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beautiful nightmare (lamar)

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MessageSujet: beautiful nightmare (lamar) beautiful nightmare (lamar) EmptyMar 28 Avr - 21:27


beautiful nightmare



Ebony&Lamar ⊹ Arquant un sourcil, Ebony observait avec amertume les débordements qui jaillissaient aux quatre coins des rues de la Nouvelle Orléan. Pauvreté humaine. En pleine représentation de ce que pouvait sembler être la déchéance humaine lorsqu’elle torturait son esprit par l’alcool, Ebony puisait dans son énergie la plus intime afin de ne pas lever les yeux au ciel toutes les deux secondes. Indétrônable dans sa folie passagère, indomptable et exécrablement dangereuse pour elle et le reste des gens qui l’entourait, la jeune femme n’appréciait pourtant guère la vision d’hommes et de femmes à moitié couchés sur le sol à cause de forts taux de boissons alcoolisées absorbées. Ebony si elle faisait la fête c’était avec ivresse, indépendance et surtout, contrôle. Elle avait vendu de la drogue toute sa vie, la majorité du temps dans l’enceinte des locaux de Berkeley et avait plus d’une fois drogué d’autres étudiants pour le simple plaisir d’armer sa manche d’un jocker supplémentaire dans un jeu qu’elle débutait chaque fois pour le finir à son avantage. Prédatrice aux crocs acérés, ancienne doyenne des gammas, la confrérie aux comportements des plus fallacieux, la donzelle avait ouvert ses portes à un autre amusement plus intense encore. Si la jeune femme avait toujours été de la mauvaise graine et avait entraîné nombre de personnes dans ses pièges les plus macabres, Bony avait l’ambition dérangeante d’obtenir un pouvoir considérable afin de frôler les vestiges d’un terrain de jeu interminable. Aucune limite, le simple frisson d’une danse titanesque où personne ne pourrait l’arrêter. Démon austère parmi les grandes têtes de l’empire américain, elle avait à peine décroché son diplôme en communication politique qu’elle s’accrochait aux rangs pour montrer comment sa vilénie pouvait être remarquablement appréciée dans ce milieu pourri jusqu’à la moelle. Si Ebony cachait bien son passé et les noirceurs d’antan, elle ne perdait pas de temps pour gravir les échelons et se frayer une place parmi les requins de ce monde. Aujourd’hui chargée de communication et des relations publiques d’un homme qui allait bientôt gagner les élections, la jeune femme se permettait toute fois de dériver de sa fidélité afin de travailler en étroite collaboration avec son ami d’enfance Jayan. S’il n’était pas exclut qu’elle daigne travailler pour quelqu’un d’autre derrière le dos de son client, elle ne s’en empêchait pas, sachant déjà que l’homme bientôt à la maison blanche y finirait à son sommet le plus culminant, elle à ses côtés pour l’épauler comme leurs rêves d’enfant leur avait toujours dictés. Croquant une dernière fois dans la pomme rouge du vice, elle lâchait le fruit défendu sur le sol pour s’immiscer dans la foule dense et compacte qui l’encerclait alors de toute sa splendide cupidité. Regard hypnotisant et démarche chaloupée, la belle se laissait attirer par les sons divagants des badauds musiciens et par le joint qu’elle tenait entre ses lèvres, récompense de deux longues journées d’enfer où elle avait œuvré corps et âme afin d’offrir à son client la nouvelle orléans et des voix supplémentaires. Si ses manières afin d’arriver à chacune de ses fins n’étaient pas toujours des plus respectables, personne n’y prenait garde car dans ce milieu, mieux valait réussir que perdre et bien sûr, les méthodes pour y arriver restaient personnelles à chacun. Se dirigeant vers l’hôtel où chaque meeting depuis le début de l’année avait été organisé, elle faisait claquer ses talons hauts sur les marches de marbre recouvrant le perron à son arrivée pour dévisager avec condescendance l’homme qui lui ouvrait la porte avec élégance. Si la jeune femme paraissait hautaine et insupportablement dénigrante, il était impossible d’imaginer qu’elle avait toujours vécu de rien, au jour le jour et que sa vie n’avait été qu’un long fleuve d’aventures rocambolesques et de péripéties certaines fois dramatiques et destructrices. Pourtant aujourd’hui, elle se retrouvait dans le courant politique et s’en sortait royalement bien. Profanant de son arrivée le seuil de l’hôtel luxueux, elle s’égarait à travers les couloirs pour se diriger vers la réception et atteindre au plus vite sa chambre, caricature des anciennes suites princières qui avaient accueilli de grands noms. Son doigt frôlait alors le bouton de l’ascenseur mais l’hésitation s’emparait de son bras avant qu’elle ne retienne alors son mouvement. Songeuse, la jeune femme semblait avoir tout quand elle n’avait jamais rien possédé hormis son incongrue vélocité. Pourtant, les nuits seules lui donnaient des hauts le cœur. Elle repensait à sa vie d’avant, aux nuits débridées, décadentes, ahuris qu’elle passait dehors. Elle contrôlait tout, était libre de ses gestes, ne s’interdisait aucun danger, aucune passe, aucune issue car elle possédait tout et que chaque personne qui l’entourait n’était qu’un pantin de plus qu’elle pouvait manipuler à sa guise pour le simple frisson d’un instant. Mais aujourd’hui elle régissait ses actes car elle atteignait son rêve. Deux vies contradictoires et pourtant qui lui appartenaient depuis toujours. Répugnée par le simple fait du sentiment de perte et d’abandon d’elle-même pendant une seconde, la jeune femme se dirigeait vers le bar, empoignait une bouteille derrière la vitre et, sans empressement, guidait ses longues jambes fuselées vers les cuisines. Si Ebony pouvait sembler lunatique et extrêmement névrosée, elle n’avait pas perdu l’idée que personne ne pouvait rien lui dire. Se fichant de tout et de tout le monde et encore plus aujourd’hui, elle faisait éclater le bouchon du champagne qu’elle tenait en main et déversait le liquide dorée à même le goulot dans sa gorge. Le liquide dévastant ses artères, son regard striait les placards métalliques qui s’alignaient face à son regard pour enfin les ouvrir un par un et découvrir des trésors inespérés. Le plus beau fut une remarquable pièce montée qu’elle s’empressait alors de sortir pour la poser sur le plan de travail. Après un regard élogieux envers le travail monstre de l’inventeur de cette douceur sucrée, elle plongeait une grosse cuillère dedans pour venir déguster sans aucune modération, le chef d’œuvre aux couleurs pastel.



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MessageSujet: Re: beautiful nightmare (lamar) beautiful nightmare (lamar) EmptyMar 5 Mai - 11:27

Beautiful Nightmare
ft. ebony j. asher-grey

Ce soir signait un tournant pour la vie de sudiste du jeune homme. Lui qui s'était juré de rendre la situation "provisoire" venait de passer presque 6 mois à habiter seul. Au début presque soulagé bien que peu habitué, ce sentiment avait laissé place à la frustration, à la solitude et presque même à la peur. Quand l'opportunité s'est présentée de partager un appartement, ce n'est que l'espace d'une seconde que Lamar a réfléchi et bien que plus de la moitié de sa maigre paie de réceptionniste doive y passer chaque mois, c'est les yeux fermés qu'il a signé.
Epuisé, Lamar travaillait depuis 8 jours sans discontinuer, préférant la compagnie de clients exigeants, de collègues exaspérants et comme musique d'ambiance le claquement de pas des centaines de personnes qui s'approchaient quotidiennement de son desk de réception. Pourquoi tant s'infliger ? Il avait tranché il y a de cela des mois qu'il préférait passer plus de temps à l'hôtel, plutôt que de rester chez lui, à manger un mauvais bol de nouilles chinoises achetées 6$ le paquet de 10 sachets chez Wal-Mart, seul.

Notre ami était sur le point de finir sa journée, qui empiétait d'ailleurs très largement sur sa soirée et rien ne lui faisait plus plaisir que de savoir que le lendemain il allait passer la journée sous la chaleur écrasante du printemps de la Nouvelle-Orléans à déménager. Ses cartons étaient prêts et ce depuis le jour où il avait apposé sa signature à côté de celle d'Aaron sur un bout de papier, ses meubles avaient été démontés et ce soir il dormirait sur un entassement de draps et couverture, ce serait de toute façon bien suffisant pour les quelques heures qui allaient composer sa nuit.
Alors qu'il était sur le point de partir, le téléphone de la réception retentit de nouveau. Coup d'oeil à gauche, coup d'oeil à droite, personne. Saisissant le téléphone, un employé du bar lui apprit qu'une bouteille de champagne venait d'être dérobée au bar, du moins, elle l'avait été une dizaine de minutes plus tôt. Ces espèces de glands l'avaient laissée sagement posée dans un sceau rempli de glaçon ; c'est lorsque l'un d'eux s'est retrouvé en réserve pour aller chercher une nouvelle bouteille de martini, que l'autre était en train de servir des clients et que la dernière était trop occupée à engueuler le type du room service au téléphone que "l'incident" semblait s'être produit. Sans prendre la peine de demander plus d'informations à son collègue au bout du fil, Lamar raccrocha violemment le combiné, demanda à quelqu'un de repasser en front-office avant d'arpenter les dédales du personnel pour finir quelques secondes plus tard dans le bar. Il y trouva deux nouveaux extras en train de rire qu'il fusilla du regard avant que l'un deux se précipite vers lui pour lui expliquer la situation. Ce bleu n'avait même pas pensé à appeler la sécurité de l'hôtel. Dépité de la stupidité de son collègue, Lamar pianota le numéro de la sécurité et il fallut pas moins d'une dizaine de sonneries avant qu'on daigne lui répondre.

- "Je veux qu'on me donne le nom de chaque personne qui a approché du bar dans les 20 dernières minutes. Commencez à visionner les bandes, j'arrive."

Compter parmi les employés les plus récents ne faisait pas peur à Lamar, pas le moins du monde. Il avait été embauché pour une chose : que cette maison tourne. Et elle tournait, du moins, quand il était là il y veillait et ses supérieurs ne tarissaient pas d'éloge à son sujet. Concernant ses collègues, Lamar n'en avait que faire, après-tout, ceux avec qui il était parfois sec et directif étaient ceux-ci même qui avaient besoin qu'on les prenne en main. L'équipe de sécurité bien qu'aussi vieille que l'hôtel n'en était pas le moins du monde efficace ; ils passaient leurs journées à regarder des talk-shows stupides plutôt que de regarder les écrans leur indiquant ce qui se passait dans l'hôtel. Résultat, un nombre colossale "d'incident" arrivait chaque semaine.
Après avoir visionné les bandes de surveillance et ce pendant près de 10 minutes, Lamar s'éclipsa de la salle suivi d'un gars de la sécurité qui, même en marche rapide n'arrivait pas à suivre le rythme. Rapidement distancé, le jeune homme entra seul dans les cuisines et découvrit avec effroi la scène qui se déroulait sous ses yeux.


[b]- "Mais c'est quoi ce bordel ???!" [b] ne put-il s'empêcher de lâcher en entrant.

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MessageSujet: Re: beautiful nightmare (lamar) beautiful nightmare (lamar) EmptyMer 13 Mai - 12:06


beautiful nightmare



Ebony&Lamar ⊹ Ebony, contagieuse dans sa folie avait rendu l’équipe de communication avec laquelle elle travaillait, indisciplinée en dehors des horaires de travail. Pariant sur son inventivité et ses stratagèmes peu scrupuleux pour parvenir à ses fins, elle comblait les manques à gagner en jouant comme elle le faisait avant mais cette fois-ci avec de réelles retombées sérieuses à la suite. Blottie régulièrement dans le vaste appartement qu’elle avait acheté à New York, elle ressentait une solitude inexorable malgré le bien être qu’elle ressentait à avoir atteint les buts qu’elle s’était toujours fixée dans la vie. La jeune femme était bien trop seule depuis qu’elle avait quitté l’université et si aujourd’hui elle avait retrouvé Zayn une énième fois, c’était pour voir de nouveau son ex mari prendre le large et se délivrer de sa poigne féroce et hostile. Pour cela, la chargée des relations publiques compensait son manque cruel d’attachement par encore plus de mauvaises actions et de coups bas en tout genre. A la nouvelle Orléans, elle avait scrupuleusement attendu les nuits tombées pour s’égarer à travers les dédales de rues et fumer à s’en couper le souffle, boire pour purger ses souffrances et distiller ses mauvaises manies. Encore une fois, Ebony ne faisait pas dans le social ni dans la gentillesse. Elle brisait les règles de l’indépendance en allant toujours un peu plus loin. Aujourd’hui encore, elle rêvait d’estropier les rêves des gens qui l’entouraient juste pour le doux plaisir de ressentir une fois de plus cette sensation hagarde d’excitation et d’adrénaline qui la faisait depuis toujours, vivre dans un rêve noir et sans conscience. Pourtant, alors qu’elle construisait son futur à tour de bras, l’insatisfaction prenait possession de son être la poussant à devenir de plus en plus maussade et à se renfermer dans une contemplation dérisoire des autres et de leur train train quotidien lorsqu’elle ne s’attardait jamais sur son entourage. Malheureusement Ebony avait le mal de vivre et avec ça la douce souffrance que l’on connaissait lorsqu’on s’épanchait vers les affres de l’amour sincère et tortueux. Alors pour cela, la jeune femme qui avait décidé de revenir à son hôtel quand l’horaire affichée sur sa montre n’exprimait même pas le milieu de la nuit, et de se laisser aller avec une bouteille d’alcool brute. Goulot tournée vers le sol, elle s’enivrait pendant que, de la cuillère argentée qu’elle avait dégotée, elle se goinfrait de crème fouettée, de fruits rouges et de coulis de framboise. Délicieusement conquise par le gâteau, elle s’installait à son aise sur le plan de travail sans faire fî des convenances dans un hôtel de luxe et des normes sanitaires qu’elle pouvait révoquer de cette simple posture. Mais, dans sa contemplation minutieuse de ce qu’une pâtisserie énorme pouvait devenir lorsqu’elle se faisait torpiller aussi rapidement, elle redressait à peine son regard vers la porte des cuisines qui venait de s’ouvrir pour laisser apparaître une silhouette masculine. Accordant peu d’intention à l’intrus, c’est qu’au bout d’une énième bouchée et d’une rasade supplémentaire d’alcool qu’elle se permettait une brève œillade. Son cri perça ses tympans et elle grimaçait alors face à l’impertinent. Et ça hurle comme une gonzesse. Sérieusement, moins de bruit, il y a des gens qui dorment ici. Qu’elle disait se fichant éperdument que sa situation et position n’était absolument pas appropriée. Elle ne savait même pas qui était la personne face à elle mais étrangement, elle se disait qu’elle l’avait déjà vu quelque part. Ici sûrement, à faire des trucs de serveur ou peu importe le métier qui lui était dû. Ebony ne s’occupait généralement pas du personnel étant amené à bien plus. L’homme s’approchait alors ruminant, le regard froid, anxieux, pointé vers elle comme une flèche qu’il allait bientôt décocher pour l’atteindre en pleine poitrine. S’amusant de cette réaction primitive, la donzelle sautait au sol, pied nu, ses talons hauts déposés sur le carrelage qui était brillant l’instant d’avant son arrivée. Lui tournant le dos, elle ouvrait de nouveau un placard pour dénicher des mignardises qu’elle commençait à manger tranquillement. Hum… Ce saumon une merveille. Je le savais qu’il fallait du salé là. Vous en voulez ? Qu’elle demandait en tendant un petit four lorsqu’en l’observant des pieds à la tête, elle ne pouvait manquer le fait qu’il travaillait sûrement dans l’hôtel et que ses réactions étaient de plus en plus malvenues de sa part. Qu’importe, Ebony s’en fichait bien et continuait à manger. S’il restait surpris et planté sur ses deux pieds comme pris de stupeur, elle, comme une actrice sur une scène, continuait à valser à travers l’immense cuisine afin de dénicher de belles victuailles qui pourrait accompagner le festin qu’elle avait commencé. Bon, t’es mignon mais j’aime pas être observé quand je mange. Et c’est malpoli en plus. Alors sois on partage soit tu t’en vas. Miséricorde, Ebony allait loin, toujours trop loin et en prenait un immense plaisir parce que la stupéfaction sur la visage de l’inconnu valait tous les spectacles du monde et elle s’en prélassait avec soin de son regard cupide et provoquant. S’approchant enfin de l’homme, elle glissait son doigt sur la petite plaque dorée qui ornait sa poitrine. Lamar… Tu salueras de ma part les cuisiniers, ils assurent. Chantonnant presque dans sa tête quelques louanges qu’elle aurait pu lancer aux maîtres des arts culinaires, Ebony souriait enfin au jeune homme, trop proche d’elle dorénavant pendant qu’en assortiment de la nourriture qu’elle dévorait, elle créait un nouveau jeu qui pourrait la tenir éveiller encore quelques heures. Elle espérait seulement qu’il serait à la hauteur de ses attentes afin de rendre sa nuit un peu plus pimentée…



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MessageSujet: Re: beautiful nightmare (lamar) beautiful nightmare (lamar) EmptySam 18 Juil - 12:58

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