faire l'école buissonnière au profit de longs périples à travers le globe. Alban, Maxime et Manon avaient été ses meilleurs comparses lors de ces moments qui lui étaient désormais de précieux souvenirs. Ils s'étaient régalé de l'époque où elle vivait pour l'adrénaline, le bonheur transcendant d'enfreindre les règles et de trouver sa voie en suivant son instinct, et ses envies seulement. La plupart de ses amis s'étaient aujourd'hui éteints et seul une poignée subsistait à ses cotés. Le temps d'Alban et de Maxime était celui où Constance pouvait se vanter d'avoir des amis, de vrais amis à qui elle était attachée. Elle ne pensait pas à eux tous les jours, ni toutes les semaines. Mais elle y pensait assez souvent pour ne pas oublier cette sensation de solitude latente qui l'habitait depuis leur disparition. Et si elle continuait sur la même voie, elle se priverait bientôt peut-être d'Augusto, qui lui était pourtant plus cher que quiconque. Manon seule subsisterait, parce qu'elle savait combien Constance pouvait être douée à se passer des autres, et elle trouvait toujours le moyen de s’immiscer. Tout en y laissant un sourire, elle accorda à ses deux vieux amis un rare sourire, et les laissa à la froideur de ces lieux afin de rejoindre l'endroit où sa sœur était enterrée elle aussi. Au détour d'une ruelle pavée, elle tomba sur deux hommes en train de se chamailler et rien qui puisse l'alarmer plus que le fait qu'ils se chamaillaient devant la tombe de sa sœur aînée. La cadence de ses pas s’accentua tandis qu'elle rejoignait cette esclandre malvenue et c'est lorsqu'elle planta dignement ses escarpins hors de prix sur le marbre que le duo lui accorda son attention. De ce qu'elle n'eut aucun mal à comprendre, la tombe de Fleur ne devait être fleurie que par ceux que Constance autorisait. Jusque là, rien de surprenant, là se trouvait une mesure drastique qui visait à éliminer les opportunistes qui voudraient fleurir la tombe de quelqu'un qu'ils n'avaient qu'à peine côtoyé, voir pas du tout. Constance détestait qu'on vienne déposer des fleurs ici sans qu'elle soit au courant. Excepté qu'à l'occasion de l'anniversaire de Fleur, ce qui expliquait sa présence à San Francisco, la cadette des La Tour Dubois prenait toujours le soin de faire fleurir la tombe en totalité. Quelqu'un qui s'avérait être Nathaniel Atwoodth, qu'elle eut le plus grand mal à reconnaître de prime abord, en avait décidé autrement et se tenait prêt à rendre hommage lui aussi, un bouquet dans les bras. Constance le jaugea du regard un court instant, puis accorda son attention au jardinier qui finalement, ne faisait que suivre les consignes. « .Laissez-le donc poser ses fleurs, espèce d'imbécile. » grogna-t-elle, dardant sur lui un regard aussi noir que le charbon. « .Bien sûr, mademoiselle La Tour Dubois. » s'excusa-t-il, avant de tirer sa révérence. Elle poussa un soupir, toujours vaguement exaspérée par la stupidité des gens. Qui plus est, Nathaniel était sur la liste. « .Bonjour Nathaniel. » le salua-t-elle sobrement, d'un accent français bien chantant. Elle ne l'avait pas vu depuis… depuis. Incapable de se resituer sa dernière rencontre avec ce gars qu'elle connaissait finalement si peu, elle s'imagina l'avoir vu en compagnie de Fleur, lorsqu'elle était encore là, et que tout allait bien dans le meilleur des mondes. « .Tu as changé. » en bien ou en mal, elle ne l'avait pas assez côtoyé pour pouvoir statuer. Cependant, quelque chose était différent chez lui. En dehors du fait qu'il était passé du physique d'Anakin Skywalker à celui de Tobias Eaton, bien sûr. Des années de silence la séparait de lui, et bien qu'elle n'ait jamais été très bavarde en sa compagnie, il lui fallut bien admettre que Nathaniel apportait avec lui un quelque chose de rassurant. De toute évidence, le lien qu'elle faisait entre lui et sa sœur défunte était toujours là, bien ancré en elle. Sa seule présence lui prouvait que sa sœur était réelle, et le serait toujours malgré sa mort. Elle aussi avait changé depuis. Moins pimbêche, mais plus froide. Depuis toujours, et plus encore aujourd'hui, Constance n'avait rien à voir avec Fleur et Nathaniel n'aurait aucun mal à s'en souvenir. Son seul point commun avec Fleur résidait dans son nom de famille, peut-être dans l'accent français bien chantant qu'elle utilisait. Contre toute attente, elle fit quelque chose qui ne lui ressemblait pas, et que personne n'aurait jamais soupçonné : « .Café ?. » Elle lui lança une invitation. Pas qu'elle ait très envie de parler avec lui. Le diable la bannisse si elle se retrouvait à raconter sa vie, et surtout à écouter la sienne autour d'un café. Mais avec qui de mieux placé que le dernier petit ami en date, pouvait-elle passer l'anniversaire de sa sœur décédée ?
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Nathaniel Atwoodth
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Nathaniel Atwoodth
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MessageSujet: Re: memories.~ pv memories.~ pv EmptyMer 6 Mai - 22:17

Les souvenirs rôdent et vous rendent nostalgique dès que vous vous en approchez trop près.
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Aujourd'hui est une journée importante pour Nathaniel Atwoodth. Une journée marquée d'une croix rouge depuis quelques années maintenant. Une journée qu'il n'oubliera jamais et qui lui rappellera toujours à un passé heureux. Une journée vers laquelle toutes ses pensées sont tournées vers une seule et même personne : Fleur La Tour Dubois. Sa défunte petite amie. Fleur a trouvé la mort en cette triste journée de février, dans l'université qui était la leur, Berkeley. Victime d'une cruelle fusillade, elle y a laissé la vie. Fusillade qui aurait pu aussi coûter cher à Nathaniel, mais qui ne lui a offert qu'une balle dans le bras. Il a été chanceux. Mais pas Fleur. Il s'en est sorti. Mais pas Fleur. Il a réussi à s'en relever. Mais pas Fleur. Elle, elle est morte, quasiment sous ses yeux. Presque dans ses bras. Il l'a tenu pendant de longues minutes, son corps sans vie, gisant au creux de son étreinte. Il l'a pleurée, des heures durant. Le deuil de Fleur ne lui a laissé aucun répit. La douleur s'est faite lancinante durant des semaines. Des mois. Et puis, il a fallu relever la tête. Et lui faire honneur. Profiter de la vie qu'elle ne pouvait plus vivre. Nathaniel s'est remis à vivre. Pour son fils d'abord. Et puis pour elle. Qui était bien trop jeune pour mourir et pour qui il fallait combattre la tristesse et réapprendre à sourire. Il aurait été irrespectueux de se laisser abattre et ne pas profiter de la chance qu'il avait eu en échappant à cette magistrale tuerie. Son bouquet d'orchidées blanches en main, Nathaniel déambule dans le cimetière, à la recherche de la tombe de Fleur. Il vient ici chaque année, à la même date. Celle de sa mort. Chaque année, il vient y déposer quelques fleurs. Chaque année - même lorsqu'il était à New-York chez Alexis – il fait l'effort de venir. Pour lui rendre hommage. Pour lui parler aussi, un peu. Pour se remémorer leurs moments passés ensemble. Pour lui montrer de là-haut qu'il pense toujours à elle, même s'il a refait sa vie. Même si son cœur appartient désormais à une autre femme – et pas n'importe laquelle – Fleur La Tour Dubois détiendra toujours une place particulière dans celui de Nathaniel. Il a été amoureux d'elle. Il l'a aimé et malgré sa disparition, son amour pour elle sera toujours ancré en lui. Pas un jour ne passe sans qu'il ait une pensée pour sa défunte petite amie. Le Atwoodth arrive enfin devant la tombe, et alors qu'il s'accroupit pour y déposer le bouquet qu'il a apporté, un homme s'élance vers lui, lui priant de déguerpir. What ? Depuis quand n'a-t-il plus le droit de déposer ses fleurs. Ordre de mademoiselle La Tour Dubois elle-même. Constance La Tour Dubois. Le serviteur de madame se tient fier comme un coq, bien décidé à ne pas se laisser faire. Et de peur de voir les foudres de la jeune femme s'abattre sur ses épaules aussi. Nathaniel commence à légèrement s'agacer. C'est bien la première fois depuis ces dernières années qu'on l'empêche de venir se recueillir sur la tombe de Fleur. Il est prêt à passer un dernier coup de gueulante lorsqu'une voix congédie le jardinier, ou le serviteur ou qu'importe. Le québecois se retourne pour se retrouver face à Constance La Tour Dubois en personne. « Bonjour Constance » répond-il poliment, d'un simple sourire. Constance, il ne peut pas vraiment dire s'il l'aime bien ou non. Evidemment qu'il l'a connait pour avoir fréquenté les couloirs de Berkeley, grande reine de l'université, et pour être sorti avec sa grande sœur. Mais en tant que personne, il ne l'a que trop peu fréquenté. Voir pas du tout. Il ne se rappelle pas avoir eu une véritable conversation avec elle un jour. Il faut dire qu'elle n'accordait pas sa parole à grand monde. « J'ai pris des rides c'est sur. ». Et du muscle aussi, il faut bien l'avouer. A l'époque de Berkeley, Nathaniel était assez gringalet. Et puis les années ont passé et le sport s'est mis à sculpter son corps d'homme. Depuis l'université, le jeune homme a vieilli, obligatoirement mais contrairement à d'autres personnes, le temps ne cesse de l'embellir. Nathaniel est carrément plus beau – et plus sexy – maintenant, qu'il y a quelques années. « Tu es toujours aussi resplendissante » constate-t-il. Même les jours de deuil. Constance dégage un charme français indéniable. Et ne parlons pas de ses formes des plus parfaites. Peu d'hommes ne se retourne pas sur son passage, il en est certain. Déjà à l'époque, la plupart des étudiants rêvaient à ne serait-ce qu'obtenir un regard de la demoiselle. Et c'était toujours peine perdue. Constance n'a toujours eu d'yeux que pour son italien, le Pelizza Da Volpedo. « Si tu veux oui ». Nathaniel ne peut cacher sa surprise face à la proposition de la française. Un café. Avec elle. En tête à tête. Cette journée adoucirait-elle madame cœur de glace ? Les deux rescapés de la fusillade se retrouvent dans un café près du cimetière. Après avoir passé commande, un léger silence s'installe. Que Nathaniel décide de rompre. « Alors, où tu en es dans ta vie maintenant ? ». Banalités bonjour. « Il me semble que tu es à New-York ? » ajoute-t-il, bien qu'il semble connaître la réponse. Pour avoir lui-même foulé les rues de New-York durant de longs mois. Et avoir entendu que Constance se faisait un nom au sein de l'entreprise Vogue. Sans grande surprise.
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Constance La Tour Dubois
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: memories.~ pv memories.~ pv EmptyMer 20 Mai - 12:47

S'il y avait bien une personne à qui elle n'avait rien à dire, et probablement rien à dire ever, il s'agissait de Nathaniel Atwoodth. Edward, Maxwell et Alexis, elle pourrait composer avec. Mais Nathaniel était si proche de Fleur, et donc par définition si loin d'elle et tout ce qui lui importait, qu'elle s'insulta de lui avoir proposé un café. Quittant le cimetière avec hâte, elle se décida à flâner à ses côtés sans presser le pas, accueillant les prémices de cette conversation, qui serait probablement la seule qu'ils auraient, avec vigilance, et probablement tout le dédain dont elle était faite. Resplendissante ? Certes. Rien de bien nouveau pour elle, qui recevait bien des éloges chaque jour, tant sur sa beauté, son esprit, que son charisme tout naturel. « .Je sais. » trouva-t-elle à rétorquer, aussi imprévisible et culottée qu'à l'époque. Elle n'était pas Fleur : précieuse, enjouée, et conciliante. Et dieu l'en préserve, elle ne serait jamais comme sa sœur. Si Nathaniel n'avait jamais eu l'occasion de s'en rendre compte, Constance la lui offrait sur un plateau. Ou du moins, sous la forme d'une tasse de café qu'elle se languissait de déguster. Elle connaissait un café à quelques rues de là, malheureusement pour elle (eux), il faudrait traverser Berkeley et se noyer dans toute la nostalgie qui accompagnait ces lieux, avant d'être autorisé à boire un satané café. À croire qu'il se méritait. Silencieuse, et toujours un regard dignement dirigé vers l'horizon, elle poussa un soupir à sa tentative pitoyable, mais intéressante, de faire la conversation. Comme quoi l'effort venait des deux côtés, ce qui l'obligeait à saluer les siens en participant à son tour. « .Je te trouve bien informé, dis-donc. » souligna-t-elle, pourtant consciente que la petite renommée qu'elle s'était faite à ses débuts prenait une véritable ampleur à chaque pas qu'elle effectuait gracieusement au sein de la célèbre publication de mode. Mais comment un mec comme lui pouvait donc s'intéresser à un moment qui n'était pas le sien ? Bien sûr, elle n'excluait pas l’éventualité qu'il soit tombé sur un article, et que son nom de famille l'ait interpellé au point de le pousser à s'y intéresser, et donc à savoir ce que la petite sœur de sa défunte petite amie devenait. Elle s'en remettait, de la disparition de Fleur, et continuait de vivre, comme elle l'avait fait brillamment à chaque disparition. Peut-être en faisant démonstration d'indifférence, certes, mais elle le faisait. Elle était passée au dessus depuis longtemps, et la seule amertume qui subsistait encore en elle lui murmurait parfois qu'elle aurait préféré que son aînée subisse un sort plus enviable que celui réservé par une fusillade. « .Oui, je vis à New York, comme ton cousin, Alexis que j'ai eu l'occasion de côtoyer à maintes reprises. » se décida-t-elle à attester, y ajoutant sa petite note personnelle. Oh elle avait plus que l'occasion de le côtoyer dernièrement, cet Alexis, puisqu'elle avait l'impression de le voir quasiment tous les jours. Ou d'avoir de ses nouvelles tous les jours, du moins. Il était, en dehors d'Edward bien sûr, sa compagnie la plus fidèle et la plus plaisante. Sur un plan parfaitement platonique, évidemment. « .Quelqu'un … d'intéressant, Alexis. Il semblerait que vous ayez quelques petites choses en commun. » souligna-t-elle, loin d'être subtile, et loin de vouloir l'être. Alexis avait perdu sa petite amie, dont elle ne se souvenait plus du nom tellement l'information avait suscité si peu d'intérêt à ses yeux, lui aussi. C'est presque si elle ne se demanda pas si une malédiction ne tournait pas dans la famille Atwoodth. Heureusement pour elle, elle s'était dépêtrée du sien avant d'y laisser sa vie. « .Sinon, comme tu dois le savoir, je travaille pour Vogue. » Comme tu dois t'en foutre, aussi, mais qu'importe. Il lançait la conversation, autant qu'elle rentre dans les détails. Au moins ceux qui sillonnaient la surface de sa vie trépidante. « .Et dans quelques temps, le tout Vogue travaillera pour moi. » ajouta-t-elle, une lueur conquérante dans les yeux. Il se murmurait déjà qu'Anna, sa patronne, mentor et celle dont le très célèbre '' Diable s'habille en Prada '' s'inspirait, se cherchait une associée toute trouvée en la personne de Constance. Elle apportait une jeunesse, une fraîcheur inestimable à la publication et Anna, aux portes d'une retraite bien méritée, supposait que Constance serait l'héritière idéale de l'empire Vogue, et plus tard de tout Condé Nast, sa société propriétaire. « .Je suis en déplacement pour affaire, et suis accompagnée d'Edward. Hildebrand. Edward Hildebrand. Je ne sais pas si tu as eu l'occasion de le connaître. Probablement pas, mais sait-on jamais. » Ne sait-on jamais, avec Edward et sa fâcheuse habitude de traîner avec le commun des mortels. Peut-être le connaissait-il, peut-être pas. Peut-être de réputation seulement, qui sait. De son époque, tous le monde connaissait Edward. Pour ses frasques, et son habitude à briser les cœurs. Habitude dont elle s'était longtemps amusée, et qui continuait à l'amuser aujourd'hui encore. Edward, on l'aimait, ou on le détestait et elle chercha sur le visage de Nathaniel un moyen de savoir dans quelle direction son intérêt pour Edward pourrait bien se diriger. Encore une fois, s'il le connaissait bien sûr. « .Et toi ? Qu'est-ce qui t'amènes ici ? . » Pas qu'elle ait un quelconque intérêt pour l'information, mais autant faire la conversation autant que faire ce peut et lui rendre l'occasion de lui présenter sa vie sans Fleur. Arrivée devant l'immense portail de Berkeley, elle marqua un temps d'arrêt en plantant ses talons vertigineux au sol. « .Je déteste cet endroit. » marmonna-t-elle, indignée.
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Nathaniel Atwoodth
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MessageSujet: Re: memories.~ pv memories.~ pv EmptyMar 26 Mai - 17:45

La condescendance de Constance n'affecte en rien un Atwoodth déjà bien blindé contre la médisante de son ancienne belle-soeur. Les railleries balancées par la jeune femme, toujours plus belle et plus sure d'elle que tous les autres, ne sont plus à prouver. Et Nathaniel a appris à composer avec, voir à les esquiver. Elle est d'une beauté rare, et elle le sait. N'importe quel pigeon peut lui bouffer dans la main, et elle le sait. Elle peut mettre à ses pieds n'importe quel homme et elle le sait. C'est ce qui fait la force d'une La Tour Dubois toujours plus amère, plus hautaine. Il se dit qu'un jour, elle tombera sur plus puissante qu'elle et que peut-être, cela ébranlera son piédestal. Ou pas d'ailleurs. C'est bien tout ce qu'il peut lui souhaiter. « C'est parce que je sais aussi m'intéresser aux autres » rétorque-t-il, d'un sourire – légèrement – hypocrite. Ce n'est pas une pique envers elle. Juste une constatation. Il ne la porte pas dans son cœur certes, mais il ne la déteste pas non plus. Et savoir que ses anciens camarades d'université réussissent aussi leur vie le rend nostalgique d'un temps perdu et aussi heureux. Nathaniel, c'est un vrai gentil qui souhaite tout le bonheur du monde, même à son pire ennemi. C'est peut-être son problème d'ailleurs. Il s'efforce toujours de voir la part de lumière même chez la personne la plus sombre qu'il puisse rencontrer. Gentil, mais pas naïf. On la lui met pas à l'envers aussi facilement qu'il n'y paraît. « Effectivement. Alexis et moi nous nous entendons comme des frères ». Alexis est le cousin dont Nathaniel est le plus proche. Il le considère comme son quatrième frère et il ne se passe pas une semaine sans qu'il prenne de ses nouvelles. Mais ça ne l'étonne pas plus que cela que Constance et Alexis se côtoient. Voir s'apprécient. Les deux garçons étant très différents de caractère. Alexis est de l'acabit de la La Tour Dubois. Pas Nathaniel. « J'ai vécu un an chez lui à New-York. D'où le fait que je sache que tu y a fait ton fief. ». A New-York, les nouvelles vont assez vite. Et la nom montant au sein de Voguz s'est très vite fait connaître. Constance La Tour Dubois, future rédactrice en chef de Vogue ? Très fort probable. Tout le monde en parle dans la ville qui ne dort jamais. Ou du moins, presque tout le monde. Il faudrait être complètement sourd et aveugle pour ne pas être au courant d'une telle information. « J'en ai eu quelques échos c'est vrai. Félicitations. » répond-t-il simplement. Le Atwoodth se demande encore pourquoi est-ce qu'il a bien pu accepter la proposition de Constance. Un café avec elle ? Si on l lui avait annoncé ce matin, il se serait bien marrer. Pourquoi n'a-t-il pas prétendu un rendez-vous très important avec un client à défendre. Ou il aurait du mentionner son fils à aller récupérer chez Maxwell, chez qui il s'amuse avec ses cousins depuis plusieurs heures. Maintenant, il se retrouvait bloquée par quelqu'un avec qui il n'avait quasiment rien à partager. Great. « C'est tout le mal que je te souhaite. Et je ne doute pas que tu vas parvenir à tes fins ». Comme toujours lorsqu'il s'agit de Constance La Tour Dubois. Cette femme ambitieuse est bien capable de devenir présidente des Etats-Unis si elle le souhaite. Il y en a qui ont besoin de beaucoup travailler pour obtenir ce qu'il souhaite et d'autres qui ont plus de chance. Ou de contacts. Ou qui possède un nom de famille réputé. Tout le monde ne naît pas égaux malgré ce que l'on veut croire. C'est la vie. « J'ai côtoyé Edward à Berkeley, bien avant qu'il ne brise le cœur de ma meilleure amie ». Aka Catahleen Hammersmith. La femme dont il est éperdument amoureux aujourd'hui. « Hé oui, nous avons été amis, aussi surprenant que cela puisse paraître. Mais ce temps est bien enterré. Depuis très longtemps » ajoute-t-il, en référence à ce qu'Edward a fait subir à Catahleen. Il a du choisir son camp et le choix fut vite fait. Choix qui ne fut pas accepter par Edward, le surnommant de traître dès qu'il eut compris que Nathaniel soutiendrait toujours sa meilleure amie, coûte que coûte. Edward, il va mieux à être ami avec Constance. Ils sont pareils. Manipulateurs. Mesquins. Médisants. « Donc oui, je le connais ». Malheureusement eut-il envie d'ajouter. Mais il se contente alors d'un haussement d'épaule nonchalant. « Je vis ici depuis quelques mois. J'ai décroché un poste ». Il n'en dit pas plus, Constance ne doit surement pas l'écouter. Et qu'il soit avocat, médecin ou encore infirmier doit bien l'intéresser autant que de savoir ce qu'elle va manger ce soir. Elle n'a même pas du écouter la fin de sa phrase. Ils n'ont toujours pas atteint le café et Nathaniel regrette de plus en plus d'avoir accepté. Il en est à prier pour que son téléphone sonne et lui offre un échappatoire. Limite il aimerait bien que Julian se soit fait mal en vélo pour qu'il puisse s'en aller le rejoindre. Père indigne. « Je ne le porte pas dans mon cœur non plus. C'est bien pour cela que j'ai pris la poudre d'escampette après la mort de Fleur » rétorque-t-il en contemplant l'immense portail de son ancienne université. Il n'y garde pas d'excellents souvenirs. La fusillade du 14 février résonnant encore vigoureusement en lui. Maudit Berkeley. Bloody Berkeley.
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Constance La Tour Dubois
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Constance La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: memories.~ pv memories.~ pv EmptyLun 8 Juin - 10:52

À sa réponse, elle se contenta de lâcher un ricanement. S'intéresser aux autres ? Oh please. Il n'y avait que les gens comme lui pour dire pareilles stupidités. Grand bien lui en fasse qu'il sache le faire, Constance n'avait pas le temps pour ce genre de balivernes. Sa carrière demandait une attention de tous les instants, et un moment d’inattention alloué à un tiers saurait faire basculer son incroyable parcours vers le chaos. Elle n'avait pas le temps pour les autres, et n'avait certainement pas l'ambition d'aider son prochain. Dieu merci, elle s'estimait beaucoup trop pour perdre son temps à essayer d'être l'épaule sur laquelle pleurer de service. Ses proches étaient fait du même acabit qu'elle, et personne ne pleurait. Chacun savait rester digne, même dans sa déchéance, dieu merci. Elle entendait, et revoyait, Fleur lui sortir le même genre de discours risible, qu'elle avait piqué de la bouche de leur mère lorsqu'elles étaient encore enfant. Sois bienveillante, et le monde te sourira, ce genre billevesées d'une absurdité sans borne, qui finalement n'en avaient sauvées aucune des deux. Aucun doute que ces deux-là, Nathaniel et Fleur, auraient vécu une vie heureuse, paisible et tristement rangée, avec un milliard de marmots, des tonnes d'amis inintéressants et tout autant de dimanches gaspillés au service de la croix rouge, la SPA et d'autres conneries du style. Sa conception de la vie parfaite différait de celle de Fleur, et donc de celle de Nathaniel. Mais elle fut certaine de voir en lui l'homme avec qui sa sœur aurait terminé sa vie, si seulement le sort ne s'était pas occupé d'elle bien avant l'heure. L'envie de rire ouvertement de lui et de sa charité passée, Constance tenta de se remémorer la dernière fois qu'elle s'était retrouvée à écumer les rues de New York en compagnie d'Alexis. Pas plus tard que la semaine dernière, en fait. Ils avaient siroté un cocktail sur la cinquième, après le boulot et fomenté tout un tas de plan visant à rabaisser… Qui était-ce déjà ? Qu'importe. Constance manigançait tellement qu'elle en oubliait parfois les plans mineurs qu'elle concoctait pour Alexis, encore jeune joueur dans le domaine « .Oh vraiment. » ronronna-t-elle, pourtant si peu convaincue par le fait qu'ils puissent être proche. Par le passé, d'accord. Mais maintenant ? Alexis avait auparavant tout en commun avec ses cousins, ce qui l'avait rendu plus que détestable aux yeux de Constance qui avait appris à l’apprécier il y a peu. Depuis que le fantôme de sa copine morte le hantait assez pour le rendre affable et donc, intéressant. Étonnant que Nathaniel n'ait pas mal tourné, lui aussi, songea-t-elle, dardant sur le concerné un regard en biais. « .C'est une ville passionnante, New York. Pourquoi ne pas y être resté ? Je sais que Fleur voulait y vivre après ses études. » Pas qu'il soit obligé de suivre ce que Fleur voulait, dieu merci, chacun était libre de faire ce qu'il voulait. Et en dépit de la conversation qu'ils étaient en train de mener (a k a la conversation la plus hypocrite de tous les temps), Constance se moquait pas mal de ce qu'il voulait faire… ou même de ce qu'il pouvait faire à présent en réalité. Mais la curiosité, toujours la curiosité. Alexis portait la chemise du jeune pdg, Edward celle du maître d'école couvert de vomis, Maxwell le tee-shirt de la plus grande figure paternelle de tous les temps, et voilà Nathaniel. Nathaniel qui, pour le moment, n'avait aucune étiquette, exceptée celle de '' celui qui s'intéresse aux autres ''. « .Moi non plus. » siffla-t-elle, déjà sur une route pavée de succès. Elle non plus ne doutait pas parvenir à ses fins. Constance La Tour Dubois obtenait toujours ce qu'elle voulait. Si pas d'un claquement de doigt, elle l'obtenait par la force. Ainsi la vie était faite. Elle gagnait à tous les coups, qu'elle bataille ou non. Tout comme Edward, qui gagnait les cœurs pour le sport. « .Ah, une dans un millier à être tombée dans le piège d'Edward Hildebrand. » soupira-t-elle, ne sachant pas si elle devait être fière ou exaspérée du comportement de son meilleur ami. Fière, très certainement, puisqu'elle était experte en la matière elle aussi. Mais exaspérée par la simple idée que Edward trouvait encore le temps, et la passion, de démolir des cœurs encore des années après la fin de l'Université. Edward puait l'arnaque à cent mètres à la ronde, elle peinait à croire qu'on puisse se laisser conquérir par pareil petit con. Bien sûr, elle le portait haut dans son estime, évidemment. Mais il n'en restait pas moins un loup affamé que toute femme devait à tout prix éviter. Toute exceptée elle, qui occupait la place royale de meilleure amie (et qui de toute façon était bien trop intelligente pour lui succomber). « .J'imagine, oui. » concéda-t-elle, d'accord avec le fait qu'on puisse abhorrer quelqu'un si ce quelqu'un avait brisé sa meilleure amie. Fair game. De son côté, Edward ne le mentionnait jamais. D'ailleurs elle douta avoir déjà entendu le nom de Nathaniel Atwoodth sortir de la bouche d'Edward. Peut-être il y a des années de ça, et encore. Qu'importe. « .J'espère pour toi que ta meilleure amie n'habite plus ici, parce qu'avec Edward dans le coin, je suis prête à parier qu'il va chercher à la revoir. » Il allait le faire, elle le savait déjà. À part si elle se trompait, mais peu probable. « .À part si elle n'était qu'une petite histoire, le genre '' une nuit ''. Là elle est tranquille. Mais Edward aime bien … revoir ses anciennes relations sérieuses. Pour le sport. » et pas le sport de lit, non. Le sport du heartbreaker, le vrai, le poignant, le sanglant. Pas que ça puisse l'intéresser finalement, mais sait-on jamais. Au moins Nathaniel serait prévenu et sa bonne action de l'année était validée. Debout sur ses escarpins devant Berkeley, elle poussa un soupir. Il y avait peu de chose qu'elle aimait, ou ne détestait pas. Berkeley se situait au sommet de la liste des choses les plus détestables au monde, loin devant les classes inférieurs à la sienne, les rappeurs et les caleçons à motifs. « .Si tu savais ce que les alphas sont devenu après ton départ... » souffla-t-elle, en pénétrant dans l'enceinte de l'Université. Des modèles de décadences. La moitié de la confrérie enceinte, la doyenne à moitié nonne croyante vierge, mais enceinte, et autres délurés de services. Elle poussa un soupir. Un si grand potentiel, qu'un jour Fleur avait guidé dans le droit chemin et après la déchéance, gâché.
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Nathaniel Atwoodth
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MessageSujet: Re: memories.~ pv memories.~ pv EmptyDim 5 Juil - 15:33

Cette rencontre fortuite avec Constance n'est sans doute pas celle qui va égayer sa journée. Si il peut être plaisant de tomber sur des anciens camarades de classe, celle-ci il s'en serait bien passé. Constance est tout ce que déteste Nathaniel. Un mélange de médisante, de condescendance qui lui donne l'envie de la gifler. Même en gentleman qu'il est, jamais il ne pourrait lever la main sur une femme. Aussi détestable soit-elle. Alors il espère que la conversation tournera vite court et que chacun retournera à sa propre vie. Aussi loin l'un de l'autre que possible.« Oui vraiment. Même si cela te semble peu probable, c'est pourtant la vérité. »répond-t-il devant la suspicion de la La Tour Dubois. Même si Alexis et Nathaniel n'ont rien en commun niveau caractère, ça n'empêche pas qu'ils s'entendent très bien depuis tout petit. Leurs différences fait leurs forces et malgré quelques discordes, leur relation s'est amplifiée lors de son passage à New-York pour quelques mois. Certes Nathaniel ne comprend pas toujours les attitudes de son cousin, mais il compose avec et ne se formalise plus. Ce n'est pas parce qu'on est différent qu'on ne peut pas s'entendre. La preuve avec les Atwoodth. « J'ai eu une offre de travail plus alléchante ici à San Francisco. Tout simplement. Et même si New-York peut offrir un milliard de possibilités, mais je suis très attaché à San Francisco ». Nathaniel reste évasif, parce que ça ne sert à rien d'épiloguer dix milles ans. Il n'en a pas envie et puis surtout, cela ne regarde en rien l'ancienne présidentes et doyenne des iotas. C'est une histoire que Nathaniel n'a pas spécialement envie de ressasser et de partager. Son départ de New-York fut précipité et ne s'est vraiment pas déroulé sous les meilleures hospices. Il a fait le con mais l'assume complètement. Seulement, c'est son histoire à son fils et lui. Et à personne d'autre. « Oui on peut dire comme ça ». Il était évident que Constance allait se faire un malin plaisir à parler des conquêtes d'Edward, dont Catahleen dont il est fou amoureux à fait parti. Mais pour sa meilleure amie, le Hildebrand n'était pas qu'un simple garçon, il fut son premier amour et ça Nathaniel a du mal à l'oublier. Mais ce n'est pas pour autant que le jeune homme ressent une haine démesurée pour l'ex de sa meilleure amie. Catahleen semble avoir tourné la page et c'est le plus important pour lui. Elle ne souffre plus de sa rupture avec ce goujat comme elle a pu souffrir les premiers temps. Le québecois se rappelle des larmes de son amie, des nuits blanches à la consoler, des pots de crèmes de glace engloutis. Il n'espère que que la Hammersmith tombera à nouveau dans le piège d'Edward mais quand bien même cela se produirait, Nathaniel sera toujours là pour sa meilleure amie. Quoiqu'il arrive. Même s'il doit voir son coeur se fissurer en mille morceaux. Il est prêt à tous les sacrifices pour elle, même si elle doit être avec un autre que lui. « Il peut toujours chercher à la revoir ce n'est pas mon problème » affirme-t-il d'un haussement d'épaules. Et c'est...à moitié vrai. Parce que Catahleen est une grande fille, mais aussi parce que si cela devait arriver, Nathaniel ne serait pas le premier euphorique. Mais il ne pourrait rien dire, rien faire. C'est sa vie à elle, à Catahleen et elle la dirige comme elle l'entend. Il espère juste qu'elle ne sera pas assez naive pour retomber une nouvelle fois dans le panneau. « Je ne doute pas de la force de Catahleen pour repousser Edward si elle en a l'envie. Tout le monde n'est pas à vos pieds Constance ». Aux tiens et à ceux du Hildebrand. Ou de ta garde rapprochée. Augusto, Manon, etc. Tout le monde ne désire pas être un serviteur de ces gens-là. Le Atwoodth ne doute pas qu'il n'est pas le seul à ne pas leur tirer révérence. Tout le monde ne souhaite pas faire parti du cercle fermés de la demoiselle française, il en est persuadé. Il en est la preuve vivante. Il a du mal à comprendre ce qui pouvait bien unir les deux sœurs, Fleur et Constance. Si différentes. Fleur était tout ce que Constance n'est pas. Gentille, douce, ouverte sur les autres. Il en est tombé amoureux dès les premiers instants, sans pouvoir rien y faire. « Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Ce fut tant de la débandade que cela ? » demande-t-il, un sourcil arqué d'incompréhension. Il est curieux de savoir comment a évolué la confrérie qu'il présidait à l'époque avec Fleur. Confrérie qui fut sa deuxième famille, qu'il chérissait plus que tout. Un peu comme Constance avec ses iotas. Le Atwoodth a toujours fait de son mieux pour maintenant les alphas au top de leur niveau, sans jamais entacher la réputation qui leur précédait. Les intellos. L'élite intellectuelle. Nathaniel jette un coup d'oeil à sa montre. Parfait, il va peut-être pouvoir esquiver le café, l'heure d'aller chercher Julian à l'école approche à grands pas.
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