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you're about to get your ass kicked (silver + valentina)

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MessageSujet: you're about to get your ass kicked (silver + valentina) you're about to get your ass kicked (silver + valentina) EmptyLun 9 Fév - 23:30

48.000 :plop: :plop:
Lorsque j'ai ouvert les yeux ce matin-là, il était encore tôt. Le soleil encore rougeoyant commençait à diffuser sa lumière tout doucement, mais le campus de l'université de Berkeley dormait toujours profondément. Et la vision que j'eus, après m'être discrètement retournée dans mon lit, confirma mes soupçons. Isay, encore assoupi, était beau comme un dieu. Un mince sourire passa sur mes lèvres, alors que je réalisais la chance que nous avions. Notre histoire avait été compliquée et, à bien des égards, l'était encore. Nos débuts, en Suède, avaient été chaotiques et marqué d'une certaine pudeur de ma part. En Croatie, la suite avait été torride et sensuelle, mais jamais clairement définie. L'arrivée en Californie du Russo-Suédois avait été difficilement gérable, rarement paisible. Le temps avait réussi à apaiser nos tensions, au moins partiellement. Aidé par les événements tragiques et inquiétants qui se déroulaient à Berkeley, le temps avait fini par gommer nos différences pour mieux nous rapprocher. Et aujourd'hui, nous partagions à nouveau le même lit. Mais contrairement aux fois précédentes, quelque chose avait changé. Je le regardais d'un œil différent, me demandant ce que l'avenir nous réservait. Si, pour une fois, nos habituels problèmes de communication seraient un frein ou non à notre relation. Si cette aventure soudaine à Cuba allait se prolonger dans la durée. Je me souvenais parfaitement des mots que nous avions échangé au creux de notre intimité retrouvée, des étreintes d'abord timides que nous avions partagé et qui s'étaient muées en nuits endiablées, des promesses tacites que nous nous étions faites. La maturité semblait nous avoir transformés et ce, pour le meilleur. Mon sourire s'installa définitivement sur mes lèvres, alors que je déposais un baiser sur le bout de ses lèvres qui le fit tiquer, avant de quitter les draps chauds de mon lit à contre cœur. Je me suis dépêchée de me préparer, souhaitant être l'une des premières à investir la bibliothèque de l'université pour profiter du calme. J'ai pris une douche rapide, avant de retourner dans ma chambre pour m'habiller. J'ai opté pour un jean et un tee-shirt – une tenue basique, pour un dur retour à la réalité. J'ai néanmoins décider de parfaire l'ensemble avec un collier et une montre, qui se trouvaient sur ma table de chevet. Je me suis à nouveau discrètement assise sur mon lit pour enfiler mes bijoux, mais deux mains inquisitrices en décidèrent autrement. Un léger rire s'échappa de mes lèvres, alors que le Delta m'offrait quelques minutes de répit. « Arrête Isay, il faut que je parte. » Murmurais-je en souriant, sans réelle conviction. En même temps, comment pouvais-je montrer une quelconque once de résistance, alors que les lèvres du Delta, parcourant mon cou avec une certaine avidité, éveillaient tous mes sens. Mes paupières se fermèrent d'elles-mêmes, et les maigres résistances que je lui avais opposées s'envolèrent aussitôt. À tâtons, les doigts de ma main droite glissèrent dans sa chevelure déstructurée, et mon dos se colla contre son torse dénudé. « J'ai du travail. » Tentais-je vaguement de résister, mes mains venant se placer au-dessus des siennes. Sauf que résister était plus difficile que prévu, surtout après les deux semaines idylliques que nous venions de passer. Je n'avais clairement pas envie de me rattraper mon retard administratif, ni même de répondre aux questions insistantes des gens qui oseraient me questionner sur mon absence. « Et les vacances sont terminées... » Ajoutais-je, cherchant des arguments de poids, tandis que mon corps trahissait mon manque d'entrain et de motivation. Mes lèvres se posèrent sur celles du Delta, et je profitais de sa surprise pour me soustraire à son étreinte. Je me suis retournée vers lui avant de sortir, et son air hébété me fit gentiment rire. « Passe une bonne journée. » Déclarais-je, avant de lui envoyer un baiser du bout des doigts. Pour toute réponse, j'eus droit à un grognement colérique révélateur.  

Sans grande surprise, je fus l'une des premières étudiantes à investir la bibliothèque de l'université. Je me suis attablée à une table éloignée de l'entrée, souhaitant avoir un peu de tranquillité. Les dossiers s'étaient empilés sur mon bureau, en mon absence. J'avais reçu une note cinglante du doyen des doyens, qui s'offusquait de mon absence imprévue, pour une destination inconnue, et pour une durée indéterminée. J'avais aussi reçu quelques informations concernant mes confrères, que j'avais savamment étudiées. Avec la Seven Society qui rôdait et frappait à l'aveugle, mieux valait être prudent. Je m'étais ensuite plongée dans les cours que j'avais loupé. Les professeurs n'avaient pas chaumé en mon absence, et même si les examens étaient loin, je préférais ne pas prendre trop de retard. Malheureusement pour moi, une personne extérieure semblait décidée à venir contrecarrer mes plans louables. J'ai attendu quelques secondes, espérant que l'ombre qui s'était matérialisée devant moi s'estomperait, mais elle n'en fit rien. J'ai soupiré, avant de relever les yeux. Et la vue à laquelle j'eus droit ne me satisfit en rien. « Tiens donc. Que me vaut le déplaisir de ta visite ? » Demandais-je en balançant mon stylo sur la table, croisant les bras sur ma poitrine. Oui Elias-Bell, je te regarde avec un air méprisant et parfaitement assumé. L'étudiante, que j'avais croisé en de rares occasions en Croatie, n'avait jamais été ma meilleure amie. Un pressentiment sur son compte m'avait empêché de sympathiser avec elle. Je l'avais toujours trouvée louche. Trop parfaite, trop gentille, trop souriante. Elle était une accumulation de trop plein, qui faisait tiquer n'importe quelle fille normalement constituée. Je n'avais pas échappé à la règle. « Dépêche toi, je n'ai pas la journée à te consacrer. » Sifflais-je en refermant d'un coup sec le dossier sur lequel j'étais en train de travailler.
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MessageSujet: Re: you're about to get your ass kicked (silver + valentina) you're about to get your ass kicked (silver + valentina) EmptyVen 20 Fév - 15:57

you're about to get your ass kicked
Silver & Valentina



Silver était affalée sur l’immense sofa trônant au centre de la villa Astoria. Après un énième coup d’œil sur le tableau de grand maitre qui ornait le mur d’un blanc virginale, au-dessus de la cheminée aussi imposante que le reste du mobilier, elle se redressait enfin, tentant vainement de repousser délicatement Wolgang, l’un des douze chats de son employeur, qui se pavanait depuis trop longtemps maintenant sur son tee-shirt de soie noir. Un regard vers le tissu pour pester contre elle-même et son bon sens bien absent ce matin là. Plein de poils blanchâtres, elle tentait à présent de s’épousseter pendant qu’elle jetait un regard pensif vers l’écran de son téléphone portable posé sur la table et qui s’évertuait à ne s’illuminer que pour recevoir des demandes de jobs ci et là. Si Silver était partit de San Francisco et était revenue il y à peu, elle croulait dorénavant sous les demandes de travail et les propositions alléchantes. Car si la jeune femme semblait être instable depuis toujours, ses deux dernières travaux pour Scorcese avait eu raison de ces fréquents départs et lui avait enfin donné une petite reconnaissance vis-à-vis de son travail. Néanmoins et pour la première fois de sa vie, elle ne se précipitait pas sur la première occasion qui lui était donnée pour sublimer son CV et son travail cinématographique. Bien décidée à obtenir son diplôme et peaufiner une vie dans laquelle, elle se sentait enfin bien ancrée et confiante, Silver avait aussi promis à Isay de ne plus s’évader hors de sa vue sans son consentement au préalable. Autant dire que, si elle aurait pu se sentir brimée par cet excès de surveillance, l’étudiante se confortait dans l’idée qu’elle avait eu raison de rentrer et de lui avouer par la même occasion, son secret le plus inavouable. Délivrée de ce poids, sa maladie n’étant plus un secret pour ses deux meilleurs amis, elle avait entrepris de se surcharger de travail pour exécuter avec brio une ascension fulgurante vers l’indépendante et une carrière dans le monde du cinéma. Alors elle travaillait à la salle de projection du cinéma, passait quelques fois au théâtre pour aider aux enregistrements des spectacles et montages des vidéos et dorénavant, s’occupait aussi des animaux de compagnie d’Alexander Astoria. Ce dernier travail, loin d’une passion dévorante, lui permettait au moins d’obtenir un beau salaire afin d’offrir à son père un aller retour à San Francisco. Si Silver était épanouie, elle l’était beaucoup moins sur le plan familiale qui se trouvait morcelée entre une mère qui faisait des enfants à droite à gauche, des grands-parents qui avaient décidé de s’occuper d’elle à la place du père Ross-Whright, son père à Amsterdam et surtout, deux demi-sœurs dont l’une venait de quitter Berkeley et l’autre venait de l’intégrer. En clair, Silver était une batarde rejetée au milieu des gravas. Riche de par un héritage conséquent venant des deux familles qui étaient liées à son escroc de mère, elle gardait les pieds sur terre et n’avait pas encore touché un centime de son héritage. Pour cela, elle tenait de son père. Policier, enquêteur, il avait toujours montré à Silver que les plus belles choses étaient les plus simples et d’une humeur vagabonde depuis toujours, elle préférait les aléas de la vie au doux sentiment d’être bercé sur un îlot d’or pur qui la mènerait n’importe où sans qu’elle ne le désire réellement et contre sa plus grande volonté. Contradiction vivante, éternelle indécise et névrosée jusqu’à la moelle, Silver ne savait pas ce qu’elle voulait mais désirait uniquement réussir dans le monde du cinéma, sa caméra en poche et les conseils des plus grands s’égrenant à ses oreilles. Pour le reste, elle aviserait bien plus tard. Son téléphone sonnait au moment où la porte de l’entrée s’ouvrait sur l’homme d’affaire qui l’avait employé comme nounou pour chat. Rien que ça. Loin de se soucier que sa fierté puisse être remise en cause, elle voyait ça comme un petit travail de plus. Rougissant jusqu’à la pointe de ses cheveux à sa vue, elle attrapait son sac et son manteau qui la recouvrait d’un rose bonbon avant de faucher le perron et s’échapper dans sa fiat 500. Elle n’eut le temps de se réprimander pour sa lâcheté admirable que son téléphone vibrait et qu’elle tentait fébrilement de répondre en croisant un automobiliste qui la sermonnait en appuyant fortement sur son klaxon. Isay ! Hallellujah j’allais appeler le FBI, t’étais passé où ?! Qu’elle lançait franchement peu encline à l’accueillir avec les grands éclats de joie que la jeune femme exprimait dès son approche. Pardon ?! Elle est où ?! Maintenant Silver bouillait intérieurement et sans attendre, raccrochait alors qu’Isay semblait totalement sur une autre planète, exposé aux affres d’un amour débordant qu’elle ne cautionnait pas. Si elle avait tenté de ne pas s’en mêler et de se tenir éloigner de ses histoires amoureuses, il était tant pour elle d’entrer en scène lorsqu’elle sentait une tempête intense menacer l’embarcation d’elle et son meilleur ami jusqu’alors, ensemble contre vents et marées. Un quart d’heures plus tard, elle se garait sur le parking de l’université afin de foncer de sa silhouette élancée vers la bibliothèque de Berkeley. Si ce chemin lui était familier et était le lieu de culte de ses intenses réflexions face à son Mac et différents logiciels de montage, il serait aujourd’hui le terrain de bataille entre deux femmes d’envergure. Déjà elle défilait à travers les grandes tablées pour se positionner en une seconde face au bois massif sur lequel les ongles manucurées et toujours impeccables de Valentina, sévissaient. Crispante par sa beauté à couper le souffle, Silver cachait ses mains rongées pour atteindre les sphères d’une colère noire face à cette intimidante apparition. Premièrement tu te tais. Redescends sur terre t’es pas la reine du monde. Soufflant sa colère, l’ancienne sigma tentait de se reprendre pour énoncer éclairement les premières intentions de sa visite impromptue. Alors comment ça t’as emmené Isay en vacances ? Votre romance je pouvais y concéder parce que de toute manière je n’avais pas le choix mais là ça va trop loin. Tu crois que tu peux te permettre après l’avoir abandonné aussi lâchement de lui faire faire n’importe quoi comme ça ?! Sous ses airs furibonds, la jeune femme s’exprimait incroyablement mal mais s’en y mettre les formes elle espérait faire comprendre clairement ce qu’elle tentait d’insinuer ce qui se trouvait être de ne pas faire de mal à son meilleur ami sinon elle lui arracherait la tête.


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MessageSujet: Re: you're about to get your ass kicked (silver + valentina) you're about to get your ass kicked (silver + valentina) EmptyJeu 26 Fév - 23:30

En venant ce matin là à la bibliothèque, j'avais pensé pouvoir profiter du calme apaisant pour rattraper mon retard administratif. J'avais aussi prévu de faire des photocopies des cours que j'avais manqué, puis de réécrire ce qui me paraissait important. Autrement dit, j'avais du pain sur la planche, et je comptais faire le maximum en un minimum de temps. J'avais bien commencé, mais j'avais vite été interrompue par une tierce personne. De mauvaise grâce, j'avais relevé la tête vers l'opportun, afin de l'expédier au plus vite. Mais lorsque je vis Silver Elias-Bell, je compris que les hostilités n'attendraient pas. Elle avait l'air d'une humeur massacrante, et surtout, elle avait l'air déterminée à en découdre. Bien. Qu'il en soit ainsi. Refermant l'épais dossier sur lequel j'étais auparavant en train de travailler, et devant son mutisme affligeant, j'ai moi-même commencé à la titiller. Pour le meilleur, mais surtout pour le pire.

J'ai pouffé de rire, me foutant ouvertement de la gueule de Silver. Les hostilités étaient officiellement lancées, et je m'assurais qu'elle l'avait bien compris. « Excuse-moi, je trouve ça juste hilarant qu'une fille qui s'adresse à moi sur ce ton me fasse ce genre de réflexion. » Elle me reprochait de me prendre pour une reine, alors qu'elle dispensait ses petits conseils d'un air hautain et se tenait les hanches comme un vulgaire mannequin Victoria Secret ? Sérieusement ? Le ton avait été pour le moment moqueur et badin, mais ça n'allait pas tarder à changer. La simple vue de l'ancienne Sigma aurait pu me filer de l'urticaire, et il était hors de question que je me laisse faire par cette garce née. Attention, trois, deux, un... « C'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité. » Finis-je par faire remarquer, d'une humeur nettement moins légère. Mais ce qui allait suivre serait dénué de toute badinerie. L'air devenait glacial, au fur et à mesure que le discours de Silver avançait. « T'avais surtout pas le choix que d'accepter. » Sifflais-je, réagissant au quart de tour à ce qu'elle venait de dire. « Ni lui ni moi n'avions besoin de ta bénédiction. » Et d'une certaine façon, c'était tant mieux : si on avait dû attendre après l'ancienne Sigma, eh bien... Rien. Rien ne se serait passé. « Ça va trop loin ? » Répétais-je, à la fois scandalisée et incrédule. « Mais tu t'es écoutée parler ? Tu t'entends ? Tu te rends compte des conneries que tu racontes ? » Ça, c'était la meilleure. Elle se prenait pour qui ? La mère d'Isay ? « On est grands, on fait ce qu'on veut, et on n'a pas besoin de ton approbation. C'est clair ? » Autrement dit, mêle-toi de tes oignons. Si demain l'envie nous prenait d'aller nous marier à Las Vegas, d'aller passer notre lune de miel en Thaïlande, et de faire un enfant dans la foulée, on n'irait certainement pas demander à Silver ce qu'elle en penserait. Être l'amie d'Isay ne lui donnait pas tous les droits ; ni sur sa vie, et encore moins sur la nôtre. Mais ce fut les derniers mots qu'elle prononça qui me firent, définitivement, entrer dans une colère noire. « C'est quoi ton problème au juste, hein ? » Demandais-je en fronçant les sourcils, le regard noir.  « T'es jalouse, c'est ça ? Parce que cette fois-ci je ne l'ai pas abandonné, comme tu le dis si bien ? » Les doigts de mes mains se recourbèrent légèrement, alors que je m'apprêtais à lui bondir dessus. Pas physiquement – je n'allais certainement pas m'abaisser à ça. Non, j'allais faire pire. Bien pire. « Il me semble que la dernière fois justement, comme tu le dis si bien, mon départ n'a pas si mal arrangé tes affaires. » J'insinuais, sournoisement, sans l'attaquer de front. Ça, je le gardais pour la fin. Beaucoup plus drôle. Beaucoup plus rabaissant. Beaucoup plus jouissif, aussi. « Tu le préfères triste et malheureux, parce qu'il est plus malléable ? » Demandais-je, tournant toujours autour du pot, titillant du bout des doigts ce qui allait suivre. Rendue franchement méchante par une Silver qui s'était mêlée de ce qui ne la regardait pas, rien ne m'arrêterait avant que je ne lui eus dit ma façon de penser. « T'aurais fait quoi au juste, hein ? Une fois de plus, t'aurais pu sauter sur l'occasion ? » Sifflais-je, les lèvres pincées. Sauter, c'était bien le mot qui convenait, tiens. Elle ne méritait pas mieux. « Parce qu'arrête-moi si je me trompe, mais à ce que j'ai cru comprendre, après mon départ, il ne t'a pas fallu longtemps pour écarter les cuisses. » Une touche de vulgarité, un gros tas d'arrogance, et un culot phénoménal : voilà, c'était dit. Je venais purement et simplement de la traiter de salope. Ni plus, ni moins. J'ai croisé les bras sur ma poitrine, la toisant du regard sans aucune gêne. J'assumais pleinement ce que je venais de dire. Tout comme ce qui allait suivre. « Alors maintenant la vipère, tu vas bien m'écouter : j'veux pas te voir tourner autour d'Isay. Il est absolument hors de question qu'une garce dans ton genre vienne contrarier ce qu'on est en train de vivre, ou ce qu'on pourrait vivre. Il est à moi, et je ne suis pas prête de le laisser filer. » Sifflais-je, pointant un doigt accusateur sur elle. Alors va baver ailleurs, et trouve le bonheur de quelqu'un d'autre à aller chambouler. Le mien, je le préserve et le protège jalousement. Surtout depuis qu'il est idyllique, et sans aucun nuage à l'horizon.
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