» Prénom(s) : louise antigone lula » Nom de famille : scofield » Nom d'usage : louise scofield » Surnom/pseudonyme : lou, loute » Nationalité : américaine » Origines : irlandaise et américaine » Date de naissance : le cinq mai 1991 » Lieu de naissance : los angeles, USA » Lieu de résidence actuel : new york » Occupation actuelle : assistante personnelle d’alexis atwoodth (et création d'une marque de lingerie avec thea) » Statut civil : célibataire

1 » family Louise Antigone Lula Scofield-Lindley, ou simplement Louise Scofield. Elle n’a rien à envier aux familles fortunées, ni même aux familles débordantes d’amour. Car la famille Scofield-Lindley a toujours su allier le meilleur des deux mondes. Elle a un frère, Louise, mais il n’est pas seulement un frère, il est une moitié, une autre part d’elle-même, une continuité de son être, pure et simple. C’est ce qu’est un jumeau. Un quelque chose d’inexplicable, une sorte d’âme-sœur, qui, à défaut de partager chacune de vos idées, ressent chacune de vos émotions. Une relation qui dépasse l’entendement, qu’un scientifique ne peut pas réellement expliquer. Personne ne peut l’expliquer, parce que cela se vit, simplement. Comme une vague qui nous saisit de plein fouet, comme une gifle qu’on se prend en pleine gueule, ça nous transperce l’âme, ça nous rend à la fois fort et faible, à la fois puissant et vulnérable. Quand on lui demande de dépeindre cette relation, Louise balbutie, perd ses mots, en trouve puis reformule, car elle n’est jamais satisfaite. Jamais elle ne parviendra à dire ce que Sam représente pour elle, au-delà de la vague, au-delà de la gifle, au-delà de l’amour et de la fraternité. Car Sam est bien plus que tout cela, et en même temps bien moins. Car il n’est qu’elle.
Il y a aussi son père, homme d’affaires réputé, et sa mère, femme simple, séparés depuis quelques années maintenant, sur un commun accord qui n’a jamais entaché la cohésion de la famille. C’est dans un foyer empli de rires et d’amour que Louise a pu s’épanouir, touchant à tous les instruments et jetant son dévolu sur le piano, se balançant sur toutes les danses, se montrant à tous les galas de charité, sourire obligatoire sur le visage. Louise est une fille de bonne famille, elle se doit de ne pas détruire la notoriété que son père a mis des années à construire, et elle s’y tient évidemment.  Sa mère a craqué, préférant trouver Paris, avec qui elle pourrait vivre sa vie de femme, sans avoir peur d’abîmer celle de son homme. Louise lui en a voulu pendant un temps, puis elle a grandi, et a compris.

2 » work Louise s’est depuis peu lancée dans un projet qu’on peut caractériser de fou. Avec Thea, sa meilleure amie, elles ont pris la décision de lancer leur marque de lingerie, avec la blonde maniant le crayon, et la brune au contrôle de la communication, du marketing et de la publicité. Elle ne se souvient pas si c’est lors d’une soirée trop arrosée, ou simplement pendant leur petit-déjeuner quotidien dans leur appartement qu’elles ont pris cette direction, mais elle sait que c’est une des meilleures décisions de sa vie, avec la meilleure collaboration qui aurait pu se faire. Car Thea et Louise se connaissent depuis des années, depuis toujours même, et même si elles ont longtemps partagé une relation épistolaire, cela n’a pu que solidifier leur amitié déjà forte, avant que celle-ci ne s’affirme d’autant plus lorsqu’elles ont emménagé ensemble, partageant alors tout, des repas aux fringues, des rires aux larmes. Tout. Et Louise ne regrette rien, même si cette aventure est faite de haut et de bas, rien n’a encore su entacher cette coopération. Elle fait tout ce qu’elle peut pour que le rêve de sa meilleure amie devienne réalité, jusqu’à passer ses nuits à trouver des investisseurs potentiels, à passer des heures à chercher le bon concept. Le concept parfait. Parce que les amies passent en premier.
En plus de cela, la brune s’est vue offrir le poste d’assistante personnelle d’Alexis Atwoodth, futur pdg de la compagnie de son père dans les ventes. On pourrait penser ce travail parfait pour l’ambitieuse qu’elle est, mais ce serait sans compter sur le jeune homme lui-même qui semble tout faire pour faire de son travail un cauchemar. Elle se tue à la tâche, constamment, fait tout le plus sérieusement possible, et pourtant, il s’évertue à lui donner des tâches qui n’entrent pas du tout dans son domaine, qui sont même à l’opposé de ce pourquoi elle a révisé des heures durant à Berkeley, comme si assistante personnelle signifiait sous-fifre. Cela passe par du photocopiage intensif, à aller chercher ses vêtements chez le teinturier, en passant par filtrer les appels de ses conquêtes en se faisant passer pour dieu sait qui.

3 » friendship never ends Louise n'est pas difficile à cerner quand il s'agit d'amitié, à ce sujet, on peut lire en elle comme dans un livre ouvert. Elle ne se cache pas, ne joue pas, ne trompe pas, car c'est une valeur chez elle, quelque chose qui ne s'invente pas, auquel on ne peut pas toucher. Des vraies amies, elle n'en a que peu, mais elle les estiment comme si elles étaient les dernières merveilles du monde. Elle sait, Louise, qu'elle pourrait tout donner pour elles, tout faire pour leur rendre la vie plus facile, pour faire de leur rêve une réalité. Quand elle écoutait Thea parlait de son désir de monter sa propre ligne de lingerie, il n'a fallu que peu de temps à Louise pour commencer un cursus dans le marketing et s'associer à elle. Quand Lola a eu besoin qu'elle use de ses charmes de fille de bonne famille sur ses parents, Louise s'est exécutée. De même aujourd'hui, quand Thea lui demande de se faire passer pour sa petite amie. La demoiselle n'a de cesse de se plier en quatre pour ceux qu'elle chérie le plus, et sans attendre rien en retour. Parce que l'amitié ne s'obtient pas, elle se gagne, à force d'années et de complicité, de rires et de larmes. Ses amies sont une extension pure et simple de sa famille, et il n'y a aucun obstacle, aucune barrière qu'elle ne puisse traverser pour sa famille, Louise. Pourtant, il y a quelque chose auquel elle ne croit pas Louise, l'amitié homme-femme. C'est triste à dire, mais elle l'assume. Elle le sait, une personne ne peut décemment pas être seulement amie avec quelqu'un du sexe opposé, une ambiguïté s'installera toujours, un jour ou l'autre. Cela peut se faire dans les gestes, dans le regard, dans les mots que l'on pense innocents mais qui ne le sont jamais vraiment. C'est un tout, une amitié prise dans sa globalité qui permet le constat évident que rien n'est jamais sans arrière pensée. Et les gens qui se targuent qu'elle existe parce qu'ils ont eux-mêmes un ami du sexe opposé se leurrent complètement, car ils tentent seulement de faire croire qu'ils vivent avec leur temps. Mais vivre avec son temps, c'est savoir que les hommes et les femmes sont libérés, c'est savoir que la séduction n'est plus seulement un jeu, mais une fatalité.

4 » big girls cry Louise est une beauté froide, de celle qu'on regarde fixement mais qu'on ne touche pas. Elle se laisse difficilement atteindre, se méfiant de tout et de tout le monde constamment. Elle n'est pas paranoïaque, simplement prudente, car perdre son temps n'est définitivement pas dans ses habitudes. Elle observe, prend le temps de découvrir, Louise, d'apprendre de l'autre avant qu'on apprenne d'elle. Elle ne se donne pas, elle ne s'offre pas corps et âme au premier venu, ni même au dernier. Elle veut être sûre que ça vaut le coup. On lui dira qu'elle réfléchit trop, qu'elle ne vit pas pleinement sa vie, elle haussera les épaules en pensant qu'elle se protège simplement. Des sentiments douloureux, des émotions pouvant la submerger. Des autres. Elle ne sait pas vivre au jour le jour, Louise, elle ne sait pas lâcher prise, par peur de se brûler les ailes, par peur de l'inconnu. Ce qu'elle n'avouera jamais. Alors on la surnomme la beauté froide, la reine des glaces. Celle qu'on ne voit que peu sourire, celle qu'on n'aperçoit rarement s'amuser, celle qui n'a l'air de rien ressentir. Ça lui convient ainsi. Parce qu'en réalité, ce n'est pas réellement qui elle est, en tout cas, pas seulement. Elle le sait, et aime entretenir ce mystère qui l'entoure, l'alimenter même. Certains diront qu'elle est bien trop hautaine Louise, trop sûre d'elle. D'autres, ceux qui la connaissent réellement, voient au-delà de tout cela, ont réussi à rester assez longtemps pour s'apercevoir de ce qu'elle renferme réellement à l'intérieur. Elle rit à gorge déployée quand elle va faire la fête avec Thea et Talya, elle pleure discrètement quand elle a Sam au téléphone, elle est touchée, à demi jalouse, quand elle regarde Pride and Prejudice avec Lola. Elle ressent, Louise, elle ressent chaque émotion, les reçoit dans son âme sans les repousser quand elle se trouve en compagnie des personnes qu'elle aime, qui l'ont apprivoisée tel un animal sauvage. Parce qu'elle n'a plus peur en leur compagnie, de rien ni de personne. Elle est seulement Louise, la beauté chaude. La beauté animée.

5 » habits La chambre de Louise est toujours dans un bordel sans nom - Il faut lui rappeler dix fois quelque chose pour qu'elle trouve cela important et qu'elle se penche sur la question - Il lui arrive parfois de fumer une cigarette sur le balcon de son appartement, en toute discrétion - Elle regarde l'écran de son téléphone toutes les cinq minutes - Elle ne boit que du café, noir sans sucre - Elle est compétitrice dans l'âme, elle veut être la meilleure ou n'être rien du tout - Elle pousse les gens à tirer le meilleur d'eux-mêmes - Elle peut être très cassante, dans son attitude ou dans ses paroles, car elle n'est pas du genre à mâcher ses mots - Elle aime beaucoup se plaindre, elle peut râler sur tous les petits détails de son existence - Elle ne fait entrer aucun homme dans son appartement, considérant cela comme une atteinte à son espace intime - Elle essaye de courir une fois par jour  Elle voyage beaucoup, désirant poser son pied dans chaque pays du monde - Elle espère avoir une famille plus tard, deux enfants qui seraient aussi fusionnels que son frère et elle - Elle aimerait également adopter un enfant - Elle donne beaucoup de son argent à des associations caritatives, à défaut de donner son temps - Elle bave littéralement devant mr darcy - Elle préfère le champagne aux alcools forts - Elle essaie d'avoir son jumeau une fois par jour au téléphone, que ce soit par appel ou par message -

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ALEXANDER & LOUISE

all along it was a fever, a cold sweat hot-headed believer. i threw my hands in the air, said, show me something. he said, if you dare, come a little closer. not really sure how to feel about it, something in the way you move makes me feel like i can't live without you, it takes me all the way. i want you to stay.

Louise avait toujours tout calculé. Ses actes, ses paroles, ses silences. Rarement, elle se permettait une liberté pourtant propre aux Hommes. Seuls ses amis proches pouvaient percevoir ses quelques moments, rares, de folie. Pourtant, rien dans sa rencontre avec Alexander n'avait été réfléchi. Aucun acte, aucune parole, aucun silence. Naturelle, elle l'avait été en sa présence dès le premier instant, comme s'il y avait quelque chose chez lui, qui faisait écho en elle, comme s'il la touchait d'une façon si irréelle qu'elle ne pouvait vraiment le décrire. Il y avait eu immédiatement une sorte de bulle autour d'eux, parfaite, apaisante, et Louise avait tout mis en oeuvre pour qu'elle n'éclate pas. Jamais. Car ce genre de rencontres était trop rare, trop belle pour qu'on puisse l'oublier, ou simplement la balayer d'un revers de la main, comme si elle n'était rien de plus qu'une perte de temps, un nom de plus dans un répertoire déjà trop rempli d'amitiés factices. Elle n'a jamais su dire si c'étaient les notes qui résonnaient dans la pièce, dans son âme, ou seulement l'espèce de détresse qu'elle avait cru lire dans le regard d'Alexander la première fois, qui l'avait interpellée, captivée. Un tout. Une multitude de détails que Louise pourrait aujourd'hui évoquer comme si la scène s'était déroulée la veille. Pourtant, des mois avaient passé avant qu'ils ne se retrouvent dans cet appartement, de nouveau dans leur bulle si précieuse. Des semaines durant lesquelles Louise n'aurait jamais cru pouvoir retrouver, ou simplement trouver, une place dans la vie du jeune homme. Elle se souvenait de l'attente, étouffante, dans cette pièce dans laquelle ils avaient tout construit, tout bâti au détour de notes, laissant à la porte leur vie, leurs problèmes et ne laissant pénétrer qu'eux. Elle avait posté une photo quelques heures plus tôt, et attendait depuis ce moment, un signe, ou alors lui. Seulement lui. Elle avait tourné dans cette salle, déjà bien trop grande pour deux, avait pris le temps d'observer la vue somptueuse qui s'offrait à elle depuis les baies vitrées. Le soleil s'était couché, et elle était toujours seule. Elle s'était de nombreuses fois demandée ce qu'elle faisait encore là, les raisons qui la poussaient à rester toujours un peu plus de temps. Elle était même allée jusqu'à permettre aux sons de s'échapper du piano sur lequel il avait déposé ses doigts si souvent, se laissant bercer par des mélodies qu'il lui avait autrefois jouée, et qu'elle interprétait ce soir-là seulement pour elle. Pour elle et le spectre d'Alexander. Mais, alors que la demoiselle s'apprêtait à accepter l'idée qu'il ne se montrerait pas, le jeune homme avait fait son apparition au pas de la porte, un sourire aux lèvres. Et Louise avait souri en retour, et le cocon s'était reformé, comme s'il n'avait jamais disparu. Depuis, ils ne se quittaient plus, flottant sur ce sentiment de plénitude absolu qu'ils tentaient de préserver du mieux qu'ils pouvaient. Parfois, en vain. Mais la jeune femme ne retenait que les bons moments. Il y avait les regards longs, silencieux, perçants qu'ils s'échangeaient au réveil, comme s'il n'y avait rien à ajouter, comme si tout était dit. Il y avait les rires stupides et enfantins qui percutaient les murs, qui auraient pu réveiller le voisinage, trahissant un bonheur qui ne pouvait être dissimulé à celui qui voulait bien voir, qui était trop souvent jalousé. Il y avait des paroles et des silences dans cet appartement, des sourires et des bouderies, des enfants et des adultes. Et cela formait un tout empli d'une cohésion sans faille. « J'aimerais qu'elle dure toute une vie. » Parfois, Louise se surprenait à penser, en s'endormant à son côté, que rien ne pouvait les atteindre, qu'ils étaient intouchables de là où ils étaient. Mais la réalité les rattrapait bien vite, trop vite. Quand elle ouvrait les journaux, elle apercevait le visage d'Alexander, à qui on prêtait parfois des relations avec des jeunes femmes dont elle ne connaissait même pas l'existence. Parfois, c'était son visage qu'on collait à côté du sien. Mais son nom était mentionné partout, expliqué par sa fulgurante notoriété due à l'invention de cette application qui avait su les remettre en contact. Et bien que la fierté parvenait à apaiser ses démons, Louise ne voyait pas d'un très bon œil cette nuée de flashs qui éblouissait un peu trop souvent leur vie. Elle n'avait rien demandé de tout cela, elle n'était pas avec le jeune homme pour cela mais plutôt en dépit de. Et à mesure que le temps avançait, elle avait eu de plus en plus de mal à prendre sur elle, et à tolérer qu'on puisse investiguer de la sorte sur leur relation, et sur leurs vies privées. Et c'est sans doute ce trop-plein qui l'avait poussée à avancer de plusieurs jours son départ pour Paris. Et même si elle ne l'avait pas encore annoncée à Alexander, sans doute par crainte d'éclater leur bulle dorée, et par pur égoïsme, jalousant précieusement les moments qu'ils passaient ensemble et ne voulant pas les érafler par une quelconque mauvaise nouvelle, il était écrit que son avion décollait le lendemain et que Louise y avait une place réservée. Elle se saisit d'ailleurs de l'éloignement du jeune homme pour appeler son agent de voyage et ainsi confirmer son vol. Sa voix se faisait hachée, froide, presque mécanique. Elle parlait vite, désirant qu'Alexander ne capte pas un mot de la conversation, mais également pour s'éviter de réfléchir et de repousser une échéance qui était arrivée à terme. Il valait mieux partir sur des moments de bonheur absolu plutôt que de tristesse infinie. C'était à elle d'arrêter les frais, de couper court à cette relation qui ne pouvait mener à rien, leurs chemins devaient se séparer, ils ne pouvaient vivre couper du monde éternellement, et Louise en était bien consciente. La conversation touchait à sa fin quand il reparut dans la chambre, mais le mal était déjà fait, des mots sans aucun sens logique pour lui avaient été prononcés. Elle allait devoir s'expliquer. Déjà, les questions fusaient, preuves du désappointement et de l'inquiétude du jeune homme, et son cerveau bouillonnait. Elle s'était imaginée cette scène des milliers de fois, lorsqu'elle ne parvenait pas à trouver le sommeil et qu'elle le regardait rêver. Mais jamais, elle n'avait su trouver les bons mots, les mots justes pour lui expliquer une situation déjà trop compliquée. Elle se laissa bercer quelques secondes par la caresse de sa main, par le toucher de ses doigts, elle s'imprégna quelques instants de cet sérénité, de cette euphorie pure et brute qu'il lui avait fait vivre pendant longtemps. Bien que ce ne soit pas assez longtemps à ses yeux. Puis, elle perça leur bulle, avec deux touts petits mots pour armes, elle l'éclata et ne laissa place à un aucun doute sur le futur qui se dessinait à présent devant. « Je pars. » Elle n'avait pas prévu de l'annoncer de cette façon, mais encore une fois, avec Alexander, elle ne calculait rien, ne réfléchissait à rien, agissait seulement. Et déjà, les larmes lui montaient aux yeux alors que son coeur se déchirait déjà à l'idée de s'éloigner de lui. « Demain... Je décolle pour Paris demain. Je n'en peux plus. » Pas d'eux. Mais de son nom placardé partout, parfois accompagné du sien. Elle n'avait pas encore atteint le point de non-retour, alors elle préférait tirer sa révérence maintenant, avant que les journaux ne ternissent l'image qu'elle avait de lui, d'eux. Elle finit par relever le regard, et le plongea dans celui du jeune homme. Elle voulait qu'il lise dans ses yeux, qu'il comprenne que rien n'était de sa faute, que tout cela l'atteignait bien plus qu'elle ne le laissait paraître. Elle avait fait le bon choix, mais ça ne signifiait pas pour autant qu'elle n'en souffrait pas. Elle aurait dû partir sur le champ, quitter cette pièce et cet appartement, pour être certaine de s'en tenir à son choix, car elle se savait faible face à ces deux billes qui la fixaient intensément. Car sur un coup de tête, un mot de lui, sa décision pouvait changer. Pourtant, elle restait là, face à lui. Et d'un bras, elle désigna l'immense pièce, avant de poser une main sur sa joue, tout en murmurant plus pour elle-même que réellement pour lui. « Malheureusement, ça ne peut pas durer toute une vie. » Un sourire triste se dessina alors sur ses lèvres, un sourire désenchanté. Car, quoi qu'il se passe maintenant, l'envoûtement s'estompait peu à peu, ne laissant place qu'à une terne réalité que Louise avait laissé entrer insidieusement. Elle ne s'attendait à rien de la part d'Alexander, de sa réaction, mais elle espérait beaucoup.

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» Prénom : hélène » Pseudo : HLN. » Âge : vingt et un ans » Scénario ou personnage inventé : à la base scénario » Des multicomptes ? none » Impression sur le forum : » Crédits : tumblr » Le mot de la fin : j'ai une demande délicate à formuler    je pars à londres demain matin, et ce jusqu'à dimanche avec mon copain, et je travaille dans 30 minutes, je ne pense donc pas que je vais pouvoir finir ma fiche, malheureusement, et au-delà de la demande de délai dès maintenant, j'aurais voulu savoir si c'était possible de me réserver la jenner un peu plus longtemps, parce que ça me ferait un peu enrager de me faire piquer mon bébé pendant ces vacances où je ne pourrai pas avancer ma fiche      merci d'avance, même si la réponse s'avère négative